Sie sind auf Seite 1von 27

O MITO DE ACTEÃO, A MÁSCARA DA MISOGINIA GREGA,

por artur felisberto.

Figura 1: Artemisa matando Acteão. - Based on drawing of Reichhold (artist) 1909 in


FR pl from Bell krater of Pan Painter.

Acteão era filho de Autônoa, filha de Cádmo, e do semideus Aristeu, filho de


Apolo com Cirene, filha de Hipseu, e, portanto, neto de Apolo e sobrinho-neto de
Artemisa.
En la mitología griega hay dos personajes llamadas Autónoe (en griego
Ἀυτονόη): Una hija de Cadmo y Harmonía, hermana de Ágave, Ino, Sémele, Ilirio y
Polidoro. Se casó con Aristeo, y con éste tuvo a Acteón y Macris. Ellas y sus hermanas
fueron vueltas locas por Dioniso. Una de las Nereidas.
Autónoa < Ἀυτονόη < Au-Tamu-Anu-(et) > Lat. Autumnu > «Outono».
< Hataum-Anu < Hataum-Anu < Kaku-Am-Anu.
Por sua vez Autónoa, a que nasceu por si mesma, seria a deusa mãe primordial
antes de ter sido uma nereida e, por isso, uma das esposas do harém de Poseidon, o
deus do mar e do «Outono», o protótipo de todos os deuses de morte e ressurreição de
origem cretense.
Obviamente que toda esta genealogia heráldica de Acteão seria uma mistura de
lenda antiga com mitos arcaicos relativas a variantes do mito dos deuses das
tempestades e “manda chuva”, *Kurish-teu, que tanto poderia ter sido o sumério
Escuro como o clássico Ares…como Aristeu, deus da apicultura e pai de Acteão.
He was sometimes called Actaeus (Ἀκταῖος), as in the poetic fragment quoted at
Pseudo-Apollodorus, Bibliotheca 3.4.4: "then [they] killed Actaeus at Zeus's instigation", τότ'
Ἀκταῖον κτεῖναι Διὸς αἰνεσίῃσι.
Acteão, Actéon ou Acte-on < Ἀκταί-ων = Deus e Senhor (On < Aun < Anu)
Actai-os < Ac-te = Deus Ak ou Ach, literalmente o filho da Deusa Mãe.
Pelion, a wooded mountain in Thessaly in the district of Magnesia, between Volo and
the east coast. (…). On its summit was an altar of Zeus Actaeus, in whose honour an annual
festival was held in the dog-days, and worshippers clad themselves in skins.
Richard Buxton has suggested reading the procession to the sanctuary of Zeus
Actaeus as a ritual of inversion: ‘Once a year the citizen-group turns, through its
representatives, into a community of shepherds, which practises what may be described
as a one-day ritual transhumance’.
Burkert instead emphasizes instead the expiatory character of the event,
assuming that the skins worn by the Magnesian elite are those of animals they have
them-selves just sacrificed: ‘The sacrificer identifies with his victim to the point of
wearing its skin, tries in effect to undo his own deed’.
In either case, we have passed from the civilized world of theatre to the
wilderness, with its description of killer plants and curious local customs. -- Aesthetic
Value inClassical Antiquity, by Ineke SluiterRalph M. Rosen.
Actaeus (Actaeüs) was the first king of Athens, father of Agraulus and father-in-law to
Cecrops, the second king of Athens. Also gave Attica (Acte) its name before it was changed to
Cecropia by Cecrops. Actaeus had no sons and was therefore succeeded by Cecrops.
A mitologia clássica deve ter dado muitas voltas e reviravoltas nas ilhas e
cantos recônditos da retalhada Grécia antiga antes de se fixar nas formas conhecidas e
escritas. Muitos elos de transição desta cadeia incessante e enovelada de mitos e
especulações culturais mágicas se terão perdido ao longo dos tempos. Acteão teria sido
assim um arcaico deus de caçadores que se terão transformado em pastores tendo tipo
por transição a caça dirigida e a transumância. Assim, Zeus Actaeus terá sido entre os
Magnésios um dos elos fósseis destas variantes.
A relativa abundância das culturas que se dedicaram primeiro à caca dirigida e à
pastorícia ficou célebre no étimo do pecúlio latino. Por outro lado outras culturas
relacionavam a abundância com a actividade marítima e outras ainda mais com a
exploração mineira do subsolo razão pela qual, na cultura grega fascinada pela
metalurgia e pelos metais preciosos, Pluto, deus dos infernos e subterrâneos ficou
relacionado com a boa fortuna e com os cultos infernais de qualquer tipo de
abundância o que fez com que Zeus Actaeus tivesse passado de deus do céu a deus dos
infernos por ter sido deus da fartura pecuniária da pastorícia.
Como deus de caçadores e de pastores terá sido um deus cornudo, ora com
cornos de touro, ora de bode ou carneiro, ora de veado como o gaulês Cernuno e
muitas representações de origem nórdica da cultura anatólia e hitita.
Obviamente que Cernuno não tem relação étmica com Acteão mas têm
seguramente uma relação semântica que passa pelo deus sumério do Kur que foi
Enki, o deus que antes de mais teria sido o filho primogénito de sua mãe Tiamat
como terá sido o caso de *Ach-Te, quase seguramente o mesmo que o frígio Atis.

Ver: ATIS (***)


Então começamos a entender porque Acteão pode ter tido origem, ou ser mera
variante dos cultos caldeus dos deuses cornudos como Belus sendo verdade que
praticamente todos os deuses sumérios tinham a tirara de cornos como símbolo e
deuses como Escur e Estar uma relação etimológica óbvia com o touro cretense.
L'attribution aux dieux des cornes, particulièrement de celles du taureau,
remonte aux religions de l'Asie. Là, nous trouvons Bélus, représenté d'ordinaire avec
des cornes de taureau sur la tête. Les bureaux ailés à face humaine qui défendent
l'entrée des palais de 1 Assyrie, sont des images de Bélus, déjà presque complètement
identifié avec l'animal qui lui sert de symbole.
(...) Le chasseur de la Béotie semble, il est vrai, bien éloigné du dieu principal
des Chaldéens: mais le Jupiter Actceus sert d'intermédiaire naturel entre ces deux
personnages dont lage et le degré d'activité offrent au premier abord un contraste
complet.
Le Jupiter Actaeus, sur lequel nous avons peu de détails, s'explique mieux par
les monuments de la religion des Gaules, où tout nous montre que les doctrines de
l'Orient s'étaient conservées avec moins d'altération qu'en Grèce. Nous n'en citerons
pour exemple, que le précieux bas-relief, découvert il y a quelques années à Reims, et
qui nous montre un dieu barbu, accroupi à la manière indienne, entre les figures debout
de Mercure et d'Apollon. (...)
Le nom qui, sans aucun doute, convient le mieux à cette divinité, est celui de
Cernunnos, déjà connu par l'inscription jointe à une des hgures qui décorent l'un des
prétendus autels découverts dans les fondements de l'église de Notre-Dame de Paris.

Figura 2: Cernuno no caldeirão de de Gundestrup.


(...) Le nom d´Actéon, de son côté, se prête à cette signification. De même que le
Molionide Ctéatus est le fils d'Actor, de même Actéon (`  augmentatif et  pour
, participe présent de l'inusité , enrichir, dont on n'a que le moyen
, posséder la richesse, et pour la forme active, le participe de l'aoriste second
, c'est-à-dire le grand possesseur, celui qui enrichit par excellence comme
) disons-nous, offre une étroite analogie avec le Jupiter Ctésius. Cet Actéon,
roi de la richesse et des demeures infernales, trouve dans Hécate (dont le nom présente
avec le sien une si exacte ressemblance) Une compagne parfaitement assortie, et si l'on
réfléchit qu'Hécate est la meme que Diane, et que les chiens lui sont spécialement
consacrés, on reconnaîtra la réunion des traits les plus essentiels au mythe d'Actéon.
Phérécyde, dit qu'Hécate est la fille d'Aristée, par conséquent la sœur d'Actéon.
Il est vrai que l'Actéon infernal, ou le Jupiter Ctésius, diffère notablement du
jeune chasseur, dont l'imprudence ou l'audace fut si cruellement punie par Artémis.
Toutefois, si les récits des mythographes offrent peu d'éclaircissements sur ce point, il
n'en est pas de même des monuments où nous trouvons alternativement deux Actéon,
l'un jeune et imberbe , qui est celui de la tradition ordinaire, l'autre barbu et viril qui se
rapproche des notions que nous venons de rassembler. Quand Actéon se livre contre
Diane aux mêmes violences que Tityus contre Latone, comme sur la pl. XCIX, quand
nous le voyons (pl. CII ) en pendant avec Ajax (dont le nom grec exprime la douleur),
sous des traits aussi marqués que ceux du héros de Salamine, on peut noter déjà une
déviation considérable à la tradition la plus reçue, déviation qui rapproche le
personnage des puissances infernales et telluriques.
Ici se révèle toute l'importance du vase reproduit sur notre pl. CIII, où le mythe
d'Apollon et d'Hyacinthe se trouve associé à celui d'Actéon. C'est qu'en effet, de même
qu'à Amyclse, nous rencontrons un double Apollon, l'un viril et l'autre adolescent, le
premier éraste et le second éromène, et, dans le sens profond du mythe, l'un père et
l'autre fils; lépithète de gouffre d'Hécate. Scylla, la déesse moitié femme, moitié poisson
et ayant plusieurs chiens à la ceinture est fille d'Hécate Cratœ'is. Schol. ad Apoll. Rhod.
Argon. IV, 828. (...)

