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Comparaison des systèmes

successoraux dans diffèrent


pays

L
a "Succession" dite aussi "patrimoine successoral, est le nom donné à
l'ensemble des biens, des droits et des actions qui appartenaient au
défunt à la date de son décès et dont les divers éléments le
composant, reviennent, aux personnes appelées à hériter. Le "droit
des successions" régit les rapports qu'entretiennent ses héritiers entre eux, et
les rapports qu'en cette qualité, ils entretiennent avec les tiers. Le mot désigne
aussi le mécanisme juridique par lequel s'opère tant activement que
passivement le transfert de ces droits, du patrimoine du défunt à celui de ceux.
Qui héritent
Le livre VI du code de la famille de 2004 régit les règles successorales au
Maroc. Pour les musulmans, c'est le droit musulman de rite malékite qui
s'applique. Il est à dominante agnatique. Autrement dit, les personnes de sexe
mâle ont une vocation d'héritiers universels et peuvent recueillir la totalité de la
succession. Quant aux femmes, elles héritent de parts fixes et subsidiaires, elles
sont dites héritières fard.
Leurs quotes-parts sont calculées selon leur lien de parenté avec le parent
décédé. En l'absence d'un frère, elles ne peuvent épuiser le reste de l'héritage
et cèdent la place à membres mâles de la famille, souvent éloignés. Une autre
règle joue un rôle important dans la succession, c'est celle du double, par
laquelle la fille hérite la moitié de la part qui revient à son frère. Par ailleurs,
l'ordre successoral en droit musulman ne peut être modifié. Cependant, le
musulman a le droit, de son vivant, de vendre ou de donner ses biens selon sa
volonté. Comme on peut le remarquer de la lecture du verset 11 de Surat al
baqara :
« Voici ce que Dieu vous enjoint au sujet de vos enfants : au
fils, une
Part équivalente à celle de deux filles. »

En France le partage des biens met fin à l'indivision. Il peut être amiable ou
judiciaire (en cas de mésentente entre les héritiers). Tout héritier peut
demander le partage. Certains héritiers peuvent demander à se faire attribuer
en priorité certains biens du défunt. Des frais sont à payer si le partage se fait
par acte notarié.
Le partage amiable suppose en principe que tous les héritiers soient d'accords
pour sortir de l'indivision. Toutefois, si un héritier refuse de participer au
partage, les autres héritiers peuvent le mettre en demeure, par acte d'huissier,
de se faire représenter au partage amiable par la personne de son choix.
Si l'un des héritiers est un enfant mineur ou un majeur protégé ou s'il est
présumé absent, le partage amiable est possible mais avec des aménagements.
Le recours à un notaire est obligatoire si la succession comporte un bien
immobilier.
La Réalisation du partage consiste à attribuer à chaque héritier des biens pour
une valeur égale à celle de ses droits dans l'indivision. Les héritiers composent
des lots correspondant aux droits de chacun. Ils répartissent les lots entre eux
d'un commun accord ou par tirage au sort. Les lots peuvent être de valeur
inégale à condition de verser en compensation une somme d'argent
(appelée soulte) aux héritiers concernés.
Lorsque le partage amiable n'est pas possible (par exemple en cas d'opposition
d'un des indivisaires), il faut saisir le tribunal de grande instance du lieu de
l'ouverture de la succession.
Si la situation est simple, le juge ordonne le partage.
Pour une succession complexe, le tribunal désigne un notaire pour réaliser les
opérations de partage et un juge pour surveiller ces opérations. Si un héritier
demande l'attribution préférentielle de certains biens, le juge tranche au cas
par cas. À tout moment, les héritiers peuvent abandonner la procédure
judiciaire et poursuivre le partage à l'amiable si les conditions sont réunies.

