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« PEUT-ON DIRE QUE LA PHILOSOPHIE NOUS ELOIGNE A LA REALITE ?

La philosophie est une forme de sagesse pratique, elle constitue une aspiration continuelle vers la
sagesse parfaite. Sur cette manière même, elle n’arrive pas à s’intégrer et à s’adapter dans son milieu, elle ne se
plait que dans les hautes spéculations abstraites; d’où elle n’a pas le sens de la réalité. Sur cet égard alors, ce
sujet nous a postulés ici comme : « Peut-on dire que, la philosophie nous éloigne à la réalité ? » Dans cette
suggestion, la question va poser comme : « Quelles sont les réalités qu’on peut trouver dans ce mode naturel ? »
Dans ce premier lieu, on va essayer d’abord élaborer le sens de la réalité philosophique ; en seconde piste, on
va voir le sens de la réalité scientifique ; en denier temps l’homme et sa philosophie.

Sur le sens de la réalité, c’est vrai ce sujet nous a argumenté comme’’ la philosophie nous éloigne à la
réalité’’, parce que nous savons bien sa caractère spécifique l’ABSTRACTION par sa PENSEE ou par sa
RAISON. De tout cela, l’homme veut de démontrer son EXISTANCE sur ce monde, mais son ESSENCE n’avoir
pas à l’établir jusqu’à une VERITABLE REALITE, puisque, sa REFLEXION est basée sur le MONDE,
d’ILLUSOIRE ou sur une SPECULATION ABSTRAITE. Certes, la vraie définition de la réflexion nous a
démontrer ici comme une EVIDANCE SPECULATIVE ; en disant comme ‘’c’est le retour de l’esprit vers lui-
même’’ ; là on, appelle : une ACTIVITE RATIONNELLE ou bien AUTO REFLEXION; Comme disait Socrate
’’connais-toi, toi-même’’ c’est à partir de cela, l’homme veut prendre conscience sur son EXISTANCE à l’aide
de sa CONSCIENCE ou sa GNOSEOLOGIE : ‘’qui suis-je ? Pourquoi je suis ici ? Qui m’a mis au monde ? Et
ou irais-je ?’’Nous savons bien que le rôle de la réflexion est de chercher le vrai sens de son existence et sa
DESTINATION. Il y a beaucoup phénoménologie philosophiques on essayer de la définir par sa pensée
ANALITIQUE, SYNTHETIQUE, et bien sûr, la pensée ANALOGIQUE : « nous sommes tous être jeter au
monde, et être débarquer ; arriver au hasard ; et embarquer à la fin », c’est pourquoi l’Epictète et Baruch
SPINOZA on bien définie comme : ‘’c’est l’essence qui précède le SENS’’ ; en ce sens-là, l4homme veut
chercher sa réalité, sons existence à l’aide de sa pensée mais cette recherche reste toujours ABSURDE,SANS
PROGRESSION , IMMUABLE. ; Parce qu’elle est basée par la NATURE d’ILLUSOIRE, IMAGINABLE,
ABSTRAIT (…) c’est qu’on appelle : la NATURE METAPHYSIQUE ou la NATURE du SECOND DEGRE. Ici