Figura 3: PLANCHE CIII. La grande composition reproduite sur notre pl. CIII
est tracée sur une amphore à rotules de la collection de M. le comte de Pourtalès
Gorgier.
M. Panofka a donné de ce second tableau une explication des plus
satisfaisantes et des plus complètes. Aussi nous bornerons-nous à rappeler ici
textuellement cette explication. «Cette peinture, dit le savant archéologue, mérite de
fixer notre attention, puisqu'elle nous donne une image jusqu'à présent inconnue, mais
néanmoins conforme aux idées religieuses qui s'attachaient au personnage mythique
d'Actéon. Deux passages de Pausanias peuvent servir à expliquer la figure de ce
chasseur, qui se présente ici comme un véritable Endymion, reposant sur une pierre ou
rocher. (...). En sortant de Mégare, dit ce voyageur, il y a à droite une source, et en
avançant un peu, une roche qu'on nomme la roche d'Actéon, sur laquelle on dit qu'il
dormait lorsqu'il était fatigué de la chasse. Quant à la source, on assure que ce fut là
qu'il vit Artémis au bain. Stésichore d'Himéra a écrit que la déesse couvrit Actéon d'une
peau de cerf, et le fit tuer par ses chiens, pour empêcher qu'il n'épousât Sémélé.
Le second passage (...). Quant à Aetéon, dit Pausauias, les Orchoméniens disent
que, leur pays étant tourmenté par un spectre qui se montrait sur un tc rocher, ils
consultèrent l'oracle de Delphe , qui leur ordonna de chercher s'il y avait quelques
restes d'Actéon et de leur donner la sépulture; i1 leur prescrivit aussi de faire une statue
en bronze de ce spectre, et de la lier à ce rocher avec du fer. J'ai vu moi-même cette
statue d'Acteon enchaînée, et ils lui sacrifient tous les ans comme à un héros.»
(...) Si lors de la rédaction du texte des Antiques du Cabinet de M. le comte de
Pourtalès, en 1834, M. Panofka a cm devoir user de ces précautions pour proposer une
explication des figures qui entrent dans la seconde peinture de notre pl. CIII, nous
n'avons pas les mêmes raisons aujourd 'hui pour user d'une semblable réserve. En effet,
d'après ce que nous avons dit plus haut du jeune Hyacinthe tué par Apollon, l'approché
d'Actéon périssant accablé par ses chiens, nous ne sommes nullement surpris de voir un
bouclier au-dessus de la tête d'Actéon endormi. Le bouclier remplace ici le disque qui
causa la mort du jeune éromène d'Apollon. Actéon endormi rappelle, comme M.
Panofka en fait l'observation, un autre chasseur, Endymion; et ce que nous avons dit de
ce héros, que l'on doit considérer comme un héros solaire et comme la personnification
du soleil descendu dans l'hémisphère inférieur, l'identifie encore une fois avec Actéon.
Que Charmus et Callicarpus soient les frères du héros solaire Actéon, ceci n'a
rien d'étonnant. (...) L'un indique la joie que cause la renaissance de la nature après la
saison de l'hiver, l'autre les fruits qui mûrissent, grâce aux rayons bienfaisants du soleil.
Autonoé tenant un miroir dans lequel se réfléchit son image, se complaît dans cette
contemplation, et cette action fait une allusion directe à son nom ( , quasi
 1). Maintenant qu'Aristée se confonde avec Arès et avec Apollon
Amycléen, armé de pied en cap comme le dieu de la guerre, les rapprochements que
nous avons faits entre Hyacinthe et Actéon rendent compte de cette transformation. Car
si, d'un côté, Aristée se rapproche de Pan comme dieu rustique, de l'autre côte. (...)
En suivant ces raisonnements, lions devons faire remarquer que les eux frères
Charmus et Callicarpus s'identifient avec les Dioscures, Castor et Pollux, et que la
femme que nous avons désignée sous le nom, Autonoé peut aussi recevoir celui
d'Hélène ou de Phœbé. –Élite des monuments céramographiques: matériaux pour
l'histoire des religions et des moeurs de l'antiquité (Band 2), Charles Lenormant &
Jean Joseph Antoine Marie de Witte.

Ver: MELISSA / ARISTEU (***)

III, 4, 4. Autonoé et Aristée eurent un fils, Actéon; élevé par Chiron, il devint
chasseur. Quelque temps plus tard, sur le Cithéron, il fut dévoré par ses propres chiens.
D'après Acousilaos, c'est à cause de Zeus, en colère contre lui, parce qu'il tentait de
séduire Sémélé; mais en général on rapporte qu'il mourut pour avoir vu Artémis comme
elle se baignait. La déesse le métamorphosa immédiatement en cerf, fit devenir enragés
les cinquante chiens qui le suivaient, et ces derniers, qui ne le reconnurent pas, le
dévorèrent. Après la mort d'Actéon, les chiens cherchèrent leur maître, et gémirent
jusqu'au moment où ils arrivèrent à la grotte de Chiron. Celui-ci fabriqua une image

1 Auto conhecimento, reflexão.


d'Actéon, grâce à laquelle les chiens guérirent de la rage. – APOLLODORE, Actéon,
Ugo Bratelli, 2002.

ACTEON CONVERTIDO EM VEADO

Figura 4: Artemisa & Acteion (Planificação cibernética do autor a partir de desenho de


vaso grego da obra “Antiques du cabinet du comte de Pourtalès-Gorgier” de Theodor Panofka.)

Exímio caçador, Acteão fora criado pelo centauro Quirão. Ao caçar na floresta,
viu acidentalmente Artemisa acompanhada de Ninfas, banhando-se num lago (ou
numa nascente). Famosa por sua castidade, Artemisa ficou indignada, molhou as
mãos e aspergiu água no caçador, transformando-o num veado e atiçou os próprios
cães contra ele. Os animais, incapazes de reconhecerem o dono, atacaram e devoraram
o azarado caçador…porque estavam com raiva!
As Tebanas muralhas levantadas estavam já: chamar-te venturoso em teu
desterro, Cadmo, já podias, por Sogros tendo a Vênus, e Mavorte, e de tão alta Esposa
ilustre prole em tantos filhos, em tão caros netos, e esses todos em bela mocidade.
Porém deve o mortal esperar sempre o seu último dia; nem se pode chamar antes da
morte, antes das honras extremas do sepulcro, venturoso. Entre tantas fortunas, que
logravas, um neto teu, ó Cadmo, foi a causa de saberes, que coisa era infortúnio,
convertido ele em Cervo, e lacerado pelos seus próprios Cães, que o mesmo sangue de
seu Senhor beberam. Mas se o fato pesares bem, verás, que só malícia da fortuna houve
nele, e não delito: como pode ser crime uma ignorância? Havia alta montanha, onde
mil feras de venablos estragos padeciam: Igual o Sol entre uma, e outra meta distando,
contraía no Orbe as sombras. Então o Moço Acteon, que na montanha os brutos
perseguira, aos Companheiros, que inda vagavam por ocultas fragas, alegre disse: “As
redes, e venablos assaz banhadas de ferino sangue estão, ó Caros sócios; bem ditoso
foi para nós o dia.
Figura 5: Tondo de vaso grego com Acteião a ser devorado pelos próprios cães.

Quando a Aurora voltar no roxo carro, este exercício então repetiremos: Febo
agora no meio da carreira com seus raios acende a terra; é bem que descansemos:
Largai já todos as nodosas redes”. Os Caçadores prontos obedecem, e para
descansarem buscam sombra. Havia ali um vale semeado de cerrados pinheiros, e
Ciprestes, gargáfia apelidado, e a Cíntia sacro. No fundo dele gruta se escondia,
circundada de rústica espessura, onde nunca Arte entrara; a natureza com engenho
supriu das mãos a falta. Rude arco natural ali erguera de áspera pomes, de gelados
Grumos: Sussurrava à direita pura fonte, mas pobre d’água, rodeando a margem de
ervas viçosas. Costumava a Deusa das florestas ali, quando da Caça repousava,
banhar o casto Corpo: Veio Diana pois, e entrando, à Ninfa ministra das suas armas,
arco, aljava, e venablo entregou; outra nos braços as vestes segurou; duas as plantas
despiram dos Coturnos; diligente Crócale Ismênia atou-lhe em firme laço as madeixas
nos ombros esparzidas; de água enchem vasos Néfeles, Hiales, Rânis, Psecas, e Fiales.
Enquanto a Titânia Deidade se lavava, eis que o Neto de Cadmo pela sesta
perdido na espessura a incertos passos, chegou ao Vale: fado atroz o trouxe. Assim que
entrou na gruta, as Ninfas nuas, ao verem homem, súbito alarido fizeram tal, que os
ermos atroaram, e círculo fazendo, com seus corpos a Diana esconderam; mas de
balde, pois como Deusa a todas excedia no alteroso semblante. Ela que estava sem véu
no corpo, de improviso mostra no rosto a mesma cor, que Febo oposto pinta luzente na
rosada nuvem, ou na purpúrea Aurora.

Figura 6: Morte de Acteião presenciada por Pan um arcaico deus silvestre.

