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OFFSHORING

Chapitre 1 : La présentation du secteur


Généralités sur l’offshoring :

La délocalisation est le fait, pour une entreprise, de transférer une partie de ses biens, capitaux
ou activités dans un autre lieu, généralement d'un pays d'origine vers un pays étranger. Il peut
également être question d'un transfert au sein d'un même pays entre zone urbaine et zone rurale
par exemple.

S'agissant des transferts internationaux, le phénomène est apparu dans le cadre de la


mondialisation économique engagée depuis la seconde partie du XXe siècle. On parle également de
globalisation des échanges, dans le vocable économique.

En fait, la délocalisation n’est pas un phénomène nouveau. Au fil des années, on peut en trouver
toute une série d’exemples marquants. Déjà dans les années 20, des firmes américaines et anglaises
procédaient à l’assemblage d’automobiles en Australie. Dans les années 60, des entreprises
étrangères ont aussi massivement investi en Belgique. Par manque de main- d’œuvre qualifiée,
l’industrie horlogère suisse a déplacé, au début des années 70, une partie de sa production vers
Hong-Kong. A peu près à la même époque, les fabricants allemands de vêtements ont été les
premiers à transférer une partie de leur production vers la Tunisie. A partir de 1965, et plus
particulièrement dès le milieu des années 1980, les Etats-Unis ont investi et produit massivement au
Mexique (Maquiladoras) étant donné la présence de main-d’œuvre bon marché. La délocalisation
n’est vraiment devenue un sujet de discussion qu’à partir du moment où les constructeurs
automobiles japonais ont commencé à transplanter des unités de production aux Etats-Unis.

Cette délocalisation intervient pour diverses raisons stratégiques. Il s'agit d'un processus qui
nécessite un examen minutieux avant d'être engagé.

  On parle généralement de raisons d'ordre économique : la délocalisation est réalisée vers


des pays où la main d'œuvre est moins chère, parfois plus abondante également. Mais cela
peut être également une question de stratégie de rapprochement de matières premières, ce
qui évite des coûts de transport. 

 Il peut y avoir un aspect juridique. C'est le cas lorsque le transfert d'activité a lieu vers un
pays où le droit du travail est moins réglementé que celui du pays d'origine.

 Enfin, des questions d'ordre technologique peuvent être évoquées : tel est le cas du


rapprochement d'un pôle de compétitivité étranger, bénéfique à l'activité (exemple de la
proximité de la Silicon Valley, en Californie, qui attire les entreprises liées aux nouvelles
technologies).
Avantages de la délocalisation

Avantages économiques et fiscaux

Ils sont principalement d'ordre économique. Il est généralement question d'une


réduction des coûts de l'activité et de la maximisation des profits réalisés, à
grande échelle. Cette économie intervient principalement sur le salaire des
employés. L'économie se traduit autant dans le versement d'un salaire réduit que
dans la réduction ou exemption de charges sociales liées aux emplois.
Les structures sur place peuvent également être moins onéreuses. Ce peut être
le cas pour la location d'une usine, des entrepôts ou encore des machines.

 L'intérêt peut également être fiscal : le pays d'accueil peut ainsi consentir des
avantages fiscaux (comme des déductions) à l'entreprise qui s'implante et qui
crée des emplois. Le coût fiscal local peut aussi s'avérer moins élevé que dans le
pays d'origine (absence de contribution foncière par exemple).

Avantages juridiques

L'intérêt juridique se concrétise de plusieurs manières. En cas de transfert à


l'étranger, les contrats signés par l'entreprise avec les employés locaux sont
soumis au droit du pays en question. Certains pays ont des législations plus
contraignantes que d'autres. Le droit français du travail est vu comme
particulièrement contraignant par les employeurs. La délocalisation peut ainsi
être un facteur de « flexibilité du travail ».

Autre exemple d'intérêt en matière juridique, une société peut transférer son
activité dans un pays qui exige moins de normes dans une usine eu égard à son
impact sur l'environnement.

