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la zone du fuel
Introduction……………..…………………………………………………………….............6
1. Introduction……………………………………………….………………….…...14
2. Four de réchauffage…………………………………………….…………..….…14
3. Trains de laminage……………………………………………………………..…18
a. Train dégrossisseur……………………………………………………….....18
b. Train intermédiaire………………………………………………..…..….…19
c. Train finisseur…………………………………………………………...….19
d. Les cages………………………...……………………………………….....20
e. Les boucleurs……………………………………………………………......20
f. Les cisailles…………………………………………………..……………..21
4. Thermex………………………………………………………………….…...…..22
5. Twin channel et cooling bed………………………………...................................22
6. Produits finis…………………………………………………………….………..23
7. WTP (water treatment process)…………………………………………..………25
1. Introduction…………………………………………….…………..……………..61
2. Présentation du logiciel TIA PORTAL………………....….…………..…………62
a. STEP 7 dans TIA…………………………………………………………….64
b. Win cc dans TIA……………………………………………………………..64
Conclusion générale……………………………………………………...………….………85
Introduction
Dans ce projet de fin d’étude au sein de la société RIVA industries JORF Lasfar, on m’a été
confié de faire une étude de sûreté de fonctionnement de la zone du combustible pour mesurer
la fiabilité des équipements déjà installés et de la logique mise en place.
Notre apport consiste par la suite à automatiser et superviser les différents circuits de la zone.
Ce projet doit être bâti sur l’automatisation et la supervision de la zone du fuel afin d’optimiser
les interventions humaines et de minimiser la probabilité du risque d’explosion. En effet le
recours à un tel nouveau système offre des outils de pilotage du circuit de dépotage, de
refroidissement et du réchauffage qui permettent de répondre au cahier des charges.
Dans ce rapport, nous allons présenter les résultats auxquels nous avons abouti et les moyens
qu’elles nous ont permis d’atteindre ces résultats.
Afin de présenter ceci, nous avons choisi de scinder notre travail en quatre principaux chapitres.
1. Introduction :
RIVA Industries SARL (société à responsabilité limitée) est une nouvelle unité
marocaine proposant une variété d’aciers longs et spéciaux conformément aux standards
nationaux et internationaux les plus exigeants, implantée au niveau de la deuxième tranche
MEDZ industrielle à JORF LASFAR (EL JADIDA).
RIVA Appartienne au groupe MESKI Holding, le leader national dans l’industrie des matériaux
de construction et le premier distributeur national de ces produits.
La partie mécanique est conçue par la société Nueva Carpenteria Odolese (NCO) d’Italie, La
partie électrique est de conception Steelmatica, et Siemens pour les automates.
Riva industries est connectée 24/24h avec le constructeur NCO, il assure ainsi un
accompagnement technique pour résoudre d’éventuels incidents techniques en vue de la montée
en puissance de l’usine, et ils ont convenu un transfert de savoir-faire sur 5ans.
La commercialisation a été lancée après quelques mois de la mise en service, Riva a réalisé 850
Millions de DHS de chiffre d'affaire pendant une période de basse activité avec un faible taux
d’occupation des machines, Cela est un immense indice de sa capacité de production et de
continuité.
Une seule unité de production a été réalisée, et elle est actuellement en marche. Le programme
d’extension compte deux autres unités. Ils seront destinés à la production des aciers spéciaux
pour l’automobile, et à la construction métallique.
Téléphone 05-22-47-07-53
Fax 05-22-20-84-78
6. La sécurité :
Généralement la sécurité est le facteur le plus insisté dans l’industrie, dont les employés
de RIVA industries sont conclus et obligés par les notions de sécurité, car ils rencontrent
plusieurs risques dans l’usine, par exemple (la présence des ponts roulants, des engins des
travaux, la nature et la température du produits), pour cela plusieurs mesures de sécurité sont
adoptées, tels que la présence des équipements de protection individuels ou collectifs à fin
d’éviter tous risques de dangers.
Les EPI sont les équipements et les dispositifs destinés à être portés ou tenus par
l’employé en vue de protéger lui-même contre les différents risques susceptibles de menacer sa
santé et sa sécurité.
L’habillement de ces équipement est obligatoire pour toute personne dans l’usine, la raison pour
laquelle une formation de sécurité était la plus importante des activités du premier jour du stage.
Des affiches de signalisation rappelant la nécessité de ces équipements sont visibles partout
dans l’usine et sur chacune des entrées de l’usine.
Les EPI doivent être vérifiées lors de leur mise en service et avant chaque utilisation par les
agents utilisateurs.
Les équipements de protection collective permettent de protéger l’ensemble des salariés et sont
dans ce sens à privilégier.
CHAPITRE II :
1. Introduction :
Dans un laminoir à chaud, des produits longs (fil machine, tubes, barres, rails,
poutrelles) ou des larges-plats (tôles, bandes) sont fabriqués en les faisant passer entre des
cylindres, c’est l’opération de laminage.
Dans le laminoir à chaud les billettes sont chauffées dans un four de réchauffage à une
température supérieure à la température de recristallisation, l'acier est ensuite laminé.
