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LUMIÈRES DANS LA NUIT Fondateur : R. V.

EILLITH
Cette revue es[ dédiée à tous ceux qui, à travers le monde, recherchent passionnément la vérité. Leurs découvertes LUMIER ES COMITE DE R EDACTION
Ch. GUEUDELOT, F. LAGARDE,
sont autant de lumières dans la nui t actuelle de l 'huma n ité, et nous guident pas à pas vers des horizons nouveaux.
DANS LA NUIT M. MONNERIE, R. VEILLITH.
t R. OLLIER,

(G R O U PEMENT INTE R N ATIONAL CON SEILLER TECHNIQ U E (Problème M.O.C.)


VOICI LE CO NTE N U DE CE N U MERO:
DE RECHERCHES) Aimé MICHEL
PAGE 3 : LETTRE OUVERTE A M. VIEROUDY, par CLAUDE POHER. Le fait d'insérer tel ou tel document ne
:
LETTRE OUVERTE A M. VJ:EROUDY
PAGE 4 CONSIDERATIONS SUR LE PHENOMENE OVNI. prouve pas nécessairement que nous en approu­
PAGE 6: A PROPOS DE L'ABSENCE DE PHOTOS RAPROCHEES d'OVNI vons tous les termes. Chaque document est
PAG!: 7 : EN SARDAIGNE. publié dans la perspective que, considéré dans en guise de réponse à son étude : « V AGU ES D'OV N I ET ESPRIT H U M AIN >>
9 : son ensemble, il nous paraît digne d'intérêt, et (LDLN 154 d'av r i l 1976)
PAGE CONDENSE DE L'ARTICLE PARU DANS LA REVUE ESPAGNO­
LE A.B.C. NOUVELLES d'ESPAGNE.

Votre étude est respectable car tout effort l'est, elle a en outre le mérite d'exposer des résultats numé­
susceptible de nous mener vers la vérité, qui
PAGE 10 : AMERIQUE DU SUD.
PAGE 11 : DISQUE LUMINEUX ENORME DANS LE
reste notre but et notre idéal et que nous
riques contrôlables.
Je voudrais néanmoins vous faire quelques r.emarques afin de mettre en lumière quelques-uns des pièges
CIEL DE FOIX
(Ariège). recherchons sans parti pris.
PAGE 1 2: ENQUETE EN HTE-GARONNE. Les documents insérés le sont donc sous la dans lesquels il convient de ne pas tomber.
1. - La corrélation que vous tenez pour certaine entre les périodes de d1ff1cu ltes economlq.ue� et 1 mq .�le·
� � . ,. . �
. .
PAGE 13 : DANS LE TARN. responsabilité de leurs auteurs.
PAGE 14: AUX MURAIRES (Var). tude de la population est extrêmement sujette à caution. Personne n'a jamais réussi à prouver cec1 d une mamere
PAGE 1 5: PRES DE MAVES (Loir-et-Cher). irréfutable et il faudrait d'abord commencer par cela. . . ,
PAGE 1 8: OVNI DANS LE MACONNAIS (Saône-et-Loire). Il. - En outre, rien ne prouve que " l'indice d'inquiétude, de la population soit liée à la productiVIte des
PAO:: 2 1 " : OBSERVATION Nos articles, photos, dessins, sont proté­ céréales.
Ill. - Il ne faut pas oublier, enfin, que les statistiques faites sur le phénomène OVNI sont s�ulement. 1�
AVEC PHOTOS A VALENCIENNES (Nord).
PAGE 23 : gés par la loi de 1957 sur la Propriété litté­
décompte des personnes ayant dit qu'elles avaient vu q uelque chose (il est probable que nous n ayons a1�s1
OBSERVATION A ARRAS (Pas-de-Calais).
PAGE 24 : raire et artistique. En conséquence, toute
accès qu'à une fraction infime du nombre total réel d'observations... ce qui fausse totaleme�t toutes les stat1s·
LES BALLONS DIRIGEABLES.
PAGE 25 :
tiques. Le fait qu'elles se ressemblent toutes n'est pas un critère, cela veut seulement d1re que les calculs
COURRIER RESUFO. reproduction, même partielle, est rigoureu­
PAGE 27 : NOUVELLES RECENTES. sement interdite sans autorisation.
COURRIER. sont exacts).
IV. - Donc ce que vous avez étudié c'est seulement:
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• De 1 800 à 1 900 : Le rendement de placements monétaires en fonction du nombre de personnes racontant une
histoire probablement vécue.
AB 0 N NE MENT (joindre 1 F en cas de changement d'adresse) De 1 873 à 1 9 1 3 : Un indice des prix avec.... idem
De 1 900 à 1 960 : Divers intérêts à court terme avec... idem
De 1 940 à 1 975 : Divers intérêts à long terme avec... idem , . ._
C'est méconnaître totalement l'économie politique que croire à une correlation entre les f1evres de
Nous publions:
.
LUMIE RES DANS LA N UIT, revue mensuelle de 28 pages consacrée au problème OVNI (avec toutefois l'économie (liées à la spéculation par ,exemple) et 1 e .. moral, d'un échantillon de population quelconque.
un seul numéro pour juin-juillet ainsi que pour août-septembre), ce qui fait 10 parutions chaque année. Souvenez-vous, par exemple, des raisons de la très récente crise économique (prix du pétrole).
V. - Vous ne pouvez pas tirer de conclusions hâtives sur la corrélation apparente des débuts de vagues
VUES NOUVELLES, supplément trimestriel de 20 pages (paraissant en janvier, avril, juil let, octobre) qui avec l'apparition de cas spectaculaires (Keneth Arnold, Mazaud, Dewilde, Turin ... ). C'est aussi dangereux
traite de diverses questions importantes (problèmes humains, respect des lois de la vie, spiritualité, pro­ que d'étudier la corrélation avec la distance Terre/Mars sur une trop courte période.
Les études de corrélations entr,e phénomènes doivent, pour pouvoir aboutir à des conclusions va�ables,
respecter un certain nombre de critères qui ont été étudiés par de très nombreux chercheurs et qUI _sont
blèmes cosmiques, étude de l'insolite).

enseignés uniformément dans le monde. Ces critères sont simples à appliquer, ils imposent cependant des regles
très strictes dans le choix des échantillons, conduisant à des calculs de distribution, de coefficients de corréla­
FO RMU LES D'ABO N N E M ENTS tion ,et doivent être contrôlés par une série de tests mathématiques de validité. J'ai appliqué ces règles pour les
( ne souscrire qu 'à l 'une d'elles) données numériques que vous proposez et le résultat est très négatif : corrélation négligeable !
Pour vous donner un exemple criant : ma tentative de corrélation entre Perturbations du camp magnétique
A/ Abonnement complet annuel (LDLN + V U ES NOUVELLES) : ordinaire: 50 F - de soutien : 60 F et nombre de Rapports d'observations d'OVNI's en octobre 1 954 (courbe ci-dessous).
Cela donne l'impression visuelle d'une excellente corrélation... et pourtant la valeur numérique du
B/ Abonnement annuel à LDLN seulement: ordinaire : 38 F - de soutien : 47 F coefficient de corrélation montre qu'il y a moins d'une chance sur trois pour que les phénomènes aient une cause
commune.
VI. - Votre conclusion finale ne peut donc être rédigée comme vous l'avez fait. En effet, restons stricte­
ETR A N G E R : majoration de 8 F pour les formules A et B ci-dessus. R èg lement par mandats internationaux ment objectif et reprenons votre conclusion mot à mot en complétant chaque terme avec exactitude : au lieu de
ou autres moyens. Les coupons-réponses internationaux sont acceptés: un coupon = 1,20 F. votre phrase :
" Le phénomène de vague OVNI est à la fois psychologique et physique, tout se passe comme si l'esprit
VE RSEMENTS ET C O R R ESPON DANCE : à adresser à M. R. VEILLITH, " Les Pins , • 43400 LE CHAMBON·
SU R-LI G N O N • FRANCE. C.C.P.: 27.24.26 LYON (ou par chèque bancaire, mandat-lettre, mandat-carte).
(suite bas de page 4)
&.bre de o.. 114 -n.leur nl.&t;1Te
(), !l0111bre de o.. réel.e par -.
ATIENTION!
1,2
e SEULE L'E NVELOPPE PORTE LA MENTION (EN RO U G E) Q U E VOTRE ABO N N E M ENT EST TE RMI N E. /' Nombre

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journalier de

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tfmoiqnaqes d'observation•

e LORS D'UN REABON N EM E NT, VOUDRIEZ-VOUS NOUS R APPELER


visuelles distincte•
B.V.M
VOTRE N UMERO D'ABON N E FIG U·
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Nous remercions ceux qui ont répondu par l'affirmative à notre appel de réactivation de ce service (voir LDLN 1'
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déclinaison
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no page Finalement, notre projet de numéros s� éciaux, 'J tique enregistr�•• A :\ 1
+1
dès cette année, aura très probablement u ne
CHIIHBON-LII-FORET (Fran 1 •: + .. :1 ' 1

dimension plus importante que prévu.


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A cet effet, nous réitérons notre demande auprès de <eux qui ont le loisir et la nossibilité de réaliser de très q,2 '!
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1
bonnes traductions (être bilingue serait u ne bonne chose), pou r les langues suivantes : A N G LAIS , ESPAG NOL,
PORTU GAIS , S U EDOIS. Veuillez écrire à LUMIE RES DANS LA N U IT, service Traduction 43400 LE CHAMBON· 0
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Jour• du ao la d ' octobre
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· 1z 1'1 1954.
s uR-LIG NON. merci à tous ceux qui pourront collaborer de la sorte.

-2- 3-
La série de photographies prises dans de très bonnes conditions. sur une vérJtable �oucoupe
«

volante , durant l'été 1968 en Roumanie (voir LDLN no 1 14 et 1 1 6) a fatt entrer la vtlle de C/uf dans la
littérature des S. V. [3) . Mais la majorité des lecteurs ne connaissent pas le fait que dans cette ville
CONSIDÉRATIONS s'accumulent de nouvelles observations, ainsi que des photos, et également des événements très intri­
gants. Parmi ces preuves matérielles rassemblées à C/uj se trouve une �iche collection des photos eton- ,
nantes qui offrent de nouvelles connaissances dans la recherche du phenomene _ MOC.
, ,
SUR LE Pour mon analyse actuelle, j'ai retenu de cette collection trois photos O.es autre� sont rese:vees
pour une autre discussion) qui apportent une preuve surpren�nte sur la solutiOn f?nctJOnnelle , q�ll per­
met la disparition subite du MOC, et plus encore un phenomene etonnant: , la perststance en 1 atr sans
PHÉNOMÈNE OVNI que l'on puisse l'observer.
La première photo (non publiée) a été obtenue au printemps 1970 P_ar un chercheur s.ofttatre de
. .
,
Cluj, le biologiste Alexandre Sift (celui-ci observe et photographte des fatts etranges depws plus de
quinze ans, spécialement dans une zone près de Cluj, la forêt Bacin, appelée déjà ... le co�mo�rome de
Par M . Flotin GHEO RGITA Cluj " Sans rien apercevoir, Sift a fait de la fenêtre de son bu,reau cette .Ph�to, pnse e� dtrectJOn de 1�
·

forêt Bacin. A sa surprise, en développant le film, il a trouve sur le cftche cette sphere sombre, qw
Transcri ption F.L. comporte en son centre, parmi les nuages, un objet. .. soucupiforme.
Photo 2 La deuxième (photo 2) est totalement intrigante, une forme ronde, brillante, faisant aut?ur d'el�e
(avec l'autorisation de M. Florin GHEORGITA, de un grand halo obscur (?). Cette fois, Je 8-6- 1974, ce mê';1e Sif � a o?t�n� l'image �n. ph?tograP,htant trot�
même que pour la photo 3 de couverture) mois avant, dans la même direction, au même endroit, d un obJ et stmtfatre. Ce qw tntngue, c est le fatt
que dans les deux cas il n'avait :ien vu dans / � ciel. , , .
Le contenu de l'interview de M. Robert Ga/ley, diffusé au début de 1974 par les ondes de France­ Comment une source Jumtneuse peut tatre autour d elle un halo sombre est evtdemment un pro-
Inter ( 1) a causé une grande sensation dans Je monde, tout autant par son courage français " de
c<
blème scientifique de grande importance, les lois physiques connues n'apportent aucune répons�. .
dire la vérité que par sa sagesse. La nécessité bien exprimée d'avoir une plus large ouverture d'esprit"
cc
La photo N° 3 offre une autre sphère, totalemen� sombre cet �e fof s. f�isa�t un halo allonge .motns
dans la considération du phénomène OVNI constitue en fait l'un des plus sages avis de notre époque. obscur. Moi-même j'ai fait cette photo Je 1 - 1 - 1975 ; mot non plus fe n avats nen vu �ans 1� etel d!;f
Parmi ses appréciations, qui relèvent la grande importance scientifique de l'étude des OVNis, je cc cosmodrome , de la forêt Bacin, et cependant il y avait quelque chose ,. dans le etel, qut apparatt
«

désire me pencher spécialement sur le fait qu'il est certain qu'if y a des choses que l'on ne comprend dans Je film, et qui figure aussi sur Je cliché suivant!
pas, et qui restent à l'heure actuelle relativement inexpliquées. C'est au fond une vérité que l'on doit . , .
Ces trois photos, ainsi que d'autres obtenues par diverses personnes de CluJ, demontrent dtrec­
les comprendre d'une manière très réaliste, en reconnaissant que le phénomène dépasse encore profon­ tement l'une des manières étranges par lesquelles les MOC savent disparaÎtre subitement ou persister
dément les connaissances des terriens sur ce que l'intelligence plus avancée a bâti depuis des mil­ invisibles à l'œil dans Je ciel. Vraiment, il se passe toujours quelque chose à C!uj.
liards d'années dans les espaces immenses. On sait très bien que l'on perçoit chaque objet matériel ou chaque détail du milieu naturel . en
Cependant, une recherche systématique peut nous offrir graduellement des éléments de plus en
recevant la radiation directe de la source lumineuse ou celle reflétée par l'objet. L'homme ne voit nen
plus intéressants qui peuvent faire progresser la connaissance dans ce domaine si complexe. A la suite dans l'obscurité totale parce que l'œil humain, accordé à un intervalle étroit du spectre des radiations
des contributions, plus ou moins importantes, des différents chercheurs, on forme tranquillement une électromagnétiques ne peut analyser aucune radiation.
nouvelle science qui utilise à son début, normalement, des hypothèses réalistes. J'avais intitulé ainsi
un des sous-chapitres de mon livre (2) : Quand la grande science se tait, l'hypothèse règne
« ».
Or, à Cluj, dans chaque cas, il y avait quelque chose dans l'air qui était capable � ·arrêt�r ,, la
«

A propos des paroles de M. Ga/ley nous entrons dans un des détails intrigants du phénomène lumière solaire pour la refléter vers le témoin; évidemment les témoins qui ont regarde le etel par
MOC, détail qui a donné une riche gamme d'interprétations qui n'ont pas encore abouti à une conclu­ hasard n'ont rien vu à J'emplacement de l'objet, parce qu'if n'y avait rien pouvant refléter le soleil au
sion: les disparitions subites des MOC observées en de nombreux cas par divers témoins en divers moment de l'observation. Seule la pellicule '' a vu les substances sensibles du film étant différentes
''•

pays. Il y a une multitude d'exemples en ce sens, et je ne reviendrai pas sur le fait. Les hypothèses de celles des cellules nerveuses humaines - et je précise que des centaines de photos prises à Cluj
explicatives ont été nombreuses, les plus intéressantes pouvant être les suivantes: des décollages, ou démontrent le fait que les pellicules enregistrent beaucoup plus que l'œil humain.
abandon d'une position aérienne statique, par un démarrage à une vitesse plus grande que celle de la Du point de vue scientifique, la production d'un halo spatial .san.s !um!ère dans le mili�u atf!10S­
lumière, ou la suggestion des témoins par une hypnose produite par l'équipage de l'engin, ou la déma­ phérique baigné par la lumière solaire, est un probleme _ profond qw fatt partte de ces p�enomenes
, tnex­
térialisation subite des engins par suite d'une commande fonctionnelle intérieure ou émise quelque part pliqués jusqu'ici. S'agit-il d'une interférence de la radiation solaire avec des ondes lum!n�uses ayan! la
dans l'espace ou simole illusion visuelle, ou création d'un champ énergétique reflétant la lumière... et tou­ même caractéristique, émises par les formes aériennes " ? Peu probable, le halo e!!Ipttque et meme
cc

tes autres suppositions. sectionné (photo 3) élimine l'hypothèse.


Avons-nous des preuves matérielles pour chacune de ces hypothèses ? Du moins lesquelles ? Y a-t-il un genre de champ d'énergie qui sait annuler la lumière - en freinant les photo,n� circu­
lant à leur vitesse spécifique de 300.000 km/sec ? L'objet soucupiforme et les formes sphe-nques ,.
«

• • •
des deux autres photos ont-ils au bord la source de cette énergie inconnue ? Y a-t-il des antiphotons ,. cc

(suite de la page 3) : LETTRE OUVERTE. ou autres particules élémentaires sachant annihiler les photons de la lumière solaire ? La coque des
collectif humain en état d'inquiétude induisait inconsciemment un phénomène objectif d'une certaine matérialité.
engins aériens peut-elle émettre sur sa surface ce genre de particules ?
"
Il faudrait écrire : Ces questions sont amplifiées d'une évidence plus troubl�n �e: dans /� deuxièm_e photo, une sour�e
" L'histogramme des que1ques rares rapports d'observations que nous possédons, b!3sé sur les dates lumineuse brillante produit un halo obscur. Comment cela peut-tf etre posstbfe ? Mats ce halo est tres
d'observations qui y sont mentionnées, conduit à penser qu'il y a des vagues d'apparitions du phénomène, mais semblable à celui produit par la sphère sombre... Ce qu'il se passe dans l'espace à propos de ces h�los
la valeur numérique de ce résultat est sujette à caution à cause du non respect des tests de validité des
échan­ est en tous cas et sûrement un problème étonnant qui intéresse directement le progres de la phystque
tillons en notre possession. Une très faible corrélation de cet histogramme avec ceux de quelques indications fondamentale moderne.
économiques peut être mise en lumière avec un faible degré de confiance. "
Bien entendu, on ne peut pas limiter par l'étude de ces photos les méthodes fonctionnelles mises
Avouez que cela change tout.
VIl. - Puisque vous semblez aimer les corrélations d'histogrammes, je vous en soumets une (voir page 3 )
en œuvre par les MOC pour disparaïtre subitement à la vue, les solutions peuvent être diverses.
dont voici les références : Mais cette série de photos de Roumanie (ainsi que la collection) vient démontrer d'une façon pré­
a) La courbe " BVM " se réfère aux apoaritions mondiales de la " Bienheureuse Vierge Marie" publiée dans le cise et très sérieuse un aspect nouveau des possibilités et manifestations intelligentes de ce qu'on
·
livre " Vraies et fausses apparitions dans l'église" par BILLET et Cte - Editions LETHIELLEUX - Statistiques connaït sous Je terme de MOC. Au fond, tout le monde désire connaÎtre de plus en plus de vérités,
basées sur 1 7 1 cas mondiaux d'apparitions. indifféremment telles qu'elles seront, et cela sera rendu possible par la contribution de tous les cher­
b) La courbe OVNI est une statistique sur 825 rapports d'observations mondiaux ne couvrant probablement pas cheurs du monde.
les mêmes pays que les statistiques BVM, ni avec le même degré de validité des échantillons (l'échelle de
F l ori n G H EO R G H ITA .
l'histogramme OVNI est divisée par quatre pour 'faciliter la lecture).
Je vous signale, à titre documentaire, et pour vous éviter des calculs fastidieux. que, mathématiquement ( 1) J .- C . B O U R R ET : La nouve l l e vague des S . V . , 1 974 .
parlant, les corrélations apparentes entre ces deux phénomènes sont de valeur quasi nulle. ( 2 ) F. G H EO R G H ITA : OZN O , pro b l è m e modern e , 1974.
Je souhaiterais que les personnes qui cherchent à comprendre les caractéristiques du phénomène OVNI ( 3 ) F. G H EO R G H ITA : F S R N° 6, 1969. Be l l J ars : C a nad i a n UFO report No 4, 1 975 . Rev. " F l acara "
tiennent compte de mes remarques, que cela les rendent curieux des lois des statistiques afin qu'ils évitent de N° 2 0 , 1 974 , B ucarest.
tomber dans des pièges aussi grossiers. La vérité est à ce prix.
N. D. L.R. - N o us n 'avons pas e u e n m a i n l es négatifs d es ph otos i n d i q u ées, et nous n 'avons d e
Claude POHER, 1 9 mars 1 976. c e fa i t aucun commenta i re à faire sur l 'arti c l e d e l 'i n g é n i eur F l ori n G h eorg h ita.

