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2-Les dynasties !
Les sumériens inventes la roue mais surtout l’écriture (4e mil)
Les égyptiens : l’écriture hiéroglyphe
L’unification du territoire égyptien par le roi Narmer
Les sumériens : La banque.
Les égyptiens : les premiers pyramides. (À partir de la 3e dynastie).
_Ounas, dernier roi de Ve dynastie, est le premier à faire graver une
version du (textes du pyramide) dans sa pyramide. Elles décrivent
l’ascension du roi vers le ciel, afin de prendre place parmi les étoiles
éternelles : « Ô roi, ce n’est pas mort que tu es parti, mais vivant ! »
_Premier empire mésopotamien : Sargon (le fondateur de l’état cité
Akkad)
_ La victoire de Naram-Sin sur Sargon (le début de la fin d’Akkad Sumer)
L’age du bronze :
2 siècles et 2 millénaires av JC–étain+cuivre=bronze
2e millénaire : La civilisation des phéniciens.
-1794 : Hammourabi ,6e roi de Babylone ; fondateur de la première
dynastie de Babylone. Auteur du fameux code qui porte son nom.
-1700 : L’industrie de fer
-1680 : L’ancien empire Hittite
-1350 : Aménophis 4 ou Akhenaton : Le nouveau culte exalte Aton, le
disque solaire, et exclut les autres dieux, en particulier Amon. Aton est en
fait lié à la fonction royale dès Thoutmosis IV, pour contribuer à affirmer la
nature divine du pharaon. Avec Akhenaton, la personne royale devient
l’unique intermédiaire entre les hommes et la divinité. « Personne ne te
connaît à part ton fils Akhenaton », proclame le grand hymne à Aton.
« Adore le roi car il est unique comme Aton ! ». La révolution est autant
religieuse que politique.
# Thalès
-168 La révolte des Macabées Rentrés dans leur patrie grâce à Cyrus
(— 515), ayant rebâti le Temple de Jérusalem, les Juifs sont gouvernés par
les Séleucides. Antiochos IV Épiphane instaure le paganisme en Judée, dédie le
Temple à Zeus, interdit sous peine de mort le sabbat, l’insurrection éclate à
Modin sous la conduite de Mattathias l’Asmonéen et de ses fils Jean, Jonathan,
Juda, Éléazar et Simon surnommés Jérusalem délivrée, le Temple rendu au
culte du Dieu d’Israël. En — 145, alliés à Rome, les Juifs obtiennent leur
indépendance. Simon Maccabée, Jean Hyrcan, Juda-Aristobule, Antigone,
Jonathan-Alexandre-Jannée cumulent pontificat et pouvoir politique. Après le
règne de Salomé Alexandra, veuve de Jannée Hyrcan II dispute le pouvoir à
son frère Aristobule et fait appel à Rome : en — 63, Pompée conquiert
Jérusalem et réduit la Judée au rang de province romaine.
375
476 la
fin de l’empire romain : Le règne du dernier empereur romain
d’Occident, Romulus Augustule, fut aussi bref (475-476) que celui de
ses prédécesseurs, renversés ou assassinés. Mais Théodoric, roi des
Ostrogoths, qui avait été élevé comme otage à Constantinople avec les
propres enfants de l’empereur d’Orient Zénon, fut chargé de reprendre
en main l’Italie, Il fixa sa capitale à Ravenne, devenant à son tour roi
d’Italie jusqu’à sa mort en 526.
481 Clovis roi des Francs : Fils de Childéric Ier, dont il prend la
succession à la tête des Francs Saliens en 481, Clovis (466 environ-511)
hérite d’un petit royaume, cinq ans après la disparition de l’autorité
virtuelle de l’Empire d’Occident (476). Clovis, convertis au
christianisme, joue très tôt la carte de la continuité romaine pour
conquérir les États barbares présents en Gaule. Son baptême, à Reims,
en 496 (ou 498) marque ainsi la naissance du premier royaume
catholique, vite maître des anciennes Gaule et Germanie, et l’apparition
d’un nouveau type d’État barbare, tirant sa puissance d’une unité
renforcée entre peuples conquérants et indigènes conquis.
527—565 Justinien Ier empereur byzantin : Succédant en 527 à son
oncle Justin Ier un demi-siècle après la disparition de l’Empire
d’Occident (476), Justinien, aidé de son épouse Théodora, est le dernier
empereur byzantin à avoir réellement caressé l’espoir d’une
reconstitution de l’unité politique impériale romaine autour de la
Méditerranée ; il mène une politique de reconquête face aux États
barbares. Carthage (533) et Rome (536) sont reprises par le général
Bélisaire, puis l’Italie entière, après la défaite des Goths au mons
Lactarius (552), passe sous contrôle de Byzance. L’Andalousie est
bientôt occupée et les Wisigoths d’Espagne reconnaissent la
suzeraineté impériale. Seul le royaume franc, plus continental, échappe
à cette poussée.
