ArcCatalog

ArcGIS
Manuel de formation

ArcCatalog
V1.1 – avril 2004
ArcCatalog

Sommaire
• Introduction
• Le système ArcGIS
• Les données utilisables
• ArcGIS desktop
• Les modules complémentaires
• Introduction à ArcSDE
• Comparaison ArcView 3 / ArcView 8
ArcCatalog

Introduction
Ce document constitue la deuxième partie des supports de formation à ArcGIS
réalisés par GEOSIGNAL. Ces supports abordent les sujets suivants :
• Architecture globale de la gamme ArcGIS
• L’utilisation d’ArcCatalog
• L’utilisation d’ArcToolBox
• L’Utilisation d’ArcMap

Cette deuxième partie aborde donc l’outil ArcCatalog, cœur de la gamme ArcGIS.
C’est en effet un véritable « explorateur » (au sens Windows du terme) de données
cartographiques.
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L’interface
Une organisation proche de
celle de l’explorateur de
fichiers de Windows :
• la zone de menus
• la barre d’outils
• la barre d’adresse
• l’arborescence des
données
• la zone d’affichage des
données
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Explorer les données - 1

Types de données
accessibles :
-géodatabase personnelle
- fichiers DAO
- couvertures Arc/Info
- fichiers Shape
- tables dBase
- images
- couches ArcMap
- liens ArcSDE et ArcIMS
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Explorer les données - 2

Mode d’accès 1 : en
parcourant l’arborescence
des répertoires, à l’aide de
l’explorateur, jusqu’à
l’accès aux données
recherchées.
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Explorer les données - 3

Mode d’accès 2 : en créant
une connexion directe à un
répertoire particulier, le
temps d’un projet par
exemple.
1 - Utiliser le bouton de
connexion.

2 – sélectionner le
répertoire contenant les
données à utiliser.
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Explorer les données - 4

3 – le répertoire apparaît
alors comme une nouvelle
entrée dans l’explorateur de
données.

La liste des données

contenues est affichée dans
la partie droite de
l’interface.

Utiliser l’outil de
déconnexion pour effacer
l’entrée directe à un
répertoire (lors de la fin du
projet par exemple).
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Explorer les données - 5

Si l’emplacement des
données à utiliser n’est pas
connu, il est possible
d’utiliser un outil de
recherche.

Différents critères peuvent

être utilisés, tout comme
dans l’explorateur de
fichiers de Windows.

Les critères utilisés peuvent

être sauvegardés (afin
d’être liés aux autres
données d’un projet par
exemple).
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Explorer les données - 6

Si seule la zone d’étude est

connue, il est possible de
baser la recherche sur des
critères géographiques
(zones, coordonnées…).
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Explorer les données - 7

Recherche possible par date
(de création des fichiers de
données par exemple).

Ou enfin en fonction des

méta-données liées aux
données.

Tous les critères sont

cumulatifs (comme si
l’opérateur « et » reliait les
différents onglets.
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Visualiser les données - 1

Les données sélectionnées
sont présentées dans la
partie droite de l’interface.
Si c’est un répertoire qui
est sélectionné dans
l’explorateur, toutes les
données contenues sont
listées.

On peut alors choisir le

mode d’affichage (grandes
icônes, liste, détails ou
miniatures).

Si c’est une donnée qui est

sélectionnée dans
l’explorateur, seules ses
caractéristiques sont alors
présentées.
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Visualiser les données - 2

Trois onglets permettent de
choisir le type
d’informations affichées :
• contenu : type de la
donnée (shape, couverture,
table… avec
éventuellement une
miniature)
• aperçu : affichage de la
donnée sous forme de carte
ou de table
• métadonnées :
caractéristiques de la
donnée.

Dans le cas de l’aperçu

d’une donnée géographique,
une barre d’outils
complémentaire est
disponible, permettant ainsi
de naviguer dans la donnée.
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Visualiser les données - 3

Les quatre premiers outils
disponibles sont classiques
(zoom avant, zoom arrière,
déplacement à échelle
constante, vue générale).

Le dernier outil permet de

créer une miniature de la
donnée, affichable alors
avec l’onglet « Contenu ».
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Visualiser les données - 4

L’outil « i » permet
d’afficher les
caractéristiques
attributaires de l’objet
pointé sur la carte.

La liste déroulante
supérieure permet de
choisir sur quelle couche
s’appliquera l’interrogation.
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Visualiser les données - 5

Par défaut, ArcCatalog
présente l’aspect
géographique d’une donnée
(sauf s’il s’agit d’une
couche uniquement
attributaire).

Le passage d’un mode à

l’autre (table / géographie)
s’effectue grâce à cette liste
déroulante.

Le mode « table » est assez

classique dans sa
présentation.

Gestion des
enregistrements (nombre,
accès direct…).
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Visualiser les données - 6

Les colonnes peuvent être
redimensionnées,
déplacées.

