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RAPPORT DE

LABORATOIRE PUBLIC

 Réaliser par : Saïd Ouaouich, Ait Aammi hadît Ayoub, Mouhssin


Dbouz, Mohamed Mouzon, Abedelamahjid Salhi, Karima Sellam,
Abed Elhak Amalik, Amine Ait Tahar,
 Encadre par : Rahmoani ABELLAH
Filières : Technicien chef chantier de travaux public

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Remerciement
Je remercie toutes les personnes qui m’ont aidé de près et de lion
à choisir cet établissement pour effectuer mon TP et à réaliser ce
modeste rapport

Je remercie D’abord Monsieur le directeur générale et des études


de ISBTP, ainsi que tous les personnelles d’établissement

Mon très profond remerciement à mes parents et mes chers


collègues

L aimerai bien remercie le formateur de la section de chef chantier


de travaux publics / MR RAHMONI ABCELLAH

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SOMMAIR

o REMERCEMENTE……………………………………. /
o Dédicace ………………………………………………../
o Essai au Laboratoire……………………………………. /

o Analyse Granulométrique
o Essai Los Angeles
o Equivalent de Sable
o Limites d Atte berg
o Cône d’Abms
o CBR
o Le sondage
o Concluions ………………………………………………/

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ESSAIS DE LABORATOIRE

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1. analyse granulométrique:

 Définition :
La granulométrie permet de
déterminer l’échelonnement des dimensions des
grains contenus dans un granulat.
L’analyse de granulométrie consiste à tamiser le
granulat sur une série de tamis à maille carrée,
de dimensions d’ouverture décroissantes et à peser le
refus sur chaque tamis. Les ouvertures
carrées des tamis sont normalisées de 0,08 à 80
mm

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But et domaine d’application :
Le but de l’analyse granulométrique : et répartition de taille des
grains
 MATERIELS : serais des du tamis, de plus gros est le plus
petit.
Balance :
Etuve (105°C)
 Mode opératoires :
1) Prise d’essai >> 200*D max
exemple :
« D max =25mm» donc : M=200*25 =5000g
2) Etuve à 105°C : teneur en l’eau w= (MW /MS) *100.
3) La vague sur tamis 0 ,08mm.
4) Etuve a105°C.
5) Séries de tamis.
6) Calculer le refus sur chaque tamis en (g).
7) Calculer le refus cumules.
8) Calculer % refus cumules (RC/MS*100).
9) Calculer %des passant cumules (100 - %refus cumules).

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10) Trace la courbe granulométrique.

Une prise d’essai, Lavage de la prise


de masse M (g) d’essai séchée sous
supérieure à 200 D le tamis de 80µm.
(avec D est la plus
grande dimension
dans le matériau à
tamiser en mm

Fractionner le
matériau au
moyen d’une série
de tamis en mode
décroissent ;

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 Lavage:

Notre deuxième échantillon trèpe va être verse avec l’eau de


trempage dans le tamis de lavage 0,080 (ici on doit protéger ce
tamis de lavage par ce qu’il est sensible).

 Tamisage :

Le matériau lave et sèche est verse dans la colonne formée de


l’boitement de tamis dans un ordre dé croissant des mails et on anglet
en général le tamisage est considère termine lorsque le refus sur un
tamis naisse modifie pas plus de 1% en une de Tamisage.

 Pesées : On pesé et on le no la masse du refus on repait la


même opération pour chaque tamis en accumulant le refus
et en ajoutant la tamisât dans les tamis qui suivent pour le
dernier tamis TN on note sa mase séparément.
 On pare pour un même tamis
 Tamisât : le poids de matériau passant à travers le
tamis.
 Refus : le poids de matériau retenu par le tamis.

