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où c = ------ (3)
ρ
avec T tension de la corde,
ρ masse volumique du matériau constituant la corde.
Les champs physiques sont également décrits par des équations aux dérivées
A 650
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© Techniques de l’Ingénieur, traité Sciences fondamentales A 650 − 1
ÉQUATIONS AUX DÉRIVÉES PARTIELLES ____________________________________________________________________________________________________
L’équation aux dérivées partielles du second ordre étant la plus Le développement en série de Taylor appliqué à la fonction ϕ (x, y ),
fréquente dans de nombreuses applications, on se limitera à son pour une valeur y 0 de y, soit ϕ (x, y 0 ), autour du point (x 0 , y 0 ), s’écrit :
étude. ∂ ϕ ( x0 , y0 )
Soit ϕ (x, y ) une telle fonction et A (x, y ), B (x, y ), C (x, y ), D (x, y ), ϕ ( x, y 0 ) = ϕ ( x 0 , y 0 ) + ( x – x 0 ) -------------------------------
∂x
E (x, y ), F (x, y ) et G (x, y ) des fonctions des deux variables x et y. (6)
Une équation différentielle typique s’écrira, par exemple : ( x – x0 ) 2 ∂ 2 ϕ ( ξ , y0 )
+ ----------------------- ------------------------------
2 ∂x 2
∂2 ϕ ∂2 ϕ ∂2 ϕ
A ( x, y ) ----------2- + B ( x, y ) ----------------- + C ( x, y ) -----------2- x0 ξ x
∂x ∂x ∂y ∂y avec
(4)
∂ϕ ∂ϕ Pour simplifier l’écriture par la suite, posons ∆x = h différence finie,
+ D ( x , y ) -------- + E ( x , y ) -------- + F ( x , y ) ϕ = G ( x , y ) en sorte que, si l’on fait croître x de ∆x autour du point d’abscisse x 0 :
∂x ∂y
Une telle équation, pour être utilisable, c’est-à-dire donner une x = x0 + h (7)
expression de ϕ (x, y ) ou une série de valeurs numériques de cette l’expression (6) s’écrit alors :
fonction, doit être complétée par la connaissance de conditions rela-
tives à la fonction ϕ ou ses dérivées. Dans l’équation (4), les deux ∂ ϕ ( x0 , y0 ) h 2 ∂ 2 ϕ ( ξ , y0 )
variables indépendantes étant x et y, les conditions seront données ϕ ( x 0 + h, y 0 ) = ϕ ( x 0 , y 0 ) + h ------------------------------- + ------- ------------------------------- (8)
∂x 2 ∂x 2
le long d’une courbe dans le plan xOy. Cette courbe peut être fermée
ou ouverte. ou, en négligeant le terme du second degré et en séparant
On distingue trois types principaux d’équations aux dérivées ∂ϕ (x 0 , y 0 )/∂x, on obtient approximativement :
partielles du second ordre, suivant le signe de :
∂ ϕ ( x0 , y0 ) ϕ ( x 0 + h, y 0 ) – ϕ ( x 0 , y 0 )
∆ (x, y ) = B 2 (x, y ) – 4 A (x, y ) C (x, y ) ------------------------------
- = --------------------------------------------------------------------
- (9)
(5) ∂x h
— si ∆ (x, y ) < 0, l’équation est dite elliptique ; L’équation (7) utilise une différence finie positive. On parle de
— si ∆ (x, y ) = 0, l’équation est dite parabolique ; différence vers l’avant. Pour mieux encadrer le point sur lequel on
— si ∆ (x, y ) > 0, l’équation est dite hyperbolique. travaille, on peut utiliser également une différence vers l’arrière en
Dans la plupart des applications industrielles, A (x, y ), B (x, y ), etc. posant :
sont des constantes. On se trouve donc en présence d’équations d’un x = x0 – h (10)
seul type.
Dans ce cas :
Mais il s’agit de fonctions, celles-ci, suivant les valeurs de x et de y,
peuvent être positives, négatives ou nulles dans différents inter- ∂ ϕ ( x0 , y0 ) ϕ ( x 0 , y 0 ) – ϕ ( x 0 – h, y 0 )
valles. L’équation différentielle n’appartient plus à une classe unique. ------------------------------
- = -------------------------------------------------------------------- (11)
∂x h
Il faut préciser l’intervalle de x et de y que l’on étudie.