Bem qu’as servas a cercassem, voltou atrás os olhos, e pelo lado vendo o audaz
Mancebo, quis lançar mão da aljava, e não podendo, lhe arrojou água, que era a
pronta seta, e irritada banhou-lhe a fronte toda, rompendo nestas vozes, que pressagas
foram do seu misérrimo infortúnio: “Vai contar (se puderes) que me viste sem vestidura
o corpo”: e mais não disse, porque instantaneamente na cabeça a ramosa armação lhe
põe de Cervo: Estende-lhe o pescoço em longo espaço, aguça-lhe as orelhas para cima,
muda-lhe as mãos, os pés, e os adelgaça, e de manchado pêlo cobre o corpo.
Acrescenta-lhe mais pavor estranho, e tanto, que quadrúpede já foge de Autônoe o
Filho: espanta-se ele mesmo de tão ligeiro ser, e a causa ignora. Porém assim que vê a
córnea testa nas costumadas águas, assombrado dizer quer, ai de mim, Moço infelice!
Mas não o ajudam já vozes humanas: outras não têm, senão brutais gemidos, e pranto
derramado em fronte alheia. Para maior martírio unicamente seu juízo conserva:
resolver-se não sabe no que faça; para casa se voltar deve, ou demandar o mato; este
lhe faz pavor, aquela pejo. Nesta irresolução seus Cães o viram, e o primeiro de todos
foi Melampo, e Icnóbates logo; este de raça Gnóssia, aquele Espartana, sinais dando
c’os sólitos ladrados às matilhas. Outros no mesmo ponto apareceram mais veloces,
que o ar, Pânfago, Dorce, Oríbaso, e da Arcádia a casta toda; o valente Nebrófono, o
sanhudo Teron c’o fino Lélape; o ligeiro Ptéleras, que no faro a nenhum cede, Hileu de
um javali inda ferido; Nape filha de lobo, de rebanhos Pêmene guarda, Harpia
acompanhada de dois cachorros filhos, o Siciônio Ladon, Cánaces, Dromas, Sticte,
Tigre, Alces, Leucon, forte rafeiro branco, e Ásbolo negro; Lacon forte em dentes, Aélo
na carreira; Tôo, e Cíprio, Licisca com o Irmão leves em curso, Hárpolos, e Melaneu,
que de negro, e branco tem rajada a meia fronte, Lacne de hirsuto pelo, Labro, e
Agriado de Lacônida mãe, e pai dictense ambos nascidos; Hilator famoso em agudos
latidos; e outros muitos, que prolixo seria o numerá-los. De presa cobiçosa esta
anhelante turba veloz por íngremes penedos, por mil despenhadeiros, por caminhos,
que ou caminho não têm, ou é difícil, acomete, e persegue ao Miserável, que foge por
onde antes o seguiam os mesmos Servos infiéis agora.

Figura 7: PLANCHE CIII A. (…)


Les compositions de vases conçues dans le style de la peinture gravée pl. CIII
A, offrent la plupart du temps scènes ou les sujets mythologiques sont employés avec
un sens mystique. La biche est sacrifiée ici par le chasseur Actéon; c'est sur le rivage
() qu'a lieu ce sacrifice. C'est la biche Cérynite qui est la victime offerte à
Artémis-Iphigénie par le dieu cornu Actéon-Cernunos. Actéon, nous l'avons déjà dit,
est un héros solaire, la personnification du soleil arrivé au terme de sa course diurne;
le couchant est indiqué non seulement par le rivage de la mer, mais par le satyre qui
ce précipite sur la grève pour disparaître dans les flots. Nous avons déjà eu l'occasion
de rappeler que les satyres ou les Cercopes, habitants des îles Pithécuses indiquent les
régions occidentales. -- Élite des monuments céramographiques: matériaux pour
l'histoire des religions et des moeurs de l'antiquité (Band 2), Charles Lenormant,
Jean Joseph Antoine Marie de Witte.
“Olhai, que eu sou Acteon; o Senhor vosso não conheceis” (clamar queria o
Aflito, mas faltavam-lhe vozes) com mil ladros os ares soam: a agarrar primeira foi
Melanquetes, trespassando a espádua; seguraram depois os ombros ambos Terídama, e
Oresítrofo, que tardos tinham saído, mas por breve atalho se adiantaram saltando, e
detiveram a presa, até juntar-se a turba toda, que toda no infeliz os dentes ferra. Já
faltava lugar para feridas; geme a todas o Mísero, e sons forma, que nem são de veado,
nem são d’homem, com que atroa os Outeiros conhecidos. Já semelhante a quem
suplica humilde, põe em terra os joelhos, e calado a cabeça levanta em vez de braços.
Os Sócios ignorantes estimulam cada vez mais as rábidas matilhas, e procuram Acteon:
como o não acham, Acteon, Acteon, à competência bradam, como se fora ausente: o
Miserável, assim que ouve seu nome, alça a cabeça; os outros vão queixando-se da
ausência, como se ele presente ali não fora, e já de inerte o acusam, desprezando tão
bem lograda presa. Assaz quisera ele ali não estar; mas por seu fado a seu pesar está;
quisera os brios ver dos seus fortes cães, mas não sofrê-los. Cercam-no enfim estes, e
escondendo as queixadas no Corpo Lacerado, a seu mesmo Senhor oculto em Cervo a
pedaços reduzem. Diz a Fama, que se ele a mil feridas não morrera, saciada não ficara
a Cíntia Deusa. -- As Transformações de Públio Ovídio Nasão; Traduzidas por
Cândido Lusitano.
Diodoro de Sículo (4.81.4), numa variante da hubris de Acteão que foi
largamente ignorado, refere que Acteão se quis casar com Artemisa. Outros autores
dizem que os cães de caça eram de Artemisa; algumas elaborações perdidas do mito
parecem ter-lhes dado todos os nomes e narram os seus feitos depois da sua perda.
Diodore mentionne d'autres raisons au courroux de la déesse : Actéon aurait
commis un sacrilège dans son temple ou se serait vanté d'être plus habile qu'elle à la
chasse. Cette dernière explication est déjà donnée par Euripide dans ses Bacchantes.
Le pseudo-Apollodore rapporte aussi une tradition minoritaire qu’il attribue à
Acousilaos, selon laquelle Actéon est métamorphosé par Zeus pour avoir poursuivi
Sémélé (princesse thébaine mère de Dionysos) de ses assiduités.
Pausanias (IX, 38, 5) rapporte qu'il faisait l'objet d'un culte héroïque dans la
cité d'Orchomène (Béotie).
Quer tudo isto dizer que este mito grego ficou mal contado ou era uma
deturpação dum outro muito mais antigo no qual Acteão era o filho consorte duma
deusa mãe de nome parecido, possivelmente a marinha Acteia / Actaia, no qual vemos
a deusa mãe primordial matar o filho amante por uma qualquer razão de poder
matriarcal. De facto, sob o ponto de vista étmico, Acteão é correlativo de Acteia, ou
Actaea que era uma das Nereidas.
Na mitologia grega, as Nereidas ou Nereides (em grego antigo, Νηρείδες ou
Νηρηίδες; no singular, Νηρείς, translit. Nêrêís, ‘filha de Nereu’, de νέειν , translit. néein,
"nadar") eram as cinquenta filhas (ou cem, segundo outros relatos) de Nereu e de Dóris.
Nereu compartilhava com elas as águas do Mar Egeu.
(…) As Nereidas eram veneradas como ninfas do mar, gentis e generosas, sempre
prontas a ajudar os marinheiros em perigo.
Enquanto «ninfa» seria esposa de Poseidon / Enki e literalmente uma Potinija!
Ακτη = Aktê = nome poético para cereal, sempre associado com ἀλφίτου, ou
Δημήτερος. Na mitologia grega Ἁκταία era uma das Horas, de ἀκτά / ἀκτή a praia ou a
"beira-mar". Ἁκτέα = a mais velho de árvore > ἄκτινος = de madeira velha.
«Ninfa» < Lat. nympha < Gr. nýmphe, < Num-Ke
< Nin-Ki, literalmente a Sr.ª Ki, mais conhecida como Ninhursag,
lit. a senhora «cursaca»(?!) < kur-kaki < kur-kiki,
lit. “o monte dos duplos seios”.
Na verdade, um elemento mais arcaico do mito faz de Acteão um companheiro
de caça familiar de Artemisa como Calisto, e não um caçador estranho. De resto,
também se pode dizer que, por definição, Acteão, se usava redes para caçar como
canta Ovídio, habitaria na praia, o que seria mais próprio de pescador do que de um
caçador!
Nikê < Niquete < Enki-et, a filha de Enki, um obvio epíteto de Istar
Niceia < Nesaie < Neceje < Enkesha > Enki-et > Nike-et > Nikê.
 Nash < Anish < Nanshe < Ninisha  Inana.
Urano < Anurio < Nério (> «Nero > Nelo») 
Ora, nem de propósito, Acteia era irmã de Niceia, nome foneticamente próximo
de Nikê, uma das filha de Enki, o deus das águas do céu Úrano e do Nilo, que deu
nome às nereidas. Junto com a sua irmã Niceia eram duas ninfas que representavam a
imperiosa fúria das ondas contra as costas das ilhas.
Nash: Pronounced form of Nanshe. Daughter of Ea, cult center Sirara near
Lagash.
Nash < Nanshe < Nin-Sha, literalmente senhora do lago > «Ninja».
Figura 8: Acteião, o
deus Alcino.

