PROJET DE BARRAGE GROUPE 2 2009/2010

I. ETUDES PRELIMINAIRES

I.1. Les étapes préliminaires pour déterminer les sites X, Y, Z :

Les études préliminaires se déroulent en deux phases à savoir la phase des travaux de
bureau (documents, cartes, photos aériennes…) et la phase de visite de terrain pour
compléter les informations générales.
Les études préliminaires se répartissent comme suit :
 Etude Topographique

Elles viseront à rechercher un site qui répond à la fois :

* Aux besoins

* A de bonnes conditions d’exploitation (proximité, altitude)

* Aux critères de rentabilité avec la plus grande valeur possible de

(Vol retenue / Coût ouvrage)

 Etude hydrologique

Cette étude a pour objectif de définir les conditions de remplissage de la retenue ainsi
que l'estimation de la crue de projet.

Pour atteindre cet objectif, il faudra donc :

*Rassembler tous les documents sur le bassin versant étudié (hydrographie,

topographie,
géologie, végétation, etc.)

*Rechercher les stations de jaugeage sur le cours d'eau étudié et les cours d'eau
voisins.

* Rechercher les données hydrométriques, pluviométriques et pluviographiques.

* Faire une reconnaissance de terrain: écoulements, lits, laisses de crue, les

ouvrages d'arts,
barrages voisins, etc..

* Faire des enquêtes au niveau des riverains: mémoires des crues

 Etude géologique et géotechnique

Elles viseront à apprécier l’étanchéité de la fondation et de la cuvette et à s’assurer de

la disponibilité en matériaux de construction de bonne qualité.

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*On effectuera alors des sondages dans l’axe du barrage, dans la cuvette et au
niveau des
chambres d’emprunt.

La perméabilité des sols, ainsi que leurs caractéristiques physiques et mécaniques

seront étudiées au laboratoire et in situ.

 Morphologie de la vallée

C’est un facteur déterminant dans le choix du type de barrage.

 Aspects socio-économique

L’enquête socio-économique préalable à la construction d’un barrage en milieu rural

s’attachera à examiner :
*l’organisation foncière, administrative ou coutumière (taille des exploitations, mode
d’accès à la
terre, etc.),
*les conditions favorables à la bonne exploitation de l’aménagement,

*les conflits entre ou à l’intérieur de groupes sociaux,

*les stratégies de production agricole actuelles et futures,

*l’organisation du pastoralisme (le cas échéant),

* les possibilités d’écoulement des productions,

* les conséquences de l’inondation de la cuvette,

*l’estimation des besoins,

*les risques d’utilisation détournée de l’eau,

* la possibilité de valorisation complémentaire d’une partie de l’eau,

* les bénéfices attendus et recensement de la population concernée.

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I.2. Les raisons qui ont permis de retenir le barrage voûte au site Y :

Nous avons identifié deux raisons importantes à savoir :

* La morphologie de la vallée à savoir existence probable d’une vallée

étroite

* Une existence probable d’une fondation et appuis rocheux

I.3. Les raisons qui aurait poussé le projeteur à ne pas penser à un barrage en béton
au niveau du site Z :

* Présence d’une fondation meuble (plutôt adaptée à un barrage souple)

* La vallée est large et les matériaux de construction sont fins et

abondants
(Coût économique réduit pour un barrage en terre).

 Au stade de l’APS

I.4. La raison qui aurait écarté le site Y au stade de l’APS est :

*La résistance, la rigidité, ainsi que l’étanchéité de la fondation

Cela se justifie par le fait qu’une épaisseur d’altération assez importante

obtenue lors des forages de reconnaissance induirait des problèmes de rigidités
mécaniques de la fondation et pourrait conduire à des coûts importants de
décapage.

I.5. L’essai géotechnique dont le résultat à écarté le site Y:

L’essai géotechnique utilisé pour le cas des fondations rocheuses est l’essai au
dilatomètre.

I.6. La raison qui aurait augmenté le coût de site Z est :

*Le débit des crues serait très important. Les ouvrages annexes (l’évacuateur de
crue, la vidange de fond et les dispositifs de protection du barrage contre les
effets de l’eau ) auront des dimensions trop grandes ce qui augmenterai le coût
de l’ouvrage.

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II. TOPOGRAPHIE, GEOLOGIE ET GEOTECHNIQUE DU SITE X

II.1. Le moyen de reconnaissance géologique qui a permis l’établissement de la coupe

géologique :

En combinaison avec les résultats des sondages on peut citer :

* Les puits de reconnaissance

II.2. La rive à laquelle on peut implanter l’évacuateur de crue pour le barrage en terre :
Du point de vue topographique et compte tenu du type de barrage (barrage en terre),
nous avons identifié la rive gauche puisqu’elle a une pente douce ce qui favoriserait un
déblai moindre.
II.3. L’avantage des barrages en béton qui a pu économiser la variante BCR :

L’avantage principal serait l’incorporation de l’évacuateur de crue dans le corps de la

digue principale.