Concernant le statut des héritiers, Dans le système successoral musulman,


l’héritier n’est qu’un successeur aux biens, chargé de la liquidation de la
succession, dans l’intérêt des créanciers héréditaires. Il est investi de plein droit
de la propriété des biens de la succession sans avoir à solliciter du juge un envoi
en possession, On ne peut dire qu’il ait la saisine, car rien ne montre que
l’exercice des actions possessoires lui appartienne de plein droit. Mais il n’est
certainement pas le continuateur de la personne du de cujus ; il n’est tenu des
dettes héréditaires que jusqu’à concurrence de la valeur des biens qu’il
recueille.
Pour les musulmans, le rapport d’obligation est strictement personnel ; le
créancier ne connaît et ne peut connaître, en principe, que son débiteur.
L’héritier du défunt n’étant pas le débiteur personnel du créancier, celui-ci n’a
aucune action contre lui. Il n’a et ne peut avoir d’action que sur les biens laissés
par son débiteur. Le législateur musulman se trouvait ainsi amené à prendre
des mesures pour sauvegarder les droits des créanciers de la succession et
empêcher que les biens constituant leur seul gage ne se confondent avec ceux
des héritiers.
Pour hériter, la personne doit exister, c'est-à-dire être née ou ayant été
conçue à la date du décès naître viable, et ne pas être exclu de la succession
pour indignité. Classement des héritiers par ordre de priorité, Lorsque le défunt
n'a pas fait de testament, c'est la loi qui désigne ses héritiers et les classe par
ordre de priorité. On parle de dévolution légale.
Les héritiers succèdent selon l'ordre suivant, Les enfants et leurs
descendants (aucune distinction ne doit être faite entre eux quel que soit le lien
qui unit les parents).
Les parents, les frères et sœurs et les descendants de ces derniers Les
ascendants autres que les parents Les collatéraux autres que les frères et sœurs
et les descendants de ces derniers. Chacune de ces 4 catégories constitue un
ordre d'héritiers qui exclut les suivants. Ce sont les héritiers les plus proches en
degré de parenté qui héritent et qui excluent les autres. Toutefois, la règle de la
représentation permet aux descendants d'un héritier déjà décédé de recueillir
sa part d'héritage.
Place particulière de l'époux, Le veuf/ve hérite dans tous les cas, mais sa
part sur la succession du défunt dépend de plusieurs facteurs :Présence
d'autres héritiers au jour du décès, en particulier si le défunt avait des enfants
ou pas Régime matrimonial des époux (communauté réduite aux acquêts ou
contrat de mariage)Existence d'un testament ou d'une donation entre époux.

Enfin en ce qui concerne le régime du testament, La validité d’un


testament dépend tout d’abord de la capacité du testateur à établir un
testament.

Le droit français comme le droit musulman exige que le testateur


soit majeur et jouisse de ses facultés mentales. Le consentement est à la
base de tout acte juridique, par conséquent le code civil est très exigeant
en ce qui concerne l’intégralité des facultés mentales du testateur. Le
testateur doit être sain d’esprit afin que sa volonté soit claire et
déterminée.

Toutefois, le droit français apporte quelques assouplissements puisqu’il


permet par exemple à une personne mineure d’établir un testament sur la
moitié de son patrimoine et non pas la totalité.

Un seconde similitude du droit français et du droit musulman réside dans


l’interdiction de tester un bien illicite.

Certes la notion de biens illicites est très différentes selon que l’on se
place du point de vue du droit français et de la législation musulmane
mais dans les deux cas le caractère illicite d’un bien entraîne la nullité de
cette disposition testamentaire.
Ainsi le droit français considérera comme illicite des biens provenant d’un
recel ou un bien grevé d’une servitude (ex : un immeuble hypothéqué) car
nul ne peut transmettre à autrui plus de droit qu’il n’en a lui-même.

Selon le droit musulman seront considérés illicites des biens acquis selon
des règles contraires à l’Islam (par exemple des revenus grevés de taux
d’intérêts).

Les deux législations établissent des restrictions quant aux bénéficiaires


du testament.

L’article 727 du code civil exclut notamment des successions toute


personne qui aura donné ou tenté de donner la mort au défunt ou qui aura
porté contre le défunt une accusation grave et calomnieuse.

Un hadith rapporté par Ibno Abdilbirr avait déjà posé cette restriction de
l’article 727 du code civil : Le Prophète a dit : " L’assassin n’a
nullement droit à la succession de sa victime ".

D’autre part, le non croyant ne peut hériter d’un Musulman et


inversement : " L’infidèle n’a pas droit à la succession d’un Musulman, ni
ce dernier à la succession d’un infidèle ", rapporté par Boukhari et Moslim.