■ Calcul de ∂ 2 (x 0 , y 0 )/∂x 2
On applique les résultats précédents à ∂ϕ (x 0 , y 0 )/ ∂x :
1.1 Principe de résolution ∂ ϕ ( x 0 + h, y 0 ) ∂ ϕ ( x 0 , y 0 )
∂ 2 ϕ ( x0 , y0 ) ---------------------------------------- – -------------------------------
∂x ∂x
---------------------------------
- = -----------------------------------------------------------------------------
- (12)
L’équation aux dérivées partielles est transformée en équation aux ∂x 2 h
différences finies, en vue d’obtenir un système d’équations linéaires.
Pour l’équation (9), on remarque que l’on a utilisé la différence
On évaluera séparément chaque dérivée partielle première ou vers l’arrière. L’abscisse du point calcul est donc :
seconde, en considérant comme constante la variable sur laquelle
on ne travaille pas. x0 + 2 h – h = x0 + h (13)
et, comme on donne un accroissement résultant h, on peut écrire :
∂ ϕ ( x 0 + h, y 0 ) ϕ ( x 0 + h, y 0 ) – ϕ ( x 0 , y 0 )
---------------------------------------
- = --------------------------------------------------------------------
- (14)
∂x h
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___________________________________________________________________________________________________ ÉQUATIONS AUX DÉRIVÉES PARTIELLES
∂ 2 ϕ ( x0 , y0 ) ϕ ( x 0 + h, y 0 ) – 2 ϕ ( x 0 , y 0 ) + ϕ ( x 0 – h, y 0 ) ∂ 2 ϕ ( x0 , y0 ) ϕ ( x0 , y0 + k ) – 2 ϕ ( x0 , y0 ) + ϕ ( x0 , y0 – k )
---------------------------------
- = -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
- ---------------------------------- - (25)
- = ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
∂x 2 h2 ∂y 2 k2
∂ 2 ϕ ( x0 , y0 )
Cette erreur de troncature a donc pour valeur : ----------------------------------
∂x ∂y 4 hk
1
- = ------------- ϕ ( x 0 + h , y 0 + k ) – ϕ ( x 0 – h , y 0 + k )
(27)
h ∂2 ϕ ( ξ, y 0 )
– -------- ------------------------------ (17) – ϕ ( x0 + h , y0 – k ) + ϕ ( x0 – h , y0 – k )
2 ∂x 2
l’erreur de troncature est :
avec ξ tel que x 0 ξ x 0 + h .
1 ∂ 4 ϕ ( x0 , y0 ) ∂ 4 ϕ ( x0 , y0 )
● Sur ∂ 2 (x 0 , y 0 )/∂x 2 E = – ----- h 2 ---------------------------------
- + k 2 ---------------------------------- (28)
6 ∂x 3 ∂y ∂x ∂y 3
On utilise le développement en série de Taylor en utilisant les
termes suivant celui en ∂ 2ϕ (x 0 , y 0 )/ ∂x 2 : en négligeant les termes d’ordre supérieur en h et k.
∂ ϕ ( x0 , y0 ) ( x – x0 ( x0 , y0 ) )2 ∂2 ϕ Exemple : équation de Laplace
ϕ ( x, y 0 ) = ϕ ( x 0 , y 0 ) + ( x – x 0 ) ------------------------------ - + ----------------------- ---------------------------------
-
∂x 2 ∂x 2 ∂2 ϕ ∂2 ϕ
(18) - + ------------ = 0
----------- (29)
( x – x0 ) 3 ∂ 3 ϕ ( x0 , y0 ) ( x – x0 ) 4 ∂ 4 ϕ ( ξ , y0 ) ∂x 2 ∂y 2
+ ----------------------- ---------------------------------
- + ----------------------- ------------------------------
6 ∂x 3 24 ∂x 4 Cette équation est elliptique, car :
On se limitera à ce développement, que l’on pourrait prolonger B 2 – 4 AC = – 4 < 0
si cela était nécessaire.
