Sie sind auf Seite 1von 2

LES MIRACLES SCIENTIFIQUES DE DIEU

DANS LE CORAN

L'EXISTENCE DE SOCIETES ANIMALES

Des études faites récemment ont démontré que les animaux et les oiseaux vivent dans le cadre
de sociétés séparées. Des travaux à grande échelle ont montré qu'il existe systématiquement
une vie sociale chez les animaux.

Les abeilles, par exemple, dont la vie sociale surprend les scientifiques, construisent leurs
ruches dans le creux des arbres ou d'autres zones couvertes. Une colonie d'abeilles est
composée d'une reine, de quelques centaines de mâles et de 10 à 80.000 ouvrières. L'unique
reine de la colonie a pour tâche essentielle de pondre des oeufs. De plus, elle sécrète des
substances importantes qui maintiennent l'unité de la colonie et permettent au système interne
de la ruche de fonctionner. La fonction des mâles est de féconder la reine. Toutes les autres
tâches - telles que produire du miel, construire le nid, rassembler la nourriture, fabriquer la
gelée royale, réguler la température de la ruche, la nettoyer et la défendre - sont exécutées par
les ouvrières. Il y a de l'ordre dans chaque phase de la vie d'une ruche. Toutes les tâches,
depuis celle de soigner les larves jusqu'à celle de fournir la ruche en provisions diverses sont
exécutées sans faille.

En plus de compter le plus grand nombre d'individus dans le


monde, les fourmis font preuve d'une discipline qui peut servir
d'exemple aux êtres humains dans de nombreux domaines : la
technologie, le travail collectif, la stratégie militaire, les réseaux de
communication avancés, une hiérarchie bien établie, de la
discipline et un aménagement sans faille des "villes". Les fourmis
vivent dans des sociétés appelées également colonies, où règne un
tel ordre que l'on peut les assimiler à une civilisation comparable à
celle des êtres humains.

Les fourmis non seulement produisent et stockent leur nourriture,


mais elles s'occupent également de leurs "petits", défendent la colonie, et font la guerre à leurs
ennemis. Il existe même des colonies qui font de la "couture" avec la soie des larves, de
"l'agriculture" et même "l'élevage d'animaux". Ces insectes disposent d'un réseau de
communication très développé. Leur organisation sociale et leur expertise sont de loin
supérieures à celles de tout autre être vivant. (Voir Le miracle de la fourmi, Harun Yahya,
Editions Al Madinah, Lyon, 2003)

Les animaux vivant en communauté organisée réagissent ensemble face au danger. Par
exemple lorsque des oiseaux de proie tels que les faucons ou les hiboux entrent dans la zone,
les oiseaux plus petits encerclent en masse ces oiseaux. Ensuite, ils émettent un son pour
attirer l'attention de leurs congénères. Le comportement agressif des petits oiseaux suffit à
éloigner les oiseaux de proie.156

Une volée d'oiseaux protége ses membres de la


même façon. Par exemple, une volée d'étourneaux
ménage une grande distance entre ses membres.
Cependant, lorsqu'ils aperçoivent un faucon, ils se
rapprochent les uns des autres. Dès lors, le faucon peut difficilement se fondre sur la volée. Et
si le faucon fait malgré tout une tentative, c'est à son propre détriment. Ses ailes seront
mutilées et il sera incapable de poursuivre la chasse.157 Les mammifères agissent aussi de
concert lorsque le groupe est attaqué. Par exemple, les zèbres installent leurs petits au milieu
du troupeau lorsqu'ils tentent d'échapper à ses prédateurs. Les dauphins nagent aussi en
groupe et combattent leur plus grand ennemi, le requin, en groupe.158

D'innombrables exemples et de très nombreux détails concernant la vie sociale des animaux
existent. Les informations recueillies sont le résultat de longues années de recherche. Comme
nous l'avons vu, les informations fournies par le Coran à propos des animaux, aussi bien que
tous les autres sujets, montrent que le livre de l'Islam est la parole de Dieu.

156. Edward O. Wilson, Sociobiology: The New Synthesis (Angleterre, The Belknap Press of
Harvard University Press, 1975), p. 123.
157. Russell Freedman, How Animals Defend Their Young (USA, Penguin USA, 1978), p.
69.
158. Ibid., pp. 66-67.

Das könnte Ihnen auch gefallen