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Droit des affaires :

Le droit des affaires est une branche du droit privé et il est définit comme
l’ensemble des règles qui encadrent le monde des affaires avec une variable
juridique, qui s’applique au monde des entreprise.
Le droit des affaires couvre de nombreux domaines tel que le droit commercial,
la loi fiscale, le droit de travail, le droit boursier, le droit financier...

LE DROIT PUBLIC : règle la relation de LE DROIT PRIVE : régit les rapports


l’état ou du pouvoir public avec les particuliers entre les particuliers pour un soucis de la
dans un soucis de maintien de l’ordre général satisfaction individuelle. Recherche
et de la paix social. Et donc cherche à veiller l’intérêt particulier.
sur l’intérêt général
La base du droit public est la constitution et La base du droit privé est le droit civil
c’est l’état qui veille à la bonne application du
droit.
LE DROIT CONSTITUTIONNEL : DROIT CIVIL : régit les relations entre
organisation de l’état les particuliers
DROIT ADMINISTRATIF : organiser les DROIT COMMERCIAL : régit les
collectivités publiques et leurs rapports avec relations entre les commerçants
les particuliers.
DROIT FISCAL : étudie les principes DROIT DU TRAVAIL : régit la relation
juridiques relatifs aux impôts, taxes, entre employeur et employé.
contributions et cotisations sociales
DROIT PENAL : sanction des infractions DROIT DES AFFAIRES : l’ensemble
des règles qui encadrent le monde des
affaires
Les types des sociétés / forme juridique des sociétés.
LES SOCIETEES DE
Il existe des conditions propres à chaque type de LES SOCITES DE
PERSONNES
société. CAPITAUX

socitees en nom societee anonyme


collectif

societe en
socitee en commandite par
participation action

societe en societe a
commandite simple responsabilite limite

Mais la chose qui ont en commun


c’est qu’elles font toutes partie du droit commun ; l'ensemble des règles
juridiques applicables à toutes les situations qui ne font pas l'objet de règles
spéciales ou particulières.

Les actes de commerces ou les contrats commerciales


Un acte de commerce est un acte juridique soumis aux dispositions du droit
commercial du fait de sa nature, de sa forme, mais aussi des personnes qui le
réalisent.
Il existe 3 types d'actes de commerce : les actes de commerce par
nature, par accessoire, et les actes mixtes.
acte de commerce par accessoire actes mixtes :
: chaque fait et acte accompli par le • presentent un acte civil
commercant pour les besoins pour une partie et un acte
de son commerce est concidere commerciale pour l autre
acte de commerce .
partie
• autre definition : ce sont des actes de
nature civil mais qui deviennent • un acte de commerce entre
commerciaux parcequ ils sont commercant et non
accomplies par des commercants commercant
dans le cadre de l exercice de sa
profession commerciale .

Et les actes de commerce par nature : ils sont listés dans le Code de commerce et ils
sont des actes de commerce en raison de leur objet.

activite lies
a la
production

extraction

mines carrierres
actes lies a
la
production

activite
industrielle imprimerie
et transformation et edition
artisanale

navires

achat pour
revente ou
location

achat d immeubles pour


location pour
les revendre en l etat ou
sous location
apres la transformation

actes lies a
la
distribution

exploitation des
entrepots et vente aux
magasins encheres
generaux publiques

fournitures des
produits et
services
1 )operation bancaire /
operation d assurance

activites lie
aux services
: service
financier

2)operation de societe
de financement 3)operations de bourse

activites
activites liee lieeaux
organisation de services : contrat d
aux services : spectacles entremise
services operation d
publiques
sociaux et de entremise
divertissement

NB : les activités d’agriculture, de pèche et d’élevage ne font pas parti des actes
de commerce par nature car toute activité dont la transformation de sa matière
première est naturelle est une activité civile et non pas commerciale.
Or, la transformation de cette matière première en un produit finis est considérée
comme acte de commerce.
Et les actes de commerce par la forme :
La lettre de change : est un acte de commerce quel que soit la nature de la
personne qui le fait.
Les effets de commerce : ne sont considérés des actes de commerce que si elles
sont réalisées par un commerçant.

