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Donc la suite (un) converge simplement sur vers la fonction nulle (notée u).
Pour n fixé, si la fonction un est continue sur , donc : u n − u = u n , est bornée sur tout segment [a,b].
3.n.x 2 + n 3 .x 4
Puis un est dérivable sur , et : ∀ x ∈ , u n ' ( x) = ≥ 0 , donc que un est croissante sur .
(1 + n 2 .x 2 ) 2
Ainsi, pour tout segment [a,b], on a :
∀ n ∈ , u n ( x) ≤ max( u n (a ) , u n (b) ) ≤ u n (a ) + u n (b) , d’où : sup u n ≤ u n (a ) + u n (b) .
[ a ,b ]
Puisque la suite majorante tend vers 0, on en déduit la convergence uniforme de (un) sur tout segment
[a,b] vers la fonction nulle.
b. Soit x fixé dans +.
• si : x = 0, alors : ∀ n ∈ *, u n ( x) = 0 , et la suite numérique (un(0)) converge vers 0.
x
• si : x ≠ 0, alors la suite tend vers 0 et (un(x)) aussi.
n
Donc la suite (un) converge simplement sur vers la fonction nulle (notée u).
Pour n entier fixé, il est clair que un est continue sur +, donc : u n − u = u n , est bornée sur tout
segment [a,b].
b
De plus : ∀ n ∈ *, ∀ x ∈ [a,b], 0 ≤ u n ( x) − u ( x) ≤ ln1 + = u n (b) , d’où : sup u n ≤ u n (b) .
n [ a ,b ]
On en déduit que la suite (un) converge uniformément sur tout segment vers la fonction nulle.
c. Soit n fixé dans +.
Si α est nul, la suite (un) est la suite nulle, et elle converge simplement et uniformément sur vers la
fonction nulle.
• si : x = 0, alors : ∀ n ∈ , u n ( x) = 0 , et la suite numérique (un(0)) converge vers 0.
• si : x ≠ 0, alors : ∀ n ∈ , u n ( x) ≤ e − n. x , et la suite (un(x)) converge vers 0.
La suite (un) converge simplement sur + vers la fonction nulle (notée u). avec : α ∈ .
Puis, pour tout n fixé, la fonction un est continue sur +, donc : u n − u = u n , est bornée sur tout
segment [a,b].
Enfin : ∀ n ∈ *, ∀ x ∈ [a,b], 0 ≤ u n ( x) − u ( x) ≤ e − n. x .n.x. α = α .ϕ (n.x) , avec : ∀ u ≥ 0, ϕ (u ) = u.e − u .
Or l’étude des variations de ϕ montre qu’elle
1
présente un maximum en 1 où elle vaut et
e
son graphe a l’allure ci-contre.
Donc :
• si : a > 0, il existe un rang n0 tel que : ∀ n ≥ n0, 1 ≤ n.a, et dans ce cas :
∀ x ∈ [a,b], 0 ≤ ϕ(n,x) ≤ ϕ(n.a), soit : sup u n ≤ α .ϕ ( n.a ) ,
[ a ,b ]
et on en déduit que la suite (un) converge uniformément sur [a,b] vers la fonction nulle.
π π
• si : 0 = a < b, il existe un rang n0 tel que : ∀ n ≥ n0, ≤ n.b , et : x n = ∈ [0,b].
2. α 2.n.α
π
−
2. α
Alors : ∀ n ≥ n0, u n ( x n ) − u ( x n ) = u n ( x n ) = e .
Il n’y a pas alors convergence uniforme de (un) sur [0,b] (et évidemment pas non plus sur [0,+∞)).
1
2. a. Si x est fixé dans , alors la suite (un(x)) converge vers 0 puisque : u n ( x) ~ .
+∞ n 2
Donc puisque la suite (un(a)) converge vers 0 (vu avec la convergence simple), on en déduit que la suite
(un) converge uniformément sur [a,+∞) vers la fonction nulle.
x
−sin
3. Soit la suite de fonctions définie par : ∀ n ∈ *, ∀ x ∈ , f n ( x) = x .e 2 n
.
x
a. Puisque, pour x fixé dans , la suite tend vers 0, la continuité de sin en 0 montrer que (fn(x)) tend
n
vers x2.