En raison des hautes températures et des conditions d'environnement difficiles, les capteurs
utilisés dans le procédé de laminage à chaud doivent satisfaire à des exigences
considérablement plus élevées que dans d'autres domaines. Les détecteurs sont robustes avec
leur plage de température étendue permettent une détection fiable de positions et de valeurs
mesurées et garantissent un haut taux de disponibilité de l'installation.
2. Le four de réchauffage :
Le laminage s’effectue à partir des billettes de section 130x130x12000 mm, et a pour
objectif d’obtenir des barres de rond à béton qui sont ligaturés sous forme de fardeaux.
Les billettes se chargent dans une table de chargement à l’aide d’un pont roulant avant d’être
gérer par la salle de contrôle du four.
La table de chargement déplace les billettes vers le four, à base d’un capteur de position
« Toucher » rentre dans le four jusqu’à ce qu’il détecte la billette, et tant que la billette n’est
pas positionné en face de l’éjecteur, le toucher commande les vérins de la table pour pousser
les billettes.
Afin d’améliorer le rendement énergétique du four, il faut récupérer une partie de l’énergie des
fumées sortant du four généralement à des températures comprises entre 700°C et 900°C avant
de les rejeter dans l’atmosphère.
Au niveau de Riva industries, l’usine est équipé d’un récupérateur de chaleur tubulaire jouant
deux rôles : un récupérateur et un réchauffeur de l’air de combustion qui est amené a une
température comprise entre 200°C et 450°C.
Au cas où la billette sera bien positionnée et prête pour le laminage, les portes de four s’ouvrent
et la barre pousseuse qui contient un capteur de présence appelé scanner HMD « Hot Métal
Detector » pousse la biellette hors du four vers les trains de laminage à travers un moteur à
courant continu et deux vérins hydrauliques et des conditions de démarrage des vingt moteurs
permettant d’entrainer la billette vers le train de laminage, ainsi que la présence de l’eau sur la
ligne.
c. Les brûleurs :
Au niveau du four, on trouve 22 brûleurs sur les cinq zones, chaque brûleur est alimenté par le
combustible, l’air d’atomisation (l’air comprimé chauffé) pour la pulvérisation du combustible
et l’air de combustion chauffé.
c. le finisseur :
e. les boucleurs :
Les boucleurs ont le rôle de contrôler la vitesse, assurer la stabilité de la matière et éviter
le tirage du produit.
Ces cisailles sont également utilisées lors d’un cobble ou d’un problème de laminage, elles
interviennent pour découper la billette en plusieurs petites barres.
Les autres cisailles (cisaille 3 et 4) permettent de découper la longue barre de fer à béton en
plusieurs barres de 60 m, l’usine dispose ces deux cisailles pour cette étape, elles sont utilisées
en fonction de la section envisagée du fer à béton, une cisaille pour les petites diamètres 16 à 8
(cisaille 4), et une deuxième pour les grandes diamètres 20 ou plus.
Un déviateur après la cisaille 4 qui sert a changé le trajet des barres, après une condition
d’encodeur qui calcule la longueur de la barre (60 m) ; c’est-à-dire après le signal de la photo
logique, l’encodeur commence a calculé la longueur de la barre et quand il reste 8 m le déviateur
change sa potion à travers un vérin pneumatique conditionnée par l’encodeur.
Figure 12 : Cisaille 2
En aval, nous trouvons quatre rouleaux freineurs permettant de réduire la vitesse des
barrettes avant de les intégrer au TWIN CHANNEL.
La zone de formation des fardeaux contient une cisaille, c’est la cisaille à froid, cette dernière
est entrainée par un moteur électrique à l’aide d'un volant d'inertie. Elle est désaccouplée avec
l’excentrique, la transmission du mouvement se fait par un embrayage hydraulique. Le rôle de
cette cisaille et de mettre à longueur les barres en 12m à froid.
4. Thermex :
Ce système de refroidissement continu est situé après la dernière cage du laminoir, ce qui
permet un refroidissement contrôlé et continu de la barre de manière à obtenir les
caractéristiques techniques exigées.
Figure 13 : Thermex
5. Twin channel et cooling bed :
Le twin channel porte la barre dans un canal fermé jusqu'à ce qu’elle soit à une position
d'arrêt, les volets s’ouvrent ensuite, alternativement, par l'intermédiaire d'un système
hydraulique, et décharge la barre dans la table de refroidissement.
Pour les grands diamètres, le système twin channel est remplacé par un système appelé le apron
diverter.
6. Produits finis :
Le produit est ensuite passé à travers une série de rouleaux pour se refroidir le long du
refroidissement, ce dernier est équipé de moyen de levage et d’entraînement du produit vers la
table à rouleaux d’alimentation de la cisaille de coupe à froid en longueurs de 12m. Les barres
courtes sont récupérées et évacuées à la sortie de la table à rouleaux. Une machine à dresser
multi fil est placée à la sortie, elle est utilisée pour le dressage des couches des profilés.