"But the Actaeon


myth is strange. The goddess
- seemingly a grown woman,
but paradoxically one
destined never to reach
menarche (the "eternal
teenager") - is observed
(probably accidentally) by a
young huntsman as she
bathes naked in a stream.

He stares in fascination and awe at "the most beautiful vision ever beheld by
man" (…). But his harmless voyeurism leads to tragedy; Diana sees him, and fears he
will boast of what he's seen. And so she turns him instantly into a stag - which his own
50 hounds then tear apart. This is one of many myths which unmasks the Greek
male's fear of women (Medea and Atalanta are two others) - female beauty is not just
there for his enjoyment - it has a power to trap and then destroy." -- Diana and
Actaeon, Classics Pages written and designed by Andrew Wilson.
Pensar que os mitos antigos só poderiam ter um único figurino seria o mesmo
que supor uma humanidade de ideias limitadas e de vistas curtas! Os mitos antigos
eram de facto uma forma de as comunidades exorcizarem os seus medos e pecados e
deve ter havido muitas tragédias em que as matriarcas matavam filhos e maridos por
razões fúteis. As relações dramáticas das matriarcas primitivas com os filhos devem ter
sido multifacetadas e repletas de dramas e tragédias inevitáveis e recorrentes e daí os
vários mitos de morte e ressurreição em torno da Deusa Mãe, senhora da vida e da
morte e também das dores de parto, de mulher menstruada, de mãe e de esposa, enfim
todo um cortejo de realidades relacionadas com o lado trágico da condição humana
expresso em mitos que começaram com a teogonia e acabaram na mística católica da
N.ª Sr.ª das Dores, das Angústias e da Piedade!

Ver: PIETA (***)


Muitos desses mitos teriam sido a transformação de histórias lendárias, algumas
delas plausíveis e em variantes pederásticas que mais não era do que uma forma
descarada de misoginia resultante do “medo que homem grego tinha às mulheres”
sempre sujeitas à autoridade patriarcal. Para os gregos clássicos a mulher era
naturalmente inferior e o casamento não previa apenas relações de conveniência
porque à mulher estava destinado apenas o espaço privado do lar, enquanto a ágora
estava reservado aos varões. Aristóteles, o mais paternalista dos filósofos chegou ao
ponto da cegueira histérica de não ver na mulher a responsabilidade pela criação da
vida chegando a defender que a mulher era apenas o vaso onde o sémen masculino era
semeado. E os delírios paternalistas iam ao ponto de considerar a mulher como um
homem defeituoso porque o feto feminino necessitava de oitenta dias para receber a
alma, enquanto o feto masculino o conseguia em metade do tempo.

Ici se révèle toute l'importance du vase reproduit sur notre pl. CI1I, où le mythe
d'Apollon et d'Hyacinthe se trouve associé à celui d'Actéon. C'est qu'en effet, de même
qu'à Amyclse, nous rencontrons un double Apollon, l'un viril et l'autre adolescent, le
premier éraste et le second éromène, et, dans le sens profond du mythe, l'un père et
l'autre fils (3); lépithète de gouffre d'Hécate. Scylla, la déesse moitié femme, moitié
poisson et ayant plusieurs chiens à la ceinture est fille d'Hécate Cratœ'is. Schol. ad
Apoll. Rhod. Argon. IV, 828.

Diodoro Sículo conta como facto histórico o triste caso de um menino chamado
Acteion a quem “a morte chegou da mesma maneira daquele de quem trazia o nome,
já que ambos perderam suas vidas de maneira semelhante nas mãos daqueles que
mais o queriam ajudar”.
10 1 Archias de Corinto, sendo tomado de amores por Actéon, em primeiro
lugar enviou um mensageiro ao jovem, fazendo-lhe promessas maravilhosas, e quando
ele não foi capaz de conquistá-lo a agir em contrário aos princípios honrados de seu
pai e contra a modéstia do próprio jovem, ele reuniu o maior número de seus
associados, com a intenção de usar sobre o jovem força sem apelo nem agravo. 2 E,
finalmente, uma vez, quando Archias se embriagara na companhia dos homens que ele
tinha consigo, sua paixão o levou a tal loucura que ele invadiu a casa de Melisso e
começou a levar consigo o menino pela força. 3 Mas o pai e os outros moradores da
casa o seguraram firme, e na luta violenta que se seguiu entre os dois grupos, o menino
foi encontrado, sem se saber como, já sem espírito nos braços de seus defensores.
Consequentemente, quando reflectimos sobre a estranha reviravolta do acaso somos
forçados a ter pena tanto do destino da vítima e de nos maravilharmos com a
inesperada reversão da fortuna. Ao menino a morte chegou da mesma maneira daquele
de quem trazia o nome, já que ambos perderam suas vidas de maneira semelhante nas
mãos daqueles que mais o queriam ajudar. - Diodoro Sículo Biblioteca de História,
P383 Fragmentos do Livro VIII.2
2 10 1Archias the Corinthian, being seized with love for Actaeon, first of all dispatched a messenger to the
youth, making him marvellous promises; and when he was unable to win him over to act contrary to the
honourable principles of his father and to the modesty of the youth himself, he gathered together the greater
number of his associates, with the intention of using force on the youth who would not yield to favour or
A mesma tragédia e contada como facto histórico por Plutarco em “Histórias de
Amor”.

Figura 9: Morte de Acteion aparentemente por motivos de amor como o


demonstram a presença de um erote a segurar as lanças e de Afrodite e mais um erote.
(Interpretação helenista de Eduard Gerhard na obra Apulische Vasenbilder).
Este Melisso teve um filho chamado Actéon, o jovem mais belo e mais modesto da sua
idade, que teve muitos amantes, o principal dos quais foi Archias, da família dos Heráclidas,
na riqueza e na influência o homem mais notável de Corinto. Já que não podia obter o rapaz
pela persuasão, ele decidiu levá-lo à força. Então, ele reuniu uma multidão de amigos e
funcionários, foi em folia de bêbado a casa de Melisso, e tentou levar o menino consigo. Mas
seu pai e seus amigos resistiram, os vizinhos também acorreram e o puxaram aos assaltantes,
e assim Actéon foi resgatado morto e em pedaços; Então os assaltantes foram embora. Mas
Melisso levou o corpo de seu filho e exibiu-o no mercado local de Corinto, exigindo a punição
dos homens que tinha feito a escritura, mas o Corintios apenas tiveram pena dele mas nada
mais fizeram. Assim, não sendo bem-sucedido, ele se afastou e esperou pelos Jogos Ístmicos,
quando então subiu ao templo de Poseidon e gritou acusações contra os Bacchiadae, e
lembrou ao povo as benfeitorias de seu pai Habron, após o que, invocando os deuses para
vingá-lo, atirou-se das rochas a baixo. Pouco tempo depois, a cidade foi atingida pela seca e
pela peste, e quando os Coríntios consultaram o oráculo para salvação o deus respondeu que
a ira de Poseidon não acalmaria enquanto eles punissem a morte de Actéão. Archias, que
logo sabe disto pois ele mesmo era um dos enviados para consultar o oráculo,
voluntariamente se absteve de voltar a Corinto. Em vez disso, ele partiu para a Sicília onde
fundou Siracusa. Lá, ele se tornou pai de duas filhas, Ortigia e Siracusa, e foi traiçoeiramente
assassinado por Telefo, que tinha sido seu amado e tinha navegado com ele para a Sicília no
comando de um navio. -- Histórias de Amor de Plutarco.3

entreaty. 2 And finally once, when Archias had become drunken in the company of the men he had called
together, his passion drove him to such madness that he broke into the house of Melissus and began to carry off
the boy by force. 3 But the father and the other inmates of the house held fast to him, and in the violent struggle
which ensued between the two groups the boy was found, without any knowing it, to have given up the ghost
while in the arms of his defenders. Consequently, when we reflect upon the strange turn of the affair, we are
forced both to pity the fate of the victim and to wonder at the unexpected reversal of fortune. For the boy came to
the same manner of death as did he whose very name he bore, since they both lost their lives in similar manner at
the hands of those who had aided them most. -- Diodorus Siculus Library of History, p383 Fragments of Book
VIII.
3 This Melissus had a son named Actaeon, the handsomest and most modest youth of his age, who had many
lovers, chief of whom was Archias, of the family of the Heracleidae, in wealth and general influence the most
outstanding man in Corinth. Now when he could not gain the boy by persuasion, he determined to carry him off
by force. So he got together a crowd of friends and servants, went as in a drunken frolic to the house of Melissus,
AQHAT
O mito de Acteão faz lembrar o de Átis com o qual se assemelha
foneticamente. Ora, esta relação fonética de nomes pode estender-se de modo também
semântico ao deus cananeu Aqhat.
Acteão = Aki-te-(on) < Act-| hahe < Kake >| ish > Actis > Attis > Átis.
> Aki-at > Aqhiat > Aqhat.
De facto, o mito mais parecido com o de Acteion é o do herói ugarítico Aqhat.
Poderia mesmo arriscar-se até que ambos correspondem ao mesmo mito cretense em
versões que evoluíram de forma culturalmente separadas pela geografia depois da crise
dos povos do mar. De facto, não será por mero acaso dos caprichos lendários que
Acteão era neto de Apolo por parte do pai e do fenício Cádmo de Tebas por parte da
mãe.
No Grego Anat não é Atena mas Artemisa o que vai dar ao mesmo pois estas
derradeiras deusas são seguramente a mesma entidade, como se pode demonstrar
noutros pontos destes estudos. De resto, Aqhat faz lembrar foneticamente Hecate,
uma deusa em quase tudo semelhante a Artemisa.
De facto, Hecate é que deveria ser o parédro fonético de todas estas entidades
míticas. Em ambos os casos estaremos perante variantes deturpadas dum ciclo de
velhos cultos de “morte e ressurreição” cretenses.
Assim, na fenícia ugarítica Aqhat seria uma variante do mito do frígio de Attis
que também morreu num acidente de caça mordido por um javali! Ora, também
Adónis e todos os deuses dos “ciclos agrários de morte e ressurreição” seriam
variantes astrais de “deuses paradoxais” porque aparentemente agonizantes e mortais,
anualmente como o sol e mensalmente como a lua, ou quotidianamente sujeitos à
fragilidade do sono nocturno em que a vida fica suspensa e exposta ao risco de “morte
súbita”, ocasionalmente passíveis de serem ofendidos por eclipses ou condenados a
caírem na desgraça dos humores caprichosos dos deuses das tempestades e dos longos
períodos de intempérie sazonal!
La leyenda de Dan-El o Aqhat es una antigua epopeya semítica occidental que narra
la infructuosidad de la tierra durante los meses sin lluvia de verano, de la cual sólo se
conocen fragmentos de tres placas que se encontraron en una excavación hecha al norte de
Siria y que datan del siglo XIV a. C.