on va prendre mesure que le monde philosophique, c’est un monde de la NECESSITE de valeur, parce que les
ancien de l’antiquité vont essayer de questionner son être ou sons SUBJECTIVITE pour avoir une réalité
subjective ; comme Socrate a dit : Je ne sais qu’une chose, car tos ce que je sais, ce que je ne sais pas’’, de
même formulation, Descartes à affirmer aussi : ‘’ je pence don j’existe’’. Sur c’est deux circonstance on va tirer,
le courant de penser comme une VALUER PHILOSOPHIQUE sur le PRINCIPE IMMUABLE ; là on trouve une
LOGIQUE PHILOSOPHIQUE à l’aide de l’ESSENCE ESTIETIQUE du BIEN. En paradigme du terme,
l’homme est le plus haut degré da la créature vis-à-vis des DETERMINISMES à l’aide de sa SAGESSE ? Il veut
de gérer toute dimension métaphasique pour effacer toute fausseté DOGMATIQUE. Avant d’entrer, là si
l’homme veut de dépasser les OBSCURANISME, il doit avoir un esprit SCEPTIQUE à l’aide de sa qualité
spécifique ; puisque cet esprit se définit comme un ESPRIT CREATIF ou un esprit CRITIQUE devant un fait. Il
a de tendance de critiquer les informations banale chez les empirismes sur des questions de destin la finitude, les
tabous,… il veut de les chercher pour avoir une véritable réalité. A l’occasion de dette esprit, on va essayer de
tirer le sens étymologique de ce mot, là on trouve le mot ΩντάЅ qui signifie ESSENCE. d’après un psychanalyste
célèbre dit Friedrich Nietzsche dans son œuvre intitulé comme : ainsi Zarathoustra : ‘’ la réalité humaine se
trouve dans la pulsion, mais non pas dans la psyché, c’est essence de la vertu’’. Cela montre que, la science
psychologique, en tant qu’elle a une branche intégrante dans la philosophie, elle a essayé de démontrer le sens
de la réalité, à vraie dire que l’homme est un ETRE doué de son intelligence. Si on élabore la suggestion de
Nietzsche, nous avons entendu souvent cette citation des philosophies :’’ la vérité ne se trouve nulle part dans la
bouche des fous et des enfants et même si des femmes’’. Tout ce qu’on a vu au-dessus, rien importance sans
doute. A cet égard alors, la vérité ne se nulle part sans doute, car « le doute dit Pyrrhon de l’Isle appuyer sur la
croyance des incertitudes », cela veut dire que le doute, c’est le fruit de notre intelligence ; là, on efface toute
sorte des régressions de l’infinies. Donc, en face de ce sujet sur :’’ la philosophie éloigne la réalité’’ ; la pensée
humaine se doute sur ce monde EPHEMERE ? Elle arrive de s’étudier quelques vision comme : la science