Le droit musulman s’oppose également à ce qu’un testament soit établit


au profit d’un culte non musulman ou à des institutions dont l’objet est
immoral (institutions de débauche ou jeux de hasard).

Toutefois Testament du droit français et testament musulman se différencie


avant tout dans leur philosophie.
Si le testament du droit français est avant tout une manifestation de volonté
d’une personne à l’égard de tierces personnes, le testament musulman est une
manifestation de la soumission d’un croyant à son créateur.
Ce dernier est un véritable engagement moral qui dépasse la simple
transmission de biens, il comporte les dernières volontés du croyant défunt qui
pourra préciser les conditions de son enterrement, confier le soin de veiller sur
quelqu’un, charger une personne de régler une dette ou un litige.
Ainsi, alors que le testament en droit français est une simple faculté (les
dispositions du code civil s’appliquent automatiquement en l’absence de
testament), l’Islam en fait un acte quasi obligatoire : " Il est du devoir de tout
Musulman qui a un legs à faire connaître, de ne pas laisser passer deux nuits
consécutives sans le sanctionner par un testament écrit, déposé sous son
oreiller ", rapporté par Bokhari et Moslim.
Le testament du croyant est la dernière oeuvre qu’il laisse dans ce bas monde
alors qu’il n’en fait plus partie, oeuvre qui pourra intercéder en sa faveur au
jour du jugement dernier : "Homme ! deux sources bénéfiques sont pour toi
alors que tu n’y es pour rien : je t’ai accordé une partie de tes biens après ta
mort pour te purifier et rendre meilleur et la prière de mes serviteurs pour toi
quand tu n’es plus de ce monde."
Le testament est une bénédiction accordée par le Créateur car il permet au
défunt de voir ses oeuvres se poursuivrent après son décès.
La mort peut surprendre le croyant à tout moment, c’est la raison pour laquelle,
il doit se protéger d’un manquement à un devoir qu’il aurait contracté durant sa
vie (dette, dépôt, promesse) par la production d’un testament.
L’Islam mettant l’accent sur l’obligation et le devoir du croyant, il est intéressant
de remarquer que le testament ne sera exécuté que lorsque les dettes du
défunt seront réglées.
La législation française considère, elle, que la transmission du patrimoine
comprend le passif (dettes) et l’actif (biens) ; contrairement au principe de
l’Islam la jouissance du passif n’est pas conditionnée par l’apurement des dettes
contractées par le défunt.
Cette situation aboutit à ce que si l’héritier est insolvable ou malveillant (il
organise son insolvabilité), la dette du défunt ne sera jamais réglée.
Le droit français est entièrement tourné vers la situation des héritiers alors que
le droit musulman accorde une importance particulière au défunt dont les
dernières volontés sont un dépôt dans les mains des héritiers et de l’exécuteur
du testament. L’exécuteur testamentaire sait que la mission qui lui est confiée
est cruciale et qu’il aura des comptes à rendre sur la façon dont il aura géré ce
dépôt.
C’est d’ailleurs pour cette raison que la personne chargée de l’exécution du
testament doit être une personne musulmane.
On retrouve là de façon implicite, une notion essentielle de l’Islam : l’intention
qui préside tous les actes du croyant et la sincérité des actes accomplis dans
l’unique but de satisfaire le Très Haut.
Alors que le non croyant peut subtilement profiter des imperfections de l’ordre
juridique pour détourner une règle de droit, le croyant a conscience que rien
n’échappe à son Créateur et qu’Il sait mieux que tous ce que cache les poitrines
Annexe et référence :

