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- ONDES DE LA PESANTEUR-
- LES PARTICULES SONT BIPOLAIRES-

M(photon) = h/C² =7,25.10⁻⁵¹Kg

Par Guerroum Amar


2ÈME ÉDITION
N° du dépôt légal 2011 MO 1469
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-LA PESANTEUR-
- TOUS LES PARTICULES SONT BIPOLAIRES-

Une topologie Par :


Guerroum Amar
*Ingénieur en TELE.COM.
*Ingénieur d’exploitation des mines

Mobiles: +212666223254 / +212653076049


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Introduction
Comme la première partie ; dans laquelle j’ai énoncé le principe
fondamentale : tous les particules de la matière sont des aimants.

Cette deuxième partie s’intéresse à la pesanteur, la conclusion était que le


champ de la pesanteur n’est pas une onde électromagnétique c.-à-d. des
photons (dans le standard international on considère le champ de la pesanteur
une onde de photons. Comme la lumière et comme toutes les ondes
électromagnétiques, rayons x…). Dans ce travail, La force de la pesanteur est
véhiculée par des particules dont la taille est inferieur aux photons. J’ai appelé
ces particules les Devès. Le champ de ces Devès circule de l’espace vers les
masses, donc les Devès ne sont pas émis par la matière en première ordre.

On trouve beaucoup de choses nouvelles qui concerne les particules et les


champs, notamment une définition topo, des champs électrique et magnétique
très intéressante, et par conséquence la compréhension des forces naturelles ;
comment arrivent-elles ! Aussi une clarification des charges, un modèle
unificatrice de tous les théories et travaux sur les particules de la matière
(voir l’atome bipolaire), le calcule de la masse des photons ; la découverte de
Trucks le premier responsable sur les liaisons chimiques. Dans la IG (infiniment
grand) on découvre le cycle des galaxies ; et que l’univers est infinie. Comme
c’est un travaille de recherche théorique, contient beaucoup des découvertes
scientifiques qui sont nouvelles ; ex : le proton n’existe pas sur la terre… aussi
des questions nouvelles. Pour diffuser rapidement ce travail on va appeler ceci :
la théorie de Va-Ga-bon ; Va pour l’onde de la pesanteur, Ga pour les
particules bipolaires, et bon c’est bon c’est pas mal.

Pour ne pas relire le document il faut souligner ce qui est intéressant, ou


nouveau… Je croix que se travaille est utile.

Il y a un petit problème c’est le français ; mais on comprendra !

Merci
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LA FREQUENCE DE CHAMP DE LA PESANTEUR


Dans la première partie nous étions débutants mais nous allons franchir la
barrière (débutant + onde de pesanteur). Dans la première partie nous avons
dit qu’on considère que tous les particules de la matière sont des aimants , et
que la matière commence d’un infiniment petit pratiquement 0 (zéro) vers un
infiniment grand (infinie c’est l’univers) d’où le nom IPIG, les photons connues
ne sont pas les plus petits …et l’univers est plein des choses, donc on accepte
la notion d’éther, sauf qu’il n’est pas composée d’un produit dont les particules
sont identiques, mais des particules qui commence de rien jusqu'à les
photons ! Même quelques composons de l’éther sont des aimants, on
reviendra à cela.

Des paragraphes de la première partie


On dit charge plus (+) et charge négative (-)

Pourquoi il y a une charge moins ? Pourquoi il y a une charge plus ? ! Alors


que nous avons fait comme hypothèse que toutes les composantes de la
matière ont deux pôles (comme les aimants). Pourquoi l’électron est
seulement négatif c.-à-d. unipolaire ? On trouve dans l’électricité la notion de
point neutre, c’est le neutre des 3 phases ; mais dans ce cas un filament est
tantôt positif tantôt négatif ! Les lignes des champs s’inversent suivant les 3
phases (i1 + i2 + i3 = 0), donc l’intensité sur le retour, le neutre est toujours
égale à zéro (il est intéressant de penser à de telle solution, mais la nature
demande des conditions des lois et il faut). En électronique on crée une masse
sur le chassé, mais les courants sont faibles

Un point neutre intéressante est la suivante : si nous avons un débit d’un


liquide dans un tuyau de 2 cm de diamètre , ce tuyau conduit a un bassin ou un
barrage il est évident que la montée de liquide dans le barrage est très petite ,
le courant dans le tuyau peut atteindre un certain chiffre alors que dans le
barrage il est pratiquement nulle . Dans ce domaine de l’hydraulique la formule
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de Bernoulli pourra conduire aussi à un point ou le déplacement de fluide est


zéro si les pertes de charge dans un tuyau sont plus grande que la puissance de
la pompe. Ces exemples montrent une dissymétrie dans une structure. Un coté
plus énergique que l’autre. Notre explication pour la charge + (positive) ou –
(négative) est la suivante ; En chimie ou en physique atomique le spectre d’un
atome est donné de 2 façons :

1) ** le spectre en fréquence ; on sait les différent (des fréquences) raies


des atomes en fonction des différents températures ou une excitation.

2) ** mais aussi il y a un spectre dans l’espace c.-à-d. le domaine ou arrive un


rayonnement donné ; comme le cas d’une antenne :

Alors il y a des LOBES qui sont principales parce qu’ils occupent un domaine
plus large, ils sont plus directives que les autres; ils atteignent une distance plus
grande; c’est la direction pour laquelle le gain de l’antenne est plus grand. Il y
a des lobes secondaires qui sont plus petits et les domaines ou ils touchent
sont petits.

A gauche : 1 le lobe secondaire, 2 le lobe principale. Adroite : C’est dessus
un electron . E( champs electrique) B( champs magnetique). Ici le champs B
est le retour alors que le champs E est le champs en generale d’un electron. E
et B sont de méme nature.

Voila l’électron a un lobe négatif très grands, et un positif très petits ;


lorsqu’il rencontre un champ ce dernier ne trouve que le coté négatif. Si le
sens de champs est vers le pôle positif, il fait demi-tour pour que le pole négatif
rencontre le champ qui le pénètre ; d’où la force qui s’exerce sur lui, autrement
il n’y a pas de forces entre les 2 particules. On peut considérer une particule
avec un lobe très long, et le retour sur une grande sphère courte  dont le
champ aura une densité presque nulle, ceci important parce qu’il changera le
comportement de ce champs suivant qu’on se trouve dans le domaine de
retour ou la voie de sortie de champs. Alors que par exemple pour la loi de
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Coulomb ou de Newton on concentre toute la charge ou toute la masse dans


un point; et les choses sont symétriques et isotropes, le point neutre existe au
centre ! C’est vrai que les champs sont fonctions des distances.

Pour le proton c’est la même explication, le lobe principale c’est le pôle


positif, le pôle négatif est secondaire. Donc on reste avec notre hypothèse
que toutes les particules de la matière sont des aimants. Et l’électron ou le
proton sont aussi des aimants (mais on découvre dans ce travail qu’il n y a pas
de proton dans les conditions de notre terre; mais un neutron associé à un
électron positif).

La notion des lobes est importante car il joue un rôle dans l’ordre et par
conséquence dans l’orientation de champs. On trouve des galaxies en spirales
d’autres en forme de serpent l’ordre dans ces 2 sortes de galaxies est différent,
ceci commence au moment de la naissance de la galaxie dont l’origine est
explosive, il y a aussi influence des lignes de champs d’autres galaxies.

Voila une chose que les physiciens manipule toujours mais sans avoir une
image d’elle; alors que nous ancêtres avaient une image bien claire de la
matière et ses constituants. Des choses qu’on ne rencontre pas en classe ? !!

**** il y a donc une chose nouvelle la CHARGE-LOBE principale ; c.-à-d. une


particule aimant avec un pole plus long que l’autre.

Revenons à la notion de courant de magnétisme (ou de pesanteur !) qui est


possible responsable sur les forces d’attraction entre les masses. On peut
chercher un modèle pour expliquer la pesanteur. On pense que l’Ether pénètre
dans la terre et le soleil et laisse un vide entre eux, d’ou attraction entre les 2
objets, mais imaginez tous l’espace qui s’épare la terre de soleil ce n’était pas
claire et fatigant). Surtout que les formules ne montrent rien de ce qu’on
connaît sur les fréquences et bandes de fréquences.
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****(1) l’Ether entre dans le soleil et la terre et laisse un vide ente eux.

Dans le même temps j’ai lu dans un revue scientifique, que lorsque la terre
est en face de la lune les eaux de la mer montent, dans le domaine qui est en
face de la lune, mais aussi dans le domaine qui est dans la face opposée ;
c’était une très grande chose et ceci montre bien que la terre pressente des
pôles (ou se polarise), et ceci doit être pour tous les autres planètes et étoiles
et même les galaxies et les petites particules. C’est la POLARISATION par effet
de pesanteur, c’est une chose importante, qui est une preuve que les grands
corps sont aussi polarisables, donc ils prennent la forme d’un aimant, ce qui
convenable avec notre principe fondamental ; toutes les particules sont des
aimants. Pour simplifier les choses je manipule des aimants entre eux pour
sentir l’effet : Il fait les pôles de même signe en commun, et il sent les forces de
répulsions, puis les pôles de signes contraires, il sent les forces d’attraction
entre ces aimants, je tombe dans une conséquence à résoudre :

** La question est devenu une autre histoire pourquoi il y a REPULSION entre


les pôles + (positif) et + (positif), aussi avec des pôles de signes – (négatif) et
– (négatif)

En effet si les 2 pôles + (plus) sont en face il y a répulsion des courants de


champs électromagnétismes entre eux qui sortent des 2 pôles ; donc entre
les 2 aimants il y a une force de répulsion, donc il y a frottement entre les
photons ; on peut sentir ceci facilement par les mains. Alors comment arrive les
choses entre 2 pôles négatifs ? Est-ce qu’il faut utiliser des relations
d’hydraulique et électromagnétique ? (comme la relation de la continuité

de Maxwell). On continue par la logique des

choses. ALORS Même si les pôles de signes – (moins ) et – ( moins ) sont en


face : il y a répulsion ; car l’Ether (ou le champs magnétique, photons) se
rassemble entre les 2 aimants pour les pénétrés, les particules de ce champs
se repoussent entre eux, et repoussent les aimants (comme 2 files d’attente
qui se termine sur un même bureau les gens normalement se repoussent
entre eux au point de leur rencontre soit qu’ils sortent ou ils entrent ) on
considère que le bureau c’est la rencontre entre deux aimants. On sait
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maintenant pourquoi il y a les forces entre les aimants dans le cas de la


répulsion. C’est l’affaire des COURANTS du magnétisme ; C’est le frottement
entre les photons.

Les forces d’attraction entre les 2 pôles de sens contraires, c’est simple car le
magnétisme, ou champs magnétique, sort d’un aimant et pénètre dans l’autre;
pour former en fin un seul aimant; comme les lignes de champs se divergent
en s’éloignant des aimants. Ils poussent les aimants vers le lieu de champs le
plus mince, le retour de champs magnétique entre les deux aimants donne
aussi une force.

**** les deux premiers aimants (négatif en face de négatif ou positif en


face de positif) il y a répulsion par le choc entre les photons des deux aimants.
Les aimants d’en bas il y a attraction les photons d’un aimant sortent de l’un
et pénètrent dans l’autre.

Voila une petite chose nouvelle : la force de champs magnétique se fait par
frottement entre les photons, ce n’est pas male ! Donc on peut imaginer un
autre modèle de la pesanteur ; on doit accepter pour le moment que les
planètes (ou planètes étoiles) en se polarisants il y a une qui fait le pole négatif
en face de l’autre qui fait le pole positif. Pour ce qui est de couple soleil-terre,
c’est le soleil qui présente le pole positif vers la terre et la terre présente le
pôle négatif vers le soleil ; parce que le soleil est très grand et rayonne plus
que la terre vers l’extérieure (peut être y a d’autres choses a manipulé comme
l’interférence… pour le moment on raisonne par absurde on trouvera après la
bonne solution).

Seulement une chose : considérons que nous avons 2 étoiles dont les masses
sont identiques. La réponse : ceci n’est jamais vraies il y a toujours une petite
différence de masse ce qui bascule les pôles de faite qu’il y a toujours une face
+ (positive) et l’autre face négative, et la polarité peut être entre eux
alternative, tantôt une positive l’autre négative et vis vers ça. Cette explication
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est négative pour le modèle proposé, elle ressemble à un discours de politique


étrangère. Mais nous avons des bonnes conclusions :

1)) on sait maintenant pourquoi il y a répulsion entre des charges de même


signe (les frottements entre photons).