Les conditions de validités des actes de commerce :


Tout contrat pour qu’elle soit valable doit respecter les conditions suivantes
1. LES CONDITIONS DE FONDS
a. Le consentement : la volantee libre, sans erreur ou violence pour acheter
les biens et services. ‘’autonomie de la vente ‘’ les parties ont-elles voulu
contracter l’une avec l’autre ? Cela suppose de vérifier leur consentement.
Le consentement doit alors être donné librement et clairement. Si l’une des
parties ne s’est pas décidée en pleine connaissance de cause ou si elle a subi une
pression son consentement est alors vicieux.
Il existe 3 types de vices.
L’erreur : c’est une faute non intentionnelle / pas exprès.
Due à une fausse représentation de la réalité, il s’agit donc d’une idée fausse ou
inexacte que se fait l’un des contractants d’un des éléments du contrat. Et donc
ne permet pas l’accord des volontés car chacune des parties a une idée différente
de l’engagement qu’elle souscrit. Cette erreur donne a la victime le droit
d’annuler le contrat.
La faute : une erreur intentionnelle / fait exprès. Réalisées avec l’intention de
tromper tel que les mensonges par exemple.

L’arnaque : intention d’induire le consommateur dans l’erreur.


b. L’objet : la nature de l’activité de
l’entreprise doit être clair dans
ses statuts. (Ex. : dans le contrat
de vente d’un véhicule
automobile, l’objet du contrat est
le véhicule) l ’objet peut aussi
être le transfert de propriété du
bien en contrepartie du paiement
d’un prix).
c. La cause : l’activité doit être
conforme à l’ordre public, Un
contenu licite et certain : qu’est-
ce que les parties ont voulu en
contractant ? Cela suppose de
vérifier l’objet de leur
engagement. Elle doit être licite.
d. La capacité
commerciale

Si l’une des conditions est


absente le contrat est
désormais nul.

2. Les conditions de forme. C’est une sorte de preuve écrite.


a. La rédaction du modèle des statuts de la société et leur
signature par tous les associés de la société ou leurs
représentants. https://www.legalife.fr/modele/statuts-
sarl/creation/?source=292386834 exemple de statut.
b. Enregistrement des statuts dans le registre de commerce au
tribunal commercial qui se trouve dans le siège de la société.
c. La publication au bulletin officiel (au cas de non publication le contrat
est désormais nul.)

Il faut faire la différence entre la nullité d’un contrat et sa résiliation.

Résilier un contrat : c’est le fait que les deux


parties contracteurs décident de ne plus rester
ensemble.
Il ‘est soit bilatéral ça veut dire la résiliation
vient de la volonté des deux parties.
Ou unilatérale : ‘’autonomie de la volonté ‘’ ça
veut dire la décision est prise par une seule La nullite du contarat Elle sanctionne le non-respect
partie. d’une condition de validité d’un acte juridique lors de
sa formatio
Les effets de la résiliation sont postérieurs.

Un contrat de société peut être défini de la façon suivante :


C’est un acte juridique réalisé entre au moins deux parties/associés, chacun
d’eux va contribuer à apporter un apport a la société mais aussi la volonté de
faire réussir l’objet sociétale en vu de réaliser des bénéfices.

Un acte juridique : est un engagement qui produit des effets juridiques, ces effets
juridiques de traduisent par des obligations qui se définissent de la manière
suivante : donner (vendre), faire (payer), ne pas faire (ne pas payer par cheque
par exemple)

Les 3 types d'obligations :


Obligation de donner, c'est à dire que le contrat de vente oblige le vendeur à
donner quelque chose à l'acheteur ;
Obligation de faire, lorsqu'un contrat oblige le prestataire à effectuer un service
pour l'acheteur ;
Obligation de ne pas faire. Par exemple, une clause de non-concurrence oblige le
salarié à ne pas travailler chez un concurrent à la rupture de son contrat de
travail.