Inconvénients de la délocalisation
Il existe en contrepartie du nombre important d’avantages qu’offrent les
procédures de délocalisation, quelques inconvénients à prendre en compte avant
de procéder :

 Problème des différences culturelles : concernent généralement les


délocalisations de services. L’interlocuteur peut en effet être gêné par un
accent, une maîtrise limitée de la langue…
 
 Perte du contrôle de l'activité : dans la mesure où la supervision est
relativement plus limitée dans les pays de délocalisation
 
 Risque au niveau de la qualité du produit : beaucoup de cas ont été
recensés notamment pour les usines de production de jouets délocalisés
en chine, qui en plus d’être de très mauvaise qualité sont nocifs pour la
santé.
 
 Risque d’échec de l’opération lorsque celle-ci est trop complexe pour être
délocalisée. Dans ce cas, les risques sont très grands pour l’entreprise qui
risque de perde son capital investissement.
 
 Risque de non-respect des délais : surtout dans les pays ou la contrainte
de transport est pesante.
 
 Risque de nuire à l’image de la société si le service ou produit est de
mauvaise qualité.
 
 La pollution : c’est un facteur non négligeable qu’il faut prendre en
compte, surtout que certains pays sont assaillis par les usines délocalisées
très polluantes. Les organismes de protection de la planète deviennent de
plus en plus influents et risquent de s'en prendre à l’image de l’entreprise.

Les formes de la délocalisation


Le terme délocalisation englobe plusieurs aspects et le définir par un seul
terme reviendrais à donner une définition erronée, c’est pour cela que nous
allons essayer de relever toute les formes de délocalisation pour ainsi toucher
son vrai sens. La délocalisation, comme elle est définie n’est pas limité
seulement à l’externalisation de la production, mais aussi elle touche toutes les
composantes liées au processus de production que ce soit l’approvisionnement,
la distribution mais ainsi la transformation. Comme exemple, une entreprise qui
décide de changer son fournisseur local par un autre d’un pays étranger plus
précisément proposant des prix inferieur à celui du fournisseur local, cela peut
aussi être considéré comme une forme de la délocalisation, puisque le
fournisseur local aura un manque à gagner et à son tour il devra licencier ses
salariés pour qu’il puisse poursuivre son activité, c’est pour cette raison qu’on
devra prendre en considération, les délocalisation direct, indirect, mais aussi
d’autre appelés « la non localisation » ou délocalisation par défaut..

La délocalisation directe sont les plus concrètes et visibles, car elles sont dans
la plus par des cas médiatisés, mais aussi accompagnées par des licenciements
et des plans sociaux, décisions qui sont jugées économiques et normal pour la
pérennité de l’entreprise en question, dans cette situation l’entreprise délocalise
soit une partie ou la totalité de ses unités de production dans d’autre pays
représentants des avantages particuliers pouvant augmenter la compétitivité de
cette dernière.

La délocalisation indirecte vu à travers l’entreprise qui décide de changer de


fournisseur local par un fournisseur étranger, et c’est par cette étape bien
précise que le processus de délocalisation commence, l’entreprise commence
d’abord par changer de fournisseur, après elle soustraite une partie de sa
production et enfin de compte elle finit par tout externaliser et ne garde que les
activités centrales et décisionnel.

Et en dernier lieu les délocalisations par défaut, cet aspect relève de la


production de produit nouveau pour la première fois, mais dans des pays
différents à celui du pays mère, cela bien sûr n’a aucun effet sur les emplois
nationaux, puisqu’il y’avait pas d’unité de production, ni de salariés qui
fabriquaient ce produit, mais néanmoins cela représente un manque à gagner en
termes d’emploi pour la pays mère.

La mondialisation et la délocalisation :
La planète est affectée de plus en plus par un processus de mondialisation : les marchandises et les
services, les informations et les capitaux, les hommes n’ont jamais autant circulé.

La mondialisation constitue un processus d’extension progressive du capitalisme à l’ensemble du


