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05 /12/ 2003

A. Crepet

Objectifs

Introduction à l’EDI

Historique de l’EDI par l’exemple de la logistique

L’EDI et l’entreprise

Présentation de l’offre Sygebe/Rebeca

Présentation des extensions web de Sygebe/Rebeca

Retour d’expérience sur une projet EDI dans le monde du web.


Qu’est-ce que l’EDI?

EDI = Echange de Données Informatisé

L’EDI est l'échange électronique de données structurées


entre applications informatiques à travers un réseau
ex : bons de commandes, factures, avis de livraison, récépissés
de transport, versements bancaires ...

L’EDI permet ainsi d'éliminer plusieurs étapes par rapport


à une procédure papier
voir schéma page suivante

Qu’est-ce que l’EDI?


Qu’est-ce que l’EDI?

L'EDI est souvent présenté comme l'ancêtre du


commerce électronique.

En France, toutes les grandes enseignes de la


distribution ont opté pour ce type de messages à la fin
des années 80 pour communiquer plus efficacement
avec leurs fournisseurs.

En fait, L'EDI est aujourd'hui une des formes les plus


élaborées de commerce électronique entre
organisations car il s'agit d'une relation automatisée
sans intervention humaine.

Qu’est-ce que l’EDI?

Naturellement cette automatisation se prépare


soigneusement et ne se justifie que pour des relations
d'affaires permanentes entraînant des messages quasi-
quotidiens.

L’EDI appliquée aux entreprises de petites tailles, peut


être implémentée via des solutions légères, par
exemple:
solutions empruntant l'internet
l'EFI (échange de formulaires informatisé)
Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1981: Une logistique intégrée sans informatique.


Pour favoriser la communication et l’échange de données les
bureaux marketing du service des prévisions commerciales
sont à côté du service ordonnancement et approvisionnement
de la logistique.
L’échange téléphonique régulier et planifier du service
approvisionnement pour passer les commandes fournisseur
permet également de coordonner les plans de productions de
chacun.
L’ordonnancement se réalise lors d’une réunion tripartite entre
production marketing et logistique. Elle permet de définir la
planification de la production, la taille des séries de production
en trouvant le meilleur équilibre entre coûts et services pour
l’entreprise.

Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1981: Une logistique intégrée sans informatique.

Ces réunions étaient difficiles et très animées (les prévisions


sont fausses, il y a retard de production, un concurrent a fait
une promo : il faut répondre, je suis en rupture de stock...) Le
groupe de travail n’avait pas de chef il devait trouver un
consensus.

Communiquer sans informatique c’est aussi une


solution.
En 1981 L’informatique est absente mais la
communication est définie : les interlocuteurs, le
mode de réunion, la fréquence, les objectifs.
Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1982 : Chez un industriel mise en œuvre de


l’informatique de gestion d’un entrepôt central.

Informatisation sur un ordinateur avec un langage scientifique


le FORTRAN. La tenue du stock gagne en précision.
Le problème : Comment transmettre les informations à la
gestion commerciale sur un autre ordinateur avec un autre
langage ?

Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1982 : Chez un industriel mise en œuvre de


l’informatique de gestion d’un entrepôt central.
Les informations sont saisies sur les deux systèmes
informatiques séparément. Après inventaires il fallait 6 à 9
mois pour expliquer les écarts de stocks entre les systèmes.

L’informatique est présente mais elle ne


communique pas
Premier problème de communication : deux
ordinateurs d’un même constructeur ne peuvent
pas communiquer entre eux.
Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1984 : Conception d’une gestion d’entrepôt sur PC pour


un prestataire
La conception, la réalisation et la mise en œuvre de
l’application se fait en 18 mois.
Deux PC peuvent communiquer pour gérer un entrepôt mais
pas plus, l’un est le maître, l’autre L’esclave. (Pas de réseaux
de PC)
Pour communiquer à distance : on utilise une disquette
OK ! Deux ordinateurs identiques communiquent
Première solution de communication entre deux
ordinateurs.

Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1986 : Chez un chargeur avec une logistique


externalisée.
Première communication à distance
Envoi d’un fichier de commande aux prestataires et retour des
mouvements une fois par jour à des heures précises avec une
personne à chaque bout.
Matériel à assembler pour communiquer : une carte dans
l’ordinateur, un câble, un multiplexeur, un autre câble, un
modem, une ligne téléphonique et la même chose à l’autre
bout et la communication devrait avoir lieu.
Après quelques mois de test et un problème technique sur
chaque étape, il s’avère que l’onduleur parasite les données
qui transitent par le câble.
Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1986 : Chez un chargeur avec une logistique


externalisée.
Une fois la technique au point, il faut souvent s’y reprendre à
deux fois pour obtenir le fichier complet .Le fichier des
expéditions arrive en double ou bien est incomplet.

Un progrès : deux ordinateurs différents


communiquent à distance
Le contenu est simple, les techniques sont
compliquées, les méthodes consistent à essayer.

Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1988 : Chez un constructeur informatique

Internet avant l’heure : 230 000 personnes sur le réseau


Forum mondial
Messagerie interne
Toutes les données sont compatibles dans tous les outils
Tout communique avec tout.
Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1988 Chez un constructeur informatique


Fonctionnement de l’application : Récupération d’un fichier
d’édition destiné à l’impression, intégration dans un tableur
pour analyse et enfin retour dans une base de données pour
impression des étiquettes de préparation de commandes.
Cette application réalisée sans informaticien a permis de
contourné l’application de gestion et de gagner en productivité
dans l’entrepôt sans changer d’application.