Es el registro del nacimiento de un príncipe llamado Dan-El, que siendo joven heredó
un arco que era ambicionado por la diosa Anat y al tratar de robárselo, asesinó a Dan-El. Su

and tried to take the boy away. But his father and his friends resisted, the neighbours also ran out and pulled
against the assailants, and so Actaeon was pulled to pieces and killed; the assailants thereupon went away. But
Melissus took his son's body and exhibited it in the market-place of the Corinthians, demanding the punishment
of the men who had done the deed; but the Corinthians merely pitied him and did nothing further. So, being
unsuccessful, he went away and waited for the Isthmian festival, when he went up upon the temple of Poseidon,
shouted accusations against the Bacchiadae, and reminded the people of his father Habron's benefactions,
whereupon, calling upon the gods to avenge him, he threw himself down from the rocks. Not long afterwards the
city was afflicted by drought and pestilence, and when the Corinthians consulted the oracle concerning relief,
the god replied that the wrath of Poseidon would not relax until they inflicted punishment for the death of
Actaeon. Archias knew of this, for he was himself one of those sent to consult the oracle, and voluntarily
refrained from returning to Corinth. Instead he sailed to Sicily and founded Syracuse. There he became the
father of two daughters, Ortygia and Syracusa, and was treacherously murdered by Telephus, who had been his
beloved and had sailed with him to Sicily in command of a ship. -- Love Stories by Plutarch.
muerte trajo hambruna y su padre y hermana salieron a vengarlo, pero en esa parte de la
historia es donde se corta el texto, quedando incompleta la narración.
O mito de Aqhat faz parte da lenda do rei Daniel (< Dan´il), um caso particular
do ciclo de lendas de reis envolvidos em mistérios e cultos de fertilidade, a primeira
das quais começou precisamente com o mítico rei Keret (= Krt)!

KERET
Obviamente que se vai facilmente de Keret a Melkart:
Melkart < Mer-Keret < *Ama-Ur-Kar-at, «o guerreiro de sua mãe e Sr. da
cidade»!
No mito de Keret sugere-se a tragédia do rei que adoece gravemente por causa
dum voto não cumprido à deusa Atirath. Na verdade a doença de Keret seria uma
forma mitigada da morte sazonal de Baal. O filho herdeiro Jarib pretende substitui-lo
no trono para que a maldição da doença do pai não caia sobre o povo. Porém, os seus
receios seriam motivados mais por uma ambição desmedida do que pela prudência e
acabam por lhe ser fatais. Keret sobrevive miraculosamente por intervenção de El, o
seu pai celeste! Tratando-se de um mito solar, Keret seria “o sol alado” que preside à
imagem do deus da fertilidade da imagem anterior.
Keret < Kerat < *At-Kur > Iskur > Ashur.
Keret < Pher-et + An > Pher-At-An > Phar-Eton > Faeton

Ver: LUCIFER (***)

Jarib < Shariwu < *Karisho, filho de Kar, o altíssimo sol! < Ishkur.
=> *Ka-Phuro (=> Eosphorus = Hesperus = Phosphorus).
=> Faeton, o filho de Hélio (= ou de Kefalo = ou de Apolo).
A epopeia mais conhecida dos Cananeus, porém, é a “lenda de Keret”, escrita
1500 a. C.
Desde a sua descoberta em 1930, a lenda de Keret tem sido objecto de intenso
estudo académico e deu origem a uma grande variedade de analogias e interpretações
(muitas vezes polémicas). O seu reino, ou a sua capital, chamou-se Hubur, que já de
si era um local mítico relacionado com o rio do paraíso sumério, ou seja um local tão
etéreo como Avalon do rei Artur.
«Avalon» (< do celta abal = maçã) < *Ka-War + An < Kawur > Hubur.
Micenic. wanax < wa®nax < Hit. Tabarna > «caverna» > «taberna».
Porém, pouco se sabe deste rei Keret, onde reinou, como ou se é que ele esteve
relacionado com os reis da época em que epopeia foi escrita. Por isso, a maioria dos
estudiosos concorda que Keret é uma figura puramente mítica, embora seja possível
que alguns aspectos individuais do mito tenham fundamento histórico, como parece
ser de regra e senso comum na mitologia pelo menos.
Figura 10: Painel de marfim do palácio de
Salmanasar4. Gilgamesh ou Daniel?
Tratando-se de um trabalho em marfim tipicamente
fenício, que desenha o rei com a pinha sagrada nas suas
inerentes funções sacerdotais de “fertilizador da árvore da vida”,
o artista teria por inspiração o rei mítico Daniel, pai de Aqhat,
conhecido precisamente pelo título mítico mtrp´i (< Me-ther-
ophi, lit. “o que tem a posse dos me da medicina ofídia”) nome
que costuma pode ser traduzido pela metáfora complexa de
“curandeiro, fertilizador e manda-chuva”.
"Of greater significance is the association
with King Keret.... it is presumed by many (e.g.
Cyrus H. Gordon Notes on the Legend of Keret) that
the combined name for the king and his capital in
fact identified the island of Crete. There, according
to Cretan and Greek legends.... the god Zeus saw
Europa, the beautiful daughter of a king of
Phoenicia.... and taking the form of a bull, abducted
her.... he had three sons by her, among them
Minos.... He (Minos) appealed to Poseidon, god of
the seas, to bestow upon him a sign of divine favor....
Poseidon made a Divine Bull.... Minos vowed to
offer the beautiful bull as a sacrifice to the god.... but
instead he kept it to himself....

the god made the king’s wife fall in love and mate with the bull.... the legendary
Minotaur was the offspring....

Minos then commissioned the divine craftsman Daedalus to build in the Cretan
capital Knossos an underground maze from which the bull-man would be unable to
escape. The maze was called the Labyrinth.
Keret - Keret was a king (of Khubur?) and possibly the son of El (this may be an
expression for a fortunate person) who lost his estate and his successive eight wives to
death, disease, and accident before any one of them could produce an heir. Having
fallen asleep in tears, he is visited by El in a dream and offered kingship and riches to
assuage his sorrow. This is ineffective as Keret only desires sons and heirs. El directs
him to make an animal and wine sacrifice to El and Baal on the tower and then muster
an army to lay siege to the city of Udm. There, Keret is to refuse offers from the Udm's
king Pabil and demand his daughter, the fair Huray. Keret does as instructed, vowing to
himself to give Huray an enormous sum of wealth upon his success.
Returning to his estate with Huray, Keret is blessed by El at Baal's behest and is
promised eight sons, the first of which, Yassib, shall have Athirat and Anat as
nursemaids. In addition, Huray will bear eight daughters all of whom as blessed as a
first-born child. Athirat calls attention to Keret's promise of wealth to Huray which he
has yet to fulfil.