En différences finies, cette équation prend la forme :
Dans le calcul de ∂ 2ϕ (x 0 , y 0 )/ ∂x 2, on a utilisé successivement la
différence finie en avant et la différence finie en arrière. ϕ ( x 0 + h, y 0 ) – 2 ϕ ( x 0 , y 0 ) + ϕ ( x 0 – h, y 0 )
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
-
L’erreur pour x = x 0 + h est donc, d’après l’expression (18) : h2
(30)
h 2 ∂ ϕ ( x0 , y0 )
2 ∂ ϕ ( x0 , y0 ) ϕ ( x0 , y0 + k ) – 2 ϕ ( x0 , y0 ) + ϕ ( x0 , y0 – k )
- – ϕ ( x 0 + h , y 0 ) + ϕ ( x 0 , y 0 ) + h ------------------------------
------- ---------------------------------- - + -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- = 0
2 ∂x 2 ∂x k2
(19)
h 3 ∂ ϕ ( x0 , y0 ) h 4 ∂ ϕ ( ξ , y0 )
3 4
= – -------- ---------------------------------
- – -------
- ------------------------------
6 ∂x 3 24 ∂x 4
ou, en appelant E l’erreur après division par h 2/2 :
1.3 Résolution
h ∂ ϕ ( x0 , y0 ) h 2 ∂ ϕ ( ξ , y0 )
3 4
- – -------- ------------------------------
E = – ----- --------------------------------- (20) On rappelle que le problème consiste à calculer la valeur de la
3 ∂x 3 12 ∂x 4 fonction ϕ (x, y ) en différents points de l’espace où règne le champ
étudié. Ce champ peut être un champ de contraintes à l’intérieur
Pour x = x 0 – h, on trouve facilement que : d’un solide, une distribution de potentiel dans un diélectrique, une
répartition de température dans une canalisation, etc.
h ∂ ϕ ( x 0 , y 0 ) h 2 ∂ ϕ ( ξ, y 0 )
3 4
- – -------- ------------------------------
E = ----- --------------------------------- (21) En principe, on ne connaît que la surface (problème à deux dimen-
3 ∂x 3 12 ∂x 4
sions) ou le volume (problème à trois dimensions) et les conditions
ou, en ajoutant les expressions (20) et (21), puisque l’on a appliqué aux limites (températures sur chaque face de la canalisation, force
les deux différences finies : extérieure appliquée à un solide, etc.).
On partira donc d’un maillage, superposé à la surface ou inclus
h 2 ∂ ϕ ( ξ, y 0 )
4
2E = – -------- ------------------------------ dans le volume à l’intérieur duquel on mène le calcul (figure 1).
6 ∂x 4 Ces quadrillages peuvent être très divers, suivant les conditions
géométriques du problème.
h 2 ∂ ϕ ( ξ, y 0 )
4
soit E = – -------- ------------------------------ (22) Pour montrer l’utilisation de la méthode, on se limitera à un
12 ∂x 4 maillage plan, dont les mailles sont des carrés égaux, ce qui signifie
avec x0 – h ξ x0 + h que les différences finies suivant Ox et Oy sont égales (figure 2) :
∆x = h = ∆y = k (31)
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— choix d’un maillage ; Une équation quelconque peut toujours se mettre sous la forme :
— établissement du système d’équations linéaires par parcours
systématique du maillage ; E=0
— résolution du système linéaire. Si l’on dispose de méthodes analytiques pour trouver les solu-
tions, ces solutions portées dans E donnent :
■ Remarque 2 : les expressions (6) et suivantes ne sont pas les
seules que l’on puisse utiliser. Il peut être intéressant d’appliquer E0 ≡ 0
des différences en avant pour une dérivée partielle, et des diffé-
rences en arrière pour les autres, et non l’une et l’autre dans une Si cela n’est pas le cas, si l’on se donne une solution arbitraire,
même différence partielle, comme on l’a fait pour l’expression (15). mais approchée, on obtiendra :
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ÉQUATIONS AUX DÉRIVÉES PARTIELLES ____________________________________________________________________________________________________
Sous une forme plus générale, on peut utiliser la fonction de Dirac 2.2.3 Méthode des moments
(qui relève en réalité de la théorie des distributions) définie par :
+ Le terme moment est emprunté à la statistique.
δ ( x ) dx = 1 pour → 0 On utilise la relation (49) :
–
δ(x ) = 0 (50)
pour x ≠ 0
et
δ(x ) = ∞ pour x = 0 wi d D = 0 i = 1, … , N
D
autrement dit, l’idéalisation d’une fonction très grande dans un
wi est pris, dans le cas d’un problème à une dimension, dans la suite :
intervalle très petit qui détermine une aire totale égale à 1.
On conçoit que, pour discrétiser une fonction Φx , il suffit de la x, x 2, ..., x N (56)
multiplier par la fonction de Dirac.
