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Introduction Valeur d’arrivée : volume de consommation= p0q t

La notion développement est employée au moment de Valeur de départ = p0q0


la révolution industrielle en Europe ; elle est constituée
T.C en Qte = (qt – q0) / q0
le thème central du livre d’Adam Smith « recherche
IPC : indice des prix à la consommation : c’est un
sur la nature et les causes de la richesse ».
indice de Laspeyres des prix chaîné annuellement.
La notion sous développement est attribuable à
Terme d’échange net : c’est un indicateur qui donne
l’ancien président américain Harry Truman dans le but
l’évolution des prix des différents produits importés
d’aider les pays sous-développés pour permettre à tous
et exportés.
ces pays d’atteindre un niveau élevé de bien être
Te = (indice des prix à l’exportation / indice des prix
économique et social.
à l’exportation) * 100
L’expression « tiers monde » renvoyant la notion tiers
Indicateur de dimension :
Etat a été proposé par Alfred Sauvy pour designer les
(Valeur réelle – valeur minimum) / (valeur maximum
pays qualifiés de sous développés qui sont en retard
– valeur minimum)
par rapport aux économies industrialisés.
Indicateur de développement humain (IDH) :
Mesure de l’évolution d’une variable
IDH= 1/3(IEV +IE+IP)
Taux de croissance ou variation relative  : mesure la
 L’espérance de vie (IEV)
variation en pourcentage de deux valeurs initial et final
T.V.R= (Vf – Vi / Vi) * 100  Le niveau d’instruction (La taux
La variation absolue : c’est la différence entre une d’alphabétisation des adultes et le taux
valeur initial et une valeur final. d’enrôlement brut combiné) (IE ; log (x))
VA= |Vf – Vi| IE= 2/3 IAA+ 1/3 IEB
Le coefficient multiplicateur : est le rapport entre deux  Le niveau de PIB par habitant (IP)
valeurs d’une même grandeur économique. IDH est un indice compris entre 0 et 1.
CM= Vf / Vi Elasticité : indique l’intensité du lien qui unit deux
Si CM>1 : Augmentation variables (effet d’une hausse du prix sur la quantité
Si CM<1 : baisse consommée ; effet d’une hausse du revenu sur les
Indice élémentaire : c’est un indice qui permet quantités consommées.
d’interpréter l’évolution d’une variable par rapport à E= variation relative de l’effet / variation relative de
une année de base. la cause
I= (Vf / Vi) * 100 E= (∆y/y) / (∆x/x)
Si I > 100  Hausse E.revenu E.prix
Si I < 100  Baisse Parfaitement inélastique e=0 e=0
Indice synthétique : il s’agit de synthétiser plusieurs Inélastique 0<e<1 -1<e<0
indices élémentaires en indice unique. élasticité unitaire e=1 e=-1
Indice de laspeyres : c’est la moyenne arithmétique élastique 1<e e<-1
pondérée des indices élémentaires par les coefficients
de la date de référence. Taux de croissance globale : (noté R) il indique le
 Laspeyres des prix : taux d’accroissement sur l’ensemble de la période
Lt /0 (P) = [  ( ptq0 ) / (p0q0 )] *100 1+R = (1+ r1)* (1+r2)*… (1+ri)
 Laspeyres des quantités : Donc : R= (1+ r1)* (1+r2)*… (1+ri) – 1
(r1 : première année ; r 2 : 2eme année ;…)
Lt /0 (Q) = [  ( p0qt ) / (p0q0 )] *100 Taux de croissance annuel moyen (TCAM) :
Indice de Paashe : c’est la moyenne arithmétique
pondérée des indices élémentaires par les coefficients
TCAM = n(1+taux de croissance de période) -1
de la date courante.
 Paashe des prix :
Pt /0 (P) = [  ( ptqt ) / (p0q t )] *100
 Paashe des quantités :
Pt /0 (Q) = [  ( ptqt ) / (ptq 0 )] *100 Indice de
Indice Fisher :
Ft /0 =  (Lt / 0 * Pt / 0 )
Taux de croissance en volume : mesure l’évolution des
quantités en supprimant l’effet des variations de prix
T.C en volume = (valeur d’arrivée – valeur du départ) /
valeur de départ
Croissance et fluctuations économiques résidents pour être utilisés dans la production.
