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1. Conservation de la charge
X X
ρ= nk .qk et ~j = nk .qk .~vk
k k
2. Équations de Maxwell
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physique année scolaire 2014/2015
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physique année scolaire 2014/2015
d3 f~ ~ + ~j ∧ B
~
= ρ.E
d3 τ
d3 P ~ ~
= j.E
d3 τ
Le champ électromagnétique cède une puissance à la matière du fait des forces de Lorentz. C'est l'eet
Joule. Pour un volume V, la puissance dissipée est
ZZZ
Pd = ~ 3τ
~j.E.d
−−→
ZZ
~ d2 Σ
Pr =
Π.
dEem
− = Pd + Pr
dt
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ε0 .E(M )2 B(M )2
eem (M ) = +
2 2.µ0
qu'on peut décomposer en
ε0 .E(M )2
• densité d'énergie électrique
2 ,
B(M )2
• et densité d'énergie magnétique
2.µ0 ,
On admet aussi que le vecteur de Poynting (en W · m−2 ) est :
~
~∧ B
~ =E
Π
µ0
Localement, le bilan énergétique est
∂eem ~ + ~j.E
~
− = div Π
∂t
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ψ (~r, t) = ψm . cos ω.t − ~k.~r − ϕ ≈ ψm . cos (ω.t − ϕ) = ψ (t)
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1. Loi d'Ohm
Actions subies par les électrons libres d'un conducteur ohmique s'y retrouver
Les électrons libres dans un métal xe subissent :
• l'action de l'agitation thermique et des défauts du réseau xe (les ions) sous la forme d'une force
−m~v
phénoménologique de la forme
τ où τ est le temps caractéristique de relaxation des électrons ;
~0
~j = γ.E
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2. Eet Joule
• la puissance transférée du champ électromagnétique à la matière par des forces de Lorentz en élec-
tromagnétisme,
3. Eet Hall
I.B I.B 1
UH = = RH avec la constante de Hall : RH =
n.e.b b n.e
La constante de Hall des conducteurs est très faible, par contre celle des semi-conducteur est plus grande.
Aussi, on utilise des sondes de Hall formée d'une plaquette de semi-conducteur qui permet, par la mesure
de la tension de Hall, de déduire le champ magnétique.
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−−→
ZZ
∂φ ~ d2 S
eem = − où φ= B.
∂t
• soit on fait tourner l'aimant permanent (qui est le rotor), la bobine restant xe (c'est le stator), on est
alors dans le cas de l'induction de Neumann ;
• soit on garde xe l'aimant permanent (qui est cette fois-ci le stator), et on fait tourner dans son
voisinage la bobine (qui est alors le rotor), et on se trouve dans un cas d'induction de Lorentz.
Dans les deux cas, l'énergie cinétique d'un axe (le rotor) est convertie en travail électrique : l'alternateur
est un convertisseur électromécanique.
Vous pouvez retrouver la vidéo de cette expérience sur le site alain.lerille.free.fr.
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2. Circuits couplés
L'inductance mutuelle M qui s'exprime en henrys (H ) est positive ou négative suivant les conventions
d'orientation des deux circuits C1 et C2 .
L'inductance L, s'exprime en henry (H ), elle est toujours positive, et ne dépend que des caractéristiques
géométriques des circuits (pas des conventions d'orientation).
|M |
k=√
L1 .L2
(k ∈ [0; 1])
Cas du couplage nul : il n'y a aucun couplage entre deux circuits si k = 0, c'est à dire si leur inductance
mutuelle est nulle (M = 0). C'est le cas par exemple une bobine est susamment éloignée de l'autre
pour ne pas ressentir le champ magnétique créé par celle-ci.
Cas du couplage optimal : le couplage optimal, au contraire est obtenu pour un coecient de couplage
maximal (k = 1), ce qui demande que tout le champ magnétique créé par une bobine intervienne dans
le ux de l'autre. En pratique, pour réaliser cela, on utilise un noyau de fer doux autour duquel on
réalise les deux bobinages. Les propriétés ferromagnétiques du fer font que la quasi-totalité du champ
magnétique est alors dans le noyau.
3. Bobines
di
u = R.i + L.
dt
en convention récepteur.
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remarque
Il ne faut donc jamais mettre un interrupteur dans la même maille qu'une bobine au risque de crééer des
étincelles.
