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Introduction :

Diffraction, modification du trajet d'une onde lorsqu'elle passe à proximité d'un obstacle ou à
travers une ouverture de dimensions inférieures à sa longueur d’onde.

La diffraction s’observe pour tous les types d’ondes : lumineuses, hertziennes, acoustiques,
rayons X, etc. On attribue généralement la découverte de la diffraction au père jésuite italien
Francesco Grimaldi, qui fait état de ce phénomène dans son ouvrage Physico-mathesis de
Lumine, coloribus et iride, publié en 1665.

1-BUT DE TP :
1- a-Mesurer la période du réseau de diffraction.
2- b- déterminer les longueurs d’onde des raies spectrales à l’aide d’un réseau de
diffraction

2-La partie théorique :


La diffraction des ondes a surtout été étudiée dans le cadre des ondes électromagnétiques. En
effet, dans un milieu homogène, la lumière se propage en ligne droite ; après traversée d'une
ouverture, cette onde plane ne se propage plus selon la même direction. Cet effet est
particulièrement spectaculaire lorsqu’un faisceau de lumière monochromatique traverse une
fente ou un trou circulaire : il se manifeste alors par l’apparition de figures d’interférences.
Dans le premier cas, si l’on observe sur un écran le résultat de la diffraction de la lumière, on
observe une raie lumineuse en face de la fente. Cette raie est encadrée par d’autres raies,
équidistantes les unes des autres, dont l’intensité est de plus en plus faible au fur et à mesure
que l’on s’éloigne de la raie centrale : c’est la diffraction de Fraunhofer. Dans le cas d’une
diffraction par un trou circulaire, dite diffraction de Fresnel, on observe sur l’écran une tache
centrale entourée d’anneaux de diamètres de plus en plus élevés et d’intensités décroissantes.
On les appelle anneaux de diffraction ou anneaux de Fresnel. Pour une ouverture de forme
quelconque, la figure de diffraction obtenue est plus ou moins complexe, mais toujours liée à
la géométrie de l’ouverture.
L’Interférence :
Interférence, phénomène qui se produit notamment en optique, en acoustique et en
télécommunication, dû à la superposition dans l'espace d'ondes de même nature et de
fréquences égales.
Le phénomène d'interférence lumineuse a été découvert par Thomas Young, et expliqué pour
la première fois par Augustin Fresnel. On obtient un phénomène d'interférence en superposant
des rayons lumineux produits par la même source, mais ayant suivi des chemins différents.
On utilise alors des dispositifs interférentiels, tels que les trous de Young, le biprisme de
Fresnel, ou l'interféromètre de Michelson-Morley. Lorsque des ondes de même fréquence
interfèrent l'une avec l'autre, l'amplitude (intensité) de l'onde résultante dépend des phases
relatives (positions relatives des maxima d'amplitude), et des amplitudes des ondes
interférentes (voir Ondulatoire, mouvement). Par exemple, l'interférence constructive survient
lorsque deux ondes de même fréquence et en phase (dont les amplitudes maximales et
minimales coïncident) se superposent. Dans ce cas, l'amplitude de l'onde résultante est égale à
la somme des amplitudes des ondes prises séparément. L'interférence destructive se produit
lorsque deux ondes de même fréquence et en opposition de phase (l'amplitude maximale de
l'une coïncide avec l'amplitude minimale de l'autre) se superposent. Dans ce cas, l'amplitude
de l'onde résultante est minimale : on obtient un minimum de lumière. Lorsque deux ondes de
fréquences et de phases différentes se superposent, on obtient un schéma d'interférence plus
complexe

Diffraction de la lumière par une fente :


Le calcule de la répartition de la lumières –de là d’une fente on peut faire en appliquant le
principe de huygens-fresnel.D’après ce principe on considère comme les sources secondaires
tous les points du front d’onde dont le contour est délimité par l’écran et on chacun des
points ou l’on veut étudier le phénomène les vibrations que ces sources y envoient, compte
tenu différences de la phase1)
Rappelons –nous que la différence de phase peut être remplacée par la différence de
marche dans les conditions pour les maximums et minimums de l’intention lumineuse.

On a des maximums si la différence de marche des rayons interférents est égale à un


multiple entier de la longueur d’onde ( )

L=K K = 0, 1,2……..

Et des minimum lorsque :

L= (2K + 1)

Considérons une fente fine AB dans l’écran FF sur lequel tombe un faisceau
monochromatique des rayons parallèles (fig.1.)