Les variations d’une série temporelle se composent : - le facteur travail :
- la tendance ou variation séculaire  Sur le plan quantitatif :
- la variation cyclique il est constitué par la population active et on
- la variation saisonnière note aussi l’effet de l’accroissement
- la variation irrégulière ou accidentelle démographique sur la croissance économique
- la croissance et les fluctuations. par l’accroissement de la production et
Les fluctuations économiques : se sont les l’élargissement de la demande.
mouvements de hausse et de baisse qui affectent les  Sur le plan qualitatif :
économies sociales portant sur les différents grandeurs la quantité de travail ne suffit pas, il faut
économiques. vérifier la qualité de travail (degré de
Le cycle économique : est un concept qui définit les qualification et le niveau d’éducation de la
variation ou les fluctuations de l’activité économique main d’œuvre).
Décomposées sur plusieurs phases qui se répètent - le facteur du progrès technique :
d’une manière ordonnées. près de la moitié de la croissance économique, il
Les différentes phases du cycle économique : représente l’ensemble des innovations qui améliorent
- l’expansion : c’est une phase caractérisé par les performances d’un système productif et on
l’augmentation du volume de production et de la distingue 05 grandes formes d’innovations :
demande sur une courte période (3 à 4 ans). - nouveaux produits / nouveaux biens (GSM)
- la crise : c’est le moment de retournement - nouvelles méthodes de production
économique qui marque le début de ralentissement de (pasteurisation)
l’activité économique ;ainsi l’expansion de l’activité - nouveaux marchés (Internet)
économique se bloque et la production diminue ;le - nouvelles sources de matières (énergie
chômage augmente et aussi l’offre excède la demande nucléaire)
qui résulte la faillite des entreprise les plus fragiles. - nouvelles organisations des entreprises
- la récession : il désigne un ralentissement de (franchises)
l’activité économique succédant à une phase - le facteur du système financier
d’expansion par une simple inflexion de la croissance - le facteur de L’état
économique. les grandes phases de la croissance économique du
- la reprise : elle désigne la phase du cycle économique 20 ème siècle
qui marque un retour de l’activité économique après - les trente glorieuses dés la fin de la deuxième
une phase de récession. guerre mondiale qui se traduit par la forte
Le trend : ou la tendance exprime le comportement croissance économique.
général d’une grandeur sur une longue durée. - De 1973 à 1985 : les économies occidentales
Le développement : est une notion abstraite subissent les chocs pétroliers et connaissent
définissant plutôt l’évolution qualitative d’un pays et un fort ralentissement de la croissance
se traduisant par des évolutions démographiques, accompagné d’une explosion de l’inflation,
économiques, sociales, politiques et culturelles. il est c’est une période de « stagflation » càd la
généralement associé à la croissance stagnation de l’activité économique et de
La croissance : mesure la variation quantitative d’un l’inflation
agrégat économique « PIB » - De 1986 à 1991 : la reprise de l’activité
 la croissance extensive : réalisés grâce à une économique par le contrechoc pétrolier de
augmentation des quantités de facteurs de production 1986 et grâce à la réunification allemande.
(nouvelles usine). - De 1992 à 1997 : une récession économique à
 La croissance intensive : par une augmentation cause de la guerre du golf et la croissance
de la production à volume. économique en Europe reste stable mais U.S a
Les facteurs de la croissance : connu une phase de forte croissance.
- le facteur capital : - De 1997 à 2000 : la croissance américaine se
 actifs non financières : propage à l’ensemble de l’économie
machines, brevets ; stocks…; le capital physique mondiale.
 actifs financières : Taux de croissance économique :
valeurs mobilière (actions, obligations), liquidité ; TC= PIBt – PIB0 / PIB0
le capital financier. Le rôle du système bancaire et financière:
 L’épargne : c’est la partie il permet de mobiliser l’épargne et de le mettre à la
non consommée du revenu disposition des entreprises les moyens financières
 L’investissement : c’est nécessaires à leurs investissements.
la valeur des biens durables acquis par les unités
de production Formule de FISHER
Les facteurs non économiques de la croissance M*V=T*P
- stabilité politique M : masse monétaire, désigne la Qte de monnaie en
- système judiciaire approprié circulation dans une zone déterminée.