Cette zone est composée par des chaînes de transfert des barres, un chariot de transfert
des barres du convoyeur à rouleaux sortie cisaille à froid vers la zone de formation des fardeaux,
une commande groupe pour la formation du fardeau et des bras porteurs des fardeaux.
Zone de ligature :
Dans cette zone trois ligatureuses existent, elles ont le rôle de ligaturer le fardeau, elles
fonctionnent hydrauliquement.
Les fardeaux ligaturés sont ensuite transférés vers la zone d’évacuation à travers un convoyeur.
Dans cette zone rassemble une chaine de transfert fusionnée et un système de pesage,
dont le rôle est de mesurer le poids des fardeaux, ainsi qu’un pont roulant électromagnétique
permet de déplacer les fardeaux 4 par 4 vers la zone de stockage du produit fini.
Le produit fini est stocké dans cette zone par diamètre et date de production, afin de
les charger par des camions à l’aide des ponts roulants à électroaimants.
Le parc interne de stockage couvre une superficie d’environ 4000 m², ce parc est équipé de
trois ponts roulants, Deux sur une même ligne et le troisième sur l’autre ligne, ils assurent le
transfert des fardeaux du convoyeur vers les zones de stockage et le chargement des camions
à partir de ces zones.
Pour le refroidissement des cylindres des cages et des guides, il est constitué d’un
hydrocyclone pour la décantation de la calamine grossière. L’eau débarrassée de la calamine
grossière est déversée dans un bassin et pompée par deux pompes vers le bassin longitudinal de
décantation, dans cette phase de traitement, l’eau sera séparée de l’huile et de la graisse
avec un système de déshuilage, dont le principe est de racler les huiles qui flottent sur la surface
d’eau vers un silo.
Pour la séparation de la petite quantité d’eau qui constitue une phase hétérogène avec l’huile,
On utilise une résistance de chauffage pour évaporer l’eau par contre une autre quantité d’eau
est recyclée vers le bassin de décantation, et alors on aura les huiles usées qui seront récupérées
et stockées dans des fûts.
Dans le bassin longitudinal de décantation, il y a deux pompes immergées qui pompent l’eau
chargée avec la calamine vers un silo déchargeur, pour objectif de récupération et élimination
de la calamine, et le retour de l’eau vers le bassin se fait à travers une conduite dans un niveau
haut du silo.
Après la phase de décantation, l’eau est transmise vers un bassin pour la pomper vers
les tours de refroidissement à ventilation forcée, en passant par des filtres à sable qui permettent
d’éliminer les impuretés.
L’eau filtrée et refroidie est collectée dans un bassin pour être pompée vers l’usine.
L’eau dans ce circuit n'est pas en contact avec le produit à refroidir, Elle alimente
les échangeurs, les paliers des rouleaux et les glissières du four ; Son circuit est fermé, l’eau
est propre car elle n'est pas en contact avec pas le produit à refroidir et de ce fait nécessite
d'être refroidie seulement dans les deux tours de refroidissement à ventilation forcée
avant de la pomper vers le four, les paliers des rouleaux et les échangeurs des centrales
hydrauliques et de lubrification.
Pour tremper le produit et améliorer ces caractéristiques mécaniques, donc elle est
chargée en calamine fine et chaude, le circuit de l’eau THERMEX commence par la réception
d’eau dans le bassin par gravité, ensuite elle est pompée vers les filtres à sable pour éliminer la
calamine et les autres impuretés, L’eau filtrée qui est encore chaude passe dans des tours de
refroidissement pour le refroidissement et le recyclage vers l’usine.
La maintenance des équipements industriels est l’une des éléments clés permettant à un
processus de fabrication de fonctionner et réagir parfaitement.
Dans ce sens, la société Riva industries trouve que la zone de stockage du combustible présente
toujours des risques d’explosion, dès que la zone a était aperçu une déflagration d’une cuve de
fuel à cause d’une perte de contrôle et une mauvaise installation des instruments de réchauffage
résultants d’une augmentation de la pression avant l’explosion.
Ces risques peuvent entraîner des dommages vis à vis des personnes, des biens, et de
l’environnement ou qui entraîne un engagement de responsabilité.
Dans ce projet de fin d’étude, on m’a été confié de faire une étude de sûreté de fonctionnement
de la zone du combustible pour mesurer la fiabilité des équipements déjà installés et de la
logique mise en place.
Par cela, il faut utiliser des méthodes d’analyse telle que AMDEC ou autre et de voir la
conformité des instruments utilisés en se basant sur les normes en vigueur qui considère que le
milieu étudié est un environnement à risques.
2. La zone du combustible-fuel :
Dans le chapitre précédant, On a cité les différentes unités de l’usine telle que le four
de réchauffage, qui consomme le fuel transféré de la zone du combustible situé à l’extérieur
de l’usine.
Le fuel est pompé à partir des camions citernes, pour être stocké dans l’une des trois
cuves de stockage d’une capacité totale de 500 Tonnes.
Le combustible est chauffé dans l’intervalle de 35°C- 40°C à travers des résistances
chauffantes, par la suite il pénètre dans les pompes de transfert.
