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1.
NA =40000 ; p =13,900
VA = SA + DA, or DA = 0 donc VA = SA
𝐷𝑖𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑑𝑒 𝐺𝑙𝑜𝑏𝑎𝑙𝑒 𝑑𝐴 ∗ 𝑁𝐴
𝑘𝑒𝐴 = =
𝑉𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑠𝑖è𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝐴 𝑝𝐴 ∗ 𝑁𝐴
2,500∗40000 2,500
= = = 17,98%
13,900∗40000 13,900
VB = SB + DB
𝐷𝑖𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑑𝑒 𝐺𝑙𝑜𝑏𝑎𝑙𝑒 𝑑𝐵 ∗ 𝑁𝐵
𝑘𝑒𝐵 = =
𝑉𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑠𝑖è𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝐵 𝑝𝐵 ∗ 𝑁𝐵
0,935∗100000 0,935
= = = 19,08%
4,900∗100000 4,900
𝐼𝑛𝑡é𝑟ê𝑡 𝑖 ∗ 𝑉𝑁
𝑘𝑑𝐵 = =
𝑉𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑀𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐷𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑉𝑁 ∗ 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑛 % 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑉𝑁
0,1 ∗ 100000
= = 12,90%
100000 ∗ 77,5%
1
𝑆𝐵 𝐷𝐵
𝑘𝑜𝐵 = 𝑘𝑒𝐵 ∗ + 𝑘𝐷𝐵 ∗ ∗ (1 − 𝑡)
𝑉𝐵 𝑉𝐵
490000 77500
𝑘𝑜𝐵 = 19,08% ∗ + 12,90% ∗ ∗ 1 − 0,35 = 17,619%
567500 567500
Société C : Entreprise endettée
VC = SC + DC
𝐷𝑖𝑣𝑖𝑑𝑒𝑛𝑑𝑒 𝐺𝑙𝑜𝑏𝑎𝑙𝑒 𝑑𝐶 ∗ 𝑁𝐶
𝑘𝑒𝐵 = =
𝑉𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝐵𝑜𝑢𝑟𝑠𝑖è𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐴𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝐵 𝑝𝐶 ∗ 𝑁𝐶
0,870∗100000 0,870
= = = 22,89%
3,800∗100000 3,800
𝐼𝑛𝑡é𝑟ê𝑡 𝑖 ∗ 𝑉𝑁
𝑘𝑑𝐵 = =
𝑉𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑀𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑛%𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐷𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑉𝑁 ∗ 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑛 % 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑉𝑁
0,1 ∗ 250000
= = 13,22%
250000 ∗ 60,5%
𝑆𝐶 𝐷𝐶
𝑘𝑜𝐶 = 𝑘𝑒𝐶 ∗ + 𝑘𝐷𝐶 ∗ ∗ (1 − 𝑡)
𝑉𝐶 𝑉𝐶
380000 151250
𝑘𝑜𝐶 = 22,89% ∗ + 13,22% ∗ ∗ 1 − 0,35 = 18,82%
531250 531250
Tableau Récapitulatif
La meilleure structure du capital est celle de B car elle a le coût du capital (ko) le plus
faible et la valeur d’entreprise la plus élevée (V) :
2
2. Selon MM(58), la structure du capital n’a aucun impact sur la valeur d’une entreprise. En
effet, lorsque les marchés de capitaux sont parfaits (information gratuite, transparente…) et
efficients, la valeur d’une entreprise endettée devrait être égale à celle d’une entreprise non
endettée étant donné qu’ils appartiennent que toutes les deux appartiennent à la même classe
de risque (l’économie étant partagée en classe de risque homogène). Si cela n’est pas le cas,
ce déséquilibre ne va pas persister grâce à la technique d’arbitrage qui va rétablir l’équilibre.
