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Arrête
Article 1 : Est approuvé le document technique réglementaire DTR BE 2.1 a intitulé « règles
d'exécution des chapes et dalles à base de liants hydrauliques » annexé à l'original
du présent arrêté.
Article 2 : Les dispositions du document technique réglementaire, visé à l'article 1er ci-
dessus, sont applicables à toute nouvelle étude, trois (3) mois après la date de
publication du présent arrêté au Journal Officiel de la République Algérienne
Démocratique et Populaire.
Article 3 : Les maîtres d'ouvrage, les maîtres d'œuvre les entreprises de réalisation, les
organismes de contrôle et d'expertise sont tenus de respecter les dispositions du
document technique réglementaire sus cité.
Article 4 : Le centre national de recherche appliquée en génie parasismique (CGS) est chargé
de l'édition et de la diffusion du document technique réglementaire, objet du
présent arrêté.
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GROUPE DE TRAVAIL SPECIALISE (GTS)
PRESIDENT:
RAPPORTEUR:
MEMBRES:
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SOMMAIRE
CHAPITRE 1 : GENERALITES
1.1 Objet et domaine d'application
1.2. Fonctions et exigences à satisfaire
1.3. Définitions
1.31. Formes
1.311. Formes sous carrelages scellés à l'intérieur du bâtiment
1.312. Les formes de pentes
1.313. Formes utilisées pour atteindre la côte de niveau souhaitée
1.314. Formes localisées de faibles dimensions
1.32. Chapes et dalles adhérentes
1.321. Chapes adhérentes
1 .322. Dalles adhérentes
1.33. Chapes et dalles flottantes
1.34. Couches intermédiaires
CHAPITRE 2 : MATERIAUX
2.1. Liants hydrauliques et produits d'addition
2.11. Liants
2.12. Adjuvants et produits de cure
2.2. Sables, granulats et bétons
2.3. Eau de gâchage
2.4. Couches intermédiaires
2.40. Généralités
2.41. Couches de désolidarisation
2.42. Couches de glissement
2.43. Couches isolantes
2.431. Compressibilité des couches isolantes
2.432. Définition de l'essai
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3.422. Constitution
3.423. Finition
3.5. Chapes et dalles flottantes
3.51. Etat de surface du support
3.52. Mise en place de l'isolant
3.53. Constitution
3.54. Joints de fractionnement des chapes
3.55. Epaisseur des chapes flottantes
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CHAPITRE 1
GENERALITES
Le présent document a pour objet de préciser les prescriptions d'exécution des formes, chapes
et dalles dont les définitions sont données en 1.3
Ces formes, chapes et dalles complètent le gros oeuvre sur lequel elles reposent soit
directement, soit par interposition d'une couche intermédiaire de désolidarisation, d'isolation
ou de glissement telle que définie en 1.3.
Le présent document s'applique aux travaux exécutés à l'intérieur des bâtiments d'usage
courant, tels que les logements, les bâtiments scolaires et hospitaliers, les immeubles de
bureaux, etc...
Pour les autres bâtiments (par exemple bâtiments à usage industriel, agricole, aires sportives
etc...), si les exigences sont les mêmes que celles des bâtiments courants, les prescriptions du
présent document s'appliquent; si les exigences sont différentes, les prescriptions du présent
document ne les concernent pas.
Le présent document se limite à l'exécution des formes, chapes et dalles; Il est nécessaire de
se référer aux documents techniques réglementaires concernant les ouvrages auxquels ils sont
associés.
1.2. FONCTIONS ET EXIGENCES À SATISFAIRE
Les formes, dalles et chapes appliquées directement ou non sur le support sont destinées, soit
à rester bruts, soit à recevoir au moment de l'exécution ou après exécution un traitement de
surface comme suit:
après exécution:
- un traitement de surface (par exemple imprégnation)
- ou une couche de finition
- ou un revêtement de sol (y compris enduit de lissage' éventuel)
- ou un revêtement d'étanchéité
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On distingue les formes suivantes:
Lorsqu'elles sont exécutées sur plancher courant, on distingue les différents types de forme
suivants:
A) lit de sable, de classe 0,05mm de 2cm d'épaisseur maximale, employé à l'état sec,
B) lit de 2cm d'épaisseur en pierre concassée (calcaire, granit, basalte, porphyre, pouzzolane,
silex, grès, etc..) dit "grain de riz", de granularité 2 à 5mm,
Remarque:
Pour les formes A et B, une surépaisseur ou un excès d'humidité peut entraîner des désordres.
