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Lycée pilote de Tunis

Devoir de contrôle 1 Terminales maths

Mr Ben Regaya. A + Eléments de corrections www.ben-regaya.net

Exercice 1

On considère, Dans l’ensemble ℂ des nombres complexes, l’équation  E  : z 2  1  i  cos z  icos 2  0 ou  est

un nombre réel donné.

1. Résoudre dans ℂ l’équation  E  .

 
2. Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé O, u, v . On considère les points A et C d’affixes

respectives z A  2  cos et zC  i cos et soit ABCD un carré direct.

a) Montrer que B a pour affixe 1  i .

b) Exprimer l’affixe de D en fonction de  .

c) Déterminer l’ensemble des points D lorsque  varie dans ℝ.

Exercice 2

 
   i 
1. a)Résoudre dans ℂ l’équation d’inconnue z : z  2cos   e  4  z  i  0 .
2

8

b) Donner l’écriture exponentielle des solutions.

 
Le plan complexe P est rapporté à un repère orthonormé direct O, u, v . A et B sont les points d'affixes

 3
i i
8 8
respectives e et e . On appelle f l'application du plan P dans lui-même qui, à tout point M d'affixe z

associe le point M ' d'affixe z ' définie par : z '  2 z  iz .

2. Déterminer f  A .

3. a) Déterminer l'ensemble E des points invariants par f.

b) Vérifier que E   OA .

4. On suppose que le point M  z  n’appartient pas à  OA .

3
a) Montrer que arg  z ' z    k , k entier. (On pourra écrire z  r ei r réel strictement positif. )
8
b) Que peut-on en déduire pour les droites  MM ' et  OB  ?

z  z'
c) Montrer que le point I d'affixe est invariant par f.
2

5. Donner, une méthode de construction géométrique permettant d'obtenir l’image M ' par f d'un point M

quelconque du plan.

Exercice3

1
On considère la suite u définie sur ℕ* par : u1  1 et pour n naturel non nul un 1  un  n
.
u
k 1
k

1. Montrer que pour tout n ∊ ℕ* ; un 0.

2. Montrer que la suite u est croissante.

3. Pour tout n ∊ℕ*, on pose vn   un  .


2

2
a) Montrer que pour tout n ∊ ℕ* ; vn 1  vn  .
n

b) En déduire que pour tout n ∊ ℕ* ; v2 n  vn  1 .

c) Montrer que v n’est pas majorée puis calculer la limite de la suite u.

un 1 1 u 
4. Montrer que pour tout n ∊ℕ* ; 1   1 . En déduire la limite de la suite  n 1  .
un nun  un 
Lycée pilote de Tunis
Devoir de contrôle 1 Terminales maths

Mr Ben Regaya. A Eléments de corrections www.ben-regaya.net

Exercice1
1. Cette équation s’écrit aussi z 2   cos  icos  z  icos  cos   0 donc de la forme z 2  S z  P  0
 S  cos  icos
avec  donc l’ensemble des solutions de cette équation est cos , icos  .
 P  icos   cos 

2. a) ABCD est un carré direct donc BA  BC et BC , BA    2
 2  signifie z A  zB  zC  zB et

z z   z z 
arg  A B    2  et donc le complexe A B a pour module 1 et argument égal à donc
 zC  zB  2 zC  z B 2
z A  zB  z  izC
 i soit encore z A  zB  i  zC  zB   zB  1  i    z A  izC  zB  A
zC  zB  1  i 
 z  izC
z A  zB  i  zC  zB   zB  1  i    z A  izC  zB  A
 1  i 
  2  cos   cos 2 2  1  i 
 zB     1  i c’est le résultat voulu.
 1  i   1  i  2
b) ABCD un carré donc zD  zC  z A  zB  zD  z A  zB  zC  zD  2  cos  1  i  i cos
 zD  1  cos  i  cos  1 .
c) Les coordonnées de D sont opposées donc D est un point de la droite  : y  x mais x  1  cos donc
y  x
x   0, 2 . Il s’agit donc du segment d’équation  .
0  x  2
Exercice 2
  
   i 2           i
1. a)  '  cos 2  e  i  i  cos 2    1  i sin2   donc  '  sin   e 4 et les solutions sont alors
8  8  8 8

   3
b '  '   i    i i       i
z'   cos   e 4  sin   e 4  e 4  cos    isin     e 8 et
a 8 8  8  8 
   
b '  '   i    i i       i
z ''   cos   e 4  sin   e 4  e 4  cos    isin     e 8 .
a 8 8  8  8 

   
i  i 
f  A est le point d’affixe z1  2 z A  iz A  2e
i i
2. 8
 ie 8
 e  2e 4  i 
8

