Sie sind auf Seite 1von 18

2019/2020

La Dynamique de
Groupe
Leadership

Définitions Qualités Styles

Réalisé par : Encadré par :


ENASRAOUI Reda Mme EL ARFAOUI
GAGOU Karam
AZGHAY Youssef
ABOUKHAR Said
OBBAD Houda
Sec3 G31
EL HADFAOUI Omar

1 | Page
Table des matières
Remerciement ........................................................................................................................... 3
Introduction ............................................................................................................................... 4
L’importance du leadership dans le groupe ........................................................................... 4
Théories du leadership .............................................................................................................. 5
La théorie du grand homme .................................................................................................. 5
La théorie des traits ............................................................................................................... 5
La théorie comportementale ................................................................................................. 5
La théorie du leadership situationnel .................................................................................... 5
Styles de leadership ................................................................................................................... 5
Le leadership directif .............................................................................................................. 5
Le leadership chef de file ......................................................................................................... 6
Le leadership participatif ......................................................................................................... 6
Le leadership visionnaire ......................................................................................................... 6
Le leadership coach ................................................................................................................ 6
Le leadership coach ................................................................................................................ 6
Leadership collaboratif ........................................................................................................... 6
Comparaison des styles de leaders ........................................................................................ 7
Conclusion ............................................................................................................................... 7
la différence entre un manager et un leader ........................................................................... 8
Problématique ......................................................................................................................... 8
Les caractéristiques d'un manager .......................................................................................... 8
Les caractéristiques d'un leader .............................................................................................. 8
Manager vs leader .................................................................................................................. 9
Résumé .................................................................................................................................... 9
Les qualités de leadership ...................................................................................................... 10
Quelque qualité du leadership ............................................................................................. 10
Conclusion ............................................................................................................................. 11
Conclusion ................................................................................................................................ 12
L’activité ................................................................................................................................... 13
QUIZ.......................................................................................................................................... 14
Article ....................................................................................................................................... 16
L’expérience au sein du groupe .............................................................................................. 17
Réalisé par ................................................................................................................................ 18

2 | Page
Remerciement
Nous vous remercions de la confiance
que vous nous accordez pour parler de ce
sujet et l'expliquer à nos collègues, et
nous abordons de nombreux angles pour
leur transmettre toutes les informations.
Et relier ce sujet au travail d'équipe et
les motiver à être meilleurs dans le
travail de groupe Et développer leurs
techniques d'interaction au sein du
groupe

3 | Page
Introduction :
Dans cet exposé, nous chercherons à encadrer les notions de leader ainsi que de
leadership. Ces notions sont de plus en plus présentes au cœur de nos vies
puisqu'elles interviennent dans nos rapports avec les autres en passant par la
façon par laquelle nous nous percevons et la façon par laquelle nous sommes
perçus par les autres. Ces notions sont maintenant quasi omniprésentes puisque
nous pouvons les retrouver autant dans le monde professionnel dès lors qu'il
s'agit de maintenir son statut, d'évoluer professionnellement, de faire valider une
de ses décisions ; que dans la vie privée par exemple un parent devant se faire
respecter et écouter par ses enfants.
Et ce qui est le plus important c’est de créer une équipe efficace en se basant sur le
degré de maturité et les relations présentes entre ses membres.