2)) la notion de la polarisation des corps par effet de pesanteur.

3)) un principe fondamentale la matière est formée par des aimants.

4)) on ne sait pas le responsable vraiment sur la pesanteur l’Ether ou les


ondes électromagnétique.

LE PRINCIPE FONDAMENTALE : les particules ont deux pôles.

= = Tous les particules de la matière sont des AIMANTS, et tous les corps
de l’univers sont des AIMANTS; cela veux dire que toute la matière baigne
dans des champs. Mais le grand problème accepter ceci ; il faut résoudre les
conséquences, car dans ce temps les scientifique étaient, par exemple divisés
en 2 sur la notion des ondes électromagnétique. Une partie croix que les
photons sont des particules, et la lumière c’est des particules qui voyages a la
vitesse C (3*10E8 m / s). L’autre partie croix que la lumière, et les ondes
électromagnétiques sont des ondes d’un fluide appelé  Ether : C’est un fluide
INCOMPRESSIBLE, très visqueux… En télécommunication on utilise beaucoup
les ondes électromagnétiques (téléphone, télévision, radio, faisceaux
hertziens…), Einstein à donner sa preuve comme quoi la lumière c’est des
particules, mais sa propagation se fait en groupes de photons donc sous forme
ondulatoire avec une fréquence donnée. On comprendra bien pourquoi la
lumière peut être étudiée comme particule ou comme onde. On découvre dans
ce travail que le photon est une particule qui ressemble à un aimant avec
deux pôles aussi.

Mais nous on part de faite que l’atome est composé de neutrons (et protons
jusqu'à nouvelle ordre) ; les neutrons sont composés d’électrons ; et les
électrons sont composés de photons. Et les photons sont composés de l’éther
(ou Devès comme on va découvrir) ; cet éther est composé de particules qui
tendent vers zéro (0) par leur volumes. La série est atome ; neutron ; électron ;
photon ; éther ; zéro. L’univers commence bien par des particules dont le
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volume égale à zéro ; jusqu'à lui qui est un infinie (on revient à ceci dans
l’infiniment grand).

Seulement un problème qui était avant l’Ether existait, et il faut le


résoudre : c’est la PESANTEUR.

1) En 1990 les scientifiques étaient tous d’acores que cette force est de même
nature que les forces électromagnétiques (d’ailleurs c’est un principe de la
théorie unificatrice des forces de la nature).

2) On savait des forces comme ceux qui lient les atomes entre eux,

On dit aussi qu’il y a :

/// Des interactions de courte distances ou faibles … (a l’intérieur de l’atome)

/// Des interactions de grands distances c’est la force de Newton.

/// Des interactions fortes a l’intérieure de noyau …

Mais quoi tous cela il n y a pas une image claire de la matière, au moment de
la manifestation de ces forces. Et comme on ne peut pas construire des
appareils sensibles aux ondes de la pesanteur. Les choses sont devenues
difficiles. Devant le nombre très grands de formules scientifiques qui touchent
ce problème, on voit que la science entre dans une voie difficile parce qu’il
n’est pas facile pour un être humain de manipuler tous ces théories, et les
formulés dans son esprits à la fois pour en conclure. Et la preuve est que le
modèle STANDARD n’a pas bouger il y a plus de 30 ANS (sauf ce qui est
expérimentale : le collisionneur), possible il est sain, mais il n’est pas complet.
Donc il faut prendre une autre voie automatiquement. Et comme Amar vivait
dans la compagne il porte des PIERRES dans sa main, pour sentir la pesanteur ;
mais il ne trouve rien sauf qu’il y a des pierres lourdes et d’autres légères.
Une fois il avait l’idée de soulever une grosse pierre, mais a grande VITESSE ;
alors il sent que la force qui attire la pierre vers le bas c’est du MAGNETISME, il
répète la chose plusieurs fois c’est toujours la même sensation : le magnétisme.
Il conclue que la force de la PESANTEUR ressemble au MAGNETISME.

Donc la pierre est un aimant, la terre aussi un aimant (il savait que tous les
corps surtouts les métaux sont plus au moins des aimant , et ils rayonnent des
ondes électromagnétiques… c’est un point positif), le soleil est un aimant,
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l’atome est un aimant, donc les photons sont aussi des aimants, et on ne peut
accepter cela que si la matière commence par une particule dont le poids et le
volume sont pratiquement égale à 0 ( zéro ); autrement qui va être le courant
qui pénétrera les photons (car une propriété d’un aimant est qu’il est pénétré
par de magnétisme, de pôle négatif vers le pôle positif)

La conclusion : il y a de la matière infiniment petite (et même un zéro; c’est le


seul zéro qui existe dans la matière). Comme ceci est vrai alors comment les
choses passent, une autre fois il faut résoudre les conséquences par exemple :

Il y a un champ magnétique terrestre qui se dirige de sud vers le nord (la


théorie unificatrice dit la même chose; elle dit que les ondes de la pesanteur
sont des ondes électromagnétique). Alors que ce n’est pas le champ
magnétique terrestre qui est responsable sur la force de la pesanteur entre
les corps, possible il intervient mais il touche un peu.

On commence ici le document de la deuxième partie !


Si les particules de champs de pesanteur sont des photons (standard
international), qu’elle est la fréquence de ce champ ? Pour répondre à cela
ce n’était pas facile ; il y avait une barrière difficile à traversée. J’étais
obligés de passer un peu loin et de proposer des modèles et des solutions qui
touchent un peu le phénomène et en fin de trouver la bonne réponse.

LA BARRIERE
Messieurs Rayleigh-Jeans ont fait un calcul pour la densité des radiations
pour un ensemble d’oscillateurs harmoniques (un dipôle de deux charges q+ et
q-) dans leur temps ils ont trouvés la formule suivante (Maxwell avait déjà
montré que la lumière est une onde électromagnétique):

ρ (ν,T) =( 8π kTν²/c³)
ρ (ν,T) = la densité de l’énergie de l’onde électromagnétique, ν : la fréquence,
T : la température, c : la vitesse de la lumière, K : constante de Boltzmann. Si
on intègre ceci de zéro (0) jusqu’a l’infinie sur la variable ν (la fréquence) on
trouve ; infinie (∞).
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(8π KT/C³) dν = ∞
Les physiciens de temps voulaient améliorer ceci à cause de la tendance à
l’infinie (dans ce temps on ne connaissait pas les électrons ou les neutrons qui
sont venues avec Rutherford et Frédéric Joliot-Curie…). Parce qu’ils cherchent
quelque chose qui ne tends pas à l’infinie, et voir le phénomène d’un autre
coté. Mais on peut trouver une solution de Cette formule qui peut nous
conduire à la densité des radiations, en fonction de la température dans une
bande de fréquence donnée !!!  Il suffit d’intégrer seulement dans cette
bande de fréquence, au lieu d’intégrer de zéro (0) à l’infinie.

Faisant un essaie dans la bande de la lumière f1= 75010¹²hz à 37510¹²

(8π KT/C³) ∫ν² dν = (8π KT/C³){ (75010¹²)³- (37510¹² )³ } =

{8π KT (375)³10³⁶/C³} = { 8π KT (375)³10³⁶/8³10²⁴} =

{8π KT (375/8)³10³⁶/10²⁴} = 8π KT(46.875)³10¹²

Comme K = 1.380662/10²³ →

ρ (ν,T) = 8πT 1.380662 (46.875)³/10¹¹ = 36.02610⁵T/10¹¹ →

ρ[ (75010¹²-37510¹²) ,T] = 3.6026T/10⁵

================================
Une densité satisfaisante étant donner la grande vitesse de la lumière et
avec les outilles de Planck, Rutherford, Einstein, Bohr … elle peut être utile.
De cette façon on aboutie directement sur la densité lumineuse, car cette
formule indique la densité dans une bande donnée d’un système dont les
éléments sont des émetteurs et récepteurs de lumière. Et la relation de la
puissance émise par un oscillateur (dipôle) était égale à :
Wém= 16π⁴ν⁴q²ε⁴/3C³. On sait d’autre part que l’énergie (puissance) d’un petit
volume électromagnétique = dW/dt, contient une partie d’énergie qui se
transforme en énergie thermique ou mécanique, et une partie rayonnée vers
l’espace, à travers la surface élémentaire qui entoure le petit volume
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--∭jE

U= la densité d’énergie électromagnétique par unité de volume.

L’énergie rayonnée vers l’espace est :


S décrit la propagation de l’onde électromagnétique. Pour l’onde


plane, B = K ∧ E /ω, S = K.E²/ωμ₀, /2 = ε₀E²/2=B²/2μ₀., C²=
1/εo.μo et K²= εoμoω² et ω= 2πν, c= la vitesse de la lumière. K = le
vecteur de Maxwell pour le vide, ω/K = vitesse de phase, dans le vide, ω/K =
la vitesse de la lumière dans le vide. dω/dK = la vitesse de groupe dans un
milieu matérielle.

L’intensité lumineuse I  est considérée comme égale au flux d’énergie par


unité de temps à travers la surface unité perpendiculaire à K, est égale à la
valeur moyenne de S pendant une période. On peut relier S à la densité
d’énergie. Aussi en un point ou le champ électriques est E et le champ
magnétique est B la densité d’énergie est dW/dV = ε₀.E²/2 + B²/2μ₀

Mais dans ces formules d’énergie il n’y a pas la température.

Pour nous la formule de Rayleigh-Jeans est juste (possible elle lui manquait
seulement une constante) parce que intégrer pour la fréquence entre moins
l’infinie et l’infinie ne donnera que l’infinie (jusqu'à maintenant une fréquence
infinie est difficile à définir). Mais dans le temps la notion de bande de
fréquence n’existait pas et la télécommunication aussi ; pour enrichir la
science. C’est la contribution de Planck :

Son hypothèse veut que l’oscillateur harmonique émis seulement son


énergie lorsqu’il est un multiple de hν (h est la constante de Planck, ν la
fréquence de la lumière) c’est une idée géniale qui tient compte de la
variation de gradient discontinue de la matière et de l’énergie. Une chose
que nous avons constatée dans ce travail ; Par Planck ; la formule de R-jean
devient :
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ρ(ν,T) = 8π hν²/c³( -1)

La constante h est déterminée par expérience.

Cela à conduit au fait que l’énergie de radiation augmente avec la


fréquence une chose qui est admit par tous le monde (beaucoup des
expériences sur les métaux … ont confirmé cela, la cellule photoélectrique de
Hertz et Einstein …).

Et si la masse des photons est toujours la même quelque soit la fréquence sa


va de soit parce que pour un cible qui reçoit des photons; il reçoit plus de
photons pendant une seconde, pour une grande fréquence que pour une petite
fréquence.

****(1) λ1 envoya plus de coup que λo, et λ1 envoya plus d’énergie


que λ3. Une onde électromagnétique est fonction aussi de la densité
surfacique.

Donc quoi dire de la fréquence de la pesanteur ?


1)) Si la fréquence de la pesanteur est plus grande que les ondes gamma
nous aurions étaient brulés vif sur la terre carre la puissance de la pesanteur
sur la terre est assez grande

2)) Si la fréquence était très petite, c.-à-d. des ondes très longues presque
une fréquence continue, nous aurions fait des alternateurs sur terre sans
excitatrices.

3)) Des expériences sur des rayons X ou Gamma n’on pas eux lieu jusqu'à
notre temps, je souhaite que des gens qui ont des moyens, de faire des
expédiences dans ce domaine, et de voir si des rayons X et gamma ; influencent
le poids des matériaux et ont une attraction sur ces matériaux, comme la
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pesanteur, c.-à-d. une radiation gamma qui rencontre une feuille très mince lui
inflige une force de pesanteur en plus de la force électromagnétique.

Donc on ne peut pas décider de la fréquence de la pesanteur ; ou le champ de


la pesanteur n’est pas en fonction des données comme hν… : C’est ça la
BARRIERE.