monde. Il débute au XVIe siècle avec les Grandes Découvertes qui mettent en relation l’Ancien
monde et le Nouveau monde. L’Espagne et le Portugal construisent de vastes empires, Madrid et
Lisbonne deviennent les centres du monde et l’Océan Atlantique remplace la Méditerranée comme
lieu essentiel des échanges. Cette première mondialisation est celle du capitalisme marchand, c’est-
à-dire que les échanges commerciaux s’effectuent à l’échelle mondiale et non plus à l’échelle
régionale. Par la suite, au XIXe siècle, en lien avec la colonisation et l’industrialisation européennes,
débute la deuxième phase de la mondialisation qui est celle de la mondialisation du capitalisme
industriel. Londres et le Royaume-Uni deviennent le centre d’une première économie-monde. Les
échanges augmentent en volume et se met en place une première division internationale du travail
entre les pays colonisés fournissant les matières premières et les pays industrialisés transformant ces
matières premières en produits manufacturés qu’ils commercialisent ensuite dans le monde. Enfin,
après 1945, débute une troisième phase, celle de la mondialisation financière, c’est-à-dire que le
secteur financier domine les autres secteurs de l’économie. Le centre du monde se déplace vers les
Etats-Unis qui deviennent la nouvelle économie-monde. Après 1990, cette mondialisation financière
s’accélère avec l’effondrement du bloc soviétique et l’affirmation de puissances émergentes dans
une économie-monde devenue multipolaire.

Tout d’abord, les trois phases de la mondialisation ont bénéficié de révolutions dans les
transports et dans les moyens de communication qui ont progressivement contracté l’espace-temps
et l’espace-coût. Au XVe siècle, c’est l’invention de la caravelle qui permet les voyages
transatlantiques puis, au XIXe siècle, l’apparition de la navigation à vapeur facilite une première
maîtrise des routes transocéaniques. Enfin, au XXe siècle, la conteneurisation et la spécialisation des
navires favorisent les échanges maritimes (3/4 du volume et 2/3 de la valeur). Le transport aérien
connaît une évolution similaire avec la généralisation des moteurs à réaction puis la construction
d’avions à grande capacité et, enfin, la multiplication des compagnies à bas prix. La diffusion du
télégraphe au XIXe siècle, du téléphone fixe au XXe siècle, d’Internet et de la téléphonie mobile au
XXIe siècle (plus de 2 milliards d'internautes contre 500 millions en 2000 et près de 6 milliards de
téléphones portables en circulation en 2011), démocratise l’accès aux télécommunications et relie la
quasi-totalité du monde de plus en plus rapidement. Ensuite, la mondialisation est soutenue par la
diffusion de politiques libérales. Les Etats, en effet, adoptent des politiques favorisant la libre-
circulation des marchandises, des capitaux et des hommes par exemple en abaissant les tarifs
douaniers ou en créant des paradis fiscaux et des zones de libre-échange. Par la conjonction de ces
facteurs, la mondialisation a organisé le monde.

Le GATT (Accord général sur les tarifs douanier et le commerce), institué en 1947, a entraîné
huit cycles de libéralisation des échanges. Le " cycle d’Uruguay ", achevé en 1994, a conduit à la
création de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Toutefois, le " cycle de Doha " initié en
2001 et destiné à poursuivre la libéralisation des échanges s’est heurté au protectionnisme des pays
développés dans le domaine agricole et au refus des puissances émergentes d’ouvrir leur marché à
certains produits industriels. On assiste donc actuellement à un certain blocage dans le processus de
globalisation des échanges.

L’effet de la mondialisation est le plus sensible dans le domaine des flux informels.
L’information et les capitaux circulent de plus en plus vite – plus facilement que les hommes et les
biens matériels – et sur des distances de plus en plus grandes.
L’information est devenue un outil de travail, un facteur de production aussi important que la
main-d’œuvre et les capitaux, notamment pour les firmes multinationales ou les grands organismes
bancaires internationaux.

Mais elle influence aussi très largement la stabilité des gouvernements et des états-majors
militaires ainsi que les sociétés du monde entier. Aujourd’hui, chacun peut émettre une information
que le monde entier peut recevoir de manière quasi instantanée. Les flux de capitaux, licites ou
illicites, circulent dans un espace financier international bien balisé.

S’appuyant sur les progrès dans les technologies d’informatique et de communication,


permettant un fonctionnement du marché 24 heures sur 24, les flux financiers sont devenus
colossaux (de 1 500 à 3 200 milliards de dollars sont échangés quotidiennement ce qui représente
cent fois les besoins du marché commercial et des services). Parmi ces flux, on distingue pour
l’essentiel des investissements directs à l’étranger (IDE) et les capitaux purement spéculatifs.

Issues pour la plupart des lendemains de la Seconde Guerre mondiale (FMI, Banque mondiale,
OMC, FAO, UNESCO...) ou d’autres formes moins institutionnalisées (G8, Forum économique
mondiale de Davos, mais aussi les associations altermondialistes), les organisations internationales
ont été mises en place afin d’établir une gouvernance mondiale et voient leur rôle se renforcer dans
le cadre de la mondialisation.