-4- -5-
C o m m e l'écrit fort j u ste m e nt A i m é M i ch e l l u i ­
A propo - de l'absence de photos rapprochées d'OVNI en fonct i o n d u m i l i e u soc i a l ? Autre obstac l e d e
même, " avant d 'accepter l e contrô l e psyc h i q u e
ta i ll e : c o m m e nt éva l u er l a te ndance à parl er e n
par Jacques S C O R N A UX, fo nction d e l 'étra ngeté d u cas ? Q u a n t aux cata l o­ c o m m e exp l i cati o n , i l f a u t expl orer toutes l e s a u ­
g u e s , i l s sont nécessairement '' b i a i sés ,, d a n s l e tres hypothèses m o i n s dra m ati q u e s C 'est d a n s
».

docteur en sciences c e t esprit q u e nous p e n s o n s q u e 1 ' o n n e p e u t


sens d'u n e suresti mation d e l a proport i o n d 'obser­
Avec son récent art i c l e Sur l a n ature rée l l e
•• m é e à 1 00 rn) ( 6 ) ou comme l e s c é l èbres s éri es vat i o n s rapprochées, par l e fait q u 'ils sont fondés exc l ure u n e i nterprétat i o n pure m e nt h u m a i n e à
de l 'observati on rap prochée "( 1 ) , c'est u n fam e ux d e photos d e Pa i s s a i c ( N ew J ersey, tém o i n G eorge en q uas i-tota l i té ( Po her) o u e n part i e ( Sau nders ) 1 'absence de photos rapprochées d'OV N I , s urtou t
•• pavé d a n s l a mare " q u 'a l a ncé M . A i m é M i c h e l . Stock) et d e Santa Ana (Ca l i forn i e ) : d a ns ce s u r l e re l evé d e s c a s parus d a n s l a l i ttérature s i l e n o m bre d'observati o n s à courte d i stance n'est
L ' i d é e-force q u' i l défe n d , e t q u e partag e M . Pi erre d er n i er cas , le témo i n , R ex H efl i n , ava i t sur l u i spéc i a l i s é e , où l 'o n peut s u pposer q u e sont pu­ pas si é l evé que ne l ' i n d i q u ent des extrapo l at i o n s
G u éri n , est q u e l e s té m o i n s d'u n e observati o n u n appare i l pour d e s ra i sons profess i o n ne l l es . b l i és l a p l u part des cas c o n n u s d'observati o n s contesta b l es .
rapprochée d 'OVN I s u b i ssent u ne i nf l u e nce psy­ I l y a e n f i n l a catégor i e , évoq uée par A i m é rapproch é e s , m a i s seu l ement u n e s é l ecti on des Références:
c h i q u e de l a part du phénomè n e . I l s 'a g i t l à , Miche l , d e s tém o i n s q u i o nt s ur e u x u n appare i l m e i l l eures observations à d i sta n c e . ( 1 ) LDLN no 1 5 1 , j a n v i er 1976, p p . 3-5 .
c o m m e l 'écr i t A i m é M iche l , d'une hypothèse !our­ charg é m a i s , '' i n exp l i ca b l e m ent "• n e s o n g e nt P o u r ces d i vers es ra i so n s , a u c u n e estimation ( 2 ) Jacques Va l l é e , Le mod è l e d erri ère l e s atter­
de de conséquences, a u s s i conv i e nt- i l de fa i re pas à l 'uti l i ser. Ce comporte m e nt est de fa i t g é n é­ d u n o m bre tota l rée l d'observations rapprochées rissages d 'OV N I , d a n s : Charles B owe n , E n
pre uve de l a p l u s gra n d e prudence avant de 1 'ad­ ra l , j'a i m ê m e eu conna i s sance d u cas d 'u n témo i n ne nous paraît donc h é l a s poss i b l e : l es s e u l s q uête des h u m a noïd e s , éd . J'ai Lu , 1 974,
m ettre comme u n e l o i g én éra l e . L 'arg u m ent essen­ q u i a regard é , depu i s s a fen être , u n OVN I évo l uer c h i ffres c o n n u s s ur l e sq u e l s o n p u i sse ra i so n na­ p . 78.
ti e l de M i che l repose s ur l 'absence de p h otos dans son j ard i n ... avec une cam éra chargée posée b l e m e nt trava i l l er sont ·ceux des cata l og ues d 'at· ( 3 ) J a cq u e s et J a n i n e Val l ée , Les phénomènes i n­
d'OVN I a u sol ou du m o i n s très rappro c h é . Or sur une ta b l e à p ortée de l a m a i n ! M a i s n'y a-t-i l terri ssages comme c e l u i de Va l l é e , c 'est-à-dire so l i tes de l 'espace , éd . La Tab l e R o nde , 1966,
nous pensons q u e c e fa i t peut s 'exp l i q u er d e m a­ pas u n e exp l i cati on s i m p l e ? N u l ne peut n i er q u e des v a l eurs de l 'ordre d u m i l l i er. Le reste n 'est p. 2 1 4 ; En q uête d e s h u m a n oïde s , p. 87.
n i ère p l u s s i m p l e q u e par une « m a n i p u l at i o n vo i r u n OVN I d e trè s prè s , surto ut e n p l e i n jour, que spécu l at i o n trop hasard e u s e . (4) Enq uête d u groupe Vero n i ca s ur l 'atterri ssage
menta l e ,,_ avec s u ff i sa m m e n t d e d éta i l s d i scern a b l e s pour d ' U zès ( G ard ) d u 19 nove m bre 1 974, LDLN
P o u r concl ure, n o u s te n o n s à b i e n préci ser
Tout d'a bord , on peut avancer q u e , dans l'im­ q u 'on ne p u i sse p l u s douter de son extrêm e étra n­ no 1 50 , décembre 1 975 , pp. 2 et 8- 12 .
que notre i ntenti on n 'éta i t nül l e m e nt ici d e n i er
mense majorité des cas, les circonstances de g eté, s o i t u n e expérience tra u mati sante , b i e n p l us ( 5 ) l nforespace no 7, 1973 , p p . 23-26.
l 'ex i stence de cas où l e s témo i ns s e m b l e n t effec­
temps et de lieu des atterrissages sont telles q u e 1 'obs ervation d'u ne fou dre en bou l e , contra i­
tivement avo i r s u b i u n e '' m a n i p u l at i o n m e nta l e ,, ( 6 ) Adri a n Vance , Peterse n's Photogra p h i e M ag a­
qu'if est normal que le témoin n'ait pas son appa­ rement à ce que s e m b l e pen ser A i m é M i c h e l ? z i n e , j a n v i er 1973 ; F l y i n g Saucer R ev i ew,
de l a part d u phénom è n e . La q u estion d e m e ure
reil sur lui. A i n s i , ce type d'o bservation se d érou­ U n e v i s i o n a u s s i rad i ca l e m ent étra ngère à m ars-avri l 1973 ; A u g u ste M ee s s e n , l nfores­
d'a i l l e urs pour nous ouverte de savoir s ' i l s 'a g i t
l era i t d e préfére nce d a n s des rég i o ns à fa i b l e tout ce q u e la v i e nous a appri s , q u a n d e l l e n'en­ pace no 1 7, 1 974 , p p . 23-25.
l à d e 1 'express i o n d'u n e v o l o nté d élibérée ou d ' u n
d e n s i té d e popu l at i o n ( pre m i ère l o i n ég ative d e g e n dre pas une terreur pan i q u e , peut à tout l e ( 7 ) Peter A . Sturrock, U FO R eports from A I AA
effet seconda ire d e l a présence rapprochée d e
Va l l é e ) , l es témo i n s s o n t souve nt d e s agri c u l­ m o i n s cau ser u n état d e gra nd tro u b l e émotif, M e m bers , Astro n a ut i cs a n d Aeronaut i c s , Vo l .
l 'OV N I , d e même q u e d e savo i r s i c ette i nf l u e nce
teurs : est- i l a norm a l q u e ce ux-c i ne se ren d e nt b l oquant l e s réfl exes l e s p l us normaux. Et c 'est 1 2 , no 5 , m a i 1 974 , p p . 60-64 .
s'exerce par u n e voie phys i q u e , comme des
pas aux c h a m ps 1 'appare i 1 photograph i q u e en ban­ une réaction nature l l e d e se dema nder après coup (8) N o u s songeons à J'act i o n de m i croo n d es sur
o n d es é l ectro m a g n éti q u e s (8) , o u par u n e voie
d ou l i ère ? quand l a confro ntation avec l ' I n c o n n u n 'est p l u s l e systè me nerveux, c o m m e l e s u ggère J a m e s
parapsyc h o l o g i q u e . N o u s avon s s i m p l e m e nt vou l u
R ap p e l o n s a u s s i q u e d a n s 73 des 200 atterr i s­ q u ' u n souve n ir, c o m m e nt o n a p u m a n q uer à c e M . McCam pbe l l d a n s son o u vrag e : U fo l ogy,
attirer l 'attenti on �ur l e danger d e s g é n éra l i sa­
sages de l a vag u e de 1 954 , étu d i és par Va l l ée ( 2 ) , p o i n t d e présence d 'esprit. S i l e té m o i n n e p e u t éd . J aymac Company, 1973 .
t i o n s hâti ves et d o n c potenti e l l e m e nt a b u s i ve s .
l e tém o i n éta i t au trava i 1 ou sur l e chem i n du pas compren dre ce q u'i l a re ssenti , c 'est s i mp l e­
trava i l : l à non p l us i l n'y a pas d e mystère à ment parce q u'i l s 'est tro uvé d a n s u n e s i tuation
l 'absence de p hoto, nous sem b l e-t- i l . U n a ppare i l com para b l e à n u l l e autre q u ' i l a i t con n u e . Il n e
ph oto n e fa it pas part i e des objets u s u e l s q u ' u n nous se m b l e donc pas n écessa ire d ' i nvoq u er u n e
ouvri er emporte à l 'u s i ne ou a u chanti er! La i nf l u e n ce extéri e ure s ur son psyc h i s m e . EN SARDAIGNE
p l u part des g e n s possèdent, certes , u n appare i l M a i s d e s arg u m e nts te l s q u e c e u x q u e nous par G. M ETTA, enquêteur LDLN
dans l es pays i n d u stri a l i sé s , m a i s c o m b i e n l 'o nt ve nons d'avan cer s u ffi sent-i l s à exp l i q u er q u'i l
en quas i-perm a n e nce s ur eux ? C 'est essenti e l l e­ n'y a i t r i g o ure usem ent a u c u n e photo trè� d éta i l­ Date: 8 j u i n 1 974 . I l observa atte ntivement l es caractéri sti q u e s
m e nt en vacances q u e l 'on fa i t d e s photos , m a i s l é e d ' u n OVN I , été'lnt d o n n é le nom bre d 'observa­ Heure: 1 :45. s a i l l antes d e l 'obj et.
vo i l à : l e s OVNis n 'ont p a s l 'habitude d 'atterrir t i o n s rapprochées ? Notre op i n i o n est q u e 1 'esti­ Lieux: route prov i n c i a l e e ntre V i l l a m assarg i a 1 °) Il éta i t très gra n d . De form e c i rc u l a ire m a i s
s ur l a plage d e Deauvi I l e ou de S a i nt-Tropez a u mati on d e ce n o m bre que d o n n e A i m é M i c h e l et S i l iqua. l é g èrement écra s é . S o n d i a m ètre éta i t a u
m o i s d 'août ! r i s q u e d'être forte ment suréva l uée . C o m m e l 'écrit m o i ns d e 4 à 5 m ètres .
D'a utre part, q u a n d l e témoi n a un a ppare i l M . Eg i d i o Traga rou l e pa i s i b l ement avec s a
M i ch e l , l 'éch ant i l l o n n ag e de Sturroc k ( 7) est beau­ 2°) I l c h a n g e a i t conti n u e l l e ment d e cou l e ur , a lter­
s ur l u i , l e s c irco nstances d e temps j o u e n t l à en­ coup trop restre i nt et, de p l u s , nous avo n s cons­ F i at 850 . Arr i vé près d u cro i s e m ent d e Z. i n n i ga s ,
où i l y a u n e cabi n e é l ectr i q u e , i l aperçoi t deva nt n a nt toutes l es tei ntes de l 'arc-en-c i e l avec l e s
core e n d éfaveur d e l 'exi stence d'une p hotogra­ taté q u e , d'u n e part, u n e i nterprétati o n poss i b l e n uances i nterm éd i a ires : j a u n e , b l a n c , ora n g e ,
p h i e pré c i s e . La p l u part des atterrissages ayant l u i une l um i ère p l u s gra n d e et p l u s i ntense q u ' u n e
est d o n n ée pour p l u s i e urs d e s 2 0 c a s e t q u e , azuri n .
l i eu q u a n d le so l e i l est couché ( seconde loi posi­ d'a utre part, c e t échanti l l on n e conti ent e n réa l i té éto i l e . L'a uto comme nça à faire des e mbardées et
tive d e Vall ée ( 3 ) ) , l a photo est re n d u e p l us e n m ê m e temps tou s l e s c i rc u i ts é l ectri q u e s tom­ 3°) D a n s sa parti e i nféri e ure , q u i se prése nta i t u n
a u c u n atterrissage !
d i ffi c i l e : ou b i e n l'OV N I est sombre , et de nom­ bère nt e n p a n n e . I l s 'aperçut cepend ant- que , m a l · p e u tro n q u é e , i l y ava i t c o m m e u n a n n e a u q u i
To ut au p l u s , y trouve-t-on u n e observati o n
bre ux d étente urs d'un appare i l photo n e sont n i g r é l e m oteur arrêté , l 'a uto n e ra l en t i s s a i t pas. tou rb i l l on n a i t d e g a u c h e à dro i te ; o n pouva i t
a s s e z rapprochée, à savoir u n e bo u l e d e l u m i ère
éq u i pés n i e ntraînés pour photograp h i �r d e n u i t ; Il écrasa a l ors avec v i g ueur la péd a l e des fre i ns d i st i n g u er c e t a n n e a u c a r sa c o u l e ur éta i t tou­
verte q u i a évo l ué à 60 rn d'u n avi on en vo l
ou b i en l 'OVN I est l u m i n eux, et l a photo est et i l réu s s i t , enfi n , à s'arrêter. M a i s , étra n g e m e nt , j ours d i fférente d e ce l l e du reste d e l 'objet.
( R apport 1 7). I l ne nous paraît donc pas poss i b l e
a l ors poss i b l e , même avec u n appare i l s i m p l e , d 'e n tirer u n e esti mati on d u nom bre d 'observations u n e fo i s l a péd a l e l âchée , 1 'a uto s e rem i t à avan­ 4°) La soucoupe n e resta i t j a m a i s i m m o b i l e
m a i s n e p e u t d o n n er q u ' u n e tache d e l u m i ère n e mondiales, 11i a forti ori d u n o m bre d 'atterrr i s s a g e s , cer m a l gré q u e l a route fut en l é g ère montée . Pendant p l u s d e 1:3 0 , e l l e vo l t i gea en d e s s i ­
révé l a nt a u c u n d éta i l d e structure . De te l s d oc u­ a ss i m i l és a u x cas hautement étranges ( m a i s u n Pendant ce te m p s l 'objet l u m i n e ux grand i ss a i t nant u n cerc l e parfa i t d ont l a voi ture éta i t l e
m ents exi stent b e l et b i e n : une ph oto d'u n OV N I OV N I l o i nta i n peut 1 'être a u s s i p a r ses caracté­ j us q u 'au m o m e nt où , a v e c u n bond , i l p a s s a d er­ c e ntre a pparent.
posé a u s o l d e n u i t , pri se à 2 3 rn s e u l ell)e nt d e ri st i q u e s de mouvement, éventu e l l ement e nreg i s­ ri ère l a voi ture et c e l l e-c i s 'arrêta défi n i tivement. Cependa nt, e l l e n e resta i t j a m a i s à l a m ê m e
d i sta nce, a m ê m e été p u b l i ée réce m m e nt par trées au radar) . M. Traga essaya d ' ouvrir l a port i ère , l aq u e l l e sou­ ha uteur. D a n s chaque tour i l y avai t u n côté
LDLN ( 4 ) . I l s era i t de toute m a n i ère dangereux d'extra­ vri t en gra n d , c o m m e attirée par un p u i ssant sur leq u e l l a soucoupe s'a b a i s s a i t trè s près
D'autres OVNis, b i e n q u e non posés au s o l , po l er à partir de d o n n ées prove nant d 'u n e s e u l e a i mant. Il ente n d i t , e n o utre , l e pare-chocs posté­ du sol pour ensu i te s ' é l a ncer vers le haut d u
ont été ph otogra p h i é s à u n e d i sta nce n 'excédant catégor i e profess i o n ne l l e . E n effet, s i l 'o n peut r i e ur, q u i éta i t en m a uv a i s e cond i t i o n , v i brer for­ côté opposé : à u n e h a uteur d 'e nviron 1 .000
pas 200 rn , s o i t d e nuit et d o n n a nt u n contour e n core éva l u er gro ss i èrem e nt l e s chances m até­ tement, il n 'y ava i t pourtant pas de vent. M . Trag a , mètre s .
l u m i n e ux, comme à Faymonvi l l e ( Be l g i q ue ) , l e ri e l l es q u 'u n e pers o n n e voit des OVNis e n fonc­ désorm a i s etfrayé , n 'e u t p l u s l e courage d e s ortir E l l e é m etta i t u n son , u n e espèce d e bourdon­
1 9 j u i l let 1 972 ( 5 ) , s o i t même d e jour, c o m m e l e tion d e son m ét i er, comment esti m er , même va­ et i l resta dans l a voiture d urant toute l a d urée n e ment sourd , m a i s i nte n s e .
22 novem bre 1 966 d a n s I 'Orégon ( d i sta n c e esti- g ue m e nt , la te n d a n ce à révé l er u n e observat i o n du p h é n o m è n e . Vers 3 : 30 l a �oucoupe part i t a v e c u n b o n d

6- - 7 -
i m pres s i o n n ant, se d ir i g eant à u n e fo l l e vitesse q u 'e l l e resta i t e n haut, au même e n dro i t où e l l e
vers Cag l i ari , M. Traga p u t a l ors reparti r.
Au cours de l a même n u i t, i l y eut u n a utre
s'éta i t arrêtée. M a i s pour tous d e ux l e s é moti ons
n 'éta i ent pas encore term i n é e s . Arrivé s au cro i s e­
Condensé de l'article paru dans la revue Espagnole ABC (Séville) le 29-1-76
ép i sode semb l a b l e . m e nt de Z i n n i ga s , avant S i l i q u a , en regardant vers Transmis par M. DAR N A UDE Traduction de Mme A. FER N A NDEZ
le N , un autre o bj et étra nge l e ur a pparut s o u da i n ,
Protag o n i stes : M . F l or i s e t u n d e ses a m i s ; Le 26 j a n v i er 1976, M i g u e l Fernandez, 24 ans , a u-d e s s u s de moi, é m ettant q u e l q u e chose q u i m e
comme sorti d u néa nt.
M . F l or i s est gest i o n n a i re d'une g are d e s C h e­ ouvri er agricoLe , né rà B e nacazon ( Anda l o us i e) et brû l a. J e perd i s a u s s i tôt c o n n a i ssance et q u a n d
m i n de Fer Sard e s , i l est marié et père de tro i s C'éta i t u n g l ob e , d e co u l eur ora n g e , p u l sant, d o m i c i l i é d a n s ce v i l l a g e , reg a g n a i t sa m a i son à j e repri s m e s espr i ts j e m e trouva i s éte n d u de­
enfa nts . I l éta i t 2 h e ures e t q u e l q u e s m i n utes . appare m m e n t i m mobi l e , d 'u n d i am ètre a pparen t de l a n u it, venant de S a n l u c ar l a M ayor où i l avait vant m a ma i so n dont l a porte éta i t grande o uverte
Avec M . Gra m s c i l e s deux tém o i n s rou l a i e nt s ur 30 à 40 c e nt i m ètres. I l s purent l 'observer pen­ passé l a s o irée avec s a f i a ncée, Carmen A l varado et c'est là que ma s œ u r m e trouva. Je n e cessa i s
u n e Pri nz 4 L, vers l a m a i son de M . F l ori s . Dès dant environ 20 m i nute s , p u i s il com m e nça à pâ l ir Sa e n z . d e cri er " Ferme l a porte l 'éto i l e v a entrer ! "·