Ces pompes débitent le fuel vers un réservoir de service ou journalier, d’une capacité de 5000
litres, situé près du four.
La température du fuel stocké s’augmente dans le réservoir journalier jusqu’à 75°C, afin
d’assurer la viscosité et éviter le colmatage pendant le transfert vers les réchauffeurs des zones
qu’ils élèvent encore la température jusqu’à 100°C et le débite à des pressions appropriées.
La figure ci-dessous décrit le trajet du fuel depuis le dépotage jusqu’à le transfert vers le
réservoir journalier, notre intérêt alors est de détailler l’ensemble des équipements de la zone.
a. Le dépotage :
Le combustible prend alors le circuit précisé, jusqu’à la cuve ciblée, lors de la fin de
l’opération de dépotage un bac de récupération du fuel sert à chauffer le contenu de fuel
évacué des flexibles, et le transférer vers une cuve lors de son réchauffage
Les cuves de stockage sont équipées par des instruments de contrôle et gestion de la
température, telles que les thermostats, PT100 et des résistances chauffantes, ainsi que des
flotteurs et des transmetteurs de pression pour mesurer les niveaux des cuves.
Le tonnage des cuves ne doit pas être moins de 22 tonnes pour éviter le niveau minimal de
fuel, et aussi sa température ne doit pas dépasser 35°C ou 40°C.
b. le transfert :
Chaque réchauffeur est équipé de deux thermostats, une pour la sécurité et l’autre pour coupure
d’alimentation des résistances et un manomètre pour détecter la pression.
3. La sûreté de fonctionnement :
a. Concepts et définition :
La Sûreté de Fonctionnement concerne tous les domaines techniques, tous les génies,
elle a pour finalité le maintien du bon fonctionnement d'un système, d'un produit ou d'un de ses
constituants, tout au long de son cycle de vie.
L’apparition du risque peut notamment conduire à la mise en cause de la sécurité des personnes
et des biens, à la dégradation de l’environnement, à la perte de fonctions ou tout simplement à
la dégradation de l’image de marque.
Allocation de fiabilité : pour décliner les objectifs de fiabilité spécifiés au niveau d’un
produit complexe en objectifs applicables aux différents niveaux de l’arborescence
technique ou fonctionnelle du produit.
Evaluation prévisionnelle de fiabilité : pour évaluer et affiner, avec un degré de
précision croissant avec l’avancement du projet, la fiabilité du produit à l’aide de
techniques et de données évoluant avec les progrès de la conception et l’acquisition de
résultats d’essais, elle constitue une base importante pour l’orientation des choix de
conception.
Estimations de fiabilité à partir d’essais ou de retour d’expérience : pour déterminer
les paramètres de lois de fiabilité à partir de données traitées de retour d’expérience ou
d’essais.
Méthode d’analyse de la Sdf du logiciel : par les normes, par les spécifications, par
les moyens ou par l’analyse. Il s’agit de construire la sûreté de fonctionnement (fiabilité,
sécurité…), analyser et évaluer l’occurrence de bogues d’un logiciel et si possible le
plus tôt dans le développement d’un nouveau logiciel.
Analyse des Modes de Défaillance et de leurs Effets et de leur Criticité (AMDEC) :
c’est une méthode d’analyse inductive et rigoureuse ayant pour buts d’identifier les
défaillances dont les conséquences peuvent affecter le fonctionnement d’un système, de
les hiérarchiser selon leur niveau de criticité afin de les maîtriser.
Dans ce projet de fin d’étude, on m’a été confié d’utiliser cette méthode, puisqu’elle est plus
applicable dans la sûreté de fonctionnement.
La méthode AMDEC a pour objectif d'identifier les causes et les effets de l'échec
potentiel d'un procédé ou d'un moyen de production, et d'identifier les actions pouvant éliminer
ou du moins réduire l'échec potentiel.
AMDEC procédé : on identifie les défaillances du procédé de fabrication dont les effets agissent
directement sur la qualité du produit fabriqué (les pannes ne sont pas prises en compte).
AMDEC moyen/machine : on identifie les défaillances du moyen de production dont les effets
agissent directement sur la productivité de l'entreprise, Il s'agit donc de l'analyse des pannes et
de l'optimisation de la maintenance.
Dans notre cas on s’intéressera à l’AMDEC moyen ou machine qui consiste à améliorer la
sûreté de fonctionnement (sécurité, disponibilité, fiabilité, maintenabilité), c’est une technique
d’analyse qui a pour but d’évaluer et de garantir la sûreté de fonctionnement des machines par
la maîtrise des défaillances. Elle a pour objectif final l’obtention, au meilleur coût, du
rendement global maximum des machines de production et équipements industriels.
Une défaillance est la disparition ou la dégradation d’une fonction, donc pour trouver
les défaillances potentielles il faut connaitre les fonctions.
Le but de l’analyse fonctionnelle est de déterminer d’une manière assez complète les fonctions
principales d’un produit, les fonctions contraintes et les fonctions élémentaires.
