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DU GENRE HUMAIN,
OUL'HOMME
Considéré sou» ses rapports religieux et politiques dans l'Étal social,
à toutes les époques et chez les différents peuples de la terre
NOUVELLE ÉDITION
TOME PREMIER.
PARIS,
LIBRAIRIE GÉNÉRALE DES SCIENCES OCCULTES,
BIBLIOTHÈQUE CHACORNAC,
QUAI SAINT-MICHEL,N« Il.
1910.
LIBRAIRIE GÉNÉRALE DES SCIENCES. OCCULTES.
BIBLIOTHÈQUE CHACORNAC,
Quai Saint-Michel, No Il, A PÀRIS (Ve).
liIhilosophie occulte
• S. --de HENR.-COHN. AGRIPPA,
( .niiSfeiHeret II sioriugraphc de l'empereur .Charles Y
DIVISÉEENQi; \TI\K LIVRESET TnÀDlilTE DULATIN.
2 vol. In-8 cari'ô 20 fr.
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PHILOSOPHIQUE
DU GENRE HUMAIN.
I.
TOME
PARIS, DE L'IMPRIMERIE DE HUBERT,
RUE DU FAUBOUBGSAINT-DENIS,N» 9.
DECAUX. SCUL. HUBERT, IMP.
FAI',REDOLIVET. – –
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l'HIl.OSOl'II KjlK
*– HISTOIRE
DU GENRE HUMAIN,
01 L'HOMME
Considéré mjiis ses ruppori* ivlijfiuux t politiques dans l'ICLat social,
;'i Imites les époques e! chez les différents peuples de la terre.
NOUVELLK ÉDITION
ïtIMK l'HKMIKH.
PARIS,
LIBRAIRIE GÉNÉRALE DES SCIENCES OCCULTES,
BIBLIOTHÈQUE CHACORNAC,
Ol Al SAINT- MICHEL. N» 11.
11)10.
NOTICE
BIO-BIBLIOGRAPHIQUE
PAR
SÉDIR.
NOTICE BIOGRAPHIQUE
9
A
Mac-Pherson en complétant de son cru les lacunes
de ses originaux.
En 1805, il épouse MUo A. Warin, d'une famille
proche d'Agen, instruite, auteur elle-même d'écrits
estimés (1), et avec laquelle il fonde dans le silence
une famille où les plus solides vertus furent prati-
quées. Dans cette retraite obscure, il complète une
érudition déconcertante; avec Elious Boctor, l'inter-
prète arabe qui avait servi le premier Consul en
Egypte, et que celui-ci avait ramené avec lui en
France, il étudie
toutes les langues et les dialectes
sémitiques; un hindou de caste lui apprend les lan-
gues aryennes, et par la seule force de son génie, il
pénètre le secret des hiéroglyphes chinois. En même
temps, sous la direction d'inconnus, peut-être de
ces deux orientaux, il s'exerce au maniement de
certaines forces occultes tels de ses amis ne le
virent-ils pas souvent faire venir de sa bibliothèque
jusqu'à sa table de travail le livre qu'il désirait con-
sulter, par sa seule force magnétique? N'avait-il pas,
quand il le voulait, conversation avec l'auteur dé-
funt dont il s'efforçait de pénétrer la pensée? Ne
provoquait-il pas chez son épouse les phénomènes
les plus rares du somnambulisme ?'J
C'est durant ces dix années d'études solitaires
qu'il écrivit ses Vers dorés publiés seulement en
(1) M. Martin dit que les Conseils d mon amie sont d'elle.
1815, avec leur dédicace à la section de littérature
de l'Institut.