Il existe deux types d’obligation : les obligations de moyens et les obligations de


résultat.

OBLIGATION DE RESULTAT : Dans le cas d'une


obligation de résultat, le débiteur doit obtenir un résultat
déterminé à l'avance. Tous les commerçants sont tenus à
une obligation de résultats.
Exemple : un garagiste a l'obligation de réparer une voiture.
Le débiteur peut mettre en œuvre tous les moyens à sa
disposition, seul comptera le résultat. Si le résultat n'est pas
obtenu, c'est un cas de défaillance d'obligation.
Bon à savoir : l'obligation de résultat est une obligation
« déterminée ». Elle est fixée à l'avance par les termes du
contrat et le prestataire n'est pas tenu de faire plus.
Si un débiteur est soumis à l'obligation de résultat, sa
responsabilité n'est pas à prouver. Le simple fait que le
résultat escompté ne soit pas obtenu prouve sa
responsabilité.
Exemple : la voiture qui sort de chez le garagiste ne
démarre pas, le résultat n'est pas obtenu, la responsabilité du
garagiste peut être engagée.
Le débiteur peut toutefois démontrer que la défaillance n'est
pas de son fait personnel, mais de celui d'une cause
extérieure.
Exemple : le garagiste n'a pas pu effectuer la réparation car
une inondation a dégradé son garage.
Les obligations de moyen : Dans le cas d'une obligation de
moyens, le débiteur doit mettre en œuvre tous les moyens
possibles pour obtenir un résultat, mais il n'est pas obligé
d'obtenir ce résultat. Toutes les professions médicales ou
libérales sont tenues à une obligation de moyens.
Exemple : un médecin n'a pas pour obligation de soigner un
malade, ce qu'il ne peut pas garantir, mais il doit tout mettre en
œuvre pour le soigner.
Si le débiteur ne respecte pas obligation de moyens, il
faut prouver sa faute pour faire jouer la responsabilité.

Exemple : en cas de décès d'un patient, la famille doit prouver


que le médecin n'a pas fait ce qu'il fallait.

L’objet sociétal est la nature de l’activité de l’entreprise, ainsi l’objet doit être
clair, précis et autorisé par la loi.
Un apport : c’est le pourcentage qu’apporte chaque associé à la société.
Le capital peut prendre 3 formes :
En nature : c’est le commissaire aux apports qui évalue leur valeur.
En numéraire et en industrie qui ne doivent pas dépasser plus de 25%.
La volonté c’est participer à la réalisation de l’objet.

A. La société en nom collectif

La société en nom collectif est une société de personnes et généralement une société
familiale. Cette société est commerciale par la forme et tous les associés ont la qualité de
commerçant. Les associés de la SNC peuvent être aussi bien des personnes morales que des
personnes physiques et sont au moins 2 .
Les associés peuvent faire des apports en nature (fonds de commerce, brevets, immeuble,
meubles, etc.), ces apports sont obligatoirement évalués dans les statuts par un commissaire
aux apports qui la sa mission est l’évaluation des apports en nature au capital d’une société.
Des apports en numéraire qui la loi n’impose aucun montant minimum, par virement ou
chèque. Ils peuvent également faire des apports en industrie et mettre à disposition de la
société leurs compétences, les connaissances, leur travail, etc. Ces apports ne sont pas
comptabilisés dans le capital de la société mais donnent droit à un certain nombre de parts
sociales.
Ainsi, la qualité d’associé en non collectif est interdite au mineur non anticipé, aux personnes
qui se trouvent dans une situation d’incompatibilité, ou ceux qui sont frappées d’une
déchéance commerciale.

La déchéance : personne qui a la capacite de


commerce mais suite à une faute '' émission de chèque
Incompatibilité : certaines activités sont
sans provision, fraude ...), il est interdit d’exercer le
incompatibles avec le commerce.
commerce pour une durée donnée. La durée minimum
est de 5 ans. Tel que les professions libérales et les
fonctionnaires.