Pourquoi j’étais obliger de voir les choses autrement, au lieu de passer à des
trucs de math…

QUELQUES HYPOTHESES
La chose bizarre des ondes électromagnétiques  est leur aspect :
corpusculaire (transport de l’énergie et de la matière) ou ondulatoire
(transport seulement de l’énergie ?) Mais la chose est la

1) Les photons sont des particules c’est obligatoire d’après Einstein, ou


(pour nous tous les particules sont des aimants ou toute la matière est
formée des particules aimantées) 
2) Comment se forme les particules qu’on appelle photons des ondes
électromagnétiques ?

// Est-ce que par Bohr par exemple le passage de l’électron à un niveau plus
haut, donne naissance à des photons qui voyagent avec la vitesse C vers
l’infinie (et ces photons sont formés sur le tas par les électrons et protons, ou
ils étaient dans le cortège électronique ?)

// ou juste une fois un hν1 ( électron hors de sa trajectoire) est formé , il


excite le monde de l’Ether qui est dans son environnement , et dans le sens de
sa vitesse , et forme par conséquence un autre hν2 , puis disparait donc hv1
donne tous son énergie à hν2 , comme la propagation de son dans l’aire , mais
sans compression et la chose continue avec une vitesse C jusqu’a l’infinie
(évidement avec ν1 = ν2 …) On sait une chose que des choses comme-ça
existent : des fréquences qui deviennent d’autres fréquences ; dans le cas des
interférences ou la multiplication…

Dans tous les cas les photons particules existent que leur vie soit petite ou
grande, ce qui permit des réactions avec d’autres particules (ils donnent
naissance à d’autres particules). D’autre part si on considère une particule
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photon, d’énergie h.v (v = la fréquence), et son énergie augmente avec sa


fréquence ; une chose ne peut être admise si le photon occupe tous l’espace
parcourue pendant une seconde ; dans ce cas on va faire disparaitre la notion
de fréquence et toutes les ondes auront une fréquence très faible. On doit
admettre que le photon ne dépasse pas sa longueur d’onde même si sa
fréquence est très longue, et pour les grandes longueurs d’onde, est ce qu’un
photon à une longueur de plusieurs Km ? Non évidement. On doit admettre
que les photons s’alignes, et ou ils forment un groupe de photons ; des gros
photons (pour des grandes longueurs d’onde mais pas sur des centimètres ou
des mètres peut être des microns : Luis De Broglie. Pour ça on va donner une
idée ou une définition, en plus de ce qui est connue par Rutherford et Bohr ;
c’est comment se forme les particules ? Il y a encore des physiciens qui croient
que la lumière est une pure onde d’un fluide qui est par exemple l’éther… mais
dans tous les cas de quoi est formé cet éther, de particules ou non ?

LES TOURBILLONS
On considère qu’un tourbillon se forme :

// Par le rencontre de 2 champs au moins en un point donné, en Afrique de


nord cette aspect de formation des petits tourbillons par l’air est journalier
(l’air chaud monte et le froid descend).

// Ou par la différence de température entre les deux faces d’un plan; d’où une
face s’allonge plus que l’autre.

Parmi les tourbillons les grands cyclones dont l’énergie est énorme
(Amérique Californie l’océan indien la tache rouge de Jupiter…). Plusieurs
tourbillons s’organisent entre eux pour former un tourbillon (une particule)
stable dont l’aspect un peu sphérique. Une chose fondamentale de tourbillon
est lorsqu’il se trouve dans un champ il se polarise, mais pas dans tous les
champs (l’œil de cyclone par ex. descend l’air froid vers le bas et l’air chaud
monte sur les bords).

De faite son aspect spirale un tourbillon prend la forme de l’escargot  ; sous


cette forme un pole est mince et aigue , l’autre à une surface plus grande ( la
bouche de l’escargot ) , ce pôle est par évidence est d’une densité de radiation
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plus petite que le premier, donc sa force est très faible par rapport à celui qui
est aigue et très longue pour toucher d’autres particules.

****(2) un tourbillon et un escargot de forme d’un tourbillon polarisé . Et


un escargot de la mer non polarisé.

Le tourbillon dans un champ devient moteur, de faite sa forme spirale il


reçoit de l’énergie et le transforme en énergie de masse ou cinétique de
rotation ou translation, il peut aussi donner de l’énergie à l’extérieur et
perdre de la masse. Le tourbillon est un ventilateur spéciale il ressemble
beaucoup à une partie de boulon (beau large). On connait les cyclones se sont
des gros particules leur aspect allongés est dû seulement à la pesanteur de la
terre.

Comment se forment les charges


On considère que les atomes sont formés par des neutrons, et les
neutrons sont composés des électrons. Un composant (un électron) se
détachent de l’ensemble, donc il laisse un trou, et comme l’atome est composé
de plusieurs éléments qui sont des aimants (voir des extraits de la première
partie) ; tous les éléments orientent leur pole positif vers le trou et voila nous
avons notre atome chargé positivement (un proton apparaît !).

Pour l’élément qui a quitter l’atome, lui aussi présente un trou qui est égale à
l’empreinte qu’il a laissé sur le proton, mais son trou est négatif, c’est
obligatoire parce qu’il était lier au proton au moment de son arrachement. Le
tourbillon devient un primitif de toutes les particules.
19

****(3) à gauche un électron et son proton (en noir, les flèches


indiquent l’entrée et la sortie de champ dans le proton à la façon de
l’aimant) dans un atome, un neutron périphérique est devenu proton.
À droite un neutron dans un atome. Si l’électron s’éloigne beaucoup ;
le champ de proton se trouve libre et voyage loin donc l’atome
devient chargé.

****(4) une particule avec son champs E (ici un électron) et son champ
B (magnétique)

On veut résoudre par ceci pourquoi la charge de proton égale à la charge de


l’électron ? C’est parce que l’électron est composé lui-même par des petits
aimants donc lorsqu’on arrache l’électron de neutron son empreinte contient
autant de petits aimants constructeurs de l’électron. Les autres constituants de
l’électron ou de proton s’annulent entre eux car ils sont à l’intérieur de la
particule proton ou électron. On va savoir apres tous les particules de quoi sont
formées.
Donc une particule est constituer par plusieurs aimants, et un ensemble de
pôles positifs se réunissent pour donner la charge positive définitive de la
particule (pôle positif de la particule). Aussi le même nombre de pôles négatifs
(égale au nombre de pôles positifs) se réunissent pour donner la charge
négative définitive de la particule (pôle négatif de la particule). Donc le résultat
une particule avec deux pôles, comme un aimant.
20

****(5) UN PROTON ET SON ELECTRON, l’électron à droite composé de


photons. E = champs électrique, B champ magnétique. Se sont les même
champs ne sont différent que par leur sens (on découvre apres que cet image
très chère de proton est un peut différente ; alors que l’image de l’électron
est juste).

Une sorte de liaison entre particules


Il y a en chimie plusieurs sortes de liaisons chimiques entre atomes, nous
allons laisser ceci de coté et on prendra seulement la partie forme de l’atome.
Étant donné que l’atome est composé des nucléons qui sont des particules, ces
derniers sont aussi des aimants ou bien pour le moment des tourbillons, Bon
un peu plus sphérique que spirales. Ces nucléons s’organisent dans l’atome de
telle sorte que l’extérieur de l’atome présente des lieux ou surfaces tantôt
positives tantôt négatives, c’est ce qu’on appelle des pôles positifs ou négatifs.

****(6) un atome avec des pôles positifs et des pôles négatifs. A droite
plusieurs atomes en association.

Alors une façon pour que deux atomes forment une liaison entre eux, est de
se rapprocher, comme ils ne sont pas fixes dans l’espace (rotation), tantôt il y
a leur 2 pôles de même signes en face ils se repoussent, tantôt il y a leur 2
pôles de signes contraires en face ils s’attirent, et c’est ça la vie des nucléons
dans l’atome. Donc aussi la vie des atomes dans les molécules une affaire de
21

résonnance (il est possible pour détruire une molécule, il faut détruire la
résonnance entre ces atome, possible pour tous les éléments de la matière).
Ceci est possible entre ions, ce qui change c’est la distance entre particules qui
est grande. Mais aussi des forces continues en fonctions évidement de
fréquence de champs E.M. Dans le cas de courte distance des champs entre
pôles, on dit que les particules sont Cocons (sont neutres).

****(7) particule cocon. À droite dans 1 il y a répulsion, dans 2 il y a


attraction.

Vous voyez bien que les choses sont bien compacte la nature apparait uniforme
(ceci n’est pas contre le modèle de Rutherford et Bohr, et Pauli ou Van Der
Wales …) mais il ne faut pas presser.

LE RAYON FONCTION DE LA MASSE

****(8) R = le rayon de l’atome , m = la masse. Le rayon atomique


n’est pas une fonction linéaire de la masse ; une chose connue. On va
découvrir que l’atome ou la matière est fantastique ; et que toutes ces
divergences entrent dans ses lois de formation.

On trace le rayon des atomes en fonction de leur masse on ne trouve pas


une droite, il y a des moments ou la masse augmente alors que le rayon
diminue ; donc le volume diminue alors que la masse augmente. Ceci va être
22

expliqué après par le théorème de l’énergie cinétique ; et surtout la vérité de


l’atome. À chaque particule en mouvement correspond une onde (sa va de soit
mais la formule λ = h/m.v, concerne des particules ; et pas des camions elle est
en relation avec la théorie d’Einstein sur l’énergie. En effet si la masse
augmente ou la vitesse ; la longueur d’onde augmente pas de problème. Mais il
ne faut pas que le volume augmente).

Il y a une autre façon de voire la liaison entre les particules en fonction de ce


que j’ai énoncé (tous les particules sont des aimants), notamment les liaisons
ioniques covalentes ou autres. On considère une particule un atome par
exemple comme la roue d’une voiture ; la jante en ferraille est le noyau de
l’atome ou un neutron, alors que le caoutchouc et l’air sont les cortèges
électronique et photonique. La polarisation ou l’ionisation de l’atome conduit
a la création d’un pôle positif et l’autre négatif. Pendant la liaison entre l’atome
chargée négativement avec l’atome chargée positif ; les pôles de charges
opposées s’attirent. Mais lorsque les deux atomes sont très proches, le
cortège des photons les repousse en arrière et le cycle se répète. Ceci parce
que les trous sont petites ne peuvent pas supporter tous les champs des pôles.
C.-à-d. on veut savoir combien les atomes vont se rapprocher les un aux
autres ; il y a une limite qui est garantie par les photons qui entoure les
électrons et l’atome en générale. C’est le retour qui est plus grand que les
pôles de liaisons. Par exemple la liaison entre deux atomes (dont le retour est
très grand) se fait par deux électrons ; qui sont guidés par des lignes de retour ;
donc les atomes liés ne se touchent jamais.

Deux atomes liés : les noyaux sont verts, le gouge c’est le cortege des photons et
electrons. A droite j’ai ajouté les poles positif et negatif qui interviennent dans une liaison.
23

**** le schema de gauche est celle d’un proton chargé positivement le gain
dans cette direction (+) est grand. Celle de droite c’est un electron le gain est
grand dans la direction (-).

** le schema de guche est celle d’un proton chargé positivement le gain dans cette
direction (+) est grand. Celle de droite c’est un electron le gain est grand dans la direction
(-).

De cette façon on résout un coté des problèmes de la liaison dans la matière.


Et l’hypothèse que j’ai énoncé est juste (tous les particules de la matière sont
des aimants). Les conséquences :

1) les particules de la matière dans un atome ou nucléon ou molécule…


sont en mouvements les uns par rapport aux autres.
2) les pôles positifs et négatifs sont responsables sur les liaisons comme un
facteur…

Il y a d’autres et d’autres conséquences qu’on peut tirer de cette hypothèse


de tourbillon. C’est un topo nouveau des particules et de leurs relations.
24

L’ionisation et la vitesse de l’électron 


Il y a 2 sortes d’ionisation, Celui connue dans la chimie en solution ou les
ions dans un cristal par un courant électrique… un atome perd un électron
devient positif, et son électron négatif. Mais il y a aussi l’ionisation radio actif,
dans le cas ou un neutron perd un électron ou le gagne ; l’élément chimique
devient un autre ex : le radium E (isotope de bismuth) devient polonium sans
que la masse change. Le premier cas les électrons sont périphériques, dans le
cas de la radioactivité les électrons sont constitutifs des nucléons ; Ce qui est
remarquable c’est que dans le premier cas , l’énergie cinétique de l’électron
est très inferieur que le deuxième cas de la radioactivité β⁺ou β₋, la vitesse de
l’électron beta (moins et plus) approche beaucoup de la vitesse de la lumière,
c’est une preuve que l’électron est un composant des nucléons les neutrons,
et sa vitesse d’éjection est celle avec laquelle il tourne dans le noyau de
neutron ; pas a pas !. Avec un proton ou dans un atome et à la périphérie ;
l’électron est plus loin de l’atome et de son proton, mais il est en face de
proton et empêche sa charge d’aller loin ce qui donne la charge totale de
l’atome neutre ! (cocon), mais on peut dire tout simplement que l’atome est
former de neutrons c’est pourquoi il est neutre. Et lorsque l’atome s’ionise
l’électron est très loin.

