Beruflich Dokumente
Kultur Dokumente
SUPPORT DE COURS
NOM-PRENOMS :……….…………………………………………………………..
OBJECTIFS .............................................................................................................................................. 6
3
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
CHAPITRE III : LES STRATEGIES DE DISTRIBUTION .................................................................................. 18
I- DEFINITION ...............................................................................................................................................18
II- CHOIX D’UNE STRATEGIE DE DISTRIBUTION ......................................................................................... 18
1- CONNAITRE LE MARCHE DES CONSOMMATEURS ......................................................................................18
2- CONNAITRE LES CONCURRENTS ET LES CIRCUITS EXISTANTS ......................................................................18
3- FAIRE LE DIAGNOSTIC DE SON ENTREPRISE ..............................................................................................18
4- FIXER LES OBJECTIFS DE L ’ENTREPRISE .................................................................................................... 19
5- CHOISIR LE CIRCUIT ..............................................................................................................................19
6- EVALUATION DU CIRCUIT ......................................................................................................................19
III- LES STRATEGIES DE LA DISTRIBUTION .................................................................................................19
1- LA DISTRIBUTION INTENSIVE OU DISTRIBUTION OUVERTE .........................................................................20
2- LA DISTRIBUTION EXCLUSIVE .................................................................................................................20
3- LA DISTRIBUTION SELECTIVE ..................................................................................................................20
CHAPITRE I: GENERALITES..................................................................................................................... 24
I- DEFINITION, INTERET ET LOGIQUE DU MERCHANDISING .....................................................................24
1- DEFINITION .........................................................................................................................................24
2- L’INTERET DU MERCHANDISING .............................................................................................................24
3- LA LOGIQUE DU MERCHANDISING ..........................................................................................................24
II- DIFFERENTS TYPES DE MERCHANDISING ..............................................................................................25
1- LE MERCHANDISING DU PRODUCTEUR .................................................................................................... 25
2- LE MERCHANDISING DISTRIBUTEUR ........................................................................................................25
5
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
OBJECTIFS
Distribuer des produits, c’est les amenés au bon endroit en quantité suffisante
avec le choix requis au bon moment et avec les services nécessaires à leur entre-
tien. La distribution est une fonction essentielle pour toute entreprise commerciale
et industrielle. La politique de distribution est une composante du marketing Mix. A
l’issue de cette partie, chaque participant pourra :
- Identifier un circuit de distribution ;
- Maîtriser la dynamique évolutive du commerce ;
- Gérer les conflits relatifs aux canaux de distribution ;
- Comprendre les stratégies de distribution mis en place par le distributeur (car
la maximisation du projet dépend de la rentabilité du produit qui dépend à
son tour de l’efficacité du réseau de distribution).
6
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
Première Partie : D I S T R I B U T I O N
7
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
CHAPITRE I : LES FONCTIONS DE LA DISTRIBUTION
2- L’IMPORTANCE DE LA DISTRIBUTION
On peut classer les fonctions en deux grands ensembles à savoir : les fonctions
physiques et les fonctions commerciales.
Il s’agit des fonctions qui permettent à l’entreprise de gérer de façon rentable les
mouvements de produitS depuis leur stade d’élaboration jusqu’à leur stade
d’utilisation ou de consommation. Il s’agit des fonctions de transport et d’étalement
de la production de stockage et d’assortiment qui participent à la distribution physi-
quement.
8
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
- Le transport et l’éclatement de la production : la fonction de transport cor-
respond à l’acheminement du produit et à toutes les opérations de manuten-
tion tandis que celle d’éclatement correspond au rôle répartiteur joué par la
distribution qui permet au producteur de voir leur productions diffuser en pro-
fondeur dans les diverses régions du pays.
- la manutention : c’est toutes les opérations de chargement et de décharge-
ment des marchandises avec les appareils.
- le stockage : la distribution consiste à amener les produits au bon moment
et en quantité suffisante pour satisfaire les besoins de la consommation. Le
stockage effectué à de différents niveaux dans le circuit de distribution per-
met d’ajuster dans le temps la production et la demande.
9
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
III- LE COUT DE LA DISTRIBUTION
1- DEFINITION
10
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
CHAPITRE II : LA TYPOLOGIE LES CIRCUITS DE DISTRIBUTION
Le dirigeant se doit de prendre des décisions justes et au bon moment, afin
d’assurer la bonne marche de son entreprise.
