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DROIT FISCAL APPROFONDI

Bibliographie:M.belltrame « la fiscalité en france » 14em edition


M.bienvenu et lambert » droit fiscal » edition PUF
« grands arrets de la JP fiscal » edition dalloz
revues:revue de droit fiscal
la revue de JP fiscal

introduction

Definition : Le droit fiscal est la branche du droit public qui étudie l'ensemble des regles jur
relatives à l'impot.
C'est une definition de Lamarque il ressort de cette defintion que le DF consiste en l'étude des
règles techniques relatives à chaque catégorie d'impôt, toutefois dans la pratique le Df comporte des
aspects théoriques qui permettent de mieux appréhender les règles pratiques.
On regroupe ces règles théorique sous le therme de science fiscale cette dernière permet aussi de
voir la matière du point de vue soc,eco et po de l'impôt et elle permet aussi d'expliquer les raisons
de l'adoption de certaines normes fiscales.
Si l'on part de la definition ci-dessus on s'aperçoit que cette définition est limitée et Lamarque en a
donc proposé une définition plus approfondie
« le Df recouvre l'ensemble des conditions d'elaboration et d'application du DF , les organes
competant en mat fiscal, les prerogatives de l'adm et les garanties accordées au contribuable et les
rapport fisc/contribuable ».
au dela de ces définitions on s'apercoit que le critere principal du Df réside sur la notion d'impot
c'est a dire que tt regle relative a un impot va faire partir du DF.
L'impot est une prestation pecuniere requise des contribuables par voie d'autorité d'apres leurs
faculté contributive a titre definitif et sans contre partie directe afin d'assurer la converture des
charges publiques ou tatteindre les objectifs fixés par la puissance publique. Définition du
Professeur philip.
Dès lors qu'un prélèvement remplie ces caractéristiques il s'agira d'un impôt auquel on appliquera le
droit fiscal. Chaquee impôt a ses règles propres,par exemple les règles de territorialité applicable a
IRPP seront différente de celle de ISF mais il existe un régimecommun a tt les impôtss que l'on peut
appeler régimee fiscal: chaque impôt a une assiette( champ d'application + base d'imposition),règlee
sur la liquidation (montant de l'impôt à partir des déductions,tarif abattement et majoration), les
règles relatives a son recouvrementcontrôlee etcontentieux. Toutes ces règles trouvent leurs sources
dans différentes normes de degrés divers.
cette matière présente un certain nombre de particularismes :
• la fiscalité fait partie des matières souveraines de se fait les sources du droit fiscal sont
essentiellement internes. Pendant longtemps la loi a été la principale source du droit fiscal
mais depuis la constitution de 58 et la mise en place du CC on s'apercoit que le contrôle de
const a pris une place imp en droit fiscal et on trouve didifférentsextes dans le bloc de const
qui concerne la fiscalité. La loi fiscale pour être appliqué requiert l'application de disposition
réglementaires adoptées par le gouvernement mais aussi dans certains cas précis par les Ct
• la second particularité est l'interprétation du droit fiscal. Chaque
• aujourd'hui le droit fiscal trouve ces sources dans des normes supranationale du a la
mondialisation.

Thème 1 : les sources constitutionnelles du droit fiscal

rappel: la référence au sources constitutionnelles évoque l'ensemble du bloc de constitutionnalitéce


dernier est composé de la const de 58 de la DDHC,ddu préambule de 46,PFRLR et certaines lois
organiques dont la LOLF(2001).Lorsque on examine les différents élément du bloc on constate qu'il
contient des principes applicables au Df il faut faire la distinction en 2 type de principe:

chapitre 1:les principes constitutionnelles fondamentaux

la encore il faut faire une distinction entre les principe constitutionnels propres au DF et d'autre
généraux mais qui ont une application en DF

section 1: les principes constitutionnels propres au DF

Un des ppe majeur est le ppe d'égalité fiscale : il occupe une place importante car il est invoqué
quasi toujours lorsque les lois de finances ou fiscal font l'objet d'un contrôle de const.
Le second ppe est le principe de nécessité de l'impôt,il est moins invoqué que le premier principe.

Paragraphe 1: principe d'égalité fiscale

Il est invoqué a l'encontre de lois avec des dispositions fiscales se fut le cas en 99 a l'encontre de la
loi instituant le PACS. Ce ppe ressort de plusieurs art du bloc : art 1 de la const de 58,art 1+6
DDHC et a l'article 13 de la DDHC ( plus spé au droit fiscal)))
le fait que se ppe soit contenue dans plusieurs art amène a s'interroger sur la notion d'égalité en
matière fiscal et sur la porté de se principe

A-la notion d'égalité fiscal.

Se ppe a plusieurs exceptions et l'on différencie le ppe d'égalité devant la loi fiscale devant l'impôt
et devant les charges publics
• devant la loi fiscal:il ressort de l'art 6 DDHC et il signifie que la loi fiscal doit
s'appliquer de la même façon a l'égard de tous, le CE c'est attaché pendant longtemps a
faire respecter se principe
• devant l'impôt: art 13 DDHC,il signifie que tout les contribuables qui se trouvent dans
une situation identique définie par la loi fiscale doivent être soumis au même régime
fiscal. Comme le précise l'art 13 se principe impose une égale répartition de l'impôt en
prenant en compte les facultés contributives des personnelle 164 DC 29 décembre 1984
« loi de finance pour 1984 » ( perquisition fiscal)
ces deux cas sont relativement proches et certains ont essayé de les distingué ( prof la marque)de
ces recherche il est ressortie que le critère de distinction entre ces deux repose sur la distinction
entre les réglés de fond et les règles de procédures.
Les réglés de fond: détermination des pers imposable ,de la détermination de la manière
imposable,ces règles seraient examiner sous le principe de l'égalité devant l'impôt. Il tire se constat
de la décision CE 164 DC 29 décembre 1984 « loi de finance pour 1984 » ( perquisition fiscal)

les règles de procédures serait plutôt examiné sous l'angle de l'égalité devant la loi fiscal, pour se
constat il s'appuie sur la décision du 27 décembre 1973 « taxation d'office » dans cette décision le
législateur avait fait une distinction entre les petits et gros contribuable a propos de l'application
d'une règle de procédure et le CC va condamné cette décision au regard de l'art 6 DDHC.
La décision 530 DC du 29 décembre 2005 portant sur la loi de finance pour 2006 fait aussi
référence a l'article 6 DDHC

• égalité devant les charges publiques : + large que l'égalité devant l'impôt ( regroupe les
cotisations sociales etc..) et ce ppe impose au législateur de respecter un cadre générale a
l'intérieur duquel il peut aménager des différences a condition qu'elles n'entrainent pas
une rupture caractérisée de l'égalité . De ce fait le CC utilise ce ppe lorsqu'il apprécie le
respect du ppe d'egalité par rapport a plusieurs impots formant un ensemble
homogéne.c'est a propos de la CSG que le CC a utilisé se ppe car cette Csg comporte 3
assiette et la doctrine estime qu'il n' y a pas une CSG mais plusieurs CSG representant
un ensemble homogene et se serait pour cela que le CC a utilisé se PPE. C'est ce qui
ressort de la décision 28 décembre 90 dit décision CSG 285 DC.
Le CE a adopter la même position que le CC lors de l'instauration de IRRPP en
Polynésie FR
le terme ppe d'égalité fiscal regroupe ces trois nuances

B- la portée du principe

se principe a d'abord eu le rang de PGD dans la JP du CE , c'est en 1936( REP contre décret sur la
patente a l'encontre des immigrants asiatiques ou af exercant un commerçant à madagascar) que le
CE l'a utilisé pour la premiere fois en faisant reference a l'art 13 de la DDHC mais a jugé qu'il n'y
avait pas d'inégalité devant l'mpot car les contribuables d'origines etrangers etaient dans une
situation differente de celle des contribuables français.
Il se refera au ppe d'égalité devant l'impôt dans un arrêt de section du 4 février 1944

puis il devient un ppe constitutionnel avec la décision taxation d'office, a partir de la les
interventions du CC deviennent de plus en plus fréquentes.
Si l'on compare la JP du CE et celle du CC on se rend compte qu'elles sont proches et notamment on
constate que les deux juges posent les mêmes limites à l'application du ppe et utilise des méthodes
de contrôle assez proche

1-les limites d'application du ppe dans la JP fiscal

1er constat:on trouve toujours un considérant ( CE ou CC) qui affirme que le ppe d'égalité ne
s'oppose n'y a se que le législateur réglé de façon différente des situations différents,n'y a se qu'il
déroge a l'égalité pour des raisons d'intérêts générales.
Il découle de ce considérant que les juridictions vont rechercher s'il y a identité de situation ou s'il y
a un motif d'intérêt général.
• Identité dee situation: ce ppe dit que les personnes placées dans des situationsidentiques
sontt soumises aumême régime juridiquee et sont traitées de lamême façon.. Des lors que le
juge constate cette identité de situation il regarde si la différence de traitement porte atteinte
au ppe d'égalité. Arrêt 28 février 1974« association des maire de France » Ass. arrêt
rendu a propos de la patente qui devait être plus faible pour EDF par rapport au autres
producteurs d'énergie électrique. Le Ce dit qu'il y a atteinte au ppe d'égalité car EDF était
dans la même situation que les autres producteurs
385 Dc du 30 décembre 96 loi de finance pour 97: il s agissait d'un avantage fiscal pour
les personnes veuves le CC a déduit identité de situation entre les veufs et les personnes
célibataire il y a donc inégalité et censure.
On constate dans la JP que si deux pers se trouvent dans un situations différente on peut
leurs appliquer le même régime fiscal. 28 mars 97 « SA baxter »:les requérant invoquaient
une rupture de l'égalité et le CE a dit qu'il était certes dans une situation différente mais s s
qu 'on pouvait leurs appliquer même régime.e.e. le pp ne fait pas non plus obstacle a ce
qu'une loi de règlementment impose régime différent pour des personnes dans des situations
différentes. arr. « PELLE » fait application de ce ppe.
Ex:Arr ass 28 juillet 2002 « villemain » le >CE a jugé que les personnes marié et les
partenaire lier par un PACS était dans une situation jur différente et que le ppe d'égalité
n'imposait pas d'étendre a l'identique des mesures fiscales du mariage au PACS.
Au vue de la JP du CE et du CC la différence de situations ne répond pas a une définition,il s
agit essentiellement d'une question de fait,il faudra donc apprécier au cas par cas
pour la JP du CC 555 DC du 16 aout 2007 relative a la loi TEPA le CC a estimé que les
salariés employés par des particuliers ne se trouvent pas dans la même situation que les
autres employés dans la mesure ou le code du W et les convention collectives ne permettent
pas la possibilité de faire des heure sup.
• Existence d'un motif d'intérêt général: le juge adm de même que le juge const lors qu'il
sont en présence d'une identitéde situation recherchent un motif d'int ggénéralmotivant une
rupture d' égalité. Cela ressort de la JP du CE : arr section 13 janvier 1967 « sieur Peny »
cette arrêt est confirmé le 22 mars 2006 « SARS Sajega » cette arrêt est rendu a propos de
l'exonération de la taxe de solidarité sur l'alcool pour les établissements ayant passés une
convention d'agrément touristique avec le territoire. Le CE a estimé que le développement
touristique pouvait constituait un motif d'intérêt général de nature a justifier l'exonération.
Or le CE a sanctionnait le décret qui mettait en place cette distinction mais parce qu'il n'était
pas assez précis et motivé.
Si dans certain cas le CE ou CC accepte ces motifs,n'importe qu'elle motif IG ne peut pas
pas justifier une discrimination, sur se point le CE a apporter des précisions : il a estimait
qu'il devait y avoir une relation direct et nécessaire entre la règle discriminatoire et le motif
IG, la notion d'IG relève de l'appréciation du législateur sous le contrôle du CC
devant le >CC le motif IG le plus souvent retenu est la lutte contre la fraude fiscal c'est ce
qui ressort de la décision 209 Dc du 3 juillet 89 « loi de finance rectificative pour 89 »
il existe d'autres motifs IG qui ont été retenu par le CE : l'incitation au dvlpt d'activité eco et
financier: 320 DC 21 juin 93. plus récemment le CC a retenu comme motif IG la stimulation
de l'emploi Cf décision TEPA: dans cette décision le CC a estimé que le dispositif
d'exonération d'impôt et de CSG avait pour finalité d'augmenter le nombre d'heure travaillé
dans l'eco afin de stimuler la croissance.

Au delà de ces limites dans tt ces cas le CC va s'attacher à contrôler que la différence de traitement
est cohérente et proportionnelle

2- les méthodes de contrôles de ce ppe

les jur vont exercer d'une part un contrôle de cohérence et d'autre par un contrôle de
proportionnalité

a- le contrôle de cohérence

les jur vont s'attacher a contrôler que les différences de traitement soit en cohérence avec la loi et
vont donc chercher les objectifs poursuivit par le législateur. Lee CE apprécie depuis longtemps les
décisions au regard de ces objectifs. Ar 1février 75 « sieur Rabot »: cet arrêt porte sur une
délibération de ass de NEW C qui majorait le taux d'une taxe perçu sur les bières dans le but de
permettre le développemennt d'une prod. locale. Le Ce a estimé que l'exonération en cause était
conforme a l'objet de la délibération qui était de développer l'industrie local. Il en a conclut que la
délibération ne méconnaissait pas le principe d'égalité .
On retrouve la même position au niveau du CC, il doit exister un lien entre la disposition
discriminatoire et l'objet de la loi,cette objet le CC n'hésite pas a le recherchait dans les travaux
législatifs préparatoires.
Décision 555 DC du 1- aout 2007 a propos des crédits d'impôts misent en place pour les
contribuables ayant acquis ou construit leurs habitations principal. Le CC a examiner cette dispo au
regard du ppe d'égalité et au vue de l'objet de la loi il a estimé que ces crédit d'impôt était injustifiée
au regard des objectif que le législateur s'etait fixé.

le second élément pris en compte par le CC pour le contrôle de cohérence ( pas ds JP CE) est que le
législateur fond son appréciation sur des critères objectifs et rationnels;on peut rattacher ce contrôle
à celui de l'erreur manifeste d'appréciation lors que le législateur adopte des dispo favorables a une
catégorie de contribuable.e. C'est la décision du 29 décembre 83 décision perquisition fiscal que
l'on trouve pour la première fois l'exigence de critère objectif et rationnels: cette décision concernait
l'impôt sur les grandes fortunes,dans cette décision le CC a considéré que le législateur avait fondé
sa décision sur des critères objectifs et rationnels et donc il n'y avait pas de rupture de l'égalité.
Ces critères s'appliquent a l'ensemble des règles relatives a l'établissement de l'impôt. ( voir décision
TEPA)
il ressort aussi de la JP du CC que se dernier laisse souvent de coté la rationalité pour ne retenir que
l'objectivité c'est le cas dans la décision 330 Dc du 29 décembre 93: dans cette décision le CC ne
c'est référé qu'a des critères objectifs a propos d'une différence sur la TVA.
Le contrôle de cohérence ressort également de la prise en compte des facultés contributives du
contribuable ,cette expression ressort de l'art 13 de la DDHC, on peut le voir dans une décision
437 DC de 2000 loi de financement pour 2001: dans cette décision on voit que la loi prévoyait un
mécanisme d'allégement du taux de la CSG pour les personnes les plus modeste mais la loi ne
prenait pas en compte la situation familiale et les autres revenus des personnes;le CC a estimé que
le choix du législateur conduisait a crée entre les contribuable une disparité.
Le sens que donne le CC a la notion de faculté contributive est inspiré de la conception de justice
fiscal qui ressort du régime de l'impôt sur le revenu,dans le CC va se référer le plus souvent possible
à cette notion

b- le contrôle de proportionnalité

il ressort de la Jp du CC que se dernier exerce un vrai contrôle de proportionnalité de l'étendu de la


différence de traitement,de se fait il sanctionnera les dispositifs fiscaux dérogatoires s'il estime que
le traitement fiscal est bcp trop avantageux pour un groupe de contribuable par rapport au traitement
fiscal des autres.
C'est ce qui ressort d'un décision 369 DC du 28 décembre 95 loi de finance pour 96 : le CC
applique un contrôle de proportionnalitéé pour unedispositionon quprévoyaitit un abattement de 50
% sur la valeur des biens pro transmit a titre gratuit entre vif, la disposition visait a favorisé
ltransmissionon d'entreprise mais était limité a certains cas et posainotammentent une condition
d'age , le CC a estimait que cette mesure constituait une ruptud'égalitéité entre les
contribuablbénéficiantant de cette mesure et ceeffritantitant des mme bien mais ne rentrant pas dans
les conditions, Le préciserciser qétaitetait la disproportion qui justifié la rupture d'égalité.
Dans le même sens le CC tend a opérer une vérification du carac confiscatoire de l'impôt. Et il tend
a opéré dans certain cas un contrôle du carac non confiscatoire de l'impôt il a ainsi juger que l'art 13
était violé s'il faisait peser sur le contribuable une charge excessiveregarde leurs facultés
contributives, toute fois il n'a jamais sanctionné de dispo pour leur carac confiscatoire;
decddécisioni de finance rectificative pour 2000:il a estimé que le taux de la taxe serait
confiscatoire en raison de l'impacte qu'elle aurait sur la marge des contribuables mais il a estimé
que les limites supesupérieures du taux d imposition fixé par le législateurvait pas se caracaractère
confiscatoire.
De mm on retrouve référence a se caractère dans la décision 437 DC du 19 decelbre 2000 « loi de
financement de la SECU pour 2001; dans cette décision était en cause le taux d'une contribution
applicable au entreprise pharmaceutiqueeeeeerequérantssssss estimaient que sétaitttttt confiscatoire
car le tx d'accroissement du CA deêtreesupérieurrreur a 4 % et que cela pouvait entrainé un taux de
contribusupérieurrreur a 70%. le CC c'est fondé sur le niveaprélèvementttent pesant sur le
contribuable pour estimer que cette disp n'avait pas un carac confiscatoire.