Incroyable ! Tout communique facilement :


les ordinateurs et les applications.
Dommage un seul constructeur est concerné.

Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1991 Chez un prestataire


Comment faire communiquer deux ordinateurs totalement
différents (n’utilisant pas les mêmes protocoles de
communication) .
Le TELEX est une solution un peu lente, pas vraiment prévue
pour, et parfois il perd un caractère.

Avec de l’astuce ou des traducteurs même les


constructeurs incompatibles communiquent
Tous les ordinateurs commencent à communiquer
entre eux mais difficilement ou grâce à des
«astuces».
Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

De 1992 à 1995 chez un prestataire


Comment ne pas refaire les programmes pour chaque client.
La première réponse : Simplement en utilisant les normes
Galia, Gencod, Edifact . Toutes les informations ne sont pas
normées et chacun rajoute une donnée dans un segment non
prévue à cet effet. Finalement même avec les normes il faut
refaire les interfaces pour chaque client.
Chaque chargeur impose ses outils de communication.
Chaque secteur a ses serveurs ses stations de paramétrages
ses messages.
La mise au point des contenus, les tests pour vérifier le bon
fonctionnement et la validité des données, pour une mise à
jour automatique des systèmes est longue et fastidieuse.

Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

De 1992 à 1995 chez un prestataire


o Les cas particuliers
o Les contenus imprévus, les caractères spécifiques
o Le nombre d’intermédiaires technique et logique
o Le manque de définition des processus
o Les délais de transmission
… sont autant de paramètres qui rendent difficile la mise au
point. Un an est parfois nécessaire.
C’est la tour de Babel il me faut un traducteur pour
chaque relation.
Les normes sont un support mais insuffisant.
Le coût des développements et des évolutions
commence à peser sur les budgets logistiques
Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1995 à 1998 chez un prestataire


Les interfaces se développent de plus en plus avec
l’externalisation des prestations.
Elles deviennent même un facteur favorable à l’externalisation
en permettant aux chargeurs de sous traiter les opérations
physiques tout en gardant le contrôle stratégique des flux
d’information.
L’externalisation est moins risquée. Le prestataire compétent
en EDI détient un avantage stratégique.
Les EDI sont de plus en plus complets et riches en nombre
de messages pour interfacer un ERP (Enterprise Resources
Planning) et une gestion d’entrepôt.

Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1995 à 1998 chez un prestataire


Un cahier des charges peut atteindre 170 pages pour définir
l’interface imposée par un client à ses prestataires.
Ainsi un message EDI part d’une usine Française, passe par
les Etats Unis et revient chez le prestataire Français à 4 km
de distance de l’usine. Le message qui annonce la
marchandise arrive 3 heures après le camion.
De même pour quelques caractères spécifiques non
transcodés entre deux appareils entre la France et les Etats-
Unis, quelques mois de recherche sont nécessaires pour
comprendre pourquoi certaines commandes n’étaient pas
livrées.
Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

1995 à 1998 chez un prestataire


Maintenant les échanges augmentent en volume et en
distance.
Le contenu des messages devient complexe. Il détermine
les processus ou bien les processus déterminent le
contenu.
La vérification des traducteurs techniques est parfois
surprenante.
Le problème des langues et les décalages horaires
complexifient la mise en œuvre.
En conclusion, surtout quand çà marche, on y touche plus.

Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

De 1998 à 2000 .

Le coût de la communication devient un élément du tarif de la


prestation

Les volumes augmentent avec des informations


détaillées.
Le budget des communications augmente.
Les impératifs de traçabilité ralentissent la
productivité
Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

De 2000 à aujourd’hui
Techniquement la communication devient simple, peu chère
et évolutive .
Pourquoi les EDI ne sont ils pas remplacer par internet ? Le
manque de sécurité sur internet, la peur du piratage est une
première cause. La rareté des compétences des équipes
informatiques en nouvelle technologie en est une deuxième.
Internet est utilisé pour diffuser des informations (exemple:
confirmation de livraison) , pour passer des commandes.
Mais il faut encore intégrer des messages internet dans des
applications classiques?

Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

De 2000 à aujourd’hui
Le problème d’un EDI classique. Un exemple de fichier :

|2001020523|012345|FR|000052852|1860|2001502|

à l’intérieur du message, les informations sont à déchiffrer.


L’évolution du message est difficile
Pour un changement de caractère ou de position toutes les
informations deviennent fausses pour le destinataire.
Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

De 2000 à aujourd’hui
Dans le standard de communication internet type XML la signification des
données fait partie du message. C’est une source de simplification des
développements des interfaces et de leurs évolutions.
Le même exemple que précédemment :
<?xml version= ‘1.0’ ?>
<facture no=’2001020523’>
<noClient>12345</noClient>
<devise>FR</devise>
<montant>528.52</montant>
<tva>18.60</tva>
<dtFacture>20010502</dtFacture>
</facture>

Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

De 2000 à aujourd’hui
Dans ce message, ajouter une information ne change rien
pour le destinataire.
Les interfaces deviennent simples et évolutives
Un même message peut être utilisé par plusieurs
partenaires
Le travail de définition d’une sémantique commune pour
un groupe de communication reste à faire.
Le coût des développements va encore baisser avec le
perfectionnement des outils.
Historique de l’EDI par l’exemple (D. ERHEL)

Conclusion de D. ERHEL
La richesse et le détail des informations échangées sont
structurantes pour les processus , la productivité et le niveau de
service de chaque entreprise et de l’ensemble.
La mise au point de processus inter entreprise cohérent devient un
impératif.
L’apparition de méthode et de concept comme le SCM (Gestion de la
chaîne logistique) reflète cette problématique.
Alors que les concepts et les méthodes SCM ne sont pas entièrement
définis, les outils sont déjà à vendre.
Les outils SCM risquent d’imposés leurs processus aux hommes
alors que les méthodes et les concepts de mise au point de ses
processus inter entreprise ne sont pas encore définis.
Heureusement les évolutions seront bien plus faciles que dans le
passé.