a) Le Coran

« On vous a prescrit, quand la mort est proche de l’un de vous et s’il La


laisse des biens, de faire un testament en règle en faveur de ses père
et mère et de ses plus proches. C’est un devoir pour les pieux. vache180/181/182
Quiconque l’altère après l’avoir entendu, le péché ne reposera que sur
ceux qui l’ont altéré; certes, Allah est Auditent et Omniscient. Mais
quiconque craint d’un testateur quelque partialité (volontaire ou
involontaire), et les réconcilie, alors, pas de péché sur lui car Allah est
certes Pardonner et Miséricordieux »
« Il y a parmi les gens celui dont la parole sur la vie présente te plaît, La vache240
et qui prend Dieu à témoin de ce qu'il a dans le cœur, tandis que c'est
le plus acharné disputeur. »
« Aux hommes revient une part de ce qu'ont laissé les père et mère Les femmes7 et8
ainsi que les proches; et aux femmes une part de ce qu'ont laissé les
père et mère ainsi que les proches, que ce soit peu ou beaucoup :
une part fixée. Et lorsque les proches parents, les orphelins, les
nécessiteux assistent au partage, offrez-leur quelque chose de
l'héritage, et parlez-leur convenablement. »
« Voici ce que Dieu vous enjoint au sujet de vos enfants : au fils, une Les
part équivalente à celle de deux filles. S'il n'y a que des filles, même
plus de deux, à elles alors deux tiers de ce que le défunt laisse. Et s'il femmes11 et 12
n'y en a qu'une, à elle alors la moitié. Quant aux père et mère du
défunt, à chacun d'eux le sixième de ce qu'il laisse, s'il a un enfant.
S'il n'a pas d'enfant et que ses père et mère héritent de lui, à sa mère
alors le tiers. Mais s'il a des frères, à la mère alors le sixième, après
exécution du testament qu'il aurait fait ou paiement d'une dette. De
vos ascendants ou descendants, vous ne savez pas qui est plus près
de vous en utilité. Ceci est un ordre obligatoire de la part de Dieu, car
Dieu est, certes, Omniscient et Sage (11). Et à vous la moitié de ce
que laissent vos épouses, si elles n'ont pas d'enfants. Si elles ont un
enfant, alors à vous le quart de ce qu'elles laissent, après exécution
du testament qu'elles auraient fait ou paiement d'une dette. Et à elles
un quart de ce que vous laissez, si vous n'avez pas d'enfant. Mais si
vous avez un enfant, à elles alors le huitième de ce que vous laissez
après exécution du testament que vous auriez fait ou paiement d'une
dette. Et si un homme, ou une femme, meurt sans héritier direct,
cependant qu'il laisse un frère ou une soeur, à chacun de ceux-ci
alors, un sixième. S'ils sont plus de deux, tous alors participeront au
tiers, après exécution du testament ou paiement d'une dette, sans
préjudice à quiconque. (Telle est l') Injonction de Dieu ! Et Dieu est
Omniscient et Indulgent.»
« Ils te demandent ce qui a été décrété. Dis : « Au sujet du défunt qui Les femmes176
n'a pas de père ni de mère ni d'enfant, Dieu vous donne Son décret :
si quelqu'un meurt sans enfant, mais a une soeur, à celle-ci revient la
moitié de ce qu'il laisse. Et lui, il héritera d'elle en totalité si elle n'a
pas d'enfant. Mais s'il a deux sœurs (ou plus), à elles alors les deux
tiers de ce qu'il laisse; et s'il a des frères et des sœurs, à un frère
alors revient une portion égale à celle de deux sœurs. Dieu vous
donne des explications pour que vous ne vous égariez pas. Et Dieu est
Omniscient. »
« Ô les croyants ! Quand la mort se présente à l'un de vous, le
testament sera attesté par deux hommes intègres d'entre vous, ou
deux autres, non des vôtres, si vous êtes en voyage dans le monde et
que la mort vous frappe. Vous les retiendrez (les deux témoins), après La table
la Salat, puis, si vous avez des doutes, vous les ferez jurer par Dieu :
« Nous ne faisons aucun commerce ou profit avec cela, même s'il servie 106
s'agit d'un proche, et nous ne cacherons point le témoignage de Dieu.
Sinon, nous serions du nombre des pêcheurs ».
« Cependant ceux qui sont liés par la parenté ont priorité les uns Le butin
envers les autres, d'après le Livre de Dieu. Certes, Dieu est
Omniscient. »
75
« Qui hérite de moi et hérite de la famille de Jacob. Et fais qu'il te soit Marie
agréable, ô mon Seigneur ».