Paragraphe 2: le principe de nécessité de l'impôt

Il est inscrit dans 2 art de la DDHC l'art 13 et 14 et le CC a eu l'occasion de mettre en valeur ce ppe
dont il a dégage le contenue et la portée

A- le contenu du ppe

ce ppe du fait qu'il soit contenu dans deux art a un double contenu.
Au terme de l'art 13 ce ppe signifie que l'impôt est indispensable pour l'etat( voir art 13) l'impot est
une necessité lier a l'organisation de la vie sociale e tfonctionnement de l'etat. En se fondant sur
cette art certains auteurs ont considéré que la nécessité de l'impôt n'était respecté que dans la mesure
ou il permettait d'assurer le financement des dépenses relatives a l'entretien de la force publique et
les dépenses d'adm et donc qu'en dehors de ces domaine l'impôt ne serait plus légitime car sa
nécessite disparaitrait.
cette analyseoctrinale va a l'encontre de la JP car le CC a cccoïnciderait que la fiscalité pouvait
être aménagé dans un but IG afin de facilité certaine activité a carac eco soc ou culturel
( fondement art 13). décision 184 DC du 29 décembre 84 « loi de finance pour 85 »
au delà de cet article l'article 2 de la constitution selon lequel la france est une république social
suppose que l'impôt puisse être utilisé non seulement pour financer les dépenses de fonctionnement
de l 'etat mais egalement comme element de retribution des ressources. Sur la base de cette art le
CC a juger que la loi pouvait mettre la la charge d'une catégorie soc pro une aide bénef a une autre
catégorie soc pro c'est ce qui ressort de la décision « cumul emploie retraite » 16 janvier 1986.
au terme de l'art 14 le ppe de nécessite de l'impôt découle du ppe d'accord a l'impot et l'art 14
affirme que la necessité de l'impot doit etre regulierement approuvé par les representants des
citoyens. Le prélèvement sur la base de l'art 14 doit revêtir un caractère nécessaire ce qui implique
notamment un contrôle de la nécessité des dépenses.
Certaines personnes ont fait valoir qu 'un prélèvement fiscal ne pouvait pas être maintenu alors que
le motif qui a justifie sa création a disparue en se fondant sur cette art, tte fois le CC estime que
dans la mesure ou l'impôt n'a pas fait l'objet d'une affectation particulière il n' y a pas
méconnaissance de l'article 14;
dans la décisionnn 330 Détaittt en cause lmajorationnn d'uprélèvementtt en vue de financer
unopérationnn drévisonnn de la valeur locative,cettmajorationnn avait été maintenue alors
qul'opérationnn drévisionnn avait été achevé lerequérantsss estimait que le maintient de la
majoration méconnaissait le ppe dnécessitééé dl'impôttt de l'art 14; le CC a constaté que la maj
n'avait pas reçut d'affectatioparticulièrere et a donc rejeté cette argument.

B-la porté constitutionnelle du principe

le CC c'est reporté a cette porté pour justifier les contrôle fiscaux et les mesures de lutte contre les
fraudes, sur la base de ce ppe le CC a jugé que la lutte contre la fraude fiscale était un objectif de
valeur const.
C'est ce qui ressort de la décision 164 DC du 39 décembre 83 « perquisition
fiscaleeee ».jusqu'en 84 n'existaitititit aucun texte spécifique permettant les perquisitions fiscales
écoulaitititit que l'adm utilisait les dispositions du 30 juin 45 qui concernaient le contrôle des prix et
de la concurrence,cette ordonnance autorisait les perquisitions pour mettre a jour les infractions
relativeslégislationononon eco mais avec pouréelelreel la recherche d'infraction a la loi file CE
CEleCE et le CC ont convert pendant des andétournementrnemprocédureocedure fiscal . Le
problème de l'absence de législation spé s'est posé et en 83 le legislateur a souhaité intégrer dans le
LPF des dispo spécifique pour donner un fondement jur au perquisitions fiscal.
Notammentt le dispositifprévoittl'habilitationon d'agent de l'adm fiscal pouprocédédé au
perquisition ainsi que les modalités procédurales. Le CC a donc était saisit de la loi de finance pour
8' et il devait notamment examiné ces normes et dans la décision 164 DC a confirmait la légitimité
de ces dispositions en se fondant sur l'art 13 et il a précisait que les nécessités de l'action fiscal
pouvait exiger que des agent du FISC soient autorisés a opéré des investigations dans des lieux
privés et il a egalement précisait que l'exercice des liberté et droit individuellement n'était pas de
nature a excuse la fraude fiscal ni a entraver sa legitime reppresion: il fait de la lutte contre la
fraudre fiscal un objectif a valeur const.
Cela n'empechera pas le CC de declaré inconst le dispositif de perquisition fiscal car il est trop
imprecit, le legislateur n'avait pas suffisament précisé certaines procédures notament l'absence
d'intervention du juge jud.
Suite a cette decision le legislateur a du revoir sa copie et a mis a conformité se dispostif avec la
conformité et l'a fait adopter avec la loi de fincance de 85 qui sera validé dans la decision 184 DC.
Il faut egalement noté qu 'a partir de l'entré en vigueur de ces dispositions les juridiction judiciaire
et adm ont sanctionné tte les perquisitions fiscal sur le fondement de l'ordonance de 45.
le ppe de necessité doit etre concilier avec d'autre ppe plus generaux et notament celui de la …

section 2: les principes constitutionels généraux applicables au droit

fiscal.

La jp du CC on s'aperçoit qu'il y a 2 ppe generaux du droit mais qui ont une application part en DF:
le ppe de la liberté individuelle et le ppe de l'aspet dt de la definition

paragraphe1:l'application du ppe du respect de la liberté individuelle .

des lors qu' on est en presence de prelevement O ces dernier presente une atteintea la liberté et au
droit de propriété puis que l' etat va entamer une partie de leurs patrimoine. Toute fois le ppe du
respect de la liberté individuelle trouve a s'appliquer en matiere de procedure fiscal dans la mesure
ou la lutte contre la fraude et les moyens laissés a l'adm vont dans un certains nombres de cas porté
atteintes a la liberté individuelle
dans la pratique le CC veille a ce que ces atteintes ne soient pas trop importante

A- le contenu du principe.
Le ppe ressort de plusieurs art du bloc de const. Mais de maniere general c'est a l'art 66 de la C. de
58 qu'il faut se repporter, cette art dispose que l'autorité jud gardienne de la liberté individuelle
assure le respect de se ppe dans les conditions prévues par la loi.
Le CC c'est appuyé sur cet art. Pour juger que la liberté individuelle constituait un PFRLR. 75 DC
12 janvier 77 « fouille des vehicule » . en droit fiscal se ppe revet une importance particuliere en
matiere de contrôle et le CC a du le concilier avec le ppe de necessité de l'impot
B- la portée du principe

La decision la plus importante est la decision « perquisition fiscal » par laquelle le CC a déclaré
non conforme a la const. La procedure de perquisition fiscale.
Dans cette decision le CC c'est fondé sur l'art 66 de la C. et plus précisément il a fait reference a
l'un des aspects du ppe qui est l'inviolabilité du domicile, apres avoir rappeller ces 2 ppe le CC a
opéré un certains nombres de constat par rapport au disposition de la loi:
1. Il note l'absence de definition des infractions autorisant les perquisitions fiscales
2. il note que le juge judiciaire a des pouvoirs limité en matiere de verification du bien fondé
de la demande de perquisition fiscales.l'intervention du juge jud etait trop limité
3. il note ensuite l'impressision sur lesp ossibilité d'intervention du juge jud au cours des
opérations
4. il note une discrimination faite entre les locaux a usage d'habitation et les autres locaux.
A partir de ces constat il va definir que la procedure de perquisition est inconstitutionnelle, cette
derniere resulte notament des pouvoirs limités du juge judiciaire, il precise que pour etre const les
investigations de l'adm fiscal doivent etre opérées sous la resp et le contrôle effectif de l'autorité
judicaire.Suite a cette decision la procedure a été modifié puis validé ulterieurement.
Grace a des decisions ulterieurs le CC a précisé cette JP , il a precisé le droit de perquisitions dans le
temps et l'espace, sur les droits de la defense et enfin des précisions sur l 'exercice par l'autorité jud
d'un contrôle effectif sur l'entier deroulement de la procedure. 281 DC 29 decembre89 portant sur la
loi de finance pour 90
les jur adm ont été saisi a plusieurs reprise pour verifier la regularité des operations de perquisitions
et elle ont tjrs rejeter les recours s'estimant inconpetante pour verifier ces recours. Section 6 janvier
95 « société manufecture française des chaussures Eram »
la cours de cass a eu a plusieurs reprise la possibilité de rappeller les ppe posés par le CC. Elle a
exigé des president des TGI saisit d'une demande de perquisition qu'il effectuent une verification
personnelle et concrete des elements fournis par l'adm fiscal.elle a egalement exigé qu'ils motivent
leurs decisisions. Et a plusieurs reprise elle a sanctionné le non respect des prescriptions de l'article
L 16 B du LPF.
Elle a notament sanctionné l'adm fiscal quand elle va au dela de ce que prescrit l'ordonance du
president du TGI: arret COURS CASS 15 decembre 2008 ch mixte elle a annulé une procédure de
perquisition car les agents l'adm avait creusé le sous sol de la cave alors que l'ordonance ne
l'autorisait pas.
Dans d'autre cas se sont les president des TGI car ils n'operent pas toutes les verifications requises.
Dans un second arret du 15 decembre 20008 elle a annulé la procedure car le president du TGI avait
autorisé la perquisition sans préciser que la demande de l'adm etait bien fondé et sans mettre en
evidence les presomptions de l'adm.

Paragraphe 2 : le respect des droits de la defenses.

Le CC a reconnu valeur const au ppe du respect des droit de la defense dans une decision du 2
decembre 76 « sécurité et liberté » et en a fait un PFRLR
le ppe impose que l'individu puisse presenter sa defense soit devant une juridiction soit devant un
organisme adm ayant un pouvoir de sanction , et en matiere fiscal le ppe trouve a s'appliquer en
matiere de sanction fiscal et au cours d'une procedure fiscal.
A- en matiere de sanction fiscale

En matiere de sanction fiscal un ppe prévot qui assimile les sanctions fiscales et les sanctions
penales, donc en matiere de sanction fiscal le conseil const se refere generalement a l'art 8 de la
declaration des droit de l'homme et se faisant il a estimait qu'une peine ne pouvait etre infligé qu'a la
conditions que soit repecter les ppe de droit de la def. Decision 127 DC 19 et 20 janvier 81 «
securité et liberté » et decision 260 DC du 28 juillet 89 « loi relative a la securité et a la
transparence ud marché financier ».
Cette assimilation vaut a partir du moment ou la sanction est lié a une infraction dont la
qualification est fondé sur l'appréciation du comportement du contribuable.
Ex: majoration de 10% sanctionnant l'absence de certains doc.

Du fait de cette assimilation le ppe du respect des droit de la defense va beneficier au contribuable
qui va se voir appliquer un certains nombres de garanties.
Ex: aucune sanction ne pourra etre infigé a l'accusé sans qu'il ait pu présenté ses observations sur
les faits repprochés et sans qu'il ait eu accés au dossier le concernant. Arr 16 fevrier 89 « affaire
vaï »
ex 2:ttes sanctions doivent etre motivé 22 fevrier 89 « affaire braun » de plus la motivatin doit etre
suffisament précise, le CE dans un arret du 20 novembre 95 « ministre du budget contre adnet » a
sanctionné l'adm fiscal car elle avait utilisé une motivation « standard ». arret 5 mars 97 « ministre
des finance VS affaire immo laperdrie rouge » ce a estimé que la motivation eté suffisante alors
qu'il n y avait qu'une simple notification.

L'application du ppe en matiere fiscal implique que le contribuable sanctionné puisse presenter ses
observations dans un délai de 30 jours et que l'exercice du droit de recours puisse entrainer la
suspension provisoire de la sanction. Decision 268 DC 29 decembre89 « portant sur la loi de
finance pour 90 ». dans cette decision le legis avai institué une penalité fiscal qui sanctionnait le
non respectde l'interdiction des reglements en liquides pour les sommes superieurs a 3000 euro , le
CC va sanctionner le legislateur car le mode de recouvrement n'astreignait pas l'adm fiscal au
respect des droit de la defense.

B- l'application du principe

Il s'applique dans le cadre de la procedure d'impostion de maniere general se ppe va permettre au


contribuable lorsqu'il va faire l'objet d' un contrôle de benef d'un certains nombres de garanties
,elles sont enuméré dans un doc remis au debut du contrôle « la charte du contribuable vérifié »
dans cette charte on trouve notament precisé le dt du contribuable de se faire assister d'un
conseil,elle contient egalement les limitations du delai de repris( delai pendant lequel l'adm peut
redresser les erreurs ou fraudes comisent par les contribuables en matiere fiscal il est generalement
de 3 ans)
ensuite elle precise que le contribuable va etre informé qu'il va etre controlé.
Ensuite elle contient la limitation de la durée des verifications dans le temps , elle varie selon la
personnne concerné et n'est pas valable pour toute les personnes
il a aussi un droit pour le contribuable a communication des resultats des verifications
l adm doit faire connaître la nature et les motifs des redressements et préciser les concequences de
ces redressements.
Mention pour la propositions de rectification en cas d'absence de ces mentions annulations de la
procedures
le contribuable a dt au debat oral et contradictoire : pendant tte la verification le contribuable doit
avoir des contacts ou des possibilités de contact avec le verificateur( rattraper)( remettre e forme)
chapitre 2 : les règles constitutionnelles de répartition des
compétences en matière fiscale

La compétence normative en matière fiscale appartient théoriquement au législateur qui n'est pas
censé la partager, toutefois certaines autorités publiques sont amenées à l'exercer. Il a donc fallu
poser des règles de répartition , ces règles, on les retrouvent dans le bloc de C.

section 1: les fondements de la repartition

elle trouve leurs fondement dans le principe du consentement à l'impôt ( art 14 DDHC) et dans le
ppe de la légalité fiscale ( 34 de la C)

paragraphe 1 : le principe du consentement à l'impôt.

Ce principe est à l'origine de l'apparition des premiers parlements car on s'est aperçu que les
parlements ont été créé pour donner leurs accords au prélevement des impôts. On trouve les
premiere mention à ce ppe dans des texte anglais notamment la Grande Charte de 1215, principe qui
sera appliqué effectivement en GB malgré les tentatives du pouvoir royal de s'en affranchir.
se ppe est apparue en 1347 en france ( 1er etat generaux) pour percevoir de nouveaux impots , a
l'inverse de la Gb se ppe sera appliqué ponctuellement.
Le ppe ecrit on le trouve pour la premiere fois dans la DDHC resultant de l'abolition des impot de
l'ancien regime car non consentie,cette abolition sera suivit d'une declaration de l'AS interdisant tte
levé d'impot non consentie par elle,enfin vient l'art 14 de la DDHC.

Il sagit d'un ppe fondamentale en vertu duquel les representant de la nation an droit de créé l'impot
et renvoie au ppe d'annualité. Se ppe a été repris par plusieurs C et notament celle du 3 septembre
1791 mais il ne sera veritablement appliqué qu'a partir de la restauration ( 1815) .
on constate que le respect du ppe a été assuré par le juge adm en raison de son appartenance a la
tradition républicaine. Arret 21 novembre 58 « syndicat national des transporteur aérien ».
aujourd'hui se ppe s'exprime sous une forme technique qui est le ppe de la legalité fiscale c'st la
traduction moderne du ppe du consentement a l'impot et est inscrit a l'article 34 al 6 de la C.v se ppe
signifie que le parlement doit voter l'impot et que c'est un domain qui lui est réservé. Il decoule de
cette art que l'on peut definir le domaine d'intervention du legislateur en matiere fiscal:il est
competent pour les impots de tte nature et pour fixerle tx des impositions de tte nature

A- les impositions de toute nature

c'est notion contenu dans la C en son art 34al6,c'est une notion nouvelle que l'on ne trouve pas dans
les texte anterieur et c'est egalement une notion qui c'est substitué a la notion d'impot. Pour
determiner la comp du legislateur en mat fiscal on est obliger de determiné le contenu de la notion .
Cette notion n'est pas define par la C.,pour trouver une definition il faut se repporter a la
doctrine,c'est le professeur loic philippe qui a proposé une definition au vue de la Jp du CC,cette
definition n'est pas parfaite car elle s'appuie sur le contenue de la notion( qui ressort de la Jp)
« c'est des prélévement recouvrant non seulement les prelevement qualifié d'impot mais aussi tout
ceux qui sous une autre dénomination sont soit de veritable impot meme s'ils sont appelés taxe soit
sous diverses apellations de veritable taxes ,c'est a dire des prelevement qui comportent uine
certaine contre partie »
ex: la TVA est en fazite une impot alors que l'appelation c'est taxe ,de mme pour la contribution
social generale
cette definition permet un premier apercu de la notion ,il a completé cette definition par une
seconde definition ou il precise que les imposition de toute nature englobe tout les prelevement qui
ne constitue ni des taxe pour service rendu, ni des taxe para fiscal,ni des cotisation social.
La definition est antirieur a la LOLF de 2001 et donc un peu dépasser car les taxe para fiscal ont
disparu.
On peut deduire de cette defintion que :
1. la definition d'imposition de toute nature est plus large que cette d'impot
2. c'est une notion qui englobe les taxe et impot mais qui exclus les redevence pour service
rendu et les cotisations sociales

1) les prélévements inclus dans cette definition

• Concernant les impots :


1. il doit avoir un caractere pecunier or historiquement cela n'a pas toujours été le
cas ( ancien R) aujourd'hui l'element monétaire ont le retrouve ua stade de
l'etablissement de l'impot et au stade du recouvrement avec cependant une
exeption a se niveau : la dation en paiement( remise d'un objet pour paiement de
l'impot,ce procédé permet aussi de s'aquitter de l'impot par la remise d'immeuble
situé dans certain endroit ou la remise d'immeuble a des organisme HLM) la
dation ne peut etre utilisé que pour le recouvrement de certain impot comme les
droit de sucession ou ISF depuis peu.
2. Il doit avoir un caractére obligatoire au sens ou le contribuable de le payer et au
sens ou l'adm est obligé de le percevoir, sur ce point le contribuable public peut
etre sanctionné s'uls ne mettent pas en oeuvre tout les moyen pour percevoir
l'impot.
Se carac obligatoire permet de distinguer l'impot d'autre prelevement comme les
versement spontanné au profit de l'etat ( l'emprunt) et de certaines contributions
volontaire demandé par l'etat, il permet aussi de distinguer l'impot de
prelevement qui ont un caractere non obligatoire ( taxe pour service rendu).
Le CC c'est fondé sur le caract O pour qualifier certains prélévements et
notament pour la redevence des agences financieres de bassin qui servent a
financer le SP d'assénissement, le CC a estimé que se sont des impots de toutes
nature car elle revétent un caract O. 124 L 23 juin 82 « redevence des agences
financieres de bassin » . le CE c'est alignier sur cette position Arr Ass 20
decembre 85 « etablissements outters »
il fau toute fois relativiser ce caract O car il subit des exeptions comme les
possibilité d'option ( Ex: l'option pour la TVA permet de ne pas payer la taxe sur
les salaire), les exonerations et les taxes facultatives.
Il subit aussi des temperament dans la mesure ou le contribuable peut choisir son
regime d'impostion ou d'étaler le paiement de l'impot
3. il a un caractere définitif il ne pourra pas faire l'objet d'une restitution par la
personne public qui en est beneficiere ce qui le distingue de l'emprunt, tout fois
le contribuable verra le montant de son impot restitué ou atténué s'il obtient une
decharge ou reduction d'impot notament lorsque l'impot a été établi
illegalement ,il pourra egalement obtenir la restitution de l'impot indu ou encore
il pourra recuperer dans certain cas le montant de l'impot versé ( ex : la TVA)
4. il a un caractere unilateral : il est effectué sans contre partie dans la mesure ou
lorsque le contribuable paie son impot il ne recoit aucune prestation en echange.
Une partie de la doctrine a remis en cause se caractere car le contribuable qui
paie l'impot beneficie du fonctionnement des SP ,on peut estimer que l'impot a
cette contre partie mais au final il ne constitu pas rellement le prix du service
rendu se caractere signifie qu'il n y a pas de corélation entre la valeur des
avantages qu'offre l'etat et la prestation du contribuable
5. il n'est pas affecté a une depense particuliere mais dans la pratique il y a de
nombreuses exeption dans la mesure ou certains impots vont bénéficier a des
tiers( generalement des PM de drt public mais parfois des PM de drt privé
comme les organismes sociaux).
Cette possibilité d'affecté l'impot est limité notament par la LOLF de 2001 qui
prevoit que l'affectation doit etre autorisé par une loi de finance et qui prevoit que
l'imposition affecté apparaisse et soit evalué dans une anexe explicative
accompagnant la loi de finance.

