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le résumé de candide chapitre par chapitre

Chapitre 1 : Pangloss, le maître de Candide, lui enseigne que tout va pour le mieux dans le
meilleur des mondes. Candide le croit, mais se fait chasser du château pour un baiser donné à
sa cousine Cunégonde
Chapitre 2 : Candide enrôlé par des recruteurs. Suite à son manque de moyens pour survivre,
il du subir une punition à la suite d'une promenade interdite. Il demanda la faveur du roi des
Bulgares pour se faire casser la tête, et il se fit soigner par un grand chirurgien
Chapitre 3 : Il est témoin d'une boucherie héroïque entre les troupes arabes et bulgares, il
déserte et découvre en Hollande l'intolérance. Mais il rencontra Jacques, un anabaptiste qui
lui donna à manger et de l'argent.
Chapitre 4 : Candide retrouve Pangloss que la vérole a défiguré. Pangloss lui raconte la
destruction du plus beau château, la mort de ses habitants et de Cunégonde. Candide et
Pangloss sont recueillis par Jacques, qui les emmène au Portugal où il va commercer.
Chapitre 5 : Jacques périt au cours d'une tempête. Lorsque Candide et Pangloss arrivent à
Lisbonne, la terre se met à trembler. Ils sont déférés à l'inquisition pour quelques discours
suspect
Chapitre 6 : On fait un bel autodafé pour empêcher la terre de trembler. Pangloss est pendu,
Candide est fessé
Chapitres 7 et 8 : Soigné par une vieille, Candide retrouve Cunégonde qui lui raconte son
histoire
Chapitre 9 : Cunégonde partage ses faveurs entre le juif don Issachar et le grand inquisiteur.
Candide tue les deux amants de sa belle. Il s'enfuit avec Cunégonde et la vielle
Chapitre 10 : Ils embarquent pour l'Amérique.
Chapitres 11 et 12 : La vieille pendant la traversé, leur raconte comment fille d'un pape et
d'une princesse, elle est devenue servante et comment elle eut une fesse coupée.
Chapitre 13 : Les fugitifs abordent à Buenos Aires dont le gouverneur s'éprend pour
Cunégonde d'une violente passion. Candide recherché par la police doit fuir seul.
Chapitre 14 : En compagnie de son valet Cacambo, Candide se rend chez les jésuites du
Paraguay. Il retrouve le frère de Cunégonde
Chapitre 15 : Celui-ci s'oppose au mariage de sa sœur avec Candide (un bâtard). Candide, fou
de rage, le tue
Chapitre 16 : Fuite de Candide et de Cacambo au pays des oreillons qui s'apprêtent à les
manger, mais leur font grâce comme ennemis des jésuites
Chapitres 17-18 : Ils arrivent dans l'Eldorado, pays où tout va bien, richesses inouïes, plein de
diamant, Désireux de retrouvé Cunégonde et de s'acheter un château
Chapitre 19 : Au Surinam, après avoir rencontré un noir victime de l'esclavage, ils se séparent.
Cacambo part pour Buenos Aires, Candide volé par un négociant Hollandais, s'embarque pour
l'Europe accompagné du philosophe Martin
Chapitre 20 : La traversé se passe à discuter avec Martin qui pense que tout va mal
Chapitres 21 et 22 : En France, Candide est dupé et volé. Il trompe Cunégonde à Paris avec
une fausse marquise
Chapitres 23 et 24 : Obligé de fuir, Candide et Martin embarque à Dieppe, longent les cotes
anglaises et assistent à l'exécution d'un amiral. Puis ils arrivent à Venise où ils rencontrent
Paquette, ancienne servante de Cunégonde et amante de Pangloss, en compagnie d'un
théatin, frère Giroflé
Chapitre 26 : Pendant le carnaval, Candide soupe avec six rois détrônés. Ils retrouvent
Cacombo, Cunégonde est esclave en Turquie
Chapitres 27 et 28 : Ils partent pour Constantinople, reconnaissant parmi les galériens
Pangloss et le jeune baron "ressuscité", qui ra******* leur aventures
Chapitre 29 : Candide rachète Cunégonde et la vieille. Il épouse Cunégonde devenue
affreusement laide, malgré le refus de son frère
Chapitre 30 : Le jeune baron ayant été renvoyé aux galères, Candide achète, avec ses derniers
diamants de l'Eldorado une métairie. Tous sont réunis et à l'exemple d'un bon vieillard turc du
voisinage, ils vont cultiver leur jardin
I - Rappel historique
Un siècle de bouleversements, une littérature militante qui favorise la révolution de 1789.
Déclin de la monarchie . Le pouvoir de Louis est discrédité (Guerre de 7 ans). Louis XVI
s’engage dans des réformes mais rencontre beaucoup de difficultés financières