Les fonctions principales sont les fonctions pour lesquelles le système a été conçu, donc pour
satisfaire les besoins de l’utilisateur.
Les fonctions élémentaires assurent les fonctions principales, ce sont les fonctions des différents
composants élémentaires du système.
Pour réaliser correctement l’analyste fonctionnelle il faut effectuer trois étapes principales :
L'analyse fonctionnelle recense les fonctions, l'AMDEC envisage pour chacune d'entre-elles sa
façon de ne plus se comporter correctement.
La cause C'est l'anomalie qui conduit au mode de défaillance, telle que cette défaillance est un
écart par rapport à la norme de fonctionnement. Les causes trouvent leurs sources dans cinq
grandes familles. On en fait l'inventaire dans des diagrammes dits "diagrammes de causes à
effets".
L'évaluation :
La gravité.
La fréquence.
La non-détection.
Ces critères ne sont pas limitatifs, le groupe de travail peut en définir d'autres plus judicieux par
rapport au problème traité.
Chaque critère est évalué dans une plage de notes, qui est déterminée par le groupe de travail,
exemple : de 1 à 4.
La gravité exprime l'importance de l'effet sur la qualité du produit (AMDEC procédé) ou sur la
productivité (AMDEC machine) ou sur la sécurité (AMDEC sécurité).
On calcul la criticité, lorsque les trois critères ont été évalués dans une ligne de la synthèse
AMDEC, on fait le produit des trois notes obtenues pour calculer la criticité.
NIVEAU OU
1 2 3 4
COTATION
Très faible taux Faible taux Taux d’apparition Taux d’apparition
d’apparition d’apparition Moyen Régulier Plusieurs
FREQUENCE défaillances par
Moins d’une 3 mois < f < 6 mois 1semaine <f < 3 mois
semaine
défaillance par An
VISUELLE DIFFICILEMENT
APRES ACTION DECELABLE
DETECTION VISUELLE A DETECTION
DE
COUP SUR (Eventuellement IMPOSSIBLE
L’OPERATEUR
auditif)
Durée
d’intervention
GRAVITE Durée Durée d’intervention Durée d’intervention
D <10 mn d’intervention
30 mn < D < 45 mn D> 45 mn
Peu ou pas de 10 mn < D < 30 mn
pertes de
production
Tableau 5 : Niveau de cotation de la criticité
Plusieurs possibilités existent dans la recherche des actions selon les objectifs de
l’étude :
Par la suite, on va présenter une grille des solutions permettant de déterminer les
solutions correctives de chaque équipement, en fonction de sa criticité, à l’aide de ses
défaillances, et leurs causes et leurs effets.
L’AMDEC de la zone :
Thermomètre 3 MC
Transmetteur de
12 MPA Etalonnage du capteur
pression
Contrôle de dépression
Event 16 MPS des gaz
Contrôle du contacteur,
Moteur 12 MPA Consigne d’opérateur de
maintenance
Vérification montée en
Pompe 24 MPT/PR pression
Vannes 4 MC
Conduites & circuits de Contrôle des cordons
18 MPT chauffants
traçage
Serpentins des cuves 4 MC
Réchauffeur 18 MPT Contrôle des résistances
Circuit de pressostat 2 MC
transfert du fuel
Servomoteur Contrôle des pignons /
24 MPT/PR circuit électrique
Capteur de niveau 4 MC
Débitmètre 6 MC
Tableau 7 : Les solutions correctives des éléments
*MC : maintenance corrective. *MPT : maintenance préventive trimestrielle *MPS :
maintenance préventive semestrielle. *MPA : maintenance préventive annuelle. *PR : pièce
de rechange. *C : criticité. *SE : sous système.
Solutions proposées :
Pour le meilleur fonctionnement de la zone de fuel, en toute sécurité des biens et des
personnes, on propose comme solution pour éviter le risque d’explosion des cuves la mise en
place des soupapes de décharge en tête des 4 cuves, qui sert à cracher le fuel lors de l’excès
de la pression à l’intérieur de la cuve.
Les éléments du processus d’analyse des risques sont communs pour tous les dangers.
En premier lieu, les causes éventuelles du danger sont analysées pour déterminer leur fréquence
d’occurrence, leur durée ainsi que leur nature (quantité, composition, caractéristiques
d’émission/d’utilisation, etc.). S’il s’agit d’analyser une installation industrielle, l’analyse de
fréquence peut être une activité majeure. L’analyse des conséquences implique une estimation
de la sévérité de la ou des conséquences associées au danger. L’analyse peut également
nécessiter une estimation de la probabilité du danger ayant engendré la ou les conséquences et
impliquer une analyse de la séquence d’événements par laquelle le danger peut avoir une ou
des conséquences.
Il existe donc des méthodes avec des objectifs différents, selon le besoin de l’entreprise
dans la mise en place de son système dynamique de gestion des risques :
Dans la grille de l’analyse des risques, ils existent des critères, qu’ils vont s’estimer par
groupe de travail, telles que la gravité, probabilité et la priorité. Les figures ci-dessous
présentent l’estimation de chaque critères par rapport le risque et l’impact :
La gravité est estimé par rapport les conséquences de risque, par contre la probabilité s’occupe
sur la fréquence de l’impact, la figure suivante permet d’estimer la priorité de chaque risque ou
impact cité dans la grille.
