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Régime du changement climatique

Introduction

Risque global. Dont le risque systémique. Émissions gaz affectent ensemble de la


planète. Le problème commun par excellence. Unique moyen de le résoudre : la coopération
internationale.
Évolutions climatiques : depuis toujours. Mais les échelles de temps. Passé : des
oscillation de longue ou très longue durée. Aujourd'hui : échelle de moins d'un siècle. Le
problème est le changement d'échelle : atypique. Climato-sceptiques (Allègre...) : une variation
qui n'est pas d'origine naturelle.
Schéma du centre observation climat de Potzdan, rapport publié juste avant Cop 15.
L'influence nette du facteur humain en proportion. Rôle croissant.
Consensus scientifique. Origine anthropique de ces changements.
Dernier âge glaciaire : 100m en-dessous niveau actuel, Europe. Moins 4 ou 5K. Et
glacier jusqu'à la Loire. Idiot minimiser parce que quelques degrés.
Depuis milieu 19ème, augmentation de 30% CO2 atmosphère. Le problème n'est pas la
valeur absolue, mais sont plus absorbables par mécanisme naturel.
Mais effet serre est nécessaire : sans lui température moyenne -15°C. Le problème est
le déséquilibre, pas le phénomène. Introduction proportion d'autres gaz. Naturels, comme CO2
et méthane, ou artificiels HCFC. Pouvoir GES plus forte que CO2. CO2 : 80% des émissions. Mais
augmentation rôle méthane : agriculture et fonte permafrost.
Effet retard. Bombe à retardement. Accumulation GES depuis 18ème. GES
d'aujourd'hui produit réchauffement de demain. GES d'aujourd'hui causé par gaz d'il y a 100
ans. Si on arrête aujourd'hui, réchauffement en décroissance. Aujourd'hui, en croissance.
Mais émissions augmentent OCDE et encore plus vite pour les émergents. Anciennement, lors
crise diminution émissions, mais 2008-9 non car compensation croissance émergents.

Mesures. Varient selon les parties de la Terre. Carte. Des régions chaudes,
refroidissements. Latitude, masses continentales. L'impact est différencié.
Graphique mesure accroissement température. Entre 1860 et 1920 : des variations des
augmentations. Après 1920 et 1940 : augmentation quasi régulière.

Si variations régionales, des impacts différenciés. Donc spéculations effets bénéfiques


(Putin, blé en Sibérie). Mais impacts ___. Ouragan, élévation niveau mer : submersion îles et
côtes. Inondations suivies parfois de sécheresses. Sécurité alimentaire. Famine, épidémies :
lien augmentation température et vecteurs moustiques. Réfugiés climatiques.

Problème : impacts localisés difficiles à prévoir.


Emballements : mécanismes de retroalimentation. Il est positif : car amplifie le
réchauffement. Une fois seuil, inconnu, dépassé – comme fonte perligésol : zones de marais
qui libère grande quantité méthane, pouvoir réchauffement 30% supérieur à celui du carbone.
// Puits de carbone océanique. Mers absorbent grande quantité CO2. Fond des mers : du
méthane capture car différence température des eaux. Réchauffement : remontée méthane et
ralentissement capacité eau mer absorber carbone. // Perturbation courants marins car
élévation températures. Ralentissement Gulf Stream. // Fonte calotes polaires, nord et sud.
Élévation niveau mers. Fonte Arctique : accélérée.
Des risques de rendre réchauffement incontrôlable.

Responsabilité des anciens pays industrialisés, capitalistes et PECO. Responsabilité de


l'ensemble du monde industriel.
CN KRS Inde : dix plus gros émetteurs. CN a dépassé EUA en 2006 GES. Mais si en
masse par pays mais en tête habitant : encore très inférieurs. EUA : 4% population, 25%
émissions. EUA émettent 11 fois CN par personne. Importance politique : Inde propose
raisonner en émission par tête. Refus OCDE.
Montée niveau mers. Rythme lent et affectent atolls Pacifique. Mais vitesse
augmentation. 2100 : menace plus ample sur côtes.
Rapport Nicolas Stern. Impacts économiques. Comparable WW1, WW2 et crise de
1929. Le seul investissement rentable à long terme.

Mise sur agenda

Comment cela émerge dans les consciences ?