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 l’analyse granulométrique par tamisage .NM
13 .1 .008

Masse Masse %refus %tamisât


Masse sèche après étuvage
Ouverture refus refus cumules cumules
cumules 100. 100(1-
M2= 8371g
tamis (mm) Ri (g) Ri(g) Ri/M2 Ri/M2)
40 0 0 0 100 Masse sèche après lavage sur tamis
31,5 88 88 1,05 98,95 0, 315mm
25 35 123 1,47 98,53
20 84 207 2,47 97,53 M3=8102g
8 6504 6711 80,17 19,83 Total refus et passant sur 0,315mm
6,3 194 6905 82,49 17,51
3,15 249 7154 85,46 14,54 M4= 7420 +647=8094g
2,5 51 7205 86,07 13,93
1,6 64 7269 86,84 13,16 L’perte M3-M4= (8102-8094) =8
1,25 17 7286 87,04 12,96
0,63 43 7329 87,55 12,45
0,315 91 7420 88,64 11,36  Validation
<0,315 674 8094 96,69 3,31
On (M3 –M4) /M3*100 = (8102-
8094) /8102*100 =0,099 %
Donc l’essai et valide par ce que la valeur 0,099 % <2%
M2-M3= 269 g, la masse de fille ou farine

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 La forme idéale d’une courbe granulométrique est

%TAMISAT CUMULES 100(1-RI/M2)

120

100

80

60

40

20

0
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45

 Remarque :

La fraction 8/20 est dominante sur le matériel

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2. L’ESSAI LOS ANGELES :
 Définition :
le principe de cet essai est la
détermination de la résistance à la fragmentation par chocs.
Cet essai fait l’objet des normes NFP 18.573 et
l’essai concerne les pierres cassées ainsi que les
grains concassés.

 Bute de l’essai :
Dureté ou la résistance à la fragmentation mécanique.

MATERIELS :
Machine los Angeles

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 La masse de la charge des boulets varie suivant les classes
granulaires.
Class Nombre total
Number de Number de
granular bullet de la charge rotation
(mm) (g)
4/6,3 7 3080 500
6,3/10 9 3960 500
10/14 11 4840 500
10/25 11 4840 500
16/31,5 12 5280 500
25/50 12 5280 1000

 Mode opératoires :
1) Quantité de 6 kg de la fraction 10/14 en trouve les passants de
tamis 10 et le refus de tamis 14.
2) Lavage.
3) Etuve (séchage a 105°C).
4) En trouve 5kg dans la fraction 10/14.
5) Introduire le matériau dans la machine LA +11 Boulets.
6) 500 Tours (16mim).
7) Lavage sur tamis 1 ,6mm +séchage (105°C).
8) Mesurer le refus LA=100. (masse initiale –refus tamis 1,6
/masse initial

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 Expression des résultats :
Le coefficient Los Angeles : LA= 100 x (5000-m’) / 5000

 Exploitation des résultats :


La résistance à la fragmentation est d’autant plus importante que LA
est plus faible.
Sufficient Appreciation
15 Tre’s bon à bon
15 à 20 Bon à Moyne
20 à 30 Moyne à feeble
LA>30 Mediocre

Préparer 5000g de Mise en


Fraction 10/14. Place du granulat

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Mise en place de 11 Etat du granulat en fin
Boulets d’essai (500 tours)

En trouve cette chantai Masse sèche des refus


Sur tamis 1,6 au tamis 1,6 après le
Etuvage

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 Exemple : essai los Angeles (NM10 .1.706 ; 2008)

Masse sèche des refus au tamis 1,6(m’en g) 3758


Masse sèche du passât au tamis 1,6(men g) 1242
avec m= (5000-m’)

Coefficient los Angeles (LA en%) 24,84


LA =100*(m /5000)

Chargé d’essai Renseignements divers et observation

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1. L’ESSAI M.D.E :
Micro dévale à la présence de l’eau.

 Bute de l’essai :
Mesure la quantité des éléments inférieure à 1,6 mm à la fin de
l’essai.