Par la suite, la grille de l’analyse des risques de la zone de fuel présente tous les risques et les
impacts qu’ils ont déjà produits.
Le fuel étant utilisé dans des installations d’une citerne taille, généralement
en milieu industriel, la réglementation à appliquer est, sauf exception, celle
relative aux installations spéciaux.
b. Les réservoirs :
Les réservoirs cylindriques horizontaux devront être construits selon la norme NF- M88-512,
les réservoirs cylindriques verticaux sont construits en suivant les spécifications du code
français de construction des réservoirs cylindriques verticaux en acier.
Bien que le remplissage en pluie ne soit pas interdit, il est recommandé de faire déboucher le
tube remplisseur à la base du réservoir, que ce tube soit horizontal ou vertical.
.
Figure 39 : Cuve 4
Pour ce genre de réservoir, le réchauffeur peut être assuré par un fluide caloporteur ou de la
vapeur saturée, en général dans une plage de température de 140°C à 160°C et de pression de
vapeur de l’ordre de 3 à 6 bar effectifs.
Dans un dépôt la zone de dépotage est un endroit vulnérable où les épandages accidentels de
fuel- fuites, éclatements des flexibles,…- peuvent avoir des conséquences au niveau de
l’environnement.
Dans la mesure du possible, il est donc recommandé de prévoir l’aire de dépotage en contrebas
des points sensibles situés à proximité – rivière, route, voie ferrée, bâtiments…- de façon à
former une cuvette de rétention naturelle.
On recommande que la température de masse soit la plus basse possible, tout en étant supérieure
de 10°C au point d’écoulement.
En général, compte tenu des produits distribués actuellement, on conseille le maintien d’une
température de masse à 40°C.
Les canalisations doivent être métalliques, établies à l'abri des chocs et donner toutes
garanties de résistance aux actions mécaniques, physiques, chimiques ou électrolytiques.
Entre les surfaces extérieures des canalisations de produits pétroliers et celles de canalisations autres,
les distances minimales suivantes doivent être respectées : 0,03 mètre lorsque les canalisations ne
sont pas enterrées 0,20 mètre lorsqu'elles sont enterrées, cette distance est comptée en projection
verticale sur un plan horizontal, sauf aux croisements de ces canalisations métalliques connectés.
En cas de croisement souterrain avec une canalisation d'eau potable, la canalisation de produits
pétroliers doit être à une cote inférieure, ainsi que pour l'ensemble de ces dispositions n'est pas
opposable aux prescriptions pouvant exister concernant les canalisations et au passage des
tuyauteries à travers les murs et les planchers, il ne doit subsister aucun espace vide.
Pour cela, une évaluation du risque d'explosion dans l'entreprise est donc nécessaire
pour permettre d'identifier tous les lieux où peuvent se former des atmosphères explosives :
CHAPITRE IV :
1. Introduction :
Ce travail est une valeur ajoutée dans la société afin d’optimiser les interventions humaines
ainsi que l’amélioration du fonctionnement de la zone de fuel ; En fait, la programmation et la
simulation de ce projet sera par le nouvel environnement d’ingénierie TIA Portal réuni tous les
systèmes d’ingénierie pour l’automatisation dans un environnement de développement unique,
le premier logiciel d’automatisation de l’industrie à se satisfaire d’un seul environnement, TIA
Portal représente un jalon dans le développement et un seul projet logiciel pour toutes les taches
d’automatisations et de la supervision.
Les missions sont l’automatisation et la supervision de la zone de fuel tel que le circuit de
dépotage, le transfert de fuel, le circuit de refroidissement, le circuit de traçage électrique et la
gestion des alarmes ainsi que gestion des courbes des signaux analogiques.
Par la suite, On présente une étude bénéficiaire de ce projet pour détailler les prix de chaque
instrument inclus dans ce travail.
Dans le cadre de notre projet nous avons eu besoin des logiciels d’automatisation et de
la supervision, c’est dans ce sens que nous avons décidé d’utiliser le logiciel Totally Integrated
Automation (TIA) qui regroupe le SIMATIC STEP 7 et le WIN CC.
Le TIA Portal apporte une réponse optimale à toutes les exigences et offre un concept ouvert
vis-à-vis des normes internationales et de systèmes tiers, compte tenu du fait que nous voulons
faire une petite présentation de ce logiciel et énumérer les raisons du choix de ce logiciel.
Le TIA réunit les outils logiciels d’automatisation à savoir : SIMATIC STEP 7, Win CC et
SINAMICS Start-Drive en un environnement commun, avec son interface utilisateur intuitive,
sa navigation efficiente et sa technologie éprouvée, Il se distingue en des nombreux points, ainsi
qu’il est une architecture d’automatisation possédant des propriétés système caractéristique
clairement définies :
Ingénierie
Communication
Diagnostic
Sûreté de fonctionnement
Sécurité des données
Robustesse
Intuitif : simple à apprendre, simple à utiliser grâce à des éditeurs orientés tâches, intelligents
et intuitifs.