6
« Et Salomon hérita de David » La fourme
1
« Le Prophète a plus de droit sur les croyants qu'ils n'en ont sur eux- Les coalisés
mêmes; et ses épouses sont leurs mères. Les liens de consanguinité
ont [dans les successions] la priorité [sur les liens] unissant les
croyants [de Médine] et les émigrés [de la Mecque] selon le livre de 6
Dieu, à moins que vous ne fassiez un testament convenable en faveur
de vos frères en religion. Et cela est inscrit dans le Livre »

b) Le hadith

Rapporteur Hadith
Ibn Maja et Daraqutni » Apprenez les faraîd et enseignez les, car c'est la moitié de la science.
d'après un hadith d'Abu Ils seront oubliés et seront la première chose qui sera ôter à ma
Huraîra communauté «
Rapporté par Ahmed Zaîd est le plus connaisseur d'entre vous de la science des Faraîd «
d'après une chaîne
authentique et chez
Tirmidhi d'après
un hadith excellent
Abu Dawud » La science se subdivise en 3 parties et le reste n'est que redondance
: un verset précis ou une sunna en vigueur ou une farida juste »
Muslim et autres » Un musulman se doit, s'il a un testament à faire, de ne dormir deux
nuits, et dans une autre version, trois nuits, que si son testament est
écrite chez lui »
Abu Dawud, Tirmidhi et Ibn » La veuve de Sa'd bnou r-Rabi' vint voir l'Envoyé de Dieu (QPSL) et
Maja lui dit : oh Envoyé de Dieu :

Voici les deux filles de Sa'd bnou r-Rabi'. Leur père est tombé martyr
avec toi à la bataille d'Ouhoud et leur oncle leur a tout pris sans rien
leur laisser. Et elles ne peuvent se marier sans argent.

Il lui dit : "Dieu en décidera".

C'est alors qu'est descendue la sourate de l'héritage. L'Envoyé de Dieu


(QPSL) a alors fait dire à leur oncle : "Donnes aux deux filles de Sa'd
les deux tiers, leur mère le huitième et gardes le reste" »

Sahih Bukhari, livre des » L'enfant revient à celui qui a partagé la couche de sa mère »
Faraîd, chapitre L'enfant de
la couche, d'après d'Abou
Huraîra
Muwatta', Malik m'a » Un homme accusa son épouse d'adultère du temps du Prophète
rapporté d'après Nafi' (QPSL) et désavoua son enfant. Le Prophète (QPSL) les a séparés et
d'après Ibn 'Umar, que rattacha l'enfant à la mère »
Dieu les agrées :
Chawkani, la quête du » Un homme vint voir le Prophète (QPSL) et lui dit :
savoir et les rangs des
élèves. L'art d'apprendre et Mon fils est décédé, quelle est ma part de son héritage ?
le summum de la finesse.
'Imran bnou Husayn Il lui répondit : "le sixième".

Lorsqu'il est reparti, Il le rappela et rajouta : "tu as droit à un autre


sixième".

Lorsqu'il partit, il le rappela à nouveau et lui dit : "l'autre sixième est


un moyen de subsistance" »
Tirmidhi d'après 'Umar » Dieu et son Envoyé sont les défenseur de ceux qui n'ont en pas et
bnou l-Khattab qui écrivit à l'oncle est l'héritier de celui qui n'en a pas »
'Ubayda que l'Envoyé de
Dieu (QPSL) a dit :
Muwatta', chapitre l- »L'Envoyé de Dieu (QPSL) a dit : " Tu sera rétribué pour chaque
Aqdiyya, le testateur ne dépense faite dans le but de plaire à Dieu, même la nourriture que tu
peut dépasser le tiers, procure à ton épouse".
d'après Sa'd Ibn Abi
Waqqas Sa'd a dit : j'ai dit : oh Envoyé de Dieu : puis je faire un legs à mes
Compagnons ?

L'Envoyé de Dieu (QPSL) lui répandit " Si tu fais un legs, en en faisant


une bonne action, cela ne fera que rehausser ton rang et ton prestige.
Et si tu fais un legs, des gens en profiteront et d'autres en pâtiront.
Oh mon Dieu, Fais profiter mes Compagnons de leur émigration et ne
les déçoit point" »
D'après l'ensemble des » l'Envoyé de Dieu (QPSL) est venu me visiter suite à une douleur qui
traditionnistes d'après Sa'd ma pris. Je lui ai alors dit : oh Envoyé de Dieu : ma douleur s'est
Ibn Abi Waqqas qui a dit : aggravée comme tu le constate et j'ai des biens et je n'ai comme
héritier qu'une fille. Puis je léguer les deux tiers de mes biens ?