C) lit de sable de classe 0,05mm de 3 à 4cm d'épaisseur maximale stabilisé par 100/150 kg de
liant hydraulique par m3 de sable sec.
D) mortier ou béton maigre, de 4 à 6cm d'épaisseur, dosé soit à 175/200kg de ciment par m3
ou à environ 300kg de chaux hydraulique par m3 de sable sec,
E) 3 à 5cm de mortier de ciment dosé à environ 300 kg/m3, éventuellement avec armature de
treillis soudé en acier doux:
- maille maximale: 50 x 50mm,
- masse minimale au m2 : 220g,
Par exemple, le treillis soudé 0,9mm x 0,9mm en mailles de 50mm x 50mm pèse
environ 220g au m2.
F) 4 à 6cm de mortier de ciment armé dosé à environ 300 kg/m3 avec armature de treillis
soudé:
- maille maximale: 100 x 100mm,
- masse minimale au m2 : 325g,
Par exemple, le treillis soudé 1,4mm x 1,8mm en mailles de 100mm x 100mm pèse
environ 335g au m2.
G) 4 à 6cm de béton ou mortier, dosé à environ 300 kg/m3, avec armature:
- maille minimale: 50 x 50mm,
- masse minimale au m2 : 650g,
Par exemple, le treillis soudé 1,4mm x 1,8mm en mailles de 50 x 50mm pèse environ
670g au m2.
Le tableau ci-dessous précise les types de forme et les données relatives au mortier de pose,
compatibles avec les différents isolants.
Ces critères sont donnés pour des locaux à usage d'habitation (charge unitaire maximale de
250 daN/m2).
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Isolant
Classe Mode de pose Types de forme Mortier de pose
Compressibilité
(de compressibilité)
(1) (2)
(1)
Diminution d’épaisseur Pose directe Epaisseur 4 à 5 cm
I ≤ 0.5mm possible avec armature
Epaisseur supérieure
à 5 cm sans armature
Diminution d'épaisseur Pose directe E La pose est assimilée
II ≤ 3mm non admise + armature (3) à la pose sur support
Forme sur isolant
(1)- Les propriétés mécaniques en compression des produits sont déterminées conformément à
la norme en vigueur.
(2)- La compressibilité est déterminée suivant 2.431. C'est ainsi que:
Les produits classés 14 et 15 présentent respectivement une diminution d'épaisseur
inférieure à 0.5 et 0.3mm; Les produits 15 présentent par ailleurs par rapport au
produit 14 des caractéristiques améliorées vis à vis du fluage à long terme et de la
résistance au poinçonnement
Les produits classés 13 présentent une diminution d'épaisseur inférieure à 3mm.
Les produits classés 12 présentent une diminution inférieure à 12mm
(3)- Seul cas où l'armature n'est pas nécessaire, on pose des carreaux de format ≥100 cm2 avec
fractionnement de la surface carrelée tous les 15m
(4)- La forme G est réservée aux carreaux de très petites dimensions format <100 cm
1.312. Les Formes de pentes
D'épaisseur variable, elles sont destinées à favoriser l'écoulement des eaux; Généralement
exécutées en toitures-terrasses, elles reçoivent dans ce cas soit l'étanchéité directement
appliquée et sa protection éventuelle, soit les panneaux isolants supports d'étanchéité.
Elles peuvent être:
- soit monolithes et adhérentes à l'élément porteur
- soit fractionnées sur panneaux isolants
1.313. Formes utilisées pour atteindre la côte de niveau souhaitée (ravoirages)
Ces formes appelées ravoirages, sont réalisées en mortier maigre, sable ou sable stabilisé; On
y incorpore, le cas échéant, des canalisations; Ces formes peuvent recevoir, soit un revêtement
de sol scellé, soit une chape elle-même destinée à recevoir un revêtement de sol collé.
1.314. Formes localisées de faibles dimensions (appelées" besaces")
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1.32. Chapes et dalles adhérentes
1.321. étiapes adhérentes
On distingue:
- Chapes incorporées
Ouvrages de finition constitués par un apport de mortier de ciment de granulométrie fine,
appliqué avant que le béton du support ait fait sa prise puis dressé à la règle, taloché et
éventuellement lissé.
- Chapes rapportées adhérentes
Ouvrages en mortier de ciment, exécutés au plus tôt après que le béton du support ait
commencé son durcissement puis dressés à la règle, talochés et éventuellement lissés. C'est le
cas des ouvrages d'interposition nécessaires en cas de support en béton brut ou en béton
surfacé courant devant recevoir un revêtement de sol mince collé.
1.322. Dalles adhérentes
Ouvrages en béton armé ou non renforçant un plancher existant.