Historique de l’EDI

La préhistoire :
La préhistoire, c’est d’abord celle des supports de communication.
Les premiers périphériques utilisent papier, rubans ou cartes ….
Ces supports d’information seront rapidement remplacés par les
bandes magnétiques ou les disques amovibles puis par les
réseaux de communication.
Le premier grand réseau destiné à la communication entre
ordinateurs est né en 1949.
la SITA gère les systèmes de réservation des compagnies
aériennes. Le transport est donc le premier secteur concerné par
une forme d’EDI.
Historique de l’EDI

La préhistoire :
L’utilisation de l’informatique par les grandes entreprises et
organisations conduit à la création de réseaux et terminaux
passifs et à l’édification de systèmes offrant une saisie et une
restitution d’informations proches des utilisateurs.

Chaque entreprise définit avec son interlocuteur :


o La nature et le format des informations à échanger,
o La fréquence des transferts.

Historique de l’EDI

La préhistoire :
L’échange principal est effectué sous forme informatique
(bande magnétique, disquette, …). Le retour de cet échange
peut être informatique ou manuel et il s’agit soit d’un nouvel
échange soit d’un accusé de réception avec les statistiques
des informations reçues.

Il n’existe pas de réelle dynamique autour de l’échange et il


convient plutôt de parler de transfert de données.

Ce type de transfert, né en particulier des échanges de


bandes magnétiques dans le domaine bancaire, est toujours
utilisé.
Historique de l’EDI

La préhistoire, exemple :
Dans ses relations commerciales, un réseau d’agences de
voyages gère les réservations et émissions des billets pour
une grande entreprise. Ce service est offert à des
entreprises ayant de nombreuses implantations. Le besoin
pour l’entreprise est alors d’obtenir des statistiques de
voyage selon des critères propres. La restitution des
statistiques se fait sous forme de bandes.
Un seul voyage peut être associé à plus de vingt critères
analytiques. La taille et natures des zones varient selon les
entreprises. Ces statistiques sont établies au coup par coup
entre le service informatique de l’entreprise et celui du
voyagiste.

Historique de l’EDI

La préhistoire :
L’échange bilatéral reste d’actualité aussi dans la micro-
informatique puisque de nombreux logiciels offrent des
possibilités de paramétrage des formats dits d’importation.

Les entreprises construisent avec leurs partenaires de


proximité ou leurs filiales des échanges de données
simplifiées liés essentiellement aux informations comptables
ou statistiques.
Historique de l’EDI

La préhistoire :
Les applications sont nombreuses, depuis les inventaires
répartis jusqu’au reporting périodique de gestion en passant
par le transfert des ventes entre une boutique et le siège
social.

La préhistoire, qui parfois perdure, c’est aussi un acteur


majeur qui impose ses propres formats aux partenaires. La
standardisation des échanges s’établit alors soit par le poids
économique d’une entreprise utilisatrice soit par le poids
économique d’un prestataire informatique imposant ses
solutions par la diffusion des progiciels.

Historique de l’EDI

Années 60
Plusieurs secteurs ont vu se développer des
standardisations de ce type :
o Échange de plans dans l’industrie automobile (RENAULT),
o Formats SAARI dans les échanges comptables.
Ces solutions, satisfaisantes à court terme, enferment les
entreprises dans une dépendance technologique vis-à-vis
d’un acteur unique. La forme des échanges est fonction des
capacités du logiciel de l’acteur et la richesse des messages
en est directement issue.
Cette période de l’EDI est donc surtout marquée par un
certain centralisme dans la concentration des moyens et des
échanges. L’objectif est de résoudre un besoin d’alimentation
d’un ordinateur central à partir de plusieurs partenaires.
Historique de l’EDI

Durant les années 60


Des études sont menées aux Etats-Unis sur les échanges entre
plusieurs entreprises différentes. Il faudra attendre les années 70
pour que les premières réalisations voient le jour avec des
échanges dans la distribution et le transport.
Années 70
Certaines organisations de codification engagent la mise en
place de standards nationaux de communication, permettant de
véhiculer par échange électronique de données des documents
commerciaux tels que le bon de commande, l'avis de livraison, la
facture, l'information produit, etc…

Historique de l’EDI

Le secteur bancaire :
Le secteur bancaire français initiera au sein du CFONB (Comité
Français d'Organisation et de Normalisation Bancaires) une
réflexion sur les besoins d’échanges entre une entreprise et une
banque mais aussi entre établissements bancaires.
L’analyse des besoins se fonde sur l’analyse des documents
existants : moyens de paiements, relevés de compte, …
Le comité procède ensuite à la conception de messages pour
chaque transaction. Les travaux sont réalisés flux par flux pour
ne pas modifier les chaînes informatiques de traitements.
Historique de l’EDI

Le secteur bancaire :
Cette première standardisation des échanges n’est pas un
véritable langage mais une collection de formats informatiques
pour assurer la transmission entre une banque et un de ses
clients.
En 1978, SWIFT, une autre organisation de gestion des
échanges bancaires, voit le jour. L’objectif est d’assurer les
transferts bancaires internationaux dans de bonnes conditions de
sécurité. L’aspect normalisation ne concerne que les échanges
interbancaires et n’inclut pas les liaisons banque / entreprise. Les
travaux de SWIFT donnent naissance à des messages
spécifiques mais aussi à des messages “enveloppes”
susceptibles de transporter des messages EDIFACT.

