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Amelloration de L Isolatlon Thermique Des Briques Creuses
Amelloration de L Isolatlon Thermique Des Briques Creuses
LES BRIQUES G
PIE RRE LAME R
Sous - Dil"eoteul"
Céntl"e Teolznique des Tui Zes et Briques , Paris , Franoe
IMPROVEMENT DF' THERI4AL I!lSULATION OF' HOLWfI BWCKS VERBESSERUNG DER flAERMEDAEMMUNG VON
G BWCKS HOHLZIEGEL - DIE "G- ZIEGEL"
Furthel"mOl"e, speciaZized pl"oducts: ZinteZ brioks, Desweitel"en konnen besondel"e Pl"odukte wie ZiegeZ-
angZe bricks , gl"Ooved bricks , etc . aZZow Zal"ge l"e - stÜl"ze, EokenziegeZ, BZattziegeZ USW. die Wiirme -
ductions to be made in Zosses due to thermaZ bridges br>Üoken und die Verbindungen herabsetzen.
and joints .
Del" Gebrauch diese l" Pl"odukte erZaubt es nach Vor-
The use of this gl"Oup of pl"Oducts aZZows 'b'uiZdel"s to schrift zu bauen, ohne spezifische Dammstoffe ver-
compZy with the reguZations without using speoific- wenden zu mü5sen.
aZZy insuZating materiaZs in waZZ constructions.
2 . a.7-0
PREA~;8L,LE
C8 dernier proc~dé 8St utili.é depuis fort lcngteffips
r.,ai~.
En Fr2r,cE . jLsqu ' en 1975 . :es br1qLes creU~8r re
D ' u~e façon g~néra!e , les qLlaiités d ' iseJation t~ler CC~Lortêient gérér~lemErt que 4 ou 5 rengées d ' alvéc-
miOuE d ' un ~atÉriau sont d ' autart ~8ilJEures ~UE ce les au r.·cxin,uIT'.
~atér1au est plus iégEr (f ig . 11 .
Cans ~8
ccurcrt de 197~ . pcur I·t~ondre ~~x tesoirs rê-
, sult~rt u ' unE nlodificatior de la régle~EntetiGr ther-
kca t/ m h·C
rr,iquE' de lc:: cQnstructior p r cr:1L..lnLiSe par l es FGl..!vc:rs
Fublics pour 1'~dLire la conscr:~6tj(n d ' énergic . Ies
fabr~ccnts dE tr~~Le~ or:t ~is SIJr le rra r r~ê dES lr'i-
ques creWS8S ou ~erfcréEs 8 isclatior thcrmiqL8 a~ê
licrée . rlctarr,n;r.rt gr6ce à ~ Begmentê.ltior nu rc.rr,bre
I
2,0
1, AMfL:C~ATION DE L 'I SCL~TI[~ lHER~rQLE
OES CFIQLES C~EG~ES
' ,5
BÊT O~j
- enslJile 11 fellait qu ' el18E rOlrospondent acy hebitL-
': EL lUl AIRf "- des das entrE~rErFlJrs ct de 1e rrain d ' oEuvre chargfc
::>,11 " BOIS
de ia rrettre en oeuvrE .
tain délai . Exception ~aita des blocs per~or és lA per - L.E réductj.on d ' épaisseur des cloisons p e r ~et er
forations l/sI'tj.ca l es l qLi sont déj~ fatriquês a I/ BC ~e outre de n8 pas augme nter de faço n trop impor-
bons rêsultets dBns quelq~8s uEines de l ' Est de la tante le poids des produit s .
France .
1 . 33 . - Réduction du nombre d ' attaches horizcntales .
1.3 . MO DI F lCATIO~; OU PROFIL INTERIEUR c ' est-à-dire alvéoles aussj hôuts que possi-
DE S BR 1 QL:ES bIs . En pratique 18 nombre d ' attaches varie
~e 1 à 3 se]on le~ possitilités de fa br~c~tjon .
