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Sobre Ideologia em Marx

Prise de notes

Pour lui l’ideologue c’est l’« autre ». La menace. | Pourtant il a une différence entre accusé
l’autre d’avoir une ideologie, ou plutôt, l’ideologie, et, reconnaitre la siene. Si on est dans la
demarche dans laquelle seulement l’autre a l’idéologie (comme l’instance oppressive que
maintien de la domination – les bolsonariens croient que le brésil marchait vers un socialisme
autoritaire), nous sommes dans une démarche Marxiste. Si nous reconnaissons que l’autre a
une ideologie et nous avons aussi une autre, c’est une autre demarche, celle de la
reconnaissence du positionemment.

En revanche, l’idéologue devient l’autre, ceux qui ne le sont pas d’accord avec.

La rhétorique fonctionne par l’opposition. Tout contre-discours est désigné comme un


« autre » illégitime, souvent un « ennemie » à être combattu. Ce qui est tellement idéologique.

C’est l’antiintellectualisme de bolsonaro. Il a tellement peur de comme les dernières


réflexions intellectuelles que lui il fait aussi um mouvement de reaction. La différence est que
sa voix ne vient pas parler par les dominées, mas celui des dominants.

S'agissant de l'Etat, c'est la relation dominant-dominé qui est en cause. L'lA laisse clairement
entendre que domination de l'idéalisme et domination de la bourgeoisie sont une seule et
même chose. Un pont est ainsi jeté entre l'idéologie et la position privilégiée d'une classe,
entre pouvoir matériel et pouvoir spirituel, donc également, en principe, entre la possibilité
d'une critique radicale, i.e. historiquement fondée, ou « scientifique », des idées dominantes et
celle de la révolution prolétarienne. (p.568)

La classe qui règne sur les rapports de production impose, grâce à l'Etat, sa domination sur
l'ensemble de la structure.
Podcast FSP | Café da manhã | 4 de janeiro |Introdução ao novo dicionário do governo B

Senso comum: conjunto de ideias, geralmente políticas, defendidas por uma pessoa ou
grupo

Marx: Un conjunto de ideias usadas por um grupo dominante pra subjugar os mais fracos,
que tenta mascarar a realidade para oprimir os dominados.

Sérgio Rodrigues

Ciência que estuda as ideias (?) ; Processo de produção de sentidos, signos e valores na vida
social ; Ilusão socialmente necessária

Marco Rodrigo Almeida (Significado e usos políticos) – Jornalista FSP

Termo complexo e com uma longa historia filosófica

Roberto Romano – Professor aposentado da Unicamp

Ideologia não é um termo binário, é uma ampla gama de opiniões que foram sendo
formadas ao longo da história política da humanidade, o que B praticou foi mais perto do
maniqueísmo.

Além de você ter uma redução do conceito de ideologia que é profundamente primitivo,
você não explica coisa nenhuma. Acabar com a ideologia? Como, se o próprio discurso dele
se manifesta como ideológico.

Marx foi o primeiro a “difamar” o conceito de ideologia, ou seja, atribuir esse caráter
negativo.

Jornalistas da FSP comentam...

Que antes era algo mais “neutro”, uma ciência que estuda as ideias e como os indivíduos
vêem o mundo a partir dessas ideias.
Naquele momento se livrar da ideologia era conseguir ver as coisas nitidamente. Que é
exatamente a visão do B.

Outros membros desse governo tratam a ideologia como algo do outro, do qual eles não
participam (risos).

Os especialistas comentam: o ideólogo é sempre o seu opositor, aquele com quem você não
concorda. Como se ele não tivesse uma ideologia, ou como se a ideologia dele estivesse
representando a realidade. Quando ele fala de ideologia, ele está se livrando dessa carga
semântica de que ele está perto dos fatos e os adversários estão mais próximos da fantasia.
O que é ideológico. B tem uma ideologia, que é de direita.

Stigmatisar o opositor

O professor Daniel comenta que o uso do termo socialismo, cai no velho habito populista de
criar fantasmas para combater. Pra animar seu publico, seus eleitores.

Francisco Razzo – Nova Direita, conservador

Daniel Arão Reis – Autor de livros sobre a esquerda no Brasil

Quando você ouve o B dizer essas coisas, não é que ele tá inventando apenas pra demonizar
os adversários. Ele acha mesmo isso. Ele está convencido de que isso representa uma
ameaça.

