Beruflich Dokumente
Kultur Dokumente
CHAPITRE III
Statistique des champs diffractés et de la
différence de phase
III.1. Introduction:
III.3.1. Densité de probabilité conjointe des amplitudes de diffraction dans les deux
polarisations
27
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
CHAPITRE III
III.1. Introduction:
D’après les relations (II.35), les parties réelle et imaginaire de l’amplitude de diffraction
sont données sous la forme suivante :
Re[ A1(1) ( )] Re( K a ) Re[ aˆ ( )] Im( K a ) Im[ aˆ( )] Re( K b ) Re[bˆ( )] Im( K b ) Im[bˆ( )]
Im[ A(1) ( )] Im( K ) Re[ aˆ ( )] Re( K ) Im[aˆ ( )] Im( K ) Re[bˆ( )] Re( K ) Im[bˆ( )]
1 a a b b (III.1)
où
28
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
0 k1 (sin sin 0 ) (III.2)
et
L/ 2 L/ 2
1 1
Re[cˆ( )]
L
c( x) cos(x)dx ; Im[cˆ( )]
L / 2 L
c( x) sin(x)dx
L / 2
(III.3)
Les variances et la covariance des parties réelle et imaginaire de la fonction aléatoire A1(1) ( )
dépendent des variances et des covariances associées aux différentes grandeurs Re[cˆ( )] et
covariance RI des parties réelle et imaginaire de l’amplitude de diffraction sous les formes
suivantes :
R2 Re 2 [ A1(1) ( )] Re 2 ( K a ) Re 2 ( aˆ ( )) Im 2 ( K a ) Im 2 ( aˆ ( ))
Re2 ( K ) Re2 (bˆ( )) Im 2 ( K ) Im 2 (bˆ( ))
b b
I2 Im 2 [ A1(1) ( )] Re2 ( K a ) Im 2 ( aˆ ( )) Im 2 ( K a ) Re 2 ( aˆ ( ))
Re2 ( K ) Im 2 (bˆ( )) Im 2 ( K ) Re 2 (bˆ( ))
b b
Re( K b ) Im( K b ) Re2 (bˆ( )) Im 2 (bˆ( )) (III.6)
Im( K K ) Re( aˆ ( )) Re(bˆ( )) Im( aˆ ( )) Im(bˆ( ))
a b
D’après les calculs présentés dans la référence [12-13], les variances des parties réelle et
29
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
2
1 L/2
Ra
2
Re 2 A a x cos x dx
L L / 2
(III.7)
1 L/2 L/ 2
a x a x' cos x cos x' dxdx'
L L / 2 L / 2
2
1
Ia2 Im 2 A
L/ 2
a x sin x dx
L L / 2
(III.8)
1 L/ 2 L/ 2
a x a x' sin x sin x' dxdx'
L L / 2 L / 2
Avec : 0
On a:
1
cos x cos x' cos x' x cos x' x
2
(III.9)
1
sin x sin x' cos x' x cos x' x
2
D'où :
1 L/ 2 L/ 2
a( x )a( x') cos x' x cos x' x dxdx'
2L L / 2 L / 2
Ra
2
(III.10)
1 L/ 2 L/ 2
a( x )a( x') cos x' x cos x' x dxdx'
2L L / 2 L / 2
Ia2
1 L/ 2 L/ 2
a( x )a( x ) cos cos 2x dxd
2L L / 2 L / 2
Ra
2
(III.11)
1 L/ 2 L/ 2
a( x )a( x ) cos cos 2x dxd
2L L / 2 L / 2
Ia2
En se rappelant que a(x) est nulle en dehors de l’intervalle [-L/2, +L/2], et en supposant
que la largeur des zones de transition entre les zones planes et la zone modulée de la surface
est petite devant la largeur de la surface (pour assurer la continuité des dérivées première et
30
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
1 0 L/ 2 1 L L / 2
Ra R aa ( ) cos R aa ( ) cos
dxd dxd
2
2L L 2L
L / 2 0 L/ 2
1 0 L/ 2 1 L L / 2
2L L R aa ( ) L / 2 cos 2 x dxd 2 L 0 R aa ( ) L / 2 cos 2 x dxd (III.12)
Où encore :
1 0 1 L
Ra (1 ) R aa ( ) cos d (1 ) R aa ( ) cos d
2
2 L L 2 0 L
L / 2 (III.13)
sin 2 x sin 2 x
L/ 2
1 0 1 L
+
2L L R aa ( ) 2
L / 2
d +
2L
0
R aa ( )
2
L / 2
d
D'où :
1 L 1 0 sin L
Ra (1 ) R aa ( ) cos d R aa ( ) d
2
2 L L 2L L
(III.14)
1 L sin L
2L
0
R aa ( )
d
Où encore :
1 L 1 L sin L d
Ra (1 ) R aa ( ) cos d L aa
2
R ( ) (III.15)
2 L L 2L
Finalement :
1 1
) sin c L R aa ( )d
L L
Ra (1 ) R aa ( ) cos d (1
2
2 L L 2 L L
(III.16)
1 1