II.4. Les parties de la fondation à décaper avant la construction du barrage, délimitée

par le projeteur correspond à la couche alluviale d’une part, et d’autre part à la partie
de la roche altérée. Car une fondation en béton ne tient pas sur une couche de sol
meuble ce qui menacerait la stabilité et l’étanchéité du barrage, sachant que ces
rochers altérés s’étendent de 2 à 6 m de profondeur selon les rives et le lit. (Voir tracé
sur la coupe géologique)

II.5. Interprétation du tableau de la perméabilité

Puits de sondage rive gauche :

 Puits SG2, SG3

* De 0 à 30 m on a une perméabilité en U .Lugeons supérieure à 5, ainsi dans
cette Zone les sols sont assez perméables
* A plus de 30m de profondeur la perméabilité devient inferieure à 5 U.L, les
sols sont donc étanches

 Pour le puits SG1

* De 0 à 25 m on a une perméabilité en U .Lugeons>5, ainsi dans cette Zone les

sols sont assez perméables

 Pour le puits SG4

* De 0 à 20 m on a une perméabilité en U .Lugeons>5, ainsi dans cette Zone les
sols sont assez perméables

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* A plus de 20m de profondeur la perméabilité devient inférieure à 5 U.L, les

sols sont donc étanches

Puits central SO1

* De 0 à 30 m on a une perméabilité en U .Lugeons>5, ainsi dans cette zone les

sols sont assez perméables

* A plus de 30m de profondeur la perméabilité devient inférieure à 5 U.L, les

sols sont donc
étanches
Puits de la rive droite

 Pour le puits SD1

* De 0 à 25 m on a une perméabilité en U .Lugeons supérieure à 5, ainsi dans cette
zone les sols sont assez perméables

* A plus de 25 m de profondeur la perméabilité devient inférieur à 5 U.L, les sols

sont donc étanches

 Pour le puits SD2 et SD3

* De 0 à 20 m on a une perméabilité en U .Lugeons>5, ainsi dans cette zone les sols

sont assez perméables

* A plus de 20m de profondeur la perméabilité devient inférieur à 5 U.L, le sol sont

donc étanches

La perméabilité est élevée dans les couches superficielles et elle est faible au niveau
des roches saines. Donc l’indice de vide est élevé dans ces couches superficielles ce
qui donne une grande porosité et engendre une perméabilité importante.

II.6. Le rôle de chacun des deux voiles:

o Le voile d’injection assure l’étanchéité de l’ouvrage au niveau de fondation

o Le voile de drainage intercepte les eaux de fuites qui ont échappé au voile
d’injection pour le drainer vers l’exutoire.

II.7. Il est nécessaire de traiter la fondation par un voile d’injection car le sol est
perméable au niveau de la fondation choisit par le projeteur. Ce n’est qu’à partir de 15
à 30 m de profondeur qu’il devient relativement imperméable. Ce traitement permettra
donc d’assurer l’étanchéité au niveau de la fondation de l’ouvrage tout en réduisant les
fissures. (Voir tracé sur la coupe géologique)

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III. HYDROLOGIE

III.1.La pluviométrie moyenne du site X

Méthode régionale :

A=Cr.Sb.P
P=A/Cr.Sb
o Calcul de Cr (coefficient de ruissellement)
En adaptant Cr au barrage W on a :

Cr=A/Sb.P
AN: Cr=180853/ (1700000*0.5)

Cr= 0.213
D’ou
P=47/517*0.213

P=427mm

III.2. L’estimation de la crue de projet sert à dimensionner l’évacuateur de crue tandis

que la crue de chantier sert à dimensionner les ouvrages de dérivation (batardeau
amont et aval)

La valeur du débit de pointe en fonction du type de barrage choisit :

*le barrage en BCR
Débit projet=1700m3/S
Débit de chantier=350m3/S
*le barrage en terre
Débit projet=2300m 3/S
Débit du chantier=805m3/S

III.3.A. Rôle de l’étude bathymétrique

Les études bathymétriques sont des études prévisionnelles des dépôts de

sédiments.

Elles consistent aux mesures du transport solide ou d’envasement sur le barrage. Ce

sont en fait des levées topographiques qui peuvent servir à l’estimation de
l’envasement de la retenue.

