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d : R2 [x] −→ R2 [x]
0
p 7−→ p
Montrer que d est une application linéaire et donner sa matrice dans la base B0 . En déduire
la matrice de d dans la base B en utilisant la relation qui donne la matrice d’une application
dans une nouvelle base. Calculer de 2 façons les composantes de d(3x2 − x + 5) dans B.
Exercice 2 Rappeler la définition d’une forme linéaire sur un K-espace vectoriel E, puis donner
l’expression d’une forme linéaire su E = R3 . Déterminer la forme linéaire f sur R3 telle que
Exercice 4 1. Dans chacun des cas suivants, montrer que la famille {v1 , v2 , v3 } est une base de
R3 et déterminer sa base duale.
(a) u1 = (1, 0, −1), u2 = (−1, −1, 2), u3 = (−2, 1, −2)
(b) u1 = (1, 0, −4), u2 = (0, 1, −4), u3 = (0, 0, 4)
(c) u1 = (0, −1, 1), u2 = (−1, 0, 1, u3 ) = (1, 1, 1)
(d) u1 = (1, −1, 1), u2 = (0, 2, 1), u3 = (1, 1, −1)
(e) u1 = (2, 1, −1), u2 = (1, 2, −1), u3 = (2, 2, −1)
(f) u1 = (2, 1, 2), u2 = (1, 2, 2, u3 ) = (−1, −1, −1)
(g) u1 = (−1, −5, −2), u2 = (−2, −2, 0), u3 = (1, 1, 2)
(h) u1 = (−1, −2, 1), u2 = (−5, −2, 1), u3 = (−2, 0, 2)
(i) u1 = (1, −1, 0), u2 = (1, 0, 1), u3 = (0, 1, −1)
(j) u1 = (2, 1, 1), u2 = (1, 2, 1), u3 = (1, 1, 2)
2. Déterminer la base duale de la base canonique du R-espace vestoriel Rn [x] des polynômes de
degré n à coefficients dans R. Indication : utiliser x ∈ E, x = e∗1 (x)e1 + · · · + e∗n (x)en
Exercice 6 Sur le R-espace vectoriel R2 [X] des polynômes de degré inférieur ou égal à 2, on
considère les formes linéaires φ−1 , φ0 , φ1 définies par :
Exercice 7 Sur le R-espace vectoriel R3 [X] des polynômes de degré inférieur ou égal à 3, on
considère les cinq applications φ1 , φ2 , φ3 , φ4 et ψ définies par : pour tout P ∈ R3 [X]
Z 1
0 0
φ1 (P ) = P (0), φ2 (P ) = P (0), φ3 (P ) = P (1), φ4 (P ) = P (1) et ψ(P ) = P (t)dt
0
f (x, y) = x + y et g(x, y) = x − y.
1. Montrer que (f, g) est une base de (R2 )∗ et déterminer sa base préduale.
2. Exprimer dans la base (f1 , f2 ) les formes linéaires
Exercice 9
1. Soit u1 , u2 et u3 les formes linéaires sur R3 définies pour tout (x1 , x2 , x3 ) ∈ R3 par
Montrer que (u1 , u2 , u3 ) est une base de (R3 )∗ et déterminer sa base préduale.
2. Soit a, b ∈ R et soit u1 , u2 et u3 les formes linéaires sur R3 définies pour tout (x1 , x2 , x3 ) ∈ R3
par
u1 (x1 , x2 , x3 ) = x1 +ax2 +bx3 , u2 (x1 , x2 , x3 ) = ax1 +a2 x2 +x3 , u3 (x1 , x2 , x3 ) = bx1 +x2 +a2 x3 .
Trouver une une condition nécéssaire et suffisante sur a et b pour que (u1 , u2 , u3 ) soit une base
de (R3 )∗ .
∀ x ∈ R, f (x) = g(x)u.
2. Montrer qu’il existe un unique α ∈ K tel que f 2 = αf . En déduire que si α 6= 0, alors f − IdE
est inversible.
Exercice 11 Soient n ∈ N∗ et x0 , x1 , . . . , xn des nombres réels deux à deux distints. Pour tout
i ∈ {0, . . . , n}, on pose
n
Y x − xj
∀ x ∈ R, Li (x) = .
j=0,j6=i
xi − xj
1. (a) Montrer que B = (L0 , . . . , Ln ) est une base de l’espace Rn [X] des polynômes de degré n
à coefficients dans R.
(b) Déterminer la base duale de B. Indication : utiliser x ∈ E, x = e∗1 (x)e1 + · · · + e∗n (x)en
2. Maintenant, on suppose que les nombres x0 , x1 , . . . , xn sont tous non nuls. On pose pour tout
i ∈ {0, . . . , n} :
ui : Rn [X] −→ R Z xi
.
p 7−→ p(x)dx
0
∃x ∈ E, ∀i ∈ {1, . . . , k} on a ui (x) = 0.
Exercice 16 On considère f ∈ L(E), où E est un K-espace vectoriel de dimension finie n. Soit
F ⊂ E un sous-espace vectoriel de dimension k invariant par f , c’est-à-dire f (F ) ⊂ F (on dit aussi
que F est stable par f ). Montrer l’existence d’une base B de E telle que la matrice de f dans cette
base s’écrive
A C
MB (f (B)) = , avec
0 D
A et D des matrices carrées d’ordre respectifs k et n − k, 0 la matrice nulle de format [n − k, k] et
C une matrice de format [k, n − k]. (prendre une base de F et la completer en une base B de E)