 Mode opératoires :
1) Préparer une quantité suffisant de la fraction 10/14.
2) Lavage + Etuvage (105°C).
3) 5kg de bille +2,5 litre de l’eau +martiaux (500g de 10 /14).
4) 12000 tours (2h).
5) Tamisage sue tamis 1,6 mm
6) Lavage + Etuve

MDE= (5000-m /5000)*100

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2. EQUIVALENT DE SABLE :

 Bute de l’essai :
L’essai équivalent de sable a pour but de déterminer la
propreté d’un sable, cet essai qui s’effectue sur la
fraction de sol ou de granulat passant, au tamis à ***
mailles carres de 5mm, est réalisé pour déminer le
degré de pollution d’un sol ou d’un sable ***

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 Mode opératoires :

Le matériau est tamisé Siphonner la solution


sous tamis de 5mm lavant dans chaque
la masse d’échantillon cylindre gradué,
nécessaire à l’essai jusqu'au trait repère
selon la formule inférieur figurant sur
suivante : le cylindre.
M = (1+W/100) x120

À l'aide de Taper le fond de


l'entonnoir, verser chaque cylindre à
une éprouvette plusieurs reprises
dans chaque sur la paume de la
cylindre gradué. Main afin de
Déloger les bulles D’air.

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Laisser reposer Agiter le cylindre
pendant (10 ± 1) min pendant (30 ± 1) s
pour humidifier puis replacer le
l’éprouvette. Cylindre sur la
Table de travail
Dans la position
Verticale.

Rincer tout d'abord les Après 20min de repos,


parois du cylindre avec mesurer la hauteur h1
la solution lavande, du niveau supérieur
puis enfoncer le tube du floculat par rapport
de façon à ce qu'il au fond du cylindre
traverse le sédiment gradué et h’1 là
au fond du cylindre. Hauteur du sédiment.

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Déterminer la
hauteur du
sédiment h2 (entre
face inférieure de la
tête du piston et la
face supérieure du
manchon).

 Remarque :

 ES > 80 – on à des bons granulats.


 80 < ES < 70 – à n’utiliser qu’exceptionnellement et à
condition d’employer un ciment Portland
 ES < 70 – il faut laver le granulat, pour éliminer les
éléments fins
 La présence d’éléments fins dans un granulat
améliore la maniabilité du béton et un équivalent
de sable très élevé correspond donc à un sable
donnant un béton « raide

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Teneur en
eau
Masse Masse Teneur w
Masse dès la total totale en mayen
humide eau (W
tare en(g) en (g) sèche (g) en %) en %

échantillon 1 858 1084 1079 2,26 2,31


échantillon 2 868 1127 1121 2,37

(Mh-
W(%)= Ms) *100
(Ms-T)

Masse dès la prise d'essai (M den g) 122,77


W mayen
M=120(1+ )
100

Equivalent
de sable
Hauteur Hauteur
Hauteur de de si de si
floculat dément dément Esv (%) Es (%)
visuel (H'2 (H2 en
(H1 en mm) en mm) mm)
Prise d'essai 1 118 68 65 57,70 55,1
Prise d'essai 2 116 68 67 58,5 57,3

Esv(%)=100(H’2 /H1) Es= 100(H2/H1) Moyenne 58,1 56,2

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3. LIMITES D’ATTERBERG :

 Définition:
Les limites d’Atterberg sont des paramètres
géotechniques destinés à identifier un sol et à
caractériser son état au moyen de son indice de
consistance.
 But : identification et classification des sols
 Appareillage :
Appareillage de Casagrand

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 Mode opératoires :

Malaxer une Répartir avec la


quantité de 200g spatule, dans la
environ du tamisât coupelle propre et
obtenu à 0.4mm, sèche, une masse
Afin d'obtenir une environ 70g de
pâte homogène et pâte.
Presque fluide.

Puis partager cette pâte en


deux avec l'outil a rainuré

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 La limite de liquidité (WL): c’est la recherche de la
teneur en eau pour laquelle une rainure pratiquée
dans le matériau placé dans la coupelle se ferme
(sur une longueur de 1cm) après 25 chocs normalisés.
 la limite de plasticité (WP): c’est la recherche de la
teneur en eau pour laquelle un rouleau de 3mm,
confectionné à la main, se fissuré
L’indice de plasticité est la différence entre ces deux
limites.
IP=Wl-Wp
On distingue généralement les seuils suivants:
IP < 5 matériau non plastique
5 < IP < 15 matériau peu plastique
15 < IP < 40 matériau plastique
IP > 40 matériau très plastique