C'est aussi à cette époque que V ancien bienfaiteur
des aveugles, par un procédé inconnu que l'on a
voulu trouver dans une interprétation de certains
hiéroglyphes, réussit à guérir le jeune Suisse sourd-
muet Rodolphe Grivel, et quelques autres. La mère
de ce jeune homme était sous-maîtresse à la pension
de demoiselles que dirigea Mme Fabre d'Olivet jus-
qu'en 1815. La Langue hébraïque était déjà prête à
ce moment; mais M, de Montalivet n'offrit que l'im-
pression du 1er volume, mettant l'auteur au défi de
prouver ses dires. C'est en réponse à ce défi que
d'Olivel entreprit la guérison du jeune Suisse pen-
sionnaire de l'abbé Sicard (Voir Gazette de France
et Journal de Paris, du 3 mars 1811). Mais l'auto-
rité indisposée par une lettre intempestive de l'étu-
diant Lombard lui interdit rapidement ses cures,
puisqu'il n'avait pas de diplôme médical, et le me-
naça même de prison au cas de récidive. En hutte,
après avoir fait le bien gratuitement, à toutes sortes
de tracasseries policières, d'Olivet, faisant remonter
ses réclamations de degré en degré jusqu'au som-
met de l'échelle administrative, obtint une audience
de l'Empereur.
On dit que, dans cette entrevue, il osa prendre
devant le conquéranl Vallilude d'un initié porteur
de messages et d'avis mystérieux; on dit qu'il pro-
posa à Napoléon la création d'un empire européen
dont il serait le chef spirituel. L'issue fâcheuse de
ce colloque fit rentrer notre auteur dans l'obscurité.
Il avait d'ailleurs -précédemment célébré en vers
et en musique la gloire de l'Empereur, mis des vers
au bas de son portrait, par le célèbre miniaturiste
Augustin, et envoyé à l'Académie des Inscriptions
ce distique pour le groupe des chevaux de Corinthe
SÉDIR.
NOTE DE L'ÉDITEUR
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DISSIRTAT10N
car, outre
qu'elle sert de base aux trois plus
puissants cultes de la terre, soit par leur anti-
quité, soit par leur éclat ou leur étendue, le
judaïsme, le christianisme et l'islamisme, il est
évident, pour quiconque peut sentir les choses
divines, que, même à travers le voile épais que
les traducteurs de Moïse ont étendu sur les
écrits de cet habile
théocrate, on y découvre
des traces non équivoques de l'inspiration dont
il était animé. Cependant doit-on, en consacrant
cette cosmogonie telle qu'elle est contenue dans
les traductions vulgaires, continuer à s'isoler
du reste du
monde, regarder comme impie ou
mensonger tout ce qui n'y est pas conforme, es
faire que l'Europe éclairée et puissante traite
comme sacrilège le reste de la terre, et se cora •
porte à son égard comme se comportait, il y a
quelques mille ans, une petite contrée ignorante et
pauvre, appelée la Judée? Cela se peut encore
moins.
Mais, dira-t-on, pourquoi s'inquiéter d'une chose
qu'on devrait paisiblement laisser tomber dans
l'oubli? Les livres de la nature de ceux de
Moïse sont pour des temps de ténèbres.
écrits
Le mieux qu'on ait à faire, dans des siècles
radieux comme les nôtres, c'est de les abandonner
au peuple, qui les révère sans les comprendre
INTRODUCTIVE.
j'avais destiné
pour écrire l'histoire de la terre,
après que j'en aurais rassemblée les matériaux
fut presque entièrement employé à expliquer
un seul des monuments qui les contenait en
partie, afin que ce monument d'une irréfra-
gable authenticité ne contrariât pas, par son
opposition formelle, l'ordonnance de
l'édifice,
et ne le fît pas crouler par sa base, en lui
refusant son appui fondamental. Cette explica-
tion même, faite à la manière ordinaire, n'au-
rait pas suffi. Il fallut prouver aux autres, avec
beaucoup de travail et de peine, ce que je m'étais
assez facilement prouvé à moi-même; et pour res-
tituer" une langue perdue depuis plus de vingt-qua-
tre siècles, créer une grammaire et un dictionnaire
radical, appuyer la traduction verbale de quelques
chapitres du
Sépher d'une multitude de notes
puisées dans toutes les langues de l'Orient; et pour
tout dire enfin, élever vingt pages de texte jus-
qu'à la hauteur de deux volumes in-quarto d'ex-
plications et de preuves.