q u' i l s fure nt s ort i s d u vi l lage d e V i l l amassargi a , et i l d i sparut s u r p l ace, comme s ' i l s 'éta i t i m­ I l chanto nnait pour que l e chem i n soit p l u s M i g u e l fut cond u i t à l'hôpita l San Lazaro et
mergé d a n s d u bro u i l l ard . Cependant l e c i e l éta i t .
à environ 3 k m , i l s aperçure nt devant e u x , d a n s l e co urt e t q ua n d i l n e l e fa i sa i t p a s i l pensait à s a exa m i n é par un médec i n q u i d é c l ara que l orsq u e
c i e l , u n e l u m i ère u n p e u p l us gra n d e q u 'u n e p u r e t a b s e n t d e tout nuage . I l éta i t a l ors 4 : 00 f i a ncée. I l éta i t près d e m i n u i t e t d e m i e t i l y ava it l 'on avait e n l evé l a s u i e q u i recouvra i t l e v i sage
éto i l e et e n mouveme nt. M . F l ori s , e n ra l e ntissant, du mati n . M . F l or i s et son compag n o n éta i e n t à •
d u jeune homme on ava i t trouvé l e s poi l s d e la
u n c l a i r d e l u n e s p l e n d i d e.
d i t : " R egard e , l es M art i e n s arrivent ! ,, - et, 5 km de l e ur desti nati on ( l a gare de U ta), q u a n d barbe et d e s mou staches rouss i s , a i ns i q u e le
Tout à coup le j e u n e h o m m e aperçut c o m me
par j e u , ·i l f i t u n appel d e phare s . L'objet l u m i­ l a l u m i ère des p h ares é c l a i ra à m o i n s d e 1 00 me­ côté dro i t d u v i s a g e , d e m ê m e q u e l es paumes
u n e grosse " éto i l e " q u i a l l a i t très vite. I l pour­
neux •• répond i t " en émanant un f i n é c l a ir d e tres une vag u e forme obsc ure q u i o c c u p a i t pres­ des d e ux m a i n s .
s u i v i t son ch e m i n p u i s i l rev i t l 'objet à no uveau
l u m i ère b l e uâtre , et e n s'abaissant rap i d e m e nt que toute la c h a ussée . Ses co nto urs éta i e n t m a l Le médeci n psyc h i atre q u i eut à exa m i n er l e
et e n core u n e fo i s e l l e d i sparut. Cette fois l e
vers l 'auto d a n s u n e traj ecto ire vert i ca l e . Le m o­ défi n i s et on pouva i t c�o ire à u n c a m i o n renversé. j e u n e h o m m e l e trouva très exc i té e t l e s o i g n a
· j e u n e hom m e , i n q u i et , pressa l e p a s .
teur c o m m e nça a l ors à d o n ner d e s à-coups et l a Dans la d irect i o n opposée d'a utres voiture s arri· e n conséquence m a i s l e j u gea parfa itement s a i n
vère nt. Sans d o ute l es c o n d u cte urs ava i e nt aperçu U n q u art d'he ure a près sa d e u x i è m e a ppar i t i o n
v i tesse à d i m i n uer. Après avo ir rou l é encore 200 d 'esprit.
l 'objet encombrant la route car i l s fa i s a i e n t des l 'éto i l e rev i nt et cette fo i s se posa a u s o l à 2 rn
m ètres le moteur c a l a et toutes les l u m i ères CONCLUSIONS: Le mystère reste entier m a i s
appels d e p h ares. du j e u n e h o m m e ( l 'atterr i ssage eut l i e u au cro i se­
s'éte i g n irent, y c o m pri s c e l l es d u tab l ea u d e bord . ce q u i e s t certa i n c 'est q u e l e l i t n o 2 8 d e l a
m e nt de deux route s , près de la g are de Bena­
En pro i e à u n e certa i n e émoti o n , l es deux té­ M . F l ori s réd u i s i t l a v i tess e . A u n m o m e n t s a l l e d e l a M i rac u l osa à l 'hôpita l San Lazaro est
cazon).
m o i n s m i rent p i ed à terre. L'obj et éta i t à présent d o n n é i l eut l'i m pre s s i o n q u e l a form e se d é p l a­ occupé par c e l u i qui dit avoir été v i ct i m e des
L'appare i l ressem b l a it à " une c a b i n e tél épho­
pas p l us haut q u e 50 mètres . Il éta i t d e cou l eur ç a i t sur un côté en sortant l e ntement de l a route . extraterrestre s .
n i q u e sur tro i s p i ed s , et l e témo i n re marq ua
b l a n c l a i te ux- s e m b l a b l e à une l am p e a u néon - De toute faço n , en arrivant à l 'e ndro i t pré s u m é , i l M i g u e l Fern andez affi rme q u e deux d e ses a m i s
un feu tournant rouge et b l a n c a u-dessus de
i l ava i t u n e forme d i scoïd a l e très écrasé e . D i a­ n'y ava i t p l u s ri e n . L e s a utres voi tures arri vèrent D i ego et M a n u e l Suarez o n t e u x a ussi vu d e s
l'eng i n .
mètre a pparent : 1 m ètre. aussi e n ro u l ant l e ntement. M. F l ori s , croyant à OVNis et q u e ce l a e s t fré q u e n t d a n s l es e nvirons
Deux .. h o m m es , e n sortirent, vêtus comme
Leur émotion se tra nsform a en p e ur q u a n d i l s u n cam i o n q u i ava i t pu sortir de l a route ou avo i r l e s " h o m m es grenou i l l e s " et il vou l urent parl er d e son v i l l a g e .
virent q u e , m a l gré l e m a n q u e d e vent, e n corres­ pri s u n chem i n rura l , s'arrêta , pour e n avo i r l e à Fern andez, q u i n e l e s comprit pas . I l s ava i ent I l e s t à noter q u e l e prêtre Don E n r i q u e Lapez
pondance avec la p o s i t i o n du d i sq u e , un to urb i l l o n c œ ur n et. I l n'y ava i t poi nt d e c h e m i n , l e c h a m p à l a tai l l e u n c e i nturon avec a u m i l i eu une petite G u errero , c uré de M a irena del A l cor, pass i o n n é
d e v e n t ava i t pri s forme , l eq u e l ava i t sou l ev é à q u i l on g e a i t l a route éta i t b e a u c o u p tro p bas pour l u m i ère . par l e prob l è m e d e s OVNis , a d é c l aré a u x j our­
u n e ha uteur de 3 m ètres des petits b u i ss o n s , des permettre u n e m a n œuvre et pour s orti r ou se R etrouvant ses esprits , M igue l , effrayé, se sau­ n a l i stes q u ' i l con n a i s s a i t de n o m breux cas et q u e
branches sèches, dont certa i n es assez gra n d e s , tourner, il éta i t l abouré de fra i s. va .. p l u s v i te que le vent ,_
cette z o n e de Basse Anda l o u s i e éta i t l e th éâtre
et l e t o u t tourb i l l o n n a i t . O n ente n d a i t , e n o utre , M . F l or i s a b i en pré c i s é q u 'a u s s i b i e n ses l u­ I l d é c l ara par l a s u i te : d e n o m breuses observati o ns.
un fort bourdonnement, s e m b l a b l e à u n essa i m m i ères q u e c e l l e s d e s a utres vo i tures ava i ent •• J 'e nte n d i s l e bru i t de m oteurs p u i ssa nts et ( Traduction A. Fern a n d e z , d 'a près l 'art i c l e d e
d 'a be i l l e s . L a s o u c o u p e , avec u n bru s q u e mouve­ i l l u m i n é l 'obj et et pourta nt il lui éta i t i mposs i b l e en tournant l a tête je v i s q u e l 'OVN I se trouva i t B e n i g no G o nz a l ez).
ment, passa d e l eur gauche à l e ur dro i te . Les d e pré c i ser u n e forme b i e n défi n i e . A u c u n e r u m e u r
deux h o m m e s , d e p l us en p l us ape urés , courure nt
a l ors vers u n petit hameau avec l 'i ntention d e
n e f u t ente n d u e . Q u a n t M . M etta se ren d i t sur l es Nouvelles d'Espagne
l i eux pour y c h ercher d e s traces, i l ne trouva r i en
frapper à l a pre m i ère porte , m a i s l a présence d e sur le ta l us et l es herbe s , très haute s , s e m b l a i e nt Transmis par M. DA R N A UDE
c h i e n s , q u i a boya i ent, l e s i nc i tère nt à n e pas n orm a l e s . Toutefo i s , s ur l 'asphalte, il y ava i t u n e PROVINCE DE SEVILLA: CARRETERA DE OLIVA­ ( E n q u ête d e Jose Ort i z Polo et Joaq u i n M ateos
s 'approcher et à se l i m i ter à cri er a u secours. espèce d e l i g n e q u i parta i t d u ce ntre d e l a chaus­ RES; 29 janvier 1975 à 19: 1 5. N o g a l es).
Pers o n n e n e répond i t. I l s restèrent i m m ob i l e s sée et se pro l on g e a i t s ur l e bord d e l a route . Cipriano Olea Carmona se trouvait sur son
p e n d a nt u n e v i ngta i n e d e m i n utes p u i s , profitant C ette l i g n e s e m b l a i t être composée par d e s peti­ tracteur, finissant de labourer, au moment de PROVINCE DE SEVILLA: sur la route de GERENA;
d'u n i nstant où l a soucoupe s 'éta i t u n p e u é l o i ­ tes b u l l e s d e goudron ( écrasées e ntre tem p s par l'observation. La nuit venait de tomber, il avait 26 avril 1975 à 23: 00.
g n é e , i l s coururent vers l a voiture . I l s l a retour­ le passage d 'autres voitures). M a l gré l e s efforts déjà allumé ses phares quand il vit venir de I'E, Cecilia Gomez et Antonio Nunez se déplaçaient
nèrent en l a poussant et profitant q u e l a route d é p l oyés, M . M etta ne put retrouver l e s a utres allant vers l'O. un objet dans le ciel, qu'il prit dès en voiture, venant de Gerena, allant à Santiponce,
éta i t en pe nte i l s réu s s i rent à s ' é l o i g n er d u l i e u . conducte urs . Q u e l q u e s photos pr i ses d e la chaus­ J'abord pour un avion. Au fur et à mesure que près de Séville. Ils aperçurent dans le ciel un
I l s re m i rpr'Jt l e moteur en marche et i l s fi l èrent sée n e don nèrent r i en. l'objet se rapprochait il se rendit compte qu'il objet allongé brillant intensément, de couleur
vers V i l l a massarg i a . M a i s l 'obj et mystér i e u x red es­ Sur ma d e m a n de. l'a m i M etta a e ffectué une avait fait erreur. If ne voyait à ce moment-là que rouge, et qui était stationnaire. Ifs arrivèrent sur
c e n d i t v i te sur eux. La vo i ture resta b l oq uée u ne p ost-e n q uête pour connaître , u n a n après , l e s deux lumières de couleur rose-bleuâtre. la route à la verticale de l'objet et arrêtèrent leur
d e u x i è m e fo i s -aveoc p a n n e de to ut l e c ircu i t é l e c­ s u i tes poss i b l es , sur l e s témo i n s, d e c ette extra­ L'objet arriva à sa verticale et s'arrêta brusque­ voiture pour mieux observer le phénomène. A ce
tri q u e . I l s sortirent u n e nouve l l e foi s de l a voi­ ord i n a ire ave nture . ment tout en commençant à descendre lentement. moment précis arriva sur la route venant de la
ture et i l s courure nt se cacher entre les n o m breux direction opposée (de Santiponce), une voiture
M . F l or i s est parfa i te ment n orm a l . I l ne se Effrayé, Cipriano décida d'arrêter le tracteur et
b u i sson s . I l s restère n t a i n s i cachés j us q u 'à c e d'éteindre les phares. L'objet continua à descen­ R. 12, avec deux couples, qui s'arrêta également
q u ' i l s aperçurent l e s phares d 'u n e voi ture q u i pose a ucun- prob l è m e mora l ou m étap hys i q u e et
dre pour arriver à 10 ou 15 m du sol et à 50 m pour observer le spectacle.
s 'aoprocha i t. L a soucoupe commença a l ors à ne souffre d 'a u c u n trau matisme.
du témoin. Stabilisé, l'objet émit une puissante A la grande surprise des témoins, l'objet des­
s ' é l ever. Le mouvement ascens i o n n e l n 'éta i t pas Son pas sager, M. Gram s c i , s 'est mari é et vit cendit vers eux en piqué. Paniqués, ceux-ci s'en­
lumière circulaire de couleur jaune, qui éclaira in­
vert i c a l m a i s o b l i q u e . I l s retournère nt une f o i s actu e l l em e nt sur l e conti n e nt . Lu i non p l u s n e res­ fuirent précipitamment vers Gerena (l'une des
tensément le sol et resta dans cette position
e ncore à l a voiture p o u r repre ndre l a bonne d i rec­ sent ri e n . voitures changea de direction sur place). Pendant
pendant une minute.
t i o n vers S i l i qua et i l s d épassèrent 1 'autre voiture , M. Traga souffre d 'u n e arthrose q u i , d e toute Soudain, l'objet s'éleva très haut dans le ciel, le court trajet de 3 km, nos automobilistes furent
u n e F i at 500, i m matri c u l ée à Sassari . ( M . F l or i s évidence, n'est pas u n mal .. ufo l o g i q u e Donc, suivis de près par l'objet. If était si près que son
"· pendant que la grande lumière s'éteignait et que
re m a rqua o u e cette voiture se m b l a i t avo i r d e s i l s e m b l e b i e n q u'i l s soie nt d e s pers o n n es nor­ se rallumaient les deux petites lumières. Puis le éclat lumineux éblouissait les conducteurs. En
e n n u i s d 'a l l u mage). m a l e s . A utre c h o s e , sou l i g n ée par n otre e n q uê­ même processus recommença: descente, allumage arrivant à une station-service la puissante lumière
En tournant la tête , l e s d eux témoi n s v i rent teur, i l s n'ont j a m a i s vu d 'autres obj ets mysté­ du grand feu et l'objet disparut définitivement. La disparut vers /'E.
q u e la soucoupe ava i t cessé d e les s u i vre et rieux, m ê m e pas la p l u s petite l u m i ère . double manœuvre avait duré 5 à 6 minutes. ( S u i te page 1 0 )

8- - 9 -
AMÉ RJ:QUE DU SUD . Traduction : M ichel B A l LON DISQUE LUMINEUX ENORME DANS LE CIEL DE FOIX CAriège) 5-3-1 974
Enquête de Casimi r et M adeleine GABAR R E
'' Ultima Hora '' • 1 0 septembre 1975 : '' La Razon ,, , 4 août 1 975 :
R i o de J a n e iro . - Tro i s étu d i a nts affirment Antofagasta ( C h i l i ) . - U n o bj et vo l a n t non
avo i r été pours u i v i s par u n d i s q u e vo l an t a l ors L e 5 m ars au m ati n , j e v e n a i s d e m o n do m i c i l e
i d enti f i é a été o bservé l a nuit d erni ère par des
q u 'i l s reve n a i e n t d e l 'éco l e e n b i cycl ette , à 22 : 00 , vers Fo i x , pour y prendre m o n trava i l d 'a m b u l ant
étud i a nts d e c ette vi l l e , s ituée à 1.400 k m a u N
vendredi d ern i er, s u r u n e route à l taperu na ( à P .T .T . , porte ur d e sacs postaux sur Pa m i ers, Saver­
de Santi ag o . D 'a près l e s tém o i n s , l 'OVN I ava i t l a
2 5 0 km a u N - E d e R i o d e J a n e i ro ) . L 'obj et p u t être d u n , Lézat ; j e circ u l a i s e n a uto sur l a N 2 0 . E n
form e d 'u n c i gare e t e nvoya i t d e s é c l a irs m u lti­
ph otogra ph i é par un amateur. arri vant a u v i rage d e R i e u courtè s , à l a sort i e S
c o l ores avec u n e d o m i na nte d 'ora n g é . L ' OV N I s ' i m­
de Foix, j 'a i aperçu souda i n a u-d essus des to urs
Adao Ch ari f, d e M ed e iros ( 2 1 a n s ) , J a n ecy mobi l i s a u n m o m e nt au sommet d 'u n e c o l l i n e . U n
comta l e s du château d e Foix, p l u s pré c i s é m e nt
Fernando Lima ( 18 a n s ) et José R oberto , d e Sousa vendeur d e j o urnaux remarq ua u n e forte odeur d e
a u-d essus de l a c o l l i n e d u Sai nt-Sa uveur, u n é n or­
Pere ira ( 18 an s ) , virent d a n s l e c i e l '' u n e gra n d e " prod u i t c h i m i q u e a l ors q u ' i l éta i t s ur l e poi nt
11 ,
me d i sq u e aux co ntours très nets , de c o u l eur
l u m i no s i té s u i v i e d e l 'apparition d 'étra nges obj ets d 'a l l er cherc h er l es j o urnaux . '' Mes yeux se rem­
ora n g e , douce et s u pporta b l e à l a v u e . Dans la
vo l a n t e n rase-m ottes », ce q u i les o b l i ge a à p l irent d e l armes , pendant que j e senta i s u n e
n u i t sans éto i l e s et sans l u n e , mais a u s s i sans
abandon n er l e ur b i cyc l ette pour se réfug i er s o u s d o u l e ur d a n s l e n e z d i t-i l . U n coup l e affirme
»,
bro u i l l ard , il éta i t l égèrement i n c l ip é et para i ssait
u n p o n t . M . B o e c h a t B uri , q u i ava i t a u s s i v u q u e tout le secteur b a i g n a i t dans une l u m i n o s i té
p arfa itement i m m ob i l e . Il se présenta i t avec tro i s
1 'étrange l u m i nosité, e nten d i t l e s cri s des étu­ de coul e ur j a u n e-ora n g é . Certa i n s témo i n s se pré­
ou q uatre tac hes d ' u n n o i r u n p e u f l o u e t vapo­
d i ants et se p orta à l e ur secours . " U l t i m a H ora 11 c i p i tère nt vers la co l l i n e a u-dessus d e l aq u e l l e
re u x .
p u b l i e u n e ph otograph i e représentant u n cerc l e s e tro uva i t 1 'OV N I . Qu e l q ues secondes p l u s tard ,
l u m i neux d a n s l e c i e l éto i l é , fa i te par u n p hotogra­ l 'a ppare i l part i t tout dro i t vers l e Pac i f i q u e .
phe amateur. " L a Razon », 7 août 1975 : • • •
Antofagasta ( O h i l i ) . - M . R i card o Vi l l a n neva l ueur b l e u e osci l l ante . Effrayé e , e l l e se cacha d a n s
Suite de l a page 9 : ESPAG N E (36 a n s ) et son épouse, M m e M argar i ta Ard i l e s l a vég état i o n , m a i s l a l u eur a u g m e nta d ' i nte n s i té ,
L e s s i x personnes o n t fait u n e déposition au ( 3 2 a n s ) prétendent avo i r été pours u i v i s p a r u n o b l i geant l a petite fi l l e à re ntrer c h e z e l l e o ù
commandant de la garde civile de Gerena. Ils OVN I . L e s faits se sont d éro u l és l u n d i d ern i e r e l l e arriva l e s yeux i nj ectés d e s a n g e t l e corps
allèrent sur les lieux et ne virent rien d 'autre que vers 04 : 00 d a n s l a rég i on d e Agaras Verd a d e s , à trè s chaud .
la lune. Mais d 'après le commandant, que nous 300 km au S de A ntofagasta.
" A u d é but, j e vis une s orte d 'aéro l i th e , m a i s A R G E NTI � E
avons vu, l 'état de frayeur indiquait bien que les
six témoins avaient dû voir quelque chose q ue l l e n e f u t pas m a s u prise q uand j e v i s a ppa­ MENDOZA ( E l Territorio Resistencia
cc '' • Chaco,
d'étrange. raître d 'a utres o bj ets d é c l are M me M argarita .
», 26 septembre 1975) :
( En q u ête d e Joaq u i n E l l e ajouta : " M o n mari me d i t en p l a i sa ntant : c e U n lycéen réussit acc i d ente l l e m e nt à photogra­
M ateos N o g a l e s et José
O rt i z P o l o ) . sont d e s s o u c o u p e s vol a ntes M . V i l l a n neva
11 . p h i er en c o u l eur un obj et c ircu l a i re , q u e l 'Asso­
raconta que son ton iron i q u e se tra nsforma rapi­ c i ation d e s Am i s de l 'Astro n o m i e c o n s i dère c o m­
ETRANGE DISPARITION EN ESPA GNE. m e étant un OV N I . La p h otograph i e fut pri se l e
d e m e nt e n une étrange sensation d e cra i nte . I l
La ·r édaction de cette affaire a été réalisée ajouta : " Dès q u e j e m e m i s à acc é l érer, 1 ' u n 4 septem bre 1 975 par R oberto Ari e l N u n e z . I l
par M. Baï/on à partir des journaux suivants : éta i t 13 : 4 5 , raconte-t-i l , l orsq u e ma mère m e fit
d e s obj ets , q u i s e m b l a i t être attiré p a r l e s p h ares
Puebla, ABC, El Correo de Anada/ucia, El Casa, La remarq u er d 'étra nges obj ets s e m b l a n t fl otter dans
de la cam i o n nette , desce n d i t à u n e vitesse i n­
Vanguardia, Sol de Espana, des 22, 23, 24 septem­ l e c i e l . J e pri s mon appare i l photo , charg é e n Très é m u par l ' irré a l i té d e c e p h e n o m e n e
croya b l e . M o n épouse poussa un cri et se serra
bre 1975. contre moi . L'eng i n n 'ava i t pas la form e d 'u n d i s­ fi l m cou l e ur, et c 'e st a " e c éto n n em e nt q u e d a n s étra n g e , q u e j e n 'arriva i s pas à m 'exp l i q u er, j e
Carmen Ramera Escalante, 13 ans, habitant 4, q u e . C 'éta i t u n e sorte de gra n d e bou l e de feu l e j ard i n j e v i s fl otter e n l 'air, s e d é p l açant d 'E n 'a i pas songé à m 'arrêter. J e rou l a i s e n seco n d e ,
rue Santa A na, Teba (province de Malaga) , était é norm é m e nt l u m i n e u s e , d e c o u l e ur orangée . E l l e en 0, s i x d i sq u es i d enti q u e s . J 'uti l i s a i s ce q u i conte m p l a nt ce spectac l e m ag n i fi q u e q u i s urpas­
assise devant la porte de sa maison quand elle s e p l aça d erri ère l a c a m i o n n ette à e nviron 30 m , m e resta i t d e pe l l i c u l e . Les o bj ets o n t parcouru s a i t les p l u s beaux couchers d e sol e i l . Je me
vit briller un objet posé devant elle sur Je sol. s ur l e bord d e l a route . J 'accé l éra i s encore d avan­ e n 10 m i n utes l 'espace v i s i b l e d e l 'h orizon j u s­ senta i s tout d e même des fourm i s dans les j a m­
Surprise, mais poussée par la curiosité, elle se tage pendant q u e mon épouse s e protég e a i t l e q u 'à l a Cord i l l ère d e s A n d e s , avec G od oy Cruz a u bes, tout en j ugeant q u e l e château ...fort e n t i er
leva et essaya de ramasser J 'objet. v i sage d e s e s m a i n s . J e v i s l 'obj et d a n s l e rétro­ c e ntre . I l s éta i ent d e co u l e ur m éta l l i q u e très 'l u­ conti e ndra i t dans ce g i gantesque va i ssea u , q u i
Carmen disparut aussitôt, pour ne réapparaÎtre v i s e ur et je fus é b l o u i pendant un m o m e nt . L'OVN I m i n e u s e . I l s pre n a i e n t parfoi s des p o s i t i o n s o b l i­ aura i t e u d u m a l à atterrir s u r n otre stade d e l a
que 22 heures plus tard, sans se souvenir de ce n o u s s u i va i t . C 'est là q u e j 'eus vra i m e nt p e u r . q u e s p u i s revenai ent à 1 'horizo nta l e . Cond a m i n e .
qui s 'était passé entre temps. Elle sait qu 'elle a Sou d a i n , l 'OVN I s ' é l eva très rap i de m e n t j us q u 'à J e n 'a i pas e n t e n d u l e m o i n dre bru it. A u con­
été ramenée chez elle en voiture par un homme C H I LI tra ire , i l rég n a i t u n s i l ence l o urd , comme si l a
ce q u 'o n ne vit p l u s q u ' u n poi nt, p u i s d i s parut
SANTIA GO (
».