4 8th century B.C.; Neo-Assyrian period; Syrian style. Excavated at Fort Shalmaneser, Nimrud (ancient Kalhu),
Mesopotamia. Rogers Fund, 1961 (59.107.6) The Metropolitan Museum of Art - The Collection: Ancient Near
Eastern Art.
Later, Keret and Huray prepare a great feast for the lords of Khubur. Later still
Keret has become deathly ill and Huray entreats guests at a feast to morn for him and
make sacrifices on his behalf.
The household is tense and Keret's son Elhu, despondently visits his father.
Keret tells him not to sorrow, but to send for his sympathetic sister, Keret's daughter
Thitmanat ('the eighth one'). Her sympathy, heighted Keret expects from her surprise at
his state will evoke the attention of the gods during a sacrifice he intends to perform.
Indeed she weeps readily when the truth is revealed. Meanwhile, the rains have ceased
with Keret's illness, but return after a ceremony on Mt. Zephon. El convenes an
assembly of the gods and dispatches the demoness Sha'taqat who cures Keret. Keret's
son and heir Yassib, unaware of his father's cure entreats him to surrender his throne as
he has been remiss in his duties, but Yassib is rebuffed and cursed.
Keret / Fa®-et-on que, por ter pretendido tomar as “rédeas do poder” dos
”cavalos do carro do sol” sem ter ainda a devida destreza, por mérito próprio ou por
direito sucessório, não iria conseguir dirigir esse poder nem manter-se no precário e
difícil equilíbrio do mando vindo a cair em desgraça política acabando por cair do alto
do trono sendo relegado para os calabouços da prisão e para os infernos da morte. Esta
bela metáfora da inépcia política pode, no caso do mito de Keret, ter encoberto uma
situação bem mais trágica e bem mais grave que seria a sacrifício do próprio filho
primogénito para remissão dos pecados dum voto não cumprido ou, no pior dos casos
de magia negra, para ganhar mais alguns anos de vida, num macabro rito de morte
ressurreição e rejuvenescimento!
Que Horon quebre, Oh filho,
Que Horon quebre a tua cabeça
E a tua mioleira seja desfeita
Também por Baal Athtarat!
Assim, Keret mata o próprio filho num sacrifício humano de “morte e
ressurreição” solar para seu próprio proveito sob o pretexto de que o filho
supostamente pretendeu usurpar-lhe o trono durante a doença! Mas, enfim esta seria a
mais macabra e indemonstrada das teses!
O mito de Daniel desvela a ironia, muito comum nas contradições ideológicas,
de um rei supostamente “curandeiro, fertilizador e manda-chuva” ser, apesar disso
tudo, paradoxalmente impotente ou estéril.
Daniel – “O de Harnan”, um devoto de Rapiu (Baal) é um rei patriarcal. Como
Keret, Daniel está de luto porque ao contrário de seus irmãos, ele não teve filhos.
Assim, durante vários dias ele sacrificou comida e bebida aos deuses. No sétimo dia,
Baal toma conhecimento e com sucesso El faz petições para que Daniel e a sua esposa,
Danatay, tenham um filho, citando, entre outras razões, que a criança será capaz de
continuar as contribuições e sacrifícios para os seus templos. El informa Daniel de sua
iminente mudança da sorte. Ele rejubila e mata um boi para Kotharat, derramando-lhe
sacrifícios por seis dias até vê-los partir ao sétimo.
(Durante algumas colunas em falta, Danatay dá à luz Aqhat.)
Daniel e Danatay celebram uma festa, convidando o deus, e Daniel apresenta
Aqhat com o arco lembrando-lhe que sacrificasse o jogo escolhas para os deuses. Mais
tarde, Kotharat chega com um arco e flecha especialmente criado definidos para
Aqhat.
A criança muito esperada de Daniel e Danatay, Aqhat é presenteado por seu pai
numa festa do início de sua vida com um arco e flechas feitas por Kothar-&-Khasis.
Aqhat - Daniel lembra a tirar o melhor de suas peças de caça ao templo para os
deuses. Na festa Anat oferece riquezas a Aqhat e a vida eterna se ele lhe der o arco.5
Como sói acontecer a todos os temerários que, porque educados com supre
protecção não temem nem deuses nem homens, nem de si próprios se acautelam,
viria de facto a morrer mais cedo do que dele se esperava mas às mãos vingativas da
sua “divina mãe”!

5 Daniel - 'He of Harnan', a devotee of Rapiu (Baal) and a patriarchal king. Like Keret, Daniel is in
mourning because unlike his brothers he had no sons. So, for several days he sacrificed food and drink to the
gods. On the seventh day, Baal takes notice and successfully petitions El to allow Daniel and his wife, Danatay,
to have a child, citing, among other reasons, that the child will be able to continue the contributions and
sacrifices to their temples. El informs Daniel of his impending change of fortune. He rejoyces and slaughters an
ox for the Kotharat, pouring sacrifices to them for six days and watching them depart on the seventh. During
some missing columns, Danatay gives birth to Aqhat.
Daniel and Danatay hold a feast, inviting the god, and Daniel presents Aqhat with the bow reminding him to
sacrifice the choices game to the gods. Later, Kothar-u-Khasis arrives with a specially crafted bow and arrows
set for Aqhat.
The much anticipated child of Daniel and Danatay, Aqhat is presented with a bow and arrows set made by
Kothar-and-Khasis early in his life by his father at a feast.
Aqhat - Daniel reminds him to take the best of his kills to the temple for the gods.
At the feast Anat offers Aqhat riches and eternal life if he would give her the bow.
Figura 11: Anat amamentando os príncipes
num dos painéis de marfim do leito real proveniente
do palácio real de Ras Shamra ( c. 1300 a. C.)
A verdade é que o mito talvez tenha esquecido
de referir o quanto de ingratidão existia na displicência
deste principezinho mimado que havia sido
amamentado pela própria Anat.
Mas, Aqht não lhe faz a vontade. Então a deusa
insiste e oferece-lhe a imortalidade. Príncipe herdeiro
ansiosamente esperado até tarde teria que comportar-se
como a criança mimada que era: egoísta e vaidoso,
soberbo e convencido, respondendo do seguinte modo:
Não finjas ó Virgem;
Para um herói as tuas histórias são treta!
Que lucra um mortal com o fim adiado?
Mesmo contando com o brilho da minha mente
E a capacidade do meu espírito
Morrerei como todos os homens!
Sim, certamente que um dia hei-de morrer.
De qualquer modo, parece poder concluir-se que os antigos mais esclarecidos
entendiam por única “imortalidade” acessível aos humanos a longevidade duma morte
em adiantada velhice.
When he refuses, she promises to deliver vengence upon him should he ever
transgress. Presumably he fails to offer his best kills to the gods. Later he followes a
disguised Anat to Qart-Abilim but presumably thwarts her new scheme to aquire his
bow and lives there for a time, possibly under the favor of Yarikh. He is left on a
mountain and while sitting for a meal is attacked by Anat's attendent Yatpan in the form
of an eagle, along with other birds of prey, and is slain. Following his death, the land is
poisoned and there is a period of famine and drought. Daniel recovers his son's remains
from the eagle S,umul.
Later, Daniel visits the underworld, probably in hopes of recovering Aqhat, and
there encounters the Rephaim.
Pughat - When Aqhat is slain, Daniel's daughter Pughat notices the eagles and
the drought and becomes upset. Daniel prays that Baal might return the rains and
travels among the fields coaxing the few living plants to grow and wishing that Aqhat
were there to help harvest them. Pughat encounters Aqhat's servents and learns of his
demise. After seven years of Daniel's court mourning, Daniel dismisses the mourners
and burns incense in sacrifice to the gods. Pughat informs him of Aqhat's demise.
Daniel then swears vengence upon his son's slayer. In succession he spies some eagles,
Hirgab, and Sumul. He calls upon Baal to break their wings and breast-bones, then he
searches their insides for Aqhat's remains. Initially not finding them, he asks Baal to
restore the eagles and Hirgab. Finding Aqhat's remains within Sumul, he buries him
and calls upon Baal to break the bones of any eagle that my disturb them and curses the
lands near which his son was slain. His court goes into mourning for seven years, at
which time Daniel dismisses the mourners and burns incense in sacrifice to the gods.
Pughat prays to the gods to bless her in her venture and disguises herself as Anat,
intending to wreck vengence upon those who slew Aqhat. She arrives and meets Yatpan,
accepting his wine, and the rest is missing.
O que é interessante no mito de Kerete é o assédio de uma cidade distante por
causa de uma mulher, o tema central ao Ilíada de Homero e o Ramayana de Valmiki.
Pensamentos místicos perpassam destes de versos fragmentados:
Grandes são os planos de deuses e dos homens,
Mas quando o dia acaba —
Ossos se espalharam amplamente ao sol,
Para a *Moira irónica a rixa ganharam.
E nada permanece para a posteridade de Apollo,
Mas cantar o elogio dela,
— Em agonia cómica. —
[* Destino, ou o testamento dos deuses]
Em uma tablete de barro, alguém expressa a sua angústia nestas palavras
evocativas:
Meus irmãos nadam em sangue como homens loucos.
Eu comi minha pedra como pão.
E para bebida, Eu bebi o meu sangue.
Minhas lágrimas substituíram a minha comida.
Outro fragmento é de uma carta às autoridades.
Nisto lamenta o escritor,
O pobre ficou rico.
O sensato está em desespero.
Roubaram-nos as colheitas.
A vinha está por tratar.
E nossa cidade foi destruída.
Ou seja, supunha-se que os príncipes herdeiros se considerassem filhos de leite
da divina Anat. Então, se mesmo assim Anat seduz o herói é porque estamos numa
clara reminiscência de cultos de iniciação sexual incestuosa! Se este lhe responde com
o mesmo desprezo por “amores oferecidos” que já Gilgamesh, manifestara (aí então
por motivações que poderão não passar de uma forma inconfessada de contornar
preferências homosexuais latentes e frequentes entre homens de caserna habituados a
longos convívios em comum e, outrora, desde as fases críticas da puberdade!) e numa
linguagem e postura típica da que viria a ser a do puritanismo paternalista semita então
estamos perante uma afrontosa recusa da iniciação sexual feminina, ou seja numa clara
manifestação de rejeição da arcaica forma de gerir o poder da sexualidade matriarcal.
Tábua VI
Tendo chegado triunfalmente ao palácio, o rei “lavou suas armas, penteou seus
cabelos, tirou as roupas sujas de sangue, vestiu uma roupa limpa e o manto real, e pôs
em sua cabeça a coroa”.
Vendo-o em todo o seu esplendor, a deusa Istar “ardendo de desejo”, propõe-
lhe tomar-se sua amante, prometendo-lhe em troca riqueza e poder sem limites.
Mas Guilgamech a desdenha: “Desprezo o teu corpo cheio de fascínio, recuso o
teu pão (…); as tuas artes são quentes, mas o teu coração é gelado. Onde está o
amante que amarias para sempre? Ao teu jovem amante Tamuz (Dumuzi), deus da
Primavera, só reservaste o pranto, ano após ano; depois, arranjaste um jovem pastor,
quebraste-lhe as asas e agora ele vagueia em lágrimas pelos bosques (…) Passaste a
um outro pastor e, com o bastão, fizeste-o num lobo. Hoje, os outros pastores o
ameaçam e seus próprios cães o mordem”.