L’importance du leadership dans le groupe


Être un leader sous-entend la capacité à changer l’altitude des membres d’un
groupe, à les mobiliser et à entrainer leur adhésion à des objectifs communs. De ce
fait, le leader doit savoir donner une vision, susciter les motivations et entrainer ceux
qui le suivent bien plus que de les diriger de manière autoritaire. Un essai intitulé
Heroes and Leaders écrit en 2008 va afficher une définition qui rejoint ce point de
vue il va citer :
« Un leader est une personne qui apparait en temps de crise et qui guide les
personnes à un avenir prospère »
Certaines personnes sont nées pour diriger, elles ont une capacité innée à diriger, à
rassembler les gens mais elles doivent tout de même apprendre certaines bases
pour être efficaces. Pour les autres, il faut apprendre à devenir un leader, appliquer
des bonnes méthodes. En résumé, diriger présente une part de conscient et
d’inconscient.
Les individus qui dirigent le mieux sont généralement ceux qui ont une très bonne
compréhension d’eux-mêmes (une représentation honnête d’eux-mêmes). Pour être
un bon leader, il faut identifier ses points forts et se débarrasser de ses faiblesses
pour pouvoir se préparer aux différentes situations.
La règle d’or d’un dirigeant est de ne pas faire aux autres ce qu’il ne voudrait pas
qu’on lui fasse.
Son but majeur est d’inspirer et cultiver la confiance mutuelle. Quand cette confiance
est perdue, il doit faire en sorte de la retrouver, retisser les liens, faire en sorte que le
personnel se sente en sécurité, reconnu et utile.
Il doit être en capacité de résoudre les conflits et/ou les problèmes de confiance, se
concentrer sur le personnel, ses problèmes, professionnels, individuels, ses résultats
et ne pas laisser certains « sur le bord de la route ». Le dirigeant est en poste pour
qu’une tâche soit effectuée, mais dans le respect du personnel.

4 | Page
Théories du leadership
La théorie du grand homme :
Postule que l'on naît dirigeant, on ne le devient pas. On est fait pour ça, ou
pas. Cette théorie tente d'identifier les caractéristiques communes à ces leaders
nés. On sait désormais que le leadership peut s'apprendre, mais il est vrai que
certaines personnes sont naturellement plus douées que d'autres.

La théorie des traits :


« Quelles qualités distinguent un individu en tant que leader ? »
Cette question a pour origine la reconnaissance de l'importance du leadership, et la
supposition que le leadership est ancré dans les caractéristiques que certains
individus possèdent. L'idée, que le leadership serait basé sur des attributs individuels
est connu comme « la théorie des traits ».
Cette théorie consiste à identifier les qualités individuelles nécessaires pour bien
diriger.
Avantage : elle est facile à comprendre. Adoptez telle attitude et on vous suivra.
Problème : on a identifié de nombreux traits de caractère, mais pas une combinaison
qui convienne en toute circonstance. Cela peut donc être déroutant.

La théorie comportementale :
La théorie comportementale du leadership stipule que les leaders sont devenus
leaders, et ce qu’ils soient prédisposés à l’être de naissance ou non. Le leadership
découlerait donc de l’observation et de l’enseignement. Comme c’est le cas pour
d’autres comportements, on pense donc que le leadership peut aussi être appris et
développé.
Autrement dit, la théorie comportementale du leadership est fondée sur la conviction
que l’on ne naît pas grand leader. On le devient.

La théorie du leadership situationnel :


Il n'existe pas de modèle unique. Certains traits, compétences et styles sont plus
adéquats selon la situation. Le leader doit s'adapter. On entraîne une équipe de
lycéens d'une façon différente d'une équipe de lycéennes. Les objectifs sont
semblables, mais pour de bons résultats, il faudra peut-être plus de discipline avec
les garçons et plus de relationnel avec les filles.

Styles de leadership :
Daniel Goleman, un psychologue américain a mené une étude pour la Harvard
Business Review dans les années 2000 qui lui a permis de mettre en avant 6 types
de leadership distincts au sein des organisations et les impacts reliés sur les équipes
de travail et les départements.

1-Le leadership directif


“Fais ce que je te dis” Cela pourrait être la phrase qui résume le leader directif. Très
axé sur l’autorité et l’exécution immédiate de la tâche, il est moins sur les relations
humaines et la vision globale. Ce dernier est utilisé lors de crise, au moment où il faut
des résultats concrets très rapidement ou encore avec certains collaborateurs plus
“perturbateurs”.
Ce style ne peut pas être utilisé sur du long terme au risque d’impacter la motivation
globale de l’équipe tout en créant une frustration.