barbu et blond, accompagné d 'une femme blonde. « Ultima Haras , de Buenos Aires) : nature part i c i pait à cette étra nge a ppari t i o n .
La femme, qui était la seule à parler espagnol, B R ES I L L 'Acad é m i e de psycho l o g i e étu d i era l e p h éno­ J e 1 'ai perd u d e vue q u a n d l e s h a b i tati on s d e
annonça à Carmen qu 'ils auraient J 'occasion de se FORTA LEZA ( cc La Razon )) , 27 octobre 1975) : m è n e s u i vant l e q u e l tro i s j e u n e s étud i ants ·perd i­ l a vi l l e l 'ont masqué à m o n regard . E n arrivant
revoir. Les habitants de l a vi l l e de Sao G o n d o l a d e rent bru s q u e m e nt l 'usage d e l 'espag no·l pour s ' ex­ à l a poste , j 'en a i par l é à mes co l l èg ues d e tra­
Pendant ces 22 heures tout Je village se lança Amarante, à 50 k m d e Amarante , se réfu g i ent pr i m er d a n s u n e l a n g u e parfa item�nt i n con n u e . va i l . N ou s sommes sort i s e n s e m b l e sur le C h a m p
à la recherche de Carmen. La Garde civile s 'était dans l e ur m a i s o n à la tombée d e la n u i t à cause A ces c a s s 'ajoute c e l u i d e R i ôs , éga l em e nt é l ève d e M ars , m a i s d e l à 1 'observati on éta i t i m possi­
mise, en vain, à battre la campagne et même à d e s rég u l i ères a ppari t i o n s d 'u n e ,, soucoupe vo­ a u l ycée d e San J o s é de M a i po , vi l l e à 30 km b l e . N ou s sommes a l ors a l l és e n voiture sur l a
vider un puits dans lequel elle aurait pu tomber. l a nte 11q u i , s e l o n l e s témo i ns , attaque l e s gens a u N-0 de Santiago. Fra n c i sco Cord era , d i recteur N 2 0 , vers Pam i ers , j us q u ' à . la sort i e d e F o i x ,
Le témoin fut par la suite examiné par un méde­ avec u n rayon. L'obj et émet U!l e forte l u eur b l eue d e l 'Acad é m i e des études p s i , dit que l e cas res­ m a i s l 'e n g i n ava i t d i sparu .
cin qui lui fit des analyses de sang, d'urine, etc ... para lysant ceux qui e n sont i l l u m i n é s , c o m m e s e m b l a it à des j eux d 'e n fa nts q u i tendaient à Q u e l q u e s i n stants a près m o n trava i l m 'a con­
avec des résultats normaux. Carmen était en c e l a s 'est pro d u i t samed i a v e c u n h o m m e . L a i nventer u n l a ngage pour échapper à l a réa l i té d u i t e n g are d e Pa m i ers , vi d er d e s sacs postaux.
parfaite santé mais très nerveuse. Carmen n 'a v i cti m e sera i t e n d anger d e mort à l a s u i te d e l a q u oti d i e n n e , et q u ' i'l deva i t s 'a g i r d ' u n p h é n o m è n e I l éta i t 5 : 30 q u a n d j 'y suis arrivé. D e ux e m p l oyés
pas la réputation d 'aimer la fantaisie et d 'après gravité d e s brû l ures s ur son corp s . L'avocat Joa d e cro i ssance. Ce q u i s urpre n d l e p l us e st q u e éta i e n t là, aussi émus que m o i .
ceux qui J 'entourent elle n 'a jamais cru aux L u c i a n o G u a l berto , h a b i tant l a l oc a l ité, a i n­ ces e nfants n 'arrivent p a s à se faire c o m pre n dre - As-tu vu l 'OVN I ?
OVNis ou aux extraterrestres. formé q u e l a soucoupe fa i t son appar i t i o n a près m a l gré to u s l eurs effort s . Par contre , V i rg i n i a N o u s éti ons tro i s tém o i n s d u même p h é n o­
N . D . L . R . - Un fait divers où sont mêlés les 18 : 00 ( 2 1 : 00 G MT) et s 'arrête fré q u e m m e n t a u­ R i os par l e u n e sorte d e m é l a n g e d ' i ta l i e n , d e m è n e , q u i reste pour m o i h u m a i n em e nt i nexp l i­
OVNIS:: . l 'imagination travaille chaque fois qu 'un dessus de l a m ê m e p l ac e , comme c e l a est confir­ basque et d 'espag n o l , d 'où i l apparaît q u e l a n u it cab l e . Pendant d e ux j ou rs , m o i q u i s u i s ord i na ire­
fait inexplicable se produit. Cette disparition est mé par p l u s i e urs témo i n s . e l l e par l e avec D i e u , q u i l � i réyé l a ,, q u e j e d eva i s m e nt c a l m e , je n 'a i pu j o uer de la g u i tare , ce q u i
étrange, mais oeut-être y a-t-il une autre explica­ U n e e nfant, q u i se b a i g n a i t d a n s u n e r i v i ère , m e convertir à 'l 'Eva ng i l e e t l e prêc h er a u reste e s t m o n d é l assement d e préd i l ecti o n .
tion que les OVNis. ressentit u n e s orte de brû l ure et aperçut u n e des m orte l s "· (Suite b a s de page 12)
• • •

10 - - 11 -
ENQUETE, le 19 Octobre 1975 en HAUTE-GARONNE M . Bouas est i m era l 'objet à 7 ou 8 m de long
et d e 3 à 4 m d e hauteur. Contra irement à la
environ 1 0 seco ndes. Le véh i cu l e éta i t à l 'a r rêt et
l e poste éte i nt.
par G i l l es CATTIAU bou l e q u ' i l a vu arri ver, c 'est u n ba l l on d e
« Il s e m b l e ra i t q u ' i l se d éro u l e dans notre rég i o n
rugby , q u i éta it p o s é d evant l u i d a n s l e cha m p. u n b i e n curi eux p h é n o m è n e .
Le tém o i n ne s a i t si l orsq u ' i l est arrivé au l i eu Le témoin : i l est b i e n évident q u e 1 'espace
Enquêteur : G i l l e s C atti a u . d e son observati o n , dans l a h a i e , c'est l a peur d'u n e e n q uête , je n e p u i s c o n n aître l a person n a l i té
Le témoin : Pau l D o u a s . q u i l 'a para l ys é , m a i s i i est tom b é , s e l o n sa d 'u n i n d i v i d u . Je ne p u i s q u'en dégager d e s i m­
Age : 32 a n s . propre express i o n , comme u n c h i e n à 1 'arrêt ..
«
pres s i o n s . M . Bouas m'est a pparu comme u n hom­
Profession : magas i n i er à M uret ( 3 1) . à l a vue de l 'objet posé. m e s e n s é dans son réc i t . Tro i s a n s n'ava i e nt en
A u c u n e m a l a d i e m e nta l e .
Lors q u e l 'o bj et fut pa rti , M. Bouas se d i ri gea r i e n a l téré sa mémoi re q uant à ses a n c i e n n e s
N e porte p a s d e l u n ettes.
e n tre m b l ant vers son véh i c u l e , s e m u n i t d ' u n e aventure s . P l u s i e u rs foi s i l confirma ses d i res ,
C é l i bata ire . H a b i te chez ses p a re nts.
torc he et, pre n a n t son courage à d e ux m a i n s , a l l a préc i sant fort b i e n l e s d éta i l s d e s o n observat i o n .
Les faits : 1 'observati o n remonte à l a m i-février
vers l 'endro i t s u pposé de l 'atterri ssage. A u c u n e L e té m o i n s'avou era '' c h o q u é •• et d i ra avoir l a
1972 .
trace v i s i b l e . Le tém o i n re ntra a l ors chez I U J e t c h a i r d e pou l e c h a q u e f o i s q u'i l se remé more l es
Situation : s ur l a D 1 2 , e ntre Lagard e l l e-s u r­
n e souff l a m ot à personne d e son aventure. fa i t s . I l n 'ose p l u s se pro m e n er l a n u i t , m ê m e à
Lèze et l e carrefour D 12- R N 2 0 .
l'h e ure actue l l e . Cependant i l s o u h a itera i t trouver
Ciel : co uvert a v e c d e t e m p s à a utre u n d éga­ Il fa l l ut atte ndre l 'ave nture d e M. Cyru s pour des perso n n es courageuses pour '' patro u i l ier ••
g e m e nt ; l e té m o i n affirm era q u 'a u c u n e étoi l e que le tém o i n par l e ( tro i s ans ! ) . Cependant, d a n s l a campagne à l a recherc h e d u mysté r i eux
n'éta i t v i s i b l e . l 'ave nture d e M. Bouas ne deva i t pas s 'arrêter p h é n o m è n e . Sa peur se tra d u i t par cette q u estion :
Heure : 0 : 30 . l à et il deva i t être l 'objet ( co m m e déjà c e l a s'est croyez-vous q u e s i on l u i tire d e s s u s cette chose
LES C I HCO N STA N C ES pro d u i t dans tro i s cas d e l a rég i o n ) d'u n e curieu­ n e boug era pas ? ( M . Bouas est chasseur) .
M . Pau l B o u a s , ne trava i l l a nt pas en ce s a m e d i se aventure. De p l u s , i l m 'est a pparu très i ntri g u é par l e s
( d ate non pré c i s é e ) d e l a m i -févri er, d é c i d e de
En effet, M. Bouas ( d ate non pré c i s ée ) , s o i t prove nances e t l es buts d e c ette chose . I l m e
se d é l asser et d 'a l l er vo i r u n ca marade h a b i tant
s e m b l e i l l u m i née d e l'i ntéri e ur e t l es tré p i ed s e n j u i n o u j u i I l et, donc c i nq o u s i x m o i s après p o s a d e n o m bre uses q u es t i o n s s u r notre g ro u pe­
Aurevi l l e . Pour ce fa ire , l u i-m ê m e h a b i tant à M u­
s e m b l e n t l u m i n eux eux auss i . Dessous, u n e bou l e son observati o n , reve n a i t d e Revel vers Tou l o use m ent e.t m e d e m a n d a à p l u s i eurs repri ses si on
ret , i l e m pru nte la D 1 2 con d u i sant à Aurevi l l e , sava i t q u e l q u e chose sur le suj et.
et passera d e ce fa it d evant l 'e n dro i t d e son l u m i neuse paraît accrochée . L a l u m i ère b l afarde , avec u n ami (le véh i c u l e éta i t à son a m i ) , l ors­
observati on qui se d éro u l era au retour, c e l u i-ci p l us l u m i neuse qu'une soudure à 1 'arc , est i n sou­ qu'i l s e urent la curieuse s urpr i s e d'ente ndre des J e dois pré c i s e r que l orsq u e je rencontra i s
ayant e mprunté la même rou te pour reve n i r chez te nab l e pour l e s yeux ; u n i n stant a l ors tout vo i x q u i é m a n a i ent ... d u ha ut-parl e ur d e 1 'auto­ M . Pa u l Bouas, i l éta i t e n tra i n d e j o uer à l a
l u i. rad i o , q u i éta i t éte i nt ! I n uti l e de vou s d écri re l a be l ote d a n s u n café avec d e s camarad e s . I l
,,..�..�.If, s urpri se â e s deux h o m m e s , q u i en r i rent p l u s n 'h é s i ta p a s u n e seconde à m e parl er e t d evant
A u retour d o n c , l e té m o i n c o n d u i sant son vé­
h i c u l e ( Aronde " Eto i l e ) éprouve u n beso i n de
» ,
q u ' i l s n'en e urent p e u r . Les v o i x ( p u i sq u'i l y e n m o n h é s i tati o n à e nregi strer sa déposition au
p l u s nature l d e fa i re " sa grosse com m i s s i on " ·
ava i t p l u s i e urs , s e m b l e-t-i l ) éta i e n t c o m p l ètement m i l i e u d e ce t u m u lte, il d é c i d a d e m 'accompag n e r
I l d é c i d e donc d e s 'arrêter e t mach i na l e m e nt re­ i ncompré h e n s i b l es et n e fure nt ass i m i l ées à au­ à m o n vé h i c u l e et, content d e par l er , d e se confi e r
garde sa mo ntre : i l est 0 : 30 . cun l a ngage connu ! Le '' festi v a l d e vo i x ,, d ura enfi n , m'amena sur l e s l i e ux m ê mes .
L e tém o i n g are son véh i c u l e et l a i sse l e s feux
de pos i t i o n a l l u m é s . Il se d i r i g e a l ors vers un
e n d ro i t e n contre-bas d e l a route , l e long d'u n e Da n s l e Ta rn e ntre ca stres et Réa l m o nt
h a i e , et s'apprête à sati sfa ire son beso i n , l orsq u e Le 1 2 M a i 1 974 ( M i c h e l i n 82 p l i 1 0 et 83 p l i 1 >
face à l u i , d a n s l e c i e l , émergeant d e s n uages
Enquêteurs : J.-L. VIDAL et M . COUZI N I E
( a l t i tude e nv iron 2 .000 m ou 2 .500 m e nv i ron s e l o n
l e témo i n ) u n e bou l e b l anche " comme u n ba l l o n Nous avons e u connaissance de cette observa­ Contest. Dominant ainsi les environs immédiats
de footba l l " • d e s c e n d vers l u i e n q u e lq ues secon­ tion qu'au début de 75 et par suite de la réorga­ les témoins pouvaient voir la petite ville de Réal­
des , fa i t u n e m a n œ u vre et « se m b l e
•• a l l er se nisation de notre groupe du Tarn, J 'enquête a été mont, baignée d 'une lumière rouge orangée. Cela
poser derr i ère l a haie contre l aq u e l l e se tro u ve effectuée en avril et mai 75 ; un complément dura quelques minutes puis tout disparut brus­
le témo i n . d 'enquête a eu lieu en juin. quement et les cars continuèrent leur route . . .
L e tém o i n pre nd peur e t i l rev i e nt vers l a !) è. � ;L s d..t. Lieu : sur la N 1 1 8, entre Castres et Réa/mont. Nous relatons ici le récit de M. A . . . , témoin
route et se rabat vers l a h a i e pour observer l a absolument digne de foi, occupant un poste im­
1' objQ.t Les témoins interrogés habitent tous la région
portant dans le département, qui rentrant à pied
c h o s e q u i v i e n t d e se poser. et se trouvent à l'intérieur de deux cars les
" Elle •• est là, à 70-80 m d e l u i , e n p l e i n à son domicile, situé à 2 km environ du terminus
ramenant d'une excursion sur la côte Vermeille ·

m i l i e u d u c h a m p , posée s ur d e s tré p i e d s . E l l e des cars, a observé le phénomène une deuxième


il est près de minuit et de nombreux passager�
fois ; nous lui laissons la parole :
sommeillent. Arrivés à hauteur du village de Pey­
Suite de la page 1 1 : FOIX regoux, les témoins aperçoivent brusquement une '' Je n 'ai pas été J 'un des premiers à voir le
phénomène, c 'était près de minuit et je somno­
Note de l 'Enquêteur. - L'observate ur, 26 a n s , sphère lumineuse de couleur rouge orangé, de la
taille approximative de la pleine June, rayonnant lais dans mon fauteuil. Etant donné les sinuosi­
brevet, capacité e n dro i t , est très p o s é . I l s ' ex­
comme un soleil dans le ciel étoilé et qui parais­ tés de la route, J'observation se faisait tantôt
pri m e avec a i s ance. I l n'a pas l u de l i vres tra i tant
sait accompagner les cars dans leur mouvement à gauche, tantôt à J 'avant du car. Quand nous
de l a q u estion mais a d é c l aré vou l o ir s'e n pro­
(sur la droite dans le sens de la marche, plutôt avons emprunté le CD 4 1 , il était à droite. C 'était
c urer. Il a lu q u e l q u e s art i c l es d a n s des revues
vers l'avant) . Un autre témoin dira, lui : paraissait une sphère lumineuse rouge écarlate, parfois
et nous a par l é d'a m i s tarasco n n a i s q u i , il y a
immobile. Parfois cachée par les arbres et les plus orangée, elle ne projetait pas de faisceaux
d i x a n s , ava i ent obs ervé u n ba l l et de sept d i sq u e s " s'éte i nt " p u i s l a chose « se ra l l u m e , s i
••

collines elle était donc en fait assez éloignée des orientés, mais diffusés, éclairant davantage vers
l u m i neux. é b l o u i ssante , q u e M . Bouas devra , après avo i r re­
observateurs. le haut. Elle éclairait plus le ciel que la RN 1 1 8,
I l nous a d e m a n d é , a i n s i q u 'à l a gendarmeri e , gard é un m o m e n t , cro i ser ses bras d evant ses
Après avoir traversé Venes {phénomène invi­ sur laquelle nous roulions ; elle était d 'une taille
de respecter s o n a n o nymat. yeux. Il s'aperç o i t a l ors q u e sa mo ntre ne m arche
sible à ce moment-là) la sphère réapparut. supérieure au soleil couchant.
Nous vous j o i g n o n s l a photo ( tru q u é e ) i n s p i rée p l u s . P u i s " 1 'objet qui éta i t arrivé sans bru i t ,
•• ,

par la re l at i o n d e c e té m o i g nage à un photogra­ s'é l ève comme u n h é l i coptère , a v e c u n s i ffl e m e nt Pour mieux observer le phénomène les chauf­ ,, Après notre longue observation collective
phe l oca l . Cette photo a paru le 1 er avri l ! E l l e com para b l e à u n e ba l l e de fu s i l ( M . B o u as est feurs des cars stoppèrent sur une hauteur à dans le car il avaft disparu brusquement et de­
corre spond assez b i e n à l a chose, n o u s a d i t l e chasseur) et s ' é l o i g n e dans l e sens V e n erq ue­ 2 km environ de Réa/mont, sur le D 4 1 , qu 'ifs puis plusieurs minutes je circulais sur un chemin
tém o i n . M i remont. avaient emprunté pour regagner Saint-Genest-de- ( Su ite page 1 4 )

- 12 - - 13
. MAVES
C.ommun .. a .. MAVES
L o tr - .. t -ch .. r

Aux
L tf'u d t t 'Ponhjou'

LE' 17 oo;jt 1 Q S2 Commune de


MURAI RES MAVES
CV ar) LOIR-ET-CHER
Enquête de M . Lieu dit
Eric KAL M A R
1
1 - "PONTIJOU"
Au cours de l 'h i ver 1 973 /74 , entre 20 : 00 et très v i ves s 'a l l u mant avant l a d escente . I l a u ra i t /
2 0 : 3 0 , au h a m e a u d e s M u ra i re s , c o m m u n e de Luc­ e u une d i m e n s i o n p l u s g rosse q u e l a l u n e d 'après
e n-Prove n c e . le témo i n . Sa vitesse éta i t très l e nte et s e m b l a i t
L E v E N O E:
Le té m o i n p r i n c i pa l est M . M a rco J a cq u e s , c h e rc h e r à s e poser. - - - - - -� - - - - p,O<HV p.,._, ktw/
Enquête de MM.
2 8 a n s , bou l a ng e r , m a r i é . LES FAITS lt:4 I�MOIIIJ ,., Ftlfl .... o��.-, .../,o.

