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Publier une analyse PowerPivot sur le portail

1. Présentation du PowerPivot

Nous  avons  vu  qu’il  nous  était  possible  de  bâtir  des  tableaux  croisés  dynamiques  à  partir  des  données  incluses  dans 
Excel ou dans un cube. 

Seulement,  il  arrive  souvent  que  des  services  fonctionnels  soient  en  avance  de  phase  par  rapport  à  l’évolution  de 
l’entrepôt  de  données.  Ces  services  souhaitent  bénéficier  des  mêmes  possibilités  de  navigation  que  pour  les  cubes, 
c’est­à­dire  pouvoir  croiser  de  grandes  quantités  de  données,  issues  de  plusieurs  sources,  sans  pour  autant  devoir 
disposer de studios de développement compliqués. 

Le PowerPivot est une grande nouveauté annoncée par Microsoft, qui souhaite répondre à ce besoin grandissant, dans 
la version Office 2010. 

Le PowerPivot est un complément Excel 2010 disponible gratuitement sur le site de téléchargement de Microsoft. 
 
Vous pouvez télécharger ce complément sur le site http://www.powerpivot.com.

Après installation du complément, un nouvel onglet apparaît dans le ruban d’Excel 2010. 

Un clic sur le bouton Fenêtre PowerPivot lance l’application PowerPivot associée au fichier Excel. 

Ce complément permet à Excel de dépasser certaines de ses limitations initiales : 

l Le PowerPivot permet de brasser des tables de plusieurs millions de lignes, allant bien au­delà de la limitation actuelle d’un 
peu plus de 65000 lignes pour Excel 2003 et d’environ 1 million de lignes pour Excel 2007. 

l Le PowerPivot est très performant, même avec des tables de plusieurs millions de lignes. En fait, lors du processus d’import 
de données, le PowerPivot stocke l’ensemble de ces données en mémoire, permettant ainsi un accès rapide en cas de filtre, 
de tri et de calcul. 

l Le PowerPivot peut importer et croiser des données issues de sources très diverses : 

l De bases de données relationnelles : SQL Server, Access, Oracle, Teradata, IBM DB2... 

l De fichiers plats : fichier texte ou fichier Excel 

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l De sources multidimensionnelles : SQL Server Analysis Services. 

l Autres : flux RSS, services Web, données issues de la saisie manuelle... 

PowerPivot permet d’importer des données d’origines très diverses 

Pour illustrer l’utilisation du PowerPivot, prenons l’exemple de Distrisys. 

La  société  souhaite  développer  les  services  autour  de  la  vente  de  ses  produits :  intervention  chez  le  client  final,  formation  des 
revendeurs, support téléphonique... 

Ce  service  ne  représente  aujourd’hui  qu’une  part  négligeable  du  CA  de  Distrisys,  mais  la  direction  pense  que  la  vente  de  service 
tirera demain la croissance de la société. 

Le responsable souhaite donc bénéficier de tableaux de bord et de capacités d’analyse. Le problème étant que, même si le service 
est  prometteur,  il  n’est  pas  jugé  aujourd’hui  comme  prioritaire,  d’autant  plus  que  les  outils  de  gestion  des  pièces  détachées  et  de 
suivi des interventions sont en dehors de l’ERP maison. 

Le  service  BI  de  Distrisys  souhaite  tout  de  même  pouvoir  répondre  au  service  SAV,  et  lui  propose  de  patienter  en  lui  mettant  à 
disposition Excel 2010 et le PowerPivot. 

Voyons comment créer un tableau de bord de suivi des interventions SAV avec Excel 2010 et PowerPivot. 

L’application de gestion des interventions SAV a la capacité d’exporter des données au format CSV. Ce fichier comprend : 

l La date d’intervention, 

l Le produit sur lequel porte l’intervention, 

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l Le revendeur du produit, 

l Une indication permettant de savoir si l’intervention était sous garantie ou hors garantie, 

l Le nombre d’interventions, 

l Le CA et le coût de l’intervention. 