Ses choix stratégiques peuvent s’étendre à tous les niveaux. En ce qui concerne la
distribution, il faut prendre une décision sur la forme de vente puis déterminer les
pourcentages respectifs des différents circuits de distribution. Dans ce chapitre,
nous essayerons d’apprécier la typologie des différents circuits de distribution.
I- DEFINITIONS
• Inconvénients
- la nécessité des ressources financières et humaines pour faire face aux be-
soins du magasin, en dépôt, en stockage etc.
- les problèmes liés aux personnels de vente, de formation et d’animation.
• Inconvénients
- le système est peu souple ce qui limite la marge de liberté du fabriquant ;
- la perte de contact avec la clientèle finale et les détaillants ;
- Infidélité possible des grossistes.
13
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
- les coopératives de grossistes : Dans cette forme, les grossistes se re-
groupent pour effectuer en commun leur achat auprès des producteurs afin
d’obtenir de meilleures conditions.
c. La franchise
La franchise est un contrat commercial concédé par les entreprises à une autre
pour l’exploitation d’une marque originale, de méthodes ou de techniques particu-
luères, en apportant de l’assistance technique commerciale et une gestion néces-
saire.
Activité de recherche :
1) Enumérer et définir les obligations du franchisé.
2) Enumérer et définir les obligations du franchiseur.
14
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
3.2. Le commerce intégré
La fabrication et la distribution relèvent de la même entreprise. Le commerce inté-
gré est aussi l’affaire des centrales d’achat qui achète directement au producteur
des marchandises en quantité importante pour les distribuer dans les magasins
appartenant à la même structure. Nous avons les magasins à minimarges et les
entreprises de distribution spécialisés en grande surface.
Producteur
Centrale d’achat
1- LE MARCHE
La connaissance du marché consiste à :
- distinguer le marché industriel du marché de grande consommation ;
- connaître les contraintes légales et règlementaires ;
- connaître les distributeurs présents sur le marché ;
- connaître les consommateurs finaux.
2- L’ENTREPRISE
La connaissance de son entreprise consiste à appréhender :
- les ressources humaines, techniques et financières de l’entreprise ;
- les objectifs quantitatifs et qualitatifs de l’entreprise ;
- l’historique de l’entreprise ;
- ses résultats antérieurs ;
- ses forces et ses faiblesses ;
- ses stratégies managériales.
3- LE PRODUIT
La connaissance du produit consiste à obtenir :
- la nature du produit ;
- le degré de technicité du produit ;
- le coût unitaire de fabrication du produit ;
- ses limites ;
- ses avantages concurrentiels ;
- son originalité ;
- son positionnement ;
- sa notoriété ;
- sa durée de vie.
16
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
IV- L’UTILITE DES INTERMEDIAIRES
Les intermédiaires :
- réduisent les transactions ;
- rapprochent le fabricant de son marché ;
- permettent de diminuer les coûts de distribution physique. Il s’agit en particu-
lier des coûts de transport et de stockage. Les frais de transport seraient très
élevés pour le producteur s’il devrait directement expédier de petites quanti-
tés à une multitude de détaillants ;
- permettent de répartir les risques : il s’agit des risques inhérents au proces-
sus de distribution, ils sont nombreux et peuvent voire annuler la valeur mar-
chande du produit.
Exemples : les vols, les avaries, les pertes, les accidents, les casses.
17
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
CHAPITRE III : LES STRATEGIES DE DISTRIBUTION
I- DEFINITION
La stratégie est l’ensemble des règles qui consistent à choisir des circuits de dis-
tribution, à définir le rôle des distributeurs et les méthodes de vente pour une meil-
leure distribution afin d’agir aux consommateurs des produits correspondants à leur
besoin.
La stratégie est importante, car tous les efforts pour concevoir et fabriquer un pro-
duit adapté aux besoins des consommateurs peuvent être réduits à néant si ces
derniers ne trouvent pas le produit là où il le cherche, au moment où il en a besoin.
Cela revient a identifié les points forts et faibles par rapport à sa capacité financière
technique, commercial et humaine.
