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Ceplinschi Alexandra

Anul al III-lea
FR-RO

Littérature et peinture
« La poésie est une peinture parlante et la peinture une poésie muette » (Simonide de
Céos, poète lyrique grec)

La littérature entretient les relations avec le cinéma, la médicine, le journalisme etc. et


avec les arts (la peinture). La relation entre les deux est fondée sur un parallèle, formule par
Horace dans « Ars poetica ». En ce qui concerne le parallélisme entre arts et littérature, Diderot
soutien dans son œuvre la nécessite de l’analogie entre littérature et d’autres arts (la peinture, la
musique).
Le rapport entre ces deux « à partir du XVIIIe siècle surtout, particulièrement nombreux,
riches, conscients. Ils offrent à l’étude un terrain qui n’est encore que très partiellement
exploré. » 1 Les deux domaines ouvrent la capacité d’interprétation de l’homme. Toutes les deux
insèrent un tableau de l’époque/ de siècle. Par exemple, on peut comprendre comment écrivains
et peintres ont situé leur art par rapport à l’autre, comment ils se sont cherchés, aidés.
Roland Bourneuf dit dans son étude parle de l’essayiste Pierre Vadeboncœur, qui utilise
parfois le fusain, il dit qu’il entre dans son tableau « aussi facilement qu’on entre dans un lieu,
tout simplement ». Ainsi, elles offrent la formation des nouveaux connaissances et d’expériences
personnelles et aucune des deux ne doit pas être seulement un objet d’étude.
Entre la littérature et la peinture il y a une détermination historique, par exemple, dans le
Moyen Age « la peinture est considérée avant tout, et à la différence de la musique et de la
poésie, comme une activité manuelle, avant d’être vue à la Renaissance, selon l’expression de
Léonard de Vinci, comme chose mentale »2. « Au XIX e siècle, écrire sur la peinture permet
d’élaborer une réflexion sur la pratique littéraire, si bien que les écrivains qui prennent parti pour
un artiste (naturaliste, impressionniste, etc.) signalent aussi leur engagement littéraire et c’est à
l’instar de Rilke confronté à l’œuvre de Cézanne, qu’une poétique se dégage parallèlement à une
esthétique ».3

1
Roland Bourneuf, Littérature et peinture, Québec, L'instant même, « Connaître » n° 2, 1998, p.8.
2
Idem, p. 15.
3
Nella Arambasin, Le parallèle arts et littérature dans « Revue de littérature comparée », 2001, p.305.

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Ceplinschi Alexandra
Anul al III-lea
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Une détermination très importante en ce qui concerne la


parallèle entre la littérature et l’art, en général, parmi lesquels la
peinture, sont les courants littéraires (par exemple, le réalisme,
l’expressionisme etc.). Il y a aussi des écrivains et des peintres
qui se sont fondés sur le même courant de l’époque. Par
exemple, le réalisme a été fonde par Gustave Courbet (peintre
d’origine française) en ce qui concerne la peinture. Il a refusé
les autres courants (le romantisme, le néoclassicisme). Pour la
littérature, il y a aussi des représentants : Fiodor Dostoievski ,
Emil Zola etc.

Cornelia Cucu

Je considère que la littérature et la peinture ont influencé l’une pour autre. Mais, aussi
l’art est toujours une source inépuisable pour les écrivains. Par exemple, Irving Stone a écrit un
livre où il parle de la vie de Michelangelo, toutes les choses qu’il a fait durant toute sa vie (les
sentiments concernant l’art, les détails biographiques etc.) Dans le même sens, il y a une un
tableau (Alexandru Ciucurencu) qu’illustre un poème de Mihai Eminescu « Împărat și proletar »

Amy Adams
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Ceplinschi Alexandra
Anul al III-lea
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Pour conclure cet article en ce qui concerne la parallèle entre la littérature et la peinture,
je crois que c’est un détail assez important le fait qu’il y a aussi quelques romans et nouvelles se
référant à la peinture (pour le domaine français et pour d’autres). Celles-ci comprennent : Honoré
de Balzac - La maison du Chat-qui pelote (1830) ; Honoré de Balzac - Le chef-d’œuvre inconnu
(1832) ; Alfred de Musset - Le fils du Titien (1838) ; Émile Zola - L’œuvre (1885) ; Marcel
Proust - À l’ombre des jeunes filles en fleurs (1919) ; Albert Camus - La chute (1956) ; Edgar
Poe - Le portrait ovale (États-Unis, 1842) ; 1890 Oscar Wilde - Le portrait de Dorian Gray
(Grande-Bretagne, 1890) etc.

Honoré de Balzac - Le chef-d’œuvre inconnu,


Illustration de Pierre Vidal.

William C. Minor

Bibliographie :

 Roland Bourneuf, Littérature et peinture, Québec, L'instant même, « Connaître » n° 2,


1998.
 Nella Arambasin, Le parallèle arts et littérature dans « Revue de littérature comparée »,
2001.

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