Exercice N°2
𝐼𝑛𝑡é𝑟ê𝑡 𝑖 ∗ 𝑉𝑁
𝑘𝑑 = =
𝑉𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑀𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐷𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠 𝑉𝑁 ∗ 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑛 % 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑉𝑁
𝑫 𝑺 𝑫
= 𝟏𝟎𝟎% − 𝒌𝒆 𝒌𝒅 𝒌𝒅 V
𝑽 𝑽 𝑽
0% 100% 20% 10% 20% 40950000
20% 80% 21,25% 10% 18,3% 44754098,96
40% 60% 23,333% 10% 16,6% 49337349,4
50% 50% 25% 10% 15,75% 52000000
60% 40% 27,5% 10% 14,9% 54966442,95
𝑆 𝐷
𝑘𝑜 = 𝑘𝑒 ∗ + 𝑘𝑑 ∗ ∗ (1 − 𝑡)
𝑉 𝑉
𝐵𝐴𝐼𝐼 ∗ (1 − 𝑡)
𝑉=
𝑘𝑜
A.N :
3
𝑫 𝑺
S= ∗𝑽
𝑽 𝑽
0% 40950000
20% 35803279,17
40% 296024096,4
50% 26000000
60% 21986577,18
2. En analysant les résultats du tableau, on remarque que plus l’endettement est important,
plus le coût moyen pondéré du capital diminue et plus la valeur boursière totale de l’entreprise
augmente. Donc, la meilleure situation, pour cette entreprise, est quand
D
= 60%. Toutefois, en réalité, l’endettement présente un risque pour l’entreprise. Ce résultat
V
4
A B C
E(BAII) 25000 25000 25000
𝜎(𝐵𝐴𝐼𝐼) 10000 10000 10000
S 312500 300000 150000
D - 100000 150000
V 312500 400000 300000
kd - 5% 5%
ke 8% 6,67% 11,67%
BN 25000 20000 17500
ko 8% 6,25% 8,33%
1.
𝐵𝑁
𝑘𝑒 =
𝑆
𝐸 𝐵𝐴𝐼𝐼 − 𝑘𝑑 ∗ 𝐷 25000 − 0,05 ∗ 100000
𝑘𝑒𝐵 = = = 6,67%
𝑆𝐵 300000
25000 − 0
𝑘𝑒𝐴 = = 8%
312500
Coût du capital :
𝐸(𝐵𝐴𝐼𝐼)
𝑘𝑜 =
𝑉
𝐸 𝐵𝐴𝐼𝐼 25000
𝑘𝑜𝐵 = = = 6,25%
𝑉𝐵 400000
𝐸 𝐵𝐴𝐼𝐼 25000
𝑘𝑜𝐶 = = = 8,33%
𝑉𝐶 300000
25000
𝑘𝑜𝐴 = = 8%
312500
On remarque bien que : 𝑘𝑜𝐴 = 𝑘𝑒𝐴 = 8% → L’entreprise (A) est en équilibre.
𝑉𝐵 > 𝑉𝐶 ↔ 400000 > 300000 → Les actions de l’entreprise B sont sur-évaluées par rapport
à celles de C.
2. Comme les actions sont sur-évaluées, les actionnaires de B ont intérêt à arbitrer leurs
actions afin de profiter de la surévaluation de leurs valeurs. D’où, les actionnaires de B ont
intérêt à arbitrer leurs actions contre celles de C. Par contre, les actionnaires de C n’ont pas
5
intérêt à arbitrer leurs actions car elles sont sous-évaluées. Donc, ils doivent conserver leurs
actions.
𝐷𝐵 100000
b. Emprunt personnel : 𝐸 = 𝛼 ∗ 𝑆𝐵 ∗ = 𝛼 ∗ 𝐷𝐵 = 3000 ∗ = 1000
𝑆𝐵 300000
d. Conséquences d’arbitrage :
Entreprise A :
𝑘𝑜𝐴 = 8%
Entreprise B :
𝐸(𝐵𝐴𝐼𝐼) 25000
𝑘𝑜𝐵 = = = 8%
𝑉𝐵∗ 312500
Entreprise C :
6
𝑉𝐶∗ = 𝑉𝐴∗ = 𝑆𝐶∗ + 𝐷𝐵∗
𝐸(𝐵𝐴𝐼𝐼) 25000
𝑘𝑜𝐶 = = = 8%
𝑉𝐶∗ 312500
Caractéristiques d’équilibre
A B C
E(BAII) 25000 25000 25000
𝜎(𝐵𝐴𝐼𝐼) 10000 10000 10000
S 312500 212500 162500
D - 100000 150000
V 312500 312500 312500
kd - 6% 6%
ke 8% 9,41% 10,77%
BN 25000 20000 17500
ko 8% 8% 8%
Arbitrage à l’équilibre :
d. Conséquences d’arbitrage :
7
Exercice N°4
1.
a.