Ce ne fut pas tout: pour tirer ces deux volumes
de l'obscurité de mon portefeuille, où ils seraient
restés infailliblement, faute d'avoir les moyens de
subvenir aux frais considérables de leur impres-
contenue dans les dix premiers chapitres du Berœshith,
vulgairement dit La Genèse.
Nouvelle édition (Bibliothèque Chacornag). Prix 25 fr.
INTRODUCTIVE.
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INTRODUCTIVE.
naître. La différence notable de la vie instinctive
et de la vie animique est là le lecteur attentif et
curieux doit le remarquer et y rénéchir. Les sensa-
tions instinctives sont toutes actuelles, et leurs effets
instantanés mais les sentiments animiques sont
durables, indépendamment du mouvement physique
qui les produit. Quant aux assentiments intellec-
tuels qui'affirment la vérité ou l'erreur, ils sont non
seulement durables comme les sentiments, mais in-
fluents, encore même qu'ils sont passés.
Pour ce qui est de l'~M~cKce, qu'excite un mou-
vement faible ou douteux dans la sensation physi-
que, elle se transforme en <M~e dans le sentiment
moral, et en sorte d'indifférence dans l'assentiment
intellectuel, qui confond la vérité et l'erreur, et lais-
se insouciant sur l'une comme sur l'autre. Cet état,
habituel dans l'enfance de l'individu, comme dans
l'enfance du règne, domine également dans celle des
sociétés. (i).
Cette existence tripliforme de l'homme, quoiqu'elle
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DISSERTATION
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L'ÉTAT SOCIAL
DE L'HOMME.
PREMIÈREPARTIE.
LIVREPREMIER.
CHAPITRE PREMIER
Division du Genre
humain, considéré comme
Règne hominal, en quatre Races principales.
Digression sur la Race blanche, objet de cet
Ouvrage.
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DE L'ÉTAT SOCIAL
CHAPITRE II.
(1) Le nom d'Isis vient .1u mot l*hah. qui «i»mtn«» fil frm-
ine, la <taiuc. Le nom de tores a la même racine qnc le mat
herè, qui veut dire la smrrt«tnr. Ce mot ktti tDNM U
nom de Junon en grec, HVl on "V*.
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nu'ni abstraction dt> panioa* que l'Haï aaaiaj a toi
naître, et de* sentiments QueHmuimIIm a aiaJMi»
Ifenrcrinons-nous dans It avili mmImwI.«I voyee»
comment àl «vit sous VtiB da* U*
considérons l'homme de li «4 an» cvtui 4§
laaodété.
Au moment où une leNate tgréaMe tlmàm
ébranler rinatind de cd koeaaw. qwKfmwwn^M»»
le voir» n «ttacttera àl'iitnwi «ftfcmife»*wwiniaiw
moi nation, v bMOM•tin'i 4» pâtre*
ni plut éWiaBèd» »» |HM4aW tV«l>
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qui ait Ira - xl vmN* «m appUÉ!*ajat
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«n avant, au hanard de ImI av tjat ftal m t*t*mr.
da aorte que ai une intcnaaUaa et ejfjala, mfcnt*
imprévu, lUpect d'un aévamam, mim It trafavr.
•on idée prpmWrp aérait Pm Imw la ewavm Mm
de la fuir. Tandis que,ai I» fcaM» paMaaaMawlac»
Uveae trouve placé* da» M»paiiMt aMtJHlBMB,
ejue éprouvera preciaMMajt mmhle aaaajraaiVA. BBa
attachera àI atlraît JieuiiiMi #T»a» mmÊÊÊÊm a«9«»
Mo. le besoin acUiel d4e* |wwi<a>i fttifcMLrt «vJaé
plu» éloigné d'en j<«.ir et hwat atMtttt «s a)Mi la
vue d'un fruit qu'elle au« eatUt et fjaaprr. Il Hsm
eonger d'abord aux moveMde •>» aavvrvr la pmm*
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78 DE L'ÉTAT SOCIAL
CHAPITRE III.