Historique de l’EDI

La distribution :
Toujours dans les années 70, le secteur de la distribution pour
lequel des organisations de normalisation sont déjà en place
pour la symbolisation des articles (codes barres) entreprend des
travaux sur les langages administratifs.

Les premières versions du langage GENCOD concernent la


normalisation des échanges papier. Le langage GENCOD,
d’origine française, restera confiné aux échanges hexagonaux.

Son vocabulaire et sa syntaxe sont complètement différents de


ceux d’EDIFACT.
Historique de l’EDI

L’automobile :
L’automobile est un secteur manufacturier travaillant avec de
nombreux fournisseurs, sous-traitants et opérateurs logistiques.

Depuis les années 70, des travaux de normalisation sont


entrepris pour réduire les coûts induits par la diversité des
composants de base.

Ces efforts, menés par les grands constructeurs et leurs


fournisseurs, conduisent à la création des premières normes EDI

Historique de l’EDI

1973
c’est l’année de création de SIMPROFRANCE, organisme
chargé des simplifications des procédures de commerce
international. C’est pour des besoins de simplification
internationale que naît la normalisation des données, des
documents puis le langage EDIFACT.
La gestation :
Cette période du début des années 70 à la fin des années 80
donne naissance à toutes les normes et langages sectoriels
existant aujourd’hui.
La démarche naturelle des entreprises ayant un besoin de
communication est de se regrouper, le meilleur moyen est de
réfléchir au sein des structures existantes.
l’EDI et l’entreprise

Système d’information de l’entreprise :


L’entreprise vit et agit au travers de trois systèmes structurants :
le système de pilotage, le système d’information et le système
opérant.
Le système d’information est au cœur de l’entreprise. Il assure
l’irrigation des systèmes opérant et pilotage afin de permettre de
mettre en œuvre les fonctions de l’entreprise. Le système
d’information est en relation avec l’environnement de l’entreprise.
Les fonctions du système d’information :
Le système d’information regroupe tous les éléments
nécessaires à la collecte, la gestion et la diffusion des
informations dans l’entreprise.

l’EDI et l’entreprise

Illustration du système d’information de l’entreprise :

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l’EDI et l’entreprise

Principales fonctions du système d’information de l’entreprise :


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l’EDI et l’entreprise

L’information dans l’entreprise :


Une information ne peut être exploitée au sein d’une entreprise
que si elle est accessible et validée ; aussi le système
d’information assure, en relation avec les opérateurs, le contrôle
de la validité des informations.
Le schéma de la page précédente résume les différentes
fonctions assurées par le système d’information.
Chacune d’entre elles utilise des données informatiques et des
données non-informatiques.
Il existe, en effet, de nombreuses données et règles,
indispensables au fonctionnement de l’entreprise, qui ne sont pas
informatisées et qui font partie du fond culturel de l’entreprise :
savoir-faire non informatisable, règles de gestion implicites,
connaissance de l’environnement.
l’EDI et l’entreprise

L’information dans l’entreprise :


Le degré d’intégration du système d’information dépend de
l’entreprise, de sa maturité technique, de la nature des données
des données qu’elle traite.
Le système d’information intègre, par nature, toutes les données
informatiques de l’entreprise.
Les données du système d’information non informatisées
agissent sur le système informatique par le biais des utilisateurs.
Ceux-ci connaissent les règles et appliquent les contrôles lors
des saisies d’informations. Ils maîtrisent des données générales
d’environnement : droit commercial, fiscalité, droit social, … et
corrigent les processus informatiques.
Ils sont informés des réalités de l’entreprise : disponibilité réelle
du stock, cessation de paiement d’un client, accords
commerciaux spécifiques, … et affinent les données
informatiques disponibles.

l’EDI et l’entreprise

Quelles informations pour l’entreprise ?


Le tableau ci-après présente les informations en liaison avec l’entreprise. On
peut effectuer une classification similaire pour les données de
l’environnement.
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l’EDI et l’entreprise

Comment l’entreprise communique-t-elle ?


Le système d’information communique différemment avec l’extérieur selon la
nature des informations. Le tableau ci-après présente les principaux moyens :
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l’EDI et l’entreprise

Comment l’entreprise communique-t-elle ?


Dans une approche EDI, seules les informations standards
pourront être utilisées.
Leur caractère “standardisé” d’une entreprise à l’autre et le fait
qu’elles soient répétitives permettent d’envisager leur
dématérialisation.
Lors de la transmission vers l’extérieur, la signification de la
donnée change de sens.
Les échanges de données standards sont majoritairement
utilisés dans les relations d’affaires entre entreprises.
l’EDI et l’entreprise

Comment l’entreprise communique-t-elle ?


Exemple :
o Pour un fournisseur, une facture de vente est caractérisée par un
compte client, un compte de vente, le rattachement à un représentant
….
o Pour le client, qui reçoit la facture, elle est caractérisée par un compte
fournisseur, un compte d’achat ou d’immobilisation, un montant à
payer ….
o De l’un à l’autre, la nature et la définition de l’information ont changé.
Il y a une requalification des données lors de leur entrée dans le
système d’information.
o Le destinataire utilise son propre référentiel pour qualifier son
document, distinguer les données obligatoires des données
facultatives et effectuer les contrôles en liaison avec son système
d’information.

l’EDI et l’entreprise

Comment l’entreprise communique-t-elle ?