Il répondit : " non".

J'ai dit : la moitié oh Envoyé de Dieu ?

Il répondit : " non".

J'ai dit : le tiers.

Il répondit : " le tiers et le tiers c'est beaucoup ou énorme. Si tu


laisses tes héritiers riches c'est mieux que de les laisser pauvres,
mendiant les gens ». Et il y a un rajout dans la version du Muwatta' tu
sera rétribué pour chaque dépense faite dans le but de plaire à Dieu
D'après 'Amrou bnou » Dieu à donné à chaque ayant droit sa part, nul legs pour un héritier.
Kharija, les cinq à »
l'exception d'Abu Dawud et
authentifié par Tirmidhi

c) La Sunna

Rapporteur Hadith
L'ensemble des traditionnistes » Personne ne nous hérite [les prophètes], ce que nous
d'après Abou Bakr Siddiq : laissons est une aumône. Mais la famille de Muhammad
(QPSL) mange de cet argent. »

L'ensemble des traditionnistes » Je suis plus responsable des croyants que d'eux même. Si
d'après Abou Hurayra : l'un d'entre eux venait à décéder et a laissé une créance sans
laisser de quoi la régler, nous la réglerons et celui qui a laissé
des biens, ils reviennent à ses héritiers. »
L'ensemble des traditionnistes » Donnez à chaque ayant droit sa part, le reste revient à
d'après Abou l'Abbas : l'homme le plus proche »
Ahmed, Tirmidhi et Ibn Maja » Vous lisez ce verset : » Après exécution du testament qu'il
d'après 'Ali, Que Dieu l'agrée, il a aurait fait ou paiement d'une dette » et l'Envoyé de Dieu
dit : (QPSL) a décrété que la dette doit être acquittée avant
l'exécution du testament. Et que les fils utérins héritent au
détriment des fils consanguins : L'homme hérite son frère de
son père et sa mère au détriment de son frère de son père" ».
L'ensemble des traditionnistes à » On questionna Abou Mousa au sujet de la fille, la fille du fils
l'exception de Muslim et n-Nasaî et la sœur, il répondit :
d'après Huzaîl bnou Shurahbil :
La fille a droit à la moitié et la sœur, la moitié, mais allez
poser la question à Ibn Mas'ud. On questionna ce dernier en
l'informant du dire d'Abou Mousa, il répandit :

"Je me suis trompé et je ne suis pas parmi les bien guidés". Je


statut sur cette question en prenant exemple sur le Prophète
(QPSL) :" la fille a droit à la moitié, la fille du fils a droit au
sixième pour compléter les deux tiers et le reliquat revient à la
sœur";

Ahmed et Bukhari rajoutèrent : Nous sommes revenu chez


Abou Mousa pour l'informer du dire d'Ibn Mas'ud, il répandit
alors :

Ne me questionnez point du moment que ce grand érudit est


parmi vous »
Malik dans le Muwatta' d'après Ibn » Il te suffit de cela, le verset qui est descendu en été à la fin
'Umar bnou l-Khattab qui a de la sourate des Femmes »
questionné l'Envoyé de Dieu (QPSL)
au sujet du défunt qui n'a pas de
père, ni mère ni enfant. L'Envoyé
de Dieu (QPSL) lui répandit :
Malik dans le Muwatta' et les cinq à : D'après Qubaysa bnou duayb a dit
l'exception de Nasaî et authentifié
: par Tirmidhi Une grand-mère vint voir Abou bakr et lui réclama sa part de -
: lhéritage, il lui dit

Le Coran ne t'octroie rien et je n'ai pas connaissance que la -


Sunna de l'Envoyé de Dieu (QPSL) te donne quoique ce soit,
.reviens jusqu'à ce que je questionne les gens