- souplesse des procédures administratives V : vitesse de circulation de la monnaie ; nombre
- culture d’entreprendre moyen de transactions effectués grâce à une
- confiance entre les partenaires économiques et même unité monétaire au cours d’une période
sociaux. donnée
La croissance économique : est l’augmentation V :volume des transactions ;
quantitative sur longue durée plus de 10 ans des T : niveau général des prix.
principales grandeurs. Le taux d’inflation (le taux de croissance des
L’inflation prix) :
L’inflation : est une hausse continue du niveau général P= m - t
des prix ou une baisse du pouvoir d’achat des actifs P : taux d’inflation
monétaires. M : taux de croissance des transactions
La déflation : une baisse du niveau général des prix ou T : taux de croissance des moyens de paiement
une augmentation du pouvoir d’achat de la monnaie. Inflation structurelle :
La désinflation : réduction de la hausse des prix. Cette explication met en avant l’idée que l’inflation
Stagflation : situation ou il y a une forte inflation et provient du mode de fonctionnement inhérent au
fort taux de chômage. système capitaliste : marché oligopoliste et prix
La mesure de l’inflation : rigides à la baisse et subi sous des facteurs tel que la
 stade de la production : on calcule l’indice des négociation salariale et l’intervention de l’état.
prix à la production qui permet de mesurer La relation entre inflation et chômage
l’évolution des prix départ d’usine Il existe une relation inverse entre le chômage et
 au stade du commerce de gros : on calcule l’inflation est du à une insuffisance de la demande. un
l’indice des prix de gros qui permet de mesurer conflit entre stabilité des prix et le plein emploi.
l’évolution des prix des produits finis offerts sur le L’inflation importée
marché national. - la hausse des couts des importations : la
 Au stade du commerce de détail : on calcule hausse des prix des matières premières, bien,
l’indice à la consommation appelé aussi indice du équipement interviennent dans la production.
cout de la vie. - L’augmentation de la liquidité : elle considère
Typologie d’inflation : qu’un afflux (sortie) de devises accroit
- Inflation rampante ou larvée ; les hausses des (diminue) la liquidité de l’économie.
prix sont inférieurs à 5%. - L’accroissement des revenus : le surplus
- Inflation ouverte : entre 6% et 30% d’exportation accroit le revenu national et la
- Inflation galopante : entre 30% et 1000% demande globale intérieure. en période de
- Hyperinflation ; le taux des hausses des prix est plein emploi, cet excès de demande est
plus que proportionnel, la monnaie ne peut plus inflationniste.
être utilisé comme un moyen de paiement ; L’inflation et la fiscalité  : pour la réduction du
- Inflation réprimée : elle est le résultat d’une déficit public se traduit par une augmentation des
politique de rationnement adoptée par un taxes spécifiques et de la fiscalité indirecte, cette
gouvernement pour réglementer les prix. augmentation es répercutée automatiquement par les
Les théories d’inflation : Ese dans les prix.
- inflation par la demande : c’est la hausse des Les politiques de lutte contre l’inflation :
prix causée par un excès de la demande globale - une politique monétaire restrictive peut
sur l’offre globale. permettre de combattre l’inflation par la
- Inflation par les couts : elle désigne demande et les anticipations d’inflation.
l’augmentation des prix qui résulte de la hausse - Une politique budgétaire axé par la réduction
des couts de production et surtout est centré sur des dépenses et le financement non monétaire
la hausse des salaires. du déficit.
- Inflation par la monnaie : la des prix résulte - La politique de contrôle des prix :
d’une croissance de la masse monétaire - La politique des revenus
beaucoup plus importante par rapport à - La politique de la concurrence.
l’augmentation du volume de la production.