5 | Page
2-Le leadership chef de file
Tout aussi minutieux que le leader directif, le leader-chef de file va donner le tempo
aux équipes de travail. Très exigeant envers lui-même, il montre l’exemple et s’attend
à ce son équipe soit excellente et à son image.
Il peut se montrer moins patient avec certaines personnes moins performantes. Il
laissera une certaine autonomie quand ses collaborateurs auront fait leurs preuves.
Ce type de leadership fonctionne donc mieux avec des équipes qui sont déjà
compétentes et qui connaissent bien leurs affaires !

3-Le leadership participatif


Le leader participatif va mettre de l’avant l’intelligence collective. Il va demander l’avis
de chacun de ses collaborateurs, laissant ainsi place à une grande créativité, aux
brainstormings, à la capacité d’innovation de chacun.
Ce type de leadership permet à chacun de s’exprimer et donc de se sentir valoriser
ce qui entraîne une énergie positive dans l’équipe surtout sur le long terme.
A contraire, ce leadership trouve ses limites lorsqu’il faut trancher rapidement sur une
décision par exemple en cas de crise ou de situation d’urgence.

4-Le leadership visionnaire


C’est un leader charismatique qui va rassemble sous une vision commune. Il va
montrer le chemin, montrer où collectivement l’équipe et l’organisation veulent s’en
aller. Très bon communicateur, il donne du sens, délivre un “pourquoi”.
À l’opposé du leadership directif, ce dernier laisse à son équipe les rênes quant aux
moyens pour arriver à l’accomplissement de cette vision qu’il partage. Il communique
cette dernière en ayant une grande force d’inspiration et motivationnelle auprès de
ses équipes.

5-Le leadership coach


Le leadership coach va chercher à améliorer les capacités de chaque membre de
son équipe en les faisant grandir et en les rendant autonomes. Il veut résoudre les
problèmes et faire augmenter les performances des individus. Ce type de leadership
peut s’avérer difficile à mettre en place, car le leader doit avoir un rôle de guide tout
en donnant assez d’autonomie pour laisser les cartes dans les mains de son équipe.
Il doit avoir une capacité d’écouter très développée et une communication non
défensive.
C’est un leadership qui est long, car tout ne se passe pas en un claquement de
doigts. Ce dernier ne serait pas à privilégier pour des moments de besoin de
résultats immédiats.

6-Leadership collaboratif
Le leader de type collaboratif va penser à son équipe avant tout et à la
communication de groupe. Il va mettre un point d’honneur à créer une harmonie et
des liens entre les membres de l’équipe, il cherche la cohésion. Ce type de
leadership permet d’augmenter la motivation des membres du département et ainsi
que le sentiment d’appartenance. Utilisé pendant des moments de stress ou lorsque
l’équipe a besoin de se remobiliser, ce dernier peut, sur du long terme, impacter la
performance surtout en temps de crise ou de demande de résultats optimaux.

6 | Page
Comparaison des styles de leaders :

Style de leader Avantages Inconvénients

Directif - Dans les situations d’urgence, des - Peut faire se détériorer le climat de
décisions sont prises rapidement et les travail à long terme.
mesures nécessaires sont lancées.
- Ne tient pas compte des potentiels
- Chacun dans l’équipe sait ce qu’il doit individuels.
faire.

Visionnaire - Uni l’ensemble de l’équipe. - La réalisation des objectifs semble


parfois placée au second plan.
- Favorise une bonne communication.

- Favorise l’autonomie des employés.

Collaboratif - L’accent est mis sur l’humain. - Peut être trop « doux » dans
certaines situations.
- Procure un bon climat de travail.

Participatif - Implique les employés dans le - Souvent de très longues


processus. discussions pour prendre une
décision.
- Donne davantage de motivation.
- Influencé par la dynamique de
- Tient compte de l’opinion de chacun. groupe.