Concernant les taxe fiscal et para fiscal:


1. les taxe fiscal se def comme des prelevement obligatoire exigait en contre partie
des prestations offertes par un SP ou en contre partie de la possibilité d'utiliser un
ouvrage public mais sans que se prelevement ait une corrélation avec le cout du
service qui est rendu.
Cette definition permet de la distinguer des impots et la rapproche de la
redevence pour service rendu, tout fois la taxe se distingue de cette derniere par
plusieurs aspect:
• elle doit etre payé par celui qui est succeptible de profiter du service et
non celui qui en beneficie reelement.
• Le e montant n'a pas equivalent avec le service rendu (le montant ne
prend pas en compte le cout reel du service)
• elle a un caractere obligatoire dans la mesure ou l'usager vertuel du
service peut etre tenu au paiement de la taxe
ex: taxe d'enlevement des ordure menagere est une taxe fiscal car meme celui
qui n'use pas se systeme paient cette taxe
la taxe se diferencie aussi de l'impot dans la mesure ou elle a une certaine contre
partie et le fait qu'elle soit affecté. Arr CE 1 novembre 86 « marabuto » .
1. les taxe para fiscal : elles ont été suprimé par la LOLF mais dans la pratique
certaine taxe correspondent toujours a la la definition des taxe para fiscal la seule
difference avec 2001 est que ces taxes doit etre créé par le legislateur
definition dans ordonnance 2 janvier 59 relative au loi de finance : se sont des
prelevement percut dans un interet eco ou social au profit de personne autre que
l'etat ,les CT et leurs EPA.
Le regime de ces taxe a evolué en 2001 elles ne peuvent etre créé que par le
legislateur ( avant par le gouv). La CJCE avait inclus les taxe para fiscal dans la
notion d'imposition Arr 19 juin73 CJCE « Capolongo » .

2) les prelevements exclus de l'imposition de toute nature

Sont exclus les redevence pour service rendu et les cotisation sociales
• les redevences pour services rendu : se sont des prelevements demandé a des usagers en vue
de couvrir les charges d'un SP determinéou les frais d'etablissement et d'entretiens d'un
ouvrage public et qui trouve sa contre partie directe et immediate dans des prestations
fournies par se service ou dans l'utilisation de l' ouvrage: Arr 21 novembre 59 Ass «
syndicat national des transporteur aérien »
2 criteres:
1. elle est destiné a satisfaire un interet particulier c'est a dire qu'elle est du que
par les usagers du services,si elle est du par des tier au SP le CE concidere
qu'il sagit d'une imposition de toute nature
ex: section 10 fevrier 95 « chambre syndicale du transport aérien »: le
Ce a estimé que les contributions demandé au transporteur a aérien en contre
partie de l'exercie par l 'etat d un service de police ne pouvait pas etre
qualifier de redevances dans la mesure ou cette contribution servait plus
l'interet general.
ex : arr wajs et monier 30 10 96
Des lors qu'une redevance est percu pour financer un SP d'interet general le
CE concidere etre en presence d'une imposition de toute nature
2. elle est la contre partie direct des prestations fournis par le service ,c'est le
critere de l'equivalence financiere qui va etre fondamental car permet de la
differencier de la taxe fiscal.
Arr 21 novembre 58 « syndicat Nationale des transporteur aérien «
auqel le CE a apporté des precisions: la contre partie devait direct ( elle est
direct lorsque le service beneficiait directement aux personnes qui paient la
redevance.
Le CE a cependant estimé que le montant de la redevance pouvait dépassé le
montant le montant de la prestation . Arr 16 juillet 2007 syndicat national de
la defense de l'exercice libveral de la medecine
le C et CC estime que la contre partie est proportionnelle au cout du service
et pour cela les juge verifie les modalité de calcul. Wasj et monier+ 166 DC
« loi relative au prix de l'eau »
• les cotisation sociales : def : versement que les personnes assuraient font directement ou
indirectement a travers un organisme collecteur a des institution octroyant des prestations
afin d'acquerir et ou de maintenir le droit des a des prestations.
Ces cotisation social ne sont pas assimilable ni aux imposition ( but determiné et contre
partie) ni au redevances pour service rendu car elle ne corresp pas
leurs regimes de differencie de celui des imposition de tte nature car le legislateurs n'est pas
comp pour determiner l'assiette et le taux, seul le gouvernement l'est il peut cependant
deleguer cette comp aux organismes de SECu eux meme. Dans la pratique c'est la caisse
nationale d'assurance maladie qui va procédé a la modification des taux, modification qui ne
sont executoire qu'aprés approbation par decret.
Depuis le debut des années 80 il y a une tendance qui conduit a l'institution par le legislateur
de prelevement en vue de reduire le deficite de la SECU, la nature jur de ces prelevements
se pose regulierement devant le CC, dans la mesure ou ils corresp a la def des cotisations
sociales mais sont créé par le legisateurs. Le CC a été saisit a propos de cotisation sur le
tabat et l'alcool 252 DC du 22 janvier 83: il a concideré ces contributions alors meme
qu'elle servait a financer les depenses des caisses nationales d'assurance maladie comme des
imposition de tte nature
cette JP a pris de l'empleure avec la cration de la CSG: elle presentait en partie les caract des
cotisation soc dans la mesures ou elle etait recouvert par une pers moral privé et son
contentieux relevé des tribunaux des affaires sociales mais se rapprochait aussi de l'impot
car la determination des redevables suivait des regle fiscal et en raison de son taux unifier et
fixé par la loi .au vue des different element le CC a estimé que la CSG etait une imposition
de tte nature et non d'un cotisation soc . 285 DC 28 decembre 90 « loi de finance pour
91 »
il y a actuellement une contreverse a propos de la CSG car la CJCE a été saisit d'une
question sur cette contribution et a estimé que cette contribution avait la nature de
prelevement sociaux en raison de son lien directe et pertinant avec le finance du regime de
secu. 2 Arr Ass pleiniere CJCE « commission VS france » 15fevrier 2000
la cour de cass c'est alignier sur cette JP alors que le CE continue d'app la JP du CC.
Il faut noté cependant que la CJCE c est la prononcé dans un cas spécifique: les travailleurs
transfrontalier et l'objectif etait qu'il ne soit pas doublement assujettie au paiement de
cotisation social

B- les elements du regime d'impostion de toutes natures relevant du legislateur.

L'art 34 al 6 donne comp au legislateur pr l'assiette ,le taux et les mode de recouvrement.

1)l'assiette de l'impot

elle se definie comme l'ensemble des operation adm qui ont pour but de rechercher et determiner la
matiere imposable. Pour determiner l'assiete d'un impot il faut d'abord determiner son champ
d'application et ensuite ces bases d'impostion
a) le champ d'application

il faut prendre en compte :


• element materiel( les elements du patrimoine imposable): 2 maniere : le recenssement ( voir
cours ans dernier) la declaration : le contribuable declare les informations permettant a l'adm
d'etablr l'impot
• element personnel ,qui est redevable de l'impot( soit des pers physique soit des pers moral a
noter que le redevable n'est pas celui qui support l'impot ex: TVA le redevable est le
commerçant mais c'est le client qui en supporte la charge)
• element temporel: champ d'application del 'impot dans le temps ,cela se materialise par la
recherche du fait generateur de l'impot; l'acte ,evenement ou situation qui au terme de la loi
fait naitre l'obligation fiscal.
Il peut aussi etre determiné par le critere de l'exigibilité : c'est le droit pour le tresors public
de faire valoir a parti d'un moment donné la creance qu'il a au pres du contribuable.
• Element territorial : l'impot s'applique sur un territoire et lorsque l'on est en presence d'une
operation d'un revenu il faudra determiner si cette operation est imposable sur ceux
territoire.
le legisateurs a posé un certain nombre de critere pour determiner si l'impot doit etre percu
en france, le territoire d'imposition peut egalement etre prevu par des conventions fiscal
internationales.
Il faut préciser que les critere utilisé pour determiner le terrtoire varient selon l'impot : pour
l' IRPP c'est le critere du domicile fiscal qui va etre determinant, pour IS c'est l
etablissements stable ,en matiere de TVA il varient selon l'operation concerné. Pour des
impots comme ISF c'est aussi le critere du domicile fiscal qui est utilisé.

b) les bases d'impositions

pour la determiner 3 techniques peuvent etre utilisé:


1. la technique d'evaluation indicier : il sagit d evaluer les bases d'impositions d'un
contribuable a partir de signe exterieur ou indices qui sont facilement denombrabre et
difficile a dissimuler. Cette technique a été utilisé tout au long du 19's mais n'est
casiment plus utilé aujourd'hui dans le systeme francais.
Exemple : l'impot sur les portes et fenetres
2. la technique de l'evaluation forfaitaire: permet une evaluation approximative de la
matiere imposable et conciste a determiner des valeurs moyennes en se fondant sur des
elements composant la matiere imposable, cette technique est aussi peu utilisé, elle
existe encore en matiere de determination du benefice agricolt.
3. La technique d'evaluation reelle : elle consiste pour le contribuable a evaluer lui mm sa
matiere imposable et qui va transmettre cette evaluation a l'adm fiscal par le biais de sa
déclaration.
2)liquidation de l'impot

c'est l'ensemble des operations qui permettent de fixer le montant de l'impot, cette operation
incombe a l'adm fiscal mais elle peut egalement etre effectué par le contribuable lui meme c'est le
cas en matiere IS ou de TVA ou par un tier lorsque le prelevement est effectué a la source,c'est le
cas de la CSG qui est calculé par l'employeur
souvent on reduit la liquidation de l'impot a l'application d'un taux mais dans la pratique cette
operation recouvre d'autre operations dont la determination releve du legilateurs:
• les deductions et habatements opérés sur la base imposition sont de la comp du legislateur.
Les deductions sont tte soustraction opéré sur la base d'imposition et qui vont etre destiné a
prendre en compte un certains nombres de charges qui incombent au contribuable. Ex en
matiere IRPP les contribuables peuvent benef d'une reduction s'il versent une pension
alimentaire a un assendent ou un descendant?
L'habatement se distingue de la deduction et se definie comme la fraction de la matiere
imposable exempté d'impot, il peuvent prendre la forme soit d'une sommes fixe soit d'un
pourcentage.
• Le legislateur est competant pour fixer le taux de l'impot,il va pour telle impot choisir le
type de taux qu'il souhaite voir appliqué, il sagira de taux proportionels( % fixe de la matiere
imposable) il peut etre egalement progressif ( il va croitre en fonction de la progression de la
base d'imposition) dans la plupart des cas les tx progressifs sont aménagé par tranche .
L'avantage de se taux est qu'il permet de prendre en compte les faculté contributives des
personnes.
• La determinations des reduction d'impot qu'il faut distingué des deductions car les
reductions s'applique directement sur le montant de l'impot lui meme. Elles peuvent prendre
plusieurs formes ( soit stricto sensus: un allégement de la cotisation d'impot afin de prendre
en compte certaines charges du contribuable ou de l'inciter a la realisation de certaines
depenses) soit sens large oe prend la forme d'un credit d'impot et s'applique sur le montant
d'impot : le crdit d' impot c'est la creance du contribuable sur le tresors public et
representative de tout ou partie d'un prelevement fiscal.
Autre reduction : la décote c'est une remise degressive de l'impot en vue d'alleger la charge
fiscale des petis contribuables.il y a une decote en matiere d'impot sur le revenu
derniere reduction: le degrevement d'impot qui se define comme l'atténuation ou la
suppressuion d'une imposition dans certaine conditions fixé par le legislateur, se sont
ppalement les situation faisant suite a un recour ou un situation contentieuse du contribuable
ou lorsqu 'une erreur a été commise au detriment du contribuable.

3)le recouvrement de l'impot

c'est ensemble des procedures par lesquelles l'impots est payé par le contribuable au trésor
public une fois qu'il a été liquidé. Les procedure de recouvrement varie en fonction de l'impot,une
pocedure spé s'applique a IRPP et aux impots locaux: le recouvrement se fait par voie de rôle
nominatif : c'est un titre jur en vertue duquel le tresor public peut exiger le paiement de l'impot et
eventuellement en poursuivre le recouvement par voie de droit, il est etablit par les service
d'assiette de l'adm fiscal et il est omologué par decision adm du prefet, l'omologation du rôle est
importante car lui fait aquerir une force executoire
l edition d'un avis d'imposition: c'est la copie de l'article du rôle concernant un contribuable
determiné qui mentionne le montant de la base d'imposition et le montant de 'impot.
La procedure est differente pour les autres impots dans la mesure ou il n' y a pas emission d un rôle
nominatif et d'un avis d edition,en regle general l'impot sera acquitté soit spontanément soit par un
tier lorsque l'impot est prélevé a la source, la encore c'est le legilateurs qui choisira la modalité de
recouvrement qu'il jugera plus efficace.
Il existe un grand debat sur l'application du prelevement a la source pour IRPP or chaque fois que
cette possibilité est avancé ses partisans reculent face au difficulté de mise en oeuvre, debat est
eclairé par le fait que de nombreux états europeens l'utilisent deja pour l'IRPP.

Section 2: la porté de ces regles de repartition des competences


normatives en matiere fiscal.

l'art 34 donne une comp large au legislateur en matiere fiscal et cela a plusieurs consequences qui
ne sont pas spécifique a la fiscalité.

Paragraphe 1: la sanction des empietement du pouvoir reglementaires dans le


domaine legislatif.

Tt empietement est sanctionné par le juge administratif,ce dernier lorqu'il a un doute va


systematiquement rechercher si le prelevement crée par le pouvoir reglementaire n'est pas une
imposition de toute nature, d'ou l'importance de la JP qui distinguer les impots et taxe para fiscal.
Des lors que le juge adm constatera que le pouvoir reglementaire a crée une imposition de toute
nature il declarera l'acte le contenant illégale et l'annulera pour incompetence.( JP redevence pour
service rendu).

Paragraphe 2 : l'absence de sanction des empietement du pouvoir legislatif dans le


domaine reglementaire.

Ces empietement sont autorisés par le CC qui n'a jamais annulé une disposition legislative pour
cette raison, il estime que le legislateur a la possibilité d'empieter dans le domaine reglementaire et
que le pouvoir reglementaire a les moyen de defendre son domaine de competences,en utilisant
notament les dispostion de l'art 37 et 41 de la C.
on a quelque exemple en matiere fiscal pour les redevences des agences financieres de bassin . 124 l
du 23 janvier 1982 CC.

Paragraphe 3: la sanction de la competence negative

il en decoule que le legisateurs est tenu d'exercer lui mme la totalité de sa comp en matiere fiscal et
le CC veille a ce que le legislateur ne legifere pas en deca de sa comp,c'est a dire il veille a ce que le
legislateur ne laisse pas un trop large champ d'action au pouvoir reglementaire. 283 DC 08 janvier
91: « loi relative a la lutte contre le tabagisme et l'alcoolisme »: le legislateur c'était contenter de
definir le taux de cette contribution en laissant au pouvoir reglementaire le soin de determiner
l'assiette et les modalités de recouvrement.
Le CC va sattacher a sanctionner les loi fiscales imprécisent ,dans se sens la loi fiscal ne doit pas
laisser au gouvernement un trop large pouvoir ce qui implique que le legisateurs ne peut pas
deleguer sa competence ou la confier a une autre autorité notament le CC a jugé que la disposition
legislative donnant a un EP le pouvoir de fixer le taux d un impot etait inconstitutionnelle : 239 DC
du 30 decembre 87 « loi de finance pour 88 »
plus recement dans une decision 578 DC 28 mars 2009 « loi de mobilisation pour le logement et
la lutte contre l'exclusion » dans cette decision le CC a estimé que le legislateur avait meconnu sa
comp a propos d'un prelevement sur les ressources financieres des organismes HLM , tout
simplement car il avait laissé le soin au gouvernement de fixer le taux de l'impot sans l'encadrer.
Le CC sanctionne egalement les loi fiscal pas suffisament claire : il part du ppe selon lequel la loi
fiscal ne doit pas pouvoir donner lieu a plusieurs interpretations,des lors que c'est le cas il les
declare inconstitutionnelle.c'est ce qui decoule de la decision 764 DC 27 decembre 2002 loi de
finance pour 2003, en revanche dans la decision 530DC du decembre 2005 loi de finance pour
2006 le CC a sanctionné une disp en raison de sa complexité exessive en mettant en avant la
longueur des articles , le caractere incomprensible pour le contribuable et ambiguë meme pour les
pro, il a estimé que les incertitudes qui en resulté etait source d'insecurité juridique.
La revison const du 23 07 2008 ne va t elle pas donner une nouvelle dimension a la JP du CC en
matiere fiscal

PARTIE II : LES SOURCES LEGISLATIVES ET


REGLEMENTAIRES DU DROIT FISCAL

Pp de la légalité de l'impôt fait de la loi la source fondamentale du droit fiscal. Concernant les dispositions
fiscales législatives, elles peuvent être contenues ds 3 catégories de loi :
– les lois de finances
– les lois de financement de la sécurité sociale
– les lois ordinaires
Lorsque les lois ordinaires contiennent des dispo fiscales qui ont des incidences sur le budget, l'incidence
doit être prise en compte ds la loi de finances suivante.

Les dispo fiscales législatives vont être complétées par des dispo règlementaires, la dispo législative sera svt
conditionnée par l'adoption d'1 txt règlementaire qui la précisera. On distingue :
– Les règlements d'administration publique (peu nbrx), ne peuvent intervenir que si la loi le prévoit
expressément. Ils permettent de fixer les conditions d'application de la loi, ils sont soumis à l'avis du
CE.
– Les décrets en CE
– Les décrets simples, pris par le 1er ministre spontanément pr assurer l'exécution d'1 loi
– Les arrêtés ministériels qui complètent les dispo de la loi. Svt prévus par la dispo législative elle-
même qui va habiliter me législateur, peut porter sur des points déterminants de l'impôt, notamment
la fixation des taux de l'impôt. CE 23 mars 2005 Sté DOUX, en cause , la taxe d'abattage et la
fixation des tx par arrêté ministériel.
Les ministres peuvent être habilités à prendre des dispo par décret ou par arrêté ministériel.
Les lois et règlements fiscaux interviennent ds des domaines distincts ms présentent des caractéristiques
identiques, notamment quant à leur application ds le tps et ds l'espace.
chapitre 1 : l'application des loi et reglements fiscaux dans le temps.