Donc la suite converge simplement sur vers la fonction f définie par : ∀ x ∈ 2
, f(x) = x2.
b. La fonction (fn – f) est non bornée sur : en effet, si on calcule :
π π
∀ k ∈ , ( f n − f )(n.(− + 2.k .π )) = e.n 2 .(− + 2.k .π ) 2 ,
2 2
et quand k tend vers +∞, l’image obtenue tend vers +∞.
Donc la fonction (fn – f) n’étant pas bornée sur , il n’y a pas convergence uniforme de (fn) vers f sur .
x
− sin
c. On commence par remarquer que : ∀ x ∈ [0,a], f n ( x) − f ( x) = x . e 2 n
−1 .
π x
Puis : ∃ n0 ∈ , ∀ n ≥ n0, a ≤ n. , et la fonction : x a sin , est alors monotone sur [-a,+a].
2 n
x a a
− sin −sin sin
Donc : ∀ n ≥ n0, ∀ x ∈ [-a,+a], e n
− 1 ≤ max((1 − e n
), (e n
− 1)) .
Enfin, quand n tend vers +∞, la suite majorante tend vers 0, et on en déduit la convergence uniforme de
(fn) sur [-a,+a] vers f.
+
4. a. Pour x fixé dans , on a :
x x x 1 x
u n ( x) = sin(2.n.π . 1 + )− = sin(2.n.π .1 + + o + ∞ 2 ) − , soit :
4.π .n 2 2
4.n.π 2.4.π .n
2 2
n 4.n.π
x 1 x 1
u n ( x) = sin + o + ∞ − = o+∞ ,
4.π .n n 4.n.π n
et la suite (un(x)) tend vers 0.
Donc la suite de fonctions (un) converge simplement sur vers la fonction nulle.
b. Puisque, pour n entier fixé dans *, la fonction : u n − u = u n |un – u| = |un|, n’est pas bornée sur , la
5. a. On peut écrire : ∀ x ≥ 0, ∀ n ≥ 1,
x x 1
u n ( x) = exp − n. ln1 + = exp − n. + o+∞ = exp(− x + o+ ∞ (1)) ,
n n n
et sous cette forme, il est clair que (un(x)) tend vers e-x.
Donc la suite (un) converge simplement sur vers la fonction : x a e-x.
x x x
Puis : ∀ u ∈ +
, ln(1 + u) ≤ u, donc : ∀ n ≥ 1, ∀ x ∈ +
, ln1 +
≤ , et : − n. ln1 + ≥ − x ,
n n n
Enfin la fonction exponentielle étant croissante, on conclut avec : u n ( x) ≥ e − x = lim u p ( x) = u ( x) .
p → +∞
t 2
b. L’inégalité proposée se montre en étudiant les fonctions : t a ln(1 + t ) − t −
, et : t a t − ln(1 + t ) ,
2
sur + (on a déjà utilisé la deuxième inégalité).
Soit maintenant : a > 0, et : n ≥ 1.
On déduit de ce qui précède que :
x x2 x x
∀ x ∈ [0,a], − 2
≤ ln1 + ≤ , d’où avec les mêmes arguments que dans la question a :
n 2.n n n
x2
−x −x
∀ x ∈ [0,a], e ≤ u n ( x) ≤ e .e 2. n
.
x2 a2 a2
−x
D’où : ∀ x ∈ [0,a], 0 ≤ u n ( x) − u ( x) ≤ e .(e 2.n
− 1) ≤ e 2.n
− 1 , d’où : sup u n − u ≤ e 2. n
− 1.
[ 0,a ]
Enfin, quand ne tend vers +, le majorant trouvé tend vers 0 et la suite converge uniformément sur [0,a].
c. Soit : n ≥ 1.