- du niveau de formation
Le problème du chômage les tendances d’évolution fac. Travail à long terme
Le chômage : état de personne sans emploi, - la diminution du temps de travail
disponible pour travailler et recherchant effectivement - la flexibilité de travail
un emploi. - la mécanisation des taches pénibles
Le chômage partiel : réduction temporaire par une - la complexité croissante du travail
entreprise du volume d’heures travaillées à effectif l’emploi : désigne l’utilisation d’un individu par un
constant à la suite d’une baisse conjoncturelle de autre individu ou par une institution visant à réaliser
l’activité. un travail en contrepartie une rémunération.
Le chômage classique : chômage considéré comme Les problèmes de l’emploi :
volontaire, du à une rentabilité insuffisante de la - le droit au travail
production qui incite les entreprises à ne pas - la sécurité de l’emploi
investir.une faiblesse de l’offre. - la durée du travail
Le chômage keynésien : considéré comme - les conditions de travail
involontaire, du à une insuffisance de la demande de le sous-emploi : il s’agit de personnes travaillent à
biens et services anticipé par les Ese ce qui conduit ces temps partiel et recherchant un emploi à temps plein
dernières à limiter la production et donc l’emploi. ou à temps partiel supplémentaire.
La théorie du salaire d’efficience: le salaire est - le chômage saisonnier : l’ensemble des
fonction de la productivité du travail, la variation de la activités qui se déroulent selon un cycle qui
productivité du travail du salarié dépendra de son n’est pas constant dans le temps
salaire ce explique la rigidité à la bisse des salaires - le chômage déguisé : c’est la partie
donc le salaire d’efficience est le salaire réel qui fondamentale du sous emploi, l correspond au
correspond à l’effort optimal d’un salarié.les chômeurs nombre de travailleurs salariés ou non que
qui désirent travailler à un salaire inferieur ne peuvent l’on peut retirer d’un secteur sans réduire sa
pas être embouché par la craigne de perdre les salariés production.
compétant. Typologie du chômage
La théorie de la segmentation du marché du travail - le chômage frictionnel : il résulte d’une
 Le marché primaire : caractérisé par des insuffisante mobilité ou de qualification de la
salaires élevés, une garantie de l’emploi, des main d’œuvre.
avantages importants - Le chômage conjoncturel : résulte d’un
 Le marché secondaire : présente des ralentissement plus ou moins durable de
caractéristiques inverses, le niveau des salaires l’activité économique due à la baisse de la
est fi sans tenir compte de l’état réel du marché demande des consommateurs.
Le modèle insiders-outsiders - Le chômage structurel : est un chômage
Ce modèle considère la rigidité des salaires est due à la chronique, permanent et de longue durée, il
pratique d’un pouvoir par les insiders (salariés provient d’un déséquilibre durable du
expérimentés) qui ont une influence sur le niveau fonctionnement du marché du travail
d’embauche. Et se soit solide par la ‘existence de - Le chômage volontaire : est un individu qui
syndicats qui renforce le pouvoir de négociations des préfère le chômage à un emploi inferieur à sa
insiders. l’application de ce pouvoir leur permet de qualification
garder des salaires réels supérieurs à la fois au salaire - Le chômage technologique : est provoqué par
de réservations des outsiders et au salaire d’équilibre la substitution de la machine à l’homme
du marché de travail. Les déterminants de la productivité
Le taux de chômage : - le capital physique : les structures et les
Taux de chômage = Nbre de chômeurs / population équipements sont développés, plus les
active * 100 travailleurs ne produisent
Le tau d’activité : - le capital humain plus les travailleurs sont
Taux d’activité = population active / population globale formés, plus ils produisent
* 100 - la compétence technologique :plus les
Population active : est le nombre de travailleurs technologies appliqués , plus ils produisent
disponibles à un moment donné (ayant un emploi ou en la productivité :
cherchant un) productivité= production / facteurs utilisés
Population globale : comprend tous les habitants productivité du travail= production / effectif engagé
résidents d’un pays à un moment donné. dans la production
Les caractéristiques du travail : productivité horaire de travail= production / nombre
d’heures de travail.