1.33. Chapes et dalles flottantes
Ouvrages complètement désolidarisés des parois verticales et des ouvrages sur lesquels ils
reposent par l'intermédiaire d'une couche de désolidarisation, de glissement ou d'isolation,
telle que définie ci-après.
On distingue:
- Les chapes flottantes réalisées en mortier de ciment avec ou sans armature.
- Les dalles flottantes réalisées en béton armé ou non
1.34. Couches intermédiaires
Ces couches sont disposées entre l'ouvrage et le support.
On distingue:
- La couche de désolidarisation
Cette couche est destinée à désolidariser la forme, la chape ou la dalle du support, afin de
réduire les effets des variations dimensionnelles différentielles et des déformations.
- La couche de glissement
Cette couche est destinée à permettre la désolidarisation et le glissement des dalles flottantes
par rapport à leur support.
- La couche isolante
Cette couche est destinée à atteindre les performances d'isolation thermique et/ou acoustique
requises.
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CHAPITRE 2
MATERIAUX
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4. Roches micacée exfoliée bitumée compactée, qui peuvent servir de couche de
désolidarisation ;
5. Granulats de verre expansé, argile ou schiste expansé ;
6. Asphalte coulé, qui peut servir de couche de désolidarisation ;
7. Panneaux de polyuréthanne, polystyrène expansé, polystyrène extrudé, perlite
cellulose, verre cellulaire, liège expansé (qui peut servir de couche de
désolidarisation), fibres minérales ;
8. Rouleaux de fibres minérales ou végétales (qui peuvent servir de couche de
désolidarisation), rouleaux de mousse de polyéthylène ;
Les cas (1), (2), (4) peuvent servir de formes utilisées pour atteindre la cote de niveau
souhaitée (ravoirage).
2.431. Compressibilité des couches isolantes
Les couches isolantes visées dans le présent document sont divisées en 3 catégories suivant le
tassement observé sous charge dans les conditions de l'essai défini en 2.432.
Les catégories sont classées sous la dénomination:
Compressibilité I : tassement observé ≤ 0.5 mm
Compressibilité II : 0.5 < tassement observé ≤ 3 mm
Compressibilité III : 3 < tassement observé ≤ 12 mm
Cette "compressibilité" caractérise non pas le matériau constitutif mais la (ou les) couche(s)
isolante(s) elle(s) même(s) compte tenu de son épaisseur d'emploi, de sa densité, de son mode
de fabrication et de sa forme.
Le tassement peut donc changer notamment suivant l'épaisseur de la couche. Les isolants
d'épaisseur inférieure ou égale à 3mm restent dans la catégorie "compressibilité I".
Le tassement des isolants de plus de 15mm d'épaisseur classés en catégorie "compressibilité
III" ne doit pas excéder 50 % de leur épaisseur.
2.432. Définition de l'essai
L'essai sur éprouvette est défini comme suit:
Celle-ci est constituée par un élément de 30 x 30 cm découpé dans l'isolant. L'éprouvette,
placée entre deux plaques carrées, à bords vifs, est soumise à une compression croissante.
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CHAPITRE 3
13
Ils intéressent:
- la hauteur de la dalle ou de la chape, ou une partie de cette hauteur avec un minimum de
3 cm.
3.42. Cas particulier des formes de pentes destinées à recevoir des revêtements
d'étanchéité
La forme est réalisée:
- en béton de gravillon, quand son épaisseur est supérieure à 3cm.
- en mortier de sable et ciment, quand son épaisseur est comprise entre 1 et 3cm.
- les épaisseurs inférieures à 1cm ne sont pas admises.
- l'épaisseur maximale des formes en mortier est de 3cm; ces formes sont réservées:
. aux ragréages ou aux recharges localisées
. aux zones de raccordement (évacuations d'eaux pluviales, etc.)
. aux ouvrages de faibles dimensions (balcons, loggias).
3.421. Etat du support
Les prescriptions de l'article 3.411 "état du support" sont applicables.
3.422. Constitution
Le dosage en ciment des formes de pente en béton est compris entre 200 et 250 kg de ciment
CPA 325 par mètre cube.
Le dosage en ciment des formes de pente de faible surface en mortier est de 350 kg de ciment
CPA 325 par mètre cube.
3.423. Finition
Le dressement de la surface de la forme est obtenu par réglage et talochage manuel ou
mécanique quand la granulométrie le permet ou par l'exécution d'une chape incorporée en
mortier de ciment.