X Y
E(BAII) 100000 100000
kd 6% 6%
ke 12,5% 15%
S 752000 5666667
D 100000 250000
V 852000 816667
ko 11,74% 12,24%
BN 94000 85000
b. On a que VX > VY donc l’entreprise X est surévaluée. Le marché est en déséquilibre, les
investisseurs qui possèdent les actions de X vont les arbitrer contre celle de Y et réalisent
ainsi un gain d’arbitrage.
d. Conséquences d’arbitrage :
Cette situation ne doit pas durer car l’arbitrage va entrainer une offre de X et une demande de
Y. Ainsi, PX va diminuer et celui de Y va augmenter pour atteindre les valeurs d’équilibre.
A l’équilibre :
8
𝐸(𝐵𝐴𝐼𝐼) 100000
𝑉𝑋∗ = 𝑉𝑌∗ = 𝑉𝑈∗ = = = 833333
𝜌𝑘 0,12
94000
𝑆𝑋 = 833333 − 100000 = 733333 ; 𝑘𝑜𝑋 = 12% ; 𝑘𝑒𝑋 = = 12,82%
733333
85000
𝑆𝑌 = 833333 − 25000 = 583333 ; 𝑘𝑜𝑌 = 12% ; 𝑘𝑒𝑌 = = 14,57%
583333
Arbitrage à l’équilibre :
d. Conséquences d’arbitrage :
X Y
E(BAII) 100000 100000
kd 6% 6%
ke 12,5% 15%
S 488800 368333
D 100000 250000
V 588800 618333
ko 11,04% 10,51%
BN 61100 55250
BN = (E(BAII) - kd * D) * (1 – t)
9
a. Vente des actions de X pour 𝛼 ∗ 𝑆𝑋 = 10% ∗ 488800 = 48880
𝐷𝑋
b. Emprunt personnel : 𝐸 = 𝛼 ∗ 𝑆𝑋 ∗ ∗ 1 − 𝑡 = 𝛼 ∗ 𝐷𝑋 ∗ 1 − 𝑡 = 10% ∗ 100000 ∗
𝑆𝑋
0,65 = 6500
d. Conséquences d’arbitrage :
Cette situation ne doit pas durer car l’arbitrage va entrainer une offre de X et une demande de
Y. Ainsi, PX va diminuer et celui de Y va augmenter pour atteindre les valeurs d’équilibre.
A l’équilibre :
Arbitrage à l’équilibre :
10
c. Achat d’un portefeuille de Y composé de :
d. Conséquences d’arbitrage :
Exercice 5
U, L ∈ à la même classe de risque
MM(58) : t=0
U L
E(BAII) 360000 360000
𝝈(𝑩𝑨𝑰𝑰) 140000 140000
S 3600000 2840000
BN 360000 290000
D - 1000000
V=S+D 3600000 4600000
𝐵𝑁𝑈 360000
𝑘𝑒𝑈 = = = 10%
𝑆𝑈 3600000
𝑘𝑜𝑈 = 𝑘𝑒𝑈 = 10%
𝐵𝑁𝐿 290000
𝑘𝑒𝐿 = = = 10,21%
𝑆𝐿 2840000
𝐸(𝐵𝐴𝐼𝐼) 360000
𝑘𝑜𝐿 = = = 7,826%
𝑉𝐿 4600000
3. Le cours de l’action U est un prix d’équilibre → 𝑘𝑜𝑈 = 𝑘𝑒𝑈 = 𝜌𝑘 = 10%
𝐸(𝐵𝐴𝐼𝐼)
𝑉𝐿∗ = 𝑉𝑈∗ =
𝜌𝑘
or 𝑉𝐿 = 𝑆𝐿 + 𝐷𝐿
𝑉𝑈∗ = 𝐷𝐿∗ + 𝑆𝐿∗
𝑆𝐿∗ = 3600000 − 1000000 = 2600000
𝑝𝐿∗ = 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑 ′ é𝑞𝑢𝑖𝑙𝑖𝑏𝑟𝑒𝑑𝑒 𝑙′𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛
𝑆𝐿∗ 2600000
𝑝𝐿∗ = = = 130
𝑁𝐿 20000
12
avec : NL : Le nombre d’actions de la société L
𝐵𝑁𝐿 290000
𝑘𝑒𝐿 = ∗ = = 11,15%
𝑆𝐿 2600000
𝑆𝐿 𝐷𝐿 2600000 1000000
𝑘𝑜𝐿 = 𝑘𝑒𝐿 ∗ + 𝑘𝐷𝐿 ∗ = 11,15% ∗ + 7% ∗ = 10%
𝑉𝐿 𝑉𝐿 3600000 3600000
MM(58): A l’équilibre, 𝑘𝑜𝑈 = 𝑘0𝐿 = 𝜌𝑘 = 10%
A l’équilibre,
1. Vente des actions L pour 𝛼𝐿 ∗ 𝑆𝐿 = 2% ∗ 2600000 = 52000
𝐷𝐿
2. Emprunt personnel : 𝐸 = 𝛼 ∗ 𝑆𝐿 = 𝛼 ∗ 𝐷𝐿 = 2%*1000000 = 20000
𝑆𝐿
Exercice 6
Proposition de MM(63)
C D
Nombre d’actions 40000 30000
S 4680000 4800000
D - 1500000
kd - 8%
E(BAII) 7200000 720000
BN 504000 420000
𝜎(𝐵𝐴𝐼𝐼) 100000 100000
V 4680000 6300000
t 30% 30%
ke 10,77% 8,75%
ko 10,77% 8%
13
1.
𝐵𝑁
Dividende par action = 𝐷 𝐴=
𝑁𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑′ 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠
𝐵𝑁
𝑘𝑒 =
𝑆
𝐸 𝐵𝐴𝐼𝐼 (1−𝑡) 720000∗0,7
𝑘𝑒𝐶 = = = 10,77%
𝑆𝐶 4680000
𝐸 𝐵𝐴𝐼𝐼 ∗ (1 − 𝑡)
𝑘𝑜 =
𝑉
𝐸 𝐵𝐴𝐼𝐼 (1−𝑡) 720000 ∗0,7
𝑘𝑜𝐶 = = = 10,77%
𝑉𝐶 4680000
1. Sens d’arbitrage :
𝑫(𝐸𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑛𝑑𝑒𝑡𝑡é𝑒 → 𝑪(𝐸𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑁𝑜𝑛 𝐸𝑛𝑑𝑒𝑡𝑡é𝑒)
a. Vente des actions D pour 𝛼 ∗ 𝑆𝐷 = 10% ∗ 4800000 = 480000
𝐷𝐷
b Emprunt personnel : 𝐸 = 𝛼 ∗ 𝑆𝐷 ∗ ∗ 1 − 𝑡 = 𝐷𝐷 ∗ 1 − 𝑡
𝑆𝐷
14
𝑉𝐷∗ = 4680000 + 0,3 ∗ 1500000 = 5130000 < VD = 6300000 → Sur-estimation des
actions de D.
𝐵𝑁 504000
𝑘𝑒𝐶 = = = 10,77% = 𝑘𝑜𝐶
𝑆𝐶∗ 4680000
𝐵𝑁 420000
𝑘𝑒𝐷 = = = 11,57%
𝑆𝐷∗ 3630000
Sens d’arbitrage :
𝑫(𝐸𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑛𝑑𝑒𝑡𝑡é𝑒 → 𝑪(𝐸𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑁𝑜𝑛 𝐸𝑛𝑑𝑒𝑡𝑡é𝑒)
a. Vente des actions D pour 𝛼 ∗ 𝑆𝐷∗ = 10% ∗ 3630000 = 36300
𝐷𝐷∗
b Emprunt personnel : 𝐸 = 𝛼 ∗ 𝑆𝐷∗ ∗ ∗ 1 − 𝑡 = 𝛼 ∗ 𝐷𝐷∗ ∗ 1 − 𝑡
𝑆𝐷∗
EXERCICE 7
15
𝑆𝑍∗ = 𝑉𝑍∗ − 𝐷𝑍 = 461538,461 − 200000 = 261538,461
𝐷𝐿 𝐷𝐿
𝑘𝑒𝑍 = 𝑘𝑒𝑈 + 𝑘𝑒𝑈 + 𝑘𝑑 ∗ =𝜌𝑘∗ + 𝜌𝑘∗ − 𝑘𝑑 ∗
𝑆𝐿 𝑆𝐿
𝐷𝐿
La prime de risque financier = 𝜌𝑘∗ − 𝑘𝑑 ∗
𝑆𝐿
𝐷𝐿
𝜌𝑘∗ − 𝑘𝑑 ∗ = 𝑘𝑒𝑍 − 𝜌𝑘∗ = (13,765% - 13%) = 0,765%
𝑆𝐿
Le projet est financé totalement par l’émission de nouvelles obligations c’est-à-dire par dettes.