O jornalista da Folha compreende que a visão do bolsonaro é mais perto de uma visão
marxista de ideologia. Aquela de uma força superior, superior no sentido de dominante, que
tenta mascarar a realidade da sociedade. E que teria que vir alguém libertar o sujeito
alienado dessa ideologia. B atribui a seu governo esse papel.
Léxico Marx #2 | O conceito de IDEOLOGIA | Mauro Iasi

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=P6uQ1-KNSDw

O conceito surgiu no início do século 19, em 1796, criado pelo francês Destutt de Tracy , para
descrever a formação das ideias, das crenças que fornecem os pressupostos para a
interpretação dos fatos.

Karl Marx et Friedrich Engels. (1845-1846). A ideologia alemã.

A relação entre o âmbito ideal (as ideias) com a sociedade a qual ela se insere.

A ideologia deriva diretamente sobre as reflexões de Marx sobre alienação.

Alienação – As ideias dominantes, são as ideias da classe dominante (p.568). Mas essas
ideias da classe dominante, nada mais são do a expressão ideal das relações que fazem de
uma classe a classe dominante. As relações que fazem a classe dominante expressam em
ideias (p.570).

Funcionamento:

1 – Ocultamento – A ideologia é uma forma de consciência que oculta. Impede que as


determinações que existem sejam percebidas, sejam compreendidas.

2 – Naturalização – Defesa laudatória daquilo que existe. É assim porque assim deve ser.

3 – Apresentação daquilo que é particular como algo universal – A burguesia apresenta a sua
forma de estado como O Estado, a sua forma de família como A família, etc.

Pra Marx e Engels isso tem como função garantir e reproduzir o domínio de uma classe sobre
a outra.
Labica, G. (1999). Ideologie. G. Bensussan & G. Labica (Éd.), Dictionnaire critique du

marxisme (3e éd., p. 560-572). Paris, France : Presses universitaires de France.

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D’abord, les mots « idéologie » et « idéologiste » sont forgés par le philosophe français
Antoine Destutt de Tracy, en 1796, ayant été développé lors des cinq volumes de son œuvre
Éléments d’idéologie (1804-1815), pour désigner, en rupture avec la psychologie rationnelle,
la « science des idées ». C’est-à-dire les idées qui fournissent des présupposées pour
interpréter la réalité empirique.

Marx, qui avait lu au moins les IVe et Ve parties des Éléments de Destutt, en 1844, et Engels,
reprennent à leur compte le terme, retrouvant, sous l'effet de dérision partout admis, le souci
généalogique d'assigner aux idées leur origine.

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Idéologie nomme la connaissance spéculative qui croit que les idées « mènent le monde » ou
que « l'opinion fait l'histoire ». En ce sens, l'idéologique c'est le non-réel, ou l'an-historique,
ou, comme on dirait volontiers dans le langage postérieur, le non-infrastructurel.

Il ne fait pas de doute qu'elle a pour conséquence l'établissement, derrière l'opposition entre «
conception » matérialiste et « conception » idéaliste, d'un clivage radical entre science et
idéologie. Marx et Engels l'affirment explicitement : « C'est là où cesse la spéculation, c'est
dans la vie réelle que commence donc la science réelle, positive, l'exposé de la vie pratique,
du processus de développement des hommes. Les phrases de la conscience s'arrêtent, un
savoir réel prend leur place » (lA 51; 27). Science, comme science historique de la produc-
tion des idées, et idéologie sont le négatif l'une de l'autre.

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Et lorsque leurs brumes se dissipent, il devient clair que les hommes ne font pas une
multiplicité d'histoires distinctes - du droit, de la morale, de la philosophie, etc. - mais une
seule histoire, celle de leurs rapports sociaux, conditionnés par l'état des forces productives à
chaque instant.
« Ce qu'on appelle idéologie, c'est seulement le reflet multiforme dans les esprits de cette
histoire une et indivisible » (ibid., p. 264).

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La sémiologie (voir les premiers textes de Barthes, mais déjà la déf. de M. Bakhtine : « La
réalité des phénomènes idéologiques est la réalité objective des signes sociaux. Les lois de
cette réalité sont les lois de la communication sémiotique et sont directement déterminées par
l'ensemble des lois sociales et économiques. La réalité idéologique est une superstructure
située directement au-dessus de la base économique. La conscience individuelle n'est pas
l'architecte de cette superstructure idéologique, mais seulement un locataire habitant l'édifice
social des signes idéologiques », Le marxisme et la philosophie du langage, Paris, Ed. de
Minuit, 1977, p. 31).