Comme l'ensemble des textes les textes fiscaux sont en ppe immédiatement applicable mais il existe
un certains nombres d'expetions et ces dernieres posent des probleme quand a l'entré en vigueur des
texte fiscaux mais egalement en matiere de determination des regles applicable en cas changement
de legislation

section 1: l'entré en vigueur des lois et reglements fiscaux

paragraphe 1 les conditions d entré en vigueur des textes fiscaux.

Il y a 2 conditions pour leurs entrée en vigueur:


• il doivent faire l'objet d'une promulgation ( acte attestant de l existance de la loi ou du
reglement et qui donne ordre au autorités publics de l'appliquer) pour les loi la promulgation
prendra la forme d'un decret du president de la republique et la date de promulgation est la
date de signature du decret.
Pour les reglement la promulgation prend la forme d'une signature par l'autorité competente
pour les edicter
• la seconde conditions est la publication pour porter a la connaissance des administrés le
texte et seul la publication rendra obligatoire le texte , en l'absence de publication les texte
ne sont pas opposable aux contribuables,elle doit se faire au JO et le CE a eu l'occassion de
juger que l'incertion dans un bultin officiel ne constitue pas une publication suffisante pour
que les contribuable puisse se voir opposer des dispositions de carac reglementaire.CE ass
pleiniere 29 juillet 83
en matiere fiscal se ppe a une importante exeption des lors que nous sommes en presence de
circulaire etc... qui comporte une interpretations de la loi fiscal car il ne sont pas soumis a
publication.

Paragraphe 2 : la date d'entré en vigueur.

Les probleme d'entrés en vigueur des lois et reglements fiscaux sont generalement résolus par les
textes eux meme , ils prevoient leurs date d'entré en vigueur. Cette date est generalement posterieur
a la publication mais il arrive qu'elle soit anterieur a la promulgation notament parce que pour les
loi fiscal le ppe de non retro activité ne s'applique pas systematiquement.
Les textes fiscaux peuvent autorisé l'autorité inferieur a fixer cette date d'entré en vigueur, la loi
prevoira la comp du pouvoir reglementaire pour definir la date d'entré en vigueur,cela a été autorisé
par le CC dans une decision 223DC du 29 decembre 86 loi de finance rectificative pour 86.
enfin l 'entré en vigeur peut etre subordonné a l'entré en vigueur d'un autre texte ( pour les loi les
decret d'application), le texte va fixer les modalité d'application et fixer...
l'absence d'adoption d'un texte d'application peut entrainer l'illegalité de la mise en recouvrement de
l'impot.CE 18 mars 81 sur une taxe de deffrichement qui avait été mise en recouvrement sans
attendre le decret d'application, le CE avait declaré que la mise en recouvrement etait illegale
toute fois dans certain cas les decret d'application de la loi ancienne peuvent continuer a s'appliquer
s'il sont compatible avec la loi nouivelle 17 decembre 80 « SA bastide et cie ».
l'application de la loi est suspendu tant que le decret d'application ne sont pas adopté notament
lorsque les decret d'application de la loi ancienne ne sont pas compatible avec la loi nouvelle . cE
16 mars 77

paragraphe 3 : la durée d'application des textes fiscaux.

Il reste applicable jusqu'à l'entré en vigueur d'un texte de meme valeur jur qui l'abroge ou le
modifie. De se ppe resulte plusieurs concequences:
• une imposotion n'a plus d'existence legale lorqu'elle est fondé sur un texte qui a été abrogé
• le texte abrogatif ou modificatif doit etre de la meme valeur juridique ou d'une valeur
juridique superieur
• l'abrogation implicite ne peut resulter que d'une incompatibilité des regles nouvelles avec les
regles anciennes. Toute fois le CE essaie systematiquement de concilier les dispositions
nouvelles et les dispositions anciennes et de se fait il admet rarement l'incompatibilité des
regles nouvelles avec les regles anciennes.
A noter que le CE a tendence a faire prévaloir la regle posterieur des lors qu'auncune
disposition de cette de cette loi n'impose le maintient des disposition antierieur
• la modification d'une loi peut laisser subsister une loi anterieur jusqu'à l'entré en vigueur de
la nouvelle loi ce qui va permettre au contribuable de continuer de benef d'un droit acquis en
application des dispo antierieur. CE ass pleinier 23 juillet 76 « societé algeco »
• les contribuabe ont la faculté de demande a tt moment a l'adm de procédé a l'abrogation d'un
reglement illegale « 89 « cie alitalia »
• un texte qui a cessé d'etre applicable ne peut etre remis en vigueur qu'en vertu d'un texte qui
le prevoit expressement . Avis CE rendu dans l'affaire « SA brulerie corsica » 22 01 92
pour les modification constante de la legislation fical : elles vont entrainer regulierement des conflit
d'application des texte qui vont etre résolu par le juge

section 2 : les conflits de textes fiscaux dans le temps.

Generalement lorsqu'il y a un changement de legilation en matiere fiscale les solutions sont


nuancées et on ne trouve pas de solutions globales en matiere fiscales, elle varie en fonction des
regles concernées.

Paragraphe 1: l'application dans le temps des regles d'etablissement de l'impot et


des pénalités.
Dans ces domaines C'est generalement le fait generateur de l'impot qui va etre pris en concideration
pour determiner la legislation applicable.
1. Pour les regles d'etablissement de l'impot les dispositions ne peuvent s'appliquer a une
imposition dont le fait generateur est anterieur a l'entré en vigueur du texte.v arr sec 9
juillet 71 ce : le CE dit que les dispositions d'une loi de 61 n'etait applicable au seul
impostion dont le fait generateur etait posterieur au texte.
CE 9 juillet 71 « societé d'equipement des minoteries modernes » dans cette arr le CE a
jugé qu'une directive communautaire de 69 ne pouvait avoir aucune influence sur le regime
de la TVA applicable entre 61 et 63.
il decoule de ces JP que les textes applicables en matiere d'assiette de l'impot sont
generalement ceux qui sont entré en vigueur a la date du fait generateur or le fait generateur
varie d'un impot a l'autre .
pour IRPP le fait generateur est fixé au 31 decembre de l'année au titre de laquelle l'impot
est établie alors que pour IS c'est la date de cloture. Concernant la TVA la definition du fait
generateur a fait l'objet de dispo legislatif qui differe selon que l'on est en presence d'une
livraison de bien ( delivrance du bien : fait generateur) et une prestation de service
( execution du service)
concernant les impots locaux le fait generateur est constitué par les fait existant au 1er
janvier de l'année d'imposition.
2. Pour les penalités: elles sont egalement regis par la legislation en vigueur a la date du fait
generateur: arr 19 janvier 84 « affaire Ducani », cela pose certains problemes notament
en matiere de TVA et le juge est intervenue pour apporter des precision : le CE a estimait
que les penalité en matiere de TVA devait etre regis par la legislation en vigueur pendant
chaque periode d'imposition, le Ce a précisé que le texte a appliqué etait le texte en vigueur
au date de souscription des description : 27 mai 83 « affaire sté NERGICO france »
la question centrale concernant les sanction fical est celle de l'application immédiate de la
loi penal plus douce, il y a un ppe posé par le CE d'assimilation des sanctions fiscales au
sanctions penales et des lors que l'on est en presence de sanction penal c'est le critere de la
loi penal plus douce qui va s'appliquer et non plus celui du fait generateur. Le CE a precisé
les conditions d'application de se ppe : le ppe entrainait l'application des dispositions moins
severe aux infractions commisent avant l'entrée en vigueur de la loi mais il a precisé que les
condamnation ne devait pas etre passé en force de chose jugé.
Il c'est prononcé notament a propos de la penalité pour mauvaise foi ( 1729CGI) et a rapellé
l'application de la loi penal plus douce dans un avis du 5 janvier 96 « affaire
Houdmond ».
le ppe est appliqué par l'adm et le juge de l'impot et au besoin cette application se fait
d'office ( sans etre soulevé par le requerant) c'est ce que le CE a jugé dans un arret 23 avril
2008 « Bisico france »,cette arret a été rendu a propos de l'art 1748 du CGI qui sanctionne
les omissions de declaration de certains revenus de capitaux mobiliers , le CE a appliqué
d'office le ppe de la loi penal plus douce
certaines sanctions posent des difficultés pour l'application du Ppe telle est le cas lorsque le
nouveau texte n'est pas en tout point plus favorable a l'administré que l'ancien, lorsque le
juge est confronté a se probleme il fait prévaloir la divisibilité du texte et il applique si cela
est possible de maniere concurrente le texte ancien et le texte nouveau.c'est ce qui ressort
d'un arret 27 mai 2009 « SNC St honnoré »( voir l'espece): le Ce a estimé qu 'il etait
necessaire d'appliquer la nouvelle penalité ( plus douce) mais a garder les atténuation de la
loi ancienne qui n'etait pas presente dans le nouveau texte.
Paragraphe 2 : application dans le temps des regles relatives aux procedures
d'impositions et de recouvrements

en matiere de procedure d'imposition il ny a pas eu de disposition legislatives fixant des critere


pour determiner
c'est le CE et la Ccass qui ont utilisé un critere : il se basé sur la date de mise en recouvrement de
l'impot ou eventuellement sur son fait generateur, le CE utilisé plutot le critere du fait generateur est
avait adopté le ppe d'application immédiate des regles de procedure nouvelles. Arr ass pleiniere 14
janvier 83 confirmé sec 13 decembre 91 « sté Aset »
la Ccass avait jugé a propos d'une procedure de taxation d'office des droit d'enregistrement que les
disposition de la loi de finance pour 86 n'etaient pas applicable a des impositions du au titre
d'années anterieur a son entré en vigueur.la Ccass prennait plutot en concideration la date de mise
en recouvrement de l'impot: 22 octobre 91 affaire Dezitter
Certaines solutions Jp ont été jugé exessive et le legislateur est intervenu dans le cadre de la loi de
finance pr 93 : il a prevu que les regles de procedures fical ne s'appliquaient qu'aus formalités
accomplient qu'apres leurs entré en vigueur quelque soit leurs date de mise ne recouvrement art L
284 du LPF. Desormais le CE et Ccass applique cette solution en cas de conflit d'application des
textes:CE 30 juin 98 « SARL fourrure GUY » le CE a cassé l'arret d'une CAA car elle appliquait
a une soc une procedure de rectification d'office supprimé en 87 et que l'imposition avait été mise
en recouvrement apres cette date.
Ccass 10 octobre 2000 « epx cloiseau » : la Ccass c'est prononcé a propos d'un procedure relative a
la revelation des dons naturels et a appliqué la procedure de revelation qui était en vigueur au
moment de la realisation des formalités.
En matiere de procedure de recouvrement c'est le ppe de l'application immediate de la loi
nouvelle qui prevot, il en decoule que la loi nouvelle est applicable a toutes les impositions non
encore recouvert: arr CE 5 mai 70 « ste ADET-SEWARD ».
precision sur le sursit de paiement: le texte applicable est celui en vigueur a la date du
recouvrement. Arr 31 octobre 84 « Buquet »

paragraphe 3 : l'application dans le temps des regles relatives aux prescriptions

une precription en matiere fiscal se definie comme une periode au terme de laquelle une
imposition ne peut plus etre etablit , une somme ne peut plus etre percue, des poursuites ne
peuvent plus etre engagées et au terme de laquelle une restitution de droit ne peut plus etre
accordé.
La prescriptions la plus souvent appliqué en mat fiscal est de 3 ans( pour IRPP ,TVA,IS). Ex :
jusqu 'au 31 decembre 2009 l'adm peut verifier les declaration de 2006 2007 2008. il y a aussi des
prescriptions spécifiques notament en matiere de dt d'enregistrement ( elles peuvent aller jusqu'à 10
ans ) et des prescriptions plus courtes ( impot locaux : 1ans).
Lorsque le legislateur decide de modifier les prescriptions des problemes d'application dans le
temps peuvent se poser : 2 cas peuvent etre posé : loi nouvelle allongue le delai de prescription ou
la loi nouvelle reduit le delai
• lorsque la loi allongue le delai : elle s'applique au delai en court a la date de son entré en
vigueur , le CE a jugé cela dans un arr du 24 mars 71 « sté immo de l'étang de berre et
de la mediterranée »
• si la loi reduit un delai de prescription :le nouveau delai est immédiatement applicable et
court a compté de l'entré en vigueur de la loi.si les delais ont commencé a courir avt l'entré
en vigueur de la loi il faut distinguer 2 situations :
1. si la date d'expiration de l'ancien delai intervient avt la date d'expiration
du nouveau delai , l'ancien delai reste applicable.
2. Si la date d'expiration de l'ancien delai survient apres la date d'expiration
du nouveau delai,c'est le nouveau delai qui sera applicable.
Arr 7 novembre 79 « SCI l'orée du bois »

paragraphe 4 : l'application dans le temps des regles relatives aux procédures


contentieuses.

C'est le ppe de l'application immediate de la loi nouvelle qui prevot,qu'il sagisse des procedure
juridictionnelle ou non juridictionnelle. Se ppe va avoir plusieurs concequences concernant
notament les reclamations contentieuses, il faut rappeller qu'en matiere fiscal le contribuable doit
utiliser un RAPO au pres de l'adm fiscal pour s'ouvir une solution juridictionnellle, sans RAPO le
recours sera systematiquement rejetté.
Les conscequences:
• sur les delai de reclamations: la loi nouvelle s'applique au reclamation relative au aux
impositions mise en recouvrement avt son entré en vigueur mais seulement lorsque le delai
de reclamation qui a commencé a courir sous le regime ancien n'etait pas encore expiré a la
date de l'entré en vigueur. Arr 9 mars73 CE « Wilmot »
• concernant les formes qui regissent l'exercice la reclamation préalable: elle sont regis par la
loi en vigueur a la date a laquelle est enregistré cette reclamation. Arr CE 11 decembre 70
« chaumiene »
• concernant les procedures contentieuses juridictionnelles: pour les delai de recour dvt les
juridiction la disposition nouvelle qui allongue le delai de recours est immediatement
applicable au delai non encore expiré ne revanche la disposition nouvelle qui abrége un delai
de recours ne sera pas applicable au delai qui a commencé a courir sous le regime ancien.
Le delai de recour contre une decision juridictionnelle reste celui en vigueur a la date du
rendu de la decision.

Section 3 : la retroactivité des textes fiscaux

l'art 2: du code civil : la loi ne dispose que pour l'avenir elle n'a point d'effet retroactif.cette
article pose le ppe de la non retroactivité des lois et se ppe de non retroactivité s'impose au pouvoir
reglementaire et au juridictions

Paragraphe 1 : absence de retroactivité des reglements ficaux.

Les reglement ne sont generalement pas retroactif en vertu d'un PGD degagé par le CE dans un arret
ass 1948 « société du journal l'aurore » , il decoule de se ppe qu'un acte adm retroactif sera
illegal s'il modifie le taux applicable a des revenus au cours d'exercice deja clos . Arr CE ass 16
mars 56 « carrigou » et confirmé dans un arr du 9 octobre 92 « union patronale rhone alpe »
dans cette arret le CE a jugé illegal un decret qui majorait retroactivement un des taux de la texte
apprentissage
un acte adm sera uassi illegal s'il determine une assiette de taxation a partir d'element constitué au
cours d'une periode clause 11 juin 93 « commune de RAi »
toute fois les reglement fiscaux peuvent avoir un caract retrocatif si la loi le prevoit si la loi ne le
prevoit pas il n y a pas de rétroactivité si la loi fiscal n'autorise pas formellement la retroactivité il
faut au moins que cette retroactivité soit rendu necessaire pour l'application de la loi nouvelle et il
faut egalement que la disposition de la loi implique précisement la retroactivité. Arr ass 23 juillet
76 « société algeco ».la retroactivité doit avoir un fondement legislatif explicite ou implicite.
Cependant il existe un temperament a cette exigence il concerne le domaine de l'agriculture: les
dispositions reglementaire peuvent dans certains cas precis autoriser une certaines retroactivité c'est
ce qu'a juger le CE ass 8 juin 79 « confederation general des planteur de bettraves ».

paragraphe 2: la retroactivité des lois ficales

le CC est comp pour faire respecter le ppe de non retroactivité au legislateur fiscal mais lorsque l'on
regarde sa JP on s'apperçoit qu'il n'a pas elever au rang de ppe Const le ppe de non retroactivité des
loi fiscale.toute fois s'il n'y a pas de ppe C le Cc a posé un certains nombres de limites a la
retroactivité qui s'applique a differente catégorie loi qui ont un effet retroactif.

A- l'absence de constitutionalisation du ppe de non retroactivité des loi fiscal


En matiere fiscal le CC autorise largement l'utilisation de la retroactivité et il a clairement affirmé
qu'il etait loisible au legislateur d'adopter des legislation fiscales retroactives( sous reserves de
limites) cela ressort d'une decision 126 DC du 30 decembre 80 « loi de finance pour 81 ». dans
cette decision le CC c'est prononcé sur une disposition relative aux accises sur les boissons
alcoolisés(dt indirect) la dispo en cause mettait en conformité le dt FR ac le droit commu etelle
avait un effet retroactif, le CC a jugé que cette disposition n'etait pas relative au domaine penal et
que le legislateur pouvait lui conférer un carac retroactif.
Le CC est allé plus loin dans une decision 164 DC du 29 decembre 83 ,dans cette decision le CC a
jugé qu'aucun ppe ou regle de valeur const n'interdit a la loi de revenir sur une exoneration fiscale
aquise sous l'empire de la loi anterieur ou d'en reduire la durée.
Le CC a egalement précisé qu'une disposition contenu dans une loi de finance pouvait avoir un
caract retroactif: decision 184 DC 29 decembre 84. dans cette decision il precise qu aucun ppe ou
regle a valeur const ne s'oppose a ce qu'une dispo fiscale ait un carac retroactif. Dans cette mme
decision il a egalement précisé que le ppe d'annualité de l'impot ne constituait une limite a la
retroactivité de la loi fiscale, il en va de meme pour le ppe d'egalité fiscale.
Enfin le CC a estimé dans une decision du 31 decembre 97 395 DC que le ppe de confiance
legitime ne constituait pas une limite a la retroactivité.( d'ailleur se ppe n'a pas valeur const selon le
CC)
la retroactivité en matiere fiscale decoule de la nature meme de la loi fiscal.chaque
B- les differentes forme de loi fiscales retroactive.