Dans le nucléon l’électron est à l’intérieur et forme un cocon avec d’autres


électrons ; le nucléon est neutre et d’après Newton et Bohr plus la particule
satellite est près de centre plus sa vitesse est grande donc la vitesse de
l’électron dont on parle en chimie à une vitesse moins que celui qui est dans
le nucléon. On va voir après que la vitesse des électrons lents se fait par
étape. On dit aussi que tous ce qui est radioactive est une explosion de
l’atome, mais il reste toujours d’où vient l’énergie de cette explosion. C’est
l’énergie cinétique de rotation des constituons des liaisons des nucléons. Au
moment de l’explosion une partie se transforme en ondes électromagnétique,
et possible même en Devès qu’on va voir après. D’après Bohr suivant la
position de l’électron nous aurons une radiation, ceci en effet une modulation
d’un même champ en fonction de la vitesse de l’électron donc de son énergie
ceci est très important (surtout la chimie).
25

Quel est le champ qu’on cherche ? (on connait un entre charge, l’autre de la
pesanteur pas encore !)

****(9) le remplissage se fait couche après couche mais la dernière couche


est plus grande que la première. A droite un corps en mouvement de rotation
avec une vitesse V1 quand sa vitesse augmente son volume diminue (et
donne la particule noire de droite) mais sa densité augmente, donc son
énergie de masse augmente.

Pour remplir la surface avec les éléments constitutifs d’une particule comme
l’atome, il faut beaucoup des éléments ; on sait que l’’atome change de nature
rien qu’avec 2 éléments (la loi de deux de Mendeleïev); mais cela ne veux pas
dire que nous avons remplie toute la couche ! La différence qu’on attribut aux
éléments dit naturelle est purement chimique (c’est vraie la cause est une
différence de masse donc de nombre de nucléon plus la loi de deux), après les
éléments sont différents par leur cortèges électroniques, alors pour nous tous
les atomes sont composés de même sorte de particules.

Nous voyons qu’il arrive un certain moment dans les conditions de notre terre
l’atome ne peut pas grandir à cause par exemple de la force centrifuge F =
mω²r … cela va de soit si la vitesse angulaire augmente la force centrifuge
augmente, et d’autant plus que son rayon est grand, et comme nous somme
devant des particules assez grandes (plusieurs nucléons, uranium …) il est
évident qu’il est difficile de les tenir en place.

De la même façon les photons sont identiques se sont des marques pour les
ondes électromagnétique, ils peuvent se grouper donc ils arrivent a une
certain dimension donnent une masse. Si la masse dépasse la vitesse C : elle
s’explose en photons. C’est pourquoi aussi la vitesse des objets ne peut
atteindre la vitesse de la lumière. On peut faire un petit calcul pour déterminer
26

ceci (voir dessous force centrifuge et masse des photons, car la vitesse dont
on parle est aussi circulaire vitesse de formation des particules)

L’ENERGIE CINETIQUE ET LE VOLUME


Un corps en mouvement prend de l’énergie cinétique, ce mouvement peut
être linéaire ou circulaire ou les deux, énergie cinétique = Ec =
(mv²/2+Jω²/2) ; m =masse de la particule, v = vitesse de la particule linéaire, j
= moment d’étertie de la particule, ω= vitesse angulaire = V/r (Vitesse
circulaire)

Aussi en dynamique quand F Force sur un objet F= - grad (U) = force de


pesanteur dérive de potentiel U(x,y,z) , la quantité E = mv²/2 + U est une
constante ; et U est l’énergie potentielle. A la limite des choses l’énergie d’un
corps en mouvement (avec une vitesse inferieur à la vitesse de la lumière) =
mC², c’est la fonction qui est égale à l’énergie potentiel U = mC²/2, et son
énergie cinétique Ec = mC²/2 (on peut imaginer autre chose ; l’énergie
potentiel est mC², se transforme en énergie cinétique mC² /2, et une mc²/2
de formation des photons). Un corps dont la vitesse atteindra la vitesse de la
lumière, s’éclatera en lumière dont l’énergie totale est mC². Alors il y a la
lumière des électrons, parce qu’ils ne sont plus dans leur référence d’avant (le
cocon), ils ont une vitesse donc une énergie, en plus que l’énergie de leur
masse, mais d’où vient cette énergie ? on va répondre à cela en dessous.

De même quand la force F qui agit sur le point M de masse m, dérive d’un
potentiel U(r) qui ne dépond que de la distance r =OM, le vecteur J=OM^mV
est constant donc si la distance OM diminue la vitesse doit augmentée.

le théorème de l’énergie cinétique rend compte à des choses importante qu’on


ne peut pas prévoir facilement ex : si vous avez une poulie avec deux poids ,
l’un d’un coté et l’autre de l’autre coté , tu peut croire que la tension des deux
cotés de la poulie sont les mêmes quelque soit la poulie (même en rotation de
la poulie) , alors quelles sont différentes et dépondent de la masse de la poulie
c.-à-d. que la masse en mouvement de rotation absorbe de l’énergie. Galileo
trouve que la chute des corps a la même accélération pour tous les corps.
Donc la force de la pesanteur se fait sur les nucléons qui sont identiques pour
27

tous les éléments. Ici on va rappeler et introduire une autre formule avant
Einstein pour résoudre un problème de la fréquence-énergie-masse-volume : Il
est bien connue : un corps en mouvement circulaire prend de l’énergie
cinétique la vitesse moyenne de ce corps est v0 (vitesse circulaire de ses
composons), et un volume k0, si par un moyen ou un autre on diminue son
volume alors sa vitesse moyenne devient supérieur v1 > v0 (on appelle ceci
contraction des corps en mouvement de rotation)

Maintenant revenons à notre tourbillon, considérons un espace de 1Km² sur


1Km contient des photons d’une onde électromagnétique dont la fréquence est
connue. Ces photons se trouvent dans des champs d’autres photons dont les
masse sont plus petites que les photons électromagnétiques, pour ça le volume
K0 de 1Km cube se déforme pour commencer un mouvement de rotation à la
vitesse angulaire ωo, considérons que sous l’effet de champs de la pesanteur
les photons électromagnétiques s’approchent les un aux autres donc le
volume de 1 Km cube devient plus petit K1 < K0 la vitesse de rotation de K1
est ω1 supérieur à ω0 (ω1> ωo théorème de l’énergie cinétique ) mais cette
diminution de volume arrive maintenant sans l’intervention de champs des
petits photons et sans l’effet de la pesanteur ou par elle ; la distance entre les
photons diminues donc ils se rapprochent encore plus et la vitesse devient plus
grande ω2 (ω2 > ω1) et de proche en proche notre 1Km cube de photons se
comprime jusqu’a devenir un électron , sa vitesse de rotation autour de lui-
même devient très grande (tend vers celle de la lumière), son énergie égale a
l’énergie de 1Km cube de photons électromagnétique , dont la vitesse était ω0
très faible ( vous allez me dire que la vitesse des ondes électromagnétique
n’est jamais très faible , je vous dit quelle est votre vitesse maximale par
rapport au soleil alors que vous êtes sur terre ? Et portant tu sens rien, on se
trouve dans un monde rien que des photons ! C’est un exemple ! (il faut poser
aussi la question d’où vient la vitesse de la lumière ?, possible vient d’un coup
d’électron).

Nous voyons notre tourbillon comment il a passé, vitesse très petite vers
une autre très grande rien qu’on changeant de volume, voila l’image de notre
particule et sa formation devient de plus en plus claire ; sa densité devient
grande avec la vitesse de ces éléments, la densité est donc fonction aussi de la
vitesse de ses éléments comme par leur nombres. En fin c’est une idée qui
28

peut arriver dans la nature, alors que la formation des électrons a partir des
photons, peut se faire par pression ou en juxtaposition des pôles comme il a
était signalé plus haut.

Considérons une masse m, de volume v1, sa densité est ρ1, elle a une vitesse
angulaire de ω1, sans translation son énergie cinétique est Ec1=j1ω1²/2, il
passe à ω2>>ω1 donc sa densité devient ρ2, on considère que la masse ne
change pas, cas de particules qui conservent leur individualité

m1 = ρ1 V1 m2 = ρ2 V2 = m1 = m ρ2 = ρ1 V1/V2

L’énergie de la particule n’a pas changée

Ec1 = j1ω1²/2 = j2ω2²/2 et j1=mr1², j2=mr2²

ω2²/2 = j1/j2.ω1²/2 = (mr1²/ mr2²). ω1²/2 →

ω2= ω1 (r1/r2) , V1= k.r1³, V2= kr2³

ρ2 = ρ1 V1/V2 ρ2 = ρ1 (r1/ r2) ³ = ρ1 (ω2/ ω1)³

ρ2 = ρ1 (ω2/ ω1)³

(ω2/ ω1) est toujours supérieur à 1 donc la densité croit très vite avec la
croissance de la vitesse angulaire. Le volume, peut ne pas être une sphère, les
choses ne changent pas beaucoup. Vous aller me dire donc si la vitesse des
constituons de l’éther est plus grande que la vitesse de la lumière donc l’éther
est plus dense que toute sorte constituons dans l’univers ; pas à pas.

Ce qui est important ce qu’on raconte sur un système déformable : un corps


sous des forces interne peut diminuer de volume donc sa vitesse angulaire
augmente ; la force interne peut être la pesanteur ! Le cas de Bohr :
L’électron s’éloigne de son nucléon, en quelque sorte le nucléon se gonfle,
l’électron perd de la vitesse, et le nuage électromagnétique qui l’accompagne
jailli dans l’espace (une sorte d’explication, il perd de l’énergie sous forme de
champ électromagnétique, il y a d’autres).

REJOINDRE LES ANCIENS


29

Notre corpuscule devient de plus en plus petite mais son énergie est grand
donc avec ces particules on peut former des fréquences très grandes sans
perdre le coté énergie. C.-à-d. si on lance 100 billes à la seconde sur un cible,
ce dernier recueillera plus de d’énergie que si on lance sur lui 50 billes à la
seconde. L’augmentation de l’énergie de l’oscillateur avec la fréquence revient
à ça ; et la théorie de Planck est juste comme-ça, mais il faut reconnaitre que
ceci n’est qu’un cas particulier des photons des ondes électromagnétiques,
donc s’il y a des photons qui sont de masse plus petites les choses seront
différentes ce qu’on va démontrer après et c’est la clef de la pesanteur.

Voyons le cas de Louis de Broglie son hypothèse est qu’on associe a chaque


corpuscule en mouvement de vitesse v une onde λ tel que :

λ = h/mv, λ = longueur d’onde = v.T ; T = la période de l’onde;


m= la masse de la particule ; v= la vitesse de la particule

Considérons cette formule pour un seul genre de photons ; si on augmente la


masse, la longueur d’onde diminue donc la fréquence augmente, mais aussi le
volume augmente, donc une contradiction on ne peut pas augmenter le
volume et la fréquence en même temps (pour les fréquences très petites des
ondes électromagnétiques une chose possible). Mais si on utilise l’hypothèse
de genèse de tourbillon on peut augmenter la masse sans augmenter le
volume et on reste dans le cas de Louis. La théorie de Louis n’est pas comprise
par quelques physiciens ; mais on se rende compte maintenant qu’elle est
juste avec la notion de tourbillon, et un cas particulier comme pour Planck.
On peut généraliser l’hypothèse de Louis, Si on considère le graphe des rayons
des atomes en fonction de leur masse :

// La formule de Louis est juste aussi si E= mc² = hν ; Car λ=h/mv avec
v=c et m=hν/c² donne cT= cT

// Elle est aussi juste (sans passer par le graphe) si on considère la variation de
la masse en tant que produit ; il est évident que lorsqu’on passe de l’élément
Fe (fer) vers l’élément Pb (plomb) la masse augmente et le volume augmente
peu, il peut diminuer pour d’autres produits, donc le volume ne varie pas et la
masse varie, la longueur d’onde diminue et l’énergie augmente.
30

// Une constatation sur les geysers artificielles des jardins ; est que même si la
pression de la pompe est constant il y a une alternative dans le débit, il change
de temps à autre, donc le débit présente un mouvement ondulatoire, ceci peu
être expliquer par la pression sur les parois qui augmente (donc les
frottements) ce qui oblige le débit de diminuer, puis les choses recommencent.
C’est bien un truc de Louis.

