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1)LA DISTILLATION
condenseur
L’eau de
refroidissement
distillât
reflux
produit
alimentation
produit
vapeur
reboiler
liquide
vapeur
résidu
Il y a différents types des colonnes continues mais ils ne se différencient presque pas. La
colonne distillatoire pour le pétrole existe des plateaux prévus des clapets « bubble caps ».
Chaque plateau est fourni avec un débord « down comer », ceci pour
garder un niveau de liquide constant. La vapeur ascendante force le liquide
à bouillonner. Un contact est réalisé entre la vapeur et le liquide, pendant
lequel la vapeur remet ses composants les moins volatiles au liquide et emmène les
ingrédients les plus volatiles. Vers le haut de la colonne la vapeur devient de plus en plus
riche en des composants volatiles, tandis que le liquide débordant en bas contient des
éléments plus lourds.
Technologie I- 1 -
LE RAFFINAGE
Nous pouvons obtenir une séparation supérieure on va distiller à son tour le distillat. On peut
exécuter ce processus continuellement. On appelle cette opération une distillation fractionnée.
Technologie I- 2 -
LE RAFFINAGE
condenseur
yi+1
reflux
i
xi
i+1
reboiler
La vapeur chauffe chaque fois le plateau supérieur. Le liquide descend et condense la vapeur
ascendante. Le liquide sur les plateaux est en phase d’ ébullition. La température d’ébullition
et la composition sont différentes pour chaque plateau. Comment se comporte la température?
La chaleur latente de la vapeur entrante est ainsi délibérée pour garder le liquide sur ce
plateau à sa température d’ébullition et pour l’évaporer partiellement. Le liquide sur le plateau
et la vapeur qui en sort sont en équilibre.On obtient ainsi la température d’ébullition du
mélange de chaque plateau.
Nous obtenons une colonne de distillation avec plusieurs plateaux. Chaque plateau a sa
composition spécifique. Sur chaque plateau se trouve un liquide à une qualité définie. Ce
liquide peut être y soutirer.
Technologie I- 3 -
LE RAFFINAGE
c)Remarque
Destillation est reflété par des diagrammes bineaires comme ci-dessous. De cette diagramme
suit le diagramme de composition dans laquelle on peut calculer le nombre de plateaux d’une
maniére graphique.(méthode de McCabe –Thiele)
Dans quelques cas il y a des mélanges que l’on ne peut pas séparer par déstillation. On apelle
ce genre de mélanges des mélanges azeotrope.
Technologie I- 4 -
LE RAFFINAGE
1)Composition.
Le pétrole brut n'est pas une combinaison chimique mais une composition de milliers de
combinaisons chimiques. Certaines d'entre elles sont simples comme CH4 (méthane) mais il y en
a qui ont des formules compliquées comme C85H60.
Chaque combinaison a son propre point d'ébullition. Les qualités différentes qui composent un
pétrole s'évaporent à des températures différentes. On peut tracer une courbe de distillation.
Chaque "crude" a courbe particulière de distillation et on parle donc d'un "light crude" ou un
"heavy crude". En général le point d'ébullition est plus élevée lorsqu'il y plus d'atomes de
carbone.
Les groupes de qualités sont groupés en "fractions". On appelle les "cut points" d'une fraction,
les deux températures d'ébullition extrêmes.
Température d'ébullition normale.
Butanes et plus légers: < 32°
Essences: 32° - 104°
Naphta: 104° - 156°
Kérosène: 156° - 323°
Gasoil: 323° - 427°
Residu: > 427°
2)La densité.
Le soufre existe dans le pétrole comme un composant qui combine chimiquement avec des
autres éléments. Il n'est pas simple d'éliminer le soufre.
On peut classer les "crudes" suivant la teneur en soufre:
sweet crude: % S < 0.50
intermediate: 0.50 < % S < 2.50
sour crude % S > 2.50
Technologie I- 5 -
LE RAFFINAGE
Le fuel lourd est obtenu soit directement à partir d’un brut donné, soit par mélange à partir de
différents résidus, si nécessaire encore dilué avec des distillâtes.
Le résidu obtenu en fond de la colonne atmosphérique est actuellement traité dans une
colonne de distillation sous vide pour obtenir davantage de gaz, essences et gasoils.
Remarque : les différents qualités des gasoils sont appelés des distillâtes.
2Procédés de conversion
Technologie I- 6 -
LE RAFFINAGE
Technologie I- 7 -
LE RAFFINAGE
b)isomerisation
c)déhydrogenation et aromatisation
d)hydrocracking
Technologie I- 8 -
LE RAFFINAGE
Les fuels lourds sont constitués du mélange des molécules les plus lourdes contenues dans le
pétrole brut (plus de 20 atomes de carbone dans la molécule).
Dans l’ancien schéma de raffinage, le fuel lourd était constitué des résidus de la distillation
atmosphérique, mélangés ou non à une coupe légère (gasoil, kérosène).
Dans le nouveau schéma de raffinage, le fuel lourd est nécessairement un mélange de résidus,
de viscoréduction et de craquage catalytique auquel on ajoute un fluxant qui sert à réduire la
viscosité. Les fluxants utilisés peuvent être de DO (diesel oil), du kérosène, du LCO (gasoil
de craquage catalytique) du HCO (huile claire de craquage catalytique).
Technologie I- 9 -
LE RAFFINAGE
Technologie I- 10 -
LE RAFFINAGE
Pendant le craquage se forment inévitablement des hydrocarbures non saturés (c.a.d. avec
moins de H). Ces liaisons sont très réactives et ne peuvent pas être utilisées comme
combustibles. On effectue une hydrogénation : un enrichissement en H par contact avec le gaz
d’hydrogène H2. Au cas d’une hydrogénation imparfaite on peut être confronté à la formation
de molécules cycliques, et même à une polymérisation, pendant le stockage.
Autrement dit : si le processus de craquage n’est pas effectué comme il le faut, on peut être
confronté avec une post-réaction. Les produits non applicables pour la combustion peuvent se
produire ainsi les produits de craquage peuvent se recombiner. Ces produits lourd peuvent
formés une couche visqueuse et même solide au fond du bac de stockage. On a alors un
problème d’instabilité.
Le catalyseur, le silicate d’alumine, est recyclé dans la tour de craquage après avoir été séparé
de la charge à traiter. Toutefois, le résidu qui entre en général dans la composition des fuels
peut contenir accidentellement des particules de silicate d’alumine.
Les fines de catalyse existent sous forme de silicate d’alumine dans les fuels contenant des
résidus de craquage catalytique. Les particules présentes dans le fuel ont une taille typique de
0,2 à 50 microns.
Cependant, le fuel ne devra pas contenir plus de 250 ppm de fines de catalyse, une élévation
anormale du taux de silicate d’alumine dans le fuel provient, soit du mauvais fonctionnement
du système de recyclage de l’unité de craquage, soit de la décantation des particules dans les
fonds de bacs de stockage à terre ou à bord.
Les particules de silicate d’alumine sont très dures et très abrasives. Celles de 1 à 10 microns
sont les plus dangereuses pour les pompes à combustibles et les injecteurs. Celles de 10 à 60
microns ont une grande influence sur l’usure des chemises et des segments.
Technologie I- 11 -