(𝑍) (𝑍) (𝑍)
- Avant réalisation du projet : 𝑉0 = 𝑆0 + 𝐷0
(𝑍) (𝑍) (𝑍) 𝐸 𝐵𝐴𝐼𝐼 −𝜌 ∗ ∗𝐼0
- Après réalisation du projet : 𝑉1 = 𝑆1 + 𝐷1 =
𝜌𝑘
(𝑍) (𝑍) (𝑍) (𝑍) (𝑍) 𝑋1 (𝑍)
avec : 𝐷1 = 𝐷0 + 𝐼0 et 𝑆1 = 𝑉1 − 𝐷1 = − 𝐷1
𝜌𝑘
60000 + 0,14 ∗ 105000
(𝑍)
𝑉1 = = 574615,385
0,13
or 𝑋1 = 𝑋0 + 𝜌∗ ∗ 𝐼0 = 𝐸 𝐵𝐴𝐼𝐼 + 𝜌∗ ∗ 𝐼0
𝑍 𝜌∗ 0,165
𝑆1 = 𝑆0𝑍 + 𝐼0 ∗ − 1 = 261538,461 + 105000 ∗ − 1 = 269615,384
𝜌𝑘 0,15
(𝑍) (𝑍)
𝑆1𝑍 = 𝑉1 − 𝐷1 = 574615,385 − 305000
𝑛
3. D’après la 3ème proposition de MM(58), les deux paramètres qui déterminent l’acceptation
ou le rejet du projet sont : 𝜌∗ : TRI et 𝜌𝑘 : Le coût du capital relatif à la classe du risque de la
société. Ainsi, l’entreprise qui cherche à maximiser sa valeur boursière doit réaliser des
investissements dont le 𝜌∗ (TRI) est supérieur ou égal au coût du capital 𝜌𝑘 quelque soit le
mode de financement utilisé.
16
→ La décision d’investissement n’est pas affectée par la décision de financement. Dans ce
cas, quelque soit le mode de financement, le projet est rentable car TRI > 13%.
Exercice N°8
b.
D = 0,5*S0 = I
𝐷1 0,5∗𝑆0
or = = 0,476
𝑆1 1,05∗𝑆0
17
t = 35% 𝑉𝑌∗ = 𝑉𝑋∗ + 𝑡 ∗ 𝐷𝑌
𝐷𝑌 0,5∗𝑆0
𝑘𝑜𝑋 = 𝑘𝑒𝑋 ∗ (1 − 𝑡 ∗ ) = 0,13*(1-0,35* ) = 11,48%
𝑉𝑌 1,5∗𝑆0
EXERCICE 9
Proposition de MM(63)
A B
E(BAII) 820000 820000
Intérêts (7% * D) - 105000
BAI (E(BAII) – I) 820000 715000
BN = BAI*(1-t) 574000 500500
V = S+D 5200000 5500000
𝐷𝐼𝑉
𝐷𝑃𝐴 = 16,4 22,75
𝑁
𝐷𝐼𝑉
𝑘𝑒𝐴 = 11,038% 12,51%
𝑆
𝐸 𝐵𝐴𝐼𝐼 ∗ (1 − 𝑡)
𝑘𝑜 = 11,038% 10,436%
𝑉
Sens d’arbitrage :
𝑨(𝐸𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑛𝑜𝑛 𝐸𝑛𝑑𝑒𝑡𝑡é𝑒 → 𝑩(𝐸𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝐸𝑛𝑑𝑒𝑡𝑡é𝑒)
a. Vente des actions de A pour 𝛼 ∗ 𝑆𝐴 = 5200000 * 𝛼
Actions : 𝛼 ∗ 𝑆𝐵 = 4000000 * 𝛼
Obligations : 𝛼 ∗ 𝑆𝐴 − 𝛼 ∗ 𝑆𝐵 = [5200000 – 4000000] * 𝛼 = 1200000 * 𝛼
c. Conséquences d’arbitrage :
18
𝑅2𝐵 = 𝑘𝑒𝐵 ∗ 𝛼 ∗ 𝑆𝐵 − [ 𝛼 ∗ 𝑆𝐴 − 𝛼 ∗ 𝑆𝐵 ∗ 𝑘𝑑 ] = 500500 * 𝛼 + 7% * 1200000 * 𝛼 =
584500 𝛼
D’où, le gain d’arbitrage : 𝐺𝐴 = 𝑅2𝐵 − 𝑅1𝐴 = 104 = ( 𝑘𝑒𝐵 ∗ 𝛼 ∗ 𝑆𝐵 ) + 𝛼 ∗ 𝑆𝐴 − 𝑆𝐵 ∗ 𝑘𝑑 −
𝑘𝑒𝐴 ∗ 𝛼 ∗ 𝑆𝐴 = 584500* 𝛼 - 57400* 𝛼 = 315.