Les conditions de formes : l’enregistrement au niveau du registre


de commerce pour qu’elle puisse s’identifier et la publication au
Bulletin Officiel et dans un journal d’annonces légales.

Le fonctionnement de la SNC
On y trouve deux types d’organes : les associés et les gérants. Selon les statuts de la
société, les uns vont administrer les affaires sociales, les autres vont contrôler cette gestion.

La gérance de la société en nom collectif


On peut choisir un gérant soit parmi les associées soit parmi les
salariées. Le 1er gérant doit être nommé dans les statuts tandis que le
futur gérant est nommé par l’assemblée générale. Il peut être un seul
gérant ou plusieurs
NB : Si aucun gérant n’est nommé par les statuts, la loi considère
alors que tous les associés sont gérants et qu’ils ont tous les pouvoirs
pour gérer la société

Les pouvoirs du gérant : si un problème est là c’est le gérant qui en est


responsable et c’est lui qui est convoqué au tribunal.
1. Convocation des associées pour les assemblées générales et la fixation de
l’ordre du jour des réunions des assemblées.
2. La préparation des états de synthèses
3. Informer et alerter les associés et les commissaires en cas de difficulté pour qu’ils
adaptent un plan de redressement ; est un plan qui vise à céder tout ou partie de
l'activité de l'entreprise en difficulté à un repreneur. Le plan peut être de deux types :

Plan
de continuation lorsqu'il a
pour objectif de redresser et Plan de cession, totale ou
de maintenir l'activité de partielle, lorsque l'activité ne
l'entreprise peut plus être poursuivie
dans les conditions
antérieures

Toutefois le pouvoir du gérant est limité par les statuts et donc il ne peut agir et engager la
société que dans la limite de ses pouvoirs.

Combien de personnes peuvent gérer une SNC ?


Il n’existe pas de minimum soit un seul gérant ou plusieurs gérants.
Quel sont les droits des associes au niveau de la SNC ?
a. Le droit à l’information et a la consultation : Avant chaque assemblée générale l’associé
dispose du droit de poser des questions écrites auxquelles le gérant devra répondre. Ainsi
a le droit de consulter les documents sociaux tel que les contrats de travail et les livres et
d’y prendre des copies.
b. Le droit de gérer : c’est-à-dire le droit à la participation à la gestion.
c. Le droit de cession de ces parts dans l’entreprise

Quel sont les obligations des associés au niveau


de la SNC ?
1. Les associes doivent être cosolidaires
2. Au moment de la constitution du contrat de la SNC tous les associés
ont l’obligation de respecter les conditions de forme concernant ce
contrat.
3. Assurer une responsabilité pénale (Abus de confiance,
Escroquerie, Infractions économiques, …) et fiscale.
Quels sont les avantages et inconvénients de la SNC ?
Avantages Inconvénients

Les associes sont Co solidaires et se connaissent entre eux La responsabilité est illimitée

Les charges au sein de la SNC sont minimes ça veut dire Les associes doivent être obligatoirement des
qu’elle n’est pas couteuse associés

Le capital est indéterminé Le mineur n’a pas sa place au sein de la SNC

Ne participe pas à la démocratisation de la


La possibilité de changer la forme juridique répartition des richesses vu qu’ils ne créent de la
richesse que pour eux-mêmes

Les formalités de créations de la SNC sont simples Le taux de création d’emploi est faible

Difficulté de cession des parts ainsi que la


Le choix d’imposition a l’is ou à l’ir
procédure de cession est rigide

Comment fonctionne la SNC ?