En s ' ap puya~t des ét udes antérie~res lC edierguEs ,
SL!r A titre irl~icati f , le gain sur K est de l ' ordre
Carrlmerer I les étud es fi1enées per 18
BrucklT ôyerJ De D. eS ~att/m 2 . oC lorsqu ' on supp r !me une atta-
C. T.T . B. ont perrris de mettre e n évide~ce las ~rin che de 6 flm' d ' épe isseur 5ur tGutes les rang56s
cipa~x facteurs sus~8ptib 18E d ' améliorer les perfor- d ' alvéGles .
mances trermiq uEs des briques creuses . Ces f'acteLJI~S
sont-au nonbre de quatre : 1 . 34 . - l'.llG r.g errent du tri'ljet cu f l ux thernü eue par la
~isposition en quinconce des attaches horizon-
1 . 31 . - Augmentatior du no~bre de rangées d ' a lv éoles talss . on peut a i ns i gagn~r de 10 A 20 % de la
résistance thernli que de la brique .
Dan~ une brique creuse la résitarlcc thermique
d ' unE lEme d ' ~ir (au-dpssus de 20 ~m) est de
l ' ordre de 0 . 140 m2 . oC/Watt . soit pour E al- ! ~
véoles ~ ce plus unE r É'sistance therf'1j.qu8 Sl.Jp-
1.30
~~
plémEntaire ce : ~.!
0 .1 40 x B • 0 . 840 m2 . oC/Watt anvi r on ~~
1.25 n
C8per~ant . en-dsssous de 20 mm ce tta résistan-
ce thernliqu E dimi~ue en fonction de ~ ' épais
seur des alvfcles (fig . 2 1 st } ' on arrive
airlsi rapidEn!8n t , pour llne ~pais s eur dE bri -
1. 20
~!
h /
/
que déterminée , ~ une li~ite óLJ-desSOLs de
laquelle aucune a~éliGration n ' sEt possible .
f§
B ·i /
/
1.15 ~ .~
E V
1.10 /
V
$ , ,,
j~~ '-'lO /
r-- -
V
!-"-"---+--+-".,.f''-----!
., ---I~t~-t----+-- + r - - -
"., Coe'flclant d'.nong.""."
du olrcult thermique
/
Fig . ;~ - Amélioratior.. de la l'évistance tlu:rmique de
/ la cri que due à Z I aZZongement du circuit
I thel'mique
10 A 14 rangées d'alvéoles
dans le sens du flux pour
les briques de 27 5 A 30 em
1":---'
I I
I I
I I
I IL __ _
+---"
Parais minces ~
6 A 7 mm pour les parai s intêrieures
8 ã 9 mm pour les parais extérieures
5 A 6 mm pour les attae hes horizontales
®
Allongement du . .
trajet du flux thermique
Fig . 4 - Principes des briques C
Résultats en
Type de briqu8s Dessin Montage vlatt / ro 2 • o C
(1 )
•
Cjuinconcées ditE~ G 12 (febricstior. expérirr,en- Trcditionnel 0 . 73
talp)
Brjqu8 G 12 de -,
2° 5 x '1 S 5 X 40 dO 0 , 81
dO • à la co11e sans
•
joint vertical [1 , 75
11 joint rorrpu 0 , 74
•
610c perforé de 37 5 à 1~ r a ng ées c ' alvéo18s Joint horizen- 0 , 54
vert i céiUX t al isolé
Ces rés ul t a ts ne sant bio n enten du val ab l es que pOLr 2.3 - ELE MENTS SPECIAUX C
I ss bri ques essayées st dans 18s cond i t i ons de l ' 8ssai .
Par ailleurs , dês 12 mise au point ~e ces nou vel lss La waçonneI'ie de briques c r eU5es nc se compose pas que
briques . la Profession des Fabric~nts de Tuiles et des briq ues cc~r6nte5 . Achaque discontincité de l~ ITla-
de Briques a 8ffectuÉ aupres des organisroes offi- çDnnerie, il Est d ' usage d ' utiliser des briques s péc ia -
cie ls Iss démarches nécessaires pour que ~eE caracté- les :
ristiqL8s de ces t ri ques scient fixéss officielleroent .