Nous allons importer ce fichier dans le client PowerPivot, puis importer les tables de dimension DimTemps, DimProduit, 
DimClient et Dimgeographie de l’entrepôt de données (DistrisysDW) afin d’accroître le nombre d’axes d’analyse du fichier. 

n Téléchargez les fichiers InterventionSupport.csv et Distrisys.bak dans l’espace de téléchargement dédié à l’ouvrage. 

n Restaurez la base de données DistrisysDW sur votre serveur SQL Server. 

n Téléchargez et installez le complément Excel 2010 PowerPivot. 

n Ouvrez Excel 2010 et cliquez sur l’onglet PowerPivot. 

n Cliquez sur le bouton Fenêtre PowerPivot pour ouvrir le client PowerPivot. 

2. Construire une analyse PowerPivot sous Excel

a. Importer des données texte dans PowerPivot

Le  client  PowerPivot  va  nous  permettre  d’importer  les  données,  de  les  retraiter  et  d’établir  des  liaisons  entre  les 
tables. 

n Pour importer les données du fichier CSV, cliquez dans le ruban sur le petit bouton  Obtenir des données externes à partir 
d’un texte. 

Un assistant d’importation de table s’ouvre et vous propose de configurer la connexion au fichier plat. 

n Au  niveau  du  champ  Chemin  d’accès  au  fichier,  cliquez  sur  le  bouton  Parcourir...  pour  récupérer  le  chemin  d’accès  au  fichier 
InterventionSupport.csv précédemment téléchargé. 

n Sélectionnez le Séparateur de colonnes de type Point­virgule (;). 

n Cochez la case Utiliser la première ligne comme en­têtes de colonnes. 

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Configuration de l’importation d’un fichier plat dans PowerPivot 

n Cliquez sur Terminer. 

Pour chaque table de données importée, quelle que soit son origine, PowerPivot crée un nouvel onglet : 

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b. Importer des données de SQL Server dans PowerPivot

Nous  allons  maintenant  importer  les  tables  de  dimension  de  l’entrepôt  de  données,  afin  d’enrichir  les  capacités 
d’analyse de cette table. 

n Cliquez dans le ruban sur le bouton Obtenir des données externes,  puis  sur À partir de la base de données, puis sur  À partir de 


SQL Server. 

L’Assistant Importation de table SQL Server s’ouvre : 

n Au niveau du champ Nom du serveur, saisissez le nom du serveur et de l’instance SQL Server. 

n Au niveau du champ Nom de la base de données, sélectionnez la base DistrisysDW, puis cliquez sur Suivant. 

n Cochez la case Sélectionner les données à importer dans une liste de tables et de vues, puis cliquez sur Suivant. 

n L’assistant  affiche  alors  la  liste  des  tables  et  des  vues  de  la  base  DistrisysDW  et  nous  invite  à  cocher  les  tables  que  nous 
souhaitons importer dans PowerPivot. 

n Sélectionnez DimClient, DimGeographie, DimProduit et DimTemps. 

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n Renommez les tables : Client, Geographie, Produit et Temps. 

L’Assistant Importation de table SQL Server de PowerPivot 

n Cliquez sur Terminer, le processus d’importation se lance. 

n Lorsque ce processus d’importation s’est terminé avec succès, cliquez sur Fermer. 

n Les tables SQL Server apparaissent alors comme des onglets, au même titre que la table  InterventionSupport,  précédemment 


importée. 

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c. Créer des relations entre les tables PowerPivot

La grande force de PowerPivot consiste alors à lier entre elles ces tables, et ce quelle que soit leur origine. 

n Pour gérer les relations entre les tables, cliquez dans le ruban sur l’onglet Conception, puis sur le bouton Gérer les relations. 

La fenêtre  Gérer  les  relations  permet de visualiser les relations entre les tables, de supprimer des relations et d’en 


créer. 