La SNC fonctionne de la manière suivante :

Un organe de la délibération Un commissariat aux


qui est l'assemblée générale comptes au cas où le capital
Un organe d’exécution qui
dépasse les 50 millions de
est le bureau exécutif élu par
DH
l'assemblée générale

Il existe deux types d’assemblées générales au niveau de la SNC


1. L’assemblée générale ordinaire : est une réunion annuelle qui rassemble les
associés ou actionnaire d’une société, afin qu’ils se prononcent sur les
décisions prises au cours de l’année précédente.
Ces attributs peuvent être définit de la façon suivante : la nomination du
gérant, la nomination d’un commissaire aux comptes, l’approbation des états
de synthèses, la répartition des dividendes et toutes les questions qui ne
nécessitent pas la modification des statuts.
2. L’assemblée générale extraordinaire : c’est une réunion qui a lieu a chaque
fois il y a des modifications et ceux dans les cas suivants :
en cas d’augmentation du capital ou en cas de sa diminution , en cas de
transfert du siège sociale ( qui a une fonction juridique à la fois servir
comme le lieu de correspondance et a la fois une fonction de rattachement au
territoire de l’entreprise ) , en cas de fusion , en cas de changement de
dénomination sociale , , en cas de départ de l’un des associes , au cas
d’arrivée d’un nouvel associé , au cas de révocation du gérant , au cas de
changement de l’activité , l’ouverture d’une nouvelle succursale , Et en
cas de dissolution de la société .

Quels sont les cas qui amènent à la dissolution de la SNC ?

Le décès de l’un des associés

En cas de changement de
forme juridique de la SNC

En cas de fusion
En cas de faillite et au cas ou
la durée de vie de la SNC
dépasse 99 ans
Séance numéro 3 : les relations de travail
Il existe deux types de relations de
travail :

Relation individuelle : elle concerne les relations Relation collective : est l’ensemble de règles qui
contractuelles employeur / salarié dans le cadre du régissent la relation entre les salariés et leur
contrat de travail. représentant ‘’ ceux elus par les salaries
notamment le deleguee de personnel’’ ou par ‘’les
syndicats’’, et la relation avec l’employeur.Ces
règles visent à assurer l’expression et la défense
collective des intérêts professionnels des salariees
et de leur droit en matière de :

Comme déjà expliqué les relations individuelles de travail s’expliquent par la forme de contrat
de travail : ces contrats de travail sont de 3 types

La CDD : contrat Contrat à temps partiel


durée déterminé
Est conclu avec un
N’est possible que salarié dont la durée du
pour l’exécution travail est inférieure à
d’une tâche précise CDI : contrat durée
la durée – légale ou
et temporaire. indéterminée
conventionnelle –
il ne prévoit pas la pratiquée dans
date à laquelle il l’entreprise.
prend fin
Les règles spéciales du CDD

La durée d’un CDD ne peut être supérieur à 24 mois renouvelable une seule
fois. Exemple : un salarié travaille selon un CDD (durée 12 mois). La question
qui se pose en cas de renouvellement du contrat de ce salarié quel sera la durée
maximale de ce renouvellent ?
La durée de renouvellement sera 24 mois -12 mois du 1 er contrat = 12 mois.

EST-CE QUE LA CDD PEUT SE TRANSFORMER EN CDI ?


Oui la CDD peut se transformer en CDI.

DANS QUELS CAS OU SITUATION PEUT -ON EMBAUCHER SOUS CONTRAT A DUREE
DETERMINEE / L’ENTREPRISE PEUT RECOURIR A UNE FORME CDD ?

Activité saisonnière
Replacement d’un salarié Un
Sont notamment concernées salarié embauché en contrat
les secteurs agricoles, les à durée déterminée peut
industries agroalimentaires et remplacer tout salarié absent
tourisme. de l’entreprise quel que soit
le motif de l’absence
(maladie, congés, etc.), sauf
s’il s’agit d’une grève. Lancement
d’un nouveau
produit

Augmentation temporaire de la production / de


l’activité de l’entreprise
Cela peut être l’augmentation d’activité d’une
station-service pendant la période estivale,
l’augmentation d’activité des services
comptables d‘une entreprise pendant la
période du bilan, l’augmentation d’activité
d’un commerce pendant une période de
soldes, le lancement d’un nouveau produit
Pourquoi la CDD n’est pas renouvelable ?
La CDD n’est pas renouvelable pour arriver à absorber le chômage et créer les
emplois.