Chaque éditeur logiciel de TIA Portal est basé sur une architecture et un concept de navigation
communs, il s‘agit de configuration de matériel, de programmation logique, de paramétrage
d'un variateur de fréquence ou de conception d'une vue IHM, tous les environnements ont en
commun un éditeur de conception similaire, conçu spécifiquement pour une utilisation intuitive
générant des économies de temps et d‘argent, ainsi que les fonctions, les propriétés et les
bibliothèques sont représentées automatiquement dans leur vue la plus intuitive, selon l'activité
désirée.
Les deux figures ci-dessous présentent les Points forts TIA en ingénierie et une Vue du portail
orientée tâche de TIA Portal :
Le logiciel STEP 7 professionnel V11 (TIA Portal v11) est l’outil de programmation
des automates :
SIMATIC S7-1200
SIMATIC S7-300
SIMATIC S7-400
SIMATIC S7-1500
SIMATIC Win AC
Avec STEP7 Professionnel les fonctions suivantes peuvent être utilisées pour
automatiser une installation :
Le Win CC dans TIA Portal est le logiciel de supervision pour toutes les applications
IHM allant de solutions de commande simples avec des Basics Panels aux applications SCADA
pour systèmes multipostes basés sur PC.
Le système génère ensuite tous les réglages nécessaires, comme la connexion, les
variables IHM, l'objet de vue.
Points forts :
C’est en générale les caractéristiques techniques des équipements qui favorisent le choix
d’un équipement de l’autre.
Choix de l’automate :
Degré de la complexité : fonctions disponibles, rapidité du traitement et capacité mémoire.
Application exigée par le constructeur.
Nombre maximum des entrées /sorties.
Type des entrées /sorties
Modulaire.
Alimentation.
Choix des capteurs :
Application exigée par le constructeur.
Portée nominale
Marge de détection
Tension de fonctionnement
Mode de fonctionnement
Type de détection
Durée de la vie.
a. Caractéristiques des entrées/sorties:
Transmetteur de pression :
Les MBS 4510, sont des Transmetteurs de pression avec membrane affleurante.
Le transmetteur de pression MBS 4510 à haute précision et membrane affleurante est conçu
pour les applications industrielles à haute viscosité ou cristallisation et offre une mesure de
pression fiable, même dans des conditions environnementales extrêmes.
Caractéristiques :
Signal de sortie 4 à 20 mA
Température d'opération de -40 à 85 °C
Plages de mesure du 0 à 25 bar
Disponible avec divers raccords de pression
Avec réglage du point zéro et de l'amplification
Avec membrane affleurante
Caractéristiques :
Prix élevé.
Variation linéaire.
Précise.
Thermostat :
Thermostat plongeur avec doigt de gant inclus.
Caractéristiques :
Protection : IP 40
Electrovanne pneumatique :
Caractéristiques :
Maintenance libre.
Résistances électriques :
Figure 49 : Résistances
Un automate programmable est un dispositif technologique qui assure, dans une logique
programmée, l’enchaînement automatique et continu des opérations arithmétiques et logiques
relatives à un fonctionnement donné.
Nombre d'entrées / sorties : le nombre de cartes peut avoir une incidence sur le nombre
de racks dès que le nombre d'entrées / sorties nécessaires devient élevé.
La capacité de la mémoire qui stockera les différents programmes.
Les différentes technologies qui existent dans le marché.
Le coût y compris celui des adaptations nécessaires.
Les performances du logiciel système du point de vue rapidité et sécurité.
Les outils d’aides à la maintenance.
La possibilité de fonctionner en réseau.
La disponibilité.
En pratique, le choix de l’API peut être fait en s’appuyant uniquement sur les quatre
premiers critères.
En effet, les autres critères sont remplis par tous les constructeurs d’une façon
automatique.
Notre choix s’est porté sur l’automate programmable SIEMENS, qui est une des
automates les plus installés à travers le monde pour les raisons suivants :
Simatic S7-300:
Cet automate à extensibilité modulaire pour les solutions système destinées plus
particulièrement à l’industrie manufacturière.
Mise en réseau par MPI et SIMATIC NET, et dès à présent aussi par PROFINET.
Figure 51 : S7-300
Le S7-300 moins performant que le S7-400 mais tout aussi efficace par la possibilité
d’extension de plus de 32 modules qu’il nous propose il prend en charge l’ensemble des
entrées/sorties de notre projet, ainsi notre choix se porte sur le micro automate S7-300qui est
disponible dans les installations de la société RIVA industries tels que les S7-400 et S7-1200,
il nous reste alors que les modules d’entrées/sorties on les détaille dans la partie du description
des appareils.
4. Programmation :
Pour la programmation des circuits de la zone, on a utilisé le logiciel TIA déjà décrit
dans le chapitre précédent, on va présenter par la suite les appareils utilisés, la table des
variables ainsi que les blocs de programme.