On concidere qu'une loi est retroactive lorsqu'elle trouve a s'appliquer a des formalité accompli
avant son entrée en vigueur ou a des impositions dont le fait generateur est intervenu avant son
entrée en vigeur. Or il y a plusieur catégories de loi qui ont par nature un caract retroactive :
1. les loi fiscales ouvertement rétroactive: se sont des lois qui font apparaître une rétroactivité
de fait,se sont ppalement les loi de finance annuelle. Ex : les dispositions de la loi de finance
pour 2010 vont s'appliquer au revenu percu au cours de l'année 2009 , on dit que la loi de
finance est par nature une loi retroactive.
2. Les loi interpretatives: se sont des lois qui se bornent a clarifier sans rien y ajouter la
redaction imparfaite d'une loi anterieur dont certaines dispositions sont ambigues et
succeptible de controverses.du fait de leurs objets ces lois sont obligatoirement retroactives
car elles vont s'incorporer a la loi interprété au point d'en épouser le champ d'application et
d'en partager la date d'entré en vigueur.
Dans la pratique on s'apperçoit que de nombreuses loi se pretendant interpretatives
modifient le texte primaire ou le complete , en general de telle loi sont adopté suite a une
decision du juge de l'impot qui a donné une interpretation differente de celle envisagé par
l 'adm, elle vont permettre de contre carré pour le passé et l'avenir les effets de la solution
juridictionnelle et au dela de couper court a tt une vague de réclamation ou remboursement.
Sur ces loi interpretative la JP de la Ccas et du CE ont souvent été discordante sur la porté
retroactive d'une loi interpretative.
Pour la Ccas le caract interpretative d'une loi ne peut se deduire que de l'intention clair et
formelle du legislateur elle va refuser de reconnaître se caract interpretative a des
dispositions si le legislateur ne l'a pas précisé.arr 18 avril 89 « affaire veuve bergondi »
elle avait interpreté une dispostion relative a l'assiette de l'impot sur les grandes fortunes
pour les biens grévés d'usufruit, or suite a cette arr le legislateur était intervenu dans le cadre
de la loi de finance et avait remis en cause l'interpretation de la Ccas. La Ccas aété a
nouveau saisit sur l'application de cette mesure et a jugé que la nouvelle disposition n'avait
pas un caract interpretatif dans la mesure ou le legislateur avait ajouter de nouvelle
conditions d'impositions et a donc refuser d'appliquer ces nouvelles disposition.dans un arr
7 avril 92 « madame pavie ». en revanche il ressort de la jp du Ccas que si le legislateur
attribut formellement un caract retro a ces disposition la Ccas en tire les cobscéquence et
applique les dispositions retroactives.
Pour le CE si le caract interpretatif ressort du texte de loi ou des travaux préparatoires il
concidere que le legislateur lui a conféré une porté retroactive : avis d'ass du 7 juillet 89 «
affaire compagnie financiere et industrielle des autoroute ». Contrairement a la Ccas il
refuse de dequalifier une loi faussement interpretative et d'en ecarter l'application par respect
de la volonté du legislateur et il concidere que la retroactivité est inherente a la notion de loi
interpretative : avis de section26 fevrier 93 .
3. les loi de validation : elle permettent au legislateur de déclarer qu'un acte pris de maniere
irréguliere doit etre retroactivement concidéré comme etant reguliere , elle confere valeur
legislative a cet acte et cela va faire obstacle a ce que sa legalité soit discuté devt le juge de
l'impot. Elles sont prise lorsque des actes reglementaires sont annulés par le juge ou sont
succeptible d'etre annulé par le juge et cela concerne non seulement les actes reglementaires
mais egalement les pratiques administratives . Ex loi de finance pour 93 contenait une
disposition qui donnait valeur legislative a des circulaires fixant le tarif de certaines taxes
sur les vehicules.
Dans la plus part des cas elle va contre carré une decision jur mais elle peut egalement servir
a influancer les instances en cours; les lois de validation peut validé des actes adm cela a été
admis par le CC 119 DC du 22 juillet 80 « validation d'acte adm » ,elle va servir
egalement a valider des actes de procédure c'est le cas le plus frequent en matiere fiscal 250
DC 29 decembre 88 « loi de finance rectificative pour 88 » dans cette decision etait en
cause une disposition qui validé pour eviter les recours en annulation des avis de
recouvrement signé par des autorité incompetente.le CC a estimé que cette disposition avait
été adopté pour eviter que ne se developpe des contestationsdont l'aboutissement aurait pu
entrainé pour l E des concequences dommagable.
Ces lois peuvent egalement valider des actes d'impositions irregulier de maniere expresse ou
implicite, si le CC autorise les validation,il n'autorise que des validation préventive c'est a
dire que celle qui concerne des actes qui n'ont pas encore été annulé par le juge, il en
decoule que le CC a posé des conditions a l'admission du caract retroactif des loi de
validation( decision 119 DC pr les condition) :
• l'acte doit etre en vigueur au moment de la validation
• il doit etre intervenu en matiere non répressive
• il doit avoir un caract reglementaire
• la dispostion doit avoir pour objet de préserver le fonctionnement
continue du SP
la Ccas a jugé qu'une validation legislative pouvait ne pas regulariser l'ensemble des vices
resultant d'un violation d'une disposition fical. ARR 15 janvier 2008 « rousseau » Ccas:
ici était en cause des avis de mise en recouvrement qui avait été validé par la loi de finance
rectificative pour 99 mais la Ccas a jugé que ces avis de mise en recouvrement n'avaient pas
été regularisé dans leurs ensemble et a donc concidéré que la validation ne s'appliquer qu' a
certains elements et que d'autre été exclus.

Ces differentes formes de loi retroactif presente des avantages car permettent de lever les
embiguités et de faire obstacle a la fraude ou encore d'eviter l'annulation d'acte or les incomvégnant
sont relativement important puis que ces lois portent atteintes a un certains nombres de droit du
contribuable : le respect de la securité juridique et au ppe d'egalité. Certain auteur ont meme dit que
ces loi retroactives donnaient une mauvaise image de la legislations fiscal FR. face a ces critiques le
CC a posé des limite a la retroactivité des lois fiscales.

C- les limites

1) la non rétroactivité des sanctions fiscales.

pour les sanctions fiscals car assimilé au sanction penal , le CC c'est appuyé sur l'art 8 de la DDHC (
il pose le ppe de na non retroactivité des loi penal) et il a précisé que le ppe de non retroactivité ne
concernait pas seulement les peines appliquées par les jur repressives mais s'étendait a ttes sanctions
ayant le caract d'une punition meme si ces sanctions sont pronnoncées par des autorités non
judiciaire: decision 155 DC DU 30 decembre 82 loi de finance rectificatives pour 82.
se pose la question des interets de retard sur lesquels le juge const ne c'est pas prononcé,l'on peut en
deduire que la Jp concernant la non retroactivité des sanctions fiscales ne s'applique pas a ces
dernieres, sur se point il n'y a pas de position clair du juge Const mais la CEDH ne les assimile pas
a des sanctions fiscales.
Le CE a pris position sur cette question et sa jp distingue les validations legislatives portant sur
l'assiette de l'impot dans le cadre desquelle aucune sanction ne peut etre appliqué et d'autre part les
validation legislative portant sur les procedures d'impositions qui n'exclus pas que les impositions
soient assorties de majoration ,d'intret ou penalité de retard, arr sect 11 decembre 87 « SCI
Rudel » : le Ce a jugé que lorsque l'adm assujetie a un impot ayant fait l'objet d'une validation
retroactive une societé qui n'etait pas osumise a cette impot au regard de la loi anterieur les droit en
ppal ne pouvait pas etre assorties de penalité ou d'interet de retard pour la periode anterieur a la
validation de la loi
en revanche le CE a egalement jugé que des dispositions de la loi de finance rectificative pour 89
qui validait avec effet retroactif des verifications dans lesquels l'adm avait adréssé au contribuable
une demande de relevé de compte simultanément a l'envoie d'un avis de verification ne modifier pas
l'appreciation apporté au regard de la loi sur les agissements du contribuables anterieur a la
validation de la loi de finance. 17 juin 98 « pacorabane ». cette JP a été confirmé dans un arret du
22 mai 2002 « SARL berre station »

2) le respect des decisions de justice passé en force de chose jugé

le CC a posé comme ppe que la retrocativité ne pouvait pas porter atteinte a l'autorité des jur ,c'est
la raison pr laquelle il a limité les effets des lois retroactives pour sauvegardé les droits conférés aux
contribuables par une decision de justice a condition que cette decision ait un caract definitif. Par ex
un arr de CA est un arret passé en force de chose jugé mm s'il est succeptible de cassation. 268 DC
29 decembre 89 « loi de finance pour 90 », le CC a completé sa position dans sa decision 531 DC
du 29 decembre 2005 « loi de finance rectificative pour 2005 »: ds cette affaire le legislateur
avait adopté une disposition qui avait pour objet de priver d'effet un arret du CE qui lui meme tiré
les concequence d'un arret de la CJCE et cela dans une affaire de remboursement de TVA sur les
péages. Le CC a jugé que le legislateur ne pouvait pas revenir sur une decision du CE annulant un
acte adm pour excés de pouvoir.
Sur cette limite le CE et la Ccas avaient la meme position : la Ccas avait jugé dans un arr de Ch
pleiniere du 21 decembre 90 « SA roval » que les decisions des TGI ne pouvait pas etre remis en
cause par une loi retroactive posterieur car ces decisions avaient acquise force de chose jugé ( pas
de possibilité d appel en mat fiscal dvt jur jud jusqu'en 98)
le CE a adopté la meme position : arr ass 27 10 95 « ministre du logement contre Mattio »
confirmé en matiere fiscal 13 fevrier 2009 « affaire SAUPIC » la CEDH a renforcé cette position
en estimant que la notion de proces equitable s'oppose a tte intervant legislative dans
l'administration judicaire d un litige( art 6§1)

3) le respect des prescription legalement acquise

le CC interdit au legislateur de faire renaitre une prescription legalement acquise. Ex : si le delai de


prescription pendant lequel l'adm peut opérer un contrôle est expiré une disposition retroactive ne
peut pas le prolonguer. Se ppe a dans un 1er temps reconnu de maniere implicite decision 250 DC
29 decembre 88 ( loi de finance rectivicative pour 88) puis il a été affirmé de maniere explicite
dans une decision 298 DC DU 24 juillet 91 « loi portant divers dispositions d'ordre eco ou
financiere ».
la position du CC en la matiere est clair mais le CE a adopté une position contraire exprimé dans
plusieurs arrets, le CE estime que le legislateur en donnant a certaines dispositions un caract
retroactif n'entend pas limité le dt de l'adm a s'en prevaloir au seul cas ou le delai n'est pas encore
expiré. ARR 21 avril 97 « COLOMBEAU »
la CAA de marseille a essayé de provoquer un revirement de JP du CE dans une affaire concernant
egalement Mr colombeau le commissaire du gouv constatait qu une loi de validation avait regularisé
retroactivement un rôle irregulier et avait fait renaitre des impositions normalement precrites, en
examinant la JP du CC il en a deduit qu il serait legitime de ne pas faire revivre les impositions
prescrite a la date de l'entré en vigueur de la loi de validation. Or le commissaire n'a pas été suivit
par la CCA qui c'est aligné sur le CE

4) l'obligation de justifier la retroactivité par un motif d'interet general.

Dans une decision de 1986 le Cca exigé que l'application retroactive d une loi soit justifié par un
motif d'interet general : 223 DC 29 decembre 86 ( loi de finance rectificative pour 86)
parmi les motifs d'interet general que le CC admet il y a la prevention du developpement des
contestation succeptible de porter atteinte a la continuité du SP,la lutte contre la fraude et evasion
fiscal en revanche le CC a jugé que la seul concideration d'un interet financier ne pouvait pas etre
regardé comme un motif d'interet general.decision 369 DC 28 decembre 95 loi de finance pour
96.
recemment le CC a confirmé sa position dans une decision du 11 decembre 2008 loi de
financement de la SECu pr 2009

chapitre 2 : l'application de la loi fiscal ds l'espace.

En matiere fiscale la notion de territoire joue un rôle essentielle , a l'heure actuel des texte fiscaux
sont applicable et executoire sur l'ensemble du territoire français mais cela n'a pas tjours eté le cas
notament avt 1789. .il vont obliger tt ceux qui habitent sur le territoire fr et ils vont regir tt les bien
meuble ou immeuble qui s'y trouve , a noter que l'espace fiscal et la sphere de competence devolue
au pouvoir po la meme vet des lors on assimile la souvrainté po et la souvrainté fiscal.
Pour la souvrainté fiscal il faut se repporter au dt fiscal interN pour une definition : une entité
territorial determiné ( benef ou non de la souv po) est réputé jouir de la souv fiscale si elle dispose
d'un systeme fiscal presentant 2 caracteres essentiels :
1. l'autonomie fiscal : le systeme fiscal doit contenir tte les regles d'assiette,recouvrement et de
liquidation necessaire a sa mise en oeuvre
2. une exclusivité d'application :c'est a dire que le system fiscal s'applique dans un territoire
geographiquement déterminé a l 'exclusion de tt systeme concurrent et cela meme s'il existe
des impot percut par des CT.

Sect 1 : le territoire fiscal francais

paragraphe 1 : la competence exclusive de l'etat sur son territoire fiscal.


Sur son territoire chaque etat va etre le titulaire exclusif de la souvrainté fiscal , le Cca ainsi jugé
qu'aucune disposition de nature C n'autorise des transfert de tt ou partie de la souvrainté national a
quelque organismes interN que se soit : decision 71 DC 30 decembre 76 portant sur la decision
du conseil des communauté europeen relatif a l'election de l'assemblé europeen au sufrage
universel.
De cette decision il en resulte que les comp fiscales exercé par des organisations supra natinal sur le
territoire français ne peuvent etre que la concequence d'engagement internationaux regulierement
souscrit. Ex : decision 90 DC 30 decembre 77 portant sur la loi de finance rectificative pour 77:
etait en cause la creation d'un prelevement par le conseil des communauté europeene se
prelevement etait perçut lors de l'importation du sucre , le CC a estimé que le parlement FR n'avait
pas a intervenir dans la determination de l'assiette et du taux de ces prelevements mais qu'il etait
simplement competent pour regler les modalité de recouvrement qui n'etait pas prévu par le
reglement communautaire, il a expliqué qu'il sagissait de l'une des repercution de la repartion des
competence opéré entre les inst communautaire et les autorité N et ce fait n 'etait que la cons
d'engagement souscrit par la fr et rentré en vigueur selon l'art 55 de la C.
le CC refuse la souv fiscal a des collectivité intra etatique, cette question c'est posé concernant les
ancien DOM et dans une decision 160 DC du 19 juillet 83 le CC a estimé que la nouvelle calédonie
ne disposait pas de la souv fiscal.( or JP ancienne est ce toujours d'actualité au vue de la reforme
des DOM )

paragraphe 2 : les contours du territoire fiscal Fr

les loi et reglement fiscaux sont normalement applicable sur l'ensemble du territoire FR et sur ce
point le CE a jugé qu'il n'etait pas possible de faire valoir des franchise tirées du dt public coutumier
et de l'histoire . Arr 11 decembre74 : en espece le requerant se prévalé de dispositon remontant a
l'ancien R pour contester son impot le CE a fait valoir le decret abolissant les priviléges de l'ancien
R
le territoire fiscal FR se compose du territoire metropolitain,des eaux territorial , du plateau
continantal( arr 16 decembre 98 : SA service petrolier schlumberger le CE a jugé que la
legislation FR s'appliquait au produi extrait du plateau continantal), des iles du littorale ainsi que la
corse et les DOM en revanche les COM sont soumis a une legislation fiscal distincte, depuis
l'adoption de la loi C de 2003 qui a modif le cadre inst des collectivité FR aujourd'hui on a une
distinction entre les collectivité regis par l'art 73 de la C et celle regit par l'art 74:
• les premieres sont les DOM ROM et de leurs collectivités,elle entrent dans le champ
d'application de la legislation fiscal N en matiere IRPP et d'IS avec quelques dispositions
spécifiques pour tenir compte de leurs éloignements du territoire metropolitain, en revanche
en matiere TVA elles ne font pas partie du territoire communautaire elle ne s'applique donc
pas partout ( guyane). L'art 73 prevoit qu'elles peuvent etre habilité par la loi a fixer elle
meme les regles applicables sur leurs territoire,notament en matiere fiscal.
A l'heure actuel les regles fiscal qui leurs sont appliquer sont celle fixé par le legislateur FR
sous reserve de certaines adaptations
• les secondes ( art 74) regroupe les ancien TOM ainsir que les iles de walis et foutouna et les
ancienne collectivité a statut particulier. Elle connaissent une reglementation fiscal qui leurs
est propre et ne font pas partie du territoire français au sens de la legislation fiscal.
Paragraphe 3 les variations de regimes au seins du territoire fiscal.

Ces varations sont mise en place par le legislateur pour tenir comptes des particularités de certaines
parties du territoire comme l'insularité ( la corse a un tx de TVA different ). IL existe egalement un
fiscalité propre a certaines circonscription notament dans la regions iles de france s'applique une
taxe spécial d'equipement qui a pour objectif de dissuader les entreprises de s'installer dans la
regions iles de frances
il existe egalement les zones franches c'est a dire des parties du territoire dans lesquels des regimes
fiscaux sont instituée, ils beneficient aux entreprises sous certaines conditions,generalement elle
vont beneficier d'exoneration IS et de taxe pro pdt un certains temps , bcp de ces zones franches ont
été mise en place en 96 sous autorisation legislative et la plupart de ces zone etant crée pour une
durée determiné ont été prolongé.
Il y a aussi les zone urbaine prioritaire egalement crée en 96 : dans ces zones les entreprise benef
dexoneration d'impot de baisse de dt de mutation .Enfin en 96 a été crée la zone franche corse
( exoneration d'impot et baisse dt mutation)
l'instauration de ces zones franches restent soumise a l'approbation des instance communautaire
dans la mesure ou elle peuvent etre concidéré comme une aide fiscal et donc soumise a la
legislation communautaire sur les aides d'etats.

Section 2 : les criteres d'application territorial de la legislation fiscal

la determination du lieu d'imposition se fait selon des criteres multiples qui varies en fonctions de
l'impot concerné, ces criteres differes selon que l'on soit en presence d'impots personnelles ou
d'impots reelles.