Quels sont les avantages et inconvénients du CDD ?


Avantages Inconvénients
Il n’y a pas de coût de licenciement si Pour le salarié le CDD est synonyme
le salarié ne convient pas : il suffit d’instabilité professionnelle, ainsi
d’attendre la fin de son contrat. difficulté d’avoir de l’expérience.
Ainsi difficultés d’envisager une
carrière professionnel
Offre de la flexibilité à l’entreprise : il Il n’y a pas de possibilité de rompre un
est possible de prendre un CDD en CDD avant son terme sauf accord
cas de fluctuation de l’activité et de entre les parties, force majeur, faute
surcroît de travail. Quand l’activité professionnelle ou pendant la période
baisse, le CDD n’est pas renouvelé. d’essai.
Impossibilité de l’employeur de Cout élevée de formation pour une
licencier le salarié avant la fin du entreprise qui a tendance à recruter
contrat : même en cas de maladie ou des CDD successifs sur un même
de difficultés financières de la part de poste
l’entreprise.
Les salariés en CDD peuvent être
moins motivés que ceux en CDI s’ils
savent que les perspectives
d’embauche en CDI sont faibles voire
inexistantes. Cette démotivation peut
se traduire par des arrêts de travail,
des absentéismes et une baisse de la
productivité.
Pas de pension de retraite pour le
salarié

Les règles juridiques du CDI


Est-ce que le CDI peut s’arrêter définitivement ?
Oui il peut s’arrêter définitivement soit

Suspension provisoire : elle peut être soit


A l’initiative de l’employeur tel que la mise à
pied pour raisons disciplinaires
Soit à l’initiative du salarié tel que l’Arrêt
maladie, Congé maternité,, accident du travail… Suspension définitive : il s’agit de licenciement
Ce licenciement peut être soit
Individuelle ou collectif.
Ou par la démission .

Quels sont les motifs du licenciement


collectif et du licenciement individuelle ?

☻ Le licenciement est une rupture du contrat de travail à l'initiative


de l'employeur.
☻ à l'inverse la démission (Est à l'initiative du salarié qui peut
notamment écrire une lettre de démission )
☻ quand a la rupture conventionnelle (elle nécessite l'accord
des deux parties)

Le motif du licenciement doit être réel c’est-à-dire que les faits doivent être
exacts et vérifiables, mais aussi sérieux : les faits doivent être suffisamment
graves.
1. Licenciement pour motif économique, Il peut être
invoqué si l'entreprise :
☻ Fait face à des difficultés économiques , baisse
des commandes et de la diminution du chiffre
d'affaires
☻ Est en cessation d'activité (totale et définitive)
☻ Doit supprimer des emplois pour les raisons
listées ci-dessus.
☻ Fait évoluer les missions d'un poste et que le
salarié n'arrive pas à s'y adapter
☻ Modifie le contrat de travail et que le salarié ne
donne pas son accord.

2. Licenciement pour motif personnel, Il peut etre pour une faute


grave.
La faute grave de travail peut être définit comme un acte qui
freine la liberté de travail et qui perturbe le système au lieu
du travail, lorsque le salarié viole les obligations de son
contrat de travail ou lorsqu’il commet intentionnellement une
faute pour nuire à l'employeur.
Exemple de faute grave : abandon de poste(absence successif
de 4 jours) , vol du matériel ou des documents , les insultes et
les injures divulgation du secret professionnel détérioration
du matériel violence verbale ou physique ,fausses
déclarations ..