Pour que les erreurs d’interprétation soient évitées, deux
solutions sont possibles :
o Utiliser les mêmes définitions entre les deux systèmes d’information
et mettre en œuvre des traitements intelligents pour leur
interprétation dans le système récepteur ;
o Faire effectuer ce travail par les opérateurs de saisie.
La première solution peut être déclinée en deux sous options :
o Utiliser une définition commune aux deux entreprises, donc
construire un système unique entre les partenaires. Cette solution est
peu généralisable si l’on augmente le nombre de couples,
o Mettre en œuvre un langage commun, universel, connu des différents
systèmes d’information. C’est l’objectif des langages EDI.
l’EDI et l’entreprise

Les récepteurs de l’information


Le système d‘information de l’entreprise utilise des capteurs
de nature différente. Leur rôle est soit de stocker
l’information jusqu’au moment où elle deviendra utile, soit
de transformer l’information pour l’intégrer dans le système
informatique.

Un des aspects de l’optimisation d’un système d’information


consiste à choisir les meilleurs capteurs en fonction de
l’information.

l’EDI et l’entreprise

Les récepteurs de l’information


Exemple :
Une entreprise désire calculer quotidiennement la
valorisation de son portefeuille d’actions. Elle gère le
nombre de titres détenus mais doit obtenir de l’extérieur la
valeur du cours des actions à la Bourse de Paris :
Soit, l’entreprise s’abonne à un journal économique et un
opérateur saisit chaque jour les cours nécessaires,
Soit, l’entreprise s’abonne à un service télématique qui met à
sa disposition un logiciel récupérant directement les cours
des valeurs choisies. L’information est directement intégrée
au logiciel de gestion de portefeuille de l’entreprise.
l’EDI et l’entreprise

Les récepteurs de l’information


L’exemple précédent montre qu’une même information, la
valeur d’une action, issue d’un même système, l’ordinateur
de la Bourse de Paris peut être communiquée sous
différentes formes à l’entreprise.

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l’EDI et l’entreprise

Typologie des documents de l’entreprise :


L’entreprise manipule de nombreux documents. Ils peuvent
être :
o Produits par elle-même pour elle-même,
o Produits par elle-même pour l’extérieur,
o Émis par l’extérieur pour son profit.
L’objectif d’un document est multiple :
o Il alimente le système d’information,
o Il peut être complété par le système d’information,
o Il peut initier un processus,
o ….
l’EDI et l’entreprise

La notion de cycle de document :


Certains documents peuvent être liés entre eux par des liens
logiques :
o à une commande correspond une réponse à la commande et une livraison,
o à une facture correspond un relevé de factures et / ou un règlement.
Cette liaison s’établit au travers d’un cycle d’échanges entre
partenaires.
Pour pouvoir gérer correctement ces liaisons, on rappelle
sur les documents la ou les références et dates des
documents amont : votre commande xxxx du jj.mm.aaaa ….
Au vu de ces informations, le récepteur sera capable de faire
le lien avec un document qu’il a lui-même créé.
En EDI, on appelle Traçabilité la faculté de pouvoir lier des
documents entre eux.

l’EDI et l’entreprise

Du document papier au document électronique :


La première démarche de l’automatisation des échanges
réside dans la transformation des documents papier en
documents électroniques.
Le document papier est destiné à un être humain.
La structure du document et sa forme sont donc adaptées à
la physiologie humaine et à ses caractéristiques (capacité de
reconnaissance de l’œil, vitesse d’assimilation, …).
Ces contraintes ont conduit à choisir le contenu informatif
des documents en fonction des actes à accomplir par le
destinataire.
La première des tâches effectuées est de reconnaître la
nature du document puis de le saisir dans le système
informatique.
l’EDI et l’entreprise

Du document papier au document électronique :


Cette reconnaissance de la nature du document reste une
préoccupation lors des échanges EDI.
Un document électronique n’est ni plus ni moins que la
forme numérique d’un document papier.
Chaque “composant” est transformé en élément
électronique et l’ensemble reste un tout unique où les
constituants sont interdépendants.
Tous les documents peuvent être dématérialisés si l’on fait
abstraction des aspects juridiques et de la rentabilité de
l’opération.

l’EDI et l’entreprise

Du document informatique aux données


informatisées :
Lors de la conception d’un document informatique,
l’utilisateur s’attache à la transformation d’une réalité papier
en une réalité électronique.
La structure en document demeure et fournit une
identification implicite des données ou des interlocuteurs
pour le document.
Cette étape se traduit par la conception de fichiers
d’enregistrements de longueur fixe dans lesquels la
reconnaissance des zones est positionnelle.
Cette démarche trouve sa limite lorsque le nombre et la
complexité des informations à transmettre sont tels qu’un
document papier devient difficilement conceptualisable. Il
faut dans ce cas analyser la structure même des données.
l’EDI et l’entreprise

Du document informatique aux données


informatisées :
Néanmoins dans la plupart des cas, l’enjeu d’échange
d’information est ancré dans le fait qu’il soit répété et
surtout souvent centré sur des données de structure
identique.
En conclusion pour informatiser, industrialiser un processus
d’échanges de documents ou d’information structurées : il
faut passer par la standardisation des données, par la
normalisation des documents
Ces deux concepts sont au cœur de la réussite d’un
système EDI opérant. Mais quelles sont les autres
composantes dans le bon fonctionnement d’un applicatif
EDI?