Puisque la fonction (un – u) est continue sur +, vaut 0 en 0 et tend vers 0 en +∞, elle est bornée sur +.
x2 n 1
−x
Alors : ∀ x ∈ [0, n ], on a comme précédemment : 0 ≤ u n ( x) − u ( x) ≤ e .(e
4 2. n
− 1) ≤ e 2. n
−1 = e 2. n
−1,
et : ∀ x ∈ [ 4 n ,+∞), 0 ≤ u n ( x) − u ( x) ≤ u n ( x) ≤ u n ( 4 n ) .
1 1
4
n 4 n 4 n
Enfin : u n (4 n ) = exp − n. ln1 + = exp − n. + o = exp(− 4 n + o+∞ ( 4 n )) .
+∞
n n n
+
Donc la suite majorante tend vers 0 et la suite converge uniformément sur .
2
− = .
3 0 6
Donc la suite (un) ne converge pas uniformément sur [0,1] sinon on aurait :
1 1
lim ∫u
n → +∞ 0
n (t ).dt = ∫ lim u n (t ).dt = 0 , ce qui n’est pas le cas.
0 n → +∞
1
c. Enfin, sur [a,1] la convergence est uniforme puisque : ∃ na ∈ *, ∀ n ≥ na, < a.
n
Donc : ∀ n ≥ na, ∀ x ∈ [a,1], u n ( x) = u ( x) = 0 , et : sup u n − u = 0 , d’où le résultat.
[ a ,1]
positifs, la série ∑u
n≥0
n ( x) converge.
et la série de fonctions ne converge par normalement sur [0,b], ∑ sup u n étant divergente.
[ 0 ,b ]
Si [a,b] est un segment qui évite 0 (par exemple [a,b], avec : 0 < a < b, les autres cas du même type se
1
traitant de façon similaire), alors : ∃ n0, ∀ n ≥ n0, ≤a.
2. n
De plus, on a alors : ∀ n ≥ n0, un décroissante sur [a,b], et : sup u n = u n (a ) .
[ a ,b ]
Or ∑u
n ≥ n0
n (a) converge (voir convergence simple) donc la série converge bien, donc il y a convergence
En effet, les termes généraux en valeur absolue constitue bien une suite décroissante qui tend vers 0.
Donc il y convergence simple de la série de fonctions sur .
De plus, toujours pour x fixé, le critère spécial montre encore que :
∀ x ∈ , ∀ n ∈ *, Rn ( x) = S ( x) − S n ( x) ≤ u n +1 ( x) ,
où on a noté Sn la somme partielle d’ordre n de la série, et S sa somme.
1 1
Donc pour n fixé dans , on a : ∀ x ∈ , Rn ( x) ≤ u n +1 ( x) ≤ , d’où : sup S − S n ≤ .
n +1 R n +1
On en déduit que la série de fonctions converge uniformément sur .
b. Si I est un intervalle de , la série ne peut converger normalement sur I, car sinon pour tout élément x
de I, la série ∑
u n ( x) convergerait absolument.
n≥0
Or cette dernière série est toujours divergente et la série de fonctions ne converge donc normalement
sur aucun intervalle de .
np π n p+2
∀ x ∈ , ∀ n ∈ , n 2 . v n( p ) ( x) = n 2 . . cos(n.x + p. ) ≤ , qui tend vers 0 en +∞,
n! 2 n!
• la série de fonctions ∑v ( p +1)
n converge normalement sur , car :
n p +1 π n p +1+ 2
∀ n ∈ , ∀ x ∈ , n 2 . v n( p +1) ( x) = n 2 . . cos(n.x + ( p + 1). ) ≤ .
n! 2 n!
Donc la somme de la série (ici donc σ(p)) est classe C1 sur et :
+∞ +∞
n p +1
π
∀ x ∈ , σ ( p +1) ( x) = ∑v
n =0
( p +1)
n ( x) = ∑
n = 0 n!
. cos(n.x + ( p + 1). ) .
2
σ est donc de classe C∞ sur , ses dérivées s’obtenant en dérivant terme à terme la série.
Remarque : on aurait pu directement obtenir le caractère C∞ de σ sur en indiquant que toutes les
séries de dérivées convergeaient normalement sur .