: Il questionna les gens et l-Mugira Bnou Shu'ba lui dit

J'ai été témoin que l'Envoyé de Dieu (QPSL) lui donna le -


.sixième

? Il lui dit : y a-t-il quelqu'un d'autre pour confirmer tes dires

.Muhammad bnou Maslama l-Ansari s'est levé et dit pareil

Ensuite, vint l'autre grand-mère chez 'Umar et lui réclama sa


: part d'e léritage, il dit alors

Le Coran ne t'octroie rien, mais c'est le sixième. Si vous êtes -


deux, vous vous le partagez et celle d'entre vous qui reste, il
« lui revient [en totalité]
Abu Dawud d'après Burayda » Le Prophète (QPSL) a octroyé le sixième à la grand-mère, en
l'absence de la mère »
Daraqutni, [hadith] sans chaîne » L'Envoyé de Dieu (QPSL) a donné le sixième à trois grands-
d'après 'Abd Rahman bnou Zayd a mères, deux du côté du père et l'une du côté de la mère. »
dit :
Malik dans le Muwatta' d'après l- » Deux grands-mères vinrent voir Abou Bakr Siddiq. Il voulut
Qasim bnou Mohammed qui a dit : donner le sixième à celle du côté de la mère, un des hommes
des Ansar lui dit :

Tu déshérite celle, si elle venait à décéder et qu'il [son petit


fils] était vivant, il aurait hérité de sa grand-mère. Alors Abou
Bakr leur octroya à toutes les deux le sixième »
Ahmed et Abu Dawud d'après Ibn »L'Envoyé de Dieu (QPSL) a dit : " nul fornication en Islam.
'Abbas qui a dit : Celui qui a forniqué dans la Jahiliya, l'enfant revient au maître
de la mère adultère. Et celui qui revendique la paternité d'un
enfant sans mariage ; il n'hérite pas et on n'hérite pas de
lui »
Tirmidhi d'après 'Amrou bnou » Tout homme a forniqué avec une femme libre ou esclave,
Shu'ayb d'après son père, d'après l'enfant est un bâtard ; il n'hérite pas et on n'hérite pas de
son grand père que le Prophète lui »
(QPSL) a dit :
Abu Dawud d'après 'Amrou bnou » A octroyé l'héritage du fils dont la mère a été répudiée pour
Shu'ayb d'après son père, d'après accusation d'adultère à celle-ci et à ses héritiers après elle.»
son grand père que le Prophète
(QPSL) :
Abu Dawud d'après Abou Hurayra » Dès que le nouveau né, apparaît, il hérite »
d'après le Prophète (QPSL) :
Malik dans le Muwatta', chapitre » Le musulman n'hérite pas du mécréant et le mécréant
L'héritage des gens d'autres n'hérite pas du musulman »
religions, l'ensemble des
traditionnistes à l'exception de Et dans la version du Sahih de Bukhari :
Muslim et Nasaî d'après Usama
bnou Zayd d'après le Prophète » Le musulman n'hérite pas du mécréant, ni le mécréant du
(QPSL) : musulman »

Malik dans le Muwatta', Ahmed et » L'assassin est exclu de l'héritage »


Ibn Maja d'après un hadith de
'Umar Bnou l-Khattab que le
Prophète (QPSL) a dit :

d) Le Consensus des compagnons

» Faire hériter le grand-père du côté du père et le substituer au père en l' absence du père, des
frères germains ou consanguins ».
» Substituer le fils du fils, même s'il est du dernier rang, à la place du fils et la fille du fils, même si
elle est du dernier rang, à la place de la fille en l'absence du fils et de la fille ».
» Faire hériter la sœur du côté du père, au même titre que la part de la sœur germaine en son
absence et en l'absence de celui qui exclu de d'hériter et du 'asib ».
» Le père exclu ses frères et sa mère " grand-mère du père" et de son père "grand-père du père" ».
» La mère exclue sa mère "grand-mère de la mère" et "grand-mère du père" ».
» Le grand-mère proche exclue la grand-mère éloignée qui est de son côté ».
» Les frères germains excluent les frères consanguins ».

Jurisprudence chez la majorité des « Ulama »

Les cas plus fréquents

» Faire hériter le grand-père du père avec les frères germains ou un père en l'absence du père, du
fils, du fils du fils, même s'il est du dernier rang ».
» Faire hériter les frères germains avec les frères utérins dans le cas du muchtaraqa ».
»Reconnaître la préférence du père par rapport à la mère dans les deux cas de gherrawayn »
» Reconnaître la préférence du grand-père du père par rapport à la sœur germaine dans le cas du
Akdariya »
» Ne pas faire hériter le frère germain et le frère du côté du père avec le grand-père du père dans
les deux cas du quasi malikiyya et malikiyya ».»
» Appliquer la fraction »

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