3 / Classes et idéologies

a / L'existence de classes dans la société

Les classes n'occupent pas, dans la production, des places semblables. L'une domine, les
autres sont dominées. L'exercice de la domination c o n c e r n e à l a fois l a production
matlrielle e t l a production intellectuelle (geistige) (lA, 75 et s.; 46 et s.). Traduisons: le
pouvoir économique est aussi le pouvoir idéologique. Complétons : et le pouvoir politique. «
Les pensées dominantes ne sont rien d'autre que l'expression idéelle (ideelle) des rapports
matériels dominants, ces rapports matériels dominants saisis en tant que pensées. » Les
individus, membres de la classe dominante, qui déterminent ces rapports matériels, du même
coup « règlent la production et la distribution des pensées de leur époque ». Ces propositions
posent clairement une identité. Elles paraissent refuser, si minime soit-elle, une distance entre
le réel et sa représentation; les idées, des marchandises parmi d'autres; l'idéologie, pas m~me
une fumée. Interprétation aplatis- sante, évacuée dans l'instant même où elle se fait jour : les
rapports matériels, qui confèrent à une classe sa position dominante, suscitent, de sa part, une
vision de ces rapports; elle ne peut qu'elle ne pense sa propre situation. «Ce sont les idées de
sa domination »; les idées qu'elle se fait de sa domination, qui ont pour fonction de la justifier
à ses propres yeux comme à ceux des classes qu'elle domine.

C'est dire que, si les idées dominantes, pour une époque et une classe déterminée, ont toujours
à se faire reconnaître en tant que telles - dominantes, l'opération sera d'autant plus difficile, et
partant plus nécessaire, que la base matérielle, qui fonde la domination, sera moins large.
La distance revient ici, fortement : l'intérêt de la classe dominante, qui se confond le plus
souvent avec ce qu'elle « s'imagine » être, doit être présenté comme l'intérêt collectif, ou, «
pour exprimer les choses sur le plan des idées : cette classe est obligée de donner à ses
pensées la forme de l'universalité ». Le détachement de l'idéologie trouve là son principe.

Il explique et l'illusion et l'inversion, « non pas le système des rapports réels qui gouvernent
l'existence des individus, mais le rapport imaginaire de ces individus aux rapports réels sous
lesquels ils vivent » (L. Althusser, Positions, Paris, ES, 1976, p. 104). Porté à son comble, il
aboutit à la conscience d'une autonomie des caté- gories. « On pourra alors dire, par exemple,
qu'au temps où l'aristocratie régnait, c'était le règne des concepts d'honneur, de fidélité, etc., et
qu'au temps où régnait la bourgeoisie, c'était le règne des concepts de liberté, d'égalité, etc. »
La conception idéaliste de l'histoire enregistre ce phéno- mène et en fait son point de départ. Il
ne lui reste plus qu'à déduire la société ciuile de la catégorie qui l'incarne et des formes de
conscience qu'elle a elle-même enfantées. Autrement dit, « elle croit chaque époque sur
parole, sur ce qu'elle dit d'elle-même et pour quoi elle se prend » (lA, 79; 49).

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[…] sa marchandise est en rapport avec l'universel (ibid.). L'autonomie de la profession ne


joue pas indépendamment de l'existence des classes. Elle se combine avec elle, car les
conditions personnelles sont devenues les conditions communes et générales, pour toute
classe, et l'individu leur est subordonné, comme la politique l'est au commerce (394; 342).

c / Le rôle des idéologues

On retrouve la division du travail, qui ne se manifeste pas seulement dans la division de la


société en classes et la répartition des individus dans des emplois différents. Qui traverse aussi
les classes. Qui crée, au sein de la classe dominante, une dichotomie entre « travail
intellectuel et matériel» (76; 46), entre penseurs et acteurs ou, plus exactement dit, entre «
concepteurs idéologiques actifs» (die aktivm konzeptiven Ideologen) et « récepteurs passifs»
(mehr, - plus -, passiv und rezeptiv) (ibid.).

Toute classe dominante possède ainsi ses professionnels du détachement, ses travailleurs de
l'universel. Hommes de religion, hommes d'Etat, juristes, moralistes (108; 539), lucides ou
non quant à leur fonction, dans leur ombre, l'industriel tire profit de travaux qu'il n'accomplit
pas, le commerçant fait circuler des richesses qu'il n'a pas créées. Le capitaliste a deux fois
besoin du juge, pour faire consacrer par tous la légalité qui ne sert que sa classe, pour s'offrir à
lui-même l'illusion qu'elle est éternelle.

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