l’EDI et l’entreprise

Les composantes d'une solution EDI


La gestion des fichiers : Cette étape permet de sortir l'information
de l'application vers les traitements EDI. On parle de fichiers
pivots, de fichiers privatifs ou de fichiers applicatifs.
La traduction des données effectue la conversion de l'information
locale au format EDI normalisé.
Le formatage des données regroupe les données et constitue les
interchanges en fonction des profils d'utilisation du langage EDI
et des partenaires. L'ensemble sera confié aux réseaux de
télécommunications.
l’EDI et l’entreprise

Les composantes d'une solution EDI


La gestion des communications regroupe les protocoles de
contrôle d'échange de l'information, la session avec les
partenaires à distance (point à point), ou avec les réseaux à
valeur ajoutée (RVA).
La gestion de la station contribue à l'administration de
l'ensemble, aux contrôles généraux, aux erreurs éventuelles et
aux fonctions supplémentaires mises en place pour le système
EDI choisi. On peut y trouver des fonctions, de paramétrage, de
contrôle, d'archivage, d'automatisation, etc...
La réussite d'un système EDI est conditionnée par la maîtrise
dans la combinaison de toutes ces étapes et par la richesse des
fonctionnalités offertes.

l’EDI et l’entreprise

La mise en place d’un EDI entraîne :


Une diminution des erreurs, et donc des litiges, car les partenaires
s'entendent sur la codification et la présentation des informations
incluses dans les formulaires.
Une réduction des coûts grâce à l'absence de papier. Gencod a évalué à
8 euros le coût du traitement manuel d'une commande contre 0.3 euro en
mode EDI.
La réduction de la durée des cycles de transaction
Un meilleur suivi de la trésorerie interne et des flux financiers
Une meilleure gestion des stocks (vers les flux tendus)
Une économie directe grâce à la réduction du capital immobilisé
Une meilleure traçabilité de toutes les relations d'affaires avec les
différents partenaires soit une fiabilisation comme une réaction rapide et
efficace en cas d'anomalie
l’EDI et l’entreprise

Comment faire de l'EDI ?


La mise en oeuvre de l'EDI nécessite les conditions
suivantes :
Que les partenaires disposent chacun d'un ordinateur, quels que
soient la marque et le modèle.
Que les documents commerciaux soient traités sur ces
ordinateurs.
Que les partenaires disposent sur ces ordinateurs d'un
référencement commun des produits, codification article.
CES 3 CONDITIONS SONT NECESSAIRES ET
SUFFISANTES POUR FAIRE DE L'EDI.

l’EDI et l’entreprise

Pour mettre en place l'échange électronique de


documents administratifs et commerciaux par EDI, il
convient de suivre les étapes suivantes :
Identifier son ou ses partenaires
Définir la norme à mettre en œuvre ainsi que le ou les réseaux
de télécommunication à solliciter. Ceci conditionnera le choix de
la solution technique
Adopter un accord d'interchange existant ou élaborer celui qui
couvrira les besoins préalablement définis
Etudier l'impact sur l'organisation, notamment celui de la
suppression du document papier.
l’EDI et l’entreprise

Vers une complémentarité EDI / Internet


Leurs caractéristiques semblent à priori à l'opposé : fiabilité,
rapidité, sécurité et traçabilité des réseaux EDI ne se retrouvent
pas toujours sur l'internet, qui offre en revanche l'ouverture et la
convivialité.

L'EDI light est une nouvelle forme d'échange qui combine les
techniques Internet (pages Web...) avec l'EDI et permet ainsi aux
petites entreprises d'aborder l'EDI sans investissement lourd, tout
en utilisant des données standardisées (EDIFACT).

Demain l’EDI?

Tentative de modernisation: EFI et WEB EDI


EFI : échange de formulaire informatisé : cette solution
permet de véhiculer un flux EDI initié par une saisie
manuelle de données dans une architecture client/serveur
WEB EDI reprend le concept de l’EFI et lui donne une
nouvelle dimension en plaçant le formulaire sur internet
Ces solutions sont basées sur la saisie manuelle
d’information et ne permettent bien souvent pas de
communication des systèmes d’information
limite pour le développement de ce type de solutions
Demain l’EDI?

Le futur de l’EDI
L’EDI se tourne de plus en plus vers les perspectives ouvertes par XML
Pourquoi XML ?
o XML est un métalangage conçu par le W3C (World Wide Web Consortium)
permettant de définir des langages spécialisés d’échanges de données sérialisés
o Avec XML, un ensemble de règles sont édictées pour la conception de format
texte. Il est possible de décrire en XML une transaction commerciale, une formule
mathématiques ou une partition musicale.
On obtient un fichier facile à générer et surtout à lire, non ambigu, évitant les
pièges courants tels que :
o La non extensibilité
o L’absence de prise en charge de l’internationalisation
o La dépendance à certaines plateformes
XML pose de façon beaucoup plus claire qu’auparavant la question du
contenu

Demain l’EDI?

