Ouyrages de Jean Preti et cenx dont il a le dépot. @Echees, par l'abbé Doraxp, Lovis Merron et Jean Pre ‘Traité complet, théorique et pratique sur tes fing de parties, en deux yolumes, par. Parti. Premier volume... . 12» Reeuell @'Etudes progressives sur ies flag de parties composées seulement du Roi et des Pions. Second volume. . . . 6 » Cheix des Parties es plus remarquables jouées par Paul Morphy, recueillies par J. Paert Collection du Palaméde Labourdonnais, 3 volumes (épuise), Collection du Palaméde Saint-Amant, 7 vol. Collection de In Régence Kiéséritzky, 3 vol. La Régence, Anxous pe Rivitur, t vol. Eneyclopédie des Echees, par Avexapne. . . 30» Collection de 2,000 Problémes, parle Méme. . 20» ‘Tralee des Eehees, par W. Lavis, traduit dle Vanglis par Wircome. . . Ue Ea Soe aeew ae 50 Parties par Kina ae ‘Wraité du comte px Basterot, « 14>, Stratégie raisonnée des Ouvertures du jeu i ‘Fraité par A. de R. eens) SED Regles du Jeades Echees.. . | | | | 2 Méthode élémentatre, par M.Visuue, - |.) ts t Recueils de Problémes, par P. Jovxouv, . . . 3.50 : Problémes d’Echees, par Avauste p'Onvituz. . . 2 50 La Rivista Degli we 1839, re ‘8. Dopois et A. Pennants. Ri 15» t La Nouvelle Regence, rerng mensuello des Kehces, par P.Jourxovn. . . ss Bi 20 ce | — Les années 1800 e4/1861, par lo Mime... 18 t t Sous presse. — Stratégic raisonnée des Parties a” fi avantage, pir fabbé Duxann, Lovis Merroy et Jras PartiTRATHGIE RAISONNEE U D'ECHECS ), LOUIS METTON xm JEAN PRETL. Lestichecs sont une science.) (temoxrm), pias cocy Liggpean Stee is 1 _ In'est pas de joueur d’éeheos quine soit fler de cette décision fa- meuse de Leibnitz : « Les Echees sont une science ; mais ce mot, répété pat tous les échos, ‘s-t-il toujours été bien compris? te © Pour nous en assurer, reportons-nous a la défnition de la\science: llo-méme. Qu’est-ce done qu'une science proprement dite, sinon wa ‘ensemble de principes qui sont la raison d'éire de tous tes\faite quien daterminent Tobjet ot le mites.” > ab “Los Eiehees ne sont done ane’seienice que sila théorie parvient & rittacher les faits'& des principesgénéramx jcar il faut convenir avee Taeniscli, que Jes principes’seuls constituent le domaine d'une scienca. La science de J'architeeture ‘ne réside pas dans les matériaux qui'rom= ‘posent Iédifiee ; elle est tout entiére dans l'art qui les distribue et les ‘eoordonne pour en faire une ceuvre'parfaite : Hl en est ainsi de toute science, i] en doit étré ainsi des Rehees. b ‘Ace propos; Leibmitz-a:émis im voeu qui a pu sembler singulier 4 plus d'un lecteur : « Je voudrais, dit-il, voir paraitre un ouvrage qui, sans se borner a donner la mécanique des jeux, remontit aux lois qui en Sont comme la séve et la'vie; et il ajonte’:‘on ne sefigure pas com- ‘Dien de ‘ressources I'on'y trouverait pour les'découvertes utiles. La rai~ fon qu'il en'donne, c'est que Vhomme est bien plus ingénicux dans ‘Yes jeux qui le divertissent que dans les affaires qui Ie préoccupent. Mais, selon Tui,’de tots les joux, los Fehees sont colui-qui se proterait ‘le mieux & ce travail scientifique. oer ‘Tolle est la ‘sottred'"4 Iaquelle nous avons puiséta pensée d’an-ou- rage rédigé @oprés un plan (out nouveau, oit, non content.de tivrer au lecteur des faits purement matétiels, Yon s'appliquat, avant tout, 4 les _ Telier aux principes dont flssont 1a conséquence; car nous sommes convainens que J'hahitude de procéder toujours appuyé sur le raison~ nement, de ne pas faire un pas sans s'en demander le pourquoi, est Je seul moyen de pénétrer rapidement dans Jes profondeurs d'un jeu dont les combinaisons dépasseront toujours Ia portée de V'intelligence humaine: 4864