Chef de file - Grande performance même dans les - Efficace seulement pour les phases
situations difficiles (manque de courtes, mauvais pour la motivation
personnel etc.) si c’est utilisé à long terme.

- Certains employés sont débordés.

Coach - Centré sur les employés et leur - Risque de paternalisme.


potentiel individuel.

- Renforce l’implication et la fidélité des


employés.

Conclusion :
Ces styles de leadership peuvent être appliqués en fonction des exigences du
secteur d’entreprise, ou de la situation. Il est important que vous repensiez à votre
style de temps à autre et, si nécessaire, que vous le réajustiez. Adopter un seul
style en lui seul peut entraîner des problèmes sur le long terme et démotiver les
équipes. Il est donc conseillé de combiner au moins deux styles, et ce
naturellement en fonction des exigences de votre entreprise.

7 | Page
la différence entre un manager et un leader :
Problématique :
Il n’est pas toujours évident de distinguer un leader d’un manager. Ces deux
termes sont d'ailleurs souvent confondus et considérés comme des synonymes.
Toutefois, on distingue d'importantes différences entre le leadership et le
management.
Selon Larousse, un leader est une personne qui, à l'intérieur d'un groupe, prend la
plupart des initiatives, mène les autres membres du groupe et détient le
commandement, alors qu'un manager est une personne qui fait du management,
qui organise, gère quelque chose, dirige une affaire, un service, etc.
Il est tout à fait possible d'être à la fois un manager et un leader au sein de son
équipe. Cependant, on peut aussi être un manager sans être un leader, et un
leader sans être un manager.

Les caractéristiques d'un manager :


Le manager est désigné par sa hiérarchie comme le chef d'un groupe. Il
représente et exerce une certaine autorité sur le groupe qu'il doit gérer.
Le rôle du manager est de définir des objectifs et d'organiser le travail afin que ces
objectifs soient atteints. Ils donnent des directives claires et précises afin que les
différentes tâches soient réalisées en respectant le budget, les délais et les
ressources disponibles.
Un bon manager doit :
•fixer des objectifs.
•savoir déléguer et faire confiance.
•être à l’écoute de son équipe
•valoriser les compétences de ses collaborateurs.
•se remettre en question.
•montrer l’exemple.
•savoir reconnaître l'échec comme la réussite.

Les caractéristiques d'un leader :


Le leader n'a pas été désigné par sa hiérarchie comme dirigeant d'un groupe ou
d'une équipe. Il évolue dans une hiérarchie horizontale. Ses réalisations, ses idées
et ses initiatives ont construit sa notoriété auprès des membres du groupe. C'est le
groupe qui lui donne son pouvoir et lui reconnaît une autorité informelle.
Contrairement au manager, être leader dans un groupe n'est pas un statut, mais
une reconnaissance.
Un bon manager doit :
•L'intégrité : être honnête et sincère pour inspirer la confiance et la loyauté.
•Le sens de communication : savoir parler pour défendre ses idées, négocier ou
résoudre les conflits, mais aussi savoir écouter.
•Avoir une vision : savoir précisément où aller, connaître ses objectifs.
•Vouloir prendre des risques : être prêt à prendre des risques et à faire des erreurs
pour atteindre son objectif, en sortir grandi et continuer à affronter de nouveaux
challenges.
•Être responsable : assumer la responsabilité de ses actes, tenir ses promesses et
ses engagements et ne pas blâmer les autres pour ses propres erreurs.