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cosmogonie, théogonie, généalogique, et même si l’eschatologie. Tout cela se soumettre devant le JUGEMENT
de la pensée. Mais, Descartes n’arrive sans doute ; car où il se base sa réalité pour avoir une réalité
absolument : CERTAINE, JUSTE, LOGIQUE, donc il se résume en trois types de doutes : méthodique,
mathématique, métaphasique. Là, il dit comme : ‘’ pour avoir une vérité, il faut éviter des éviers, il faut être
prudent(…)’’. C’est la SAGESSE. Car ce monde, c’est un MONDE de DOUTE ; en effet, pour avoir un ASPECT
POSITIF du doute, il faut le noircir, en fin ce noir qui amène jusqu’à la lumière naturelle : c’est une évidence ‘’a
priori’’. Donc, ce doute universel et perpétuel s’efface au fur et à mercure à l’aide de notre pensée.

Nous verrons de voir la vraie sens de la réalité philosophie, mais ici, sur la seconde partie, nous essayons
de voir sur le côté de la réalité scientifique de l’homme, en tant qu’il est un être enveloppé par le corps sensible
ou par le PREMIER DEGRE. Sur cette partie alors, dont on parle la science : c’est le monde extérieure de
l’homme, le MONDE PHISIQUE ou l’OBJET CORPOREL. Alors si on demande sa réalité, il faut se travers par
une méthode ‘’d’EPISTEMOLOGIE’’, ce qui se base sur l’interprétation des résultats ou connaissance science
devant les méthodes employées, les principes, les connaissances proprement dites : la limite de la science, les
caractères scientifiques et fin la valeur de la science. Donc il faut bien retenir que, toutes les connaissances
humaine dépanadent de l’évolution de la pensée, car cette pensée se refuse toutes formes des explications non
scientifiques ou surnaturelles, théologiques, métaphasiques, superstitieuse (fomba) ; mais elle veut la doctrine de
POSTIVISME qui met en valeur toutes l’explication scientifiques qui ont fondées par sa LOI ou sa THEORIE
pour qu’elle est valable. Ici au sens de la réalité scientifique, on doit obtenir le réel par l’explication avec la
méthode bien définie, on remonte, les phénomènes à la loi ; cela signifie que la connaissance scientifique porte
l’explication objective et quantifiable. Ce qui équivaut à dire que, la recherche de la réalité doit se passer entre
le rapport de causalité (cause à effet) qui offre des LOIS CONTROLEES et VERIFIEES. Au-dessus, nous venons
de dire, sur le caractère scientifique qui n’accepte l’idée sans preuve expérimentale, aucune connaissance non
examinée. Sur cette point de vue, Gaston Bachelard efface cet esprit empirique ce qui reste statique, immuable,
sans raison, dans son œuvre : le rationalisme optique ‘’ rien ne va de soi, rien n’est donnée, tout est construit’’
cette méthode expérimentale est composée de 8 grandes étapes fondamentales qu’il faut respecter : observation
des faite, élaboration des hypothèses, vérification expérimentales. Sur cette observation des faites alors, on
commence par l’observation sensible ou concret. Alors dans cette première étape, l’esprit reste passif. D’où
l’affirmation de Claude Bernard réaffirme : ‘’ l’esprit de l’observateur doit être passif’’ donc le scientifique sur
la recherche de la réalité, il fait des efforts pour dépasser cette observation typiquement empirique. Sur
l’élaboration des hypothèses alors, elle consiste à chercher des explications, les solutions scientifiques aux
problèmes posés par les phénomènes qui apparaissent ; cette démarche demande une ACTIVITE
RATIONNELLE, ainsi qu’on exige l’existence de L’ESPRIT D’ANALYSE, INVENTIF, CREATIF pour la
création des instruments. Enfin, sur la vérification expérimentale, elle consiste à prendre ‘’une à une’’ tous les
HYPOTHESES qui explique ce phénomène. Cette hypothèse vérifiée devient une VERITE SCIENTIFIQUE qui se
porte la formule de ce phénomène et se termine par la loi. Alors, Claude Bernard résume la méthode
expérimentale dons sons livre intitule : In Introduction à l’étude de la médecine expérimentale, en disant : « le
fait suggère l’idée, l’idée dirige l’expérience, et l’expérience juge l’idée ». Sur la recherche scientifique à la
‘’réalité absolue’’, on peut dire aussi que la loi ou la théorie découverte à un caractère hypothétique ou
incertaine, parce qu’elle n’arrive jamais de dépasser ce monde concret. D’où l’affirmation de Claude Bernard
affirme comme : « (…) car toutes les sciences mêmes les plus avancées ont aussi des parties obscurs(…) »sur le
principe du déterminisme, la connaissance scientifique se change, se modifie à partir de corps matériel, mais elle
produise tous ses besoin ou ses SATISFACTIONS CORPORELLES. Sur ce point-là alors toute forme de
l’expérimentation sur l’être vivant se présent des risques. Il faut bien signaler ici que, la vérification à ses
limites, nous prenons come exemple : l’utilisation des médicaments pharmaceutiques ; l’utilisation des méthodes
contraceptives en fonction des individus, entraine des effets secondaires ; comme dit Jean Rostand :
« l’observation nous montre un plan organique, mais non une intervention active d’un principe vital ».

Sur ces derniers champs, on va parler la réalité en face de l’existence humaine. D’abord, la philosophie
ne s’effectue qu’à la présence de l’homme, cela nous permet de dire que l’homme et la philosophie sont tous
indissociable (inséparable). Par conséquent, dès cette réflexion nous avons l’objectif de connaitre sa réalité et sa
philosophie. Dans cette situation donc nous essayons de définir la philosophie, de mieux connaitre sa réalité