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DE L'HOMME.
couverts d'habits extraordinaires, de cuirasses res-
plendissantes, maniaient avec adresse des armes
redoutables, inconnues dans ces régions. Ils avaient
une cavalerie nombreuse; ils combattaient sur des
chars, et jusque sur des tours formidables, qui,
s'avançant comme des colosses, lançaient la mort de
tous les côtés. Le premier mouvement fut pour la
stupeur. Quelques femmes blanches dont ces étran-
gers s'emparèrent et dont ils cherchèrent à capter la
bienveillance, ne furent pas difficiles à séduire.
Elles étaient trop malheureuses dans leur propre
patrie pour en avoir nourri l'amour. De retour dans
leurs tanières, elles montrèrent les colliers brillants,
les étoffes délicates et agréablement nuancées qu'elles
avaient reçus. Il n'en fallut pas davantage pour
monter la tête de toutes les autres. Un grand nombre
profitant des ombres de la nuit, s'enfuit, et alla re-
joindre les nouveaux venus. Les pères, les maris,
n'écoutant que leur ressentiment, saisirent leurs
faibles armes, et s'avancèrent pour réclamer leurs
filles ou leurs épouses. On avait prévu leur mouve-
ment on les attendait. Le combat engagé, l'issue
n'en fut pas douteuse. Plusieurs furent tués, un plus
grand nombre demeura prisonnier; le reste prit la
fuite.
L'alarme gagnant de proche en proche, se ré-
pandit en peu de temps dans la Race boréenne. Les
peuplades en grandes masses s'assemblèrent, délibé-
rèrent sur ce qu'il y avait à faire, sans avoir prévu
DE L'ÉTAT SOCIAL
pourvoir
«) A Ra '.ot'o~.inre.
Cemota~cntn~ta rnMttfM
ttttt <t)XM
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«MtH~~ttt ww««<«.«
que dans le latin <tt<rf<t. danx <<*Omt~tËt <M<~ <MM <1t~
Htais <f<cf.etc. On dit encore t<))MN<nMt) «t M~Mt « ««
~)r. pour exprimer le soin q< )~ttt< <t OtXtHW <W<<'
qu'un. Ce mot tient à t anciecttt t)MMM<t)t. <M<tfHt))<w
reunt à t'articte en M~tX <tt. <N ttw«M< «t. Bt
rené rartne <r<f, sont <tnr<)'<te< wwt« <<ff< ox Mt, <M«t
en saxon. <o pat en anglaia. e«o< <t <thw«t<. «t..
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CHAPITRE VII.
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DE L'HOMME.
temple de Jupiter-Ammon.
t~'rsque la saison devenait moins rigoureuse, les
Sudéens reprenaient bien l'offensive; mais c'est en
vain que, pendant six ou huit mois de l'année, ils
couvn.ient la campagne de leurs armées; les Bo-
féens. habites à les éviter, se repliaient dans les vas-
tee sutitudes du nord de l'Asie, et sembiait'nt dispa-
rattre à leurs regards. Aux premières approches de
t'htvcr. au moment où les frimas obligeaient leurs
~nnpmts A la retraite, on les voyait de nouveau sortir
de tettr« agites, et rccommenœr leurs déprédations.
t~t état h<mtite. qui dura Mtn~doute tong-temps,
Mtt un résultat inévitabte. celui de développer dans
!'<MMP des tturé<'ns la valeur cuerriere. en changeant
en t~~tton permanente t'insttnrt du courage qu'ils
tWtient r~u de la nature. Instruits par leurs t.om-
bMMtM défattM. ils apprirent de leurs ennemis n.ê-
NMt 1'art de tea comttattre aYM moins de désavan-
tOM. HeMMUtement dégagés(i<f tous préjugés, sans
MtMO~nMMïeM que celle de la ré~ftance. ils chan-
tttMNt focttetttent leur mauTai<~ tactique en une
<<M<MMM, <t ne g&rdèrent pas tfura armes grossières
et p«t dta~WMMee, quand it< purent trouvé l'occa-
t*W<~<~M pMCtt~'r de plus r?dftotahtc'<. Au bout de
~Mt~Mt <<te~, eew hommes qoe les superbes habi-
<Mttd< rAMqut et de t /~sieregardaient comme de
«<j~<MM« tMM~ee, dont !av<< <~)t à leur merci,
<)H<MtMttdu guefhen dont on ne pouvait plus,
1. 9
DE L'ÉTAT SOCIAL
CHAPITRE IX.