8 | Page
Manager vs leader :
1)Les leaders ont une vision, les managers ont des objectifs :
Le leader a une vision et inspire les personnes à faire de cette vision une réalité. Il
les pousse à faire partie de quelque chose d'important.
Le manager se concentre sur la mise en place, la mesure et l'atteinte d'objectifs. Il
contrôle l'activité de son équipe afin d'atteindre ou de dépasser les objectifs fixés.
2)Les leaders aiment le changement, les managers préfèrent l'amélioration :
Le leader veut faire bouger les choses, changer les habitudes. Il est pour le
changement et l'innovation. Le manager suit et améliore ce qui est déjà en
fonctionnement.
3)Les leaders prennent des risques, les managers contrôlent les risques :
Les leaders essayent et tentent de nouvelles choses. Ils ne craignent pas l'échec
qu'ils considèrent comme un pas de plus vers la réussite. Les managers cherchent
à tous prix à minimiser les risques. Ils préfèrent éviter ou contrôler les problèmes
plutôt que d'y être confrontés.
4)Les leaders veulent apprendre, les managers s'appuient sur leurs acquis :
Dans un group en constante évolution, les leaders sont curieux et cherchent à
apprendre chaque jour afin de développer leur connaissance. Les managers
continuent d'adopter les comportements qui ont fait leur succès et perfectionnent
les compétences déjà acquises.
5)Les leaders conseillent, les managers dirigent :
Le leader voit le potentiel des personnes qui l'entourent et les encourage à le
développer, à grandir et à apprendre. Le manager attribue les tâches et donne la
direction à suivre pour les accomplir.

Résume :
Sujet Manager Leader
Fondement du rôle La stabilité Le changement
La prise de décisions Il la fait Il la facilite
Approche Il planifie chaque détail Il donne une direction et
autour des contraintes dirige dans ce sens
Vision A court terme : A long terme : après
aujourd'hui demain
Contrôle grâce à Son influence formelle Son charme personnel
La culture de groupe Il la promeut Il la façonne
Action Réactive Proactive
Les risques Il les minimise Il les prend
Les règles Il les fait Il les enfreint
Importance sur Les résultats La réussite
Inquiétude Faire les choses Faire la bonne chose
correctement
Se concentre sur Gérer le travail Guider les gens

9 | Page
Les qualités de Leadership :
Les 10 qualités essentielles à posséder ou développer pour devenir un vrai
leader :
Qu’est-ce qu’un leader exactement ? Est-ce tout simplement un bon manager ? Il
s’avère qu’être un leader, ce n’est pas une fonction, ni un titre officiel, mais
un ensemble de comportements et une attitude charismatique, qui, au final,
donnent envie à tout le monde de d’écouter et de se dépasser. Un leader ne se
contente pas de gérer efficacement les membres d’équipe pour qu’ils
accomplissent leurs missions de manière performante, il va bien au-delà de ces
fonctions. Mais si certains sont des leaders naturels, d’autres en revanche ont
besoin de développer leur leadership afin de devenir plus qu’un bon chef. Bien
qu’il n’existe pas de portrait-robot du leader idéal, chez tous les bons leaders, on
observe des caractéristiques qui leur sont propres.
Quelques qualités du leadership :

1-Savoir-faire confiance :
La confiance est indispensable à toute relation humaine, et les relations dans
l’entreprise n’échappent pas à la règle. Savoir faire confiance quand on est leader,
c’est avoir la capacité de déléguer des tâches à ses collaborateurs, mais aussi
de prendre en compte les avis, expertises et aspirations en réunion.

2-Fixer des objectifs clairs


Dans notre étude sur les attentes des salariés, plus de 41 % des répondants
insistent sur la nécessité d’un partage clair de la vision et de la
stratégie pour donner du sens au quotidien. L’absence de vision partagée de
l’avenir dans une équipe, et plus largement au sein de toute organisation, est en
effet un élément déclencheur du mal-être et de la perte de cohésion des
collaborateurs. Alors, soyez un leader inspirant en partageant clairement la vision
de l’entreprise.