L ( 1 L ) sin c L R aa ( )d
L L
Ia2
2 L ( 1 L ) R aa ( ) cos d 2
où sincx sin x / x . Nous pouvons par ailleurs montrer que Re[cˆ( )] et Im[cˆ( )] sont
non corrélées :
Si les surfaces sont corrélées, les covariances associées à aˆ ( ) et bˆ( ) sont non nulles
avec :
31
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
L L
1 x 1 x
Re(aˆ ( )) Re(bˆ( )) 1 cos x Rab ( x)dx 1 sinc ( L x ) Rab ( x )dx
2 L L 2 L L
L L
1 x 1 x
Im(aˆ ( )) Im(bˆ( )) 1 cos x Rab ( x )dx 1 sinc ( L x ) Rab ( x )dx
2 L L 2 L L
L
1 x
Re(aˆ ( )) Im(bˆ( )) Im(aˆ ( )) Re(bˆ( )) 1 sin(x) Rab ( x )dx
2 L L
(III.18)
Pour une valeur de donnée, les relations (III.4) à (III.5) montrent que les variables
différentes. La relation (III.6) indique que ces variables aléatoires sont corrélées quelle que soit
l’état corrélé ou non corrélé des deux interfaces. En remplaçant (III.4), (III.5) ),(III.6) ),(III.17)
dans (II.77), nous montrons que l’intensité incohérente dépend aussi de la longueur L [13] et
des fonctions d’autocorrélation et d’intercorrélation :
L
x
1 L K
cos 2 2 2
I (f 2 ) ( ) a Raa ( x ) K b Rbb ( x ) cos( x )dx
cos 0 L
(III.19)
cos 2
L
x
L 1 L 2 Re[ K a Kb exp( j x )] Rab ( x )dx
*
cos 0
incidence normale présente la même valeur en polarisation E// et H//. Dans le cas de surfaces
non corrélées, la fonction d’intercorrélation est nulle et l’expression (III.19) de l’intensité
R̂cc ( )
ˆ )) Im 2 ( c(
Re2 ( c( ˆ )) (III.20)
2
ˆ ˆ
ˆ )) Im( a(
ˆ )) Re( b(
Re( a( ˆ )) Rab ( ) Rab ( )
ˆ )) Im( b(
4
ˆR ( ) Rˆ ( ) (III.21)
Re( a( ˆ )) Im( a(
ˆ )) Im( b( ˆ )) ab
ˆ )) Re( b( ab
4j
32
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
En substituant (III.20) et (III.21) dans (III.4), (III.5) et (III.6), nous démontrons que pour
des interfaces corrélées ou non corrélées, les variables aléatoires Re[A1 ( )] et Im[ A1(1) ( )]
(1)
K a Rˆ aa ( ) K b Rˆ bb ( )
2 2
K a* K b Rˆ ab ( ) K a K b* Rˆ ab ( )
2
R
2
I (III.22)
2 2
I (2)
( )
K a Rˆ aa K b Rˆ bb
2 2
cos
2
Re K a* K b Rˆ ab ( ) cos
2
(III.23)
f
cos 0 cos 0
Nous supposons que les densités de probabilité des hauteurs des deux interfaces sont des
gaussiennes. Le caractère gaussien est conservé par opération linéaire. La transformée de
Fourier est une opération linéaire donc les transformées de Fourier des fonctions aléatoires
a (x) et b(x) sont aussi des processus gaussiens. La somme de deux processus gaussiens est un
processus gaussien. En conséquence, les amplitudes de diffraction sont des processus gaussiens
1 1 x2 xy y2
p RI ( x, y ) exp 2 (III.24)
2 R I (1 2 ) 2(1 2 ) 2 R I I2
R
(III.25)
R I
Re A1 M cos
(III.26)
Im A1 M sin
33
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
En intégrant par rapport à , on obtient la densité de probabilité du module de
l’amplitude définie pour m 0 :
2
m m2 1 1 m2 1 1 2 (III.28)
pM ( m ) exp 2
2
I
0 4( 1 2 ) 2 2 4
R I 1 2 4( 1 ) R I
2
R I R2 I2
où I 0 la fonction de Bessel modifiée d’ordre zéro. Pour des surfaces corrélées ou non
corrélées, le module de l’amplitude de diffraction obéit donc à une loi de Hoyt [6]. La densité
1
p I d (w ) p M ( w cos 0 / cos 2 ) avec w 0 (III.29)
2 w cos / cos 0
2
La densité de probabilité de la phase est obtenue par intégration de pM ( m, ) par rapport
à m de 0 à + .