Un click droit sur le nom

d’une colonne fait
apparaître des options :
• de classements (par ordres
croissant ou décroissant)
• de blocage (impossibilité
de modifier l’aspect d’une
colonne).
• de suppression (définitive)
du champ.

• les statistiques donnent

les caractéristiques
principales du champ
concerné.
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Visualiser les données - 7

Les options permettent
• de rechercher certains
enregistrements en fonction
de leur contenu,
• de créer un nouveau
champ :

Choix du nom (attention

aux contraintes liées au
type de la donnée :
10 caractères si fichier
dBase, sans caractères
spéciaux…).
Type et caractéristique du
champ.

« recharger le cache »
permet de prendre en
compte des modifications
faites par un autre
utilisateur.
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Visualiser les données - 8

Dernier mode de
visualisation : les méta-
données.

A part les renseignements

directement liés à la
géographie de la donnée
(bornage…) ou à sa taille
(nombre
d’enregistrements…),
toutes les métadonnées
doivent être saisies par
l’utilisateur. C’est un
excellent moyen de
catalogage.
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Les propriétés des données - 1

Les propriétés d’une
donnée sont accessibles par
un click-droit sur son nom
dans l’arborescence.

Trois onglets sont

accessibles, le premier ne
permettant que de redéfinir
le nom utilisé.
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Les propriétés des données - 2

L’onglet « champ » est bien
plus important. Outre le fait
de permettre de connaître
ou modifier les
caractéristiques de chacun
d’eux, c’est par son
intermédiaire qu’il va être
possible de définir la
projection géographique
utilisée pour la donnée
concernée (essentielle avec
ArcGIS 8).

Pour cela, il faut

sélectionner le champ
« Shape », puis sa propriété
« Référence spatiale », dont
la valeur est « unknown »
par défaut.
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Les propriétés des données - 3

En cliquant sur « … », on
appelle les outils de
définition du système de
référencement.

L’onglet « Domaine XY »
permet d’afficher l’étendue
de la donnée concernée
(utile si on n’a aucune autre
indication sur le système de
projection utilisé).
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Les propriétés des données - 4

On définit le système de
projection en cliquant sur
« Sélection ».

On choisit ensuite le
système lié à la donnée
concernée.

Pour enfin choisir la

projection utilisée.
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Les propriétés des données - 5

Système qui est ensuite
récapitulé dans l’onglet
principal.

Dès que cela est fait, un

fichier d’entension « prj »
est créé.
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Les propriétés des données - 6

L’onglet « index » permet
de créer des index sur les
champs ou la géométrie,
afin d’accélérer les
opérations de sélection
(attributaire ou spatiale).

Des fichiers « atx » sont

créés pour les index sur les
champs, des fichiers
« sbn » et « sbx » pour
l’index spatial.
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La manipulation des données - 1

ArcCatalog permet de
copier ou supprimer des
données, en manipulant
automatiquement tous les
fichiers nécessaires (p.e.
.shp, .dbf et .shx pour un
fichier de formes).
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La manipulation des données - 2

Il est également possible de
convertir des fichiers Shape
vers un géodatabase.

Etape 1 : choix de la
donnée à exporter.

Etape 2 : choix de la
géodatabase de destination
(nouvelle ou existante),
puis de la classe d’entités à
utiliser. Le système de
projection est
automatiquement déduit
des caractéristiques de la
couche à exporter.
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La manipulation des données - 3

La modification des
paramètres donne accès
- à la projection (on peut
donc profiter de
l’exportation pour changer
le système de
référencement spatial
utilisé)
- aux champs à exporter ou
non, en changeant
éventuellement leur nom
(pour tenir compte des
limitations associées à
certains formats).
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La manipulation des données - 4

On peut aussi restreindre

l’étendue de l’exportation,
en fonction de critères sur
les données.
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La manipulation des données - 5

Attention à cocher l’option

géométrie si la géodatabase
doit être destinée à stocker
des données M (abscisse
curviligne) et Z
(altimétrie).

Le résultat apparaît alors

dans l’explorateur de
données.
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La manipulation des données - 6

Les choix offerts sont
fonction du type de la
donnée concernée (ici,
géodatabase personnelle).
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Les options générales - 1

Les options générales
permettent de définir les
propriétés générales
d’ArcCatalog.

Les plus utiles concernent

les tables et les images.