Ces institutions peuvent avoir une vocation universelle (ONU) ou présentées des compétences
spécifiques : aide au développement (FAO), éducation (UNESCO), justice (TPI), finance (Banque
mondiale, FMI). Dans le cadre de la mondialisation, trois organismes jouent un rôle important :
l’OMC (Organisation mondiale du commerce) qui encourage les échanges mondiaux en limitant le
protectionnisme et en arbitrant les différents entre Etats, le FMI (Fonds monétaire internationale)
qui surveille la stabilité financière mondiale et la Banque mondiale qui accorde des prêts aux pays en
difficulté afin de permettre leur développement en échange de la mise en place de réformes
structurelles libérales.

Le contexte de mise en place de ces institutions explique une domination totale des pays
riches à l’intérieur de ces organisations. Dans le cadre d’une économie devenue multipolaire, les
organisations internationales sont de plus en plus contestées et doivent se réformer, notamment
pour laisser une place plus importante aux puissances émergentes.

Offshoring au Maroc
Même s'il est considéré depuis bientôt deux décennies comme le hub le
plus attractif du continent pour accueillir des activités de services
délocalisés, le Maroc continue à consolider ses acquis et à se donner les
moyens de son ambition pour s'imposer au niveau international dans ce
secteur à forte valeur ajoutée.

Le Maroc est la terre promise des investisseurs étrangers en Afrique. L’indice «


Africa Investment Index » du cabinet Quantum Global Research Lab, publié le 19
avril 2017, classe le royaume à la première place en Afrique du Nord et à la
seconde place dans tout le continent africain en termes d’attractivité des
investissements.
Avec un climat d’investissement très favorable et une position géographique
avantageuse, ce pays affiche une croissance économique stable et un solde de la
balance commerciale très encourageant.

L’attractivité du Maroc en matière d’investissement étranger est le fruit des


efforts menés par le gouvernement depuis des années. Le développement des
infrastructures incite les investisseurs d’autant plus que l’environnement
économique y est très stable. Investir au Maroc et délocaliser une ou toute la
partie de ses chaines de production sont devenus des choix pour les grandes
firmes internationales.

L’investissement direct étranger (IDE) est devenu l’un des plus grands piliers qui
soutiennent l’économie marocaine. Il apporte aussi une touche de modernité à
son secteur industriel grâce aux transferts technologiques.

Étant donné la chute du prix des produits de base sur le marché mondial, Maroc
veut s’orienter de plus en plus vers une industrialisation durable.
Dans ce contexte, le Maroc a regagné sa place de 2e récipiendaire d’IDE dans le
continent, attirant pas moins de 9,5% des projets et 46,2% du capital-
investissement, confirmant de nouveau la confiance placée par les investisseurs
étrangers dans le royaume. Une performance qui s’explique, selon EY, par la
stabilité du royaume et les efforts de promotion fournis par le Maroc afin de faire
du pays une base d’exportation vers l’Europe, l’Afrique et le Moyen-Orient. «Le
secteur automobile marocain a particulièrement performé, passant de 5 projets
d’investissement en 2014, à 10 en 2015 et 14 en 2016», souligne le rapport
publié mercredi dernier.

En 2016, le Maroc a su faire preuve d’une grande résilience en la matière.


«L’incertitude géopolitique dans le continent et la croissance économique inégale
a abouti à une situation contrastée en matière d’attrait des IDE dans la région»,
explique EY.
L’Afrique a attiré 676 projets d’investissement en 2016, soit 12,3% de moins
qu'en 2015. Toutefois, les IDE ont connu un bond considérable en termes de
valeur, passant de 71,3 milliards de dollars à 94,1 milliards de dollars, soit une
hausse de 31,9%. Ces IDE ont créé 129.150 emplois, affichant ainsi un déclin de
13,1% en comparaison avec 2015. À noter que la forte activité au Maroc et en
Égypte a suscité un regain d’intérêt de la part des investisseurs étrangers pour
l’Afrique du Nord. L’Égypte est d’ailleurs classée 11e dans le cadre de l’index de
l’attractivité des IDE.