// Le résultat dans un collisionneur des particules ; des schémas des particules


qui tournent suivant un trajet spirale, jusqu'à ce que leur mouvement devient
purement circulaire, la nature condamnée ! Nous avons alignés la vitesse de la
particule et après elle revient à son mouvement de début (circulaire), ceci peut
être à cause de frottement avec quelque chose ; la courbure lui fait gagner de
l’énergie, la même chose dans les geysers des jardins publics ; le mouvement
ondulatoire donne de la respiration à la puissance de moteur (le jet de geysers
augmente et diminue parce que les frottement sont devenues grandes avec
l’augmentation de débit), aussi les geysers naturelles (les geysers de
Groenland), c’est aussi le truc de Planck.

INTERFERENCE ET Devès
Les interférences des ondes électromagnétiques, ont étaient bien
expliquer la première fois par Fresnel à travers sa méthode de construction
vectorielles, d’où il déduit que la lumière est une onde, c.-à-d. que ces ondes
transportent de l’énergie et pas de la matière ; ces ondes sont comme les
ébranlements, les ondes acoustiques, les vagues … Mais pour nous nous
somme obligés d’introduire quelques supplémentaires. Etant donnée pour
nous l’onde de la lumière est aussi une succession de particules, donc la
lumière n’est pas une onde comme les vagues de la mer par exemple. Et la
propagation de la lumière se fait par transport de l’énergie et de la matière.
Ces particules se manifestent un peu différemment suivant leurs longueurs
d’ondes.

//Pour les petites longueurs d’ondes les particules sont pénétrantes, pas
d’ambiguïtés.
31

//Pour les grandes longueurs d’ondes comme la réflexion des ondes


électromagnétique sur l’ionosphère excitée. Les choses ne sont pas claires, On
peut expliquer comme-ça. Pour les petites longueurs d’ondes la source divise
le paquet des photons artificiellement, Pour les grandes ondes Il y a des
grands paquets (mais la distance entre les paquets est aussi grande) et ceci
est dû Ex. à la source débitrice (source) sur un temps assez grand sans
interruption (T : la période). C’est la méthode pour savoir la distance entre les
atomes dans un cristal… Autrement il n y a pas de raison que les grandes
longueurs d’ondes se polarisent, s’ils sont construit par les mêmes paquets des
photons que les ondes courtes. Une des causes principale est celle de physicien
Malus la polarisation; étant donner que les ondes ont une densité linéaire
faible, la densité latérale peut être grande.

****(10) l’onde est isotrope après réflexion elle est plane.


Et lorsque l’onde rencontre un autre milieu, il y a réflexion et aussi une
polarisation d’onde, les photons montent les uns les autres (polarisation de la
lumière voir l’expérience de Malus) l’onde était isotrope ; devient plane, c.-à-d.
création d’une onde plane rectiligne verticale (Maxwell), c’est une des
interprétations de ce phénomène, les ondes sont transversales.

L’INTERFERENCE
Pour l’interférence on peut imaginer des choses comme ça :

Les deux ondes en phases ; les deux photons se rencontrent et leur énergies
s’ajoute vectoriellement, il y a la frange blanche. S’il y a conservation de
32

l’individualité des photons ou paquet de photons la fréquence n’augmente


pas, mais les paquets sont différents.

L’onde résultante à une longueur d’onde plus grande (f/2), on peut ne pas
recevoir la lumière à cause de cette fréquence. Les calcules comme vous savez
montres que si les deux ondes ont la même fréquence; il y a augmentation
d’amplitudes et des bandes latérales apparaissent.

Dans une antenne isotrope les photons se propagent suivant des sphères.
Avec des densités variables en fonction de la période. Pour un faisceau
lumineux il est isotrope il tombe sur le lieu de réflexion il est polarisé dans les
lieux qui sont inclinées par rapport au faisceau (on revient à Malus) on
peut conclure : ** lorsque les deux faisceaux sont en phase entre eux, sur les
lieux de réflexion on reçoit une intensité lumineuse. ** lorsque les 2 faisceaux
ne sont pas en phase, par rapport au lieu de réflexion ;a) ils se rencontrent loin
de lieu de réflexion ils ne sont pas réfléchies ils se dispersent latéralement. b)
ils sont les photons ou ondes un peu décaler l’un par rapport à l’autre, l’un
abime l’autre et il n’y a pas de réflexion aussi. c) Ou ils s’alignent les uns
derrière les autres pour donner une fréquence différente qui n’est pas vue.

Il y a une chose l’expérience de Malus qui à conduit à la notion de la


polarisation de la lumière ; est une chose qui nous montre que la lumière qui
est réfléchie ne reste pas isotrope, et il se crée une direction d’amplitude
maximale (il y a déformation de l’ensemble des photons), et se sont ces
amplitudes qui réagissent entre eux, pour donner les franges qu’on voit dans
les interférences lumineuses. Il est vrai que si la lumière restait isotrope il est
très difficile d’interpréter le phénomène d’interférence lumineuse ou il n’y aura
pas d’interférence de tous. On sait que actuellement en télécommunication
on utilise cette propriété de polarisation pour différencier entre les canaux de
même fréquences par exemple (polarisation verticale et polarisation
horizontale … (de l’eau calme qui devient une onde, un mur verticale). Et
voila Nous avons expliqué les phénomènes ondulatoires comme s’ils étaient
des particules isolées.

LES Duvets
33

On constate dans l’évolution de la formation des particules qu’il y a une


discontinuité dans la masse, les volumes … Les éléments qui forment les quarks
sont les électrons, et à leurs tours les quarks sont formés par les électrons. On
généralise cette chose sur les photons et on considère qu’il y a deux sortes de
photons de point de vue masse et volume (on dit deux sortes de photons
parce que jusqu'à maintenant on ne connait pas les photons de la pesanteur).

// Les photons des ondes électromagnétique; depuis les ondes longues, radio,
les courtes, les rayons X puis les gammas ces photons s’organisent pour former
des groupes de photons (propagation des groupes, bande passante…) // Des
photons plus petits qui sont des photons manipuler par les nucléons, et sont
responsable sur la pesanteur, comme on va monter après, ces photons on va
les appelés les Duvets se sont les constituons des photons des ondes
électromagnétiques (c.-à-d. un photon est constituer par plusieurs Duvets)

La manifestation des ondes électromagnétique comme il a était dit avant


est reliée a la notion de l’énergie, cette énergie se manifeste par la chaleur,
par l’expulsion des électrons (cellule photoélectrique, cellule solaires …) et
surtout la création de l’électricité par les alternateurs et les réactions
chimiques, pratiquement tous les échanges d’énergies (sauf le potentiel de la
pesanteur et de la vitesse) viennent de ces gros photons électromagnétiques.
Donc il va rester les Devès pour la pesanteur mais comment ?? Les Duvets
peuvent réagissent :

a) avec les 2 champs ; magnétique et électrique. On suppose que tous les


photons sont formés de Devès.
b) Se sont le champ de la pesanteur ; c.-à-d. que le champ des Duvets
donne de la force entre particules même s’ils sont neutres, une chose
qui n’est pas l’affaire des ondes électromagnétique donc l’affaire des
Duvets.

Et même comme-ça on ne peut pas déduire la fréquence de l’onde de la


pesanteur, parce que les ondes électromagnétiques réagissent sur les
charges, j’ai fais comme hypothèse que tous les éléments de la matière sont
des aimants, alors comment les réagissent Duvets?, donc la porte est presque
fermée. On va créer des modèles par absurde, et on cherchera ce qui est juste,
de cette façon on va épuiser les hypothèses injustes.
34

Comme les Devès sont responsable de la pesanteur ????, donc ils réagissent


sur et entre les nucléons et leur composants les électrons, ou les photons… et
comme la pesanteur est aussi une affaire des trous noirs, les Duvets sont aussi
une émission des trous noirs et l’organisation de réseaux de la pesanteur se
fait autour de ces trous ?, c.-à-d. qu’on trouve de point de vue intensité,
l’émission des Duvets des trous noirs (on raisonne par l’absurde).

****(11) N = les trous noir, S = les soleils, et portant le champ des


trous noir arrive plus loin que celui des soleils, loi de Newton.
On voit bien comment les trous noirs réagissent à grandes distances, et
arrivent à attirer les soleils, ceci grâce à la densité linéaire de l’onde de la
pesanteur, qui est très grande, c’est vraie que l’intensité de champs de la
pesanteur, dans les environs des soleils est assez dense surtout latéralement,
mais juste à des distances, après leur influence devant les trous noirs devient
négligeable (Newton). Mais attention ceci des hypothèses ils leur manque des
choses qu’on va démontrer après. Donc de point de vue intensité de pesanteur
on trouve. Les trous noirs puis les soleils (ou quasars) puis les planètes puis les
atomes puis les électrons puis les photons.
35

D’après les travaux de Bohr on peut conclure que les photons sont
composons des électrons, mais comment se fait cette création ? ?????

a) à la façon des tourbillons comme les palettes d’un ventilateur, donc les
électrons poussés par quelque chose, fabriquent les photons, suivant leur
énergie, on obtient les différentes bandes des ondes électromagnétiques.
Comme on ne sait pas ce quelque chose on supposera que se sont les
Devès (ou des particules petites que les électrons), donc tous les ondes
électromagnétiques connus sont fabriquées par les Devès (possible ceci
à l’intérieur des grandes masses)
b) les photons peuvent être la désintégration des électrons et protons,
suivant le modèle de Planck, c.-à-d. que l’électron une fois il ramasse de
l’énergie de l’espace (à la façon de tourbillon), une autre fois après une
excitation donnée il émet cette énergie sous forme des photons à une
fréquence donnée ; on peut conclure que les électrons sont composés des
photons.
c) Pour nous on va continuer maintenant avec les Devès et on va dire au
revoir aux photons (qui sont aussi un assemblage des Duvets !)

Conclusion sur ce paragraphe : Atome, nucléons, neutron), quarks,


électrons, photons, Duvets, Les petits forment les grands.

INTERPRETATION DE LA LOI DE MENDELEÏEV


Mendeleïev à fait son tableau avec des éléments qui sont différents en
nombre de nucléons pourquoi les choses sont comme-ça 
comme-ça ?? Chaque élément
est différent de l’autre, par ses caractéristiques chimiques on peut sauter ceci,
par son poids on ne peut pas sauter ceci, par la couleur on ne peut pas sauter
ceci, par des propriétés dont le rapport avec la température 
température : fusion,
température d’ébullition, cristallisation … mais il y a le tableau de Mendeleïev
(beaucoup des éléments), nous avons vue dans ce travail que l’influence de la
lune sur la terre conduit à la formation de deux régions ou deux (2) pôles, par
analogie on va expliquer l’ajout de 2 à 2 des nucléons dans l’atome de la même
façon 
façon : Lorsqu’un nucléon se relie à un atome (un ensemble de nucléons), il se
fixe suivant les lois 
lois ; pole positif ou négatif avec un pole négatif ou positif de
l’atome, donc il va boucher le retour ou la sortie de nucléon auquel s’est relier
(avant qu’il se stabilise), de l’autre coté de l’atome nous aurons un retour ou
36

une sortie qui ne marche pas,


pas, c.-à-d. que l’atome se trouve instable,
instable, pendant
un instant, avec un seul pôle ( sans retour), donc il faut l’autre pôle, pour ça elle
s’allonge suivant la direction de nucléon ajouté. Pour se stabilise il capte un
autre nucléon sur la face opposée de premier nucléon (inutile de vous dire que
Zeitoun = olivier veut dire ajouter). On va voire l’atome en détaille après.