~õis la procédure et los vé rifi ca tions nÉcessair es Briqu es d ' angle ,
sont longues et à l ' heure aetuel le il n ' existe aueun Briques pou r linteaux ,
dceument of~iciel ê leur sujet . Briques pour tableeux de baie ,
Briques ~ ' about paul' rsfends et chainage , etc .
C8p8 nda~t erl l ' absence de documents of~iciels , et pour (figur e 8) .
permettre aux in~ustriels de choisir en connaissanee
de CôlJS8 l es nleillsllrs profils (compctibles avec l eurs Outra le urs avantage s s péci fiques , cas accessoire s con~
m6ti~res premibres a t leGrs possibilités de f ab ri- tribuent três largern ert à anlélicrer l ' i sclatj.o r. thermi-
ea tion) il a été mi s au point plusieurs méth odes de que des mu r s , en r éd uisant les pertes par les jonetion s .
ca leul. qu i perm et tent de déterminer , avec une tr es les angles , le s linteaux .
bonne epp roxin,atjun , 185 coeffic i cnts K des murs .
AV8c les hypotheses habituelles SUl' la conductivité Confie dana la lT.açonnerie classiq uB, il a été rris au
das tessons st la résistance thermique des lames point Oes élémen t s spéeiaux eonçus sur le s principes de
d ' ai r , tcutes ccs méthodes ccnfirmerlt que 185 coeffi- la brique G. Ces aceessoir'es jouent un rôle extrêrr,eroent
cients K sont eompris entre 0 , 75 et 1 , C Watt/m 2 . ·C iffiportant dans 18 wur en briques "C ",
pour des briques de 27 5 à 30 em d ' épaissüur et peu-
vent descünd re jusqu ' ~ 0 , 55 ou méme o, se pour des
ffiltrS 8n blocs perfürés ~e 37 em d ' épaisseur avec
joint is olant . 11 s ' agit des coeff icients "K ut il€s ".
c ' est -~-dire y ccrnpris joints et endui t s st tenant
compte de l ' humidit 6 r ée lle des rratériaux en oeuvre .
g eme Ilt
., . , IIt
3. DEPERD ~l IOtl: S HiERMIQUES O' L!I\:E pr,por tan ee varie c' ailleurs considé r ab J err,e nt ~" elon que ces
EN OEUVRE di spcsi tion s constructives sont prises ou non pour di-
minu e r IES dé perditicrs co rrespond an tes .
3.1. I:'EPERDIT JC NS GL OBP,LES O ' UNE Le C. T. T. B. a ainsi pu dét e rmi ne r l ' i ~fl ue n oe des ponts
PAROI - PONTS Tt~RMI QL! ES t hermiq~es et des ljai so ns pour les maço r:n eries de bri -
que s creuses , da ns un grand nombrc de cas o
L' un das points importônts de la no u\lAlle r églernertê..ti on A titre d ' e~emple la figure 10 donne les valeurs du KG'
français8 eat I ' Gblig atl o~ de ~rendre en compte to ute s en fonction du K surfacique en partie coura nte , pour
les déperd i tio ns , e t non sc~leme nt les déperditions su r - un mur en maçonne ri e ~omogên8 d e 27 5 em d ' ~ pc isEeur
faciques en par tiE courante . aV8L ccrrEction des ~ont 5 thermiques (c ' Est-à~djre
linteaux, peteeux et t ableE ux adApt ~s ) .