3-Personnifier les valeurs de l’entreprise :


Les jeunes générations se tournent aujourd’hui vers des entreprises qu’ils
estiment porteuses de sens. Dans une dernière étude sur le « Job idéal », ils sont
d’ailleurs plus de 75 % à être attentifs aux engagements sociaux et sociétaux des
structures qu’ils rejoignent. Il est donc nécessaire de fédérer les équipes autour de
valeurs fortes en les partageant, mais aussi et surtout en les incarnant.

4-Permettre l’échange et la transmission du savoir :


Il est essentiel de créer un environnement propice aux moments d’échanges et à
la transmission des connaissances, non seulement entre les membres de votre
équipe mais aussi lorsque vous intégrez un nouveau collaborateur. Votre objectif
est de faire évoluer votre équipe, de la faire monter en compétence et de libérer
les talents.

5-Récompenser les bonnes initiatives


Ce sont les petites victoires qui permettent à votre équipe d’avancer au quotidien,
alors soyez attentif. Lorsqu’un membre s’illustre, partagez la bonne nouvelle et les
résultats avec le reste de l’équipe. Mettez vos meilleurs collaborateurs en avant
pour stimuler l’adhésion et la performance.

10 | P a g e
6-Encourager le changement :
L’innovation est vitale à toute équipe et toute organisation. Votre travail est donc
d’encourager votre équipe à émettre et tester de nouvelles idées ou initiatives.
Appuyez-vous sur l’intelligence collective et sur toutes les énergies disponibles
pour avancer et faire avancer vos collaborateurs.

7-Savoir prendre soin de soi :


L’humeur est contagieuse, qu’elle soit bonne ou mauvaise. Une bonne hygiène de
vie vous permettra de surmonter n’importe quel problème de façon positive.
Pensez à vous octroyer des moments de détente, du temps pour pratiquer une
activité sportive par exemple. Vos collaborateurs vous en seront reconnaissants.

8-Communiquer en toute transparence :


L’intégrité est l’une des clés de la confiance que l’on accorde ou non aux
personnes qui nous entourent. Un bon leader, plus que quiconque, se doit
de communiquer avec transparence et sincérité dans toutes les situations. Il doit
savoir encourager en cas de réussite mais aussi et surtout assumer les erreurs en
cas d’échec, sans travestir la réalité. Il en va de sa crédibilité et de sa légitimité.
Par ailleurs, si vous savez faire preuve d’ouverture et de transparence, les
membres de votre équipe se sentiront eux aussi plus libres de s’exprimer
franchement (profitez des feedbacks !).

9-Savoir écouter :
La capacité d’écouter est un préalable à toute bonne communication. Elle permet
de connaître ses collaborateurs et donc d’adapter son discours pour un impact
optimal.
L’écoute est une compétence souvent négligée. Mais quand elle est bien utilisée,
elle a le pouvoir de créer un climat de sécurité,

10-Avoir des convictions :


Un vrai leader a non seulement des convictions et des croyances mais il n’a
surtout pas peur de les affirmer haut et fort. Vous devez avoir suffisamment
confiance en vos compétences et qualités pour prendre le risque d’exprimer vos
idées chaque fois que cela est nécessaire. Mais avoir confiance en soi ne signifie
pas être dépourvu d’humilité. Vous devez utiliser cette confiance pour soutenir
vos idées et projets mais aussi ceux de vos collaborateurs, et garder à l’esprit
que vous pouvez aussi avoir tort

Conclusion :
Avant de diriger une équipe, vous avez probablement été sous la responsabilité
d’un manager. Qu’attendiez-vous de vos responsables ? Quelles caractéristiques
ou qualités faisaient d’eux des bons managers à vos yeux ? De l’exemplarité, de
l’intégrité, un certain caractère et des compétences éprouvées ? Savez-vous
souvenir des attentes que vous aviez alors, de ce à quoi vous portiez un intérêt
particulier et devenez le leader charismatique que vous auriez aimé avoir à cette
époque !