18
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
4- FIXER LES OBJECTIFS DE L’ENTREPRISE
Ces objectifs sont d’ordre:
- quantitatif et peuvent être exprimés en terme de nombre de points de vente,
couverture géographique de marché et de chiffre d’affaires à réaliser,
- quantitatif et seront exprimés en terme d’image de marque, de compétence
technique et de niveau de service.
5- CHOISIR LE CIRCUIT
Il est fait de critères dont les plus importants sont :
- la couverture du marché visé (nombre de point de vente ; répartition géogra-
phique) ;
- la rentabilité (évaluer les ventes ; la compétence du distributeur, mesure le
coût du canal) ;
- le contrôle des distributeurs ou intermédiaires (degré d’organisation des in-
termédiaires, les possibilités de coopération).
6- EVALUATION DU CIRCUIT
L’évaluation du circuit passe par le circuit des intermédiaires, par l’établissement
d’une collaboration franche et de longue durée, par des encouragements par la
mise en place d’un système de rémunération motivant par l’information et la forma-
tion des intermédiaires. Cette caractéristique peut également se faire par le calcul
de certains ratios tel que : la distribution numérique (DN), la distribution valeur
(DV). Ces deux ratios permettent de calculer la puissance commerciale du circuit
de distribution à partir de la formule suivante :
Distribution numérique (DN)
Puissance commerciale =
Distribution valeure (DV).
2- LA DISTRIBUTION EXCLUSIVE
3- LA DISTRIBUTION SELECTIVE
20
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
CHAPITRE IV : LA RENUMERATION DE LA DISTRIBUTION
Pour remplir leur fonction, les distributeurs ont besoin d’une rémunération. Elle sert
à couvrir :
- les coûts de la distribution physique (transport, manutention, stockage…) ;
- les coûts administratifs : la facturation, la comptabilité … ;
- les frais commerciaux : personnel de vente, promotion, publicité ;
- les frais financiers : immobilisation correspondant aux produits stockés, aux
capitaux investis ;
- le bénéfice du distributeur.
I - MARGE COMMERCIALE
MC = PV - PA
II - TAUX DE MARGE
PV - PA
t xMg = x 100
PA
PA.t xMg = PV - PA
PV = PA (1+t xMg )
PV
PA =
1+t xMg
21
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
III- TAUX DE MARQUE
PV - PA
t xMg = x 100
PV
PV.t xMg = PV - PA
PV.t xMg - PV = - PA
PA = PV(1-txMg)
PA
PV =
1- t xMg
PV
CM =
PA
22
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
Deuxième Partie : M E R C H A N D I S I N G
23
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
CHAPITRE I: GENERALITES
Selon Alain Weloff, le merchandising est l’ensemble des méthodes et des tech-
niques courantes à donner aux produits, un rôle actif dans la vente par sa présen-
tation, son environnement en vue d’optimiser sa rentabilité.
2- L’INTERET DU MERCHANDISING
3- LA LOGIQUE DU MERCHANDISING
Au fil du temps les magasins ont amélioré la présentation des produits dans leur
milieu de vente pour les rendre attrayant. L’aboutissement logique de cette évolu-
tion est le libre service. Ici, le produit est seul en rayon. Il ne peut donc y avoir
d’augmentation. Il faut que le produit soit en mesure de se faire connaître par lui-
même. Le client se promène en toute liberté sans être importuné par un vendeur, il
prend ce qu’il veut, le met dans son chariot et passe à la caisse qui apparaît
comme le lieu d’intervention du vendeur. Au vue de cette logique nous voyons que
le rôle essentiel du merchandising est de permettre de :
- Mieux écouler les marchandises en améliorant leur exposition dans le rayon ;
- Adopter l’assortiment aux besoins des consommateurs ;
- Améliorer l’étiquetage des produits;
- Rationaliser la gestion.
24
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
II- DIFFERENTS TYPES DE MERCHANDISING
1- LE MERCHANDISING DU PRODUCTEUR
2- LE MERCHANDISING DISTRIBUTEUR
L’objectif ici est de maximiser les ventes de toutes les références (articles) dans le
magasin en vue de rentabiliser les investissements. En matière de merchandising,
le distributeur a le choix de ses références, de la zone de chalandise de
l’affectation des rayons en fonction de leur rentabilité.