Paragraphe 1 : la terrtorialités des impots personnelles

les citeres qui se degagent sont critéres tenant au domiciles de la personne, unep ersonne est réputé
avoir son domicile fiscal en france lorsqu'elle se trouve dans une des 4 situations prévu par la loi :
1. la personne a en france son foyer
2. la personne a en france le leieu de son sejours principal( au – 183 jours au cours de l'année
d'imposition
3. la personne exerce en france une activité pro a titre principal
4. la personne a france le centre de ses interets economiques
il suffit que l'une de ces 4 situations caract la personne pour quelle soit imposable en france se
critere s'applique en matiere IRPP ,ISF. Concernant les dt de sucession et de donnation c'est
egalement le critere du domicile qui est retenu mais il sagira du domicile du défun ou du donnateur
mais peut etre egalement pris en compte le domicilie de l'heritier ou du donnataire et dans certains
cas la provenance des biens pourra egalement etre pris en compte

paragraphe 2 : la territorialité des impots réel


ils portent sur des bien facilement localisable comme par ex les immeubles ou certaines catégories
de revenus, pour ces impots on retient generalement l'Etat dans lequel les biens sont situé,l'activité
est exercé oules revenus réalisés.
Il en decoule que les personne physique qui ne sont pas domicilier en France vont etre imposable en
france sur leurs revenus de sources francaise provenant d'immeuble situé en france , de valeurs
mobileres française ou d'activités réalisées en france.
Pour les benefices réalisées par les société c'est le critere de l'etablissement stable qui va prévaloir
,dans la pratique l'activité va etre imposé en france si elle presente un minimun d'intensité et
d'organisation en france, ce critére implique que l'activité soit exercé par un etablissement autonome
ou que l'activité soit exercé par l'intermediaire d'un representant qualifié de l'entreprise ou que
l'activité soit habituellement realisé dans un cadre d'un cycle complet d'activité ( si 1 des 3 critere
remplit = activité stable en france)
la TVA les regles de territorialité presente des aspects originaux qui distingue les livraisons de bien
qui sont imposable en fr si el bien se situe en france au moment de sa livraison et les prestation de
service qui sont imposé en france si le prestataire y a établit le siege de son activité eco ou un
etablissement stable.se ppe connait de nombreuses exeptions et notament certains qui concerne des
bien realisé dans un autre etat ou qui concerne les prestation immaterielles
l'objectif des instance communautaire est de mettre en place l'imposition dans l'etat d'origine pour
l'instant pour les livraisons de bien le bien est imposé dans l'etat ou il est livrée.
La mise ne oeuvre de ces different critére peut conduire a une double impositions lorsque les
autorité fiscal de deux etat percoivent un impot comparable au pres d'un mm contribuable sur une
meme matiere imposable et pour une mme periode de temps pour remedier a se probleme des
convention interN sont adopté, elles vont contenir d'autre critére de determination du territoire
d'imposition que ceux définie par le legislateur N

theme 3 : les sources interpretative du droit fiscal

l'interpretation conciste a donner un signification a un texte de nature legislative ou reglementaire ,


elle va permettre de préciser ce que veut dire telle disposition de telle texte, en matiere fiscal cette
interpretation prend tout son sens en raison de la complexité des textes.
L'interpretation du droit fiscal est dominé par un grand ppe : l'enterpretation strict des texte qui
decoule du ppe de la legalité fiscal et d egalité fiscal. Ce ppe connait toute fois des exeptions qui
permettent a deux autorité d'interpreté des texte fiscaux:
1. l'adminsitration dans la mesure ou elle applique ces texte
2. le juge de l'impot s'il doit trancher les difficulté

chapitre 1 : l'interpretation administrative

en matiere fiscal l'interpretation adm presente une veritable originalité , logiquement l'adm doit se
contenter d'interpreté les loi de facon stricte mais tres souvent elle va au dela de la simple
interpretation si bien que le legislateur est intervenu pour proteger le contribuable contre les
changement d'interpretation de l'adm.
Section 1 : l'etendu du pouvoir d'interpretation de l'administration

l'interpretation de l'adm fiscal forme ce que l'on appelle la doctrine administrative que le
contribuable pourra contester juridictionnellement dans certains cas

paragraphe 1 : la notion de doctrine administrative

elle n'est pas en generale un source de droit mais une simple interpretation des texte legis et
reglementaire,on la definie comme l'emsemble des commentaires que fait l'adm des textes
fiscaux et des directives qu'elle adresse a ses agents relativement a l'interpretation et
l'application de ces textes.
Dans la pratique cela englobe un nombres important de doc hétéroclyte des lors que ces doc
comportent une interpretations des textes fiscaux, on peut mentionner les circulaire ,les
instructions,les directives de l'adm,commentaires adm de Jp,les reponse ministerielle.
Ces interpretation etait si nombreuses que tte ces interpretations ont été codifier dans la
« documentation administratif de base »,elle permet d'indiquer au agents de l'adm fiscal la
maniere de comprendre et d'appliquer les textes fiscaux. Elle permet egalement d'assurer une
applcation uniforme de loi fiscal sur l'ensemble du territoire, elle se carac generalement pour sa tres
grand clareté et sa qualité formelle
c'est egalement une source d'information ppour le contribuable qui va pourvoir l'utiliser pour
appliquer la loi fiscal a sa situation de son point de vue elle propose generalement des tolerence
fiscal afin d'assouplir les conditions de mise en oeuvre de certains textes, elle comportent des
aménagement de nouveaux dispositifs d'imposition qui sont favorable au contribuable en attendant
de les voir consacré par le legislateur.
Si dans certains cas elle est favorable au contribuable elle peut parfois porté atteinte a se dernier et
dans se cas il a la possibilité de la contester juridictionnellement.

Paragraphe 2 : la contestations

elle se fait generalement dvt le juges adm , le CE a developpé une Jp importante sur elle. Elle a
varier dans el temps pendt longtemps le CE a concidéré que des lors que la doctrine se contentait
d'interpretré de texte superieur sans rien y ajouter elle ne comportait pas un caract reglementaire et
ne pouvait donc pas faire l'objet d'un REP . 24 novembre 89 « ville de montpellier »
al'inverse tout ecart d'interpretation pouvait etre concidéré comme conférent un cractere
reglementaire a l'interpretation et dans se cas la soumettant au REP : 27 fevrier 87 « union des
chocolatier et confisseur de france » rendu a propos d'une instruction prevoyant une cotisation
sur les boisson alcoolique au confiserie comportant de l'alcool alors que cette cotisation ne devait
etre percut que sur le consomateur final. Le CE concidere que l'interpretation etendait le champ
d'application a une situation non prevu par la loi et que des lors elle comportait un carac
reglementaire.
Hypothese d'ouverture du REP :
• des que la doctrine est moin favorable que la loi
• la doctrine est favorable a une catégorie de contribuable mais crée une distorsion
concurrence a l'encontre de ceux qui n'en beneficient pas . Arr sec CE 4 mai 90 « assoc
freudienne »
• lorsque la doctrine adm efface des discrimination resultant de la loi fiscal : CE arr 8 aout
90 « ch du commerce et de l'industrie de dunkerque » il sagissait d'une exoneration qui
etait etendu a une catégorie soc pro non prevue par la loi.
Au vue de la JP on s'apercoit que les REP ne sont pas admis dans de nombreux cas alors que c'est
un moyen de contester la doctrine qui presente de nombreux avantages,l'un des ppaux est que le
recours se font sans conditions de delai( pr autres actes adm 2 mois de delai)car le CE estime qu'il
n'y a pas de publicité necessaire pr informer tt le monde. Arr assoc freudienne (+ autre arret).
Cette position a evolué il y a peu , aujourd'hui il concidere que des lors qu'une interpretation de
l'adm revet un carac imperatif les contribuables sont recevable pr la contester , cette position a été
affirmé en premier lieu dans un doùmaine non fiscal 18 decembre 2002 « duvigneres » puis a été
entendu au domaine fiscal dans un arr du 19 fevrier 2003 rendu dans l'affaire « auberge ferme
déjeuné » puis le CE est allé encore plus loin ( malgres quelque esitation ou il revenait en arriere 4
fev 2004 OP HLM de seine et marne puis a redonner tte sa porté a la jP duvignere en jugant que les
interpretation imperative a carac general d'une instruction doivent etre regarder comme faisant grief
et le CE a rajouté que c'etait le cas lorsque l interpretation meconnait le sens et la porté des dispo
legislative ou reglementaire ou si l'interpretation contient un regle contraire a une norme jur
superieur) il ressort de la JP ulterieur qu'un JP qui se borne a recopier la loi ne met pas a l'abris de tt
recour: arr 6 mars 2006 « syndicat N des enseignant et artiste » arr 2 juin 2006 »chauderlot »
a noter egalement que le CE admet cette position lorsque l'interpretation découle d'une reponse
ministerielle: arr sec 7 dec 2005 « SARL friadent france »
le contribuable a tjrs la possibilité de soulever une exeption d'illegalité dans le cadre d'un recours
pour contester son imposition ,ces instruction adm qui ont un carac interpretatif se sont multiplier et
le legislateur a du intervenu pour proteger le contribuable contre le changement de doctrine,cela a
entrainé l'adoption d'une serie de dispos

section 2 : garanties du contribuable contre le changement de doctrine.

Une disposition decoulant d'un decret du 28 nov 83 relatif au relation entre adm et ses usagers
comprennait un art 1 permettant a tt interessé de se prevaloir contre l'adm des instruction directives
et circulaires ayant fait l'objet d'une publicité reguliere et qui ne sont pas contraire au loi et
reglement . Le champ d'application de cette disposition etait large dans la mesure ou elle concernait
tte les interpretations de l'adm et en matiere fiscal cela concernait les instruction relative au regle
d'assiette mais egalement celle portant sur les procedures fiscales.
En revanche d'un autre point de vue le champ d'application etait moins largue car il ne s'appliquait
qu'au instructions legales. Se decret a été abrogé par un decret du 8 juin 2006 aujourd'hui il ne
reste plus que 3 garanties: une garantie permettant au contribuable d'opposer la doctrine plus
favorable que la loi et 2 garantie qui permettent au contribuable d'oppser a l'adm ses prise de
positions formelle sur une situation de fait.
Paragraphe 1 :l'opposabilité a l'adm de la doctrine plus favorable que la loi.

Cette premiere garantie est issue de la loi du 28 dec 59 qui avait pr objectif de reformer le
contentieux fiscal elle a été codifier a l'art L 80 A du LPF

A- objet de la garantie

cette garantie repose sur une idée simple : le contribuable doit pouvoir se fier aux indications
contenu dans la doctrine adm en vigueur au moment de l'imposition sans que l'adm puiss ensuite le
lui reprocher meme si l'adm decide changer sa doctrine ou si cette interpretation se révele
illégale.Cette art comporte 2 al
1- alinéa 1 :la garantie au réhaussement d'une imposition anterieur.
Cette al ne s'applique qu'au réhaussement d'imposition c'est a dire au complement d'imposition qui
viennent s'ajouter a une imposition initiale deja mise en recouvrement,elle interviennent
generalement suite a un redressement. En cas de taxation d'office cette garantie ne sera pas
invocable : JP CE arr 14 janvier 66 » soc malterie louis vilain »
autre concequences le contribuable ne faisant pas l'objet d ' un imposition primitive ne peut pas
invoquer cette disposition.: arr 3 juin 98 « soc APAVE normande »
autre concequences le contribuable dont l'imposition supplementaire resulte de l'etallement d'un
revenu exeptionnelle ne pourra pas invoquer cette al1 : nov 2003 « hilleriteau »
l'adm a preciser que cette al pouvait faire echec au imposition primitive lorsque le service des impot
redresse une base d'imposition regulierement redressé
2- al 2 : la garantie obstacle a l 'etablissement d'une imposition primitive
contre l'etablissement de tte imposition contraire a la doctrine exprimé dans les circulaires ou
instructions publier : arr ASS 4 juin 76 « SARL le Castelet », le CE a jugé que c'etait la seule
disposition applicabledes lors que l'imposition contesté était une imposition primitive ARR 29
octobre 90 « Desruelle »
tte fois l'app de cette article est subordonné a l'application du texte fiscal par le contribuable selon
l'interpretation de l'adm,Tte fois cette condition a été remise en cause par une instruction de l'adm
afin d'etendre la solution degagé a l'egard des impots non declaratifs et d'appliquer l'art 80 al 2 sans
condition, cela a pour concequences que tt contribuable qui a souscrit sa contribution demeure
fondé a invoquer une doctrine plus favorable que la loi.
Or le CE Refuse au contribuable la possibilité de se prevaloir d'une doctrine qu'il n'a pas appliquer
arr 29 juin 2001 « SA banque SUDAMERIS »

B-les carac de la garantie contre les changement de doctrine.

1- applicable qu'au seul prélévement de nature fiscal.


La ganrantie est app a tt les impot ce qui a été confirmé tant par la jp du CE que celle de la Ccass.
( Ccas 14 mars 83 « affaire soc financier de placement et gestion immobiliere ». en revanche l'art L
80 A n'est pas applicable au taxe para fiscal arr CE sec 25 juillet 80 ni au prelevement qui n'ont
pas un caractere fiscal il en est ainsi pour la participation pour non realisation d'aire de stationement
arr sec 26 mars 99 « vincent » de meme le CE a jugé que cette art ne s'appliquait pas dans le
contentieux du REP arr ass 4 juillet 86 « ville de brest »irmé le 15 nov 2006 enfin il a jugé qu'il
ne s'appliquait pas au penalité( sanction fiscal) arr 27 juillet 2001 « agencinox »
2- une garantie au profit des contribuables
cela signifie que l'adm ne peut pas se prevaloir pour justifier des impositions qu'elle a etablit de ses
propres instructions qui sont legalement dépourvue de tte porté contraignante a l'egard des
contribuable Arr 11 juillet 79CE ARR ass 26 juillet 85 « soc lefebure » etait en cause une
interpretation qui ressortait d'une interpretation ministerielle et le Ce a estimé que l'adm ne pouvait
pas s'en prevaloir.
3- une garantie constitue une exeption au ppe de la legalité.
Car elle permet de se prevaloir d'une interpretation qui peut etre contraire a la loi . Plusieurs
concequences quant a son application :
– la garantie a un caractere subsidiaire c'est a dire que si la question qui fait l'objet du litige
peut etre tranché en application de la loi fiscale le juge fera prevaloir la loi et n'appliquera
pas la garantie. Arr 25 fev 85 « soc institut international de formation de l'ecole
parisienne des hotesses »
– la doctine fait l'objet d'une application stricte :cela entraine plusieurs concquence :
– la doctrine devra etre appliquer a la lettre( juge ne cherche pas a l'interprété)
30 mars 92 « société general »
– le juge ne doit pas rechercher l'intention de l'auteur de l'interpretation 27
novembre 91 « soc mecanique automobile de l'est » + 29 dec 99 « SA
hugo film » dans cette aff le requerant demandé l'application d'une doctrine a
une forme de distribution de film qui n existait pas a l'epoque de la doctrine
le CE va rejeter la demande car elle constitué a assimilé une forme de distrib
a une autre.
– La doctrine ne peut etre appliqué par analogie a d'autres impots ou d'autres
catégories de contribuables de meme la doctrine qui benef a un categorie de
contribuable ne peut etre invoqué par une autre catégorie 25 janv 89 « soc
manosquine de construction metallique »
– le contribuable ne peut pas se prevaloir d'une rupture d'egalité, il ne peut pas
invoquer que le fait que la doc accorde a des entreprise placé dans des
situations comparable des avantages inegaux arr 19 mars 86 « soc mecanique
automobile de l'est »

C- les conditions d'application de la garantie.

Au vue du contenue de l'art le juge fait ressortir des conditions concernant son application, ces
dfifferentes conditions concerne l'interpretation le contribuable et enfin l'application dans le temps.
1- les conditions tenant a l'interpretation.
Ces conditions concernent la source de l'interpretation et sa forme.
a- la source de l'interpretation
elle doit exclusivement émaner d'une autorité fiscales ( M des finance,agent ministere des finance)
cela signifie qu'une interpretation d'une autre autorité ne peut etre invoqué sur le fondement de l'art
L80 . Arr ASS 22 dec 89 « cercle militaire mixte de la caserne mortier » dans cette affaire le CE
a rejeter l'app de l'art 80 car l'interpretation émané des instructions du ministres de la defense.
Tte fois l'interpretation n'est pas reservé a l'adm fiscal lorsqu'elle interesse un prelevement de nature
fiscal dont l'assiette interesse une autre administrationarr 25 fevrier 78 affaire SCI le belgarde
B- la forme de l'interpretation
pour que la garantie de l'art soit app il y a plusieur conditions tenant a la forme qui sont posé :
– elle doit etre contenu dans un texte a caractere fiscal(entendu de maniere strict)
l'interpretation ne se rapport qu'au texte qui determine les pers ou matiere imposable,les
exoneration,l'assiette de l'impot.arr 29 juillet 83 elle peut aussi etre relative au taux et tarif
applicable Arr ASS 11 juillet 77 3 « SA ferrero France »,elle peut concerner les regles de
prescriptions arr 28 nov 97 « Arnal »
en revanche la notion de texte fiscal ne comprend pas les regle de la procedure d'impostion
les regle relative a la territoiralité et au fait generateur de l'impot,les regles de la procedure
contentieuse,les regle du recouvrement et enfin les penalité fiscale.
– Elle doit etre formelle c'est a dire qu'elle doit emaner de circulaire d'instruction, de reponse
ministerielle ou autre doc admis par le juge de l'impot, const une formelle : la doc adm de
base arr ass 4 jullet 886 « soc publie mode photo », egalement el CE que constitut une
interpretation formelle la mention dans une notification de redressement relative a une année
anterieur a celle controlé. 10 avril 91 « guy lux »
en revanche ne constitu pas une interpretation formelle pr le juge de l'impot les simple
recommandation,le silence de l'adm,les document qui ne sont pas destiné au contribuable
( arr sec 5 juillet 91 « artola » enfin il est a noter que le juge de l'impot n'esite pas a refuser
des instructions rediger dans des textes qu'il estime contradictoire et embigue ( 11 janvier
2006 « SA LVMH »
2-les condition relative au beneficere

la premiere condition que devra remplir le contribuable est qu'il devra invoquer l'interpretation dans
sa totalité,il ne peut pas se prevaloir de la partie de la doctrine favorable et refuser l'application de la
doc defavorable. Avis CE ass8 avril 98 « soc de distribution de chaleur de meudon et orlean »
avis a propos de soc utilisant les fazille de la doctrine adm pour benef d'avantage fiscaux important
et quand elles etaient controlé elles obtenaient gain de cause car c'etait fondé sur la doctrine, pour
mettre fin a ces avantages le legislateurs est intervenu(affaire des fonds turbo)
une autre affaire a donner lieu a un avis du CE du 20 octobre 2000 « bertoni » il sagissait d une
interpretation de l'adm sur IS, le CE a estimé que les elements d'une interpretation etait
indissociable et donc que le contribuable ne pouvait pas se prevaloir que d'une partie de cette
doctrine.
La seconde condition: le contribuable doit invoquer expressement et precisement la doctrine ce qui
signifie qu'un contribuable ayuant appliquer dans un premier temps la loi fiscal il ne peut plus se
prevaloir de la doctrine adm.arr ass CE 11 juillet 77 « SA ferrero france »: dans cette arr etait en
cause l'application d'un taux de TVA a un produit , la soc c etait conformé a la loi alors qu'il existait
une circulaire qui lui aurait permis un taux reduit, la soc s'en est prevalu posterieurement et a tenté
de faire valoir la circulaire dvt le juge fiscal mais se dernier la refusé.
Sur ce point le juge adm a estimé que le moyen tiré du changement de doctrine n etait pas d'ordre
public et ne pouvait pas etre soulevé par le juge : Arr 1 fevrier 95 « soc ESY muntenay »
3em condition: le contribuable doit respecter les conditions posées par la doc adm qu'il invoque
c'est ce que le CE a jugé dans un arr du 31 octobre 79 » soc d'edition revue française » cette
condition implique que la situation du contribuable soit exactement conforme a la situation visé par
l'instruction et le juge verifiera que le contribuable rendre dans les condition de la doc pour
appliquer l'art L80 A.arr ASS 8 avril 98 « societé Gras savoye »
3- les conditions temporelles d'application de la garantie
elle tienne tt d'abord au fait que le contribuable ne peut pas invoquer une doc adm anterieur a la
mise en recouvrement de l'imposition primitive , il ne peut invoquer que la doc anterieur a la date
limite du fait generateur.
En prat cela signifie que la doc adm ne peut avoir un effet retroactif sauf si la loi interprété est elle
meme rétroactive arr 27 fev 91 « SCI RASPAIL 226 » . par ailleur l'interpretation invoquer doit
tjrs etre en vigueur soit a la date primitive d'imposition soit a la date a laquelle le contribuable est
réputé en avoir fait application,ce qui implique que l'interpretation ne doit pas avoir été remise en
cause soit par une nouvelle interpretation de la loi( si elle a fait l'objet d'une publicité au moins
equivalente a l'interpretation précédente) arr 4 juillet 86 ass « soc publi mode photo »+ 18 mars 86
ASS « firino martell » soit par un changement de legislation ,dans la pratique une doctrine adm
n'est plus opposable des lors que le texte legal ou reglementaire en vertu duquel elle a été edicté a
été abrogé.arr 26 octobre 94 « champagne »
toute fois une interpretation adm ne devient pas caduc au moindre changement de legislation et
notament l'adm ne peut pas abandonné une interpretation qui n'est pas remise en cause sur le fond
par la nouvelle legislation Arr 6 mars 96 « SARL restauration gestion service »

paragraphe 2 : l'opposabilité a l'adm des prises de position formelles sur une


situation de fait.