Quelle procédure à suivre par l’employeur en cas de licenciement justifiés ?


a. Respecter la hiérarchie des sanctions

1. L’avertissement doit être écrit et envoyée à la fois a l’inspecteur de


travail et à l’adresse du salarié que l’entreprise veut licencier, celui-ci a
un délais de 15 jours pour envoyer une réponse et se défendre.
2. Le blâme est la mise à pied ; elle permet d'écarter un salarié
temporairement de son poste de travail.
4. la sanction

3. le transfert

2. le blame

1. l'avertissement

3. Le transfert : c’est la mutation qui est une sanction disciplinaire lourde


ayant pour conséquence de changer le lieu de travail du salarié
concerné.
4. La sanction : licenciement.

Ps : Pour le cas des fautes graves on procède directement à la sanction.


Le salarié ne se rend plus au travail et cesse d'être rémunéré pendant la
procédure de licenciement.

b. Informer le salarié concerné et le convoquer


Il aura lieu a une réunion en la présence du délégué du personnel, et
de l’employeur afin de donner la parole au licencié pour se
défendre et enregistrer un PV. Si l’entreprise ne donne pas au
salarie le droit de se défendre il va s’agir d’un licenciement abusif
même si l’entreprise a toutes les preuves.

Est-ce que le licencié pour faute grave a droit d’avoir ou de recevoir des
indemnités de licenciement ?
Non le licencié pour faute grave n’a pas droit de demander et de recevoir les
indemnités de licenciement ?

Quel sont les barèmes concernant les indemnités de licenciement ?


Il existe deux barèmes de licenciement pour faute non grave.
Entre 1 ans a 3 ans …. L’indemnité = (150%* le salaire mensuelle) *le nombre
d’année.

Exemple : calculer les indemnités d’un salarié qui a travaillé 24 mois et qui
recois 5000 DH par mois (salaire brut et non pas le net)
I= (5000*150%) *24/12 = 15 000

Infos à retenir dans le droit de travail marocain on travaille


44h par semaine 196 h par mois 8h par jour et 26 jours par mois

Remarque : au délai de 6 mois on considère les 6 mois comme une année


Exemple 1 ans et 7 mois = 2 ans

Exemple : un salarié a travaillé 18 mois avec un salaire de 60 DH par heure.


I = (196*60*150%) *18/12 = 26 460.

2ème barème :
5 ans …. 96 h
De 6 ans a 10 ans …. 144 h la différence entre un barème et l’autre est
De 11 ans a 15 ans …199h de 5 ans.
+de 15 ans …. 240 h

Exemple : calculer l’indemnité de licenciement d’un salarié qui a travaillé 8 ans


et qui recois un salaire de 6000 par mois.
Etape numéro 1 : convertir le salaire mensuel en un salaire par heure.
Salaire mensuelle / 196 …. Le salaire par heure = 6000/196 = 30.61 DH par
heure.
Indemnité = [(5*96) + (3*144)] * 30,61 = 27 916.32
Si par exemple la durée de travail était de 11 ans
Indemnité = [(5*96) +(5*144) +(1*199)] *30.61=42 823,39
Si par exemple la durée était de 25 ans
Indemnité = [ (5*96)+(5*144)+(5*199)+(10*240) ] * 30.61 = 140 652,95.

Cas spécial
Exemple : calculer l’indemnité de licenciement d’un salarié ayant travaillé 4 ans
pour un salaire mensuelle de 6000.

Dans ce cas on va combiner entre le barème numéro 1 et le barème numéro 2

Indemnité = (6000*150%) *3(3 ans louwlnia) + (1*96) *30,61 =29 938,56.

En cas de non préavis l’employé a l’obligation de verser aux salaries une


indemnité de non préavis qui est égale à 1 un mois de salaire.

Ainsi ce type de licenciement est appelé licenciement hors faute on distingue :

☻ Le licenciement pour inaptitude (insuffisance de résultats, mésentente


salarié/employeur...)
☻ Le licenciement pour maladie (le salarié est inapte à exercer son emploi)
☻ Le licenciement pour accident du travail
☻ Le licenciement pour insuffisance professionnelle (incompétence)

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