- Vigilance des zones humides (passage des oiseaux migrateurs): lac
de Grand-Lieu
- La migration dans le sens nord-sud mais aussi est-ouest (10%)
- Procédé de prélèvement :
a) Ne pas stresser l’animal (tête dans le noir)
b) Plume du ventre (analyse ADN et isotopiques)
c) Bâtonnet (prélèvements des matières fécales)
- Exemple : Au moins 90.000 canards et oies transitent le lac chaque
hiver
- La période la plus à risque : fin février (hiver-printemps)
Problèmes économiques (texte 2 et 3)
TEXTE 2
- Consommation de volaille en baisse (25% de moyenne en France)
- L’emploi fixe n’est pas encore affecté, mais il y a des moins en moins intérimaires
- Le poulet frais plus touché que celle congelé. Solution : congélation
des produits d’abord destinés au frais
TEXTE3
- La crise de la consommation de volaille reste limitée aux premiers
effets dus à la pression médiatique
- Le niveau de ventes pour les fêtes est à peine inférieur à celle de
l’année précedente
- La situation est toujours tendue à cause des stocks
Risques sanitaires (texte 4)
- 58 départements avec mesures de confinement des volailles
(seulement 2 départements sans mesures prises) zones à risque
- Les volailles doivent rester dans des bâtiments fermées ou a
minimum manger et boire á l’intérieur
- 1500 contrôles pour l’instant, aucun cas registré
- Il va falloir analyser l’impact clinique et épidémiologique dans l’avenir
LA GRIPPE AVIAIRE : RISQUE SANITARIE ET ÉCONOMIQUE AU NIVEAU MONDIALE
La grippe aviaire est devenue un problème pour la santé et pour
l’économie dans le monde entiers. Ce nouveau virus peut avoir conséquences imprévues sur la santé humaine et, au même temps, représente déjà une baisse dans la consommation des volailles. Et pourtant un risque économique pour le secteur alimentaire.
Au début, la crise dans le secteur alimentaire a donné lieu à une
descente du nombre d’intérimaires et a augmenté le risque d’affecter aussi les emplois fixes. Les produits frais étaient les plus touchés. Pourtant, les entreprises ont décidé de congeler des produits d’abord destinés au frais. Mais une fois que les premiers mois se sont passé, la consommation des volailles a remonté jusqu’au niveau de l’année précédente.
Regardant les risques sanitaires, le gouvernement français a mis en
place des mesures de confinement des oiseux dans tous les départements sauf Morbihan et Sarthe. Les zones humides sont surveillées en profondeur. Pour l’instant, 1500 ont été déjà effectués sans registrer un seul cas positif. Le risque de pandémie augmente les mesures de précaution.
Dans mon point de vue, la grippe aviaire est une exagération de la
réalité. Les pharmaceutiques ont profité la peur sociale aux épidémies pour avoir encore plus de profits. La possibilité d’une mutation virale est énorme, mais on ne peut pas contrôler tous les réactions biologiques existant dans la nature. L’interaction entre les animaux domestiques comme les oiseaux, porcs, vaches, et l’être humain doit être faite suivant protocoles de sécurité sanitaire pour éviter au maximum la possibilité de transmission des maladies. En tout cas, l’existence de contagions ponctuelles ne doit pas provoquer une situation de panique au niveau mondial. Il est toujours impossible de stériliser le monde entier.