- des catégories socioprofessionnelles
- type de contrat de travail
la balance des paiements Utilisation des comptes de la balance des
la balance des paiements : est un document statistique paiements :
qui présente l’ensemble des flux entre une économie et La banque centrale utilise les CBP pour surveiller le
le reste du monde durant une période donnée. taux de change du DH et le montant des réserves en
Les transactions qui sont une entrée de fonds (crédit) devises étrangères. Pour élaborer des études tel que
sont inscrites à gauche payés donc une demande du les nouvelles politiques concernant les droits
dirham marocain tarifaires ; le libre d’échange
Les transactions qui sont une sortie de fonds (débit) La balance commerciale :
sont inscris droite, elle représente un paiement du La balance commerciale : exportations – importations
Maroc, c’est une offre de dirhams marocain avec de Le compte des transactions courantes : recense
moyens de paiement internationaux. toutes les opérations définitives d’un pays qui ne
La balance de paiements répond que : seront pas suivies ultérieurement d’un flux en sens
- les actifs financières étrangers détenus par le inverse ; si négative : la nation s’endette vis-à-vis de
pays ont ils augmenté ou diminué. l’extérieur et si positive la nation dégage une épargne
- Les actifs nationaux détenus par les étrangers qu’elle peut placer à l’étranger.
ont ils augmenté ou diminué Le solde de la balance des capitaux : un solde
- Les avoirs financières nets sur l’étranger ont ils excédentaire n’est pas tjrs synonyme d’amélioration
augmenté ou diminué de la situation économique ; un solde positif peut être
- Le pays s’est il enrichi ou appauvri par rapport obtenu en période de récession lorsque
le reste du monde. investissement et consommation stagnent ce qui
Les comptes de balances de paiements limite les importations donc le signe positive est
Le compte courant : ce sont les paiements effectués à signe d’épargne et non de compétitivité.
la suite de transactions commerciales sur les biens et Le taux de couverture : il permet de comparer les
services : exportations et les importations
- la balance commerciale : qui enregistre les Taux de couverture = exportations / importations
importations et exportations de biens. x 100
- La balance des services : regroupe toutes les Les termes de l’échange : cet indicateur permet de
transactions internationales sur les services et mesurer des évolutions
on trouve aussi les intérêts sur la dette prix des exportations / prix des importations
publique ; les dividendes le degré d’ouverture d’une économie : il mesure la
- Les transferts : il n’y a pas d’échange de valeur place qui tienne l’environnement extérieur (les autres
mais simplement une transaction unique sans économies) dans l’économie nationale.
contrepartie (dons ; héritages ; bourses ; aide = moyenne des exportations et importations / PIB
officielle ; capitaux des immigrants) Taux de pénétration et effort à l’exportation : il
Le compte de capital : qui retrace les transferts en indique la part du marché intérieur qui est couverte
capital entre un pays et l’étranger (acquisition d’actifs par les importations.
non financières tels qu’achats/ventes de brevets et = importations / marché intérieur x 100
remises de dettes) Marché intérieur
Transaction financières : ce sont les transactions Marché intérieur = production nationale +
financières entre les résidents marocains et le reste du Importations – Exportations
monde ; les flux financières correspondent aux Effets à l’exportation :
investissements directs réalisées par les entreprises Effets à l’exportation = Exportation / Production x
nationales à l’étranger et par les entreprises étrangères 100
au Maroc ou bien aux investissements de portefeuille Le taux de change : est le prix d’une monnaie
(achat ou ventes d’actions et d’obligations). exprimé en une autre monnaie.
- les capitaux à court terme : càd toute transactions sur La dévaluation : consiste à diminuer la valeur de la
des titres ayant une date d’échéance inferieur à monnaie nationale par rapport la monnaie de
un an(les transferts de monnaie) référence ; elle a pour conséquence d’augmenter le
- les capitaux à long terme : se sont les transactions nombre d’unités de la monnaie nationale nécessaires
sur les autres titres financières on peut pour obtenir une unité de monnaie étrangère.
distinguer les investissements directs et les La réévaluation : est l’opération symétrique de la
investissements de portefeuille dévaluation.
avoirs en réserves : ce poste est la contrepartie du La dépréciation : lorsque la monnaie perd sa valeur
solde global des autres postes ; les variations dans les suite à son offre abondante par rapport à sa demande
réserves sont les transactions effectuées par la banque l’appréciation sa valeur augment résultant l’excès de
centrale sur le marché des changes en utilisant les sa demande sur le marché des changes.
