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 La prospection verticale

La première application que l’on a eu la chance d’éxécuter lors de la sortie était une prospection
verticale d’un sol par configuration Schlumberger. Pour ce, on a fait appel aux outils déjà mentionnés.

Tout d’abord on a commencé par implantation des électrodes dans le sol de telle façon à
ne laisser qu’envion 2cm à l’échelle de l’affleurement. En suite, pour la première mesure, chaque
électrode émettrice (A et B) était espacée de 30cm par rapport au point milieu, et pour les recepteurs
(M et N), chacune est éloignée d’un mètre.

On déclenche l’injection du courant, on récupère la valeur de la résistivité apparente et on


recommence la mesure avec une nouvelle valeur de AB/2. Au bout d’une certaine valeur de AB/2, on
s’est trouvé obligé de prendre en considération les embrayages qui sont des mesures effectuées
quand on change la taille du dipôle de mesure MN sans bouger les électrodes de courant A et B, ce
qui permet d’avoir des courbes de sondages avec deux lectures de la résistivité apparente pour une
même valeur de AB/2. Ces embrayages ont pour but d’assurer la réception du courant par M et N.

 Le dispositif carré
Le dispositif carré est un outil utilisé pour valoriser l’homogénéité du sous-sol
étudié en élaborant des resistivité apparentes longitudinale et transversales, à partir desquelles on
peut calculer la résistivité apparente moyenne du sol, ainsi que l’indice d’anisotropie qui jour un rôle
important pour localiser les failles et les zones non homogènes dans le sous-sol.

La deuxième expérience réalisée lors de la sortie était une découverte


de ce dispositif. En effet, on l’a utilisé pour faire une prospection verticale dans une autre zone du
même terrain étudié précédemment. On a placé les électrodes d’une manière qu’elles forment un
carré de coté a=50m, et on les a liées au Syscal par des connecteurs et des fils des bobines
représentés dans l’image ci-dessus.

On suit la même procédure que celle de la prospection verticale (configuration, injection du


courant, et résultats), ensuite on effectue un changement de positionnement entre une électrode
émettrice, et une réceptrice, afin d’obtenir la nouvelle valeur de résistivité et par suite exploiter ces
résultats pour avoir la résistivité moyenne apparante, et le coefficient d’anisotropie apparent.
 La traîné électrique
Avec le même matériel qu’auparavant, cette fois-ci on fixe un espacement des électrodes A
et B constant et on déplace l’appareil et les électrodes selon une maille de points. C’est la traînée
électrique qui permet de caractériser une zone pour une profondeur à peu près constante. Il permet
une exploration horizontale du sol

 Outils utilisés

Pour réaliser les prospections on a fait recours à l’outil Syscal R1 Plus accompagné par des
électrodes et des connecteurs. Il s’agit d’un résistivimètre composé d’une unité centrale
combinant les fonctions d’injection de courant et de mesure de la différence de potentiel
engendrée. Les électrodes sont reliées à cette unité par le biais de câbles spéciaux (câbles multi
électrodes) branchés directement au dos de l’appareil.

L’appareil est piloté sur le terrain à l’aide d’un clavier en place sur la face. La première
opération à réaliser avant toute chose est de vérifier la charge des batteries de l’appareil (une
pour l’injection de courant et l’autre pour la réception), à l’aide du bouton BATT. Celle-ci doit
être comprise entre 50 et 100 % pour assurer la réalisation d’une mesure.

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