Dr il Exist e égaleme nt ~es déperditions due s au x jonc-
tiens avec le s a nLles , lE~ ra r ois i nt é roj 8u r es (pl an- Les co urbe s scnt donnêe s pour d8ux murs ~e 5 , 40 m de
chers, refe nds , clo is onsl , 185 men ui ser i es extérieu - i argeu r et 2 , 50 m de haut eu r :
res ( fi~ . 8 1. Ces dErni~res so nt caracté ri sêes par de s
k lin éique s [h omologues das coefficicnts K s urfaclquEsl d ' LJne part Ln mur aveugle lim itê d ' uG c6té par un
qui s ' eYpI ' i~8rt e n ~a tts per mótrEl li rlé ajrs de jonc- r efEn G, de l'aL:tre par un angle ,
tion et ~ar degr é .
d ' au tr e ~art un mur percé d ' cne fenê tr e de 1,4C m
Co ns i déro ns unE pc~! 'oi qle l cc nquf:! d ' LJrl bâtiment . d ' ha bi- x 1 , 35 m, limitó d ' un c6té par un ref end . de l ' au -
tation par exen,ple . les déperd lti ons pa r tr é'nsmics ion tr e par une eloison .
A travers c8t te parci pour une différence d e tempéra-
ture dE 1°C e ntre l es amb i ances limita nt ses faces Ces courles n 'o nt qu ' une valeur d ' exemple . Elles per-
sont dorlc l a sc mme de deux tE:I'f'T18S mettent cependant de constat er que l es déperd itions
par Iss pont s thermiqu es rep rés e ntent une par t des dé-
perditions pr a~ro tionnell E ment d ' autan t plu , im~ortante
que i ' i solation en parti0 co ura~te diminue . CE tt e cons -
S SLJrfaC E intéI'i e ure de la paroi 8n 01 t ata tion est valable pour t eus les mur s .
Km K surÇacique moyerl (5n Watts/m 2 . oCl .
C' est pcurq~oi il cst absol Lment illusojre at coOteux
d ' a ugm e rter l ' isolation e n parti e courante si aueun e
dispe sit i o n n ' es t prise pou r cor r iger les ponts ther-
k L miques .
n n
L , L , . " , Ln étent les longu8urs d8 c hacun e dE ces 4.1. RAPP EL DE LA REGLEME NTATION FRANCAISE
1 2
li a isons .
La r ég le~ent atior frença i se n ' i mpos e auc une valeLr a~x
On d éfinit la co e f f ici on t K gIotal (K Gl d ' une paroi coefficien t s K de transn ission th8rmique des parois .
eomme 18 ~uotient de l a so mme des dé perdition s s urfaei- Pa r contre , elle fi xe des limites aux coefficients vo-
ques et liréiques ê travers e t autour de eett e paroi IUffi étriq u~s de déperditior d ' un logeme nt ( coefficient
par sa s urfacB int é rieure. Cn peut donc écrir e Gl .
La notior de K g l oba l est une notion nouvelle . El le a Déperd itions therm iq ues du logement
êt ê intr o ~uitE dans 18s "Exemp1es de solu ti o~s pou r volume ha b itable du l cgewent
facilit e r l ' applicetion d u r~gle m e n t d6 eon s tI'u e tion "
que 1 & C. S . T. B. a fait paraitre en nove~brE 1 974 . par unité de tEmps et pour 1°C de di fféren ce dE temp é-
C' est à eette noticn que SF! rRfRrent les recommar,- ratur e ent r E l ' i nt érieur et l ' extórieu r . 11 s ' axprin18
dé't i cns qui figurent dans ce docume nt o en Watts/m 3 . oC .
Le K global nE peut être ca l c ulé que sur un e parei Les dép8rditions thermiques d ' un 10gEment so nt la som-
mise en oe uvr e ~ do nt c n co nnait l es dime~sions~ les me de plusieurs tErmes :
lisisons , etc .. Sa val eu r peu t dane va rier, pou r des
matér"iaux idontiques , d ' une construetio~ ~ une au tre , - Cé perdi ticns par l es parois opaqL6s (mu rs
et dans une même eonst ru ction , d ' une piece à une autre . (t oi tures
(planc hers
Le calcul du K globa l, effec tué suivant la méthod e of-
- Dé perditions par les pa r ois vitrées
ficiolle du D.T . U., ccnduit b des calcL ls re l ativeme nt
longs et de nombre ux organismes o nt é tabli des a baque s - Oéperditions par le renouvell ewent d ' air .