En 2016, le pays a accueilli beaucoup plus de projets d’IDE qu’en 2015 (hausse
de 19,7% des projets). Une dynamique qui s’explique notamment par l’intérêt
exprimé par plusieurs entreprises chinoises, américaines et françaises pour la
destination. En Afrique de l’Ouest, la récession que connaît le Nigeria s'est
matérialisée par un recul des IDE d’environ 3,8%. EY estime d’ailleurs que
l’environnement des affaires au Nigeria a besoin d’un électrochoc d'urgence. Le
cabinet international estime toutefois que la taille du marché nigérian et sa
tendance à la diversification ont permis un changement important dans la nature
des IDE. «Le Nigeria demeure bien placé pour devenir le plus large marché d’IDE
durant les 10 prochaines années», estime EY dans son rapport.

Du côté du Kenya (Afrique de l’Est), la sortie du Royaume-Uni de l’Union


européenne a eu un impact important sur le flux d’IDE qui a connu une chute de
57,9% en termes de projets et de 55,5% en termes de valeur. Toutefois,
l’attractivité du Kenya demeure solide pour les années à venir, comme en
témoigne son classement en deuxième position dans le cadre de l’index d’Ernst
& Young. 

Les 5 filières relatives à l’offshoring au MAROC

CRM (Customer Relationship Management) : Le CRM ou gestion de la relation


client (Customer Relationship Management) est une stratégie de gestion des
relations et interactions d'une entreprise avec ses clients ou clients potentiels. Un
système CRM aide les entreprises à interagir en permanence avec les clients, à
rationaliser leurs processus et à améliorer leur rentabilité .

Le CRM englobe généralement trois notions :

Le CRM en tant que technologie : produit technologique, souvent basé sur le


cloud, que les équipes utilisent pour enregistrer, suivre et analyser les
interactions entre l'entreprise et les utilisateurs. Il est également appelé système
ou solution CRM.

Le CRM en tant que stratégie : philosophie d'entreprise sur la façon dont


devraient être gérées les relations avec les clients et les clients potentiels  

Le CRM en tant que processus : système adopté par une entreprise pour


développer et gérer ces relations.

Le CRM permet à une entreprise d'approfondir ses relations avec ses clients,
utilisateurs de services, collègues, partenaires et fournisseurs.

Établir de bonnes relations et effectuer un suivi des prospects et des clients est
crucial pour acquérir et fidéliser des clients, deux impératifs au cœur de la
fonction du CRM. Vous bénéficiez d'une vue globale depuis un emplacement
centralisé : un tableau de bord simple et personnalisable, qui retrace l'historique
des interactions clients, le statut de leurs commandes, tout problème de service
non résolu, et bien plus encore.

Gartner prévoit que d'ici 2021, la technologie CRM sera le principal poste de


dépense des entreprises en matière de logiciels. Si vous souhaitez pérenniser
votre entreprise, vous devez mettre en place une stratégie pour l'avenir. Pour les
entreprises visionnaires, le CRM est le cadre idéal de cette stratégie.

BPO (Business Process Outsourcing) : Le BPO, ou Business Process


Outsourcing, est l’externalisation des processus d’affaires. Lorsqu’une entreprise
ne peut accomplir certaines missions en interne, elle fait appel à un fournisseur
pour s’en charger à sa place. Découvrez tout ce que vous devez savoir à ce sujet.

Les avantages du Business Process Outsourcing sont nombreux. Tout d’abord,


cette pratique permet bien souvent de réaliser des économies. Un
fournisseur externe d’un pays étranger peut par exemple effectuer une tâche à
moindre coût. De même, dans certaines situations, il est possible de payer moins
d’impôts en externalisant une tâche. Les contrats BPO permettent aussi
de gagner en flexibilité, et de réagir plus rapidement aux changements qui
surviennent sur le marché.

En outre, en externalisant les missions qui ne sont pas au cœur de leur activité,
les entreprises peuvent se focaliser sur les opérations qui les distinguent sur leur
marché. Il peut donc s’agir d’un avantage compétitif.

De leur côté, les fournisseurs BPO sont généralement spécialisés dans la tâche
pour laquelle ils sont employés. En général, ils sont donc en mesure d’effectuer
ces missions plus rapidement et de manière plus performante.
Cependant, le BPO ne présente pas que des avantages. Les entreprises qui
adoptent cette pratique s’exposent aussi à des risques. Tout d’abord, il peut
s’agir d’un risque pour la sécurité informatique. Pour cause, les entreprises
qui externalisent des missions sont dans l’obligation de créer des connexions
technologiques avec leur fournisseur.