Autres témo i n s : l e fi l s d e M . M a rc o , s o n M. M a rco dîn a i t avec son épouse et son j e u n e


A D.�;. o6u,rtNuw Oh�.! p/1#11 r
E"""* � - C ph.:�s• .l a1 .11T Udr,�Nr�d, /Qg�J
Bernard DUPOU et
C Onptrth0141ft I'Qé,lll E C HE L L E
beau-père, M . Casti l l e , et l e f r è r e d e M . Casti l l e . fi l s , ce so i r-l à , c h e z ses bea ux-pa rents , M . e t O. las lai«<J#s ''' .rlrrt)O�plvs liJ9'11""
L a l u n e éta i t v i s i b l e , p a s d e vent, i l n e fa i s a i t M m e Casti l l e , a u x M u ra i re s , à 3-4 km a u N-N-0
0 1 2km Jacques MARCHAND
p a s f ro i d . de Luc, au p i e d de l a mo nta g n e d e s U bacs à I 'E .
L'objet se d é p l a ç a i t d u S-0 vers N-E, p renant M . M a rco s o rta nt d e l a m a i son vers 20 : 00 p o u r
l a d i rect i o n d u Thoro net, sans b ru i t p e rc e pti b l e . u n beso i n n atu rel , aperço i t e n a r r i vant p rè s d 'u n C 'est a près avo i r m i s u n a rti c l e d a n s l e j o u r­ << Ça s 'est passé en août 1 95 2 , un d i manche
I l ava i t l a f o r m e d 'u n c i gare, d 'u n e cou l e u r rou g e v i e ux m û r i e r , u n obj et vo l a nt très l e nte m e nt d a ns n a l rég i ona l , p o u r rech e rc h e r u n té m o i n d ' u n e o b­ ve rs l es 2 1 : 30 , l e soi r, à 5 o u 6 k m d e Ponti jo u .
vif non ave u g l a nte , a v e c u n e ra ngée d e l u m i ères le c i e l vers l 'O . servat i o n de 1 954 , q u e M . Th i e rsa u l t est v e n u O n a été s u rp r i s , m a fem m e e t m o i , d 'a s s i ster à
I l n 'ava i t a u c u n e forme c o n n u e e t n e fa i s a i t n o u s co m m u n i q ue r q u ' i l ava i t é t é l e témo i n d ' u ne cette espèce de . . . forme l u m i neuse au-d e s s u s d e
e ntend re a u c u n b ru i t . C 'éta i t u n g e n re d e c i g a re o b s e rvat i o n d 'OV N I . I l a été d 'accord p o u r q u e l a route. Tout d e s u ite on a pensé à u n obj et, à
Suite de la page 1 3 : TAR N tout ro u g e , de g ra n d e tai l l e , p l u s g ro s q u e l a n o u s entrepren i o n s u ne enquête a p profo n d i e s u r un b a l l o n de goss e , q u e l q u e chose com m e ç a .
d e terre m e ramenant chez m o i lorsque le phé­ l u n e , a l l on g é c o m m e u n e bana n e . Après avo i r son observat i o n . M a i s c 'éta i t a s s e z s u rprenant d u fa i t que ça bou­
nomène réapparut tout à coup par une ascension avancé l e nte m e nt d a n s l e n o i r a u-de s s u s d e s col­ L'enq u ête fut effectuée d a n s l e c o u rant d u g e a i t pas et .que ça para i ss a i t q u a nd m ê m e assez
verticale, semblant se diriger vers moi (grossir l i n e s , l 'objet a e u u n l ég e r f l ottement d 'avant en m o i s ,d e n ovembre 1 974. haut pour u n j o u et ; et, comme ça n e bougea i t
au point de doubler) . arrière, puis u n e ra ngée d e l u m i è res b l a nches très LES FAITS pas, c i nq m i n utes c 'est l o n g ! O n a e u l e te m p s
«Quoique paraissant à 5 ou 6 km, J 'intensité v i ves se sont a l l u m ées tout le l o n g de ce c i g a re d e g ravi r l a côte , p a s s é l e p l at q u i mène à Ponti-
Témo i g n age d e M . M a rc e l Th i e rsa u l t :
de la lumière projetée sur le paysage e t la vi­ rou g e , q u i e st a l o rs descendu << ve rti ca l e m e nt ,, (Suite page 1 6 )
tesse de son avancement vers Saint-Genest et très l e ntement pour d i sparaître d e rr i è re l a col-
étaient telles que j 'ai cru bon, pour continuer de • • •
l'observer, de me placer sur le côté du chemin l i n e . C ette rangée d e l u m i ères b l anches é c l a i ra i t Pom p l e s , S a i nt-Pastou r , des Coud e i rons est u n e
ombragé par les arbres du bois. toute l a c a m p a g n e sous l 'e ng i n , c o m m e p o u r p ré­ rég i o n i ntéressante a v e c fa i l l e s et ave n s . La c o l ­
«Après s 'être arrêté quelques secondes en parer un atterri ssage . La fo rte l ue u r rou g e très l i ne a u-d essus des M u ra i res possède u n d o l m e n
suspension à 30° au-dessus de l'horizon, il s 'est v i ve est restée a l l u m ée au m o i n s tro i s m i nute s , q u i a é t é fou i,l l é en 1 974 .
éloigné vers le S-E comme s 'il suivait les mou­ e m b rasant l a co ntrée d e rri è re l a co l l i ne , p u i s tout Géologie. - H ettang i e n , M u sche l ka l k , ca l c a i re
vements du relief du sb!, bondissant de collines s 'est éte i nt et rien n'a réapparu après. et s u p é r i e u r c a l c a i r e , c a l c a i re d u R héti n i e n s upé­
en collines (dans les creux je ne voyais plus
M. M a rco a u r a i t vou l u a l l e r vo i r d e p l us près, ri e u r , Keuper. Fa i l l e à S a i n t-Pastou r : Théti e n s u­
la sphère mais seulement le halo) . L 'un de ces
mais c o m m e personne n 'a été d 'accord pour l 'ac­ p é r i e u r . ( N . D . R . : ma carte , m o i n s com p l ète , s i t u e
mouvements a été le dernier et la nuit est rede­
compag n e r , i l y a renoncé. l e s M u ra i res à l a l i m i te d u J u ra s s i q u e i nféri e u r
venue normale.
Le l i e u d e l 'atterri ssage, s i atte rri ssage il y a ( c a l ca i re s , d o l o m i es et m a r n e s ) et d u T r i a s ( a r­
« Le phénomène avait l 'aspect du disque
e u , se s i tu e ra i t vers Po m p l e s ou Sai nt-Pastou r , g i l es rou g e s , gyp s e , d o l o m i e s , ca l ca i re , g rès ) . O n
plein d 'une sphère lumineuse avec l 'impression
d a n s où à p rox i m ité d u va l l on e ntre l e s M u ra i res con state à 1 .000 m au N d e Pom p l es u n c o m p l exe
d 'une extraordinaire énergie au centre ''·

et l a chaîne désol ée d e s Ubacs ( S a i nt-Pasto u r est fai l l é i m porta nt d a n s la forêt d e la Darbo u s s i è re ) .


N otes d e s Enquête u rs . Environ un mois
-

avant cette soirée du 12 mai 1974 un jeune habi­ à 1 .500 m envi ron à 1 '0 d e s M u ra i re s , Po m p l e s Commentaires. -M . M a rco , com m e rçant ho­
tant de la région de Saint-Genest avait observé e s t à 2 k m a u N d e S a i nt-Pasto u r et à 2 km a u nora b l e m e nt co n n u , n 'a fa i t a u c u n e p u b l i c i té de
vers 1 : 30, alors qu 'il rentrait d 'un bal, une énor­ N - 0 des M u ra i re s , l a c rête d e s U bacs à 1.500 m son observat i o n , je 1 'ai a p p r i s par hasard e n 1976.
me sphère lumineuse immobile à 2 ou 300 m à I 'E ) . C 'est u n e rég i o n assez d é pe u p l é e , cu l t i vée M m e Casti l l e a fa i t u n e d épos i t i o n à la g e n d a r­
environ au-dessus d 'une ferme proche et qui e n v i g n es o u couverte d e b o i s o u d e maqu i s . m e r i e de Luc l e l e n d e ma i n .
éclairait intensément les lieux. Etant à vélomo­ M . M a rco , q u i a vu l e phénomène l e prem i e r , N.D.R. - On remarq u e q u e Les M u ra i res sont
teur et pris de panique il avait fui sans même a fa i t appe l à l a fam i l l e p o u r voi r l e phénomè n e . à 1 0 km envi ron d e Lorg ues ( ob s ) , 10 k m envi ron
oser se retourner. S o n j e u n e fi l s e s t sorti l e prem i e r et a vu l 'objet d e G a rcés ( obs) , 10 k m envi ron d e V i n s-su r-Ca­
En outre, le 18 mai 1 974, une sphère lumineu­ avant l a descente, son beau-père et le frère d e ramy ( ob s ) , 1 0 km e nv i ro n d e V i d auban ( ob s ) ,
se avait été observée à A lzonne (A ude) (Miche­ c e l u i-c i n 'ont v u q u e l a l u e u r d e rr i è re l a c o l l i ne , au ce ntre si l 'on peut d i re de ces q u atre l i eux
X : témo i n• : M . M AR CO p rès du m u r i e r .
lin 83, pli 1 1 ) , voir LDLN no 1 40 et début mai 74 M m e M a rco e t M me Casti l l e sont a r r i vées a l o rs b i en connus. C e q u i l a i s se ra i t s u pposer q u e cette
A : M aison d e M . et M m e CAST I LLE. rég i o n est très fréque ntée , à n e te n i r com pte
à Salles-sur-l'Hers (A ude) (Michelin 82, pli 1 9) , q u e tout éta i t term i né .
non publié par LDLN. Peut-être le même objet ? • • • Environnement. L e secte u r d e s M u ra i re s ,
- que d e ce q u 'o n c o n n aît . . . par hasard !

- 14 - 15 -
MAVES (suite de l a page 1 5 ) O . - Est-ce q u e l e s bords d e l 'objet éta i ent Quatr i è m e phase : L 'obj et repart vers le S, assez REMA RQUES :
b i e n n ets ? d o u c e m e nt, e n s 'abai ssant progressivement Le té m o i n nous a d o n n é l e nom de ses a n­
j o u , et a l o rs l à , à q u e l qu e s k i l o mètre s , d 'u n s e u l - C 'éta i t pas net, découpé au ras o i r , m a i s sur 1 ' h o rizon et e n perdant d u vo l u m e . Il d o n­ c i e n s voi s i ns , car i l pensa i t q u ' i l s pourra i ent se
coup, l 'o bj et s 'est m i s à dém arrer à d ro i t e , m a i s c 'éta i t p a s f l ou n o n p l u s . J e m e s o u v i e n s q u a n d ne l 'a i r de s ' é l o i g n e r ve rs l e S O . souve n i r d e son obse rvat i o n .
a l ors t r è s t r è s vite. L a d i stance q u ' i l a pa rco u r u . . . j 'éta i s gam i n , o n ava i t d e g ros trucs e n p a p i e r. H a ute u r an g u l a i re s u r l 'horizon : 4 c m . L e s vo i s i ns q u esti o n n és n e se souv i e n n e nt a b­
c 'est i mposs i b l e . . . beaucoup p l u s v i te q u ' u n avion on m etta i t des boug i e s d e d a n s , au 1 4 j u i l l et , eh Traj ecto i re : recti l i g n e et e n z i gzag. so l u m e nt de r i e n . I l s n 'ont r i e n pu nous d i re , et
à réact i o n , et l a réti ne e n r e g i stre d i ffi c i l e m ent bien c 'éta i t c o m m e u n e l u m i è re q u i éta i t enfer­ Forme : ron d e . notre v i s ite ne nous a u ra appo rté q u e q u e l q u e s
cette v i tesse là. Il y a e u u n temps d 'a rrêt à peu m é e d e d a n s , q u i n 'éc l a i ra i t pas auto u r , ça ne fai­ P a s d e structures apparente s . moq u e r i e s .
p rès d ' u n e m i nute à cet end ro i t là, et c 'est re­ sait pas mal aux yeux , c 'éta i t j u ste à l a l i m ite P a s d e changem ent d e f o r m e ( sauf pour l e L e fi l s d e M . Thi ersa u l t , questi o n n é l u i a u ss i .
venu un petit peu vers la d i rection i n d i quée avant, pou r que ça n e fasse pas mal aux yeux. dépa rt où 1 ' o b j e t a p e rd u d e sa g rosseu r ) . n 'a p u n o u s fou r n i r d 'a utres re n s e i g n e m e nts. I l
fa i sant d e s z i gzags comme u n écl a i r. Là il y a eu
O . - Avez-vous ressenti d e s p e rtu rbat i o n s Cou l e u r : rouge orangée. n 'a r i e n vu , b i e n q u ' i l deva i t s e trouver à e nv i ro n
une m i n ute d 'a rrêt à peu près, j e dis touj o u rs à
d a n s votre moteu r ? Pas d e c h an g e m e nt d e cou l e u r . 1 0 km d e s témo i n s , d evant e u x .
peu p rès , peut-être 90 secondes ou un p e u m o i n s . . .
- Pas d u tout, r i e n d u tout. P a s d e p roject i o n s l u m i n e u s e s .
e t p u i s c 'est red éma rré vers l a d roite, m a i s e n DONNEES TECHNIQUES DE L 'OBSERVA TION :
O. - Vous n 'avez pas e u p e u r ? Pas d e traîn é e , n i d e h a l o .
p l ongeant v e r s l e S , de tel l e sorte que l a g ro s­ Date : l e d i m a n che 1 7 août 1 952 à 2 1 : 30 .
- N o n pas d u tout, c 'est s u rto ut après q u 'o n P a s d e bru i ts perçus.
s e u r de 1 'obj et a d i m i n u é , m a i s pas d ' i nte n s i t é , L i e u : s u r l a N . 824 à 4 k m avant Ponti j o u ,
réa l i s e l a c h o s e . A l a f i n d e l 'observat i o n , o n s 'est D i m e n s i o n appare nte : p l e i n e l u n e .
l a l u m i è re éta i t touj o u rs l a m ê m e . C 'éta i t u n e l u­ com m u n e d e M aves , d épa rte m e nt d u Loi r-et-C h e r .
d i t, m a i s c 'est form i d ab l e ce truc- l à ! D u rée d e 1 'observation : 8 à 9 m i n utes .
m i è re q u i ne fa i s a i t pas m a l aux yeux, q u i éta i t Coord o n n ées : vo i r carte d ' état-maj o r j o i nte .
m ê m e j o l i e à v o i r , c 'éta i t u n b e l orange, c o m m e LES L I E U X A l ti tude : e ntre 1 26 et 1 33 m .
RESUME DE L 'OBSERVA TION :
u n g ros poti ron . L ' i n c i d e nt s ' est d é rou l é s u r l a N . 824 . L e d é­ Obj et : bou l e l u m i n e u s e .
Après n o u s être rendus s u r p l ace et avo i r re­ but de 1 'observation se s i tue à envi ron 4 ,500 km N o m b re d e tém o i n s : deux.
E t quand o n est arrivé à Pontijou , e n p l on­
fa i t le trajet du témo i n , et chronomét ré le temps du l i eu-d i t " Pontijou " ( c o m m u n e d e M aves , can­ Effets seco n d a i res : néant.
geant dans l es m a i s o n s , on a tout d e s u i te pensé
é co u l é , nous pouvons décomposer 1 'observat i o n ton de M e r ) , p rès d u . l i e u-d i t " C o u rtem i c h e " I nd i ces : c ré d i b i l ité 1 ; étra ng eté 2 ( s e l on
à assi ster au p h é n o m è n e e n ressortant s u r l e p l at
comme s u i t . ( c o m m u n e de M aves ) . Poher) .
en a l l a nt ve rs B l o i s . M a i s a l o rs là c 'éta i t com­
p l ètem ent d i sparu , comp l ètement d i sparu . . . L 'observati on se dérou l e en qu atre p h a s e s : De chaque côté de l a route , des champs d e AUTRES OBSERVA TIONS :
P rem i è re phase : L 'obj et est i m mo b i l e a u-dessus l abour s 'étend ent à perte d e v u e . S e u l s q ue l q u es Le tém o i n n o u s ayant s i g n a l é q u ' i l ava i t e n­
. . . s a n s p e r d r e d e sa l u m i n osité. m a i s d e s a d e l a route . D u rée 4 m i nute s . .
g rosse u r , l à o n senta i t vra i m e nt que 1 'objet d i s­ b o i s épars rompent ce paysag e m o n oton e . te n d u parl e r, à ce moment- l à , d 'a utres observa­
Deux i è me phase : L 'obj et se d é p l ace souda i n vers C 'est l a g rande p l a i ne d e Beauce ( vo i r carte tions d 'OVN I dans la rég i o n , n o u s avo ns véri f i é
para i ssait à 1 'hori zon , vers le S. A l o rs là on voyait
l e S à u n e v i tesse except i o n n e l l e et s ' i m m o­ M i c h e l i n no 64 , p l i 7) . c e s souven i rs .
nette ment q u e c 'éta i t n i u n phénomène d e tem­
b i l i s e i m méd i atement pendant 1 m i n ute e n­ A n oter q u 'e n 1 95 2 , l a route n 'éta i t pas gou­ L e samedi 2 août, s o i t q u i nze j o u rs ava nt,
pête , n i une éto i l e fi l a nte , n i rien d u tout ! Il y
viron. d ro n n é e . Le témo i n ne rou l a i t q u 'à 30 k m / h en­ à To u rs (37) , d i ffére nts témo i n s observent u ne
a 44 ans q u e j 'a i m o n p e rm i s de c o nd u i re , et j 'a i
Tro i s i è m e p h a s e : L'objet rev i e nt ve rs l e S O , vers v i ro n sur le p l at, et dans les côtes l a v i tesse des­ bou l e l u m i neuse f i l a n t d a n s le c i e l . Pu i s l e 1 3
ro u l é . J 'a i a s s i s té à des éto i l e s f i l ante s , d e s m é­
l a g a u c h e d u tém o i n , e n z i gzag et avec u n e c e n d a i t à 20-25 k m / h envi ron . Le u r véh i cu l e éta i t août, p rès d e C o u rs- l es-Ba rres ( 1 8) , c 'est douze
téores ; ça n 'a a u c u n rapport. Je me s u i s a u s s i ­
v i tesse foudroya nte . I l stoppe u n p e u p l u s bas u n e motocyc l ette ( type Peugeot 1 0 8 ) e t i l s éta i ent perso n n e s q u i o bservent u n e '' soucoupe vo l a n­
tôt p o s é l a q u esti on arrivé à B l o i s , j 'e n a i fait
que l 'e n d ro i t q u ' i l occ u p a i t en p re m i e r . Il reste d e u x d e s s u s p l us des bagag e s . te »... Le s u rl ende m a i n , des e nfa nts de Pa r i g ny­
part à mes vo i s i ns . M es voi s i n s m e sachant d e
bonne fo i , m 'ont éco uté . I l s m 'ont d i t : ,, De toute i m m o b i l e e n c o re 1 m i n ute e nv i ro n . l es-Veaux ( 58) sont a r rêtés d a n s l eu rs j e ux par
LE TEM PS
tacon to i aussi t'en a vu u n e ! parce q ue tout u n e bou l e bri l i ante qui se d é p l ace d a n s l e c i e l .
· '' • D 'a p rès l e témo i n , c 'éta i t une bel l e so 1 ree
l e monde r i g o l a i t avec ces fa meuses soucou pes Et ce fut l o i n d 'être fi n i . N o u s savons q u e l 'a n n ée
d 'été , l a températu re éta i t d o u c e . Il y ava i t ce­
vo l a nte s . M a i s moi , j e n 'a i pas vu de forme d e 1 952 fut très ferti l e e n observat i o n s , que ce soit
p e n d a n t un p l afo nd n u ag e ux à h aute a ltitu d e .
s o u c o u p e d a n s t o u t ç a . Tout ce q u ' i l y ava i t , c 'éta i t e n France ou aux Etats- U n i s .
C 'éta i t d e s nuages l ég e r s , certa i n e me n t type
u n e forme r o n d e q u o i ! C 'est tout. N o u s avo ns l à u n e observati o n datant d e 1 95 2 ,
C i ru s . Il n 'y ava i t pas d e vent, ou très l ég e r .
dont nous avons c o n n a i ssance q u e p l us d e v i ngt
M a i s q u i nze j o u rs avant, même dans l a se­ ans après, et pourtant d a n s l a m é mo i re d u tém o i n ,
L E S TEM O I N S
m a i n e , j e c r o i s q u ' i 1 y a eu d e s observati o n s fa i ­ e l l e est presque fraîc h e . C e c i nous p ro uve b i e n
I l s 'ag i t d e M . M a rce l Th i e rs a u l t , e t sa fem­
t e s d u côté d e Sa i nt-Pi erre-d es-C o rp s , e n Tou­ que 1 ' e n q uête u r n e d o i t p a s se bute r s u r 1 ' é l o i ­
me, décédée depu i s .
ra i n e (To u rs ) . g ne m e nt d a n s l e t e m p s d 'u n té m o i gnage . I l sem­
M . Th i e rsau l t a 6 5 a n s (43 a n s a u m o m e n t d e
. . . M o n fi l s éta i t pa rti 1 5 m i n utes avant n o u s . l 'observati o n ) , i l e s t m a i ntenant retra i té . A c e ble bien q u e d a n s l a p l u pa rt d e s c a s , u n e obser­
I l n 'a r i e n observé . Donc cette chose-l à n 'est ve­ m o m e nt- l à i l éta i t aj uste u r méca n i c i e n d a n s u n e vat i o n d 'OV N I m a rq u e le témo i n , et q u ' i l s ' e n
nue qu 'ap rès q u ' i l s o i t passé, car il éta i t forcé de entre p r i s e de B l o i s . I l f u t a u s s i routi e r e t a son souvi ent, même l o n gte m p s a p r è s , c o m m e d 'u n
s 'e n ape rcevo i r . Ce qui est forme l , d e toute fa­ perm i s d e condu i re depu i s 1 93 1 . fait i m po rtant ayant m a rq u é s a v i e . Pourq u o i ?
çon , c 'est que ça, c 'éta i t d i ri g é , il éta it g u i d é , par I l est très marqué par son observati o n , dont C e l a peut ven i r de beaucoup de causes d i fféren­
q u o i ? Est-ce q u e c 'éta i t par u n e main ? J e n e il se souv i e nt très b i e n , p l u s d e v i ngt-deux ans tes , et i l y a u ra i t certa i n e ment très l ong à d i re
s a i s pas, m a i s on senta i t vrai ment q u e c 'éta it a p rès . à ce sujet.
g u i d é , parce que ça prenait l es d i rect i o n s que ça
vou l a i t . Ce n 'éta i t pas poussé par le vent, d 'a i l ­
l e u rs i l n 'y a v a i t pas d e v e n t . I l fa i s a i t bru n , i l
éta i t 2 1 : 30 à p e u p r è s . ,, ANNtJNeSS
e Dans l e but d e p rocéd e r à u n e étude d e
O . - Vous n e vous êtes pas arrêtés ?
- N o n , notre prem i è re i d é e , c 'éta i t d 'a rriver tém o i n s d 'observat i o n s , toute perso n n e aya nt des FA ITES DES A DHÉSIONS
à B l o i s , et d e d e m a n d e r à J ean , notre fi l s : '' D i s c o n n a i ssances e n psychotech n i e et typo l o g i e dési­
d o n c t'as v u l e truc s u r l a route , t'as v u à q u o i o n rant c o l l aborer sera i t a i m a b l e d 'e n i nfo rmer LDLN . A UTO UR DE VO US
a assi sté ? ,, et q u a n d on l u i a p a r l é d e ç a , i l -- - -.:=. - -• e Toute personne h a b i tant l a rég i o n de M i d i ­
éta i t tout '' baba m a i s i 1 nous c roya i t , c 'éta i t
" •
. .... --.-
... ... ... ...,. Pyrénées ayant é t é l e tém o i n d i rect d 'u n e m a n i ­ PL US NO US SER ONS
s e s pare nts . C 'est u n fi l s u n i q u e . festat i o n d u p h é n o m è n e OV N I o u e n ayant ente n d u
O . - V o u s n 'avez p a s c r o i s é d 'autres person­ pa r l é autour d ' e l l e e s t p r i é e d e b i e n vou l o i r s e
m ettre e n rapport a v e c l e G ro u p e m e nt R é g i o n a l
NOM BREUX/ MIE UX
nes ou vous a-t-on d o u b l é s ?
- N o n , pers o n n e , à cette h e u re- l à , et p u i s i l d e R e c h e rches s u r l e s OV N i s ( d épt H aute­
n 'y ava it pas d e c i rc u l ation comme i l y e n a G a r o n n e ) à : CASTAN ET-TOLOSAN 3 1 320 PECHA­ VO US SEREZ INFO RMES.
mai ntenant. BOU .