1 1 2
p ( )
2 I cos 2 sin 2 R sin 2 (III.30)
R I
Densité de probabilité
1 1 a2 ab b2
pRI ( a,b ) exp 2 2 (III.31)
2( 1 ) R R I I
2 2
2 R I 1 2
Re A1 M cos
(III.32)
Im A1 M sin
34
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
m m2 cos 2 cos sin sin 2
p M ( m , ) exp 2 (III.34)
2 R I 1 2 2( 1 ) R
2 2
R I I2
On a :
1 1 1 1 1 1 2
2 2 + cos 2 2 2 sin 2
2 R I 2 R I RI
2
1 1 1 1 1 1 2 (III.37)
= 2 2 + 4 cos 2cos sin 2sin
2 R I 2 R2 I2 R2 I2
2
1 1 1 1 1 1 2
= 2 2 + 2 2 4 2 2 cos 2
2R I 2 R I R I
Avec:
1 1 2
2 2
cos = R I ;sin =
R I
2 2 (III.38)
1 1 2
1 1 2
2 2 4 2 2 2 2 4 2 2
R I R I R I R I
m m2 1 1
p M ( m , ) exp 2
4( 1 ) R I
2 2
2 R I 1 2
2 (III.40)
m2 1 1 2
x exp
4( 1 2 ) R2 I2
4 cos 2
R2 I2
D’où:
35
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
2
m m2 1 1 m2 1 1 2 (III.41)
pM ( m ) exp
I 4
R I 1 2 4( 1 ) R I
2 2 2 0
4( 1 2 ) R2 I2 R2 I2
avec:
1
2 2
m2 1 2 1
m2 1 1 2 d
I0
4( 1 2 ) R2 I2
4
2 exp
4( 1 2 ) R2 I2
4 cos 2
R2 I2 R2 I2
(III.42)
2
m m2 1 1 m2 1 1 2 (III.43)
pM ( m ) exp 2 I 0 2 4 2 2
R I 1 2 4( 1 ) R I
2 2
4( 1 ) R I
2 2
R I
On a:
I ()
d
cos 2 Re 2 A1 Im 2 A1 cos 2 M 2
(III.44)
cos 0 cos 0
1
pI d ( w) pM ( w cos 0 / cos 2 ) (III.45)
2 w cos / cos 0
2
cos 0 w cos 0 1 1
pI d ( w ) exp 2
4cos ( 1 ) R I
2 2 2
2 cos 2 R I 1 2
2 (III.46)
w cos 0 1 1 2
I 0 4
4cos 2 ( 1 2 ) R2 I2 R2 I2
La densité de probabilité de la phase est obtenu par intégration de pM ( m, ) par rapport
à m de 0 à + .
36
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
p ( ) p M ( m , )dm
0
m2 cos 2 cos sin sin 2
exp 2
2
1 1 2( 1 ) R 2
RI I2
2 2 R I 1 2 1 cos 2 cos sin sin 2
2
2
2( 1 ) R 2
R I I2
0
(III.48)
1 1 2
2 R I cos 2 cos sin sin 2
2
R R I I2
2
D’où :
1 1 2
p ( )
2 I cos 2 sin 2 R sin 2 (III.49)
R I
Dans les deux cas de surfaces non corrélées et corrélées l’expression des densités de
probabilité du module, de l’intensité diffractée et de la phase restent les mêmes, la différence
pour chaque cas est dans les expressions des variances est covariances.
m m2
pM ( m ) exp 2
R2 2 R
w
p I d ( w ) 2 0 2 exp 2 20 (III.50)
R R
1
p ( )
2
I2 sont égales. En conséquence, le module du champ diffracté à grande distance suit une loi
de Rayleigh, l’intensité de diffraction suit une loi exponentielle et la phase est uniforme sur
; . Ce résultat est établi pour des interfaces corrélées ou non corrélées. La forme des
densités de probabilité ne permet donc pas de différencier l’état corrélé de l’état non corrélé.
De plus, dans un précédent travail [4], le champ diffracté par une simple interface obéit aux
mêmes lois de probabilité que le champ diffracté par deux interfaces (seuls changent les
37
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
paramètres de ces lois). La forme des densités de probabilité ne permet pas non plus de
différencier la simple surface du milieu stratifié.
m m2
pM ( m ) exp 2 Pour m 0 (III.51)
R2 2 R
cos 0 w cos 0
pId ( w ) exp 2 Pour w 0 (III.52)
2 R2 cos 2 2 R cos
2
1
p ( ) pour ; (III.53)
2
III.3.1. Densité de probabilité conjointe des amplitudes de diffraction dans les deux polarisations
Nous supposons que les densités de probabilité des hauteurs des deux interfaces sont des
gaussiennes. Le caractère gaussien est conservé par opération linéaire. La transformée de Fourier est
une opération linéaire donc les transformées de Fourier des fonctions aléatoires a(x) et b(x) sont
aussi des processus gaussiens. La somme de deux processus gaussiens est un processus gaussien. En
conséquence, les amplitudes de diffraction Aˆ1(1) ( ) sont des processus gaussiens de la variable .