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DE L'HOMME.
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LIVRE SECOND
CHAPITRE PREMIER
CHAPITRE II.
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CHAPITRE III.
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I. 12
DE L'ÉTAT SOCIAL
qui fait le destin de quoi que ce soit; chez les Latins les
Lares, et chez les Anglais modernes les Lords.
DE L'HOMME.
CHAPITRE IV.
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DE L'HOMME.
CHAPITRE VI.
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DE LÉTAT SOCIAL
CHAPITRE VII.
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DE L'HOMME
Le Druide s'étant éveillé en sursaut, tout ému du
rêve qu'il venait de faire, ne douta point qu'il ne
fût prophétique. Il se prosterna au pied de l'arbre
sacré où la vision lui élait apparue, et remercia >iu
fond de son cœur la Divinité protectrice qui la lui
avait envoyée. Ensuite, ayant vu qu'en effet cet ar-
bre portait une branche de jrui, il la détacha avec
respect, et l'emporta dans sa cellule, proprement
enveloppée dans un bout du voile qui lui servait de
ceinture. Après s'être mis encore en prières, pour
appeler sur son travail la bénédiction du ciel, il
commença les o|>ératioiis qui lui avaient été indi-
quées, et réussit heureusement à les terminer. Quand
il crut son pui suffisamment préparé. il s'approcha
d'un malade désespéré, pI lui ayant fait avaler quel-
que* poulies de son divin remède, dans une liqueur
tarmentée, vit avec un» joie inexprimable que la
vit, prête à «.'éteindre, s'Hait ranimée, ri que la mort.
forait d'abandonner ai proie, avait été vaincue.
Ttawlta Itt aipértenoaa f?Û M turent I» mttm suc-
tàe; tu «orte que MetiM h broU de mê cure» roer-
vaftlt«iat m répandit i* M»
Os atttorat vm luit* Iwéw part* l*r nom de
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DE L'HOMME.
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«Mt tt M~«Mf tMM bMt~o~ de la force ou de
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Ohtt~ <))~a<t<~t. à eMW<< T~y. leur premier
WMWM~tt <MMttt tu Mtt~. pnn;<tt <tt anima)
M<M)~<t <t)WMM!!pouf <nNM<dt leur audaoe tt
W)rttHt~))ttWMMMf «MM t)MWtM WW~ptWttMNMt MMM*
WMt «MWMt $MMm< la RtM hMtMM. Mtefut
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DE L'HOMME.
céleste mission, puisque ne parlant jamais qu'au
nom du premier Herman, elle n'avait arrêté que des
maux partiels, n'avait donné que des lois particu-
lières souvent funestes; tandis que lui, guidé par le
suprême Ancêtre, père de la Race entière, il avait
eu le bonheur de sauver la nation d'une ruine to-
tale, et qu'il lui présentait, en son nom, des lois gé-
nérales et propices, au moyen desquelles elle serait
à jamais délivrée du joug odieux que lui impo-
saient les sacrifices sanglants.