4. Transformateur
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φ→1 = N1 .φ
φ→2 = N2 .φ
où φ est le ux du champ magnétique à travers une unique spire n'importe où autour du cadre de fer
doux.
u2 N2 i2 N1
On peut en déduire que k = 1, u1 = N1 et i1 = N2 .
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Technique à maîtriser
jeudi 29 janvier 2015
2. Forces électromagnétiques
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3. Induction électromagnétique
II- Méthodes
• Maxwell ~ = 0,
Flux : div B
2. Forces électromagnétiques
• l'action de l'agitation thermique et des défauts du réseau xe (les ions) sous la forme d'une force
−m~v
phénoménologique de la forme
τ où τ est le temps caractéristique de relaxation des électrons ;
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3. Induction électromagnétique
III- Exercices
137
55 Cs →0−1 e− +137
56 Ba
∗
r = 10cm de la source ?
1) I = −3, 0.10−14
A.
2) r = 10cm ⇒ ~j = 2, 4.10−13 A.m−2 .
1)
Exprimer dans ce repère la densité volumique de courant ~j . Que vaut numériquement
~
j ?
1)
~
j = 3, 5.106 A.m−2 .
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1)
~
js = 0, 10A.m−1 .
1) n = 8, 4.1028 m−3 .
2) hvi = 1, 2.10−5 m.s−1 .
2.r
ρ (r) = C.e− a0
− 2.r
1) p1 (r, θ, ϕ) = C.e a0
−e .
− 2.r
2)
2 a
p2 (r) = 4.π.C.r−e.e 0 .
3) rRmax = a0 .
4) ∞
r=0
p(r).dr = −3, 4.1012 C.m−3 .
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~
~− ~
~ ∂B
On retrouve bien − ∂e∂tem = −ε0 ∂∂tE E B
µ0 ∂t .
1) νmax = γ
2.π.ε0 .
2) Application numérique :
2.a) dans le cas du cuivre νmax = 1, 0.1018 Hz ;
2.b) dans le cas de de l'eau νmax = 18Hz .
2. Forces électromagnétiques
n.e2
γ= λ .
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I.B
UH = n.e.b .
ne = 6, 2.1021 m−3 .
2.16) Mouvement d'une particule chargée dans un champ électrostatique uniforme et homogène
On considère une particule chargée (de charge q , de masse m), ponctuelle, initialement en O (origine du
repère (O, x, y, z)) avec la vitesse initiale ~v0 = v0x .~ux + v0y .~uy .
1) Déterminer sa trajectoire si elle est soumise à un champ électrique homogène et permanent ~ = E0 .~uy ;
E
q.E0 2 v0y
Il s'agit de l'équation d'une parabole : y= 2 x
2.m.v0x
+ v0x x.
2.17) Mouvement d'une particule chargée dans un champ magnétostatique uniforme et homogène
On considère une particule chargée (de charge q , de masse m), ponctuelle, initialement en O (origine du
repère (O, x, y, z)) avec la vitesse initiale ~v0 = v0x .~ux + v0y .~uy .
1) Déterminer sa trajectoire si elle est soumise à un champ magnétique homogène et permanent ~ = B0 .~ux ;
B
2.18) Mouvement d'une particule chargée dans un champ électrostatique et un champ magné-
tostatique uniformes et homogènes et orthogonaux
On considère une particule chargée (de charge q , de masse m), ponctuelle, initialement en O (origine du
repère (O, x, y, z)) avec la vitesse initiale ~v0 = v0x .~ux + v0y .~uy .
1) Déterminer sa trajectoire si elle est soumise à : un champ électromagnétique homogène et permanent
~ = E0 .~uy
E et ~ = B0 .~ux .
B
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Mouvement hélicoïdal, d'axe parallèle au champ magnétique, conjugué à une vitesse de dérive).
1) On détermine :
1.a) la vitesse maximum : vmax = 1, 52.107 m.s−1
1.b) la tension accélératrice qu'il aurait fallu utiliser : U = 1, 2M V
1.c) la fréquence du champ accélérateur : f = 17, 3M Hz
1.d) le nombre de tours décrits par les protons : n = 150tours
1.e) le champ magnétique : B = 1, 13T .
1) Transit dans Z
1.a) ∆t = a
v0 .