II - La société, les moeurs


Au XVIIIème siècle, les centres de la vie intellectuelle sont:- les salons, les clubs, les café .
Libération des moeurs. Luxe et épicurisme

III - Le siècle des lumières


Siècle de la passion des idées, les thèses envahissent tous les genres littéraires. Les
écrivains luttent contre le pouvoir absolu, le fanatisme religieux, les guerres, etc. Ils
examinent et renvoient toute l’organisation sociale et politique. Le maître mot de ce siècle est
le mot RAISON. La science exerce une influence considérable sur la littérature, remise en
question de la religion, des superstitions.Le cosmopolitisme caractérise ce siècle: voyages,
échanges entre peuples différents. Un idéal de paix et la lutte contre les préjugés. La France
est influencée par l’Angleterre: les philosophes admirent le système parlementaire anglais
XVIIIème - Siècle des Lumières
Nous croyons conduire le destin,
mais c'est toujours lui qui nous mène.
Denis Diderot (Ecrivain et philosophe français)

Introduction.
Au XVIIIeme siècle, naissait une nouvelle vague de philosophes qu'on appellera "les
Lumières".Ceux-ci sont à l'origine de nouvelles idées qui influenceront les gens de l'époque...

Présentation.
"Siècle des Lumières", terme qui désigne le XVIIIe siècle en tant que période de l'histoire de la
culture européenne, marquée par le rationalisme philosophique et l'exaltation des sciences,
ainsi que par la critique de l'ordre social et de la hiérarchie religieuse, principaux éléments de
l'idéologie politique qui fut au fondement de la Révolution française. L'expression était déjà
fréquemment employée par les écrivains de l'époque, convaincus qu'ils venaient d'émerger de
siècles d'obscurité et d'ignorance et d'entrer dans un nouvel âge illuminé par la raison, la
science et le respect de l'humanité.

Les philosophes rationalistes du XVIIe siècle, tels que René Descartes et Baruch Spinoza, les
philosophes politiques Thomas Hobbes et John Locke, et certains penseurs sceptiques en
France comme Pierre Bayle peuvent être considérés comme les précurseurs des Lumières,
bien que certains éléments de leurs doctrines qui allaient à l'encontre des conceptions
empiristes et antiautoritaires des penseurs du XVIIIe siècle eussent été rejetés par ces
derniers. Les découvertes scientifiques et le relativisme culturel lié à l'étude des civilisations
non européennes contribuèrent également à la naissance de l'esprit des Lumières.

La plus importante des hypothèses et espérances communes aux philosophes et intellectuels


de cette époque fut incontestablement la foi inébranlable dans le pouvoir de la raison
humaine. La découverte de la gravitation universelle par Isaac Newton fit une impression
considérable sur le siècle. Grâce à l'usage judicieux de la raison, s'ouvrait un progrès
perpétuel dans le domaine de la connaissance, des réalisations techniques et des valeurs
morales. Dans le sillage de la philosophie de Locke, les penseurs du XVIIIe siècle
considéraient, à la différence de Descartes, que la connaissance, loin d'être innée, procédait
uniquement de l'expérience et de l'observation guidées par la raison. Ils affirmaient que
l'éducation avait le pouvoir de rendre les hommes meilleurs et même d'améliorer la nature
humaine. La recherche de la vérité devait se poursuivre dorénavant par l'observation de la
nature plutôt que par l'étude de sources autorisées telles qu'Aristote et la Bible. Par contre la
plupart des penseurs des Lumières ne renoncèrent pas complètement à la religion. Ils
adoptèrent plutôt une forme de déisme, acceptant l'existence de Dieu et d'un au-delà, mais
rejetèrent les arcanes de la théologie chrétienne. Ils n'attaquèrent rien avec autant de violence
et de férocité que l'Église, sa richesse, son pouvoir politique et sa volonté d'entraver le libre
exercice de la raison.