Il y a dans le LPF 2 dispositions qui mettent en place de telle garantie : art L80 B et L64 B

A- art L80B

elle a été mise ne place par la loi du 8 juillet 87 il permet au contribuable d'opposer a l'adm les
prises de position formelles sur sa situation et les garantie implique que l'adm ne peut pas procédé a
un réhaussement d'imposition si la cause du réhaussement est un different sur l'appréciation d'une
situation de fait au regard d'un texte fiscal par un redevable de bonne foi et s'il est démontré que
l'appreciation retenu par le contribuable a été formellement et anterieurement adimise par
l'administration.
Cette article comprend 2 al
• alinéa 1 s'applique si le contribuable est de bonne foi et cela a plusieurts concequences :
▪ le contribuable est de bonne fois si la situation est strictement iddentique a celle sur
laquelle l'adm a pris position : arr 17 juin96 SA france sud diffusion.+ arr 20
octibre 2004 « SA etablissement meunier »
▪ s'il veut invoquer ac succes cette art il faudra qu'il se soit conformé a la situation
admise par l'adm lors de sa prise de position formelle.
Au dela de sa bonne fois la garantie s'appliquera que si des condition sont remplie
▪ il doit exister une appreciation d'une situation de fait au regard d'un texte,l'adm aura
du tirer les concequences jur d'une situation donné. Arr 8 septembre 99 « SARL
société d'exploitation des etablissement MADEJ »
▪ le texte sur lequel s'applique la prise de position doit etre un texte fiscal
▪ la prise de position doit etre formelle, le CE a jugé que peu importé la forme que
prennait cette prise de position . Arr 8 septembre 99 « SARL société d'exploitation
des etablissement MADEJ ». en revanche le CE a jugé que ne constituait pas une
prise de position formelle la position exprimé par l'adm sur la valeur d'un immeuble
dans le cadre d'une procédure de redressement en matiere ISF,des lors que le
nouveau litige portait sur IRPP et la TVA. Arr section 6 avril 2002 Clermont+ Ccass
DREAM house
▪ le contribuable devait etre en mesure de connaître l'appreciation de l'adm au moment
ou il s'en est servi. Arr SA marie cote d'argent 17 juin 2005 le CE a estimé que les
contribuable ne peuvent utilement invoquer sur le fondement de l'art L80 b les prise
de position ou appreication formulé avt l'etablissement d'imposition primitive.
• Al2 : etend le benefice de la garantie lorsque le contribuable a posé une question a l'adm
mais que l'adm n'a pas repondu soit dans un delai de 3 mois lorsque la mesure porte sur le
regime d'exoneration des entreprises nouvelles ou sur le regime d'amortissement des
benefices exeptionelles ou si elle n'a pas repondu dans un delai de 6 mois lorsque la
demande porte sur le benefice d'impot recherche.
Dans les 2 cas le texte subordonne la validité de l'engagement tacite de l'adm a une
presentation ecrite precise et complete de la situation de fait.

B-article L64 LPF

art different de l'art L 80 B car il rentre dans le cadre de la repression des abus de droit il a etait
intro par la loi du 8 juillet 87
abus de droit : fait de dissimuler la veritable porté d'un contrat ou convention dans un but fiscal
tandant a éluder ou reduire l'impot,cvette abus de droit ne constitue pas une simple intention
frauduleuse mais suppose une intention de dissimulation et un veritable montage juridique
apparament regulier de la part du contribuable
si l'adm constate un tel abus elle peut engager la procedure de repression des abus de droit ,cette
procedure a pour ppal objectif de restituer a l'operation litigieuse son veritable caractere, le
contribuable va etre sanctionné et la penalité qui s'applique est de 80% des droit rappelés. Cette
article prevoit que la procedure de repression des abus de droit est inapplicable des lors que le
contribuable a préalable consulté l'adm sur le montage juridique qu'il souhaite realisé et que
l'adm lui a donné son accord implicite ou explicite pour l'effectuer,cette procedure s'appelle le
rescrit fiscal.
L'acceptation est implicite en absence de reponse de l'adm dans un delai de six mois sachat que le
delai ne commence a courir qu'a partir du moment ou l'adm a disposé de tout les elements lui
permettant apprécierla porté veirtable de l'operation.
4 conditions doivent etre reuni pour que l'art s'appliquer :
1. la consultation de l'adm doit concerné la porté d'un contrat ou d'une convention qui soit
succeptible d'etre mise en cause dans le cadre d'une procedures de repression des abus de dt
2. la demande doit etre préalable a la conclusion du contrat ou de la convention
3. la demande doit comporter tt les elements utiles pour que l'adm appécie la porté veritable de
l'operation
4. la demande doit etre adressé par ecrit a l'adm centrale
chapitre 2 : la Juris prudence fiscale

en matiere fiscal un ppe s'applique : le ppe de l'interpretation strict , en application de se ppe le juge
fiscal ne dispose pas d'une grande latitude dans l'interpretation cependant si l'on regarde la JP
fiscale on s'apercoit qu'elle a eu une fonction créatrice.

Section 1 : le ppe d'interpretation strict

paragraphe 1 : la signification du ppe.

Se ppe decoule directement du ppe de legalité fiscal ce qu'on affirmé a plusieur reprise les
juridiction adm ( CE 9 decembre 59: le dt fiscla etant un droit de prelevement c'est a dire
d'exeption il doit etre interpreté dans le sens le plus strict ) mais aussi par les juridiction judiciaire ,
la Ccass a rapellé que les disposition du droit fiscal n'etait pas succeptible d'extention ou de
restriction: arr 26 decembre 1826 ; dans les lois fiscales comme dans les loi penales se qui n'est
pas prévu,ordonné ou defendu est permis et ne peut etre exigé ou defendu.cette position a été
réaffirmé a plusieurs reprise Ccas ch criminel dans affaire St remy et bonnet
se ppe implique un rapport de conformité de l'acte d'imposition au regard de la loi et manifeste la
volonté d'assurer le strict respect des prerogative du legislateur fiscazl et cela se traduit par l'absence
de toute creation normative s'agissant l'interpretation jurisprudfentielle

paragraphe 2 : les conséquences du ppe de l'interpretation stricte

se ppe peut avoir des concequences qui ne sont pas tjrs favorables au contribuable notament il arrive
que le juge fiscal adopte une position moins favorable au contribuable que la doctrine adm c'est ce
que le CE a jugé dans un arr ASS 18 dec 70 : etait en cause la possibilité dans le cadre des soc de
deduire le salaire du conjoind qui participait effectivement a l'exercice de la profession ,cette
possibilité devait etre demandé par le contribuable et certaines conditions étaient posées,la loi
prevoiait qu'en cas de mariage sous la communauté le salaire du conjoind ne pouvait etre deduit que
dans certaines limites alors que la doctrine adm prevoyait que lorsque les conjoind etaient marié
sous la séparation des biens le salaire etait deductible dans sa totalité, le CE dans cette arret a
condamné cette distinction en faisant prévaloir l'interpretation strict de la loi.
Ici l'on voit qu'une disposition favorable a été effacé sous prtexte de l'application strict.
Autre concequence ; l'application du ppe peut conduire a des situations paradoxal notament dans un
arr du 18 octobre 87 « soc le bourdon » le CE a jugé qu'il resulté des dispositions de l'art 1729 du
CGI que sont seul passible des majoriton de 50% les redevable dont la bonne foi peu etre contesté
des lors qu'ils ont admis ou declaré siament une base d'imposition incomplete l'application strict
mene au fait que le contribuable qui n'a souscrit aucune declaration ne peut pas se voir appliquer
cette majoration alors meme que les circonstances de sont abstention montre sa mauvaise foi. Cette
position a été confirmé dans arr 3 SCI du haut kersi « de 88
autre concequence :il arrive que l'interpretation strict conduise le juge a ne pas prendre en compte
des dispositions non fiscales meme etroitement lier au premiere: arr 7 decembre 93 « SA
automobile service » concernant la taxe des vehicule de société , dans cette affaire était en cause un
exoneration sous condition de vehicules destinés a la vente parmi lesquels figuré les vehicule de
demonstration, le ministre des transport avait defini dans un arrété se qu ' etait un vehicule de
demonstration , le Ccass va refuser de prendre en compte cette definition de se fait la Ccass va
refuser a l'adm de s'appuyer sur cette arrété:
toute fois l'interpretation strict n'empeche pas le juge a se référé a l'intention de l'auteur du
texte le juge a notament l'abitude de se reféré au travaux préparatoire ( il va cherché la siginification
et l etendu que le legislateur a voulu donner au texte) donc le juge ecartera tte interpretation qui
aurait pour effet de meconnaitre l'intention du legislateur 88 video france

section 2 : les limites a l'interpretation stricte par le juge


2 constat s'imposent : le juge interprete au cas par cas et l'on constat que l'on a quelque exemple de
creation JP

paragraphe1 : l'interpretation au cas par cas du juge de l'impot.

De maniere general il ya 3 motif qui peuvent conduire le juge a faire de l'interpretation une oeuvre
creatrive :
1. la norme peut apparaître au juge imparfaite, dans se cas il recherchera a completer ou a
apporter de la clareté par rapport a la cohérence du systeme normatif
2. la norme peut s'avérer trop rigide nt au regard de la situation d'espece : qd norme est trop
general,abstraite et impersonnelle ce qui la rende difficile d'application a des cas concret
3. la norme est un texte ancien qui releve de préoccupation passé et qui ne correspondent plus
au necessité actuelle dans ce cas le juge a tendence a actualisé la norme pour la rendre
pertinente
au dela de ces motifs on constate que le pouvoir du juge sont plus élévés quand les fondements
textuels sont reduit dans ces cas le juges va se fonder sur des construction Jp ou va les développé
c'est le cas egalement quand il y a instabilité chronique de certaines regles fiscales.plusieurs
concequences en decoulent :
• dans se cadre la jp va permettre d identifier des problemes nouveaux et d'anticiper sur des
mesures legislatives ou reglementaires . Ex : la tva avait en champ d'application restraint a la
base mais dans la pratique le juge a essayé de tenir compte de l'evolution des activités et
structures dans l'application des textes definissant le champ d'application de la TVA: arr
ASS CE 20 fevrier 74 « SA elsa »
• la JP va permettre de definir des notions et conceptes juridiques notament en matiere IRPP
ou la notion de revenu decoule du juge fiscal.c'est souvent le cas. On constate que les ppal
notion contenu dans le droit fiscal reléve d'une definition jurisprudentielle.
Par exemple la notion de revenu est defini par le juge fiscal, il en va de meme pr la notion de
gain en capital
• Elle peut egalement créé de veritable notion ou théorie ou eventuellement degager un ppe
general du droit. En dt fiscal on s'apperçoit en etudiant la jp que le juge a élaboré de
nombreuse théorie importante , il a egalement créé des notions
ex : le juge fiscal a créé la théorie des actes anormaux de gestion,cette theorie est apparu la
premiere fois dans un arr du 28 mars 79. la théorie de l'intengibilité du bilan d 'ouverture est
aussi un creation JP , elle est degagé par le CE pour faire obstacle au mecanisme des
correction symetrique qui permet a l'adm fiscale de verifier la regularité de certaines
opérations de l'entreprise remontant a un exercice prescrit,elle decoule d'un arr du 31
octobre « chiron » or revirement du 7 janvier 2004 « SARL ghesquiere equipement »
abandonne cette théorie enfin le legislateur est intervenu pour la retablir.
Autre exe le CE a créé la notion de fraude a la loi,cette notion a été degagé pour permettre a
l'adm de faire face a certains montages juridiques qui presentent un caract frauduleux sans
pour autant rentrer dans la catégorie de l'abus de droit.arr sec 27 sep 2006 « Janfin »

le juge fiscal a tendence a se fonder sur des PGD( ppe d egalité etc...)

paragraphe 2 : les manisfestations de la création JP.

Le juge peut avoir deux attitudes soit il va statuer praéta legen ou contra legem.
A- l interpretation praeter legen

la jP nous montre que le juge peut allé au dela du sens de la loi fiscal soit pour en reduire la porter
soit pour l'etendre. En general le juge se référe a l'intention du legislateur mais se n'est pas tjrs le
cas.on constate que cette interpretation va dans certains cas dans le sens du contribuable soit dans le
sens de l'adm.
Generalement le juge fiscal utilise une demarche d interpretation extensive dans ce cas c'est
generalement dans un soucis de rationalisation de la loi fiscal; arr Ccass ch com 18 avril 89
bergondi: interpretation extensive du champ d application de derogation a ISF dans le but de rendre
plus logique les regles derogatoires par rapport au conjoind survivant.
Tres souvent le juge va avoir tendence a faire des interpretation reductrice quand il est confronté a
des regles fiscales contradictoire, c'est le cas lorsque 2 dispo de textes differents prevoit des regimes
contraires pr une meme situation,dans ces cas le juges a 2 solutions : soit il fait prevaloir l'une des
deux dispo en restreignant le champ d'app de l'autre arr 3 juin 85 « SCI 9/15 rue LASSON » soit
il tente de combiner les deux textes: arr 3 octobre 94 « etablissement DANAG »

B- interpretation contra legen

des lors que le juge donne se genre d interpretation il fait une oeuvre creatrice, c'est le cas quant il
cherche a conférer un effet utile a une disposition fiscale dont l'interpretation littérale pourrait
reduire la porté
arr 14 novembre 2001 : « société andritz » la Ccass a la meme position arr SA ROVAL
audela l interpretation contra legen peut apparaître lorsque le juge estime que le dispositif legislatif
qu il est sensé appliqué est injuste absurde ou anachronique , dans se cas il peut decider de faire
prevaloir des conditions d'équité sur les regles jur en vigueur. CE 4 juillet86 « BEOlet » dans cette
affaire etait en cause la taxation d'office d'apres les signes exterieurs,dans le cadre de cette derniere
une disposition prevoyait que le contribuable ne pouvait pas apporter la preuve contraire en matiere
d'evaluation de ses revenus, le CE a admis par une interpretation contraire a la lettre du texte qu'un
contribuable pouvait obtenir la decharge de l imposition en apportant la preuve qu'il avait financé
ses dépenses par des capitaux rapporté de l'etranger.
Se pouvoir normatif du juge est limité car tte interpretation qu'il donne de la loi fiscale peut etre
remis en cause par le legislateur, le legislateur a tjrs le dernier mot
theme 4 : les sources supra nationales du droit fiscal.

1er constat : pendant tres longtemps ces sources etaient limités dans la mesure ou la loi etait la
seule source du droit fiscal, leurs multiplication a l'heure actuelle decoule de phenomene eco : dvlpt
des relation eco et de la facilitation de circulation des capitaux et des hommes.
Elles sont devenus si importante que dans certains domainEs on assiste a une internationalisation du
droit fiscal.
ART 55 de la C dispose que l'ensemble des traités et accord on une autorité superieur a celle des loi
sous reserve de leurs ratification et de leurs publication. Les jur aujourd'hui appliquent pleinement
les dispositions de cette art et le cas echéant elles vont ecarter l'application d'une loi des lors qu'elle
sera contraire a une convention .Ccass ch mixte societé des café jacque vabre 75 CE ass Nicolo 89.
arr SA Schneider.
De tout cela il resulte que la loi fiscale n'est plus aujourdhui souvraine elle va etre limité par : les
normes fiscales internationale, les normes du droit communautaire et les normes de la convention
euro des droit de l'homme.

Chapitre 1 :les sources internationales du droit fiscale


c'est un droit qui c'est développé tout au long du 20 s et il se definie comme la branche du droit
fiscal qui interesse les aspect internationaux de l'impot, se droit aura pr ppal objectif de determiner
les conditions d'imposition des opérations interN , c'est a dire les operations faites par le resident
d'un etat sur le territoire d'un autre etat ou avec un resident de l'autre etat.
Au dela il va egalement fixer les regles relatives a l'imposition des biens et du capital detenu par le
reisdent d'un etat sur le territoire d'un autre etat.
La question ppal sera la determination du lieu d'imposition ce dernier est d'abord résolu par la loi
interne dans un second temp les prob de determination du lieu d'imposition peuvent etre reglé au
niveau interN, en la matiere il existe un certains nombres de traités interN qui n'ont pas un objet
fiscal mais qui vont pouvoir contenir un certains nombres de dispositions fiscales c'est le cas par
exemple des accord de cooperation mais en matiere fiscale les traité on generalement un caractere
bi bilaterral.

Sec1 : le contenu des conventions fiscales internationales

paragraphe 1 :les dispositions visant a éliminer les doubles imposition

les conventions fiscales qui vont etre conclus entre 2 etat vont avoir pr objectif de prevenir la
double imposition par des mecanismes qui varient .
A- les risques de double imposition.

Les conventions fiscales vont tendre a regler les problemes lié au fait qu'une meme personne
physique ou moral peut faire l'object a l'occasion de rapport eco interN d'une imposition dans deux
etat different a raison d'un meme revenu ou d'un meme patrimoine.
ex un pers habitant en FR mais travaillant en ALL va voir son revenu imposé deux fois : en france
du fait de son lieu de résidence alors que la loi all prevoit un prélévement a la source . De meme pr
une entreprise qui a une filiale a l'etranger risque de voir ses benef imposé dans le pays de la filiale
puis une seconde fois a l'occassion du rapatriment de ces benefices dans le pays de la soc.
Il arrive que pr certain les risques de doubles impositions soit pris en compte par le droit interne lui
meme , par exemple l'adm autorise les particuliers qui ont acquitté des impots a l'etrangers a deduire
ces impots de leurs base d'imposition mais ce n'est pas tjrs le cas.
C'est pr prevenir se genre de situation et egalement pour eviter de porter atteinte au echange eco que
la france a signé un certains nombres de conventions bilaterral dont l'objet est de lutter contre ces
double imposition pour y parvenir les conventions vont organiser une repartition des competences
fiscales entre les E co contractant en essayant d'envisager le plus de situations possibles de double
imposition, la convention va determiner qu'elle etat posséde le droit exclusif d'imposer
ces conventions ne concernent que certains impots pour lesquelles elles sont pertinantes : les impots
sur le revenus et les benefices et accessoirement l'imposition sur la fortune or il existe quelque
conventions sur les droit d'enregistrement ( tres rare)
B- les mecanismes de preventions de double imposition.