D’après les parties réelle et imaginaire de l’amplitude de diffraction à l’ordre 1 sont données sous la
forme suivante :
(III.54)
où
0 k1 (sin sin 0 )
(III.55)
(III.56)
38
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
RE , H ( ) I E , H ( ) 0
(III.57)
conjointe gaussienne :
1 1 T
p R E I E R H I H ( a,b ,c ,d ) exp a,b ,c ,d 1 a,b ,c ,d
4 2
det( ) 2
(58)
où est la matrice de covariance :
R2E RE I E RE RH RE I H
R I I E RH IE IH
2
IE
E E
RE RH I E RH R2H RH I H
IE IH RH I H I2H
RE I H
(III.59)
Pour une longueur de déformation finie, nous montrons dans la référence [17] que la partie réelle et la
partie imaginaire de l’amplitude dans une polarisation donnée sont des variables aléatoires gaussiennes
centrées, corrélées et de variances différentes. Le module de l’amplitude de diffraction suit une loi de
Hoyt et la phase n’est pas uniforme sur [ , [ . Mais, pour une longueur infinie et dans une
polarisation donnée, les parties réelle et imaginaire de l’amplitude de diffraction sont non corrélées et
de mêmes variances. Le module obéit alors à une loi de Rayleigh et la phase est uniforme quel que soit
2 2
K a , E ( ) Rˆaa ( 0 ) K b , E Rˆbb ( 0 )
( ) ( )
2
RE
2
IE Re K a*, E ( ) K b, E ( ) Rˆ ab ( 0 )
2
(III.60)
2 2
K a , H ( ) Rˆaa ( 0 ) Kb , H Rˆbb ( 0 )
( ) ( )
2
RH
2
IH Re K a*, H ( ) K b , H ( ) Rˆab ( 0 )
2
(III.61)
RE I E RH I H 0 (III.62)
39
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
Dans l’annexe A, en s’appuyant sur les calculs présentés dans la référence [17], nous dérivons les
RE RH
1
4
Re K *A,E ( )K A,H ( ) Rˆ aa ( 0 ) Re K B* ,E ( )K B ,H ( ) Rˆ bb ( 0 )
(III.63)
1
+ Re K *A,E ( )K B ,H ( ) K *A,H ( )K B ,E ( ) Rˆ ab ( 0 )
2
RE I H
1
4
Im K A* , E ( ) K A , H ( ) Rˆaa ( 0 ) Im K B* , E ( ) K B , H ( ) Rˆbb ( 0 )
(III.64)
1
Im K A* , E ( ) K B , H ( ) K A* , H ( ) K B , E ( ) Rˆab * ( 0 )
2
I E I H RE RH (III.65)
I E RH RE I H (III.66)
Dans le cas L , la matrice de covariance présente donc une expression simplifiée et s’écrit :
R2E 0 RE RH RE I H
0 R2E RE I H RE RH
(III.67)
RE RH RE I H R2H 0
RE RH 0 R2H
RE I H
On en déduit l’expression de l’inverse de la matrice de covariance :
R2 H 0 RE RH RE I H
1 0 2
RE I H RE RH
1 RH
(III.68)
det( ) R E R H RE I H R2 E 0
RE I H RE RH 0 R2 E
où
2 2
det( ) R2E R2H RE RH RE I H R2E R2H 1 r 2 (III.69)
et
2 RE RH 2 RE I H
r (III.70)
R2E R2H
40
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
Nous obtenons la densité de probabilité conjointe des variables aléatoires M E , E ,M E et E :
p M E E M H H ( m E , E , m H , H ) m E m H p R E I E R H I H ( m E cos E , m E sin E , m H cos H , m H sin H )
(III.73)
mE mH R2 R2 m 2 m2
p E H ( E , H ) exp H E
2E 2 m E m H 2H dm E dm H (III.74)
0 0
4 2
det( ) 2 det( ) R RH
E
où
R E I H sin E H R E R H cos E H
2
RH
2
RE
où
R I
tg 1 E H (III.77)
R R
E H
r sin
up (u )du arcsin r cos (III.78)
1 r 2 cos 2 2
2
Nous n’avons pas établi la formule analytique donnant la variance de la différence de phase.
41
C
hapitre III Statistique des champs diffractés et de la différence de phase
III.3.4. Fonction de répartition de la différence de phase
42