Ver DAMUZ (***)

Amaste um homem de rebanhos, pastor e chefe de pastores


Que estava sempre a preparar-te brasas ardentes,
Para nelas cozinhares diariamente os teus cordeiros.
Mas bateste-lhe com o bastão e transformaste-o num lobo,
E os seus próprios jovens pastores o procuram caçar
E os cachorros dele rasgam lhe as coxas.
Recorda-lhe enfim a fracassada tentativa com um certo Uchalanu que Istar
convidou um dia para “comer a comida dos deuses”. Mas Uchalanu respondeu: “Que
queres de mim? Minha mãe me preparou a comida, e eu a comi; por que queres que eu
experimente manjares que me levariam à ruína e que se transformariam em cardos e
bolotas?” A deusa, furiosa, o transformara num animal da lama. “Ora — conclui
Guilgamech —, queres meu amor para reservar-me o mesmo tratamento.”
Figura 12: Ishtar, Guilgamesh e
Enkidu matando um lamacho, um dos touros
do céu.
Ichtar, acometida de ira, sai pelos
céus e pede vingança por este ultraje ao deus
Anu, o qual deve admitir que Guilgamech
exagerou um pouquinho, pelo que a deusa
lhe pede que crie “um enorme touro que
aterrorize Guilgamech”.
E se não for atendida, ameaça “golpear o deus Anu com terrores e assombros”,
e para tanto descerá aos infernos, abrirá todas as suas portas, “até que todos os
demónios e mortos saiam e venham à terra; e os mortos já são muito mais numeroso do
que os vivos!” Anu, depois de tê-la advertido que este tipo de vingança acarretará sete
anos de carestia, pergunta-lhe: “Há trigo suficiente nos celeiros? Há feno suficiente
para o gado?”
Istar garante que tudo está em seu lugar. Anu então faz surgir “da montanha
dos deuses um touro imenso e o envia a Uruk”, onde devasta os campos e arrasta
algumas centenas de homens; até que Enquidu consegue agarrá-lo firmemente pela
cauda e Guilgamech afunda a sua espada no peito do touro que cai, estertorando”.
Enquidu se congratula com o amigo: “Amigo, demos nova glória aos nossos: nomes,
agora que matamos o touro do céu!” Cumprida a empresa, os dois heróisse prosternam
perante Chamach; repousam nos muros da cidade, do alto dos quais Istar, fora de si,
lança as piores maldições contra Guilgamech.
Enquidu então arranca uma coxa do touro e lança-a ao rosto da deusa,
gritando: “Ah, pudesse eu tê-la entre as mãos! Faria contigo o que fiz com o touro e a
enrolaria em suas tripas!” Logo depois, os dois foram lavar as armas no Eufrates e
esta nova aventura termina com grandes festejos.
O resto da história reflecte apenas a mesma lógica da dinâmica reactiva típica
da gestão feminina dos conflitos que se relacionam com a essência do seu poder, a
força instintiva da sexualidade de que resulta a importantíssima arma política da
reprodutibilidade social, a vingança e a intriga mortíferas já conhecidas na história de
José & Putifar.
Com a franca vitória da ideologia paternalista na cultura grega é Artemisa a
sempiterna Virgem Mãe que se desculpa com o paradoxo dum inédito pudor
relacionado com uma virgindade maternal primordial que acaba no helenismo a
encobrir uma espécie de lesbianismo sagrado epifenoménico e que, depois de tanto se
ter glosado o mote do mito de Acteon, ficou implícito na mitologia clássica das deusas
da caça!
Na caldeia, a expressão mais típica deste tipo de semideuses teria sido Adapa,
Ora, sabemos que Adapa foi um dos Apkallu fazendo portanto e também parte
do ciclo de deuses solares de que seria originário Apolo.
Claro que este semi-deus, filho do “deus pai” Enki, era um pescador e não um
caçador pelo que não seria tão apolíneo como Aqhat que ficou a dever a sua «má
estrela» precisamente á sua mestria no manejo do arco cujas frechadas sensuais Anat
invejava! Mas já de Acteão se suspeitou que seria mais pescador que caçador! Mas,
também é quase claro que, nesta história, a variante semanticamente mais provável de
Apolo poderia ser Yarikh, hipótese foneticamente sugerida no nome do pássaro
Yatpan em que inesperadamente se descobre a origem do nome da «esfinge»!
Yarikh < Jarikiki < Jarish < Kurish < Ishkur.
Yatpan < Jatipan < Ishpian.

Ver. PROMETEU /ADAPA (***) & FENIX (***)

E quem era Aqhat? Sabendo nós dos riscos de prejuízo fonético que podem
resultar da leitura literal de termos que foram escritos, dentro da tradição herdada dos
Egípcios, numa língua sem vogais, podemos suspeitar que, sendo Aqhat
foneticamente proximo de Hécate e de Acteion, se podem inferir ou postolar as
seguintes equações fonéticas:
Aqhat = *Akki-at < *Kaphi-at <= *Kiki-at > Ishat, a prostituta dos deuses
que na cladeia não seria outra senão uma variante lunar e infernal de Ishtar,
antepassada de Hécate?
Aqhat < *Akik-at < Kakiat < *At-Kaka => Adapa!
Ac-tei-on < *Akik-at-An < *Kaphiat-An < Adaphian => Adonis > etc.
Em conclusão, Aqhat e Acteion são a mesma entidade etimologicamente
deduzida a partir de *Kaphiat, quanto a mim uma das mais antigas formas de designar
o conceito de «filho de deus pai» Ptah, um dos deuses mais tipicamente «criadores»
como Enki, neste caso de acordo com um sotaque que o fonema Phi denuncia como
tendo surgido nas ilhas do mediterrânico! Assim, tanto o mito de Acteion como o do
fenício Aquiat são só já meras reminiscências de mitos muito mais arcaicos
remontando aos primórdios do matriarcado nos quais a deusa mãe das terríficas magias
lunares seria responsável pela morte do sol-posto, o seu próprio filho e marido! Os
velhos mitos da morte solar às mãos da própria mãe que o comia para o parir no dia
seguinte não são explícitos em nenhuma mitologia clássica mas costumam ser inferido
a partir da suspeita de que os ritos antropofágicos entorno de «sacrifícios humanos»,
que eram na época clássica ainda queridos a Tanit, seriam uma manifestação desta
tradição alicerçada numa universal guerra de sexos, tão velha como a humanidade, e
que o mito da descida de Inana aos infernos permite suspeitar.
Ver: SACRIFÍCIOS HUMANOS (***)

While the mythological roles of other prominent Olympians evolved in the


works of the poets, the lore of Artemis developed primarily from cult. Dances of
maidens representing tree nymphs (dryads) were especially common in Artemis'
worship as goddess of the tree cult, a role especially popular in the Peloponnese.
Throughout the Peloponnese, bearing such epithets as Limnaea and Limnatis (Lady
of the Lake), Artemis supervised waters and lush wild growth, attended by nymphs of
wells and springs (naiads). In parts of the peninsula her dances were wild and
lascivious.

Figura 13: Altar found near the


ancient city of Arycanda in Lycia represents
Artemis Tharsenike, a local form of Artemis.
(Finike, Çaldirköy Roman Period, 2nd century
A.D. Limestone. Istanbul Archaeological
Museums.) 6

Figura 14: Hecate, a goddess who


takes no part in the mythological stories
involving the Olympian deities, was closely
related to Artemis and Anatolia. (West
Anatolia. Roman. Marble. Istanbul
Archaeological Museums.)