11 | P a g e
Conclusion
En guise de conclusion, nous pouvons conclure qu’un bon leader disciplinera son
esprit pour être calme et concentré sur la situation à laquelle il fait face. Cela se fait
par des personnes appliquant leurs attributs de leadership qui est la capacité de diriger
un groupe de personnes vers la réalisation d’un objectif commun dont les leaders
créent l’engagement et l’enthousiasme parmi les suiveurs pour atteindre les objectifs.
De plus, vous pouvez être fort à certains moments et faible à d'autres. Cette faculté ne
va pas de soi, et demande un travail conséquent d’analyse et de prise de recul.

12 | P a g e
Activité :
Choisissez un personnage des images présentées devant vous ou de votre propre
choix et justifier ce dernier.

13 | P a g e
QUIZ : Thermomètre de leadership (10 min)
Êtes-vous fait pour diriger ? Répondez le plus sincèrement possible à ce test et
constatez dans quelle zone se situe votre leadership (de fragile à autoritaire).

14 | P a g e
Donnez un score pour réponse à chacune des questions posées (en se basant
sur le tableau suivant), ensuite faite le calcul pour chaque question et faite le total
que vous reportez sur la troisième feuille.

L’objectif est de se trouver entre zone autonome et zone leadership.

15 | P a g e
Article :
Le leadership : encore et encore...
Gestion 2008/3 (Vol. 33)
Editeur : HEC Montréal

Le manque du leadership
Même s’il est difficile de saisir ce qu’est le leadership, il n’est pas rare aujourd’hui
qu’on entende déplorer un manque de leadership dans plusieurs domaines de la
société. Si on sent un manque, c’est qu’on sait au moins intuitivement de quoi il
s’agit. Assumer le leadership est difficile. Le leadership est une responsabilité
lourde et complexe parce qu’elle implique la direction de personnes par d’autres
personnes. La direction suppose l’exercice du libre arbitre et du jugement. Elle
repose donc sur la liberté et sur une utilisation judicieuse et responsable d’une
marge de manœuvre. Même si cela est difficile et que la liberté est restreinte,
être un leader, c’est assumer complètement la responsabilité de cette marge de
manœuvre.
Il s’agit d’une tâche certainement plus complexe que ce que certains gourous
laissent entendre. Il ne suffit pas d’avoir une vision originale, d’élaborer et de
formuler une bonne stratégie. Il ne suffit pas non plus de se doter d’une structure et
d’un encadrement adéquats. Une direction responsable prend sous sa gouverne la
mise en œuvre et le fonctionnement le plus harmonieux possible de toute
l’organisation, sans perdre de vue les résultats à atteindre.

Donner une direction à suivre implique un choix éclairé de la part de la personne qui
assume cette responsabilité. Le choix des individus, ici comme ailleurs, est
primordial. La direction doit savoir s’entourer de collaborateurs responsables dont
elle oriente le travail et encadre l’action. Elle évalue la performance de personnes
qu’elle valorise, qu’elle stimule et dont elle favorise le développement. Sans une telle
direction, les entreprises ne seraient pas compétitives et n’obtiendraient jamais la
qualité et la rentabilité visées.
L’autorité et les figures d’autorité n’ont pas bonne presse dans les milieux de
formation et dans la plupart des organisations de professionnels. L’autorité y est mal
portée aussi bien par ceux qui ont à l’exercer que par ceux qui ont à la subir. On y
pratique la manipulation, par-dessous, par-derrière, quand ce n’est pas carrément
par-devant, avec les habituelles bénédictions savantes, dont la pseudo-
transparence. On stipule que le dirigeant n’a pas à diriger ou que diriger est suspect.
On invite le dirigeant, directement ou indirectement, à vider sa tâche de son pouvoir,
sous prétexte que l’autorité hiérarchique est dépassée et qu’elle brime les employés.

