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MASTER: Finances Publiques et Fiscalité

Module: Reddition de comptes en Finances Publiques

BEN AZZOUZ MOHAMED

Année universitaire: 2019/2020

Le présent rapport de l’instance centrale de prévention de la corruption de 2011, qui se


décompose en deux parties. La première partie concerne le diagnostic et l’évaluation de la
situation actuelle de la gouvernance au Maroc, et la deuxième partie représente les bases
constitutionnelles des règles de bonne gouvernance (Nouvelle
Constitution de 2011).
Le diagnostic de la situation de la gouvernance dégage dans un premier temps la définition et
les piliers de la bonne gouvernance, à savoir qu’il existe une relation étroite entre la
gouvernance et le développement, tout en prend en considération la définition des Nations
Unis qui met l’accent sur le fait que l’Etat doit s’inscrire dans une approche participative de
gouvernement, en d’autres-mots, une citoyenneté coproductrices de budget, basé sur
l’intégrité, la transparence, l’intégrabilité et la responsabilisation.
Dans un deuxième temps, le présent écrit relève les dysfonctionnements et les insuffisances en
matière de gouvernance à savoir l’absence de la participation de tous les composants de la
société dans le processus de développement, ainsi qu’aucun responsable ou gestionnaire ne
rends compte, la défaillance du système judiciaire et la corruption, la chose qui à pousser le
Maroc de revoir ses mécanismes de gestion, et le modèle de gouvernance de la chose public à
travers la réformes de la LOF en 2015, qui se base principalement sur la performance, la
transparence, ainsi que la reddition des comptes.
Et en troisième lieu vienne l’évaluation des efforts pour améliorer la gouvernance le rapport
stipule un résultat négatif, autrement-dit, le Maroc à dégager des écarts défavorables pour ses
intentions à travers les réformes entrepris, notamment au niveau de l’amélioration du milieu
des affaires, la gestion de l’information et la gestion publique.
En fin, on se retrouve avec les orientations que le Maroc à adopter pour améliorer sa
gouvernance à savoir, le renouvellement des approches de planification comme moyen efficace
pour la bonne gouvernance, rationalisation et interactivité du système de prise décision, la mise
en place d’une administration de citoyenne moderne, promouvoir l’intégrité, l’indépendance
du système judicaire, donner un nouveau souffle à la politique de la décentralisation,
modernisation globale de l’environnement des affaires, et lutter contre la corruption.
Dans la deuxième partie du rapport, qui présente clairement les nouveautés de la nouvelle
constitution de 2011, en d’autres-mots, le bouleversement de la gouvernance par l’introduction
des nouveaux styles et modes de gestion qui favorise la démocratie, notamment :

 La distribution et la séparation équilibré des pouvoirs.


 Consécration constitutionnelle de l’Etat de droit.
 Faire de la Justice un pouvoir indépendant au service de la protection des droits et du
respect des lois.
 Responsabilisation et reddition de compte.
 Démocratie, citoyenneté et participation.
 Moralisation et bonne gouvernance.
 Gouvernance territoriale.
Tous ces éléments sont le fruit de la généralisation du concept ‘’ new public management ‘’ à
l’échelle international, vu que tous les pays dans le monde souffrent de la mauvaise gestion des
deniers public, dans ce sens le Maroc à adopter ses réformes afin de donner un nouveau souffle
au fonctionnement des administrations publiques, voir améliorer leurs gouvernances tout en
intégrant l’ensemble des composants de la société dans le développement.

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