III.3.B Vérification de la dégradation spécifique considérée

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DS= γs*(V/S)*1/n

γs: poids volumique des sédiments

V: volume normal de l’eau

S: surface du basin versant

n : nombre d’année

AN : DS= 2*((175-155)10^6/1700)*1/20

DS = 1176T/Km2/an >800 T/Km2/an

La dégradation spécifique prise en compte dans les études APD n’est donc pas réaliste.

III.3.C Volume des apports solides moyen annuel

A’=E’(S/So)

A’ : Envasement de la retenue collinaire rapporté à l’apport liquide

E’ : Envasement mesuré au barrage rapporté à l’unité d’apport liquide
S : Surface du bassin versant du barrage collinaire en Km2 ;
S0 : Surface du bassin versant dans lequel on dispose de mesures du transport solide.
AN:

A’=1.10^6*(517/1700)

A’= 304118 m3

IV- CONCEPTION ET DIMENSIONNEMENT DES OUVRAGES

A- Barrage

A1 Les avantages du barrage en BCR par rapport au barrage en BCV sont :

- rapidité d’exécution

- faible dosage en ciment

- moins de joints de contraction

B – Calcul de stabilité du barrage

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B.1. Etude de la stabilité au glissement du barrage ( sans drainage et sans

injection)

Les forces que subit notre barrage sont :

*Action du poids propre du barrage.
*Poussée de l’eau.
*Action des Sous-pressions.

 Forces verticales :

 Poids propre :

W = γb * S

Avec S= 1/2*B’*H + 8* H1

H = 1002 – 950 = 52 m

H1= 1006 - 950

B’ = 0,8* 52 = 41,6 m

S= 1529.6 m2

Donc:

 W = 35180,8 KN/m

 Sous- pression

U = ½* He* B*γe

AN

U = ½ * 10* 50 *49,6

 U = 12400 KN/m

 Forces horizontales

 Poussée hydrostatique

P = 1/2* γe * H²e

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 P = 12500 KN/m

 Calcul de F :

F = (V*tanФ)/P
Où: V = W – U = 22780, 8 KN/m

P= 12500 KN/m

 F = 1,82

Le coefficient F calculé dépasse la valeur théorique qui a une valeur de 1.5, par
conséquent on peut dire que le barrage est stable au glissement.

B.2 Calcul du nouveau fruit m (drainage pris en compte) :

h = 0 dans notre cas

 Sous pression :

U = U1 + U2

U1 = [(2-α)* γH*4.5]/2

U2 = [(1-α)* γH *(B- 4.5)]/2 avec B= 8+ my = 8+52m

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En remplaçant les paramètres (α, H, B) par leurs valeurs on a :

U= 9750 m +2625

 Poids du barrage

W= S* γb

= (8*56 + 52*m*52/2)*23

W= 10304 + 31096*m

V=W-U= (F*P)/tanФ

(7679 + 21346*m)= (1.5*12500)/ tanФ

D’où on a le fruit m= 0.52

B.3 Etude de la stabilité au renversement :

* Vérification de la condition du tiers central :

Calcul de l’excentricité e

e = ∑MG / ∑V

∑MG : somme de moments des forces par rapport au point G (milieu de la base)

∑V : somme des forces verticales

 calcul du centre de gravité Gd de la digue principal

1006 NGM
1000 NGM 1002 NGM

0,8
1

Pt
w

950 NGM B
A G

G1 centre de gravité du rectangle

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G2 centre de gravité du triangle

G1 = (4m ; 28m)

G2 = (21,87m ; 17.33m)

En appliquant la méthode du barycentre on obtient Gd (16.64m ; 20,45m)

∑MG = -16.67*P – 8.07*U + 7.96*W

= -16.67*12500 - 8.26*12400 + 8.16*35181

=23722.04 KN.m / m

∑V= W-U =35181 – 12400

D’où e =1.04 m

On a bien e < B/6 donc σam > 0 ; la condition du tiers central est bien vérifiée. Le
barrage est stable au renversement.

C. EVACUATEUR DE CRUE

C .1 Le critère qui a dicté la longueur de l’évacuateur de crue c’est le fait que

celui-ci est intégré à la digue ; donc sa longueur doit être inférieure ou égale à la
longueur de la digue (longueur de la digue).

C.2 Le débit sortant de l’évacuateur de crue sachant que la côte des PHE est
1004NGM :

Q=C L H 3/2
H= PHE-RN

H=1004-1000=4m

Q= 2*80*4^3/2

Q=1280m3/s

C.3. Le débit qui passe par l’évacuateur de crues (Q = 1280 m3/s) est inférieur
au débit de pointe de la crue à l’entrée de la retenue parce que, lors d’une crue, les
retenues de barrages ont pour effet de laminer ou atténuer les débits instantanés de la
crue entrante.