Ces connexions sont exploitables par des cybercriminels pour attaquer le


système informatique de l’entreprise. De plus, les organisations se voient
souvent contraintes de partager des données sensibles avec leurs
fournisseurs. Là encore, ces données risquent donc davantage d’être dérobées
par un tiers mal intentionné, ou même exploitées par un fournisseur malhonnête.

Le BPO peut aussi entraîner des coûts imprévus. Les entreprises peuvent


parfois sous-estimer la quantité de travail nécessaire au fournisseur pour
accomplir la mission, ou tout simplement négliger le calcul des coûts. En
conséquence, la facture peut s’avérer plus importante que prévu.

En outre, les relations avec un fournisseur BPO peuvent se révéler tendues.


S’il s’agit d’un fournisseur étranger, les entreprises peuvent faire face à des
difficultés de communication ou même à des différences culturelles
problématiques. Il convient donc de peser le pour et le contre minutieusement
avant de décider d’employer cette pratique.

ITO (Information Technology Outsourcing) : L’ITO ou IT Outsourcing


regroupe l’ensemble des processus d’externalisation offshore des services liés au
système d’information. Dans le sens global du terme, l’externalisation offshore
des technologies de l’information consiste principalement à un recours à
l’expertise des prestataires offshore pour assurer la conception, le
développement, la réalisation, la maintenance et la restructuration
d’architectures et de systèmes IT.  Le processus d’IT outsourcing requiert une
expertise très pointue afin de pouvoir assurer véritablement la gestion et
l’exploitation à distance des ressources de technologie d’information des
entreprises. Étant donné les compétences requises et la spécificité de chaque
besoin, la destination offshore occupe également une importance majeure car les
contraintes liées au décalage horaire et à l’environnement sociopolitique
constituent deux paramètres non négligeables, de même en ce qui concerne le
rapport qualité / prix..

L’IT Outsourcing comporte de multiples avantages


Le processus d’externalisation IT permet à une entreprise de :

-       Palier au manque de ressources internes ;

-       Bénéficier d’un service fiable et de qualité impeccable, immédiatement


opérationnel et prêt à l’emploi, au meilleur coût ;

-       Conformer les prestations par rapport aux besoins spécifiques de


l’entreprise et  à l’évolution du marché, au fur et à mesure de l’avancement du
projet ;

-        Accroître considérablement ses performances et optimiser la gestion des


systèmes d’information au sein de son organisation tout en réduisant ses coûts ;
-       Se focaliser davantage sur le centre de ses activités  en améliorant son
chiffre d’affaires et en prenant une bonne longueur d’avance sur ses
concurrents ;

Offshore Développement peut vous accompagner et vous conseiller tout au long


de votre projet d’IT outsourcing en vous mettant directement en relation avec les
meilleurs prestataires offshore en IT selon la destination de votre choix et en
fonction de la nature de vos besoins.

ESO (Engineering Service Outsourcing) :

KPO (Knowledge Process Outsourcing) : Le KPO (Knowledge Process


Outsourcing) c’est du BPO avec plus de valeur ajoutée, il vise plutôt des
prestations de recherches avancées d’informations, des services
techniques et d’analyse, ainsi que des process d’évaluation et de prise de
décisions. Les entreprises de KPO sont présentes dans les domaines des
investissements bancaires, des études de marché, de la Recherche et
Développement, de l’innovation, de la poursuite judiciaire et du traitement
des réclamations dans le domaine de l’assurance, dans le domaine
juridique, des ventes et du marketing et de la comptabilité. Les opérations
déléguées aux entreprises de KPO impliquent des équipes bien instruites,
bien formées, avec des compétences analytiques.

Les avantages du nos services KPO sont :

 Contrôler et réduire les coûts opérationnels de l’entreprise ;

 Augmenter sa compétitivité en bénéficiant de compétences humaines,


technologiques et matérielles récentes ;

 Investir dans les secteurs clés les plus productifs de l’entreprise ;

 Anticiper afin d’accélérer des changements structurels.

CHAPITRE 3 : Offshoring à l’oriental

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