On ajoute les nucléons deux à deux, la loi de deux. Nous allons


voir après dans la partie IG (infiniment grand) que cette loi gère, surtout les
explosions des galaxies et des supernovas … On sait que la masse de l’atome
n’évolue pas toujours deux à deux.

Lorenz Einstein
Il faut dire un mot de travail d’Einstein parce que, on manipule la formule
E=mc², et le travail d’Einstein utilise une chose comme m=mo/(1-v²/c²)½ ;
lorsque v tend vers l’infinie ceci temps vers l’infinie, une chose qui na pas de
sens, car on considère que le photon à une masse (nous avons donné quelques
explication avant comme quoi la vitesse d’un objet ne peut atteindre la vitesse
de la lumière, autrement il s’explose en lumière ou autre onde
électromagnétique comme gamma…). Cette formule est venue comme vous
savez de Lorenz et Einstein; qui dans le temps cherchent à résoudre un
problème de Michelson (l’expérience de Morley et Michelson célèbre),
Michelson voulait savoir si la lumière est une onde de l’éther, et que l’éther
existe mais les résultats étaient inattendus. En effet les radars utilisent la
fréquence, qui est réfléchie sur un objet dans le ciel pour savoir sa position et
sa vitesse; cette dernière est déduite de la différence entre la fréquence émise,
et la fréquence reçue, les deux fréquences sont différentes si l’objet est en
37

mouvement, c’est ce que Michelson à proposé dans son expérience; pour


savoir l’existence de l’Ether car la terre se déplace, et par deux faisceaux
lumineux, un dans le sens de la vitesse de la terre, et l’autre dans le sens
contraire, s’ils se rencontrent il y auras une interférence qui est fonction de la
vitesse de la terre par rapport à l’éther…

Lorenz a son tour proposa une solution théorique il utilise 2 repères en


fonction des résultats de Michelson … mais la chose à dévier avec le temps de
l’explication originale, a tel point on considère les résultats obtenue par
Einstein par le transformé de Lorenz ne sont pas raisonnables. Comme par
exemple :

Dans 2 repères l’un a une vitesse par rapport à l’autre, la vitesse de la lumière
est la même dans les deux repères ! On cherche à résoudre l’équation qui vient
des 2 repères avec le facteur Ψ(v), une fonction de la vitesse de premier
repère par rapport à l’autre.

ξ²+η²+ ζ ² - c²τ² = Ψ(v) (x²+y²+z²-c²t²)

****(13) deux repères l’un fixe l’autre à une vitesse v.

L’introduction de Ψ(v) vient de faite, que 2 fonctions tendent vers zéro (0)
en même temps mais ils peuvent être toujours différentes entre eux, ils
trouvent Ψ(v) =1 pour v=0 donc Ψ(0)=1, et en fin quelque soit v nous avons
Ψ(v) = 1, ceci donne que l’équation en haut devient

ξ²+η²+ ζ ² - c²τ² = (x²+y²+z²-c²t²) quelque soit v, une chose qui n’est pas vraie
si v est différente de 0, Lorenz à résolu le problème comme suit :
38

Il utilise 2 repères l’un à une vitesse par rapport à l’autre , et il cherche le


mouvement d’un même objet dans un repère en fonction des variables de
l’autre repère , donc Lorenz propose aussi que les unités dans le premier
repère sont différentes de deuxième ( Ex : 1 mètre dans le repère 1, et 1 cm
dans le repère 2 ) , Soit un repère K dont les variables d’espace sont x,y,z et t ;
la variable temps. Un repère H dont les variables sont ξ, η, ζ , et τ; la variable
temps. Le deuxième repère K se déplace à la vitesse v par rapport au premier
repère suivant l’axe de X. Donc l’espace peut être décrit dans le premier
repère par : x²+y²+z²-c²t²=0 (1). La deuxième équation ξ²+η²+ ζ ² - c²τ² = 0
(2) est vraie aussi et si on introduit les changements de variables.

(3) y = η , (4) z = ζ

(5) ξ = β(x-vt) (6) τ=α(t + &x)

Si Lorenz qui veut que T est fonction de x. Il suffit de regarder t et τ, et x et ξ


pour voir qu’il y a changement des unités d’un repère à l’autre ; on introduit
(1) = (2) sans problème.

Vous savais qu’après résolution des équations (1) et (2) par (3) (4) (5) et (6) on
trouve

β = 1/(1-v²/c²)½ τ = β( 1- vx/c²)

Mais pour Nicolas africains ; de plus scientifique, il comprend comme ça : on


cherche la solution pour les points dont la distance est la même pour les deux
repères : voila que Nicolas ne veut pas généralisé, il oublie que si la vitesse
d’un point dans le repère K est Vx suivant OX sa vitesse dans le repère H est :
V’x= Vx-v/(1-vVx/c²) et si Vx = C la vitesse de la lumière alors V’x égale aussi C,
comme ça tous le monde content , évidement si on admet les solutions de
Lorenz.
39

****(14) la vitesse de la lumière est la même dans les deux


repères.
OB = O’B donc le trajet de lumière est OB et la distance OB et O’B sont
égales (solution de Nicolas). Si on prend un élément CE ; on trouve que si sa
distance est l dans le repère k, et λ dans le repère H, il y a la relation suivante :
L = λ (1-v²/c²)½. Comme les unités dans les repères sont différentes, c’est
normal que cette égalité soit juste. Et L n’est pas différente de λ.

Lorenz à fait ce travaille à cause des travaux de Michelson et Morley, qui


n’ont pas trouver de changement de fréquence dans leur expérience, ceci ne
peut être que si la vitesse de la lumière est la même pour tous les repère (terre,
éther…), nous avons dit que ceci conduit à un changement des unités, si on
revient à Einstein on peut interpréter les choses comme quoi : une particule
passe d’un repère à l’autre elle change de vitesse elle change de volume et
change de masse… ? C.-à-d. les Devès se transforment en photons, ils
diminuent de vitesse, augmente leur masse, les photons deviennent des
électrons, diminuent leur vitesse, augmente leur masse et volume (on parle
de l’énergie cinétique pas de l’énergie de formation mc²/2 mais il y a un
rapport directe entre eux, la nature condamnée).

C’est ce que nous avons trouvé par constatation, et par l’hypothèse


d’Einstein la constante C (vitesse de la lumière), que les corps se freinent par
quelque chose en fonction de leur surface (comme la résistance de l’air en
face de la vitesse des objets) ; ce quelque chose c’est les Duvets. Et c’est pour
ça que la vitesse des corps ne dépasse pas celle de la lumière. Et par analogie
on peut dire qu’il y a une vitesse limite, pour les électrons ; inferieur à la
vitesse de la lumière. Autrement ils s’explosent en quelque chose, a cause de
champs où baignent ; c.-à-d. un certain repère.

Einstein à sortie par la grande porte pour sa formule E = mc² ; car il n’y a pas
ici de variable d’espace ni de temps et nous somme très loin de transformé de
Lorenz et toute autre considération. Donc nous avons le droit d’utiliser cette
formule dans le cas ou une masse se transforme en photons.

Les forces entre deux champs de 2 conducteurs


40

Lorsque deux files électriques, sont parcourues par des courants


électriques, et se trouvent pas loin l’un de l’autre, on constate qu’il y a une
force entre eux. (Laplace, ampère …)

****(15) suivant le sens des électrons, il y a un champ magnétique de


droite à gauche ou de gauche à droite.

Chaque file crée dans l’espace un champ magnétique, d’après la loi de Biot et
Savart

dB = μ(I^dl)/4πr²

dB = le champs magnétique, I = l’intensité de courant dans le file, dl=


l’élément qui a donne le dB, r = la distance entre dl et le point ou on cherche
le champs.

a) lorsque les 2 courants sont de même sens, les deux files se repoussent (les
forces entre 2 aimants). Il y a entre les deux éléments conducteurs
accumulation des ondes électromagnétiques ce qui pousse les deux files.
Remarquez si le même cas que deux aimants qui ont leur polarité de même
sens en face (il y a choc entre les photons ; sens opposés).

****(16) la rencontre des champs dont les sens sont contraire il y a une
force de répulsion; les F.
41

Lorsque les champs électromagnétiques se rencontrent, il y a entre eux un


choc, donc une force de répulsion, et d’autres phénomène comme
l’interférence … on voit que le travail que nous avons fait dans la première
partie n’est pas inutile, et maintenant on comprend pourquoi il y a une force
entre des files parcourus par un courant électrique, c’est le comportement de
champ magnétique.

****(17) dessus le rencontre des champs dont les sens sont inverses, il y
a attraction ; les F. à droite remarquez une solution le sens des courants de
champ magnétique dans II et dans І peuvent s’interchangés.

b) Si les deux courants sont de sens contraire il ya attraction entre les 2 files, ce
n’est pas le cas de deux aimants dont les 2 pôles en contactes sont de signe
contraires, mais un autre phénomène. On va supposer comme d’habitude des
solutions et on prendra celui qui est juste ; pour que le lecteur ne cherchera
pas ce que nous avons prouvez faux. On sait qu’il y a attraction entre deux
aimants lorsque deux pôles de sens contraires se rencontrent (il est très
possible que dans ce cas il y a la même chose le courant de champ de file 1
coule avec celui de file 2, et vis vers ça les photons de file 2 coulent avec les
photons de file 1. Mais on va faire des hypothèses ! Il s’agît de créer un
courant d’air entre deux ballons, qui sont accrochés par 2 fils et proche l’un de
l’autre. Le courant d’air qui passe entre les deux ballons crée une attraction
entre eux.

Donc une autre fois un comportement de champs électromagnétique avec les


particules de la matière , ressemble à un milieu bien connu l’air, je croix que
42

l’étude approfondie de cette phénomène montrera les causes qui font qu’il y a
attraction entre les deux ballons; est ce que c’est aussi une affaire d’une
dilatation d’aire après et avant son passage entre les 2 ballons ? ( le champs
magnétique ne se délatte pas , vitesse constante c ) , ou un effet, que l’air est
composé de particules ? ou tous simplement la cause des lois bien connues de
l’aérodynamique, et dont la résistance de l’air sur les faces est fonction des
formes des objets, je dit ceci pour bien faire l’analogie, dans tous les cas la
force qui existe entre les deux ballons dans le cas de l’air, est purement
aérodynamique, c’est une expérience bien connue dont la force moteur est le
poids des ballons ( hydraulique des fluide compressible) et la vitesse de l’air
qui est plus grande sur les faces internes que les faces externes ?! Donc le
champ magnétique se comporte comme de l’air (coté force), le champ
magnétique n’est pas compressible, mais sa densité peut varier en fonction de
la cause de sa création (l‘intensité des électrons…). c.-à-d qu’on n’est pas dans
le même cas. Notre phénomène possible comme la résistance de l’air sur les
ailes d’une avions ou il y a trainée et portance…?

****(18) T = trainée, P = portance, V = vitesse de l’objet (aille de


l’avion…), R = résistance de l’air.

La force de résistance de l’air sur les corps suit la loi approximative :


R = K a S v², V = la vitesse, S = la surface des corps, a = la densité de l’air en
fonction de la pression et la température, K = une constante.

Notre explication est la suivante : C’est une chose qui a un rapport avec
l’écoulement de l’air, qui est entre les deux objets dans un seul sens, alors
sur les faces extérieurs, il y a accumulation de champs magnétique (ou l’air )
de sens contraires , donc il y a plus de force dans les régions extérieurs, que
entre les deux objets , c’est pourquoi les deux ballons s’attirent entre eux ; Il y
a deux choses : 1) accumulation des champs magnétique au point C, 2) cette
43

accumulation arrive aux points B, ce qui crée la force vers l’intérieur entre les
deux files. Cette solution n’est pas contre la première en haut.

****(19) dans le lieu C se rencontre les deux champs, ce qui pousse les
champs vers les lieux B, donc une force extérieur plus grande que celle qui
existe entre les deux files. Le champ autour de chaque file est isotrope, on les
approche l’un par rapport à l’autre il y a création d’une dissymétrie (la vitesse
de champs électromagnétique est grande et entre les conducteurs il y a
presque un vide les photons ne se touchent pas comme à l’extérieur des
filaments).