3.5. CHAPES ET DALLES FLOTTANTES
3.51. Etat de surface du support
L'état de surface du support est:
- le béton brut quand il est prévu pour atteindre la côte de niveau souhaitée ou une pose
d'isolant susceptible de s'adapter à ce support.
- le béton surfacé courant dans les autres cas.
3.52. Mise en place de l'isolant
La mise en place doit être faite de façon à obtenir une continuité de l'isolation. Des
précautions doivent être prises pour empêcher la pénétration de la laitance dans les joints
entre panneaux ou entre rouleaux.
Des dispositions doivent être prises au pourtour pour désolidariser les chapes ou dalles des
parois et autour des pénétrations .Parmi les solutions envisageables, on peut utiliser une bande
autocollante résiliante.
3.53. Constitution
Le dosage en ciment des chapes flottantes en mortier ou béton est de 350 kg de ciment de
classe 45 par mètre cube de mortier ou béton.
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3.54. Joints de fractionnement des chapes
Outre les joints de construction du support, des joints de fractionnement sont exécutés tous les
50 m2 et au plus tous les 10m. .
Ils sont ménagés aux reprises de coulage et/ou en fonction de la configuration géométrique
des ouvrages.
Les joints aux reprises de coulage sont traités en joints secs.
Les joints de fractionnement sont exécutés:
- à sec
- par sciage mécanique
- par profilé plastique
Ils intéressent la hauteur de la chape ou une partie de cette hauteur avec un minimum de 3 cm.
Isolant Chape
Classe de compressibilité Epaisseur
Armature
(cm)
Dans le cas particulier où des cloisons légères (150 kg/m) sont montées après exécution de la
chape, l'épaisseur minimale de celle-ci est de 5 cm avec armatures 0,9 x 0,9 / 50 x 50 pour des
isolants de classe 1 et Il et de 6 cm pour des isolants de classe III.
Si des cloisons d'un poids compris entre 150 et 200 kg/m sont montées après exécution de la
chape, les prescriptions du paragraphe précédent sont complétées par un renforcement
transversal d'armatures au droit de ces cloisons.
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CHAPITRE 4
4.1. DALLES
Les tolérances. d'exécution des dalles sont définies,dans le cas général, par référence aux
tolérances d'exécution des ouvrages en béton armé du DTR BE 2.1 "Exécution des ouvrages
en béton armé".
Dans le cas particulier de formes ou dalles destinées à recevoir des revêtements de sol scellés,
les tolérances d'exécution sont définies ci-après:
Caractéristiques
Matériaux
Planéité Niveau (2) Alignement des
(1) en mm joints (3) en mm
Grès cérames
Carreaux ≤3 10 ≤2
Eléments 10 ≤2
Grès étiré ≤3 10 ≤2
Terre cuite ≤3 10 ≤2
Carreaux à liant
Ciment ≤3 10 ≤2
Pierres
Formes
Régulières ≤3 10 ≤2
Opus ≤5 10 -
Granito ≤3 10 -
(1) flèche maximale sous règle de 2 m à laquelle s'ajoute la tolérance admise pour le
matériau considéré.
(2) Ecart de la surface finie au niveau prévu.
(3) Ecart maximal sous règle de 2 m à laquelle s'ajoute la tolérance admise pour le matériau
considéré.
4.3. CHAPES
Sous la règle de 2m aucune flèche supérieure à 7mm ne doit être observée après déplacements
en tous sens sur la surface du support.
Sous le réglet de 0,20m aucune flèche supérieure à 2mm ne doit être observée après
déplacements en tous sens sur la surface du support.
L'état de surface obtenu après dressage à la règle, talochage manuel ou mécanique, et lissage,
est fin et régulier.
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4.32. Chapes rapportées
Sous la règle de 2m aucune flèche supérieure à 5mm ne doit être observée après déplacements
en tous sens sur la surface du support.
Sous le réglet de 0,20m aucune flèche supérieure à 2mm ne doit être observée après
déplacements en tous sens sur la surface du support.
L'état de surface obtenu après dressage à la règle, talochage manuel ou mécanique, et lissage,
au fer est lisse, fin et régulier.
4.322. Cas particulier où la chape est destinée à recevoir un revête met de sol collé ou
une peinture:
Sous la règle de 2m aucune flèche supérieure à 5mm ne doit être observée après déplacements
en tous sens sur la surface du support.
Sous le réglet de 0,20 m aucune flèche supérieure à 1 mm ne doit être observé après
déplacements en tous sens sur la surface du support.
L'état de surface obtenu après dressage à la règle, talochage manuel ou mécanique, et lissage,
au fer est lisse, fin et régulier.
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