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c u -tr a c k Ton orgueilLEUse TÊte. .d o
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DépouilLÉ d'artiFIce.
EsCLAve de l'aMOUR.
RIre de ma douLEUR.
Le JOUR éTAIT plus BEAU.
OUI, c'est MOI qui le DIS.
MEURS, que ton NOM péRISse.
Ces types ne sont évidemment pas les seuls, car Boscaven suppose que
les deux dernières syllabes (les _e_ muets de la fin ne comptant pas)
forment toujours un ïambe; or, ce n'est pas le cas si l'hémistiche se
termine par un mot comme _relâcher_, par exemple, où la dernière
syllabe est brève et accentuée, tandis que la seconde est d'une
longueur bien marquée. On voit encore ici combien on risque de se
tromper en ne considérant rien que la quantité des syllabes ou rien
que leur accentuation.
L'harmonie des vers repose sur cette loi très simple, que _la sonorité
et le rythme doivent être en rapport avec la pensée ou le sentiment
exprimé_. Or, les éléments de la sonorité et du rythme sont des
voyelles plus ou moins claires ou sombres, plus ou moins pointues pour
ainsi dire, plus ou moins arrondies, des consonnes plus ou moins
douces ou fortes, plus ou moins sèches ou coulantes, soit simples soit
accumulées; puis, des syllabes plus ou moins longues ou brèves, plus
ou moins accentuées, des rythmes plus ou moins légers ou rapides, ou
plus ou moins lourds et massifs.