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HISTOIRE DE LA MEDAILLE MYSTERIEUSE

Saint Guilles né vers 640 était athénien de race royale. Pour mieux se sanctifier, il quitta tout jeune sa
patrie pour aller se cacher au fond des forêts. Il vint en France à l’embouchure du Rhône, au Diocèse
d’Arles. Puis, pour échapper à la vénération qui le poursuivait, il passa le Rhône et se réfugia dans une
grotte, où il rencontra un saint vieillard, du nom de Vérédème, athénien comme lui. Cette grotte se
trouve en Provence, sur les bords du Gardon, près de Saint-Sanilhac, non loin de collias,
arrondissement d’Uzès (Gard). Ses miracles le chassant de nouveau, il quitte son saint ami Vérédème
et s’en va à quatre lieux de Nîmes, au milieu d’une forêt, près de la ville actuelle de Saint Gilles (Gard).
C’est là que le découvre le roi des Visigots « Flavus Wamba » poursuivant la biche du saint Anachorète
et qui le blesse à la main. Le roi construisit pour lui un grand monastère dont Saint Gilles fut le premier
abbé. Le saint mourut le 1er septembre 721, son compagnon saint Vérédème mourut évêque
d’Avignon et on le fête le 31 août. C’est dans la grotte de saint Vérédème et saint Gilles que nous avons
trouvé gravé pour eux dans la pierre du rocher cette figure de la Divinité ; car tous les deux avaient fait
des études approfondies, ils connaissaient les traditions antiques et la science ésotérique de leur
temps. Dans leur grotte dépourvue de tout bien-être, ils n’avaient d’autre signe religieux que cette
expression de l’Etre Infini, qu’ils ont contemplée et méditée pendant des années.

EXPLIQUONS-LA UN PEU ET LE BUT EN SE LA PROCURANT

Première face de la médaille : un triangle avec trois croix.

S.E. le Cardinal Richard, archevêque de Paris, nous dit sans rire : « mais c’est le triangle Franc-maçon ».
On lui répondit : « vous oubliez, Éminence, que ces sectaires fanatiques, signes de notre religion qu’ils
veulent détruire, nous ont emprunté nos rites et nos signes. Il n’y a qu’à reprendre ce qui nous
appartient : le triangle dans l’église, l’image de la Trinité Sainte. Quand vous bénissez vos fidèles, ne
faites-vous pas, avec la majesté qui vous distingue, trois grands signes de croix en disant ce que vous
pouvez lire autour de cette médaille « in nomine Patris, et Filii et Spiritus Sancti » ? » Le bon Cardinal
nous répondit : « Monsieur, vous avez raison. » Pour parler sérieusement, toutes les franc-
maçonneries du monde ont eu une raison primitive et légitime d’existence et d’opposition. Elles se
sont écartées du but qui était le rétablissement de la synarchie et du souverain pontifical débarrassé
de tout Césarisme en lui comme en dehors de lui. A tous ceux qui ont un rayon de vérité, non pour les
absorber, que chacun garde ses convictions son organisation.

La vérité des formes n’exclut pas l’unité de la pensée, au moins sur un point commun qui est
essentiel à l’existence de l’humanité : la Fraternité Universelle établie par le règne de Dieu.
Deuxième face de la médaille :

Le T, première lettre du Tétragrammaton, signifie :

1. Nom sacré composé de quatre lettres : I Ē V Ē, lequel a une signification profonde, que les
initiés seuls peuvent entrevoir.
2. La croix est le verbe.
3. Le Ψ, première lettre de Ψ U X Π, signifie Esprit.
4. La Synarchie Trinitaire de l’infini et des Mondes.

L’exergue est cette parabole des évangiles, qui est notre devise :

« Nil occultum quod non scietur » (Il n’est rien de caché qui un jour ne sera révélé).

En d’autres termes, l’occulte est la science déjà acquise pour certaines âmes privilégiées,
espacées dans le monde qui se joignent sous le souffle de l’esprit qui les pousse à remplir leur mission
de soulager et d’illuminer leurs frères.

Elle se porte ostensiblement, de préférence en breloque, puisque c’est un bijou, afin que nous
puissions, nous les guérisseurs, nous protéger et se détourner des influences mauvaises de dessus les
personnes ou les animaux.
BENEDICTION DE LA MEDAILLE

A faire soi-même ou par un prêtre.

Image, statuette, signe en l’honneur de Dieu ou de N-S-J-C, de la Sainte Vierge ou des autres saints.

† V). Notre aide est dans le nom du Seigneur,


R) Qui a créé le ciel et la terre.
V) Seigneur, exaucez ma prière,
R) Et que mon cri monte jusqu’à vous.

Prions : Dieu Tout-Puissant et Eternel, qui ne nous défendez pas de tailler ou de peindre les images ou
figures de vos Saints, faites que chaque fois que nous les regardons des yeux du corps, nous cherchions
par les yeux de la mémoire à imiter leurs actes et leur sainteté ; daignez, nous vous supplions, † bénir,
† et sanctifier cette image (ou figure) faite en l’honneur de Notre Seigneur Jésus-Christ, votre Fils
Unique, ou de la bienheureuse Vierge Marie, Mère de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Ou du bienheureux N…, votre apôtre,


Ou du bienheureux N…, Martyr,
Ou du bienheureux N…, Evêque,
Ou du bienheureux N…, Confesseur,
Ou du bienheureux N…, Vierge,
Ou du bienheureux N…, Martyre, etc.

Et accordez à quiconque aura soin de prier avec dévotion devant cette image en honorant votre Fils
Unique,

Ou la bienheureuse Vierge,
Ou le glorieux apôtre, Saint N…,
Ou le glorieux Martyr, Saint N…, etc.,
Ou la glorieuse Vierge, Sainte N…,
Ou la glorieuse Martyre, Sainte N…, etc.,

En vertu de ses mérites et par votre faveur, toutes les grâces en cette vie, et la gloire Eternelle dans
l’autre.

Par N-S-J-C.

Ainsi soit-il !

Prions : Dieu Tout-Puissant et Éternel, nous supplions humblement votre Majesté de daigner † bénir,
† et sanctifier † cette image qui représente la glorieuse figure de votre Fils notre Seigneur Jésus-Christ,
Ou de la glorieuse Vierge Marie, mère de N-S-J-C, Ou de Saint N…, Afin que quiconque, pour sa défense,
s’inclinera pieusement devant cette image pour Vous adorer en la vénérant, obtienne la santé de
l’esprit, la guérison du corps, la délivrance de tout péril, la guérison du corps, la délivrance de tout
péril, en un mot que vous lui accordiez tout ce qu’il vous demandera selon la justice. Par le même N-
S-J-C. Ainsi soit-il !

Aspergez d’eau bénite.

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