Vous pouvez noter que, par défaut, le module d’importation de données de SQL Server conserve les relations entre les 
tables importées. Ainsi, la relation entre la table Client et la table Geographie est, par défaut, déjà établie. 

n Pour achever notre modèle de données PowerPivot, cliquez sur le bouton Créer pour ajouter les relations suivantes : 

l Entre la colonne DateIntervention de la table InterventionSupport et la colonne Temps_PK de la table Temps. 

l Entre la colonne RevendeurCode de la table InterventionSupport et la colonne ClientCode de la table Client. 

l Entre la colonne Produit_PK de la table InterventionSupport et la colonne Produit_PK de la table Produit. 

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Interface de création de relations entre les tables PowerPivot 

Lorsque toutes les relations sont créées, vous devriez obtenir l’interface suivante : 

Le gestionnaire de relation entre les tables PowerPivot 

n Cliquez sur Fermer. 

d. Créer des colonnes calculées dans une table PowerPivot

Pour achever le modèle, nous allons ajouter à la table InterventionSupport, onglet situé en bas à gauche, deux nouvelles 
colonnes : 

l MargeIntervention : fait la différence entre la colonne CAIntervention et la colonne CoutIntervention. 

l Garantie : affiche Hors Garantie lorsque la colonne est égale à 0, sinon affiche En Garantie. 

La création de nouvelles colonnes fonctionne sur le même principe que les cellules avec formule d’Excel. 

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n Sur l’onglet de la table InterventionSupport, sélectionnez la colonne la plus à droite Ajouter une colonne. 

Puis cliquez sur la zone de texte de formule et tapez la formule suivante : 

=IF(’InterventionSupport’[Est Garantie]=0,"Hors Garantie", "En Garantie")

n Renommez la nouvelle colonne calculée : Garantie. 

La création de colonne calculée se fait sur le même principe qu’Excel 

La création de la formule ci­dessus est basée sur le même principe que les cellules calculées d’Excel. Bien que proche, 
le  langage  sous­jacent  et  les  fonctions  disponibles  sont  néanmoins  différents.  Ce  langage  qui  permet  d’ajouter  des 
colonnes  calculées  est  appelé  le  DAX  (Data  Analysis  Expression).  En  plus  des  fonctions  standard  Excel,  le  langage  est 
enrichi  de  fonctions  spécifiques.  On  retrouve  notamment  des  fonctions  emblématiques  des  contextes 
multidimensionnels, telles que : 

l ParallelPeriod : équivalent de la fonction MDX du même nom. 

l TotalYTD : équivalent de la fonction MDX YTD ou PeriodsToDate. 

Ou des fonctions propres au fonctionnement de PowerPivot, telles que : 

l Related : retourne une colonne d’une autre table associée à la ligne courante. 

l RelatedTable : retourne les lignes de la table liée, associées aux lignes filtrées de la table courante. 

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Les fonctions DAX disponibles dans PowerPivot 

n De  même,  créez  une  nouvelle  colonne  MargeIntervention  qui  réalise  la  différence  entre  la  colonne  CAIntervention  et 
CoutIntervention, comme indiqué par la formule ci­dessous : 

=’InterventionSupport’[CAIntervention]-
’InterventionSupport’[CoutIntervention]

Maintenant, nous allons retravailler le format des colonnes financières pour les afficher en euro. 

n Pour  modifier  le  format  (valeur  monétaire)  de  la  colonne  MargeIntervention,  sélectionnez  la  colonne,  puis  cliquez  sur  l’onglet 
 
Accueil du ruban, puis sur le bouton  Appliquer le format monétaire.

Les options de paramétrage des colonnes des tables du PowerPivot 

n Cliquez sur le symbole $, puis sélectionnez € Français (France). 

n Faites de même pour les colonnes CAIntervention et CoutIntervention. 

Pour finir, nous allons masquer la colonne  Est  Garantie  afin que cette colonne n’apparaisse pas en sélection lors de 

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l’élaboration des tableaux et graphiques croisés dynamiques. 

n Sélectionnez la colonne Est Garantie. Puis, dans le ruban, cliquez sur l’onglet Conception. Enfin, cliquez sur le bouton Masquer et 
afficher. 

n Dans  la  fenêtre  Masquer  et  afficher  les  colonnes,  décochez  la  case  Dans  le  tableau  croisé  dynamique  pour  la  colonne  Est 
Garantie. 