réserves en devises étrangères. Les formes de la pauvreté :
Les déterminants de taux de change dépend de : la pauvreté monétaire (une approche restrictive) :
- solde des transactions courantes : s’il est le niveau de revenu nécessaire tel que défini par la
excédentaire donc le taux de change s’apprécie banque mondiale pour répondre aux besoins primaire
et s’il est déficitaire il va se déprécier. de la survie et d’un dollar par jour (le seuil de
- Des différences d’inflation entre les pays : s’il pauvreté).
y a une inflation ; la monnaie locale va se L’approche des conditions d’existence : elle définit
déprécier et va s’apprécier si les prix locales la pauvreté en termes de privations dans différents
sont inferieurs par rapport à ceux de l’étranger. domaines de conditions d’existence des ménages
Selon la théorie de la parité du pouvoir d’achat. L’approche subjective : si d’interroger directement
- Au taux d’intérêt : lorsque le taux d’intérêt les ménages sur la perception qu’ils ont de leur
dans le pays sont supérieur à ceux proposés à réalité.
l’étranger ; il en résulte une hausse de la Indicateur simple : se réfère à un aspect particulier
demande de la monnaie locale ce qui entraine de la pauvreté
son appréciation. Indicateur composite : prend en compte deux ou
- La liquidité d’une économie : si la masse plusieurs aspects de la pauvreté
monétaire augmente plus dans un pays ; cela L’utilité monétaire métrique : un montant d’argent
provoque l’inflation cette inflation décourage minimal requis pour maintenir un niveau de bien être
les exportations et encourage l’importation ce correspondant à un niveau de satisfaction donné.
qui aboutit au déficit de la balance Les exemples d’indicateurs :
commerciale. - la consommation qui peut être mieux mesurée
- De la spéculation : si les agents économiques que le revenu et reflète le niveau de vie réel
anticipent la dépréciation d’une monnaie ;il d’un ménage.
peuvent la vendre sur le marché des changes ce - L’état de santé des membres d’un ménage
qui contribue automatiquement à sa - Le niveau d’alphabétisation
dépréciation puisque l’offre et la demande de - Sur les perceptions des personnes
cette monnaie va augmenter sur le marché des interviewées ou sondage
changes. - Indicateurs combinant plusieurs approches tel
Fonctionnement du marché des changes : que l’IDH
- les changes flottants : il peut être défini par Seuil de pauvreté : sont des points limites pour un
l’absence d’intervention de la banque centrale indicateur donné qui sépare les pauvre de non pauvre
et cela confronté par l’offre et la demande. Le seuil relatif de pauvreté : est fixé en fonction de
- Les changes fixes : les banques centrales la distribution de revenu dans la population étudiée.
interviennent dans le mécanisme de change Le seuil absolu de pauvreté : est souvent établi sur
pour garantir la fixité des cours de change. une base biologique qui fait référence à un panier
- minimal de service et bien nécessaires à la survie de
Pauvreté et inégalité la personne.
La pauvreté : un état de dénuement individuel ou Les étapes de l’estimation de la pauvreté :
collectif qui place l’homme dans une situation de - on détermine le SP alimentaire sur la base des
manque ou d’insatisfaction de ses besoins vitaux besoins nutritionnels
essentiels. - on estime la valeur de la composante non
- Le profil de la pauvreté : il fournit des informations alimentaire au prorata du seuil alimentaire
sur l’ampleur ; l’évolution et la structure de la selon les habitudes de consommation des
pauvreté ;il permet d’effectuer une analyse individus.
différentielle de la pauvreté selon les différents groupes - On détermine le seuil global de pauvreté en
de la population par l’approche monétaire. considérant la somme de la composante
Les objectifs du millénaire pour le développement : alimentaire et non alimentaire.