L'hypothèse de l'effet de serre : depuis fin 19ème. Première conférence ONU, 1979 :
pas consensus : réalité et causes du phénomène.
Plusieurs congrès et rapports. Font monter la pression. Inquiétude monte parmi experts
notamment. Pression ONG. Méfiance PNUE, considéré trop proche ONG, pays G8
recommande création groupe experts : le GIEC IPCC. Il est intergouvernemental : pas ONG,
pas que scientifique. Mais travaille avec scientifiques. Produire base scientifique pour
orienter décisions future. Tutelles : OMM et du PNUE. Cadre ONU, résolution AG. Rôle :
synthétiser la science existante et vérifier crédibilité données scientifiques. Climatologie,
paléoclimatologie, océanographie, courants marins... Et évaluation des impacts : de
l'agronomie aux sciences économiques et politiques. // Pas de produire science nouvelle.
Rassemble connaissance scientifique. Schéma du fonctionnement. Processus commence en
haut à gauche : approuve un plan de travail pour un rapport. États nomment experts. Ils
participent au bureau. Postes répartis entre pays. Scientifiques spécialistes dans leurs
disciplines. Rédaction toujours collective. Premier projet présenté, soumis inspection experts
nommés par États. Puis 2ème projet sur base observations. Puis nouvel examen : par experts
et États. Après auteurs font dernière version, qui est distribuée. Approvation formelle des
États. Négociations de dernière minute : l'executive summary : enjeu de communication.
Ensuite publication. De 2 à 3 ans. Ne travaillent pas en continu car son rôle est faire de la
synthèse.

Le résumé sert de base pour les décisions futures. Quasi totalité délégations :
crédibilité GIEC ne fait aucun débat.
Premier rapport 1990. pas très achevé : mais souligne réalité problème et nécessité
travailler dessus. 4ème en 2007. crédibilité : Prix Nobel. États bloqueurs. Académie science
EUA en accord avec conclusions GIEC. Lobbies think tanks financent centres alternatifs.
1er rapport incite États à agir. Effet positif sur mise en agenda. Février 1991 : début
convention. Adoption convention cadre avant Rio 92 a servi d'aiguillon.
Graphiques rapport GIEC 2007. Différentes courbes correspondent scénarios différents
de croissance économique. En gris, la fourchette retenue. Chiffre précis donnés toujours
médianes. Des scénarios qui prenent en compte différents GES : CO2, CH4...
Lecture de ces informations demandent précautions et sont des estimations
conditionnées à des scénarios. Le but est pas produire certitudes scientifiques. C'est de
montrer la complexité du risque.

Convention cadre (CCC)

Négociation. Affrontement classique entre coalitions d'État. Gros consommateurs


énergie bon marché. Refus mesures contraignants. Soutien OPEP : atteinte leurs exportations :
pas réduction contraignante. Émergents hostiles à régime contraignant uniforme car droit
augmenter émissions BR Inde CN.
Pays leaders. Poussent à une convention. UE : raisons politique interne. Pression
opinion publique scandinave. Et plus en mesure s'adapter relative sobriété énergétique car
expérience chocs pétroliers : économie et efficacité.
Japon était bloqueur au départ, puis devient leader à Kyoto.
Association petits États insulaires. Militent réductions.
Et États pas position déterminée.

Malgré efforts UE niveau 1990 à 2000 : effort considérable. G. H. Bush : négocie pas
mode vie EUA. Menace boycotter Rio 92 si on essaye de le forcer.
Blocage. Convention cadre : régime faible. Reconnaît problème mais pas engagement
précis ni calendrier. Nord reconnaît responsabilité historique : responsabilité commune mais
différenciée, mais sans retombées pratiques.
Mais une disposition sur le modèle de la convention ozone : possibilité accord plus
contraignant si information scientifique confirme urgence.

Protocole de Kyoto

Avec 2ème rapport GIEC, publié 1995 (décembre), au moment conférence des parties
sur le changement climatique. Cela renforce position pays disent il y a urgence. On négocie un
protocole additionnel, d'ici fin 1997 : Kyoto.
Permise par changement politique EUA : plus d'ouverture. Al Gore engagé en faveur
protocole. Pour garder EUA, UE fait beaucoup concessions négociation protocole Kyoto.
Exemples. Ampleur des réductions : de -15% pour tous dès 2010. Moins de réductions,
variation objectifs et calendrier. b) 3 principaux GES à l'impact important et calendrier. EUA
demandent reporter application à 2008-2012 et pas dès 2000, comme demandait l'UE. c)
Possibilité mécanismes de flexibilité : marché de permis d'émissions. Au départ, proposition
EUA, de son expérience interne sur pollution aérienne : marche permis interne entre
entreprises, gaz de pluie acide. // Forêts comme puits de carbone dans les décomptes. // Hot
air : émissions que ne réaliseront pas PECO, en raison de l'effondrement leurs économies
pendant période transition. À partir 1995-6 : déficit d'émission de ces pays : EUA rachètent
leurs déficits d'émissions. Des pays qui négocient leurs droits d'émissions non-utilisées. Donc
des ouvertures.
Proposition AU : pas réduction uniforme. Tenir compte structure leur économie. AU :
dépendance charbon. Avantage : logique de bien commun.
EUA échec obtenir du G77 réduire leurs émissions. Visent les émergents. Seulement
industrialisés et PECO pris en compte pour réduction. Réduction de 5,2% par rapport 1990, à
commencer entre 2008-12. Les objectifs différents pris en compte : UE : -8%, et des États qui
peuvent augmenter de 10%.
Principe appliqué UE. FR obtient objectif national de 0%. Autres pays plus civiques. FR
invoque le nucléaire : on a réduit CO2 avec nucléaire.