Pour que le systeme conventionnel fonctionne il doit reposer sur des ppe commun a l'ensemble des
E et l'on constate aujourd'hui que la plupart des accord bilaterral utilise des models d'accord ou
convention modele.
Plusieurs modeles peuvent etre utilisé comme celui americain de 77 ou le modele de l'OCDE de 66
ou celui de l'ONU de 79 ce modele est utiliser par la france de maniere assez rare mais il a bcp été
use pour les convention ac l'ex URSS et les pays issuent de la decolonisation. Le model le plus
utilisé est celui de OCDE car c'est une organisation tres active sur le terrain des etude fiscal.
Ces modeles n'ont qu'une valeurs indicatives et peuvent la recopier totalement comme partiellement
, les clause qu'il contiennent ne sont pas contraingnante , toute fois ils ont une logique iddentique et
ils enservent les negociation dans un uniforme tout en laissant une marge d'elasticité aux E.
le model OCDE propose un certain nombres de critéres simples et equitables sencé receuillir
l'assentiment de l'ensemble des E pour determiner les cas dans lesquels un revenus ou un bien
merite d'etre taxé dans un etat plutot que dans un autre. Generalement c'est l'etat de residence du
benef du revenu qui dispose du droit d'imposer les revenu mobilier les pension et les redevences et
l'etat de la sources et seul competent pour taxé les revenus foncier agricolt et rémuneration
publique.

Paragraphe 2 : les autres dispositions des conventions

2 categories de dispositions

A- les dispositions contre la fraude et l'evasion fiscal.

De nombreuse convention fiscal vont contenir des disposition visant a contenir la fraude et l'evasion
fiscal.
Fraude fiscal : infraction direct et déliberé au regle posé pour l etablissement et le paiment de
l'impot alors que l'evasion fiscal s'analyse comme la recherche de la voie la moins imposé en
recourant a des procédés qui consiste a deguiser la realité de ces operations sans enfreindre
directement les dispositions fiscales
souvent les dispositifs internes ne sont pas suffisant et les E ont besoin de s'organiser entre eux. De
se fait les convention contienne generalement les bases d'une coop entre les administrations fiscal
des E
2 categories de disposition :
1. celle relative a l'assistance de l'assiette elle consiste pour les adm des E en l echange d'info
permettant de determiner le montant de la base d imposition d'un contribuable
2. celle relative a l'assistance au recouvrement qui permet a l'etat co contractant de recouvrer
l'impot du dans l'autre E
ces mesures ont des limites mais elles tendent a se reduire.

B- des dispositions protegant le contribuable


elles peuvent etre varié de maniere generale il sagira de dispositions fixant le regime fiscal mais elle
se materialise par des clause de non discrimination fiscal qui a interdire les discrimination fiscal
selon la nationalité, ces clauses reposent sur l idées que les nationaux a situation egale ne doivent
pas etre traité moins favorablement dans l'autre E que les N de l'autre E

section 2 : la porté des conventions interNational

elles vont etre appliqué par le juge fiscal il s'attache en ppe a interpreter ces conventions mais au
dela de l interpretation il va controler la regularité des procedure de ratification et egalement il va
controler qu'elle ait fait l'objet d'une publicité suffisante arr ass 118 Dec 97 parc d'activités de
lotzheim.
Les conv fiscal benef d'une porté singuliere qui semble contre dire l'art 55 de la constitution,cette
porté particuliere tient au ppe de subsidiarité des convention fiscal et au moyen tiré de leurs
violation a un caract d'ordre publique.

Paragraphe 1 le principe de subsidiarité des conventions fiscales bilatérales

spécifiques a la matiere fiscal degagé par le CE qui affirme avec force son refus d'apprécier
directement l'eventuelle contrairété d'un acte d'imposition a une convention international, dans la
pratique le juge fiscal va dans un premiere temps verifier que l'imposition contesté a été etablit en
respectant fidelement la loi et si c'est le cas et que la contestation du contribuable n'est pas satisfaite
le juge verifie dans un second temps que la qualification de la situation qui resulte de la loi est
conforme au stipulation de la convention arr ass ministre du budget contre soc anonyme
schneider 28 JUIN 2OO2 dans cette arret le ppe de subsidiarité a fait que le juge a fait valoir la loi
posterieur sur la convention franco suisse cette Jp a été réaffirmé dans arr societé pacifique espace :
une conv fiscal ne peut pas par elle meme servir de base legal a une imposition, le juge de l impot
doit d abord se placé au regarde de la loi N et dans un second temps il pourra eventuellement se
placé au regard de la convention
( arret suivant dans le plan reaffirmation)
arr cheynel : le CE a use les critere de domiciliation de la loi plutot que d utilisé les critere de la
residence fiscal . Cet application subsidiaire est la cons que par son object ne peut que conduire a
ecarter tel ou tel point de la loi N mais elle ne peut pas servir directement de base legal a une
imposition.
Se ppe est plus theorique et po que juridique dans la mesure ou tres souvent le contribuable
obtiendra dans tt les cas satisfaction si l'acte contesté viole la convention

paragraphe 2 : la violation d'une convention fiscale : un moyen d'ordre public

generalement le CE concidere que la contrariété d'un AA avec le dt interN , le dt commu ou le dt


europeen ne consitue pas un moyen d'ordre publique : arr sec 11 janvier 91 « SA morgane ».
toute fois dans l'arret schneider electrique il a estimé que la question de la violation d'un conv fiscal
par l'adm pouvait etre soulevé d'office par le juge de l'impot, ainsi le contribuable serait assuré que
le juge fera primer s'il y a lieu la conv fiscal sur la loi.
Cette caracteristique des convention fiscal le juge l'a deduit du ppe de subsidiarité.
Il faut noter que le CE refuse de faire prevaloir la coutume interN sur la loi fiscal : arr ass 6 juin 97
aquarhone, il a egalement de faire prevaloir les PGD du droit interN sur la loi fiscal : arr 28 juillet
2000 « Paulin »
chapitre 2 : les sources communautaire du droit fiscal

le droit commu a aquis en dt fiscal une importance conciderable notament du fait que certains art du
traité de Rome prevoit l'harmonisation d'un certains nombres de dispositions fiscales mais avt de les
envisager il faut rechercher dans le traité lui meme les dispo qui ont vocation a s'appliquer d'elle
meme.

Sect 1 : les dispositions contenues dans le traité.

Elle sont essentiellement dans le traité de Rome dans se traité il y a 2 catégories de dispositions

paragraphe 1 : les dispositions fiscales du traité

les articles fiscaux du traité sont contenu dans un titre qui s'intitule dispo fiscal et qui a ete intro
dans el traité pour eviter que les E compense la suppression des barrieres douanieres par des
barrieres fiscales.
Se titre comprend 4 articles dont le contenue reste cepdt limité. Leurs objectif est d'eviter les
discrimination en matiere d'impot indirect, de se point de vue l'alinea 1 de l'art 90 interdit les
discrimination entre produit N et les produits d'autres E membres.
La france a été condamné par la CJCE notament a propos de son systeme de calcul de la vignette
automobile car il favoriser les vehicule FR : arret du 17 sept 87 « feldain »
la CJCE a condamné le systeme de taxation des cigarettes car la legislation faisait une distinction
entre les cigarette blonde et les cigarettes brun au detriment des cigarettes blondes majoritairement
importé : 27 fevrier 2002 « commission contre france »
d'autres dispositions visent a eviter le protectionnisme fiscal notament l'article 990 al 2 qui
interdit l'adoption de tte imposition interieure de nature a proteger indirectement les productions N:
arr 27 fevrier 80 « commission contre france »( fiscalité des alcool).
Se titre vise egalement a eviter les manipulation fiscal , l'article 91 a pour objet d'empecher que par
le biais des impots indirects on accorde un traitement differencielle et preferencielle aux entreprises
N. de se point de vue l'article 92 va permettre de lutter contre les manipulations par les E membres
de leurs fiscalités directe pour compenser la perte de leurs libertés en matiere douaniere
enfinl'article 93 organise l'harmonisation des impots indirects et ppalement les taxe sur le CA et les
doit accises.
En dehors de se titre 2 autres articles sont important : l'article 293 du traité qui permet au E
membres de conclure entre eux des convention permettant l'elimination des doubles impositions,
pour l' heure cette art n'a trouvé a s'appliquer qu'un seul fois : convention du 23 juillet 90 relative
aux doubles impositions en cas de correction des benefices entre entreprises associées.
L'art 23 et 25 du traité qui interdisent les taxes d'effet equivalent aux droits de douane , la encore
c'est une interdiction qui c'est avéré necessaire pour eviter que les E restaurent les droit de douane
sous forme de taxe d'effet equivalent. La CJCE a condamner la la france pour les octroies d'outre
mer arr 16 juillet 92 « legros »

paragraphe 2 : l'influence des articles non fiscaux sur le droit fiscal.

Le traité de rome contient un certains nombres d'articles ayant une inf sur le droit fiscal et notament
toute une serie d'art sur l'interdiction des discriminations
A-l'interdiction des discriminations autres que fiscales

l'interdiction des discriminations en raison de la nationalité decoule de l'article 12 du traité or de


nombreuses dispo du dt fiscal sont succeptible d'entrer en contradiction avec se ppe.
Les dispositions interdisant les discrimination :ART 39 : interdiction de discrimination entre
travailleur d'E membre : arret 8 mai 89 « BBIEHL contre luxembourg » dans cette arr la cour a jugé
que cette art faisait obstacle a ce que la legislation d'un E membre prevoit que les retenu d'impot sur
les traitements et salaires opéré a charge d'un salarier ressortissant d'un autre E membre reste
acquise au trésor et ne puisse pas etre sujette a restitution.
ART 43 interdiction de discrimination entre W independant: dans un arret du 11 mars 2004 « » la
cours a estimé qu'un dispositif FR portait atteinte a la liberté d'etablissement il sagissait d'une
disposition cherchaznt a prevenir l'evasion fiscal et qui tendait a imposer les plus value non encore
réalisées
art 48 interdiction des discrimination entre société : la encore la france a été condamné a propos
du mecanisme de l'avoir fiscal CJCE janvier 86 « commission contre france » les dispositions de la
legislation FR permettait au société FR distribuant un benefice de profiter de l'avoir fiscal ( pas pr
les soc entrangeres)
Art 49 interdiction des discrimination entre prestataire de service: arr 26 octobre 99 « eurowings »
art 56 et 58 interdiction de la discrimination en raison de la provenance des capitaux: arr 14
octobre 99 « sandoz » sur l'application d'un droit de timbre au contrat de prêt qui etait souscrit par
les resident de E dans un autre E membre

l'eventuelle justification des discrimination : elles sont laissées a la libre appréciation de la CJCE
des lors qu'elle est confronté a une disposition qui entraine une discrimination elle va verifier les
justification apportées par les E et va notament faire prevaloir les ppes du traité ou une raison
imperieuse d'interet general. La cours a admis que pourrait justifier une discrimination le soucis de
preserver les contrôle mener par l'adm fiscal « baxter « ou encore le soucis d'assurer la cohérence
du systeme fiscal 95 « shumacher », le fait pour une loi N de sanctionner les montage purement
artificielle dont le but est de contourner la loi fiscal est aussi un motif imperieux d'interet general 16
juillet 98 « imperial chimical industrie »
en se qui concerne la france le CE a utilisé la JP de la CJCE pour justifier que la notion d'abus de
droit contenu dans l'art 64 b du LPF puisse conduire a reprimer l'installation par une soc FR d'une
filiale au luxembourg a travers un montage visant exclusivement a diminuer la charge fiscal en
france :18 mai 2005 « SA sagal »
toute fois il ressort de la JP de la CJCE qu'elle est tjrs tres exigente dans l'appreciation de ces raison
imperieuse d'interet general et des lors qu'elle constate qu'il existe un motif imperieux d interet
general la cours s'assure que la discrimination est bien proportionnelle.
A noter : un discrimination peut condamner l'E a une amande mais egalement au remboursement
des sommes percut de maniere contraire au traité.

B- l'interdiction de porter atteinte au politique communautaire

en matiere fiscal on peut citer 2 ex donnant lieu a des arr de la CEDH:


la poilitique de la concurrence decoulant des art 87 et suivant du traité et qui pose le ppe de
l'interdiction des aides d'E : cette interdiction trouve a s'appliquer en fiscal du fait que les CP use
l'instrument fiscal pour soutenir certaines entité jur, certaines regions etc... ces aides vont prendre la
forme d'exoneration,d'allegement d'impot ou encore de credit d'impot ou encore de reversement du
produit d'une taxe para fiscal.
Plusieurs exemple : 3 octobre 2002 « fr contre commission » ou etait en cause des aides versées
aux entreprises de construction naval, cette aide a été concidéré comme incompatible avec le
marché commun. Second ex : celui de la PAC qui a pour effet de reglementer les marchés et d'agir
sur les structures or la encore la fiscalité peut porté atteinte a cette politique , la CJCE a précisé que
les dispositions fiscales des E devaient etre conforme a la reglementation communautaire en matiere
agricolt: arr 19 novembre 91: la cour a rappeler que les dispo fiscales devaiet respecter les
reglement commu en matiere agricolt

section 2 : les dispositions du droit dérivé.

La partie du droit derivé qui a force jur est contenu dans les reglement , les directives et les
reglements. Or si l'on regarde ces actes on s'apercoit qu'il y a peu de reglements, pour les decision
elle concerne ppaleement l'accord de derogation donc se sont essentiellement les directive qui
comportent les dispo de droit derivé, les premiere directive ont été adopté sur la base de l'article 93
et en matiere de fiscalité indirect: elles ont visé l'harmonisation des taxes sur le CA , elles ont
introduit la TVA dans tout les E membres
2 directive du 11 avril 67 : ont posé la base en matiere de TVA mais la directive fondamentale en la
matiere est celle du 17 mai 77 qui a determiné un assiette uniforme de la >TVA pour tt les E
membres. A noter que concernant la TVA une directive du 28 nov 2006 a reuni dans un texte unique
l'ensemble des dispo relatives a la TVA communautaire.
Il y aussi eu une harmonisation par directive sur le droit d'accise : les ppales directives sont
intervenu en 1992 , il y a eu deux series de directive : celle du 2 fevrier 92 ( caractere general)et une
serie du 19 octobre 92 sur les produit specifique ( tabac manufacturé, les alcools,les huiles
minérales or sur cette derniere une directive de 2003 l'a modifié)
on aussi fait l'objet d'une harmonisation les taxes sur les rassemblement des capitaux : cette
harmonisation avait pour but de supp les obstacle a la libre circulation des capitaux et de favoriser
la creation d'ent commu : une directive du 17 juillet 69 contient une serie de dispo tendant a supp ou
reduire les droit d'apport
plusieur durectives sont intervenues en matiere d'impot direct afin d'atténuer les effets de la fiscalité
sur les regroupement de société a l'interieur de la communauté : la directive fusion du 23 juillet 90 a
pour objet d eliminer la penalisation et double imposition des operation de fusion cission et apport
partiel d'actif
la directive fille mére qui a pour objet l'elimination de la double imposition des dividendes distribué
par une filliere a la soc mére( 23 juillet 90 )
la directive sur les paiement qui definie un regime commun tendant a supp les retenues a la sources
sur certaines catégories de paiement
derniere harmonisation sur la fiscalité des revenues de l'epargne par une directive du 3 juin 2003 qui
permet de garantir un minimun d'imposition effective des revenus de l'epargne sous forme d'interet
et a l'interieur de la communauté. La mesure imp de cette directive est de prevoir une coop entre les
E membre et un echange d'info relatif au revenu de l'epargne. Il y a toute fois des E qui benef de
mesures derogatoires et qui ne sont pas osumis a l'echange d'info mais qui en contre parties doivent
appliquer des taux minimun a ces revenus.( belgique luxembourg).parrallememt a l'adoption de
cette directive les E ont engagé des negociations avec des E non membres pour qu'il adopte des
mesures equivalentes.
Il faut souligner que la JP de la CJCE a une gde importance car son interpretation des texte commu
s'impose au E membre et cette Jp a été a l'origine d'un grand nombre de modif de la legislation Fr
notament en matiere de TvA et en matiere d'impot directe la cours rappelle dans tout ces arr malgres
l'absence d'harmonisation des impots directs il doivent respecter les dispositionsdu droit
communautaire general : arr 14 fevrier 95 « Schumacher ».
donc la cours de justice a oeuvré pour une meilleur integration du droit communautaire notament en
matiere fiscal.

Chapitre 3 : les sources europeenes du droit fiscal

ici l'on fait reference aux dispositions de la CEDH qui est une convention totalement indépendante
de UE, elle a été signé le 4 nov 50 et est entré en vigueur novembre 53 ; a l'origine elle comprenait
11 e membre aujourd'hui elle en a 43 , son but est de proteger les citoyens contre les atteintes
étatiques au droit et liberté.
Cette conv a pris de l'importance dans le systeme FR quand la france a accepté le recours individuel
depuis cette acceptation les recours individuels se sont multiplié et le droit le plus souvent invoqué
est le droit au proces equitable.

Sec 1

le droit au proces equitable ressort de l'art 6§1 : il prevoit son application dans le domaine civil et
dans le domaine penal ce qui exclus de son champ d'application les litiges relevant du droit public
( dc exclusion du dt fiscal) cette exclusion a donné lieu a une Jp abondante et au final si se droit ne
s'applique pas aux preocedure fiscal il s'applique au sanction fiscales.

La CEDH a consacré le ppe de l'assimilation des sanctions fiscales au sanctions penales et de se


faitla cour a estimé que l'art 6 1 s'appliquait au sanction fiscal : arr 24 fevrier 94 »bendemoun » dans
cette arret elle pose 4 conditions pour que les sanctions fiscal soit assimilé au sanctions penales:
1. elle doit s'appliquer a l'ensemble des contribuable
2. la sanction doit visé non pas a la reparation d'un prejudice mais a la sanction d'un
comportement
3. la maj doit etre fondé sur une norme a caract general a but preventif et repressif
4. la sanction doit etre d'une empleur conciderable( possibilité d'emprisonement en cas de non
paiement)
toute fois la cour a jugé que les sanctions fiscales dont le montant est particulierement faible ne
pouvaient pas etre assimilées a une sanction penal : arr 3 juin 2003 morel
les jur N ont aussi admis l'applicabilité de l'art au sanction fiscal : arr Ccass 20 nov 90
de meme le CE a jugé qu'une loi validant retroactivement une sanction fiscal pouvait faire l'objet
d'un contrôle sur le fondement de l'art 6 arr kremff.
Les interet de retard ne sont pas assimilable a des sanction penal et n'entre donc pas dans le champ
de l'article: aavis d'ass du CE 12 avril 2002 et arr Ccass 2004
en revanche la CEDH refuse l'applicabilité de cette art au procedure fiscal?

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