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OVN I DA NS LE MACON NAIS • SAGY (Sa One et Loi re) Question : Pouvez-vous décr i re l 'obj et q uand montre-t-i l ) , q u i . s 'é l ève à une vitesse fo l l e d e r..
Enquête de M . LEVY il éta it au plus près ? rière un petit bois ''· Son beau-père , à bord d u
J 'éta i s s ur le pont de l a rivière, je n 'ét� i s vrai­ véh i c u l e e t q u i a l e l o i s i r de m i eux observer,
Par le nombre des tém o i n s , par la descri ption ine semblent u n e très bonne synthèse. J 'en l ivre ment pas l o i n , mais s i j 'ava i s su q u ' i l y avait un p u i s q u ' i l ne cond u i t pas, le décrit moitié rou g e ,
précise de I 'OV_N I , par l e s nom breux cas s 'étant les l i g nes d i rectri ces. objet comme ça, j 'aurais pu gagner au moins m o i t i é sombre ( comme i l n 'habite p a s l a rég i o n
déj à prod u i ts dans la rég ion de par le passé, M. B reton : " J e me suis avancé très rapide­ 100 m , et j e n 'a u ra i s été vrai ment pas loin. Mais proche, j e n 'a i pu l 'i nterroge r) .
l 'observation d e Sagy ( hameau de C ruz i l l e ) , 20 km ment jusqu'à l a c uve de décantation et je l 'a i vu j 'a i pens é tout de s u i te à u n e vo i tu re q u i aurait
à vol d 'oi seau au N de Mâcon, mérite i ncontesta­ tout de s u ite derrière le hangar. J 'a i pensé tout DEUX ENFANTS D ' U N I M P SU RVOLES
c u l buté. J 'a i réagi très vite e n d i sant : ça ne se PAR L'E N G I N
b l ement une étude m i n utieuse ( Mlche l i n no 70, de su ite à une vo iture qui avait c u l b uté du c h e m i n peut pas, e l l e to u rne sur e l l e-mêm e , il y a des
pli 1 1) . et q u 'un tracte u r sorta it. N 'entendant p a s de b r u i t Dans l a n u i t d u samedi 2 2 a u d i manche 2 3 ,
feux pa rtout. deux adol esce nts q u ittent l ' I nstitut médi co-péda­
et voyant évo l uer l a c h o s e , q u i tou rnait s u r e l l e­ Question : Comment étai ent les feux ?
même, j 'a i tout de s u i te vu q u ' i l ne pouva it pas gog i q u e de C ruzi l l e (à envi ron 500 m de l a m a i­
En éventai l , et i l s donnai ent vrai ment au so l . son B reton) et entament une l ongue fugue. Le
s 'a g i r d 'une voitu re et d 'u n tracteu r qui t i ra i t . Les Ç a écl a i ra i t l égèrement l e so l . Ç a donnait touj o u rs
feux m 'ont paru tout de su ite bizarres ; j e ne vo i s l u ndi so i r 24 i l s sont dans l a rég ion et l a i ssent
q uatre feux, m a i s tou �·)U rs i l y en a u n q u i se l eu rs mobyl ettes s ur u n ch e m i n , à 200, 300 m de
pas d e s feux comme ç a chez nous. O n ne peut cachait d 'un côté e t un autre qui réapparais s ait
pas b i en défi n i r l a cou l eu r. C 'est u n jaune orange l 'endroit où l 'en g i n a été aperçu pour l a pre m i è re
de 1 'autre côté . fo i s . I l s se rendent à I 'I M P , u n magnifique châ­
m é l a ngé d e b l e u , et ensu ite e l l e a fait u n tou r s u r Ce q u e je peux assurer. c 'est q u ' e l l e éta i t
l e chem i n et e s t m ontée s u r l e s v i g n e s , vers l a tea u , pour dérober de l a nourriture, ce q u i expl i­
vra i ment ova l e . assez g rosse, p l us haute q u 'une que q u ' i l s abandonnent les mobyl ettes , trop
gauche. E l l e e s t reve nue a l ors en prenant u n e estafette , et au-dessus il m 'a sem b l é que c'éJ:a it
l égère hauteu r. A ce mom ent- l à e l l e ava i t p r i s bruyantes . Quand i l s revien nent, p l u s de moby­
e n f orme de coupo l e , vous savez comme u n e cou­ l ettes ! ( et pour cause, les gendarmes , q u i cher­
bien p l u s d u d o u b l e de l a hauteur. E l l e pouva i t p o l e de char d 'assaut.
se trouver à ce mom ent- l à à 10 , 15 m d u sol . chent des traces , v i e nnent de passer s ur l e che­
Il y a a l ors une l u m i ère carrée qui est appa­ m i n et récupèrent les deux mobyl ettes ) .
E l l e est reven u e a l o rs dans l e cou l o i r de l a V i erg e , rue au m i l i e u , et c'est quand e l l e est apparue que
d a n s l a combe, et d 'après moi e l l e aurait tourné ça a donné un à-coup . . . et c 'est à ce moment-là
derrière l a roche . J 'a i été u n tout petit bout de q u e ma be l l e-fi l l e et moi on a e u un petit à-coup ...
temps sans l a vo i r. J e l 'a i aperçue sur le bois et ... J e n'ai }amais eu peur, j e n 'ai jamais pensé
e l l e est ve n u e vra i ment doucement. à avo i r peu r ...
Question : Comme u n vé l o ? . . . Ce que je s u i s certa i n c 'est q u ' i l y ava it feux
Même pas à l a vitesse d ' u n vélo, comme u n et objet. Dans l es feux on voyai t q u ' i l y ayait
vé l o q u i m a rche a u pas. u n e masse. Défi n i r l a cou l e u r de ·r a masse c 'est
E l l e s 'est enfi l ée derrière l e petit bo i s et j e très d i ffi c i l e ...
ne l 'a i p l u s v u e ( l e boi s e s t l égèrement s u r l a En dern i e r l i e u , on ne l a voya it p l u s tou rner.
gauche ) . M . Lucien Breto n esti me que l 'observation a
Je l a vois réappa raître su r l e bo i s , b i e n p l u s d u ré près d 'une demi-heure.
Nous avons d 'a utre part eu l a chanc e . rare , ha ute . E l l e s 'est stabi l i sée j u ste en face d u peu­ Notes : l e l e n d e m a i n de l 'obse rvation, M. Lu­
d 'être ave rti s l e l e n d e m a i n même et de pouvo i r p l i er. c i e n Breton i ns i stera sur le carré phosphoresce nt.
nous rendre i mm é d i atem ent su r l es l i eux afi n Question : A peu près à 1 'endro i t où vous Tous les tém o i n s n 'ont rien ente n d u , pas de s i f­
d 'enquête r pour l e j o u rn al auquel nous col l aboro n s . l 'avez vue la premi ère fois ? f l ement.
U n com pte r e n d u pa raîtra l e s u r l e n dema i n de Ou i , au-dessus d u boi s . E l l e a fait u n e m ontée L'on peut esti mer, estimation s ûre puisque la
1 'observati o n , l e me rcredi 2 6 novemb re, dans " Le assez rap i d e d 'u ne seconde environ. Et e l l e s 'est col l i ne empêche une erreur dans ! �va l u ation des
Courrier de Saône-et-Lo i re '' ·
stabi l i s ée. E l l e to u rnait et évo l uait de chaque côté d i sta nces, que l 'eng i n s 'est trouvé au plus pr.ès à
I l est 19 : 1 5 ce l u ndi 2 4 nove mbre . C 'est u n e d u peup l i e r. 1 50-200 m des tém o i n s .
très be l l e n u i t , l es éto i l es sci nti l l ent, l e g i vre s e C 'est à ce moment-l à qu e l es gendarm es arri­ M . M i chel Breton confi rmera l es d i res de son
dépose d éj à s u r le s vo itures. vent. E l l e a conti nu é à monter par petits à-coups.
père, bien q u ' i l ne se soit pas avancé avec l u i ,
M. M i c he l B reto n , bou l a nger, 23 ans, et son E l l e to u rn a i t s u r e l l e-même comme u ne toupi e . m a i s i ra p l us ta re! avec l e s gendarmes s u r l e
épouse M a ri e-C h ri stine entrent dans leur vo iture. E t i l y a des moments où e l l e tournait bien p l u s c h e m i n , à l a recherche de traces éventu e l l es . Les
Souda i n , M i chel B reto n aperçoit devant l u i , j uste vite qu e d 'a utres. On voya it qu e l o rsqu 'e l·l e tou r-·· gendarmes , q u i arrivent sur les l i eux l orsq ue l 'en­
au ras d ' u n e écurie si tuée à q ue l que 50 m de naît très vite c 'éta it l e départ d 'u n e nouve l l e as­ gin mo nte . notent égal e ment cette évo l ution en
l u i , mais b i e n en retra it, un obj et de forme ova l e , cension et ensuite e l l e a m onté, monté. vri l l e . U n gendarm e , f éru d 'astronom i e , fera le Eta nt dépourvus de moyen d e l ocomotio n , l es
stab i l i sé à q u e l ques m ètres a u-dessus d u sol , et des s i n su ivant de l 'objet, u n e fois stabi l i sé très enfants remontent vers l e château en attendant
qui d i rige des fa i sceaux l um i neux vers ·r e so l . haut, et qui resse m b l e à une g rosse éto i l e . que tout l e monde soit couché , et veu l ent d é rober
M i che l B reton sort auss itôt préve n i r son père, Au cou�s de l a n u i t , p l usi e u rs personnes a u­ deux poneys . Lorsqu ' i l s s 'engagent dans l e pré au
M. Lucien B reto n , 52 ans, bou l a n ger, et té l éphone ront été i ntrig uées par cette " éto i l e '' ·Mais à p i ed de I ' I M P , l 'èng i n l es s u rvo l e .
à la gendarme r i e de Lugny pou r s i g n a l e r l e p hé­ notre sens, après l ' i ntense émotion q u i a régné, Extraits de l a déc l a rati on de Bruno, 1 5 ans,
nomène. il peut s 'ag i r bel et bien d 'u n e éto i l e . M . Breton du samedi 2 9 novembre :
Pendant ce temps, M a r i e-C h r i st i ne Breto n , tou­ est de cet avi s . Je s u i s prêt à l e s u ivre, car rien " C 'éta it comme u n avi o n , et p u i s c 'était b i e n
jours dans la vo iture, regarde 1 'obj et q u i évo l u e ne prouve que l 'en g i n soit re sté toute l a n u i t au­ écl a i ré . . . Ça h1 i sait un ova l e , et p u i s c 'était éc l a i ré
vers l a gauche, d i sparaît q u e l q u e s i n stants , caché dessus d u hameau . Quelqu ' u n , je ne sa i s p l u s par en-dessous, presque tout auto u r ... I l y ava it d u
par un hangar, qui est accol é à l 'écuri e , mais p l l!s q u i , m 'a décl aré q u ' i l a d i sparu avec l e l ever d u jaune, d u rouge, d u b l eu . . . J e c ro i s que l e s cou­
haut que cette dern i è re . jour, c e q u i est u n phénomène normal pour u ne l eu rs se mél angeaie11t u n peu . . . J 'a i cru que c 'éta i t
Su r c e s e ntrefa ites, Lu ci e n Breton sort d e étoi l e ... M a i s on ne peut ju rer de ri e n . u n avi o !'l l a premi_ère fo i s , e t p u i s q uand j e l 'a l

chez ·l u i et avance rapidement v e r s l 'objet. J e Lorsque les ge ndarmes de Lugny ( 3 km S-E v u l a deuxième fo i s , ç a m ' a sem b l é bizarre , car
m 'e ntreti e n d rai avec l e s tro i s té m o i n s l e l e nde­ à vol d 'oi seau ) sont prévenus par M ichel Breto n , c 'éta it q u ::Ind même bien éc l a i ré ... J 'a 1 vu r ien
m a i n de 1 'observati o n , et je rencontre ra i luc i e n une perso nne de Lugny, q u i d é s i re g a r d e r l 'ano­ que l 'oval e ... J 'ai dit à Jean-Noë l , baisse-to i , v ' l à
B reto n à q uatre o u c i nq repri ses p a r l a s u i te , nymat, est j ustement à l a gendarmeri e , e l l e déclde q u e l q u e c h o s e ... ça fa is ait c o m m e u n avi on et p u i s
afi n de p réc i s e r certa i ns é l ém ents restés obscurs. de gagner les l i eux. Quel ques d izai nes de mètres c 'éta it b i e n écl a i ré . . .
Le l un di 1er décembre, une semaine j o u r pour p l u s l o i n , e l l e aperçoit devant e l l e « un objet I l e s t passé d e u x foi s , et a été vers Lug ny . . .
jour après l 'observati o n , j 'enregi stre au mag n é­ rectangu l a i re , m a i s aux bords ron d s , de cou l e u r J 'a i entendu l e mote u r q u i s i ffl ait. M o i ns fort
tophone le s déc l a rations de M . Lucien Breto n , q u i sombre, d e grande ta i l l e (80 c m d e l o n g , nous quand même que l orsq u 'u n avi on passe . . .

18 - 19 -
J 'éta i s a l l ongé par terre . . . Je c r? ya i s, q � e P a s de panne de courant. L e comportement des
c 'éta i t u n avi o n q u i nous recherchait. J a y a 1.s a n i maux est norm a l .
peur que l 'avion vienne nous rechercher. I l eta 1 t U N E REG ION FERTI LE E N OBSE RVATIONS
quanrf même p l us haut que les tours d u chatea � u. Cet été : un objet a évo l u é au-dessus du ha­
. . . C 'était comme u n avion à q uatre p l aces,
l 'ova l e éta i t à q uatre p l aces.
meau, à 1 '0 , cette foi s , à quelques centai nes de
mètres de l 'endroit ( 1 km au maxi mum ) . Sa forme
Observation
Question : Pourquoi ? était ova l e . Une panne d 'é l ectri cité s 'est produite
Parce que c 'éta it petit. . .
Question : Comme u n e vo 1 tu re q U I aurait été
au même moment. avec photos à
Quasi ment s u r les l i eux de l 'observati on, l e
en l 'a i r ? frère de M i chel Breto n a ape rçu une forme l u m i­
U n peu p l u s gros guand même.
J 'ai vu du rouge, d u b l eu et d u jaune, ça ne
neuse passer à g rande vitesse, i l y a q u e l ques VALENCIENNES
années.
changeait pas de cou l e u r. Ça a l l a i t douc � ment la
prem ière foi s , i l a été derrière l es col l 1 � es ... Et
Martailly-les-Brancion : d i manche 2 3 , vers 22 : 00
(vei l l e de l 'obse rvatio n ) . . . et 3 km par l a route de
(Nord)
puis on 1 'a revu passer tro,i.s !oi � p l � s v �te . . : Ç a Cruzi l l e : u n objet a l l ongé, orange vert, de la
para i ssait bizarre parr:e qu I l e.ta1 t b 1 e n ec l a 1 re ...
Je croya i s que c 'éta i t des proj ecteurs pour vo i r
tai l l e d ' une d e m i - l u n e , q u i avance plus vite qu ' u n Le 24-3-1974
avion et s e m b l e se stabi l i ser vers l e S - E . Témoi n s :
s i on n 'éta i t pas couché. le resta u rateur et l e fi l s du maire. Pas de descrip·
Jean-Noël a senti d u vent, mo1 n e n . tion p l u s précise : i l s rentrent . chez eux a l.or� que à 21 h 50
Question : C 'éta i t comment ? l e phénomène n 'est, sembl e-t-I l , pas . t � rm1 � e .
Ça fai sait comme u n d i rigeab l e avec des l u­ D a n s l a rég ion p l u s i eu rs cas : T81ze, aou t 1972 1 er c l iché 2• c l i ché 4" c l iché par M. C LIPET
miè res autour, et c 'était bien écla i ré . . . et août 1 973 ( 10 km 0 à vol d 'o i seau ) .
Notes : d 'ap rès les i nd i cati ons, l a hauteur de Nancey (9 km au N ) : un e n g i n j a u n e or ang � ,
l 'e n g i n peut être comprise d e 20 m à 50. 6 0 m, . Agra n d i ssem ents ti rés de d i apositi ves o r i g i n a l e s pri ses par M. C U PET. Le 3• c l iché
avec des fa i sceaux l u m i neux au so l , dans l e 1ard m
mais guère plus. . n'est pas exp l o itab l e
� , . d 'une viei l l e d a m e de 82 a n s . E l l e l e d i ra à ses
L'e nfant a fa it l a meme decl aration au D i rec­ f i l s et peti ts-fi l s un mois p l u s tard , toute trem­
teu r de I ' I M P, q u i ne l e croit pas capable de b l ante . Date : décembre 73 ( renseig nements re­
menti r. D 'ai l i eu rs sa décl aration a des accents de cuei l l i s auprès des enfants et petits-enfants) . . .
sincérité q u i m 'ont beaucoup touché. Déc l a ration Ce soir-là j e faisais (avec un jour d e retard !) 3• document : il est descendu très bas, devant,
1 1 y a une v i n gta i ne d 'an né � s ( 5 4 _? ) , u n v1 � 1 l
quasi-si m i l a i re à l a gendarmeri e . , _ _ la soirée d 'observation demandée par France-Inter et près de moi. Vraisemblablement à mi-chemin
homme, h é l as mort aujourd h U I , a ete l e temom
Enfi n , dern i e r doute l evé , les enfants ne so.nt et Lumières dans la Nuit. entre l'autoroute et mon point d'observation. Il
d 'un atterri ssage avec humanoïdes. Personne ne
pas au courant d e l 'observation � es Breto n , � u l s­ Lieu : sortie de Valenciennes sur la D 350, à est presque éteint >>, il ne subsiste qu'un halo
vou l ut l e c ro i re dans l es vi l l ages a l e nto ur, et ce «

q u ' i l s c i rc u l ent en vé l o , après avo 1 r aban � onn � l e � quelques 300 m du pont qui enjambe l'autoroute rouge orangé aux deux extrêmités d'une grande
cas est resté i ncon n u . Les sources de 1 'i nforma­
poneys, et sont retrouvés l e merc red. 1 so 1 r , .a Paris-Bruxelles (Michelin 53, pli 5) . luminescence bleue.
tion sont d i g nes de fo i , p u i sque c 'est un a m i de
Beau ne. L'i nte rrogato i re à l a gendarm e n e s� fa1t cet homme q u i me l 'a d i t de vive voix. Temps : ciel clair jusqu'à 2 1 :30, puis se cou­ 4• document : /a chose est remontée sur l 'ho­
sans que l es enfants soi ent mis au courant, I l s l e Par a i l l e u rs , j e s i g nal erai qu 'une fai l l e géolo­ vrant de légers nuages, la visibilité restant bon­ rizon mais très à gauche, et a encore changé de
seront seu l ement p l u s tard , mais réa l i sent mal . gique passe à envi ron 1 km à I 'E de l 'observation ne au sol. Température environ (}0. forme. Cela ressemble maintenant à un œuf et
Pou r Bruno, je soupçonne fort q u 'u n OVN I soit ( p rem ière phas e ) . On s i g n a l e la présence d 'une Observation de : une très grande lueur rouge possède deux points incandescents. De plus cela
dans son esprit, u n engin i nterméd i a i re entre source d 'eau chaude sous l e château , tan d i s que violacée dans le ciel à 45° ; matériel utilisé : ap­ a laissé une courte traÎnée de couleur rouge dans
l 'avi on et l 'h é l i coptère ... sous l a roc he où se trouve l a statue de l a V l e rge pareil 24 X 36 Reflex de 50 mm de focale ouvert le ciel.
u n e source, mai ntenant tarie, éta it connue pour à f 2,8 sur l'infini. Sur chaque document, les lampadaires publics
1 . ES EFFETS PHYSIQUES
guérir l es m a l a d i es des yeux. Documents : trois photos couleur (agrandisse­
M Â LA ISE DE LU C I EN B R ETON
de la commune d'Etreux ont été photographiés, ce
ments) , quatre négatifs tirés et agrandis des ori­ qui permet de pos.itionner impeccablement l 'OVNI
UN O U DEUX EN G I NS ?
M a ri e-Christine Breton a u ra été comme
« ginaux. D eux diagrammes. dans l'espace.
Je ne ti rerai pas de concl us i o n s . J u ste quel·
éblouie par cette l u m i ère q u 'on n 'a pas l 'habitude 1er document : /e phénomène se présente sous Ajoutons que le terrain est composé de lan­
ques réfl exi ons. I l n 'y a pas eu atterrissage, . du
de voi r >> . la forme d'un S très allongé dont le centre est dénien inférieur, sables glauconnieux. Il existe sur
m o i n s visible, m a i s évo l ution au ras d u sol . S 1 l e
Lucien Breton me fa it part d ' une attaq u e . I l e n incandescent entouré de jaune, puis de rouge vif. le terrain deux lignes à HT et une vallée entre
j e u ne B r u n o e s t s u rvo l é a l o r s q u ' i l v a cherch.er
a rég u l i è rement une à deux p a r � o i s: E l l es d u rent � 2• document : ce/a a pris une forme ronde et la France et la Belgique, où coule l 'A une/le. Pro­
les poneys, il est 9 : 00, peut-etre p l u s tard , P U I S­
de u n e à deux h e u res. Cette fo1 s-c1 , et ce pour gardé les mêmes couleurs. Cela se trouve plus ximité de la grande faille du Midi.
que les enfants sont couchés à I 'I M P . Est-ce a l o r �
l a prem i ère foi s , e l l e est très courte ( 1 0 m i n utes ) . bas.
le même en g i n q u i revi ent, ou un secon ? q U I
De même habitu e l l ement, i l est i nconscient ; cette
passe, b i e n q u 'on ne l ' i m ag i ne p a s n � n l �e_ au LES FA ITS
foi s-c i , bi � n q u ' u n peu dans le ci rage
« i l n 'en
"•
phénomène que décrivent l es Breto n . C est . a p eu • • • Ce soir-là j 'étais en faction hors de la ville de
sera pas moins conscient. , . près à cette heure que Lucien Breton est v 1 ct1me sem b l e p l u s l o g i q u e , mais suppose une confusion Valenciennes, sur la route de Sebourg, à quel­
Les fa its sont confi rmés par son epou se, q U I
de son malaise. Serait-i l l a conséquence d 'un dans 1 'esprit de Bruno, q u i reste à prouve r. D 'au­ ques dizaines de mètres de l 'autoroute Paris­
i ns i ste sur l a s i ng u l arité d e s symptômes. Les f!l a­
second passage d e l 'OVN I que personne ne voit, tre part, peut-on parler d e l o g i q u e , du moins de Bruxelles. Seul au milieu des champs, j 'atten­
la ises de M . Breton sont dus à u n e compres s i on
des vai sseaux sa n g u i n s , suite à u n e émotion ou p u i squ ' i l n 'y a personne d ehors ? . . notre l o g i q u e , l o rsqu 'on aborde le phénomène dais . . . Quoi ? Qui ? Le temps passait et fraÎchis­
La maison des Bretons est de toute ev1dence OV N I ? sait et je m 'installais dans ma voiture. J 'écoutais
une contra riété.
sur l a trajecto i re de l 'eng i n . Les tro i s témoi ns France-Inter tout en surveillant le ciel, deux ap­
Le c u ri e ux m a l a i se est s u rvenu envi ron deux Quan1: à ce q u i a été vu à Lugny. i l faut sup­
n 'ont vu à aucun moment l 'e n g i n se d i riger vers pareils photo .à portée de la main : l'un en noir
heu res après l 'observat i o n . M . Breton ne dor- poser que 1 'eng i n a i t bruta l ement accé l é ré une
le château , ce qui exc l ue une observation s i m u l­ et blanc, l'autre chargé en couleur.
m i ra pas da l a n u i t . , fo i s que Lucien Breton l e perd de vue derrière
tanée des adol esce nts . En admetta nt que Bruno
Pas d 'effets s u r l es enfants , excepte u n e g ran­ l a statue de l a Vi erge, apparai sse à Lugny j uste Soudain, il était 2 1 : 50 - l 'émission La Mu­
de fatigue que l 'on peut i mputer l o g i q uement à se trompe, et confonde dans l a cascade d 'évé � e­ cc .