Synthèse des avantages d‘XML


Technologie non propriétaire, ouverte sur les standards internationaux
Portabilité: indépendance système / protocole
Interopérabilité: par le mécanisme de transformation d’arbre au travers
de XSLT
Réutilisation grâce aux structures de document (DTD ou schémas XML)
qui peuvent être reprises puis étendues
rôle des registres de schémas XML tel que biztalk ou ebXML
Flexibilité, évolutivité : XML est basé sur la théorie des arbres et des
graphes ++ pour la manipulation et l’optimisation des structures (XML
Query, XML Digital Signature…)
Adoption massive, banalisation, réduction des coûts
Demain l’EDI?

Synthèse des avantages d‘XML


XML enrichit la gestion de contenu pour les documents
électronique.
Réduisant les coûts d’organisation et de structuration du contenu
(DTD)
Améliorant la présentation (XSL)
Accroissant la capacité à réutiliser, inclure ou à relier du contenu
(Xlink et Xpointer)
Améliorant la pertinence du résultat des recherches (RDF)

Architecture d’une application de type XML/EDI


Demain l’EDI?

Le B2B avec XML


OASIS (Organization for the Advancement of Structured
Information Standards) a créé un comité technique dont
l’objectif est de définir un format standard de document pour
les suites bureautiques, basé sur XML. Parmi les membres
fondateurs de ce comité figurent notamment Sun, Corel,
Arbortext et Boeing.
En créant un format universel et ouvert pour les documents
bureautiques, l’Oasis veut simplifier la gestion des
documents dans les sociétés et assurer l’interopérabilité
entre des logiciels aujourd’hui séparés par des formats
propriétaires ou mal documentés.
Microsoft n’est toutefois pas membre de l’initiative de
l’Oasis.

Demain l’EDI?

Le B2B avec XML : les vocabulaires XML


BizTalk : Le répertoire de schémas BizTalk.org créé par
Microsoft en septembre 1999 "pour encourager l'échange et
la définition de documents basés sur XML" a fermé ses
portes le 19 juillet 2002.
ebXML (Electronic Business using eXtensible Markup
Language)
Projet commun à l'UN/CEFACT (United Nations Centre for
Trade Facilitation and Electronic Business) et Oasis ayant
pour but d'utiliser XML pour définir un ensemble de
spécifications permettant à des entreprises de nouer des
relations d'affaires sur Internet quelque soient leur taille et
localisation géographique.
Architecture de eb/XML

Demain l’EDI?
Le B2C avec XML :
les transactions commerciales
structure et étapes, offre, paiement, livraison et authentification
exemple de protocole OTP (Internet Open Trading Protocol) de l'IETF
(The Internet Engineering Task Force, Organisation de standardisation
composée de volontaires qui a pris en charge des points particuliers liés
aux protocoles tels que le protocole HTTP
OTP signifie Open Trading Protocol (nommé aussi IOTP : Internet OTP)
OTP définit un protocole pour les transactions commerciales sur
Internet
OTP vise à encapsuler les méthode de paiement
OTP est défini par l'Open trading Consortium le 12/01/98 et le W3C

Perspectives et futurs développements : la galaxie XML va-t-


elle à la fois remplacer HTML, Corba et SQL? Vers l'unification
du monde des documents et de la gestion?
Les Web Services, basés sur XML : au cœur de l’EDI de
demain.
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Objectif de l’EDI

SYGEBE - REBECA est un progiciel d ’EDI


RECEPTION D ’ORDRE DES CLIENTS
(VIREMENTS, PRELEVEMENTS…) => SENS A
MISE A DISPOSITION D ’INFORMATION
(RELEVES DE COMPTE, RELEVES D ’IMPAYE…)
=> SENS R
Les Sens sont définis en se plaçant du côté
client
Objectif de l’EDI

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Ordinateur Central et Serveur de


communications

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< ! Portefeuille Comptabilité

Suivi de compte Trésorerie


Système d'information Gestion Commerciale
de l'entreprise
BANQUES

Communication
Bancaire
Connaître la
Relevés
situation de ses
comptes
Suivi de compte
L.C.R. Prelèvémént Virement
Consultation du portefeuille Rapprochement
Gestion échéances
Préparation des remises Prévisions

Comptabilité Budget
Journaux de Banque et Paye Trésorerie
Gestion commerciale

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Les réseaux

RTC
Transpac
RNIS
Internet

Les protocoles

ETEBAC 3 (Asynchrone, Transpac, RNIS)


ETEBAC 5(Transpac,RNIS)
PeSIT (Transpac, Rnis)
EDIWEB (Internet)
Fax (RTC)
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Les enjeux de Sygebe/ Rebeca

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Les enjeux de Sygebe/ Rebeca

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Présentation Fonctionnelle

UNE OFFRE
DEUX PRODUITS :

SYGEBE : Administration et contrôle des flux


REBECA : Anté-serveur de communication
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Intègre le suivi administratif (Abonné,


demandeur, type de fichier, ...)
Permet le suivi opérationnel
Assure l’automatisation des échanges
Est accessible pour la validation par les
agences
Est cohérent avec une logique système
d’information

Centralisation des échanges


PELICAN
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Véritable interface de communication


Intègre les protocoles ETEBAC, PeSIT,
INTERNET et FAX
Permet la réception des fichiers
Assure la mise à disposition des informations
clients
Conçue pour être une plate-forme universelle de
communication

Architecture
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REBECA

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EDIWEB : pour un échange Banque/Client avec SYGEBE/REBECA

INTRODUCTION - PRINCIPE GENERAL

L’EDIWEB permet :

l’envoi et la réception de fichiers à la norme CFONB ou autres, sans avoir


besoin de logiciel de communication

la visualisation immédiate du résultat du transfert

une sécurité totale des échanges

EDIWEB

Cinématique :

après une authentification, le client choisit son option

l’envoi de fichiers vers la banque

la réception de fichiers de la banque


EDIWEB

Le client indique le type d’opération et le nom du fichier à transmettre et valide


l’opération
EDIWEB

Le transfert se déroule.