Les idées défendues par les philosophes des Lumières.

LA LIBERTE : « Les hommes naissent tous libres. C'est le plus précieux de tout les biens
que l'homme puisse posséder. Il ne peut ni se vendre ni se perdre. » (d'après un article dans
l'encyclopédie). Ils sont aussi pour la liberté d'expression, car il y a la censure qui l'interdit
(aucune critique n'est permise à ce temps...). Pour plus de détails, cliquez sur la rubrique
des extraits del'Encyclopédie, dans l'article "autorité politique".

LA RAISON : C'est le moyen d'acquérir des connaissances. Quesnay dit : « la raison est à
l'âme ce que les yeux sont au corps: sans les yeux, l'homme ne peut jouir de la lumière, et
sans la lumière, il ne peut rien voir ».
LA TOLERANCE : D'après Voltaire, on doit respecter la liberté et les opinions sociales,
politique et religieuses d'autrui.

L'EGALITE : D'après Rousseau, « être libre, n'avoir que des égaux est la vrai vie, la vie
naturelle de l'homme. Les hommes naissent égaux ». En ce temps la, en France, on naissait à
inégalité car il y a une société d'ordre (Noble, Clergé, Tiers-états.) Voir aussi la rubrique
des extraits del'Encyclopédie, dans l'article "égalité".

LE PROGRES : ils sont pour le progrès de la société et pour l'innovation, le commerce…


Par exemple, durant le siècle des lumières, il y a eu l'invention du thermomètre, du
microscope, des cartes précises pour la géographie grâce aux maths…Bref, toute la science
évolue.

Les philosophes critiquent les abus de pouvoir, c'est pourquoi il veulent

LA SEPARATION DES POUVOIRS: : Montesquieu, écrit dans « De l'esprit des lois » , en


1748, qu'il est utile de séparer les 3 pouvoirs, donc qu'ils ne soient pas concentrés dans les
mains d'une seule personne, afin d'éviter toute tyrannie.Ils sont pour le REJET LA
MONARCHIE DE DROIT DIVIN mais ils restent généralement favorable à un régime
monarchique. Mais ils ne sont pas pour une démocratie, sauf dans le cas de Rousseau.

LES LUMIERES, SOURCE DE REVOLUTION

Vers la fin du XVIIIe siècle, des changements importants se produisirent dans la pensée des
Lumières. Sous l'influence de Rousseau, le sentiment et l'émotion devinrent aussi
respectables que la raison. Dans les années 1770, les écrivains étendirent le champ de leurs
critiques aux questions politiques et économiques. La guerre de l'Indépendance américaine
ne manqua pas de frapper les esprits. Aux yeux des Européens, la déclaration d'Indépendance
et la guerre révolutionnaire représentaient, pour la première fois, la mise en œuvre des idées
éclairées et encouragèrent les mouvements politiques dirigés contre les régimes établis en
Europe. Cette constitution d'Amérique devient un modèle qui sera diffusé et admiré. Cela
entraîne la remise en cause de l'absolutisme.
De l'avis général, le siècle des Lumières aboutit à la Révolution française de 1789. Comme
elle incarnait de nombreux idéaux des philosophes, la Révolution, dans ses phases de
violence entre 1792 et 1794, discrédita provisoirement ces idéaux aux yeux de nombre de
contemporains européens. Pourtant, les Lumières léguèrent un héritage durable aux XIXe et
XXe siècles. Le XVIIIe siècle marqua le déclin de l'Église, ouvrit la voie au libéralisme politique
et économique, et suscita des changements démocratiques dans le monde occidental du XIXe
siècle. Le siècle des Lumières apparaît ainsi à la fois comme un mouvement intellectuel et une
période historique marquée par des événements décisifs.

Source "ENCARTA 2000"

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