2) Champ électrique ~ = −E0 .~uy
E :
2.a) ∆vy = y.v0
D .
2.b) ∆vy = e
m E0 .∆t.
3) Champ magnétique ~ = B0 .~ux et champ électrique
B ~ = −E0 .~uy
E :
3.a) B0 = E0
v0 .
3.b) En remplaçant, on trouve :
e y.E0
=
m D.a.B02
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1)
q
v0 = 2.q.Um .
2) R = m.v 0
q.B0 .
3) Deux isotopes :
2.U √ √
3.a)
q
x = 2 q.B 2 m2 − m1 .
0
3.b) Application numérique : x = 4, 6cm.
1)
q
v0 = 2.e.u
m .
2) m.v0
R = e.B .
3) Expérimentalement :
e
m = R2.u
2 .B 2 = 1, 77.10
11
C.kg −1 .
4) Théoriquement :
e
m
11
= 1, 76.10 C.kg . −1
3) α0 = π4 .
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2) xs = 2.m.v
e.B sin(α).
0
3) π
α0 = 2 .
3. Induction électromagnétique
1) Φ(t) =
8.( π
2 −1)
π R2 .N.B0 . cos (ω.t).
2) 8.( 2 −1) 2
π
e(t) = π R .N.ω.B0 . sin (ω.t).
1) e = − dθ
dt B0 .a.b. cos θ .
3.28) Déplacement d'une barre conductrice sur deux rails conducteurs parallèles
On se place dans un repère cartésien orthogonal direct (O, ~ux , ~uy , ~uz ), avec ~uz vers le haut.
Deux tiges conductricesAB et A0 B 0 sont placées parallèlement (AB//A0 B 0 //(Ox)) dans un plan horizontal ;
0
elles sont distantes de AA = 15cm.
0
On déplace une barre conductrice CC qui reste parallèle à (Oy) à la vitesse ~ v = v0 .~ux , avec v0 = 50cm.s−1 .
Le tout est plongé dans un champ magnétique vertical, uniforme et constant B ~ = Ba .~uz , avec Ba = 0, 10T .
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1) |e| = 7, 5mV .
2) P = 56nW .
3.29) Déplacement d'une barre conductrice sur deux rails conducteurs concourants
On se place dans un repère cartésien orthogonal direct (O, ~ux , ~uy , ~uz ), avec ~uz vers le haut.
0
Deux tiges conductrices
OA et OA sont placées dans un plan horizontal ; elles ont pour médiatrice
l'axe
v0 .Ba sin α
|i(t)| = Rl 1+sin α .
Le ux du champ magnétique induit tend (en partie) à contrarier ce qui lui a donné naissance (à savoir
l'augmentation du ux du champ magnétique de l'aimant).
2
L = π.R2 .µ0 . Nl .
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µ0 .N 2 .a2
L= 2.R .
µ0 D−a
Ll = π ln a .
di2 di1
u2 = R2 .i2 + L2 . + M.
dt dt
u2 = R2 .i2 + L2 . di di1
dt + M. dt .
2
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Il y a conservation de la puissance.
1) N1
N2 = 10, 7.
2) U3 = 220V .
Résolution de problème
vendredi 30 janvier 2015
Enoncé
Travaux pratiques
vendredi 30 janvier 2015
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Approche documentaire
vendredi 30 janvier 2015
Le document est à lire, l'exercice est à rendre. Bénédicte Marie-Jeanne et Marie Mauriaucourt feront un
exposé.
La cuisson est un processus qui a pour but de rendre les aliments assimilables par notre organisme et de
leur donner du goût, grâce à la modication de leurs constituants dans des réactions chimiques complexes. Ces
mécanismes de cuisson font parfois appel à un acide, comme dans un carpaccio au citron par exemple, mais ils
sont le plus souvent réalisés par chauage.
Les cuisinières électriques qui nous intéressent ici reposent toutes sur le même principe fondamental : un
matériau conducteur est chaué par un courant électrique et transfère de la chaleur aux aliments. L'invention
est à peine centenaire : si les premiers modèles datent de la n du XIXe siècle, il faudra attendre le début du
suivant pour voir apparaître des cuisinières destinées au grand public.
Qu'est-ce que le courant électrique ?