Dans la même session le client reçoit un accusé de transfert


qui reprend l’intégralité de son fichier.

Il peut ainsi :

Valider le fichier s ’il est correct

Visualiser les anomalies en cas d’erreur


EDIWEB

INTRODUCTION - CARACTERISTIQUES TECHNIQUES


La configuration technique permet d ’intégrer une sécurité totale des
échanges.
Aucun stockage de données sur le serveur HTTPS
génération de pages HTML dynamiques en fonction de l’utilisateur

EDIWEB
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EDIWEB
INTRODUCTION - POINTS FORTS

Pour la banque :

Simplicité de mise en œuvre

Le service est ouvert 24h/24 et 7j/7

Disponibilité d’accès même en déplacement

Sécurité d’accès et d’échanges par une identification sécurisée

Transfert sous SSL

Basé sur SYGEBE/REBECA V3, produit utilisé par plus de 30 banques à


ce jour

Respect de l’architecture par une intégration immédiate au service EDI


existant.

Déploiement rapide auprès des clients.

EDIWEB

INTRODUCTION - POINTS FORTS

Pour le client :

Simplicité de mise en œuvre

Facilité d’utilisation

Disponibilité d’accès même en déplacement

Suivi des transferts immédiats par des accusés.

Ne nécessite aucun investissement en logiciel de communication


Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE

L’ application d’administration de SYGEBE a été initialement


développée en COBOL.
En août 2002 : projet de refonte de l’interface
d’administration de SYGEBE en changeant l’architecture
technique et l’architecture applicative.
Les questions que nous nous sommes posés à l’époque :
Quelles sont nos contraintes, nos exigences?
Quels sont les risques?
Quelles sont les différentes technologies pour réécrire
l’application?

Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE


Interface 32*70
Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE
Interface 32*70

Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE


Interface 32*70
Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE
Nouvelle Interface

Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE


Nouvelle Interface
Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE
Nouvelle Interface

Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE

Quelles sont nos contraintes, nos exigences?


Robustesse
Sécurité
Performance
Capitalisation du code
évolutivité
Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE

Quels sont les risques ?


Les personnes de l’équipe ne sont pas formées
Nous n’avons pas éprouvé dans l’entreprise ce type de technologie
Nous ne connaissons pas le gain sur investissement
Nous ne connaissons pas les outils relatifs à ce type de
technologie.

Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE

Quelles sont les différentes technologies pour réécrire


l’application ?

Deux solutions :
o Utiliser une technologie éprouvée dans l’entreprise (CGI écrit en C)

o Passer à une technologie permettant :


la réutilisation du code (capitalisation du code via des frameworks
internes, l’utilisation de frameworks externes).
Pourquoi cette exigence de capitalisation des dévelopements?
Parce que le produit évolue énormément
Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE

Quelle a été notre stratégie?

Pré-étude avec le département R&D pour le choix de l’architecture


technique et de l’architecture applicative
Mise au point d’une méthodologie de développement
Au début et jusqu’au ¾ du projet, elle n’a pas été formalisée
Dans notre exigence de capitalisation du travail :
Nous avons en juin 2003 travaillé justement sur la formalisation de cette
méthodologie pour les projets « nouvelles technologies » à venir
Pour un nouveau projet, celui de la refonte de l’EDIWEB de
SYGEBE/REBECA, nous avons choisi de concevoir nos propres
frameworks
Nous nous sommes imprégnés de la culture « Design »

Méthodologie de projet Tessi Informatique

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3
Retour d’expérience sur la plate-forme d’administration SYGEBE

La difficulté de ce projet a résidé dans la maîtrise de la technologie


Il est important
D'adapter son processus de développement
o itératif, branche technique, prototypage, identifier le rôle des intervenants …
De rechercher la simplicité
D’éviter les pièges marketing dans le choix des outils
De s'assurer des compétences de son équipe et de l’organiser
D’identifier les étapes critiques (ex: conception architecture applicative)
De se faire accompagner sur ces étapes critiques
D’assurer une veille technologique conséquente concernant les outils et
méthodes liés au Design
De mettre en place les préconisations et les méthodes de travail du Design

Liens

EDIFrance : L'association pour le développement des


échanges électroniques professionnels : www.edifrance.org

Tessi Informatique : www.tess2i.fr

Site de référence sur XML :http://xmlfr.org/


Résumé

Présentation, historique et perspective de l’EDI

Présentation de l’offre Sygebe/Rebeca

Présentation des extensions web de Sygebe/Rebeca

Retour d’expériences sur une projet EDI dans le monde

du web à Tessi

Remerciements

Ce cours a été réalisé à partir d’une longue étude de synthèse


sur le thème de l’EDI effectuée par Jérôme Chapon
(jchapon@tess2i.fr)
Ce cours s’est également appuyé sur un article «Evolution de la
sous-traitance et de la compétence logistique», Solution
transport du 26/03/2003 N°8 . L’auteur Daniel Erhel, après 20
ans de pratique opérationnelle de la logistique (DIRECTEUR
GENERAL et Membre du comité de direction du groupe
GIRAUD) , a choisi d’analyser l’évolution des communications
dans le temps au travers d’exemples. L’échange d’information
entre les hommes étant pour lui la base de l’optimisation
logistique.

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