- réduction de l’extrême pauvreté et de la faim Les différents seuils :
- assurer l’éducation primaire pour tous - seuil basé sur la norme monétaire
- promouvoir l’égalité des sexes et internationale
l’autonomisation des femmes - seuil basé sur les besoins essentiels
- réduire la moralité des enfants de moins de 5 - seuil basé sur les perceptions
ans - seuils de pauvreté combinés
- améliorer la santé maternelle les indices de la pauvreté : sont des fonctions
- combattre le SIDA statistiques qui comparent l’indicateur du bien être du
- assurer un environnement durable ménage
- mettre en place un partenariat mondial pour le
développement. les indicateurs élémentaires de développement
durable :
l’incidence de pauvreté : mesure la part de la - Taux de croissance du PIB réel par habitant :il
population dont la consommation est inferieur au seuil rend compte de l’activité économique et de la
de pauvreté. création de valeur qui en résulte.
H= Q / n - Emissions totales de gaz à effet de serre (le
Profondeur de pauvreté : indique la distance à changement climatique) : la réduction des
laquelle les ménages se trouvent par rapport au seuil de émissions de gaz à effet de serre constitue un
pauvreté enjeu majeur
PG= 1/n ∑ (z-y) / z) - La consommation d’énergie des transports :
Z : représente le SP implique le choix de modes de transports plus
Y : la dépense de consommation économes en énergie et respectueux de
Sévérité de pauvreté : est la moyenne des carrés des l’économie.
écarts entre le niveau de consommation et le seuil de - La productivité des ressources : il vise le
pauvreté. découplage entre croissance économique et
PG= 1/n ∑ (z-y) / z) 2 utilisation es ressources naturelles et des
Coefficient d’inégalité de Gini : il s’agit de la mesure matières premières
de l’inégalité la plus utilisée qui varie entre 0 qui - Indice d’abondance des populations d’oiseaux
traduit une égalité complète et 1 qui indique une communs : la surexploitation des ressources
inégalité totale. halieutique constitue une préoccupation
Ratio de dispersion des déciles : il correspond au ratio majeure pour la planète.
de la consommation ou du revenu moyen des 10 pour - L’espérance de vie en bonne santé : il s’agit
cent les plus riches de la population divisé par celui des d’assurer aux habitants les meilleures
10 pour cent les plus pauvres. conditions de soins pour mieux vivre.
Part du revenu et de la consommation des X pour - Le taux de pauvreté :il prend les inégalités de
cent les plus pauvres : un des inconvénients partagés revenus.
par les coefficients de GINI et les indices de Theil est - L’emploi des travailleurs âgés : il renseigne
le fait qu’ils varient en même temps que la distribution. sur la capacité d’une société à prendre en
charge le bien être des personnes âgées.
- L’empreinte écologique : est un outil qui
Le problème du développement durable cherche à qualifier la soutenabilité en
comptabilisant les capacités régénératives du
Le développement durable est le développement qui capital naturel critique
répond aux besoins du présent sans compromettre la - Bio capacité : donc on parle de la capacité
capacité des générations futures de répondre aux leurs. biologique donné par la terre et de mer pour
Les principaux déterminants du développement assouvir les besoins de l’humanité.
durable : Indice du développement humain
- l’équité sociale Indice de niveau de vie = [log (revenu médian) –
- la préservation de l’environnement log(100)] / [log(4000) – log(100)]
- l’efficacité économique Indice d’instruction- diplôme = (valeur mesurée – 50)
les différents enjeux du développement durable : / (100 – 50)
 les enjeux environnementaux : Indice de santé = (valeur mesurée – 25) / (85 – 25)
- le réchauffement climatique Indice de pauvreté Humaine(IPH)
- l’érosion de la biodiversité IPH-1 : pour les pays en développement
- épuisement et pollution des ressources IPH-2 : pour les pays développés
naturelles IPH = [1/3 * (P13 +P23+P33)] 1/3
 les enjeux sociaux : basés sur les IPH = [1/4 * (D3 +I3+C3+P3)] 1/3
problèmes sociaux des économies par le partage D : probabilité de décéder avant 60 ans
des richesses entre la population. I : taux d’illettrisme
 les enjeux économiques : la plupart des C : taux de chômage de longue durée
économies sont libérales basé sur la concurrence et P : taux de pauvreté monétaire
la liberté et on note une répartition des richesses
est inégales.
 Les enjeux démocratiques : il passe
par la mise en œuvre de relations nouvelles entre
les citoyens et les autorités publiques

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