Avant de comprendre comment il est possible de chauer un matériau grâce au courant électrique, revenons
aux bases de l'électricité et plus particulièrement à la dénition du courant électrique. Rappelons que la matière
est constituée d'atomes, eux-mêmes composés d'un noyau massif et d'électrons en mouvement autour de lui.
Dans un solide, les atomes occupent des positions précises (contrairement aux liquides ou aux gaz) et ne peuvent
guère bouger. Ils vibrent cependant autour d'une position moyenne et la température du solide est une mesure
de l'amplitude de ces mouvements de vibration. Dans les matériaux conducteurs, les électrons de la bande de
conduction peuvent se déplacer d'atome en atome dans le solide. C'est ce ux d'électrons (chacun portant une
charge élémentaire négative) à l'intérieur de la matière que l'on appelle le courant électrique, dont l'intensité
s'exprime en ampères. Par exemple, c'est la diérence de potentiel (ou tension) imposée par une pile qui crée
un courant électrique dans un circuit fermé contenant une ampoule et une plaque métallique. Notons que la pile
fournit autant d'électrons (par des réactions chimiques internes) à une borne qu'elle n'en reçoit à l'autre borne.
La plaque de métal reste donc globalement neutre.
Se chauer par eet Joule
Lorsqu'ils se déplacent dans un matériau conducteur, les électrons entrent en collision avec les atomes, dont
l'amplitude de vibration augmente en conséquence. Or dans un solide, les atomes sont liés à leurs voisins (un peu
comme par des élastiques) : les collisions accroissent les amplitudes de vibration de l'ensemble des atomes du
solide, et donc sa température (qui est une mesure de cette agitation). L'échauement d'un conducteur lors du
passage du courant électrique s'appelle l'eet Joule. La fréquence des collisions caractérise la résistance électrique
du matériau : à une résistance élevée correspond une production de chaleur importante dans le matériau.
En conclusion, le matériau qui constitue les plaques électriques doit posséder une résistance importante
tout en restant conducteur. Si au contraire on souhaite faire circuler un courant électrique en minimisant
l'échauement, un conducteur de très faible résistance s'impose, comme le cuivre dont la résistance est neuf
fois plus faible que celle du fer. Notons que pour transporter de très fortes puissances en réduisant les pertes
d'énergie par eet Joule, il est préférable d'abaisser l'intensité du courant circulant dans les lignes électriques et
pour cela, d'augmenter la tension imposée aux conducteurs. C'est pourquoi le transport de l'électricité depuis
le site de production vers le consommateur fait appel à des lignes à haute tension.
Voyons maintenant quels sont les diérents types de plaques électriques en service.
Les plaques en fonte
Les plaques en fonte comptent parmi les plus anciens modèles. Les éléments chauants (par eet Joule) sont
répartis dans le corps en fonte de la plaque et transmettent leur chaleur par conduction thermique à la plaque
entière. La fonte, alliage de fer et de quelques pourcents de carbone et de silicium, sert à répartir la chaleur
de manière homogène vers la casserole. Les tables de cuisson possèdent un thermostat individuel qui contrôle
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la température de chaque feu indépendamment. Le transfert de chaleur s'eectue ensuite principalement par
conduction de la plaque vers le fond de la casserole.
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gnétiques sont particulièrement adaptés. Les fabricants essayent constamment d'améliorer ces matériaux an
d'optimiser les courants créés et la diusion de la chaleur dans le fond du récipient.
Les éléments de la plaque à induction
Pour induire des courants de Foucault dans le fond des casseroles, il faut produire un champ magnétique
rapidement variable. C'est le rôle des bobines dites inductrices (gure 11), parcourues par un courant alternatif
de haute fréquence : environ 25 kHz, soit 25 000 changements de sens par seconde.
La table de cuisson qui sépare les bobines et les casseroles est constituée d'une plaque en verre vitrocéramique.
Notons que la plaque de vitrocéramique n'est pas chauée directement puisque les courants induits chauent
directement le fond de la casserole. Ce système de chauage direct réduit les pertes d'environ 20% par rapport
aux plaques en fonte.
Enoncé
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spé PC page n 26 Janson de Sailly
physique année scolaire 2014/2015
Devoir surveillé
samedi 31 janvier 2015
Un DS commun aura lieu samedi 31 janvier 2015 de 8h à 12h, il portera sur Electromagnétisme et magné-
tostatique.
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spé PC page n 27 Janson de Sailly