315
𝛼= = 3%
10500
3. Cette situation (le déséquilibre sur le marché) ne peut pas persister longtemps étant donné
qu’on va assister à une forte demande des actions de B et comme l’offre de ces titres est
constante. D’où,
𝑂𝑓𝑓𝑟𝑒 > 𝐷𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒 → Pour augmenter l’offre, on va augmenter le cours des actions de B et
cette augmentation va s’arrêter lorsqu’on atteint l’équilibre.
4. La société A ait atteint son cours d’équilibre.
MM(63) : 𝑉𝐵∗ = 𝑉𝐴∗ + 𝑡 ∗ 𝐷𝐵
𝐵𝑁
𝑘𝑒𝐵 = = 12,06%
𝑆𝐶∗
𝐷𝐵 1500000
𝑘𝑜𝐵 = 𝑘𝑜𝐴 ∗ 1 − 𝑡 ∗ = 0,1038 ∗ 1 − 0,35 ∗ = 10,159%
𝑉𝐵 5650000
19
Exercice N°10
1.
I S G
E(BAII) 48000 48000 48000
Intérêts - 9000 16200
BN = (X – I) * (1-t) 33600 27300 22260
𝐵𝑁
S= 280000 227500 185500
𝑘𝑒
D - 100000 180000
V 280000 327500 365500
𝑋 ∗ (1 − 𝑡)
𝑘𝑜 = 12% 10,259% 9,193%s
𝑉
20
a. Vente des actions G pour 𝛼 ∗ 𝑆𝐺 = 10% ∗ 185500 = 18550
𝐷𝐺
b Emprunt personnel : 𝐸 = 𝛼 ∗ 𝑆𝐺 ∗ ∗ 1 − 𝑡 = 𝐷𝐷 ∗ 1 − 𝑡
𝑆𝐺
𝐵𝑁 𝐺 22260
𝑘𝑒𝐺 = = = 14,45% → PRF = 2,4%
𝑆𝐺∗ 154000
G présente un risqué financier plus important donc elle est plus rentable. La différence
représente la rémunération du risque financier supplémentaire dans G = 25000 * 1,45% =
362,5
5. Dans le modèle (63), MM ont ignoré le risque de faillite et par conséquent les coûts de
faillite car selon leur 1ère proposition 𝑉𝐿 = 𝑉𝑈 + 𝐷𝐿 ∗ 𝑡𝑐 ce qui engendrera un optimum avec
un endettement infini. Ce résultat n’est pas réaliste. Donc, en prenant en considération du
risque de faillite et des coûts de faillite :
𝑉𝐿 = 𝑉𝑈 + 𝐷𝐿 ∗ 𝑡𝑐 − 𝑉𝐴𝐶𝐹
De même, la prise en compte des coûts d’agence va réduire l’utilisation des dettes :
𝑉𝐿 = 𝑉𝑈 + 𝐷𝐿 ∗ 𝑡𝑐 − 𝑉𝐴𝐶𝐹 − 𝑉𝐴𝐶𝐴
21