Ces raisons, qui entraînaient les hommes pacifi-
ques et de bonne foi, trouvaient dans l'intérêt, dans
l'orgueil, dans les passions belliqueuses des autres,
une opposition invincible. La Voluspa, qui sentit
que son autorité chancelanie avait besoin d'un coup
d'éclat pour se raffermir, saisit l'occasion d'une fête,
et appela Ham au pied des autels. Ram, qui sentit le
piège, refusa de s'y rendre, ne voulant pas présenter
sa tête a la hache des sacrificateurs. Il fut frappé
d'anathème. Dans cette extrémité, voyant qu'il fal-
lait ou combattre ou s'expatrier, il se détermina
pour ce dernier parti, résolu à ne point attirer sur
sa patrie le fléau d'une guerre civile.
Une foule immense de sectateurs de toutes les
disses s'attacha à sa fortune. La nation, ébranlée
jusqu'en ses fondements, perdit par son opiniâtreté
une grande partie de ses habitants. Avant de partir,
Ram tenta un dernier effort; il rendit au nom
d'Oghas, le suprême Ancêtre, un oracle dans lequel
DE L'ÉTAT SOCIAL
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<Mpr<M)M)teM tv~t à <MMMW~ <<MM~MM et
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r- ï nrttcuHer.devint !e nom générique de
'!<u ae t~natèn'nt par des exploita
peu ~a'h'n~ qui ne ~€ soient
d un ~f<tn</<'r.L< ~r 'tu r do tous, Ram,
unnue h ~~odef aux deux cornes, à
in't! w<Mtph< pour etnbtëme. Ces
at ettèbMe par ta
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c ta forme de ta
< ~< t remarquable que
dr~!e-Crand. por-
~o< <mtïque avait été
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les villes de
Thèbes, de Memphis, etc.; pour l'ancienne
Ethiopie, les villes de Rapta, de Meroë; pour l'ancienne
Trace, le mont Hœnms et les lieux appelés Ba~fan. et Cau-
~en/OK; pour la Grèce, le Mont-Parnasse et la ville de Del-
phes pour l'Etrurie, la ville de Bolsène; pour l'ancienne
Oscitanie, la ville de Nîmes; pour les Asques occidentaux,
la ville de Huesca, celle de Gadès; pour les Gaules, la ville
de Périgueux, celle de Bibracte aujourd'hui Autun, celle de
Chartres, etc. etc.
DE L'HOMME.
CHAPITRE III.
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<|ui fioMédail U faculté masculine, fixe et
igM*. Undti quiewara ou l'K*f>rtt poMédait la fa-
•HHé f* :tile «I bumidrV- que,
MlHI lin ru-t* n'iUurnl |«MitJ Hin^mati-
4MM«ji < . ataUnt avant IcépriU mai* *cu-
ItflMBl « r ihuajltdN iMOlléS OfipCMéHà Mlle
ajH^Ut •
f éwrtn IU H KoI»» aiporUi»»! I ««hj» de leurs
NÈMM» '•» «k la teitner mu-
ata^t, q -«*; mais qui se-
Mlm Ik --> H) lit m» flat-
•aja«ir« te oalinc dan» IKm-
**•.« u»t A uw p>Hi» d– ptiliiilinti» de»
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CHAPITRE VI.
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CHAPITRE VIII.
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~r~rlt 1 h~11l,
L~t! i d~r~1
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DE L'ÉTAT SOCIAL
CHAPITRE XI.
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<t) a <Mt)M
DE L'ÉTAT SOCIAL
CHAPITRE XII.
`
~Recap~M~/M/t.
i~
FIN DU TOME PREMIER?
TABLE DES CHAPITRES
COKTE~US
DAP<S LE TOME PREMIER.
DISSERTATION
INTRODUCTIVE Page 1
§. 1~. Préambule. Motifs de cet ouvrage. ibid.
§. 11. Que la connaissance de l'Homme est indispen-
sable au Législateur. En quoi consiste cette connais-
sance 17
§. III. Constitution métaphysique de l'Homme. 27
§. IV. L'Homme est une des trois grandes puissances qui
régissent l'Univers. Quelles sont les deux autres. Dis-
tinction de ces puissances la Volonté de l'Homme,
le Destin et la Providence. 44
PREMIÈRE PARTIE
LIVRE PREMIER.
LIVRE SECOND
LIVRE TROISIEME