Esta Artemis Tarsenica poderia ser uma variante morfológica duma tridiva em que a 3ª
face estaria supostamente atrás e a meio das duas explícitas anteriores.
Artemisa é funcionalmente parecida com Atena que têm ambas muitas
semelhanças com as funções de engenharia do fogo de Hefesto (=> Efeso, cidade de
Artemisa?) com quem, afinal, era Afrodite quem estava casada! Ou seja, pelo menos
estas três deusas deveriam corresponder a variantes da mesma entidade mítica de
deidades arcaicas do fogo. No meio destas deidades lunares e nocturnas relativas aos
cultos cretenses das deusas mães das cobras cabe lugar para Hécate, uma deusa dos
mortos seguramente relacionada com as hecatombes, as grandes carnificinas
sacrificiais.
Hecatombe < Lat. hecatombe < Gr. ékatómbe < hekatón, = cem + boûs, boi =
sacrifício de cem bois???
Até prova em contrário acho provável que tenha sido o termo heka = 100 a
derivar da tradição das hecatombes, literalmente abate sacrificial duma manada de
(sempre cem?) bois em honra de Hecate, possivelmente variante da arte de caça por
perseguição e precipitação em precipício!
A verdade é que Artemis Tarsenica é a única situação conhecida de uma deusa
de dupla face como se fora esposa de Jano.
Tarsenica < Tar-kenika < *Terish-Nikê, ou Nikê de Tarso?
É possível que tenha etimologicamente algo a ver com a cidade onde Paulo de
Tarso foi oportunamente precedido por um discípulo denominado Apolo,
6 APPEARANCE OF WOMEN OF ANATOLIAN CIVILIZATIONS, Graphic design and HTML authoring
copyright © Türknet
estranhamente (e muitas e estranhas são as coincidências semânticas entre a mitologia
clássica e a nomenclatura cristã!) o nome do deus que foi irmão de Artemisa. Porém,
o mais interessante é verificar que à data da cultura clássica já o nome da cidade onde
o altar foi encontrado tinha por nome Arycanda que um análise atenta permite
relacional com o epíteto referido. De facto, Arycanda < Karki Ki-Enki = Karki
Enki-Ki => *Tarsi-Nikê! Mas como as etimologia é como as cerejas não deixa de ser
interessante reparar que o nome da cidade de Arycanda sugere também um dos nomes
malditos da deusa mãe dos indus, Chan-di .
Chan-di < Ki-Antu > Tiantu > Tanitu > Tan-it.
Como Hécate é quase Acteia, então, “no mito da morte de Actéon”, Artemis
seria esta Acteia, um nome adequado para esposa, ou mãe, de Actaeon. Pelo menos
assim pareceu ser na inspiração de licaon no seu vaso sobre a morte de Acteion em
que Artemis tem toda a postura de Hécate!

LOUCOS E LUNÁTICOS
A analogia ou o paralelismo entre Artemisa e Hécate torna-se ainda mais
evidente pela relação destas deusas da caça com os cães em noites de luar e com os
lobos uivantes como fantasmas ao disco argentino da lua nova!
Hécate = Deusa da escuridão, a filha do Titã Pérses e Astéria. Diferente de
Ártemis, que representava o luar e o esplendor da noite, Hécate representava a sua
escuridão e seus terrores. Em noites sem luar, acreditava-se que ela vagava pela terra
com uma matilha de uivantes lobos fantasmas. Era a deusa da feitiçaria e era
especialmente adorada por mágicos e feiticeiras, que sacrificavam cães e cordeiros
negros a ela.
Ora, os lobos fantasmas e a licantropia devem ter tido uma qualquer relação
com certas formas de epilepsia com que, em parte, seria confundida com a
sintomatologia inicial da «raiva», e então, ambas apelidadas de loucura divina!!!

Figura 15: Zeus & Lyssa, Acteion & Artemis num vaso de Licaon.
Laepus, deus ibérico  Lat. Lupus < Laebo < Raewo > «raiva» < Raika < *Urkika.
Lida < Leda < Retha < Rehya
< *Urkika: Diosa de la caza; protectora de la vida salvaje. > Etrusc. Lyssa.
Lyssa, deusa silvestre do luar < Lussa, a deusa da loucura > Lusha, lit. «filho
da lua» > Lusa, deus da «raiva» dos cães considerada como «loucura divina» lançada
sobre os cães que se transformavam em lobos (licantropia) pelo, sobe a nefasta
influência da Lua Nova?!
Aphrattos: hê Hekatê (Tarent.), Hsch.
Uma das pistas para esta história pode resultar de Aphrattos, um estranho
epíteto tarentino de Hecate, a louca. O caminho mais provável é a partir de phrên e,
neste caso, Hecate seria apenas a oligofrénica sem «freios» nos seus intentos.
Aaphrast-us , Ion. < for aphradia, = folly, thoughtlessness. < aphroneô < Aphrôn,
( < [phrên = the midriff or muscle which parts < heart < will> mind]) senseless, crazed,
frantic, etc.
Ora bem, a origem deste termo pode estar na relação entre a salivação dos cães
raivosos e sintomas vagais idênticos de certos envenenamentos por mordeduras de
cobras e de certas formas de ataques de loucura raivosa ou de epilepsia!
Aphreô,( [aphros] ) foam.
Neste caso, a analogia fonética entre espumados (aphreô) desaforos por
loucuras de paixão afrodisíaca e disparatadas reacções esquizofrénicas (aphradias)
por licantropia sob os auspícios de Hecate teria sido a causa do epíteto Aphrattos.
Quanto à loucura pode não ter tido a etimologia que se supõe!
«Louco» < Lhauco < Lat. Glaucus, n, pr. Gr. Glaûkos?
< Lhiarco < Lat. Learchus?
Por ter sido Glauco o “deus menino”, morto como Dionísio, e por isso mesmo
verde como era suposto serem todos os cadáveres, como o dos deuses dos «mortos»
Ptah & Osíris? Mas, ainda que assim fora por ser um facto que se pode ficar tão louco
como”verde de raiva” existe pouca convicção nesta linha semiológica uma vez que o
mito de Glaucos nos reporta sobretudo para a questão dos «antídotos» para a
mordedura de cobras.
A verdade é que esta relação significante não era conhecida dos clássicos! A
única relação mítica com a loucura aparece no termo Lat. Learchus, i, m., = Learchos,
the son of Athamas and Ino, whom Athamas, in a fit of madness, killed.

Ver: LOXIAS (***) & APOLO LICEU (***) & GLAUCOS (***)
& LUPERCALLES / LOBISOMENS (***)

E que é muito mais simples e mais dentro da lógica antes referida deduzir que a
loucura sempre foi considerada como uma doença divina própria de lunáticos e então:
«Raiva» Lat. * rabia, por rabies < rauwies < Urki-ish, lit. «o mal da lua» =>
Raca > aurki> rauk > Gr. lytta, ae, f., = lutta, a worm under a dog's tongue, said to
7

7 Ver nos evangelhos a função terapêutica do nome mágico «raca» pronunciado por J. Cristo num dos seus
milagres, suponho que no da cura do cego!
cause madness, < lutta < lu(na)t(i)tu < Lat. lunaticus < *Lu-an-at > a(n)luado >
«aluado»
> Luatico > Lau(h)ico > «louco»!!!
Quer dizer que nos fica a suspeita de, pelo menos duas coisas, em simultâneo:
1º Que a raiva, por ser uma doença de cães e de lobos, era considerada como
uma forma de «loucura lunar», quiçá porque se tratava de animais sagrados desta
deusa, na medida em que existe a crença generalizada de que estes animais uivam à lua
nova!
2º Que esta «loucura lunar» estaria relacionada com a licantropia na medida em
que já existiria a intuição de que a raiva se transmitia ao homem a partir dos seus
próprios cães e tinha uma sintomatologia que facilmente poderia ser confundido com
uma forma a loucura divina da epilepsia e ser fantasiada como uma espécie de esboço
de transformação em lobisomem!
Pois bem, ousando ir ainda mais longe na divagação étmimológica poderíamos
ir de Actaeon a Poseidon.
Actaeon < Aktaeon = *Ash Theon, para *Ash/at- => pot- > *posi)
=> Posideon > Poseidon.
Claro que se suspeita, pela análise funcional dos mitos, que Artemisa seria uma
variante anatólica mais arcaica de Atena, e, então, também esta foi filha e esposa do
deus dos mares, Poseidon entre os gregos clássicos, com o qual teria tido querelas e
conflitos conjugais e mesmo graves divergências de política internacional.
No mito de Atenas temos mesmo a certeza de que a cidade de Atenas foi causa
de uma disputa entre minóicos e micénicos que colocou Poseidon em pé de guerra
com a sua amada filha Atena.
In the days of King Cecrops a dispute had arisen between her and Poseidon for
the possession of Attica. To affirm his rights Poseidon struck the rock of the Acropolis
with his trident and a salt water spring gushed forth. According to another tradition it
was a horse which appeared under Poseidon's trident. Athena, in her turn, caused an
olive tree to sprout on the Acropolis, a tree which could be seen in the time of Pericles,
still alive in spite of having been burned by the Persians during the invasion of Xerxes.
Asked to settle the dispute the Gods, on the evidence of Cecrops, pronounced in favor
of Athena.
Então, é possível que o mito encubra uma arcaica e sanguinária versão em que
as deusas mães matavam os machos dominantes quando estes se começavam a
intrometer nas suas vidas privadas, ou seja, no início do patriarcado! Será isto que as
estranhas e aterradoras imagens de Kali manifestam? O corpo morto sobre o qual Kali
saliva de gula seria Kar, o próprio filho e marido, morto pelas suas próprias mãos? De
qualquer modo, “o mito da morte de Acteião” seria uma espécie de lapso psicanalítico
no qual Artemisa denegaria o sacrifício do filho ou do marido, disfarçando mal o
sacrifício de Telepinus num rito primaveril de morte e ressurreição como evolução de
outros mitos solares muito mais arcaicos onde haveria «sacrifícios humanos». A morte
sacrificial do consorte real duma matriarca seria para alguns a explicação destes mitos
de morte e ressurreição solar anual.
Seja como for este mito seria apenas uma versão macabra de tempos muito
arcaicos em que Tiamat provocou a gigantomaquia, a primeira grande guerra entre os
deuses. A versão mais humana e compungida viria a ser revelada nas variantes dos
mitos das “dores de parto de Eos” e da cristianíssima Pieta.

Ver CANIBAL (***) & Ver: ATENA (***)

Das könnte Ihnen auch gefallen