1
d. On remarque ensuite que : ∀ t ∈ , cos 3 (t ) = .(cos(3.t ) + 3. cos(t )) .
4
1 1
Donc : ∀ x ∈ , ∀ n ∈ , u n ( x) = .(v n (3.x) + v n ( x)) , puis en sommant : S ( x) = .(σ (3.x) + σ ( x)) .
4 4
e. Il est alors immédiat que S est de classe C∞ sur .
2 2
cette série de fonctions sur [0,2.π].
+∞ 2.π e i.( k + n ).θ
c. On peut donc écrire, en intervertissant les symboles : ∀ n ∈ , In = ∑∫
k =0
0
(−1) k .
2 k +1
.dθ .
x
13. a. On commence par poser : ∀ n ∈ , ∀ x ∈ , u n ( x) = .
n.(1 + n.x 2 )
Pour réel fixé, on distingue deux cas :
• si : x = 0, alors la série ∑
u n (0) est la série nulle et converge (de somme 0),
n ≥1
1
• si : x ≠ 0, alors u n ( x) ~
+∞ n . x
, et la série
2 ∑u
n ≥1
n ( x) est absolument convergente.
1
e. Puisque, pour : x > 0, la série ∑ n.(1 + n.x
n ≥1
2
)
, est à termes positifs et qu’elle converge, toute somme
Si ce taux d’accroissement avait une limite finie L en 0, alors en passant à la limite en 0 dans l’inégalité
N
1
précédente, on aurait : ∀ N ∈ *, ∑n ≤ L.
n =1
L serait donc supérieure à toutes les sommes
partielles de la série harmonique, ce qui est
impossible puisque la série harmonique
diverge vers +∞.
Donc le taux d’accroissement de S en 0 n’a
pas de limite finie en 0 et S n’est pas
dérivable en 0.
On peut pour finir remarquer que T, comme
somme de fonctions décroissantes (somme
infinie mais convergente) est elle-même
décroissante, donc en 0+, elle tend vers une
limite finie ou +∞.
Mais puisque T n’a pas de limite finie en 0,
T tend vers +∞ en 0+ (mais aussi en 0- par
imparité).
Donc la courbe présente de S présente bien une tangente verticale en 0.
g. Voilà ci-contre le graphe de S, conforme aux résultats obtenus dans les questions précédentes.
n.x n −1
14. a. On commence par définir : ∀ n ∈ *, ∀ x ∈ +
, u n ( x) = .
1+ xn
Soit donc x un réel positif.
• si : x = 0, S(x) existe comme somme de la série nulle,
• si : 0 < x < 1, on a : u n ( x) ~ n.x n −1 , et puisque n 2 .n.x n −1 tend vers 0 quand n tend vers +∞, la série
+∞
numérique correspondante est absolument convergente,
n
• si : x = 1, on a : ∀ n ∈ *, u n (1) = , et la série correspondante diverge grossièrement,
2
n
• si : 1 < x, on a : u n ( x) ~ , et la série correspondante diverge à nouveau grossièrement.
+∞ x
Donc la série de fonctions converge simplement sur [0,1[ et S est définie sur [0,1[.
x n − 2 .(n − 1 − x n )
b. On commence par constater que : ∀ n ≥ 2, ∀ x ∈ [0,1[, u n ' ( x) = ≥ 0.
(1 + x n ) 2
1
Donc ϕ : x a S ( x) − = S ( x) − u1 ( x) , est croissante comme somme (convergente) de fonctions
1+ x
croissantes sur [0,1[.
On en déduit que la fonction ϕ précédente (et donc S aussi puisque c’est également le cas pour u1)
admettent une limite en 1, finie ou infinie.
On va montrer que S ne peut avoir en 1 une limite finie, et pour cela, supposons que ce soit le cas, à
savoir : lim S ( x) = L .
x →1
<
Donc toutes les fonctions apparaissant au-dessus ayant une limite finie en 1-, on aurait :
N
n.x n −1 N
n 1 N
L = lim S ( x) ≥ lim ∑ = ∑ = .∑ n .
x →1
<
x →1
< n =1
1 + x n n =1 2 2 n =1
Or c’est impossible puisque la série harmonique diverge vers +∞.