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D. VIDANGE DE FOND

D.1 La vidange de fond sert à :

- Chasser l’eau la plus chargée ce qui permet de lutter contre l’envasement ;

- Gérer la retenue ;
- Assurer la sécurité des barrages en cas d’anomalies ;
- Dériver les crues de chantier ;
- Participe au laminage des crues avec l’évacuateur de crue.

D.2 La côte minimale du seuil de la vidange de fond en considérant une durée de vie
du barrage de 40ans vaut :

Le volume moyen annuel d’apports solides est de 0. 3 millions de m3/an. Sur la durée
totale de vie du barrage, le volume de la vase obtenu est de :

V= 0.3* 40= 12millions de m3.

La vidange de fond étant placé au tiers de la vase à partir du fond, on a donc :

V’=1/ 3*V=4 millions de m3.

En utilisant la courbe hauteur-volume, on obtient une côte de 976NGM.

E. PRISE AGRICOLE

E.1 Emplacement de la conduite de la prise agricole

L’ouvrage de prise est destiné pour une utilisation agricole, alors on n’exige pas
une grande qualité (propreté) des eaux prélevé, puisqu’ au niveau du fond les eaux
sont plus chargées. Pour cela les prises agricoles sont généralement fixées à un niveau
bas de la retenue pour s’assurer d’avoir l’eau pendant les périodes où le niveau de la
retenue est à son niveau le plus bas. Elle est située au dessus de la vidange de fond
pour ne pas aspirer de l’eau trop chargée.

E.2 Calcul de la vitesse d’écoulement dans la conduite et le débit transité par la

prise

 Vitesse d’écoulement :On applique la relation de Bernoulli :

H= V²/2g + ΔHℓ+ ΔHS

Où V : la vitesse d’écoulement dans la conduite à déterminer.

H : dénivelé entre la cote de retenu et le milieu du pertuis de la VF :

H= 1000- 766 = 234 m

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ΔHL : perte de charge linéaire ø1000mm :

L : longueur de la conduite : 200m

λ : coefficient de perte de charge : 0,015

D : diamètre de la conduite : 1000mm = 1m

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g= 9,81 m/s²

ΔHS : perte de charge singulière totale :

ΔHS = ΔHGrille+ΔHEntonnement +ΔHCoudes +ΔHV garde +ΔHV réglage

ΔHS = (0,05 + 0,15 + 0,90 + 0,15 + 0,15 ) * V²/2g

ΔHS = 1,4 V²/2g

Donc

D’où :

V = 29.16 m/s

- Calcul du débit transité

On a Q= V*S
Où :
V : la vitesse d’écoulement dans la conduite ø 1000
S : surface d’écoulement à travers la conduite ø 1000 : S= πD²/4
Donc :

Alors ; le débit transité par la prise est égale à :

Q= 22.9 m3/s

F. TRAVAUX

F.1.

Rôles des ouvrages de dérivation :

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Les trois composantes de la dérivation provisoire sont le batardeau amont, les pertuis
et le batardeau aval. Ils ont pour rôle respectif :

- Le batardeau amont a pour rôle de stopper l’eau afin de mettre à sec le site.
- Le batardeau aval a pour rôle d’empêcher le retour des eaux.
- Les pertuis servent de chenaux de déviation des eaux.

Le concepteur a opté pour un batardeau amont en BCR pour réaliser les

planches d’essai du barrage.

F.2. Le traitement au mortier du ciment pour la mise en place et compactage des

couches lors de réalisation du barrage permet d’assurer une bonne reprise du
bétonnage. En effet ce traitement permet d’éviter les joints froids.

F.3. La réalisation du voile de drainage de la fondation n’a eu lieu qu’après

l’achèvement des travaux d’injections de consolidation et d’étanchéité de la fondation
dans le but de ne pas colmater les drains afin qu’ils puissent assurer leur rôle
convenablement.

G. AUSCULTATION

G1

- Calcul de la valeur réelle de la sous-pression après mise en eau du barrage

Préelle = (970-950) + 10 = 30mcE = 3bars

- Calcul de la valeur de la sous-pression de l’étude de stabilité

L’efficacité de drainage de 25% pris par le concepteur est raisonnable car ceci nous
permet d’avoir Préelle<Pth. Ce résultat est rassurant ce qui nous permet de voir que le
barrage est stable car il supporte les sous pressions pendant l’exploitation.

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G.2. Le graphique en fonction du temps, décrivant la variation des mesures rive-rive

des joint-mètre (vinchons), instruments équipant les joints transversales du barrage, est
d’une forme sinusoïdale peut être justifié par l’effet de la température. La déformation
des joints est influencée par la variation des températures : dilatation pendant les
périodes chaudes et raccourcissement en périodes froides.

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