On prétend même que le dirigeant n’aurait qu’à mettre en place des processus ou
des rituels de participation, à créer ou à commander une culture participative ou à
prêcher la qualité totale ou la dernière recette à succès pour que son organisation
atteigne une haute performance. On vante les mérites du travail en équipe et la
gestion par réunions en faisant semblant de tenir compte des suggestions de tout le
monde et en entretenant l’espoir illusoire que la recette conduira aux résultats
anticipés et que l’organisation sera concurrentielle.
Il y a beaucoup de ce rejet de l’autorité et de la direction dans l’engouement actuel
pour le leadership, qui paraît marqué au sceau d’un ascendant sur les autres qui
relèverait de « l’inspiration ». Les leaders, quel que soit le domaine où leur autorité

16 | P a g e
s’exerce, subissent le contrecoup de cette image utopique ou négative de l’autorité et
de la direction. Pourtant, les dirigeants qui exercent ce métier de façon intelligente,
sensible et respectueuse des qualités et de la contribution de chacun n’abdiquent
pas leur autorité et ils n’ont pas besoin de la camoufler derrière des rituels ou de
nouveaux slogans. Le dirigeant qui n’exerce pas son pouvoir légitime, soit au nom
d’une idéologie ou d’un idéal, soit par désir d’être à la mode et de plaire ou par
incapacité d’assumer la saine agressivité nécessaire à la vision et à l’exercice de la
direction, se coupe du respect de ceux et celles qui s’attendent à le voir se comporter
de façon responsable. L’absence de direction est une invite aux jeux de pouvoir, à la
politicaillerie et aux luttes intestines, où s’en donnent à cœur joie les ambitieux
invétérés, qui s’intéressent plus à la griserie du pouvoir qu’à la poursuite de la finalité
de l’organisation et à sa performance optimale.

Une des meilleures façons de comprendre le leadership, c’est encore de laisser les
leaders se raconter naturellement. Cette histoire permet, à eux et aux personnes qui
les écoutent ou les lisent, de mieux comprendre et d’améliorer leur leadership.
Raconter pour comprendre et assumer, ou assumer pour raconter et comprendre,
voilà ce qu’on pourrait appeler le cercle vertueux de la subjectivité et du leadership !

L’expérience au sein du groupe :


Notre groupe est composé de cinq garçons et une seule fille, le nombre total
d’heures de nos réunions n'a pas dépassé 3h, leur durée était d'une heure à une
heure et demi, notre première réunion avait comme objectif de bien se faire connaitre
et définir les axes et la deuxième pour diviser les tâches. Au fil du temps nous
n’avons pas eu l’occasion de se rencontrer vu la pandémie entrainer par le virus
corona qui nous a amenés à nous séparer aujourd’hui, pour nous assembler demain,
ce qui nous a obligés de travailler à distance à travers un groupe sur WhatsApp,
donc nous réunions ont été un peu spécial ils ont été sous forme des appels vidéo,
des appels vocaux et des messages.

Nos réunions n'avaient pas l'objectif juste d'exposer les résultats de nos recherches
mais aussi de faire comprendre aux restes des membres du groupe ces résultats
pour bien faire réussir notre "projet", et exécuter l'objectif principal de celui-ci qui est"
la dynamique de groupe".

Cependant dans chaque réunion, un Leader émerge et guide l’équipe de travail vers
l’objectif de la réunion (soit dans la vie réelle ou virtuelle), un système de vote est
établi pour démocratiser le travail car même si le groupe est harmonieux mais
chacun parfois à son point de vue ce qui nous emmène à voter.

Heureusement, nous n'avons pas eu des conflits, on travaillait en harmonie et on


était plutôt méthodique donc on n'avait pas d'obstacle qui vont entraver le progrès et
le bon déroulement de notre travail.

17 | P a g e
Réalisé par :

OBBAD Houda AZGHAY Youssef

GAGOU Karam ENASRAOUI Reda

EL HADFAOUI Omar ABOUKHAR Said

18 | P a g e

Das könnte Ihnen auch gefallen