Voila que notre champs explique aussi des phénomènes aérodynamique


plus que l’aérodynamique de l’air. On peut dire que la même chose que deux
aimants qui présentent les deux pôles de même signe face à face, mais d’un
coté il y a une ouverture qui permet l’écoulement de champs donc pas son
accumulation. Une sorte de tire bouchon vers un seul sens.

Dans le cas d’une force des 2 champs E et B, sur un conducteur ou faisceau


électronique, cette force se réduit à la force de Lorenz

F = Q [E + {(v + u) ^B)}]

u = le déplacement de l’élément conducteur, v = la vitesse des


électrons.

Le travail sur une charge Q d’un conducteur linéaire, ne tient pas compte de
champs magnétique, c.-à-d. il y a la force de Laplace, c’est parce que le champ
est perpendiculaire sur la direction des électrons. Donc on voit d’après ce
travail que la manifestation de champ, est magnétique conservatif ; un
champ qui ne pénètre pas les objets, mais il réagie par contre sur le nuage
44

photonique de ces objets, c.-à-d. que le champ magnétique n’exerce pas une
force sur l’intérieur d’une charge (alors que le champ électrique pénètre la
charge pour exercer une force sur elle). Mais exerce aussi une force par
frottement et choc avec les champs magnétiques de la charge sur laquelle il
s’applique. Dans le cas de champs d’un aimant permanant, ce champ
magnétique pénètre l’aimant mais pas les charges, dans le cas de l’attraction
entre deux aimants (c’est la somme de champs magnétique de plusieurs
électrons). La force entre les aimants ce fait entre leur champs, pas entre les
aimants. En effet le champ électrique ou magnétique c’est la même chose (se
sont des photons) ce qui change c’est la façon avec laquelle se crée les
forces : électrique ou magnétique.

****(20) le déplacement d’une charge suivant la flèche, tous autour le


champ magnétique, et électrique qu’elle crée.

Le champ passe de pole plus de l’aimant 1, et entre dans l’aimant 2. Disant


que les électrons créent un champ électrique comme le fait un ventilateur pour
l’air (l’air pénètre dans le ventilateur d’un coté et sort de l’autre, alors le
ventilateur se déplace dans un courant d’air sous la force de cet air), il va
donnée naissance à un autre champs ou courant qu’on appelle champs
magnétique. Par le frottement de son cortège photonique avec le champ de
milieu ou il baigne.

Considérons la force de Laplace


45

****(22) la force de Laplace.

La force F qui résulte de champs magnétique b , et de courant I qui a le sens


de X : F = I.L.b.sinα (ici α = π/2) (L la longueur de filament) c’est la force entre
le champs b , et le champs B de courant I ( champs d’Ampère ); parce qu’on
cherche comment de tel forces arrivent ; c’est l’accumulation des deux
champs (b et B) dans la région vers ( – y ) qui pousse sur le fil , comme vous
savez on peut utiliser deux fils.

INTERPRETATION DE LA LOI DE LENZ


La loi de Lenz : le champ magnétique crée dans un solénoïde, est de sens
contraire au flux de l’aimant permanant, si on approche l’aimant de solénoïde
(c.-à-d. lorsque le flux cherche à augmenté dans le solénoïde). Et il est de
même sens que le champ de l’aimant permanant, si on éloigne l’aimant de
solénoïde ; on dit que le champ induit modère le champ créateur.

****(23) l’aimant devant une bobine. Suivant le sens de V (vitesse I ou II)


nous aurons le sens de l’intensité, donc de champs induit dans un sens ou
l’autre, le champ produit (ce qui construit la loi de Lenz) se retranche au
champ producteur ou s’ajoute à lui.
46

La forme des lignes de ce champs induit, est un peu bizarre on sait quelles font
un tour autour de filament métallique conducteur, suivant la loi d’Ampère (ou
le bonne homme d’Ampère ; penser a l’antenne isotrope).

Alors pourquoi le sens de champ n’est pas de gauche vers la droite


lorsqu’on applique le bonne-homme d’Ampère (car les électrons font de la
queue l’un derrière l’autre). Est ce que la matière est asymétrique ??? Et la loi
de Lenz n’indique pas pourquoi le champ induit une fois il se retranche, une
autre il s’ajoute au champ créateur (pourquoi un tel sens de courant et pas
l’autre) ? Il y a des moments ou on parle, de l’onde plane ou on parle
de l’effet Faraday … mais tous vient de la même machine les lois ;
et formules des anciens. On va essayer de faire des raisonnements
par absurde ! Le problème pourquoi le sens de champs magnétique est
toujours suivant le Bonne-homme d’Ampère ?

QUELQUES interprétations

1)) la bobine de Lenz n’est pas tous a fait perpendiculaire sur les
champs magnétique !

2)) dans la création d’électricité on fait tourner une bague dans un


champ, c.-à-d. une partie de la bague avance sur le champ, une autre
s’éloigne.

Si on considère que à l’intérieur de la bague il y a plus de pression, de


champs magnétique que sur les électrons extérieurs, le champs B créer
dans la partie haut par frottement avec la bague, auras le sens contraire
de champs B’ par rapport à l’axe de rotation ; cela donne une
circulation des électrons convenable sur le conducteur, et c’est
l’association de ces 2 morceaux de la bague qu’il y a un sens de
champ a gauche ou a droite.
47

****(24) La rotation de A vers vous, B et B’ les champs créateurs, le contacte


de B et B’ avec la bobine n’est pas dans le même sens.

Mais la variation de flux à travers un circuit fermé (ce qui donne e =


dΦ/dt) peut ne pas être par la rotation d’un anneau dans un flux. Une
excitation d’antenne… mais c’est le même phénomène.

3 )) une des interprétations est que le flux réagit sur le métal conducteur
par pression de champs sur la surface de ce métal , c.-à-d. que lorsqu’on
approche le solénoïde ce dernier baigne , dans ce champs la partie
extérieur est plus grand ( surface extérieur de solénoïde ) donc c’est
elle qui reçoit le plus de champs , donc c’est sur elle qu’il y a plus
de tension ; et le sens de rotation de flux autour de filament se fait
de l’extérieur vers l’intérieur (on voit que cette explication
rencontre la notion de surface qu’on trouve dans les formules de
Newtons et Coulomb…) donc dans le sens de création d’un champs
suivant la loi de Lenz (on voit ici 2 phénomènes se manifestent en même
temps : le frottement de champs avec le métal et la poussée de champs
sur les électrons).

****() La partie de solénoïde qui est vers nous est celui le plus près de
l’aimant A = aiment permanent il a le sens de parcours de la flèche B , le flux
frotte sur le métal en extérieur suivant la petite flèche (entre les lignes de
champs) , c’est le sens de champs magnétique induit , le bonne –homme
d’ampère nous donne le sens de courant . **** dessin de droite ; A = aiment
permanent son mouvement suis la flèche B, les lignes de champs frottent le
métal en extérieur suivant le sens de la petite flèche, (entre les lignes de
champs magnétique de l’aiment) ce qui nous donne le sens de champs induit,
ajoutez le bonne-homme d’Ampère on tire le sens de courant.

Si vous renversez le sens de déroulement de solénoïde , le sens de courant


s’inverse mais pas le sens de flux créer , c’est normale parce que c’est la
48

surface extérieur de solénoïde qui commande , on peut dire que c’est elle qui
enveloppe le plus de flux, (Les anciens ne donne pas la valeur de champs
magnétique , est-il plus intense à l’extérieur ou à l’intérieur de solénoïde ).

Le champ magnétique réagi avec 2 choses :

a) la pression la plus grande donne le potentiel le plus haut donc nous


avons le potentiel le plus haut.
b) le champ crée suit le sens de champs créateur mais vue de l’extérieur
de solénoïde, ce qui donne automatiquement le sens de courant.

C’est normale on veut cette méthode, parce que dans notre travail il
faut qu’on introduit une image de relation de champs magnétique et
l’électron, c.-à-d. comment le champ pousse, frotte avec l’électron.

Une chose à vérifier est que le phénomène fait apparaitre un choc de


champs magnétique avec un obstacle qui est le conducteur, et d’après ce
travail il est déficèle de comprimer ce champs, donc il se diverge vers les
zones les moins denses, qui sont évidement l’extérieur de solénoïde, une
sorte de diffraction  ; donc sur la face extérieur il y a plus de champs que la
face intérieur (un up) , d’où un sens de rotation d’une partie de champs
magnétique autour de filament ce qui donne le sens de courant induit .

On peut introduire des relations comme le rotationnelle rotB = 𝛍j, la


polarisation de l’électron, l’existence d’un champ électrique intérieur au
métal … mais ceci sort un peu de ce travail topo. Déjà dans la première partie;
il y a un principe : c’est que l’électron s’arrache pour les faibles champs par une
résonnance; l’électron sous le champ croissant, chaque tour lui permet de
s’éloigner de plus de son centre jusqu'à qu’il se trouve tout a fait libre; c’est la
polarisation vers un seul coté sous l’effet d’un champ qui ne change pas de
sens.
49

****(26) la polarisation d’un électron dans son orbite vers un coté. à


droite le mouvement peut être hélicoïdale.

Bon après sa liberté, il est guidé par le champ électrique alors que le
champ magnétique le poussait dehors de son orbite (même dans l’état
d’ionisation par ce que, s’il était libre il aura échappé de l’édifice
cristallin). Le champ magnétique présente une rotation autour de métal,
c’est à dire qu’il est hélicoïdal dans sa marche ou dans la direction de
son vecteur directeur.

Bon pour ne pas perdre de temps. Dans le temps de Galileo qui pourra savoir
qu’un morceau de bois, et un morceau de fer ont la même accélération dans
une chute libre ? Une chose journalière mais toujours cachée, après Galileo et
newton on sait par exemple que la pesanteur ne s’exerce pas sur les masses
molécules (les corps) ou les atomes mais sur les nucléons et photons … !

Et voila on va respirer et nous avons une autre vue sur notre champs
magnétique et électrique (merci soleil merci Andromède…). C’est vraie il faut
qu’on respire qu’on se repose ….

Apres quelques jours voila une batterie le courant sort sur un filament, ou
plutôt les électrons circule dans ce filament ils créent un champ magnétique
rotatoire ou circulaire (ce n’est pas la magnétite ! ce n’est pas la dynamo …). Ce
n’est pas la même chose, car nous avons dans ce cas un Rot E = 0). Mais on va
voir apres que l’atome à aussi son rôle.

****(27) V le sens de la vitesse de l’électron noir, E le sens de champs


électrique.

Il y a un jouer des enfants ci-dessus qui montre bien que la rotation des files
de part et d’autre de l’anneau, sont de sens contraire, si on tourne l’objet
suivant la flèche v la rotation de I sur I’ à un sens contraire de la rotation de #
sur #’, les lieux A et B sont fixes, le corps C tourne suivant V.
50

****(28) le jouer des enfants.

Ce qu’on doit tenir c’est le coté topo du champ magnétique réagit par
frottement avec le champ magnétique de l’électron, et ceci arrive sur la face
extérieur de solénoïde. Le problème se trouve résolu : dans le cas ou on fonce
l’aimant il y a frottement sur la face extérieur et création d’un courant
électrique suivant ce champ qu’on exercice. Lorsqu’on tire il y a création de
courant suivant le nouveau champ. Pour ce qui de la symétrie ceci la part
possible des maths.

****(29) pousser ou tirer, le champ sur la surface extérieure vous donne le


sens de courant induit.

Un turbillon formé par deux champs (1 et 2) ; le troisieme c’est le fait


de temperarture…

La dispersion
51

Le physicien Malus à démontrer que la lumière se polarise après sa


réflexion sur un corps, comme le verre par ex. Maxwell à montrer que
les ondes électromagnétiques comportent deux champs (électrique et
magnétique) qui peuvent être polarisés rectiligne, par rapport à un
vecteur K, suivant lequel se déplace l’onde ; j’ai expliqué la différence
topologique entre ces deux champs E et B. On va prendre un autre
chemin pour expliquer l’onde à l’intérieur d’un solide, c’est celui de la
dispersion.

****(30) la dispersion d’une onde à travers un corps. L = lumière blanc, M


= monochromatique.