Le modèle de données est maintenant terminé. Tout s’est déroulé simplement sans écrire une seule ligne de code. 

e. Présenter les données du PowerPivot

PowerPivot assiste l’utilisateur dans la création de tableaux de bord. 

n Dans le client PowerPivot, cliquez sur l’onglet Accueil dans le ruban. 

n Puis cliquez sur le bouton Tableau croisé dynamique, afin de sélectionner une mise en forme. Sélectionnez la mise en forme en 
quatre graphiques. 

La mise en forme des tableaux se réalise sous Excel, comme un tableau ou graphique croisé dynamique classique. 

n Au niveau de la Liste de champs PowerPivot, un peu à la manière d’un cube, vous avez la possibilité de glisser les mesures dans 
le champ Valeurs, et les champs d’analyse dans les zones Champs Axe (Abscisses) ou Champs Légende (Série). 

Les champs glissés dans les zones  Découpages  verticaux  ou  Découpages horizontaux  généreront automatiquement 


des slicers. 

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Au final, après configuration de chacun des quatre graphiques, nous pouvons obtenir le tableau de bord ci­dessous : 

Tableau de bord réalisé avec PowerPivot 

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Un simple clic sur les boutons, contenus dans les slicers, met à jour les données de votre tableau de bord. 

Nous venons ainsi de répondre assez rapidement au besoin du service SAV de Distrisys : 

l Nous  avons  construit  un  modèle  de  données  sans  grande  connaissance  du  décisionnel  et  sans  écrire  une  seule  ligne  de 
code. 

l Puis  nous  avons  créé  un  tableau  de  bord  dynamique,  constitué  d’un  ensemble  de  tableaux  et  graphiques  croisés 
dynamiques. 

3. PowerPivot vs Entrepôt de données

L’arrivée du  PowerPivot, et avant lui des applications de montée en mémoire, soulève beaucoup de questions dans le 
milieu  de  la  BI.  Ces  applications,  rencontrant  un  franc  succès  auprès  de  nombreux  clients,  mettent  en  lumière  les 
attentes d’utilisateurs souhaitant des projets à mise en œ uvre rapide et localisée, sur des domaines fonctionnels précis. 
Certains  utilisateurs  dans  le  milieu  de  la  BI,  en  arrivent  même  à  se  poser  la  question  de  l’intérêt  de  l’entrepôt  de 
données.  

L’utilisation du PowerPivot ne remet pas du tout en question la BI traditionnelle ni l’utilisation d’un entrepôt de données. 
Pour analyser des données hétérogènes de manière transverse, il faudra quoi qu’il arrive rassembler ces données dans 
une base de données commune, contrôlée et certifiée par le service informatique. 

Les applications PowerPivot ne sont ni des solutions d’avenir, ni des solutions à bannir. Il ne faut pas voir le PowerPivot 
comme un concurrent à l’entrepôt de données, mais plutôt comme un complément nécessaire. 

En  effet,  la  mise  en  place  d’un  entrepôt  de  données  se  réalise  progressivement  et  de  manière  itérative,  par 
l’augmentation progressive du périmètre fonctionnel. Or les domaines fonctionnels qui auront été jugés non prioritaires 
lors  de  l’étude  préliminaire  jugeront  ce  processus  trop  lent  et  l’entrepôt  de  données  inapte  à  répondre  rapidement  à 
leurs demandes. 

C’est  là  qu’intervient  la  fonction  de  PowerPivot.  Cette  fonctionnalité  peut  permettre  de  répondre  aux  demandes  de 
domaines fonctionnels non prioritaires, en attendant une prise en charge et une reprise de leur domaine fonctionnel, au 
sein du périmètre de l’entrepôt de données. 

En  faisant  le  parallèle  avec  le  monde  applicatif,  le  PowerPivot  est,  vis­à­vis  de  l’entrepôt  de  données,  ce  que  sont  les 
applications Access vis­à­vis de l’ERP. 