Descriptions :
Le module d'entrées analogiques AI8 x RTD, 16bits (en interne 24bits selon le procédé
Sigma-Delta) ; RTD: Pt100, Pt200, Pt500, Pt1000, Ni100, Ni120, Ni1000, Cu10 ;
Reparamétrable en ligne ; également disponible comme module SIPLUS référence 6AG1 331-
7PF01-4AB0, et concernant le module TOR est un module d'entrée/sortie TOR DI16 x 24V +
DO16 x 24V / 0,5A.
IHM :
On a utilisé comme interface homme machine l’écran 15.0'' TFT, 1024 x 768 pixels,
Couleurs 256; Écran tactile; 1 x PROFINET ; qui est relié avec l’automate programmable par
l’adresse IP : 192.168.0.2
Il permet de réagir aux événements cycliques, temporisés ou déclenchés par alarme durant
l'exécution du programme, (vor annexes).
Notre projet, regroupe aussi des fonctions et des blocs fonctionnels, ces derniers sont des blocs
de code qui sauvegardent en permanence leurs valeurs dans des blocs de données d'instance
afin qu'il soit possible d'y accéder même après le traitement du bloc.
Pour le niveau de fuel dans les cuves un transmetteur de pression va donner la variation du
tonnage, dans l’annexe vous trouvez une partie du bloc fonctionnel FB 2 qui sert à mesurer le
niveau de fuel au sein de la cuve 4 et la cuve 3.
logigrammes:
Pour répondre aux exigences de la société et afin de bien structurer le programme, nous
avons pensé à un logigramme qui facilitera la traduction en langage Ladder.
On a prévu un mode manuel pour chaque mode automatique afin d’assurer le bon
fonctionnement en cas d’anomalies.
Compte tenu du cahier des charges qui nous a été imposé nous avons jugé utile de scinder notre
programme en deux parties à savoir :
Circuit de refroidissement :
Circuit de dépotage :
5. La Supervision :
Vue initiale :
La vue initiale donne un accès à toutes les différentes vues et permet d’avoir une idée
globale sur les différents états de chaque cuve (température et niveau de fuel) ainsi que la date
et l’heure et en plus une représentation des alarmes qui sera affichée sur toute les vues.
La vue du circuit de refroidissement nous permet de visualiser l’état des cuves ainsi que
la commande des électrovannes de refroidissement, le pilotage peut être automatique ou
manuel.
Cette vue nous présente une présentation du circuit de traçage électrique ainsi que l’état
de chaque résistance des cuves.
Les alarmes informent l'opérateur sur les états de dysfonctionnement du procès. Elles
assurent la détection précoce de situations critiques et permettent d'éviter des immobilisations.
La vue des alarmes présente les alarmes du circuit de dépotage et de tous les autres circuits de
la zone du fuel, la première figure est une présentation des alarmes analogiques, et la deuxième
montre la gestion d’eux.
La dernière vue est une représentation des courbes des transmetteurs de pression et des
Pt-100.
Dans cette partie d’étude, nous allons tout d’abord évaluer le coût nécessaire à la
réalisation de notre projet, pour cela on a prévu une demande de prix des organes au responsable
achat du département administratif et financier, et la réponse était comme présente le tableau
suivant :
Module d'entrées
Analogique, 8 Entrées 6ES7331-7KF02-
0AB0 2 5222,00 10 444,00
(4 _ 20 mA)
Module
d'entrées/Sorties TOR, 6ES7323-1BL00-
0AA0 3 4480,00 13 440,00
DI16/DO16x24v
Conclusion
Notre stage de projet fin d’étude, au sein de la société RIVA industries, nous a permis
de découvrir deux domaines d’ingénierie, la sûreté de fonctionnement et l’automatisation et la
supervision de la zone de fuel.
Pour atteindre les objectifs fixés par le cahier des charges, nous avons adopté une démarche
constituée de trois étapes : la première étape a fait l’objet d’une étude technique qui nous a
permis de comprendre l’environnement de travail et de bien se familiariser.
Dans la deuxième étape, nous avons choisi les composants nécessaires à la réalisation de notre
travail, et pour la troisième partie nous avons travaillé sur l’automatisation et la supervision
pour le pilotage du projet.
Au terme de ce stage, nous pouvons qu’être satisfaits puisque ce dernier constitue une
opportunité pour exploiter le savoir acquis durant les années de formation, et mettre en pratique
plusieurs principes en ingénierie des systèmes automatisés afin de relever les contraintes et les
exigences du milieu industriel.
Notre travail répond aux besoins de la société afin de minimiser l’intervention humaine et
économiser l’énergie, et améliorer la sécurité des personnes et des biens, d’où l’intérêt accordé
à ce projet qui sera soumis à l’administration pour approbation.
Par ailleurs, nous avons tiré un grand bénéfice de ce stage puisqu’il a constitué aussi une
expérience professionnelle très riche et fructueuse aussi bien sur le plan technique que sur le
plan relationnel.
Bibliographie :
Annexes