Donc : lim S ( x) = +∞ .
x →1
<
(−1) n − x n
15. a. On commence par poser : ∀ n ∈ *, ∀ x ∈ , u n ( x) = .e .
n
Soit : x ∈ .
• si : x > 0, on constate que : n 2 .u n ( x) = ( n ) 2 .e − x. n
, tend vers 0 en +∞, du fait du théorème des
croissances comparées et la série ∑u
n ≥1
n ( x) converge absolument,
• si : x = 0, la série converge par le critère spécial des séries alternées (série harmonique alternée),
• si : x < 0, la série diverge grossièrement, toujours avec le théorème des croissances comparées.
Donc la série de fonctions converge simplement sur +, et : DS = +.
(−1) n +1
b. Pour : n ∈ *, un est de classe C sur 1 +
, et : ∀ x ∈ +
, u n ' ( x) = .e − x n .
n
Pour x dans +
, on constate alors que la série ∑u
n ≥1
n ' ( x) vérifie le critère spécial des séries alternées.
En effet, la suite des termes généraux est bien alternée et décroît en valeur absolue (comme produit de
suites positives décroissantes) vers 0.
+∞
1 1
Donc : ∀ n ∈ *, ∀ x ∈ +
, Rn ( x ) = ∑u
k = n +1
k ' ( x) ≤ u n +1 ' ( x) ≤
n +1
.e − x n +1
≤
n +1
.
1
On en déduit que : ∀ n ∈ *, sup Rn ≤
R +
n +1
, et la série ∑u n ' converge uniformément sur +
.
En résumé :
• ∀ n ∈ *, un est de classe C1 sur +,
• la série ∑u n converge simplement sur +
,
• la série ∑ u n ' converge uniformément sur +
,
+∞
(−1) n +1
donc S est de classe C1 sur +
et : ∀ x ∈ +
, S ' ( x) =
n
∑
n =1
.e − x n
Fonction ζ de Riemann.
+∞
1
17. a. L’étude des séries de Riemann montre que : ∀ x ∈ , ( ∑n
n =1
x
converge) ⇔ (x > 1), d’où : Dζ = ]1,+∞).
1
b. Notons : ∀ n ∈ *, ∀ x > 1, u n ( x) = x
= e − x. ln( n ) .
n
(− ln(n)) p
Alors : ∀ n ∈ *, ∀ p ≥ 1, un est de classe Cp sur ]1,+∞), et : ∀ x ∈ ]1,+∞), u n( p ) ( x) = .
nx
(ln(n)) p 1 (ln(n)) p 1
Puis, pour : a > 1, on a : ∀ p ∈ , ∀ x ∈ [a,+∞), u n( p ) ( x) ≤ a
= α
. a −α = o+∞ α ,
n n n n
avec : 1 < α < a, du fait du théorème des croissances comparées.
Donc ∑u n( p ) converge normalement sur [a,+∞), avec : a > 1, d’où ζ est de classe Cp, pour tout entier p
n ≥1
+∞
(− ln(n)) p
sur ]1,+∞), donc de classe C∞ sur Dζ, et : ∀ p ≥ 0, ∀ x > 1, ζ ( p)
( x) = ∑ .
n =1 nx
c. ζ est de classe C2 sur ]1,+∞), et : ∀ x > 1, ζ’’(x) ≥ 0, comme somme d’une série à termes positifs.
Donc ζ’’ est positive sur son domaine de définition qui est un intervalle, et ζ est convexe.
d. La série définissant ζ converge normalement sur [2,+∞), chaque fonction un a une limite finie en +∞,
nulle pour : n ≥ 2, égale à 1 pour : n = 1, et la série de ces limites converge.
+∞ +∞
Donc : lim ζ ( x) = lim
x → +∞ x → +∞
∑ u n ( x) = ∑ lim u n ( x) = 1 .
n =1 n =1
x → +∞