permett a nt d'obtenir ~ avec une prée ision largement suf -
f js ante , sa valsLr pour une parai co nnue. Four réGui r E c u modifier 18 coefficie nt G, on peut agir
su r n'importe laquelle de ces déperditions, ensemble ou
On cons ta te en effet que pour un ty pe de constructi o n ,;éparérr,ent, ou sur certa i nes d ' entre eIles se ulement.
donnê at pour un type de pa roi donné l'importance des
~onts thermiq ues est aiséme nt prév isible. Cette i mpor - La rec herche du G optima l - ou réglemen ta i r e - compor-
te un e infinité de solutions.
2 . a . 7-7
rnur extérieur
refend ou
cloison
.... Mur
Angle plancher
.... extérieur
Plancher mur ext é rieur
- - 1- - - - -
-+ -- - ~-- -- 1- -
r------ -
1-
t- -+---j----
. - 4- ---j- - - 1 ,,-
-- -t-- -----
0117!
r- - 1- , - - -f--- --
n_1 51:1
--. '---+---+--+- t - ---t- --t- ----t------t----; --- -r--- t--
I--+- --+-----j--- -t---j- --+---- --1- f----- '-- - -t--- -- , -- -- 1----- - - t - -- t---- -- ~ ----
-+---1---1- I---- t- -- 1- - -
1----+---+----+- + --1 --- ---f-+- - --!-~ t---t_ --- - --- r- -- -- - r---- -- - ---- - ----
1-~-+_~_+--~~-r--~----~I-~~~I~alIrra~t~·~~~.-·T·i---t~~-r_1_-I_j--~~-
- I
~-- t---+- --~ -~~~
II~~
o ,.
Ou SO 0.75 .... 00
Figur e 10
2 . a . 7-g
Arrêté du ~lCLA\LciL~aZ~ __
_ _ _--'Iu;S...,D"""-lJlaOi!!JaQn therlT1-ÍQU~ _~=~~-~ __~. _._~~ __ ~
- - - - - - ----- -- - - -
Figure 11
2.a.7-10
II est par corséquerlt ~iffici~e ê un maitre d ' oeuv re "Exempl e5 de solutio~s de C.S . T . 5 ." pour la zo nc cli-
ou à un constructe~r de recherch er la solutior opti- ~atique 8, soi t :
male h la fois sur 18 pIan technique (G ni trop fai-
bIe *
ant~-êconomjque J ni trop é lev ê = non conformo \ 1 , 15 ~'atts/m2 . oC
e 1ó réglE-ITiünt ::.tiOl-.) pt ~.U~ !8 r:; }a r, éco nomi qu e ( moy -
e n rl ' obtenir au moi nore c oOt le G rec herchêl .
La c61cul effectu é par la mfthode cff ieielle n ~ ntr e
CEpe ndar t . diveI'sGs Lonsidératior,g . nctanlmert d ' or- qU E ~ ' on obti ent C8 résult6t avec un mur en briqu8s
dre êcc nomiq~e per~Btt8nt de re s tr ei ndr8 le choix dent 1& K surfaciqu E est de 0 , 91 Watt/m 2 . oC. Cette
et c ' est pourquoi 1& C. S . T. B. e publié de s " Exe~pl es val e~ r peu t facilement être obt a nue avec une brique
de sclu tions pour ~úciliter l ' c pp lica tion du regle- G de 27 5 em .
mAnt de co~struction' l qui donn o r:t ~es i~~ic E tions
relêtivE's aux dÉperditions admissibles par ty pe de Per ce ntre , dans la sol utio n bét o n ba nché de 1 5 em +
paroi - eyprimÉe s e n K g l ota l ( c ' est-ê-dire y com - dou bl a ge isclant , le mIme coefficient K g l obal ne peu t
pris ponts thermiqu es et lia isons). ê tr e obtenu qu ' s vEC 4 , 5 e~ en.iran d ' isolant (K s urfa -
cique = 0 .6 2 Watt/m 2 . oC ) .