693
L’expansion arabe : En 639, les Arabes prennent pied en Afrique,
sept ans seulement après la mort du Prophète. Le calife Abu Bakr, règne
pendant deux ans seulement (632-634) et doit réprimer la révolte des
tribus arabes, présentée comme une apostasie (ridda). C’est seulement
avec ‘Umar (634-644), le deuxième calife, que l’expansion territoriale
de l’Islam prend une réelle importance. Dans un premier temps, les
Arabes, conquièrent facilement des territoires voisins sur les Empires
byzantin et sassanide : Damas (635, puis 636), Alep (637) Ctésiphon
(637 ou 638) et Jérusalem (638) tombent successivement entre leurs
mains. Le général Amr ibn al-As passe ensuite en Égypte. La voie est
alors ouverte pour l’expansion occidentale par l’Afrique.
1347 La peste noire : Après avoir sévi en Chine (1331), la peste noir,
touche l’Europe elle touche en 1348 l’ensemble du pourtour
méditerranéen. Les villes se dépeuplent ; des centaines de villages sont
abandonnés. La chrétienté entre alors dans une grave crise morale,
marquée par une extrême angoisse religieuse, dont témoigne la
poussée des thématiques macabres et des attentes eschatologiques,
prélude à l’éclatement religieux du XVIe siècle. Cet épisode illustre
d’autres phénomènes tel la persécution des juifs accusés de
propager la maladie, et ce malgré la protection pontificale du pape
Clément VI. Dans cette atmosphère d’apocalypse des mouvements
radicaux religieux de pénitences se développent, la flagellation en est
témoin : la pénitence, l’autopunition, l’expiation une façon de
s’identifier au Christ et aboutit rapidement à un sentiment de perfection
et de salut.
La guerre dite du roi Georges et les guerres dites des œillets entre
la France et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne constituèrent
respectivement les extensions coloniales nord-américaine et indienne
de la guerre de Succession d'Autriche.
1922 Marche sur Rome : L’Italie du début des années 1920 est un
État en crise, écartelé entre les nationalistes qui exploitent, avec
Gabriele D’Annunzio, le thème de la(( victoire mutilée )), et les forces
révolutionnaires. Face à ces troubles, le mouvement fasciste de Benito
Mussolini se pose tout à la fois en promoteur d’une synthèse du
nationalisme et du socialisme et en défenseur de l’ordre existant, le
mouvement mussolinien comptait 700 000 membres. Le 27 octobre,
Mussolini organise une marche sur Rome des troupes fascistes. Celles-
ci auraient pu aisément être arrêtées par les troupes royales. Mais
nombreux sont ceux qui pensent que le fascisme peut être utile dans un
premier temps et qu’il sera toujours possible de le neutraliser par la
suite. Le roi Victor-Emmanuel III est de ceux-là. Le 29 octobre 1922,
à la suite de la marche sur Rome, il demande à Mussolini de former le
nouveau gouvernement.
Bataille de Midway, 4-7 juin 1942 : Après leur raid victorieux sur Pearl
Harbor, le 7 décembre 1941, les Japonais s’imposent comme les maîtres
des mers et des airs dans le Sud-Est asiatique. L’amiral Yamamoto
Isoroku, décide une attaque contre l’île de Midway, située à
2 000 kilomètres au nord-ouest des îles Hawaii, clé de voûte de la
défense américaine dans le Pacifique. Alerté par ses services de
renseignements qui ont déchiffré les communications ennemies,
l’amiral américain Chester William Nimitz ordonne, aux trois porte-
avions mouillés à Pearl Harbor de se diriger vers Midway ; les Japonais
lancent, le lendemain à l’aube, une première vague de bombardements
sur Midway, à laquelle ripostent, sans succès, les appareils basés sur
l’île. Mais à ces derniers succèdent une cinquantaine de bombardiers
embarqués qui parviennent à couler les quatre porte-avions japonais.
Tournant de la guerre dans le Pacifique, cette victoire américaine
marque la fin de la primauté des croiseurs et cuirassés dans les
combats navals, au profit des porte-avions.
1945 Création de l’O.N.U. : naît officiellement le 26 juin 1945 avec la
signature de la charte de San Francisco. Cette nouvelle institution
internationale est destinée à garantir la paix et la sécurité dans le
monde issu de la Seconde Guerre mondiale, et se dote d’une force
militaire d’intervention (les casques bleus). La logique de guerre froide
qui s’impose à partir de 1947 limite par conséquent la marge de
manœuvre de l’O.N.U., qui ne peut éviter l’éclatement de nombreux
conflits périphériques dans la seconde moitié du XXe siècle et se replie
progressivement sur des actions sociales et humanitaires, au travers
d’institutions satellites, comme l’U.N.I.C.E.F. ou l’U.N.E.S.C.O
Élection de Jean-Paul II
Intervention soviétique en Afghanistan, 24 décembre
1979.