 
  2

2   i 8 

  i   e 1  i  i   e 8  z A donc f  A  A .
i i
 e  2  8
i
 2 2
   
3. a) M est invariant par f signifie f  M   M signifie z  2 z  iz  z 1  i   2 z  0
x yx 2 0

  x  iy 1  i   2  x  iy   0  x  y  x 2  i 2 y  x  y 2  0    
yx y 2 0
 
x 1 2  y  0 
 x  y 1  2  0 


 

   
 x  y 1  2  0 . L’ensemble E

 x  y 1  2  0
  
 x  y 1  2  0
 
des points invariants par f est la droite dont une équation cartésienne est :  x  y 1  2  0 .  
b) Il est clair que O est invariant par f est que A  O donc E   OA .¨
4. a) On pose z  r ei .
arg  z ' z   arg  
2 z  iz  z  2   arg  z ' z   arg  
2 ei  iei  ei  2 

  
3
 
 arg  z ' z   arg ei       2 
i
2 e2i  i  1 2   arg z ' z    arg  2 e 2i
 2 e 4

 
 3
   i   2   
 3 

 arg  z ' z     arg  e2i  e 4   2   arg  z ' z     arg  e 2i 1  e  4     2 


i

    
  
 i    i   i    
 3   3   3 

 arg  z ' z     arg  e  8   e  8   e  8     2 


  
  
3   3 
 arg  z ' z    arg  2cos       2 
8   8 
3
Ainsi , il existe k entier tel que arg  z ' z    k .
8
3
b) arg  z ' z  
8
   
 k , k  signifie u, MM '  u, OB  k , k  et donc les droites  MM ' et

 OB  sont parallèles.
z  z'
c) Montrons que le point I d'affixe est invariant par f.
2
 z  z' z  z'
2
 2 
i
2

2
2
 2
i
 
z  2 z  iz  z  2 z  iz 
2
2
z  z i
2
2 i
2

z  z i
2
2 1
z z
2
2 2 i 2 1 2 i 1 2 i 1 z  z'
 z  z i z  z i z z  zz z z  z z z  donc le point I
2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2
z  z'
d'affixe est invariant par f.
2
5. Deux cas se présentent
M est un point de  OA
alors M est invariant par f et donc M ' est confondu avec M.
M n’appartient pas à  OA
On sait que  MM ' et  OB  sont parallèles et par suite M ' est un point de la droite  parallèle à  OB  passant
par M.
Le milieu I de  MM ' est invariant par f donc I est le point commun à  OA et à  (  OA et  sont sécantes)
La construction de I permet celle de M.

Exercice3

1. Montrons que pour tout n ∊ℕ* ; un 0.

Pour n  1 , u1  1 donc u1 0.

On suppose que tous les termes de la suite u sont strictement positifs jusqu’au rang n et montrons que un 1 0.

Comme un 0 et que tous les uk 1  k  n  sont strictement positifs alors un1 0.

Conclusion : pour tout n ∊ℕ* ; un 0.


1
2. un 1  un  n
0 d’après 1. Donc la suite u est croissante.
u
k 1
k

3. a) vn   un 
2

1 2un
vn 1  vn   un1    un    un 1  un  un 1  un   un1  un  
2 2
n n
car u est croissante
u
k 1
k u
k 1
k

n n

 u
1 1
Mais pour 1  k  n  , uk  un  uk  n  n
 n
k 1 k 1
u u
k 1
k
k 1
n

1 1 2u 2u 2
 n
  n n  n  c’est le résultat demandé.
u 
n un n un n
k uk
k 1 k 1

2
b) On a : pour tout k ∊ℕ* ; vk 1  vk  donc par somme, on obtient :
k

2 n 1 2 n 1 2 n 1 2n 1 2n 1 2n 2 n 1 2 n 1

       
2 2 2
 vk 1  vk    vk 1  vk   vp  vk  ou l’on a posé p  k  1
k n k n k k n k n k n k p  n 1 k n k n k

2 n 1
 2 n 1
 2 n1 2 2 n 1

   
2 2 2
 v2 n  v p   vn  vk    v2 n  vn  mais  n  k  2n  1 donc  et donc
p  n 1  k n  k n k k n k k 2n  1

2 n 1
2 2 n 1 2 2 n 1
2 2n

k n

k k  n 2n  1
 
k n k 2n  1
 1 . Ainsi pour tout n ∊ ℕ* ; v2 n  vn  1 .

2
c) On a : vn 1  vn  qui est positif donc la suite v est croissante.
n

Supposons que v est majorée dans ce cas elle converge vers un réel fini l vérifiant l  l  1 car v2 n  vn  1 mais

ce dernier résultat est absurde donc v n’est pas majorée et par suite elle tend vers  puisqu’elle est croissante.

Et comme un  vn on a tout de suite lim un   .


n

un 1
4. D’une part la suite u est croissante donc  1.
un
n

u
1 1 1
D’autre part et toujours u croissante 1  uk  un donc n  k  n un   n

u
k 1 n un n
k
k 1

un 1 1 1 u 1
 1  1 . On obtient donc pour tout n ∊ℕ* ; 1  n 1  1  .
un  n  un  n un nun
un   uk 
 k 1 

1 u 
On a : lim nun   donc lim 1   1 et donc par le théorème de comparaison la suite  n 1  converge
n n  n un  un 
et sa limite est 1.

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