Si l ' on se rêf~re ê C6 doc ument. O~ voit qu 'il est
r ecommandé c ' isolE!f' en prior-:i..té lEs partias hori - Cn cons t ate Également que le pourcB~tage de déperdi-
z ontale s Ip l anche rs et to i tures ) d ' une façon uni- tio r. s dU8s a ux l iaisons et eUX ponts t he r miques 8Et
forme selor· l es zones , le compl éme nt d ' iso l atior de :
nécess~jre éta~ t appcrtê pa r le ~ n:urs .
Mais leur avart age "E S8 l imite pas à I ' ob t ention CONCLUSIONS
d ' ur K surfacique satisfa i sant . El l es pe r mett8nt en
effEt d ' agi r également su r lo eoeffieien t K global .
Le s briques " G" , o u d ' une feçon géné r a1e l es s y stêmes
To ut d ' a bord l ' util isati on de corps cre ux de terre de maçonne ri e homog e ne en terre c uite . forment donc
cuite a ux ab ou t ~ de p la nc he r s o u de r efe nds pe r met un "syst eme complet" qui permet de limi . .:er
. 18s déper -
de rédu ire de façon t rês impor t an t e l es po nt s th e r - ditions non seu l ement e n parti e courante . mais égale-
mi q ues co rrespo nd a nts ) de même . l ' empl o i des b loc s ment dans les ponts thermi ques.
spéciaux : briq ues d' ang le. br iq ues l int eaux . et c •.
Cet avantage apparait comme d ' autant plus important
Ces briques s péc i ales . gé néralement appelée s "acces- qu e l ' iso l ation globale r echerc~ée doit être meilleu -
seires ", j cue nt un rôle co nsidérable SU l' l e pIan re.
thermiqu8 . On peut rr.ême dirE que c ' es t l ' ensemtle
"briqL8s + Eccessoire s " qui perm8t vé r itableme nt de En outre . cette correction des ponts thermiques s ' ef-
tirer parti au maximum de l ' emploi des br iqL8s G. feetue simple~ent sens r i sque d ' e rrBur de concept ion
ou de mieB en oe uvre . . Enfin elle est aussi dura bl e
ConsidÉrons par exemple ur élémsnt de mur tel que qu ' efficuce .
celui représenté sur la f i gure 1 2 :
ALcun systême de maç onner i e doublé& à l ' i ntérieur pa r
La:cgeur 4 , 80 m une ccuche d ' isolant ne permet d ' obtenir de tels ava n-
Hauteur 2 . 50 m limit é en haut et en bas t ages .
par un p l a ncher lourd , la -
téra l eme nt pa r un r efend En outre . to utes lee fonctions ( isola tion th&rmi~ue
et une cloi~on , et pho nique . r és istance mécaniqu e . êta nchéit é) scnt
r e mpli6s avec 1e même matér"iau; 1e ~açon n ' a done
- et muni d ' un e fenêtre de
qu ' un e sEule opération à réalis er lors de l a mls e e n
1 . 40 m par 1 , 30 m.
oeuvre .
Supp05cns que ce mur PUi SSE être I'éaliEé , 50it e n
Dans ces conditions. 11 apparait que :i.e n.ur s imp l e e n
briqu~s G. soit cn béton bane hê doublé . On se fixe
br iques isc l a rt es Est , à l'h Eure act uells , pour un
co~mE objecti f d ' obtenl r 18 K glebal (y cOrT'pris
coe"ficie nt K global dún né , la meilleure et la moins
ponts the rmi q~es et liêisons) reco~mêndé par les
chere des sclutions exista nt es .
2 . a. 7 - 11
brlque tableau
-J~{l r-
:Y:;~:.~}<·f:··:1;;:Y::1;:SJ:;<~ t
brique
o
N d'about
O brlque IInt .... u
de planche r
- ( 8 3 til • • d ~ .lr)
o o
~ ~
o o
.n .n
N N
brique uG"
015
030
en partia caurante:
Figure 12