25
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
CHAPITRE II : IMPLANTATION D’UN POINT DE VENTE
I- ETUDE D’IMPLANTATION
1- LA ZONE DE CHALANDISE
C’est une zone géographie entourant un point de vente et d’où viennent des clients
réguliers. Autrement dit, c’est l’air géographique qui environne le point de vente.
Elle constitue la zone d’influence d’où provient l’essentiel de la clientèle potentielle.
2- ETUDE DE L’ENVIRONNEMENT
La zone qui va accueillir un point de vente est un élément important car, elle dé-
terminera le succès futur de celui-ci. Le choix de cette zone est influencé par le ré-
sultat des études portant sur les éléments suivants :
- L’accessibilité de la zone ;
- Concurrence sur la zone de chalandise ;
- L’étude de la clientèle.
Magasin
Zone primaire
N Zone secondaire
Zone tertiaire
Zone primaire : elle est composée des ménages qui sont situés entre 0 et 5 min du
point de vente. Elle constitue la zone captive car le point de vente y puise l’essentiel
de sa clientèle puisqu’elle correspond à la zone la plus proche du magasin.
Zone secondaire : elle regroupe les personnes situées entre 5 et 10 min du point de
vente.
26
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
Zone tertiaire: ce sont les personnes qui sont situées au-delà de 10 min, 15 min
jusqu’à 20 min des points de vente. L’accessibilité de la zone doit tenir compte:
- le repérage des obstacles géographiques qui nuisent au point de vente (ri-
vière, chemin de fer, autoroutes…). Il est particulièrement important de tenir
compte de ces obstacles lors de la définition de la zone de chalandise parce
qu’elle permet d’envisager des solutions;
- l’étude de l’infrastructure routière doit permettre un accès facile à la zone;
- l’étude du degré d’encombrement des voix de la zone : la circulation doit être
le plus fluide possible ;
- l’étude de la possibilité des automobilistes de trouver facilement un espace
de stationnement ;
- l’étude de l’offre de transports publics pour atteindre la zone.
2- LES MOBILIERS
Le mobilier doit répondre à trois (3) fonctions :
- mettre le rayon en valeur ;
- permettre une classification claire ;
- être adapté aux produits présentés.
28
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
On distingue plusieurs types de mobiliers utilisés par les produits dans un point de
vente.
NB : La présentation verticale est la plus utilisée car elle permet aux clients de
mieux circuler, de visualiser facilement les produits et d’augmenter la rentabilité du
magasin.
L’activité d’un point de vente dépend d’un certain nombre de facteurs : l’espace
d’accueil, le prix, la musique, l’enseigne, la présentation des gondoles, la publicité
et les actions professionnelles, les abords et les parkings, l’éclairage.
Animer un point de vente, c’est mettre en œuvre un ensemble de moyen pour don-
ner vie à un magasin.
29
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
- La promotion en magasin : la promotion en magasin est l’ajout à l’offre ha-
bituelle d’un produit. C’est un avantage spécifique et cela pendant une durée
limitée. Les objectifs fondamentaux visés par la promotion sont les suivants :
attirer de nouveaux clients, vendre plus, maintenir sa part de marché, aug-
menter son taux de fréquentation.
30
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
CHAPITRE III : L’ASSORTIMENT
I- DEFINITION
31
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
2- CRITERES DE CHOIX DE L’ASSORTIMENT
3- L’ORGANISATION DU LINEAIRE
Les familles regroupent des produits qui ont la même utilité. Il va valoir répartir le
linéaire disponible entre toutes les familles en tenant compte de la surface ou du
volume de présentation nécessaire.
32
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))
CHAPITRE IV : LA GESTION DU LINEAIRE
I- DEFINITION DU LINEAIRE
Le linéaire est à la fois une surface de stockage et de position. C’est aussi une sur-
face créatrice de revenu et de profil.
(PVHT - PAHT)
Taux de marque en % TM ou t xMq= x 100
PVHT
SF + SI Q
Stock Moyen SM = Coefficient de Rotation CR =
2 SM
CA
Productivité du Linéaire PL = (LD : Linéaire Développé)
LD
BB
Rentabilité du Linéaire RL =
LD
(PVHT - PAHT) x Q x CR RL x CR
Indice de rentabilité IR = ou IR =
1000 x LD 1000
33
Professeur: Mme TOFFOHOSSOU FLORA (RENFO TECHNO & MANAGEMENT (RTM))