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devant tous les objets de notre analyse : c’est l’homme et la philosophie. Alors l’homme est un matériel
employée par la philosophie pendant toutes els recherche sur le monde. Donc il est parmi du monde et en même
temps, un examinateur dans la philosophie en tant que SUJET PENSANT ; cela veut dire que : l’homme a un
double tranchants : en même temps, « il est sujet qui pense » ; mais à la fois, il est un objet à étudier » donc
l’homme est un être sophistiqué, difficile à comprendre. Il avait deux réalités destinées d’après notre étude : il y
a la réalité métaphysique qui rapproche dans la nature d’idéalisme : c’est la pensée ou la raison ; et là Platon
qui la en valeur dans son œuvre : Allégorie de la caverne, en disait : « l’homme est un animal raisonnable ». Au
point de vue de corps alors c’est la réalité sensible en face de l’existence ; là on trouve la similitude (ou la
ressemblance) de l’homme vis-à-vis aux autres natures : c’est la vision scientifique. Dès son départ, cette vision
se base sur la considération de l’homme en matière. Cette considération peut-être qui suggère notre sujet « la
philosophie nous éloigne à la réalité »puisque la philosophie n’est pas une matière, mais une SPECULATION
ABSTRAITE. Nous venons d’élaborer l’homme en tant que l’homme, donc on va entrer tout de suite : la
philosophie en face de la réalité. D’abord pour mettre en évidence le rôle de la philosophie, il faut bien noter la
formulation de Descartes sur sa définition comparative : » la philosophie comme un arbre, dont les racines sont
la métaphysique, le tronc est la physique, et les branches sont des autres sciences. » Cette définition de
Descartes concerne la première signification du mot science, c’est-à-dire, la recherche sans fin de la
connaissance sur la réalité ou sur la vérité. Alors d’après lui, la philosophie est ‘’UNE’’, mais elle est constituée
innombrable discipline de recherche qui ont leur propre OBJET d’ETUDE ou OBJET de REFLEXION. Ici, notre
sujet nous parle : « la réalité » mais cette réflexion est inséparable à la RAISON ; si l’objet de la réflexion est
une REALITE EXTERIEURE de l’homme, son but : c’est COMPRENDRE et AVOIR la conception dans cette
réalité. On veut avoir une connaissance nouvelle sur cette réalité. Si l’objet de la réflexion est une REALITE
INTERIEUR de l’homme, la réflexion se caractérise par un ‘’retour de l’esprit vers lui-même ‘’pour REVOIR,
REEXAMINE sa connaissance ou son IDEE ; cela veut dire : l’esprit réexamine la connaissance reçue pour
SAVOIR, si elle est VRAIE ou DOUTEUSE ou FAUSSE aussi.la connaissance obtenue de cette deuxième
réflexion s’appelle : la CONNAISSANCE D’ANALYSE, rationnelle ou la CONNAISSANCE du SECONDE
DEGRE. Cette connaissance est juste suivant les disciplines de recherche. Bref, pour manifester la réalité, on a
besoin de la réflexion cohérente et sans fin. Pour mettre en exergue sur ce sens, Sorën Kierkegaard affirme
comme : « la réalité n’est rien d’autre que l’accord ou le confesses de la pensée avec un objet de la réflexion qui
varie donc d’une discipline à une autre ».

En prise de conclusion, c’est vraie que, si ce sujet nous a dit comme : « la philosophie nous éloigne à la
réalité » car nous voyons qua la philosophie se base sur le caractère abstraite d’où elle concerne à l’activité
gnoséologie qui est fondée par une activité intellectuelle de réflexion. Mais, il faut bien signaler aussi que : « la
philosophie pas tout à fait s’éloigner à la réalité » sur mur d’épistémologie car, elle se base sur un caractère
concret, elle obtenue la méthode bien définie, qui se remonte de phénomène, qui porte une explication claire et
objective, et elle offre des lois contrôlées et vérifiée à l’aide des preuves. Donc les deux réalités opposantes
amènent le SUJET vers un chemin du BIEN ou du BONHEUR. Et pourquoi alors la science technologiques à
dépasser la vraie sens de la philosophie envers l’humanité ?

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