-chaque zone aient la différence de marche /2 . dans la figure 1 :


AC1 =C1C2=C2C= /2

Si le nombre des zones de Fresnel vues sous l’angle Ø est un nombre pair (m=2K. K=0,1,2,….)

La lumière ne se propage pas dans cette direction. Sur l’écran placé sans le plan focal de la
lentille on voit une frange sombre.

Si m=2K+1 une des zones ne sera pas compensée et on verra une frange brillante.car :

m-AC -2asinØ

on a : - pour les franges brillantes asinØ= (2K+1)

-pour les franges obscures asinØ= 2K

Diffraction de la lumière par le réseau de diffraction :


Diffraction, réseau de, dispositif optique utilisé pour analyser les différentes longueurs d'onde
d'un faisceau de lumière. En général, cet appareil est constitué d'une surface réfléchissante sur
laquelle ont été gravés plusieurs milliers de sillons étroits et parallèles. Lorsqu'il atteint une
telle surface, un faisceau lumineux est dispersé, ou diffracté, dans toutes les directions à partir
de chaque sillon. Pour chaque longueur d'onde de la lumière, on observe au-delà du réseau
des maxima d'interférences dans certaines directions et des amplitudes nulles dans d'autres.
Ces directions d'interférences constructive et destructive dépendent de la longueur d'onde
Les fentes équidistantes et identiques forment un réseau de diffraction. Une des
caractéristiques principales d’un réseau est sa période d ou une valeur inverse de d nombre
de fente sur une unité de longueur- N0 = 1/d

d= a + b

Ou a est la largeur d’une fente et b la distance entre deux fentes voisines.

3- Dispositif :
On se sert des mêmes sources lumineuses et du même goniomètre que dans le travail pratique
N°1
4-Partie Expérimental :
a) Mesure de la période du réseau :
1- Placer une lampe à mercure devant la fente du collimateur.
2- Amener l’image de la fente sur l’axe optique de la lunette et faire cette image nette
en manipulant l’oculaire de la lunette.
3- Placer au centre de la plate- forme du goniomètre un réseau de diffraction et fixer la
plate-forme en position ou le réseau est perpendiculaire à l’axe du collimateur.
4- Amener l’image de la frange jaune du spectre de troisième ordre (K=3) à gauche sur
l’axe optique de la lunette et repérer la position de la lunette T3.
5- En déplaçant la lunette de gauche à droite repérer ces conditions consécutives
T1 ,T1 ,T2 ,T2,T3etT3 correspondantes aux frange jaunes du spectre
6- La longueur d’onde pour la frange choisie étant 578nm trouver pour Ø chaque
période du réseau d’après la formule :

d= K /sinØ

ou l’angle Ø correspondant au maximum principal de l’ordre « K » est égal à :

-Ø=|TK-TK| /2 si entre TK et TK il n’y a pas le zéro dans l’échelle.

- Ø = [360 - |TK-TK|]/2 si le zéro se situe entre TK et TK

On porte les résultats dans le tableau N°1 :

K TK TK ØK sin ØK d (nm) d (nm)

3
On calcule d se forme : d = dmoy ± dmoy

On a : d = ∑|di-dmoy|

Et dmoy=∑ d/3 = [ ] /3

dmoy=

Donc d =

Mesurer les longueurs d’onde :

1- On repete les manipulations 1-5 de la partie précédente et on obtient les franges des
couleurs suivantes : violet, vert, orange.
2- Pour chaque frange on trouve la longueur d’onde d’après la formule :
= [d sin ØK ] /K

On utilisant d optenu dans la partie précédente.

On met les résultats pour chaque frange dans les tableaux sous la forme de tableau N°2
(pour chaque couleur)

La couleur de la frange violet

K TK TK ØK sin ØK (nm) (nm)

On a = ∑| | /3 = nm

Donc =

La frange de la frange vers :

K TK TK ØK sin ØK (nm) (nm)

3
Donc =

La couleur de la frange orange :

K TK TK ØK sin ØK (nm) (nm)

Donc =

Les valeurs des longueurs d’onde exactes sont :

Orange 579

Verte 546

Violet 400 à 446

5-CONCLUSION :
Quand on fait la comparaison entre les valeurs exactes et les valeurs expérimentale des
longueurs d’onde on remarque une légère différence à cause de la variabilité des résultats de
matériel et les erreurs de calcule et la lecture.

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