Réduction par politiques nationales. Augmentation énergies renouvelables. Transports


en commun. Usines zéro carbone. Isolation habitat. Mais contrairement à ce que voulait l'UE,
les taxes proposés au départ dans le cadre de l'UE ont été écartés au profit des mécanismes
de flexibilité demandé par les pays de JUSCANZ. Transférer des technologies propres vers le
S. Entreprises N obtiennent de certificats négociables. Des dérives.
Mécanisme pour PECO : transfert, selon transfert direct, et en contrepartie certificats.
À partir 2008, prévu que marché émissions intégrerait entreprises OCDE et les
certificats issus du MDP et du MOC. Beaucoup de crédit : risque inefficacité. Objectif : inciter
améliorer technologies pour éviter acheter droit polluer. Il faut donc que les crédits soient
rares pour qu'ils soient chers.
EUA ajoutent un verrou : normalement 30 pays suffisent pour entrer en viguer. Là,
ratification 55 États de l'annexe 1 et qu'ils représentent 55% émissions CO2 1990. EUA : une
minorité de blocage pour difficulter entrée en vigueur. G. W. Bush retire signature. Crise :
phase de déclin. EUA le font par des raisons internes. Politique d'expansion de la
consommation. Et néo-conservatisme : hostile à l'environnement. Chargé de mission
planétaire. Autonomie des EUA. Déni du réchauffement. Et intérêts certains lobbies.
Répartition mines charbon, employeurs importants

De Kyoto à Cancun

Rentre en application 2005. Ralliement de la Russie. 1990 : URSS grande quantité


émission. Douma ratifie protocole novembre 2004. Russie veut entrer marché droit émissions
et vendre son hot war. Et pressions UE, principal client énergétique. Un partenariat
énergétique.

Développement marché expérimental marché émission en UE. 2005 : ouverture du


marché d'émission européen, reconduit 2008-2012. Problèmes début : allocations quotas
émissions trop généreux. Prix s'effondre. Améliorations lors deuxième phase.
Paquet énergie-climat, veille conférence Potsdan. Augmentation 20% consommation
énergies renouvelables. Et de 20% de l'efficacité énergétique. Et réduction 20% GES de l'UE en
2020 par rapport 1990. Plus loin repère 1990 plsu l'effort est important, mais pas pour impact
significatif faudrait 50%.

EUA. a) Opinion publique. Al Gore, scientifiques et ONG. b) Initiatives décentralisées.


Portland. Villes zéro carbone. Application protocole à leur niveau malgré État fédéral. Politique
de réduction de la CA. Même période de crise refus population CA retirer. c) Réduction
volontaire entreprises et marchés régionaux de carbone.
Chine. Consciente des problèmes. Efficacité énergétique volontariste. Mais croissance
économique annulent effets efficacité. Refus traités internationaux qui imposent obligations
qu'elle n'a pas choisies.

Importance de politique d'adaptation.


Au départ, réduire émissions. Aujourd'hui, question adaptation à l'augmentation de 2K
d'ici un siècle.
Question financement. 100 milliards de dollars par an. Comparaison : APD 60 milliards
dollars.
Donc il faut relativiser échec Copenhague. Acceptation pollueurs de 2K réchauffement
maximum. Financement. Et mécanisme REDD concernant les forêts : réduction dégradation.
REDD+ : gestion exigée durable des forêts, biodiversité et autochtones. Déforestation : 18%
émissions GES. Le problème : financer 30Md dollars par an : public ou autres instruments
comme marché du carbone.

Conclusion

Régime climatique : échec ?


Ambigu : tantôt des échecs tantôt des réussites.
Retrait EUA et Copenhague. 1997 et 2005 Kyoto en vigueur.
Évaluer en échelle de long terme. Copenhague aurait pu freiner, mais pas juger court
terme.
CN et EUA : blocage. CN : principe et intérêt. Cherche énergies futurs. Souscriveront
engagements quand conforme leurs intérêts. EUA : incapable faire passer ___.

Tendance dominante. Innovations techniques. Société de consommation maintenue.


Diviser par quatre émissions sans remettre en cause mode de vie, comme en France ?

Transferts $ et technologie. Sud : enjeu économique et symbolique : responsabilité plus


que proportionnelle.

Problèmes des mesures de vérifications.

Donc affaire est pas jouée. Un retard sur le ryhtme d'évolution du clime. GIEC 2012 :
pourra déclencher un nouveau pallier de prise de conscience.

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