Pour les tables, outre les

couleurs d’affichage, il est
possible de définir le mode
de représentation des
champs avec index.
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Les options générales - 2

Pour les images,

l’utilisateur peut choisir
l’ordre d’affichage des
canaux composant une
image multi-couches
(image satellitaire par
exemple).
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Se connecter à ArcSDE - 1

La liste des connexions

disponibles se trouve, dans
l’arborescence, au niveau
de « connexions aux bases
de données ».
Si la connexion recherchée
a déjà été créée, il suffit de
la sélectionner.
Sinon, il faut la créer en
double-cliquant sur
« Ajouter Nouvelle
connexion ArcSDE ».
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Se connecter à ArcSDE - 2

Cela ouvre une nouvelle

fenêtre dans laquelle il faut
saisir les différents
paramètres de connexion au
serveur utilisé.
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Se connecter à ArcSDE - 3

Une fois la connexion créée,

son nom apparaît dans la
liste.

Elle se comporte alors

comme n’importe quel
élément de l’arborescence :
un click sur son nom fait
apparaître les données
auxquelles elle donne
accès.
ArcCatalog

Se connecter à ArcSDE - 4

SIGALE dispose par contre

d’un outil personnalisé
permettant un accès direct
aux données ArcSDE
depuis ArcMAP.

Pour l’utiliser, il faut ouvrir

le document dénommé
« sigale.mxd ».

Cela a pour effet d’ajouter

une nouvelle icône dans
l’interface.
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Se connecter à ArcSDE - 5
En cliquant sur cette icône,
cela provoque la création
d’une liste des données
disponibles.

Cette liste est présentée

dans une nouvelle fenêtre.
Les données sont classées
par rubriques. Le
fonctionnement est
identique à ce qu’on trouve
dans le Viewer Sigale V2.
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Se connecter à ArcSDE - 6
ArcCatalog

Le géocodage - 1
Le géocodage (ou
appariement d’adresses)
permet de positionner des
données tabulaires,
renseignées avec une
adresse, sur un fond de plan
(de voirie par exemple).

La première étape consiste

à standardiser la
dénomination des voies
utilisés dans le fond qui
sera utilisé (extension
disponible sur le site
ESRI).

Il faut choisir le nom du

champ contenant l’adresse,
puis ceux des champs
contenant ensuite le type et
le nom de chaque voie.
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Le géocodage - 2
On crée ensuite un service
de géocodage, par un
double-click sur « Nouveau
service de géocodage ».

Il faut sélectionner le style

de géocodage
correspondant le mieux au
fichier à géocoder.
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Le géocodage - 3
Il faut ensuite définir les
paramètres du service de
géocodage.

Les champs contenant les

adresses de bornage des
tronçons de voirie, le type
des voies et leur nom.

Un éventuel décalage droite

gauche par rapport à l’axe
de la voie concernée.

Les informations à stocker

dans le thème contenant les
points géocoder.
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Le géocodage - 4
On peut alors procéder au
géocodage des informations
contenues dans la table à
traiter.

On choisit donc le service

de géocodage à utiliser.
ArcCatalog

Le géocodage - 5
Il est nécessaire d’indiquer
le champ contenant
l’adresse des points à
géocoder…

…et le nom du thème à

créer.

Les statistiques de réussite

du géocodage automatique
sont alors affichées.

Il est alors possible

d’accepter les résultats, ou
de procéder à géocodage
manuel complémentaire.
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Le géocodage - 6
Le géocodage manuel
consiste à prendre les
données non positionnées
une à une, et à examiner les
conditions du refus.

Il est possible pour cela de

jouer sur les paramètres de
discrimination des adresses
lors du géocodage.
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Le géocodage - 7
Le résultat est créé sous la
forme d’une couche de
points.
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Lier un fichier Excel - 1

Créer une connexion ODBC

A. Démarrer, Paramètres, panneau de configuration
B. Ouvrir le panneau de contrôle ODBC
Windows NT: Sources de données ODBC
Windows 2000: Outils d’administration, sources de données
C. Select the User DSN tab and click the Add button.
D. Select Microsoft Excel Driver (*.xls) and click the Finish button.
E. In the ODBC Microsoft Excel Setup dialog box, type in a name (such as test_xls) and description for the
data source then click the Select Workbook button.
F. Navigate to the Excel data file.
G. Click OK 3 times to exit all the dialog boxes and finish creating the new data source.
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Lier un fichier Excel - 2

Place the data in the OLE DB table format.

A. Open .xls file in Microsoft Excel.
B. Select the data you want to display in ArcInfo.
C. Click Insert > Name > Define and type in a name for the selected cells. This name will appear in the
tables list when the OLE DB connection is expanded in ArcCatalog or ArcMap.
D. Save the file and quit Excel.
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Lier un fichier Excel - 3

Connect to the Excel file from ArcCatalog.

A. Start ArcCatalog.
B. Click Database Connections.
C. Click Add OLE DB Connection.
D. Select Microsoft OLE DB Provider for ODBC Drivers.
E. Click the User Data Source Name button.
F. Select your xls file from the drop-down list. Use the Refresh button if necessary.
G. Click the Test Connection button to verify the connection works. A message box should confirm the
connection has succeeded.
H. Click OK to finish the process.