au moment où il est observé, et revienne très vite sique est à vous ,, se terminait - j 'aperçus de­
me nts survenus au cours de la fugue, le prem 1 er
l a fugue, et aux n u i ts passées dehors. , . . vers C ruzi l l e . C' est poss i b l a , m a i s reste éga l e­ vant moi, haut dans le ciel, une grande lueur rouge
Les effets maté r i e l s : un ecran_ de tel ev1 s 1 on
,
et le deuxième a l l e r-reto u r au château, on peut
ment à Drouver, et s uppose certai nes i mp l icati ons qui vibrait, de couleur violacée. Je fus si -surpris,
supposer, et l es horai res sont satisfa i sants, que
est voi l é ( m a i s i l l e fait au passage d 'avi on s ) , un secondai res et coïnc i d ences curieuses. Dans le que je restais bien cinq secondes à la regarder,
les deux e nfants ont vu en pre m i e r 1 'objet, q u i
mou l i n à café ne foncti onne plus depu is l e 2 4 au cas co ntra i re il .s'ag it d 'autre chose , m a i s proba­ avant de réaliser que j 'avais affaire à quelque
soi r, l e chauffage é l ectrique d i sj oncte à S agy s 'est e n s u i te sta bi l i sé près des Breto n . C e l a nous
b l em ent pas i n dépendant ... chose d'insolite. Je sortis rapidement de ma voi­
chez un parti c u l i e r , à l 'heure de l 'observati_ o n . • • • ( Enquête M i che ! Lévy) . ture et fis quatre photos couleur.

- 20 - - 21 -
Observation à ARRAS (Pas-de-Calais) Le 1er Février 197 4
Enquête de M. ROGEZ

LES LIEUX :
L'observat i o n fut fa i te d a n s l e j a rd i n d u té·
m a i n , d e r r i è re l a m a i son . A 13 m de cette m a i­
s o n se trouvent, en bord u re du j a rd i n , u n petit
sau� e p l e u re u r et u n sapi n . N o u s s o m m es d a ns

-r
u n fa u b o u rg d u S-E d 'Arra s .

LES FAITS :
A R:DWIQUl!:R. LI. PORn
LUMINOSJ:T� D2S LAMPA•
Le 1er févr i e r au s o i r , M me Leroy re ntre e n
llA.ZR:&S IŒS QUJ: L ' OB- voiture a v e c sa fi l l e Sand r i n e , reve n a n t d e fa i re
.nrt S ' KaT 'l"JllUD PLUS
PUS .
q u e l ques e m p l ettes se trouvant s u r l a banquette
a rr i è re . M m e Le roy gare son véh i c u l e derri è re l a
m a i s o n , d evant son g a ra g e , et rentre c h e z e l l e
R»lARQUER LES TRAI­ p a r l e p e rro n , l a i ssant à s a fi l l e Sand r i n e l e s o i n
NEES A GAUCHE SUR CE d e décharger l a vo i t u r e . I l e s t exacte m e nt 19 : 10
NEGATIF. SUR L ' ORI­
GINAL L 1 0BJET SE TROU­ q u a n d soud a i n Sand r i n e , q u i est à d e m i e d a n s l e
VE AUSSI DANS UNE LU• véh i c u l e , p o u r sorti r u n pa n i e r , ressent l 'étra nge
MINESCENOE BLEUE .
i m pres s i o n d e n 'être pas seu l e ; e l l e saisit son
pan i e r et s o rtant d u véh i c u l e , entend u n bru i t
PHOTO N• 4 a s s e z fort q u 'e l l e compare à c e l u i d 'u n é l ectro­
phone en m a rc h e , dont on d é p l ac e v i o l e m m ent
l e bras sur l e d i sq u e . Se to u rnant a l o rs vers l 'a r­
r i è re e l l e aperçoit son c h i e n , p rès d ' e l l e , q u i re­
g a rd e , la tête ha ute , ve rs le sau l e p l e u re u r ; p u i s
i l déta l e , l a tête reto u rnée ve rs l 'a rb uste d e r r i è re
l u i . P u i s a r r i vé au co i n de la m a i s o n , i l se sauve
défi n i t i vement sans avo i r aboyé .
A son tou r S a n d r i n e se to u rn e vers l e sau l e
p l e u re u r e t aperçoit u n objet b l an c é c l atant dont
e l l e a à p e i n e l e temps d e déta i l l e r l e s conto u rs .
C e l u i-ci e s t ova l e , l égèrement é c rasé s u r l e d e s­
s u s et le d e s s o u s . Le phénomène exp l ose d ' u n
••
1( s e u l coup e n u n éc l a i r d e f l a s h t r è s p u i ssant. San­
d r i n e , q u i ne verra p l u s r i e n du p h é n o m è n e , est
ave u g l é e . Lors d e son <<exp l o s i o n " e n fl ash , le
p h é n o m è n e é m i t le même b r u i t assez fort que l a tâton s son pa n i e r et e ntre brusquement chez e l l e
d e m o i s e l l e e nte n d i t au début, s o i t l e s o n d e pour se j ete r d a n s l es b ras d e s a mère e n p l eu­
1 ' é l ectrophone d o n t on d é p l ace rap i d e m e nt l e rant.
b ras s u r l e d i sq u e . Sand r i n e à d e m i-é b l o u i e L ' o b s e rvati on (temps entre l e p re m i e r b ru i t
Montage à l 'aide d 'un projecteur Kodak senior e l l e reste ra a i n s i envi ro n 5 m i n utes avant d e re­ e t l e second ) a u ra i t d u ré 3 secondes envi ron , c e
J 'avais dont la présomption qu 'il y avait bien eu co uvre r sa v i s i on norm a l e - porte presque à
L 'appareil était préréglé sur l 'infini à ouver­ (Suite haut de la page 24)
ture 2,8 avec une vitesse de 1 /2Se de seconde, quelque chose. J 'emmenais les clichés au labo­
et chargé avec un film Agfacolor 50 A SA . L 'ob­ ratoire où je travaille et passais les photos sous tout de même, l 'œil collé au viseur de l 'appareil
le microscope avec un simple grossissement de • • •
servation avait duré quelques vingt secondes. photo, je restais inconscient de ce qui se passait
Comme une grande lueur blanche était apparue 65 fois. Mes collègues et moi fûmes étonnés d 'y che de moi. Cela semble pratiquement éteint » ; «
réellement.
sur l'horizon, je pris une quatrième photo et tout apercevoir des lumières ... de couleur rouge,
« sa couleur est rouge orangé, logée dans une sor­ Les photos couleur jointes ne représentent
disparut. très nettes, avec au centre un foyer incandes­ te de traÎnée lumineuse bleue. que la partie intéressante des clichés, que j 'ai re­
cent. Chaque photo avait un << objet » lumineux Sur le dernier cliché c 'est tout différent et pris en macrophotographie. Ces agrandissements
Je restais là à regarder, espérant faire de nou­
de forme différente. de forme bizarre, qui rappelle un œuf. Cela pos­ furent de nouveau repris en macro pour arriver
velles photos lorsque l 'objet remonterait, car je
pensais qu 'il s 'était posé. J 'allais à pied jusqu 'à A la projection, les deux premiers clichés mon­ sède deux foyers incandescents et, est remonté à ce résultat.
l 'autoroute, puis je repris ma voiture et remon­ trent l 'objet assez haut dans le ciel, car on y très bas sur l 'horizon, beaucoup plus à gauche, Je m 'excuse de ne pas vous envoyer les ori­
tais la route jusqu 'à Sebourg et Rombies, pour voit aussi les lampadaires d 'Etreux à l'horizon. au niveau du pont de l 'autoroute ; il a laissé une ginaux pour expertise : je ne tiens pas à les voir
contourner les lieux. Enfin je venais me replacer L 'objet le plus haut à voir a une forme de S très légère traÎnée lumineuse rouge. Il a aussi dessiné disparaÎtre. . . Elles ne seront expertisables qu'à
à mon point de départ où je restais jusqu 'à mi­ allongé, incandescent sur toute sa partie centra­ des << arabesques » bleues luminescentes dans la certaines conditions : ma présence dans le labora­
nuit. le, qui se dégrade ensuite en jaune pour se ter­ brume. toire qui ferait le travail ...
A la maison, mes parents e t amis voulurent miner par une couronne rouge vif. Le second ob­ Les lampadaires permettent de bien situer les Les photos ci-jointes sont des documents per­
bien croire .que j 'avais vu et photographié quelque jet, parfaitement rond, avec les mêmes couleurs •. objets, e t de reporter sur un même plan les qua­ sonnels que je vous communique pour parution
chose de vague, mais rien de plus ... se ·tr.ouve légèrement plus bas. tre clichés. On peut alors voir qu'il est d 'abord UNIQUEMENT dans L.D. L.N., me réservant tout
descendu à la verticale jusqu 'après l 'autoroute, droit d 'autoriser leur utilisation ailleurs.
Je dus attendre le développement ·du film Sur la troisième photo, il n 'y a plus, à premiè­
re vue, que les quatre lampadaires. En réduisant près de moi, en s 'éteignant et en stationnant quel­ N.D. L.R. Les clichés originaux n 'ayant pas été
pour avoir une surprise : il n 'y avait pas la lueur ques secondes. Et brusquement, il a émis une expertisés, nous laissons à M. Clipet le bénéfice
rouge sur mes clichés, mais seulement un tout la projection pour avoir la luminosité maximum,
on s 'aperçoit qu 'il y a quelque chose, assez pro- grande lueur blanche ; c 'est alors que je fis ma de ses conclusions, sans émettre une opinion per­
petit POINT LUMINEUX, comme une étoile plantée quatrième photo. Durant ce temps, assez bref sonnelle motivée.
dans le film, par ailleurs complètement opaque. • . .

23-
-22-
A R RAS (suite de la page 23) J:NFORMATJ: ON ' G T R d'une installation de maintenance. Son usage, Lors de ses évolutions, en France, il est em­
bien que fréquemment employé dans ce but, n 'est ployé à des fins publicitaires d'informations géné­
q u i motive le peu de d éta i l s rapportés. Sand r i n e (Groupement Technique de Recherche) pas uniquement publicitaire ; il peut servir à des rales à l 'exclusion de toute publicité commercia­
a été très choquée et passa u n e n u i t b l anche ; l e De n o m b reux corresponda nts nous ont écri t pour observations météorologiques, à des mesures de le : 24 h du Mans, Salon de l'A éronautique, Foire
l e n d e m a i n e l l e p a rcou rut son j a rd i n p o u r retrou­ avo i r des schémas de détecte urs. Nous som mes e n­
pollution atmosphérique, des études topographi­ de Paris, . . .
ve r des traces d u phénomène m a i s rev i nt b re­ tra i n de constituer le doss i e r com p l et de réa l i sation
de I 'ANTIS 4 : n o u s vous demandons u n peu de pa­
ques et des photos aériennes. à des réglages de Ayant évidemment l 'autorisation d e survoler à
do u i l l e . .faisceaux radars. basse altitude les grandes agglomérations, ses
t i e nce et vous assurons que nous répondrons person­
L 'EXPLOSION DU PHENOMENE : n e l l ement à tous ces correspondants en leur e nvoyant Bien que d 'une utilisation assez souple, son évolutions nocturnes prennent un caractère étran­
Ce ne fut pas u n e exp l o s i o n m atéri e l l e te l l e l e doss i e r . atterrissage ne peut s 'effectuer qu 'avec la pré­ ge à cause du dispositif lumineux qui lui est
que nous l 'ente n d o n s , m a i s u n e exp l os i o n l u m i · Nous conse i l l o n s par a i l l e u rs à toutes l es person­ sence au sol d 'une équipe de réception, il est assujetti. De part et d 'autre de l'enveloppe sont
neuse , sans project i o n d e d é b r i s o u autre s , p l utôt nes i ntéressées par l a détecti o n de constr u i re le subordonné à un groupe de trois camions équipés en effet fixés deux panneaux de 32 m de long
une so rte d 'éc l a i r de f l a s h très p u i ssant. Le b r u i t détecte u r M A R E LLA en station f i xe à 2 e n s em b l es i n­ de mâts d 'amarrage amovibles qui peuvent être
versés de 1 8 0 °. ( p rototvoes en essai au GTR dont l es
représentant chacun une surface de 250 m2. Sur
f u t tout à fa i t syn c h rone à cette exp l o s i o n . dressés en moins d 'une heure. Un autocar trans­ celles-ci 7.560 ampoules multicolores (rouge,
appe l s s u r u n sens de polarité nous permettront peut­
I l n 'y eut a u c u n e s u i te phys i q u e o u psyc h i q u e porte les 16 hommes de J'équipe au sol, méca­ vert, bleu, jaune) assurent la diffusion, non seule­
être de débroussa i l l e r le prob l è m e LDLN 1 44 ) l à aus­
à d é p l o re r pou r S a n d ri n e , â g é e d e 1 0 a n s . Le si un dossier de construction va être m i s s u r p l a n car niciens, électroniciens, spécialistes, etc . . . une tn­ ment de messages lumineux dont les lettres ont
c h i e n est un m a g n i f i q u e d a l mat i e n d 'u n p e u p l us s a réa l i sati o n est beaucou p moi n s ardue que I 'ANTIS frastructura légère permet en outre une commu­ 7,50 m de haut, mais aussi de véritables dessins
de tro i s a n s , assez p e u reux, q u i est reto u r n é l e 4 et doit être à l a po rtée du bricoleur sérieux (un nication immédiate entre le ballon et une étape animés. Cette prouesse technique est réalisée
l e ndema i n p rès d u sau l e p l e u r e u r . petit montage + 8 soudures princ i pa l e s) . prochaine. grâce à un ordinateur embarqué dans la cabine.
L a d i stance d u phénomène a u té m o i n n 'a p u Cet énorme cigare gris métallisé, portant en Outre ce dispositif, cet engin possède tous
être app réc i ée exacte ment ; m a i s s i l 'o n ad m et PR�eiSitJNS caractères géants le nom de la firme qui J 'a cons­ les feux réglementaires de la navigation aérienne :
q u ' i l éta i t à 1 2- 1 3 m du tém o i n , j u ste a u-d essus Q u e l q u es erreurs se sont g l i ssées dans l e cour­ truit, a un volume de 5.740 m3, une longueur de au-dessus de J'enveloppe, au centre du ballon, un
d u j e u n e arbre, son d i a mètre est éva l u é à 1 m 50. r i e r R ésufo de L D LN 1 52 (février 76) : 58, 70 m, un diamètre de 1 5 m pour une hauteur feu rouge rotatif couplé à un feu blanc à éclats
Ce s o i r- l à , l a l u ne éta i t v i s i b l e , l e p re m i e r q u a r­ - page 23 : Bou l oq n e -St- l n g l evert W 25 : i l faut" l i re hors tout de 18 m, il est gonflé à J'hélium.
cap a l l e r 345, au l i eu de 347.
électronique. Sous la cabine un même jeu de 2
t i e r éta nt dépassé depu i s p e u . Le temps éta i t Au-dessous, et sensiblement au milieu, est
- page 24 : Cognac - Agen W 22, au l i eu de W 222. feux anticollisions. Devant et derrière le ballon
a s s e z fro i d a v e c c i e l u n p e u dégagé. fixée une cabine : longueur 7 m, hauteur 2,50 m,
- page 25 : Pas s e i ry - M ou l i ns UG 32 ; cap a l l e r 1 23 , un feu blanc fixe. De part et d 'autre de la cabine
I l n 'y eût d a n s l a m a i son a u c u n e p a n n e é l e c­ largeur 2 m (voir photos) . De part e t d'autre de
au l i eu de 1 32 . un feu rouge fixe à gauche, un vert à droite. Il
tr i q u e , a u c u n d é règ l ement dans l e s n o m b reux a p­
Egalement -l e s u rvol de Paris est i nte � d ! t sauf � �­ cette cabine sont fixés '' en nacelle (à la façon
»
dispose en outre d 'un puissant phare d'atterris­
pare i l s é l ectri q u es de M . Leroy, spéc i a l i ste é l ec­ rogat i o n , m a i s l e s avions de Transport c1vl l s et m i l i­ des réacteurs d'une caravelle) deux moteurs de sage tout azimut orientable.
tri c i e n . Le tém o i n , très j e u n e , 1 0 a n s , est très ta i res peuvent s u rvoler Paris à u � e alti � ude m i n i m UI!l 2 1 0 CV chacun qui entraÎnent des hélices de
équ i l i b ré et très évo l u é pour son âge. Aucun do ute de 2000 m. ; sauf b i e n entendu derogat i o n du Contro­ Comme on le voit, cet oiseau rare
« qui »
2, 1 0 m de diamètre ; ils assurent la propulsion
sur la s i n c é r i té d e ses d i re s . le. sillonne le ciel d 'été est aussi techniquement
du ballon à une vitesse moyenne de 60 km/h,
admirable qu 'il est indésirable dans J'esprit des
pouvant atteindre en pointe 80 km/h.
ufologues.
A vec des réservoirs supplémentaires de 600
litres, son autonomie, en vitesse de croisière, Méfions-nous du ballon ! . . .
peut être portée de 10 h à 23 h. Son altitude Nous tenons à remercier l a firme Good Year
d'évolution est de 300 à 1 . 000 m, plafond maxi­ qui nous a très aimablement donné tous les ren­
mum 2.500 m, son taux maximum de montée seignements techniques, ainsi que M. Brizon,
730 mjmn. pilote de ce ballon, qui nous a fourni les photos
Cet appareil a évidemment la possibilité de et de nombreux détails concernant la navigation
ru t

Les rester stationnaire. de cet appareil.

COU RRI E R R I!SU FO


Ballons une Ph oto bien é n i g tn atique

Lieu : L a G rand e-Borne ( p l ac e d e l 'Œuf) , 91 Le d i amètre apparent de l a bou l e éta i t s e m b l a­

dirigeables
G ri g ny . b l e à c e l u i d 'u n e p i èce de 1 0 c tenue à bout d e
Date : s a m e d i 20 décem bre 1 975 ve rs 22 : 30 . b ra s .
Témoins : m o n beau-frère e t u n d e s e s cama­ L ' i m meub l e a u-d essus d u q u e l l e phénomène
rades ( 1 6 et 1 8 a n s ) . semblait se te n i r est à envi ron 350 m d e s témo i n s
Durée : 30 à 40 seco n d e s . d a n s l a d i rection d e 1 '0 ,,_

A ppareil : P o l a roïd n o i r et b l a n c '' Z i p ,, _ ( Extra i t de l a l ettre de M . M . H i na u d , de Corbei l ) .


