Beruflich Dokumente
Kultur Dokumente
Ex 1 : deux antiseptiques.
1. Courbe d’étalonnage du spectrophotomètre
1.1. La courbe représentative de A = f([I2]), figure 1, est une droite qui passe par l’origine. L'absorbance est
proportionnelle à la concentration en diiode, on peut écrire : A = k[I2]
(k coefficient de proportionnalité).
1.2. Amax = 2,00
A S'0 =
[I 2]max = 8,010-3 mol.L-1
I2
S
'
0
[I2]max
2. Titre du Lugol
2.1. La solution est diluée dix fois, il nous faut donc une pipette jaugée de 10,0 mL et une fiole jaugée de 100,0
mL.
2.2.1. On prend l’abscisse du point d’ordonnée AS '0 = 1,00, soit
I 2 S'0 = 4,010–3 mol.L-1
2.2.2. c L = 10
I2
S'0 (solution S0 diluée dix fois) cL = 104,010-3 = 4,010–2 mol.L -1
2.2.3. Si on ne diluait pas la solution commerciale, l’absorbance serait non mesurable car cL > [I 2]max .
3. Étude cinétique d’une transformation chimique mettant en jeu l’eau oxygénée et libérant du
diiode
3.1. Un oxydant est une espèce chimique capable de capter un ou plusieurs électrons.
3.2. Couple H2O2(aq) / H2O(l) réduction H2O2(aq) + 2 H +(aq) + 2 e – = 2 H2O(l)
mais ici, vu l'équation chimique proposée, on écrira plutôt: H2O2(aq) + 2 H3 O+ (aq) + 2 e– = 4 H2O(l)
Couple I2(aq) / I–(aq) oxydation 2 I–(aq) = I2 (aq) + 2 e–
3.3.Relation stœchiométrique H2O2(aq) + 2 I–(aq) + 2 H3O+ (aq) = I2(aq) + 4 H 2O(l)
État du
Avancement Bilan de matière en mol
système
État initial 0 c2.V2 excès excès 0 solvant
Au cours de la
x c2.V2 – x excès excès x solvant
transformation
État final xf c2.V2 – xf excès excès xf solvant
État final si la
transformation x max c2.V2 –xmax = 0 excès excès xmax = c 2.V2 solvant
est totale
nI (t )
3.4. [I2](t) = 2 , or d'après le tableau d'avancement nI2 (t ) = x(t).
Vtot
x(t)
[I2](t) = soit x(t) = [I2](t)Vtot
Vtot
1 dx(t) 1 d([I 2 ](t).Vtot ) Vtot d([I2 ](t)) d([I2 ](t))
3.5. v(t) = =
Vtot dt Vtot dt Vtot dt dt
Af
0,3cm
8,0 cm
Af/2
Tangente à t0 = 0 min
t1/2
3.6.2. La concentration en réactifs diminue au cours du temps donc la vitesse de réaction diminue également.
3.7. Transformation totale ou limitée.
3.7.1. On détermine l'échelle verticale de la figure 2: 8,0cm 1,6
soit 1,0 cm représente une absorbance de 0,2
Entre A = 1,4 et A = Af , il y a 0,3 cm, soit 0,30,2 = 0,06 donc Af = 1,46.
A x
soit [I 2]f = f = f
k Vtot
A
xf = f .Vtot
k
1, 46
xf = 15, 0 103 = 8,90 10–5 mol
246
x x xf
3.7.2. = f f =
x max c 2 .V2 c1
.V
10 2
8,90 105
= = 1 = 100 %
0,89
10 3
10
La transformation est totale.
dq du
or i = et q = C.u soit i = C.
dt dt
du
D’où u + r.C. =0
dt uR
du 1
en divisant chaque terme par r.C, on vérifie .u = 0 i décharge
dt r.C
2.3. Solution proposée u = U 0 exp ( –t /
')
du U U
= 0 .exp( – t / ' ) = 0 .exp( – t / ' )
dt ' r.C
En remplaçant u par son expression dans l’équation différentielle, il vient :
U 1
0 .exp( – t / ') + U exp ( –t / ')=0
r.C r.C 0
2.4. U0 est la valeur maximale de la tension u, c'est la tension à l'instant où la décharge débute.
2.5. D'après la courbe, u(0) = U0 = 300 V. Cette valeur est supérieure à 250 V, elle permet donc de créer un
éclair.
9. Les ondes électromagnétiques peuvent se propager dans le vide contrairement aux ondes mécaniques qui
nécessitent la présence de matière.
Cette longueur d'onde appartient au domaine des ondes radio. (elle intéresse les radioastronomes)
4.a. La lumière provenant d’un astre situé à l’infini entre dans le télescope parallèlement à l’axe optique de celui-
ci. L’image A de l’astre en l’absence de miroir secondaire se forme dans le plan focal du miroir sphérique (A
confondu avec le foyer F du miroir supposé sphérique).
F S
A
Miroir
f = 16,3 m
S est le sommet du miroir sphérique.
4.b. Le miroir secondaire est situé à d = 14 m du sommet du miroir principal, et incliné à 45° sur l’axe optique de
celui-ci.
L’image A’ est le symétrique de A par rapport au miroir plan.
Miroir plan
F S
A d = 14 m
Miroir
A'
f = 16,3 m
Miroir plan
F S
A'
4.d Il faut disposer la lentille (L) de telle sorte que son foyer objet F soit confondu avec le point A'. Ainsi l’image
définitive A’’ se forme à l’infini.
Miroir plan
F
A
Miroir
A' , F
F'
5. Limites
1,22.λ
5.a Pour = 600 nm et D = 2,5 mm , la limite de résolution 1 de l’œil humain nu est 1 =
D
1,22 600.109
1 = -3
= 2,910 – 4 rad
2,5.10
5.b Pour = 600 nm et D =5,08 m , la limite de résolution 2 du télescope de Mont Palomar est:
9
1,22.λ 1,22 600.10
2 = = = 1,4410 – 7 rad
D 5,08
6 Pour le grand radiotélescope à Arecibo de diamètre 305 m, pour la fréquence 470 MHz soit la longueur d'onde
= 0,638 m (cf.3.), la limite de résolution 3 est :
1,22.λ 1,22.c 1,22 3, 00 108
3 = = = = 2,5510 – 3 rad
D D.N 305 470.10 6
Plus la limite de résolution est faible et plus l’instrument est capable de séparer des points proches. 3 > 2 : Le
radiotélescope d’Arecibo est donc moins performant que celui du Mont Palomar. (Il est même moins performant
que l’œil humain)