En remplaçant par sa valeur, la relation :
On écrira donc que :
A ( Σ α k Φ k ) – p δ ( x i ) dD = 0 (51)
D
A ( u 1 ) – p x i dD = 0 (57)
D
donne les N valeurs des αk à partir des N relations ainsi obtenues.
ce qui exprime que, pour un xi donné, la solution par les αk Φk
vérifie l’équation aux dérivées partielles :
δ ( xi ) = 0
2.2.4 Méthode de Galerkin
pour x ≠ x i
et δ ( x i ) dD = 1
(52) Les fonctions de pondération adoptées sont celles qui permettent
d’approcher la fonction cherchée.
i étant successivement pris égal à 1, ..., N. Les relations (47) et (48) conduisent à :
Les Φk étant des fonctions des xi , on aura des équations linéaires N
en αk .
Exemple
= A
∑k=1
αk Φk – p
(58)
∂2 Ψ ∂2 Ψ
------------ + ------------ = 0 On écrit que le résidu est orthogonal aux fonctions Φi , avec i ≠ k :
2 2
∂x 1 ∂x 2
∑
N
On pose :
Ψ = a 1 Φ 1 (x 1 , x 2 ) + a 2 Φ2 (x 1 , x 2 ) D
A
k=1
α k Φ k – p Φ i dD = 0 i = 1, …, N (59)
D
∂2 Φ1 ( x 1 , x 2 )
a 1 ---------------------------------------
∂x 1
2
∂2 Φ1 ( x 1 , x 2 )
+ a 1 ---------------------------------------
∂x 2
2
∂ 2 Φ2 ( x1 , x2 )
+ a 2 -------------------------------------
∂x 1
2
-
Exemple : équation de Poisson
∂2 u ∂ 2 u
(53) - = c
----------2- + ----------- (60)
∂2 Φ (x 1 , x 2) ∂x ∂y 2
2
+ a 2 ---------------------------------------
2
δ ( xi ) d D = 0
∂x 2 Conditions aux limites (figure 3) :
u = 0 pour x = 0, x = a, y = 0 et y = b
Les fonctions Φ1 et Φ2 seront, selon la nature du problème, des
polynômes, des fonctions trigonométriques, etc. On prend comme approximation :
u 1 = α x (x – a ) y (y – b )
2.2.2 Méthode des moindres carrés = α (x 2 – ax ) (y 2 – by ) (61)
L’intégrale (59) s’écrit ici :
On minimalise l’intégrale du carré de l’erreur.
a b
∂ 2 u1 ∂ 2 u1
Soit F cette intégrale : - + ------------ – c ( x 2 – ax ) ( y 2 – by ) dx dy = 0
----------- (62)
0 0 ∂x 2 ∂y 2
F = D
2 dD = D
A ( u 1 ) – p A ( u 1 ) – p dD (54) On calcule les dérivées partielles :
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π πx
a b
--------- = ----- α 1 cos -------- + --------- α 2 cos ------------
dy 3π 3πx
2α ( y 2 – by ) + 2α ( x 2 – ax ) – c ( x 2 – ax ) ( y 2 – by )dx dy = 0 (64) dx
0 0
5 c ( x 2 – ax ) ( y 2 – by ) π
----
2 πx 2 2
- α 1 sin -------- + --------- α 2 sin ------------
3π 3πx
u 1 = --------------------------------------------------------------
- dx – Py 0 (73)
2 (a 2 + b 2) (66)
0
x2
F = I ( f, f x , x ) dx (68)
x1
avec f (x 1 ) = f (x 2 ) = 0
I étant une fonction,
fx = ∂f / ∂x
On remplace f par son expression approchée (67).
Pour que F soit stationnaire, il faut que :
∂F
----------- = 0 i = 1, 2, …, N (69)
∂α i
1 d2 y 2
---------
f = ----- E I - dx – Py 0 (70)
2 dx 2
0
πx
y = α 1 Φ 1 + α 2 Φ 2 = α 1 sin -------- + α 2 sin ------------
3πx
(71)
Figure 4 – Poutre sur deux appuis, chargée en son milieu
qui satisfait aux conditions aux limites :
πx πx
— pour x = 0 ; -------- = 0 , sin -------- = 0 et sin ------------ = 0
3πx
(72)
πx πx
— pour x = ; -------- = π , sin -------- = 0 et sin ------------ = 0
3πx
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Références
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