Dé légation du C I R CO N STANCES P r i s e avec le p l us s i m p l e d e s p o l a roïd , c ette
'' M o n beau-frère et son camarade se trou­ ph oto rés i ste à l 'exa m e n tant s u r le p l a n tec h n i ­
VAL DE M A R N E q u e q u e s u r l e p l a n aspect . N o u s l u i décernons
va i e nt dans une c h a m b re q u a n d une l u m i ère i n­
h a b i tu e l l e att i ra l 'atte nti o n d u camarade de M a­ donc u n préj u g é favo ra b l e d 'a uthenti c i t é .
nue l . C ette photo , d e fo rmat carré, mo ntre l a s i ­
Tous d e ux regardèrent u n e bou l e l u m i neuse q u i l ho u ette des i m m e u b l e s , t r è s n o i rs s u r l e fond
Parmi tous les engins volants, avions, pla­ rapide portrait. se trouva i t a u-d essus des i m m e u b l es s i tués e n gris très foncé d u c i e l . Au-dessus d e s m a i so n s
neurs, etc . . . le ballon dirigeable, par la nature de S i aux USA plusieurs appareils de ce type f a c e d u l e u r . Cette bou l e éta i t stat i o n na i re et d e u n obj et très b l a n c , e nto u ré d 'u n h a l o et d e q u e l ­
ses évolutions, par sa forme, par son silence évoluent, en Europe occidentale et en France le cou l e u r j a u n e pâ l e . q ues rayon s ( certa i n e m e nt d u s à l a d i ffus i o n p h o­
relatif, reste celui qui peut le plus prêter à confu­ seul ballon que nous pouvons observer est un L e c a m a rade d e M a n u e l e u t l e réfl exe d e tog ra p h i q u e dans ce f i l m un peu spéc i a l q u 'est
sion avec la vision d 'un objet non identifié. dirigeable souple mis au point par la firme Good p r e n d re l 'appare i l photo e t photo g ra p h i a l e phé­ l e p o l a roïd (3000 ASA) .
Nombreux sont nos lecteurs qui croient déjà Year et appelé Europa N2A . n o m è n e , dès que l a photo fut p r i s e l a bou l e L 'objet est hexag o n a l et m e s u re dans sa p l u s
J'avoir observé dans des circonstances particuliè­ Cet engin, qui ne peut évoluer par temps très p a rt i t o b l i q u e m e nt à u n e v i tesse ve rti g i neuse e n g ra n d e l a rg e u r 2 m m , ce q u i correspond à l a
res. Nous avons donc essayé de démystifier un froid (donc pendant les mois d'hiver) , est basé à prenant u n e te i nte d 'u n b l a n c é b l o u i ssant ( co m m e d i m e n s i o n esti mée p a r l e témo i n , envi ron 1 d e g ré
peu cet engin et nous pouvons en dresser un Capena, dans la banlieue de Rome, où il dispose u n f l a sh ) . ( deux fo i s l a Lu n e ) .

24 - 25 -
Il y a q u e l q u e s a n n ées o n pensait q u e l e ca­
GRIGBY 20 . 1 2 .75 ractè re d é ro utant des OVN i s v e n a i t d e l eu r pas­ lltJUIIelleS récenteS (Presse>
sage fugace et q u e l e s t é m o i g nages éta i ent faus­
sés par l 'é m oti o n du témo i n ou p a r l 'acti o n s u p­ 1 - FRA NCE (condensé de 1. TAHON)
Croquis des li eux . posée de particu l a r i tés des obj ets ( o n d e s , rayon­ M A RS 1 976: ECH ENON (Côte-d'Or)
n e m e nts , etc . ) . On p l açait donc d e grands espoi rs Un agricu l te u r , M . Lhui l l i e r et son f i l s ont décou vert sur l e u rs te r res un trou de 1 6 c m . de d i a m ètre ct
dans le t é m o i g n a g e '' objectif " d e la ph otog ra­ 8 mètres d e p rofondeur. Personne n'a creusé sur ce ter ra i n ,aucune trace de roue et de rejet d e terre sur l e J
phi e . côtés d u tro u . U n forage, m a i s o p é r é par q u i et quoi ?
Int erpr4tation ( • Les Dépêches .. du 1 9-3-76 )
Las ! I l n 'e n e s t r i e n . Les ph otos sont a u s s i
LE 21 JANVIER 1 976 : PRES DE SAI NTE-EULALIE-EN-ROYANS ( Drôme)
d é routantes q u e l e s témo i g n a g e s . Vers2 1 : 1 0 M. Jean Robert , d e la Baume d ' H osti n , rentra i t chez l u i en voiture quand il fut s u rp r i s par u n e
L e s d o c u m e nts mo ntrant d e s vai sseaux " ma­ l u e u r s e m b l a b l e à d e s phares d 'automob i l e . M . Robert v i t a l o r s , à sa g a u c h e , s u r u n ta l u s , u n c i gare l u m i neux,
téri e l s ,, sont co ntestables et les rares qui pas­ très é b l o u i ssant, haut d e 1 ,20 m . envi ron , muni de h u b l o ts dont sorta i e nt d e l a bord u re des l u m i è res très vives.
sent l a c r i t i q u e ne nous appre n n e nt ri e n de p l us Se cachant quelque temps l e visage dans l es mains, l e t é moi n très effrayé ne v i t pas l 'objet part i r .
q u e l e s d e s c r i p t i o n s des obse rvat i o n s v i su e l l e s . ( " L e Dau p h i n é Libéré .. d u 24-3 76)
( « L e Pro g rès ,. d u 24-3-70)
Pa r contre , i l exi ste u n grand n o m b re d e d o­ DATE I N CON N U E : LA VOULTE ( Ardèche)
c u m ents peu s pectacu l a i res montrant d e s l u m i è­ Vers 5 : 1 0 du mati n , un bou l a n g e r et son comm i s constata nt de b rèves success i o n s d e coupu res de
res ou des formes c u r i euses . P r i s e s séparément, cou rant, so rti rent dehors pour apercevo i r a l o rs dans le c i e l et s e d i ri geant vers l ' Est, une sphère l u m i neuse
ces ph otos ont p e u d e va l e u r et aucune n e nous entou rée d 'u n h a l o orangé, plus g rosse q u ' u n e éto i l e , c; u ' i l s observèrent jusqu 'à 5 : 35 . U n semb l a b l e phénomène

t
.

� apprend q u e l q u e chose . Par contre , s i o n l e s se serait prod u i t l e 24 septe m b re 1 975, à Romans. ( P resse d u début de l 'année)
0 p r e n d e n total i té o n e s t a m e n é à fa i re q u e l q u e s LE 4 MARS 1 976: SAHARA OCCI DENTAL
Li'\
t<'\ O UEST remarq u e s ( e n acceptant u n e créd i b i l i té stati sti­ Les p i l otes et passagers de p l u s i e u rs avi ons ont vu un o bjet l u m i neux, semblable à une comète g éa nte
que, e n q u e l q u e s o rte ) . m u n i e d 'u n e l o n g u e queue, à 1 5° au-dessus de l ' horizo n . L 'o bjet est resté i m mob! l e et n 'a d i s paru qu 'nu l ever
:> d u jour. U n p i l ote d 'avion a assu ré n 'avo i r été en présence n i d 'u n e comète( n i d'une fusée.
s:: Le p l us déconcertant est l a d i fférence souvent ( « Le Prog rès ,. d u tl-3-76)
Q)
1 remarq u ée e ntre 1 'aspect v i s u e l et 1 ' a s pect pho­
1
1
tog rap h i q u e du p h é n o m è n e . Dans l e cas étu d i é 2 - ÉTRANGER (condensé de A . FE R N A N D EZ)
� a u j o u rd ' h u i l e tém o i n v o i t rond u n objet q u e l a F I N JANVIER 1 976 : NOUVEAU M EX I Q U E
photo voit h exag o n a l . O n peut c i ter ég a l e ment : De mystéri eux obj ets volants qui, selon l es témo i n s , ress e m b l a i e nt à des sauci sses ont été observés cette
C h ambre
Le M o nt J e a n - LDLN 1 44 et 1 46 - où l a sema i n e dans le c i e l d u nouveau M exique . Des r.P.nta i n e s de citad i n s affo l és ont i nondé l e standard téléphonique
photo e n re g i stre u n e bou l e évo l utive rad i c a l ement de l e u rs appe l s .
L e s objets q u i vol a i ent en formation et avaient d e s d i sques n o i rs à chacune de l e u rs extrê m i tés évo l u èrent
d i fférente d e 1 'observat i o n d e s tém o i n s .
p l u s i e u rs j o u rs dans l a zone.
En S u i sse - L D L N 1 40 - où l a ph oto voit Le chef d e l a pol ice de Texico, Wi l l i e Ronqu i l l o , dé c l ara avo i r s u ivi u n objet s i l e ncieux qui vo l a i t à 300 m .
deux obj ets l à où l e témoi n n ' e n voit qu'un, avec nu-dessus d e s a voitu re .
ante n n e . L e s radars d e l a b a s e m i l itai re d e R e e s e , à 1 45 k m de C l ovi s , n 'ont rien s i g n a l é et s i certa i n s m i l itai res
de l a zone n e n i e n t pas avo i r vu q u e l q u e chose, i l s s e refusent à tout commenta i re .
Vo i r a u s s i LD LN 1 27 , p a g e 24, et b i e n d 'au­ Certa i n s donnent com me expl ication u n e pos s i b l e ma nœuvre d ' h é l icoptè res .
Particularité. Un agra n d i ssement du c l i ché
( • El D i aro " d u 26- 1 -76)
-
tres : La Souterra i n e , Fra n o i s , etc . . .
montre q u e l 'hexagone " pourrait être ,, l a p roj e c­ F I N JANVIER 1 976: SA NTA-FE ( Argentine)
t i o n d 'u n para l l é l ép i pède en pers pecti ve, je me U ne autre p a rt i c u l a r i té : l es obj ets apparais­
sant s u r l a photo a l o rs q u e le tém o i n n ' a r i e n Les habita nts de l a rue d u 1 •'-M a i dans cette vi l l e ont reçu l a vis ite d'un objet en fo rme de ci gare et
s u i s perm i s d e tracer e n poi nti l l és cette f i g ure entouré d ' i ntenses rayons orangés et qui ap rès de nom breuses manœuvres s 'est changé en une sphère pare i l l e
s u r l e calque d e l a photo . vu : Langres ( N° 1 40) - D a x ( N° 3 , séri e V ) , à u n e tomate ( ?) q u i f i t u n bond et d i s parut ve rs l e nord . (« La Nacion ,. du 29- 1 -76)
etc . . . Et à l ' i nverse l 'objet b i e n vu q u i n 'appa raît
N .B . - Nous s i g n a l o n s à nos l ecteurs que toutes l e s cor p u res de p resse relatives aux nouve l l e s réce:1te3 C:: o ivcn�
pas s u r le f i l m ! !
être e nvoyées à LDLN , 43400 LE CHAM BON-SU R-LI GNON .
Et e n co re , l e s ph otos " i mposs i bl e s ,, , où l es
om bres et l es l u m i è res se moquent de l 'opt i q u e
et d e l a g é o m é t r i e : B r i a nçon ( N° 1 42 ) - C l uj C OURRIER
( N° 1 1 4 ) , etc . . . • O P I N I O N MO D I F I E E : « Hojo del Lunes ,. du 1 9 moi 1 97 5 et disant que l es faits
I l y a a u s s i l e s photos n ettes p r i ses a v e c d e s De;:>u i s u ne dizaine d'années, je m'intéresse aux OVN I se sont dérou l és deux mois auparavant. La dote est inexacte ;
un peu p l us qu'en amateur ; je suis agrégé de Sciences physiques Ven tu ros Maceiros a fait son observation à Tres Arroyos (Argen­
appare i l s s i m p l e s et l es photos fl oues p r i ses avec et ci toit u n certain nombre de causeries sur c e sujet. gentine) le 30 décembre 1 97 2 à 22 :20 Et i 1 nous indique, parmi
d e très bons appare i l s . Les obj ets l u m i neux q u i Dons l es p t emières de mes causerie:; j e concl uais que l es d'outres, les références suivantes :
OVN 1 n'existaient que dans l'imagination des témoins et que - « Rejuvena . ion fol:ows c l ose encounter with UFO ,. par
n ' i m p res s i o n n e nt p a s l e fi l m et l es o bj ets fa i b l es . c science en donnerait probablemen t u n e explication nature l l e ... Pedro Romoniuk dons Fl ying Saucer Review. vol. 1 9, no 4, j u ly­
q u i don nent de b e l l e s photo s . Cette attitude, com mune à beaucoup de scientifiques, était ougust 1 97 3 , p . 1 0 - 1 4.
renforcée çor l'interprétoion absolument erronnée dont j'avais eu - « The extroordinory case o f rejuvenotion - further deve­
C e rtes , e n p r e n a n t c h a q u e c l i ché o n p e u t la preuve et dont j'aurais p eut-être l'occasion de vous reparler lopments ,. par Pedro Romon i u k dons Flying Saucer Review,
vol 1 9, no 5, septem bre-october 1 973, p . 1 4 - 1 5.
l 'exp l i q u e r par d e s confu s i o n s , l ' i ncom pétence , l a Depu i s quelques années j'ai p u me documenter de façon plus
- I l y a aussi un résumé de ce cos dons « Physicol Traces
sérieuse et l e fameux doss ier de « Sciences et Avenir ,. examiné
hâte , etc . . . M a i s q u a n d on e n exam i n e d e s cen­ ou bon moment pour que j e me décide à étudier ce problème ossocioted with UFO sightings ,. de Ted Phil l i ps, p. 87 (Center
For UFO Studies, june 1 97 5) .
ta i n e s , parmi l e sq u e l l es on reti ent d e s d i za i n e s , on de façon objective et avec la rigueur de la méthode scientifique.
m'y a a i dé .
P E U T - ET R E L A L U N E :
est a m e n é à envisager ce l a s é r i eusement. Votre ouvrage « Mystérieuses soucoupes volontes ,. m'a inté­
A propos du cos de Quimperlé (LDLN no 1 52, page 1 4) ,
ressé et m'a paru aborder l e problème avec une rigueur que
Il semble donc q u e l a phanta s m a g o r i e est a u s s i l'on souhaiterait trouver dons tous les ouvrages.
M. E. J OUIS pense qu'il s'agit d e l a Lune e t i l fournit les indi­
cations suivantes :
b i e n p h otograph i q u e q u e v i s u e l l e , q u e l a pe l l i c u l e J. PUVILLARD.
« Le l undi 4 novembre 1 974, la Lune s'est levée à 2 1 : 1 2
se l a i s s e a b u s e r et m a n i p u l e r a utant q u e l 'œ i l ! e P R EC I S I O N S : l é gales à Paris Environ 24 m n p l u s tord à Quimperlé, soit 2 1 :36
M. Rudy DE GROOTE nous écrit pour signaler une erreur dons d o n s l e secteur Est. E l l e était d o n c tout à fait d o n s l a situation
Photo de l'objet ( i mmeuble rajouté) A LO R S ? l e récit argentin ( LDLN No 1 53, page 22) paru dons le journal t equi �e.
La route de Quimperlé à A r zano, la D. 22 a e f fectivement une
Doit-on se l a i sser a l l e r à l a l as s i tu d e , à l 'aban­ direction générale vers I·ENE, mois i l fout tenir com p t e des
d o n et au fata l i s m e ? N ' O U BLIEZ-PAS DE NOUS FAIR E PARVENIR variations locales de directions, qui peuvent être très fortes
On remarque é g a l e m e nt que l 'objet ,, f u i t ,. N o n , i l faut acc u m u l e r l e s photos pour étu­
Quan t on regarde la Lune depu i s un train de nuit, on la voit
souvent passer d'un côté à l'outre des wagons. ,.
a p rès avo i r " posé , ! ! d i e r. Il n 'est pas q uestion de rati o n n a l i s e r le phé­ TO U S LES RAPPORTS D 'OBSE RVATION S Et il ajoute :
« Quon r à la distance, on soit qu'au lever, la Lune paraît
Paradoxes. - Depu i s des années q u e j 'étud i e nomène m a i s de l e compre n d re , ce n 'est pas à DONT VOUS POU VEZ AVOI R C O N NA IS· être toute proche derrière l es arbres ou les moisons Et quant

l e s p h otos q u i p a rv i e n nent à LDLN , i l e s t temps l u i de c h a n g e r m a i s à nous. ou triangle noir, il s'agit d'un objet du paysage se détachant
SA N C E . M ER C I ! sur l'astre. Enfin, puisqu'il y avait des nuages, il n'est pas
d e vous l i vrer l es réflexions q u 'e l l e s m ' i n spi rent. M . MON N E R I E. étonnant qu'e l l e oit été rapidement cochée ,.

- 26 - 27 -
N O S LIVRES S ELECTI O ES
To u t e com m a nde de l i v res doi t ê t re accompagnée m è n e s s p at i a u x , s o u s l a d i rect i o n d e
de son mon t a n t , e t ê t re ad ressée à la L I B RA I R I E DES
M . BOU GAR D .
ARCHE RS, « Se r v i ce spéc i a l LDLN » ( ne p a s o m e t t re
Etu d e c r i t i q u e d e s d o n n é e s a ctu e l l es d u
ce t t e men t i on ) 1 3 , r ue Gaspa r i n à LYON ( 2• ) . C.C .P.
p r o b l è m e e t p rése n tat i on d e s c a s p r i n ­
L YON 1 5 6-6 4 .
c i pa u x q u i en i l l u s trent l es ca racté r i st i ­
QUATRE NOUVEA UTES :
q u e s essenti e l l e s .
1/ A LA R EC H E R C H E DES OVN I
Franco : 5 5 F .
p a r J . SCOR NAUX e t C h . P I E N S
F ru i t d ' u n e étu d e pati ente et m éthod i q u e , 3/ LES O V N I EN l.J RSS ET DANS LES PAYS
i 1 e s t 1 'œuvre d e d e u x chercheurs q u i s e DE L'EST,
s o n t l i m i tés à u n e a p p ro c h e s c i e n t i f i q u e p a r l o n H O B A N A et J . WEV E R B E R G H .
p r u d e nte . Franco : 49 F.
Franco : 1 0 F . 4/ LES ETRAN G E R S DE L'ESPACE
2/ D ES S O U CO U PE S VOLANTES A U X OVN I par Don a l E . K EY H O E .
p a r l a Soci été B e l g e d ' étu d e s d e s p h é n o - Franco : 39 F .

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NOS Activités
E N Q U E T E S : T o u t abonné peu t deven i r enquêteur e t recevoi r c) Réseau tél éphonique sur les départements c i t és dans LDLN.
la l a rte O f f i c i e l l e d ' Enquêteur plus l ' Ai de - Mémoi re. Ces
enquêtes étant bénévoles, el les son t facul tatives, bien en­ d) Réseau N a t i onal d e détec t i o n d é j à ci té.
tendu . Tou�es l es personnes i n t é ressées par une de ces activi tés
devront déso rmais se fai re connaître en écrivant à l ' adresse
R E S U F O ! R éseau de phnt og raphes du c i e l ) : Dans presque tou s
suivante .
nos numéros f i g u r e n t des artic l es à ce su1et, qu i donnent
l es rensei gnements nécessa i res. Les personnes concernées M. TOUG ERON Poul
doiven t expéd i e r les pe l l ic u l es développées (avec une e n ­ 57, rue E t i enne-Dolet
veloppe t i m brée p o u r l a réexpéd i t i on) à M . MON N E R I E , 92240 MALA KOF F
8, passage des Ent rep reneurs, 7 50 1 5 P a r i s , et at.o sud d ' un e qui t r ansmettra aux d i fférents départements ( t i mbre réponse
l i gne Na ntes-LausC' '1ne, à M. P G U E U D ELOT, 28, rue Léa­ S.V.P.).
Bou y ssou, 40COO Mont-de-Marsan.
Ne pas oubl ier de fou r n i r l es renseignements i n d i spensa­
F I D U F O ( F ichier I n formati que de Documentation s u r les U F O)
oles à l' exploi tation éven tue l l e de ces travaux : l i eu de
pr ise de vue, dote, heure, hauteu r , a z i m u t , caractéri stiques a besoin de nombreux partici pants pou r l 'établ i ssement de
de l ' apparei l , dia phragme u t i l isé, émulsion , température fi ches et leur t r a i tement sur o rd i nateur : travaux de secré­
rel evée. t a r i at, traductions toutes l o n g ues, analyse, p rog rammation,
perfo-vé r i f . en c o l l a boration avec l e Département de Trai­
G R O U P E M E N T T E C H N I Q U E D E R E C H E RC H E (G.T.R.) tement I n formatique ( D T I ) . Quelques heures de t rava i l
1 ) Tous les appels de détecteurs du réseau n a t i o nal : Postes choque m o i s suffisent. C e u x q u i peuvent aider à l ' é l abora­
de fabrication personnel . N o 700 à 7 52, VEGA I l : 800 à 8 1 7 , t i on de cet ou t i l i n d i spensable pour l a recherche seront les
AN T I S 2 : 500 à 52 1 e t ANT I S 4 : 5 50 à 58 1 , devront ê t re bienvenus. Sec rétariat : M . J . - C . Vouz.el le, 6, rue Seo. ron,
adressés dorénavant à l ' adresse ci tée fin d ' a r t i c l e . 92260 Fontenay-aux-Roses ( T i m b re réponse S.V. P . )
2) Pour fac i l i ter l ' énorme t r avail (cou r r i e r r e l a t i o n ) l e G .T . R .
s e divi�e en départements : R E C H E R C H E S D ' A R C H I V E S : Ceux qui y p a r t i c i pent sont sou­
a) Sec t i on élec t ronique : recherche, études et fabrication d'ap­ vent émervei l l és en consta tant tous l es toi ts méconnus que
parei l s de détection fixe et su r z.one d'atterrissage. l ' on trouve en fou i l lant sy�témotiquement l a presse. Res­
b) Sec t i on géog r aphie-géo:og i e (études, terrains, envi ronnement, ponsable : Mme G U E U D ELOT, 1 3 3 , rue Léa-Bouyssou, 40000
l i eux p r i v i l ég i és. Mont -de - Marso n . (Timbre réponse S. V . P . ) .

L U M I E R ES DANS LA N U IT
l m p r i m P. en Fra nce - Le D i recte u r de la p u b l i cation : R . VEI LLITH - No d ' i nscription C o m m i s s i o n p a r i ta i re 35 .385
I m p r i m e r i e l m p r i l u x , St-Et i e n n e • Dépôt légal 2• tri mestre 1 976.

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