Les applications, bâties avec Microsoft Office Access, n’ont jamais remis en question la nécessité de disposer d’un ERP 
fiabilisé,  géré  et  garanti  par  le  service  informatique  mais  également  transverse  aux  fonctions  de  l’entreprise.  Le 
PowerPivot  répond  ainsi  à  des  domaines  fonctionnels  qui  souhaitent  être  en  avance  de  phase  par  rapport  au  service 
décisionnel. 

Le  PowerPivot  peut  être  un  bon  moyen,  pour  le  service  informatique,  de  faire  attendre  les  utilisateurs  les  plus 
impatients, en encadrant son utilisation et en restant homogène en termes de déploiement de solution logicielle. 

4. Publier un rapport PowerPivot sur Sharepoint

Dans la partie précédente, nous avons bâti un modèle de données sans code, et sans avoir à disposer de SQL Server 
Analysis Services. Seul PowerPivot pour Excel 2010 est un complément gratuit et nécessaire. 

PowerPivot  dispose  de  la  possibilité  de  publier  le  rapport  précédemment  bâti  sur  un  site  SharePoint,  en  y  incluant  le 
modèle  de  données  réalisé  par  l’utilisateur.  Les  utilisateurs  peuvent  ainsi  partager  leurs  rapports  et  les  diffuser  au 
format Web sur le portail d’entreprise. En revanche, pour disposer de cette fonction, les solutions Microsoft SharePoint 
2010 et Microsoft SQL Server 2008 R2 deviennent indispensables. 

Pour  configurer  SharePoint  et  Analysis  Services  et  activer  les  fonctions  Excel  Services  et  PowerPivot,  veuillez 
vous conférer au chapitre précédent Configuration des fonctions BI de SharePoint ­ Excel services et PowerPivot. 

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Ayant  réalisé  le  tableau  de  bord  du  service  SAV  sous  Excel  PowerPivot,  nous  allons  maintenant  publier  ce  tableau  de 
bord  pour  le  rendre  disponible  sous  SharePoint.  La  publication  de  tableaux  de  bord  PowerPivot  passe  par  les  Excel 
Services.  La  procédure  est  donc  la  même  pour  publier  un  simple  tableau  croisé  dynamique  ou  un  tableau  croisé 
dynamique bâti avec PowerPivot. 

n Cliquez donc sur l’onglet Fichier. Puis sur Enregistrer et envoyer, puis sur Enregistrer dans SharePoint. 

n Sélectionnez  un  emplacement  sur  le  portail.  Si  possible,  sélectionnez  une  bibliothèque  du  type  Galerie  PowerPivot  afin  de 
bénéficier des effets ainsi que des aperçus visuels. 

n Dans les Options de publication, sélectionnez la feuille contenant l’ensemble des analyses. 

Publier une feuille du classeur réalisée avec le PowerPivot 

n Cliquez sur le bouton Enregistrer sous. Lorsque la fenêtre d’enregistrement s’ouvre, cliquez de nouveau sur le bouton Enregistrer. 

La feuille intégrant le tableau de bord réalisé avec Excel PowerPivot s’affiche au format HTML, comme une page Web. Un 
utilisateur disposant d’un simple navigateur Web pourra ainsi consulter cette page. 

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Analyse PowerPivot publiée sur le portail SharePoint 

La page affichée est entièrement dynamique. Il suffit d’utiliser les slicers pour que la page se rafraîchisse. 

n Cliquez sur le bouton Très Bon Client dans le slicer SegmentationClient. 

Si  la  feuille  a  été  publiée  dans  une  bibliothèque  de  documents  SharePoint  de  type  Galerie  PowerPivot,  elle  devrait 
apparaître en aperçu comme ci­dessous : 

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Le rapport PowerPivot ainsi créé et publié dans une bibliothèque SharePoint peut être utilisé comme tout rapport Excel 
Services. 

Les analyses PowerPivot peuvent donc être réutilisées au sein de pages du site SharePoint, soit à l’aide de la WebPart 
Excel Web Access, soit à l’aide de PerformancePoint. Dans la prochaine partie, nous allons justement aborder cet outil 
essentiel à la composition de tableaux de bord et à la bonne utilisation de SharePoint dans une logique BI. 

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