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 Exemple
Limite de liquidité Limite de plasticité
NB des couds 15 18 25 28 34
N ° de la tare 25 24 28 29 7 8 3
Masse de tare (t en g) 20,953
20,904 20,945 20,991 20,87 18,39 19,14
masse totale 30,867
31,839 29,996 31,576 31,5 19,96 20
humide (mh en g)
masse totale 28,9 29,742 28,292 29,645 29,59 19,72 19,88
séché (ms en g)
teneur en eau 24,75 23,73 23,19 22,19 21,84 18,22 17,62
(W en %)

WL 23,19
WP 17,62
IP 5,57

 Remarque :

On 5 < IP < 15 donc le matériau peu plastique.

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6. Essai de cône d’Abram :

 Bute de l’essai :
Ouvrabilité et maniabilité de quantité de l’eau et provenance.
MATERIELS :
Cône d’Abram

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 Mode opératoires :

Huiler le moule. Lisier le mouler a la


Plaque.

Remplir le béton en respections des étapes


4 couche, 25 coups par couche, à raser le sur plus

Démouler et muser la hauteur après 1 min.


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Calculer l’affaissement =h1-h2
0 à 3 cm : béton très ferme
3 à 6 cm : béton ferme
6 à 9 cm : béton normal
9 a 12cm : béton mou
>13 cm : béton très m

 Exemple :
Prépare une quantité des matériaux
Sable : 38 kg
Gravier : 42kg
Ciment : 10kg
L’eau : 7L
L’essai 1 L’essai 2 L’essai 3
H2 25,5 25 24 ,5
MOYN 25

 Remarque :
On Affaissement =h1 – h2= 30-25=5cm
Donc béton et ferme.
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7. Essai bleu de méthylène
 Objectif et principe de l’essai :
L’essai au bleu de méthylène, ou essai au bleu, est utilisé pour
déterminer l’argilosité d’un sable ou granulat et plus
généralement d’un sol.
L’essai consiste à déterminer la quantité de particules
argileuses présentes dans l’échantillon pour cela on utilise du
bleu de méthylène, substance adsorbé de préférence par les
argiles.
L’essai consiste à mesurer la quantité de bleu de méthylène
fixée par 100 g de la fraction granulaire de sol analysé.

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 Mode opératoires :
1) Tamiser l’échantillon a étudié au tamis 2 mm.
2) Prélever une masse de 200g
3) Ajouter 5 cm3 ou (500ml) de l’eau
4) Prépares 150ml du bleu de méthylène
5) Prélever une goutte de mélanges et la placer sur papier
filtre
Si la tache centrale est entourée d’une auréole bleu turquoise,
Le test est positif. Dans ce cas l’essai est terminé. Les particules
argileuses sont alors saturées en Bleu de Méthylène. On
recommence

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6) l’essai à l’identique. Cinq à intervalle d’une minute pour le

confirmer

Si la tâche est entourée d’une auréole humide incolore. Le test


est négatif. Dans ce cas, on ajoute du bleu de méthylène par
prises de 5cm3 jusqu’à ce que le teste sont positif. On répète
l’essai à l’identique. Cinq fois à intervalle d’une minute pour le
confirmer

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7) Calculer la valeur au bleu du sol (VBS) en appliquant la

formule suivante

VBS = (Vde Bleu /mi (200g))*10

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 Exemple :

VBS= (20/200)*10 = 1

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Conclusion :

Il a été constaté que lors de travaux de construction en génie


civil, on utilise les matériaux disponibles du site. La qualité de
ces derniers joue un rôle important dans ces travaux. Il est
donc fondamental de bien connaître les propriétés des sols
dans lesquels les projets se développent ainsi que les
ressources en matériaux qui sont utilisés.
Dans le cas des essais à pénétromètre dynamique, nous avons
donné sous forme de tableau les différentes contraintes
admissibles qui par profondeur de couche nous ont permis
d’estimer les différentes capacités portantes de cendres
volcaniques du Mont Goma.

Enfin l’essai au perméamétrie à charge constante nous a


permis de déterminer la capacité à laisser couler l’eau qui par
celle-ci les cendres peuvent être utilisées dans les zones
perméables en génie civil.

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