L’onde se réfracte avec un angle beta (β), mais si on dispose d’une deuxième
réfraction, on voie par exemple la lumière blanche qui est devenue plusieurs
lumières monochromatiques ; et si on pousse l’analyse on constate que ceci est
aussi une polarisation; donc la lumière se polarise après réflexion et après
réfraction, presque une chose normale. Cette dispersion ou cette polarisation,
nous montre qu’on obtient un rouge d’une fréquence donnée, un vert d’une
autre fréquence, jusqu'à le violet. On sait que les ondes grandes fréquences ont
une densité linéaire plus grande que les petites fréquences.

****(31) une deuxième réfraction !!!!!!?


52

Pourquoi le rouge à une densité linéaire plus petite que le violet ? Comme
les photons sont de même dimensions, la différence de densité peut venir de :
1)) de la distance parcourus par ces photons ; les rouges ils ont parcourus une
distance plus grande que les violets comme ils ont la même vitesse, la distance
entre les photons des rouges est plus grande que la distance entre les photons
de violet ; cela vaut dire aussi que la lumière blanc n’est pas composé des sept
monochromatique ; mais ils sont construit sur le tas. 2)) les photons par choc
élastique avec les atomes de cristal une partie est réfléchies vers l’axe verticale
( OZ , noir et jaune ) ; il y a plus de photons de coté de cette axe(OZ), c’est bien
que la densité des photons est plus grandes vers l’axe OZ, donc nous avons de
ce coté le violet, et loin de cette axe les photons sont moins dense c’est le
rouge (dans le reperd OZ’ il y a étalage de spectre). On caractérise ceci par le
vecteur d’onde K = n.ω/C. C = vitesse de la lumière dans le vide, n = l’indice de
milieu ou se propage l’onde qui est fonction de la distance entre les atomes, de
nombre des ions libres, de la pulsation de l’onde ω… à tel point qu’on peut
dire que la lumière blanc est une couleur.

La cellule photo-électrique
La cellule photoélectrique à était découverte par le physicien allemand
Hertz, il à était interprété par Einstein, d’où il à tirer son conclusion sur la
lumière : il est composé des photons. L’amélioration de cette cellule à donner
naissance à la diode et triode … donc à l’électronique notamment la
télécommunication (Marconi…), et grâce à ceci l’homme à fait un pas sur la
lune. L’utilisation de la cellule photo électrique à permet à Einstein et autre de
faire la mesure de l’énergie cinétique d’un électron qui échappe à la cathode :
mv²/2 = W – Wo ; *Wo est l’énergie nécessaire pour extraire l’électron de son
orbite ; *W est l’énergie de la radiation ; *mv²/2 l’énergie cinétique de
l’électron après son extraction. Einstein donne la valeur h(ν-ν₀)=W–Wo. Avec
hν = W et hν₀ = Wo, ν est la fréquence de la radiation, ν₀ une fréquence qui
correspond à l’énergie d’extraction.
53

Et même il déduit de ceci que la lumière est corpusculaire (de cette


façon il a continué le chemin de Planck), c’est choses sont actuellement
bien connues. Alors pourquoi l’électron empreinte une quantité
égale toujours à un multiple de hν ? Disant le travaille de Bohr ; ceci
vient de l’électron qui passe d’une couche à l’autre, il absorbe ou émis
une radiation d’une valeur égale à hν. Les fréquences sont fonctions des
vitesses angulaire des constituons de l’atome ; et de leur distances. Les
photons tournent les électrons, ces derniers en tournant ils fabriquent, ou
poussent sur des photons qui existent déjà.

On peut dire la force de la nature se manifeste de deux façons : par un


champ électrique pénétration, ou par un champ magnétique choc, dans
le cas d’Einstein il y a choc entre le champ magnétique de la radiation et
le champ magnétique de cortège de l’électron.

****(32) Un électron dessus  le point noir, dans un champ électrique E =


champs électrique, B = champs magnétique

Mais comme le champ des radiations à le même sens que le champ de


courant électriques dans la cellule, il est possible que les radiations ont réagies
par pénétrations (au moins dans le métal), pour vérifier cette idée il faut
inverser la cathode et l’anode par rapport au sens des radiations. Et appliquer
ce qu’on connaît : les radiations réagissent par choc.

Une autre chose l’énergie des radiations est égale à h (ν + ν₀), après ce
travail, est ce que le photon disparait totalement, donc il se transforme en
Duvets, ou il suit son chemin avec l’onde électrique ?, mais il n’a pas d’énergie
pour cela. Bon il a seulement son énergie de rotation ! Donc il peut être
immobile sans énergie cinétique (alors que la tension utilisée sur la cellule
54

pourra fonctionner comme pompe de photon ce qui va lui donné une autre
vie).

D’après Einstein, Bohr et ce travail le photon à une masse, il à aussi une


énergie cinétique (de vitesse linéaire et de rotation), il cède cette dernière mais
il peut la récupéra après un certain temps dans le nuage électronique des
atomes. Autrement d’où vient les photons qui donnent l’énergie a l’électron
pour revenir à son état stable ?

Une constatation la vitesse de la lumières est une vitesse caractéristique de


l’atome, en générale tous ce qui échappe à l’atome à une vitesse initiale,
suivant sa position dans cette atome, comme les bêtas (β+, β-) et la
radioactivité α (He), ou une simple ionisation…

Pour l’électricité et pour maintenir le courant il faut tourner l’alternateur,


donc on arrache une grande partie de courant au métal, et c’est à ce dernier
de se débrouiller les photons qui vont circuler dans l’utilisation (utilisation !
donc les atomes procurent leurs photons de l’environnement); est ce que cela
vaut dire que les photons remplissent l’univers ? Donc la lumière c’est des
photons particuliers, la lumière est une onde pure ? On ne peut jamais
confirmer qu’il y a transport d’énergie et de particules en même temps pour
la lumière! (Sauf si les photons qui circulent dans le métal viennent de champ
magnétique crée par les électrons…). Alors que les duvets remplissent l’univers.

Dans cette deuxième partie on calcule la masse de photon de deux façons,


on trouve m = h/c² et m= 2h/c², suivant qu’on prend l’énergie cinétique de
photon = mc² ou mc²/2 ; dans la cellule photo-électrique un électron enlève
une quantité hν₀ pour être extrais, et prend une énergie cinétique = h(ν-ν₀).
Les photons  qui perdent leur énergie (hν) qu’est ce qu’ils deviennent après
??? , ils n’ont plus d’énergie cinétique de déplacement, donc ils restent dans
l’espace, et tournent autour d’eux même OH, OH ORIKA nous avons de
l’énergie dans l’espace, on peut aller à Vega …, les photons peuvent par
exemple être entrainés par un électron…

Tout ça nous a tourné la tête depuis longtemps, on va se reposer un peu de


cette histoire : onde, corpuscule pomme de terre, pomme de ciel… ;!
55

Donc un photon existe aussi dans la nature, comme tous les particules, il a
son énergie avec quoi il vit, il tourne autour de lui comme un tourbillon, mais sa
vitesse linéaire est très faible (!! ou il est relier avec un monde des ovnis ?) ; se
sont pas des ondes électromagnétiques, est ce que dans ces cas se sont les
Devès ? Et ce que se sont eux qui manipule la force de la pesanteur ? Non parce
qu’une fois ils ont une vitesse s’est des photons.

On peut déduire que le champ de la pesanteur n’a pas de vitesse au


moins dans les références qu’on cannait, ou une vitesse très grande,
mais qui ne cause pas de chaleur, à cause de la petite quantité de
mouvement de ses composons (sauf à la grande profondeur). Tant
que les photons ont une masse ; les Devès sont plus petits que les
photons, mais possible, l’onde de la pesanteur ne se manifeste pas
comme un champ électrique ! Comme un champ magnétique ? La
poussée et le choc, entre les Devès ?

Notre attraction universelle devient une sorte de pression comme la loi


d’Archimède, et pas une intervention à la façon des ondes
électromagnétique ! On reste dans le contexte ; que l’énergie qu’on
connait (sauf la pesanteur !) est un désordre, et même la pesanteur
devient un désordre, par l’attraction entre les éléments de la matière, elle
est donc le premier désordre de l’univers, partout la différence, il y a le
désordre !! On va faire le désordre dans l’espace et nous aurons de
l’énergie!

// Un autre point si l’espace est remplie de photons mobiles et


immobiles, alors dans les interférences les franges noirs peuvent
être aussi des photons immobiles.

CONCLUSION SUR CETTE PETITE PARAGRAPHE


Nous avons deux choses importantes : les ondes de la pesanteur sont plus
petites que les photons des ondes électromagnétiques, mais nous somme
toujours dans le faite que tous les particules de la matière sont des aimants,
ceci n’est pas utile pour nous pour les Devès parce que nous avons trouvés un
point fragile, qui est lorsque deux masses sont identiques, si un corps envoya
son champs de pesanteur vers l’autre à cause de son pole positif ; le choix de
56

ce corps n’est pas valide. Mais on va essayer ce modèle pour faire fin avec lui,
car il peut détourner les physiciens un certain jour, surtout que les ondes
électromagnétiques utilisent la notion de polarisation. Bon Il est très possible
qu’entre le soleil et la terre, les ondes de pesanteur viennent de soleil :

1)) poussent sur les ondes de pesanteur de la terre, déforment ce cortège, il y


a une polarisation a cause de cette déformation.

****(33) Marron le soleil, bleu la terre, vert le cortège champs de


pesanteur de la terre, en noir les lignes de champs de pesanteur.

2)) sur le coté qui est en face de soleil, glissent les ondes vers la face opposée
par ce que ce n’est pas possible de bouger la terre, en quelque sorte elle est
lourde (et son énergie cinétique est très grande). Les vagues de champs
continues leur chemin vers la face opposée ici ils s’accumulent, à ce moment
la terre se trouve dans une différence de potentielle, dont le potentielle de la
face opposée est plus grande que la face qui est en face de soleil, donc une
force sur la terre vers le soleil (on peut dire que très vite il y a accumulation
de champs sur la face opposée donc une force qui apparait). Cela veut dire
que les ondes de pesanteur ne réagissent pas par pénétration,
57

****(34) Le cortège sur la terre est orange.

Ce modèle est compacte avec les forces magnétiques ; Mais il faut poser la
question : ou partent les ondes de la terre ? Elles se déforment sous l’action
des ondes de la pesanteur qui viennent de soleil, mais elles ont une vitesse et
un sens ; ils font demi-tours ? Et exerce une force sur elle! (Par les photons sur
l’ionosphère et l’onde magnétique de la terre, on constate la déformation de
champ magnétique et des ions… sous l’effet des radiations de soleil).

Pour l’onde de la pesanteur, l’effet de la pesanteur de la terre est très loin


dépasse 1000 Km, donc c’est dans cette région que commence la déformation,
et il y a évidement le changement de direction … il se forme une région ou la
dominance de la pesanteur est celui de la terre, et plus loin c’est l’influence de
soleil.

****(35) En rouge c’est le soleil, en bleu c’est la terre, en vert


l’influence de la pesanteur de la terre, en jaune la région qui pousse la terre
vert le soleil, en orange et noir les ondes qui viennent de soleil.

La chose revient en quelque sorte que la terre devient un aimant pour les
Devès , dont le pôle positif est en face de soleil , alors que pour la pesanteur en
générale et pour un corps , le champs de la pesanteur est isotrope sphérique ,
58

dont le potentiel le plus grand est au centre , et le sens de champs vers


l’extérieur ( Newton ) .

****(36) il ne faut pas oublier que le champ de la pesanteur


caractérisé par son vecteur accélération g de Galileo se dirige vers le centre
de la masse. A droite le champ de Galileo. Les ondes de la pesanteur se
dirigent vers l’extérieur avec une densité en 1/r², en effet il faut une formule
pour la pesanteur comme celle de Gauss ; pour la terre (à l’intérieur)

Et le champ de la pesanteur c’est les Devès, et pas les photons ordinaires.


Mais franchement la pesanteur va nous faire souffrir beaucoup, et les Devès
très possible ils réagissent avec les nucléons !!!!!!!!!!!!! Non c’est finie la
souffrance. Remarque : Une constatation importante aussi : est que tous les
énergies qu’on connaît, ont pour origine la pesanteur. Mais comme-ça d’où
vient l’énergie surtout celui des grandes masses. Donc ce modèle n’est pas
juste.

Une différence

1)) Dans un livre destiné au classes préparatoire (ondes électromagnétique)


la résolution d’un problème de relativité, utilise l’expérience de Fuseau, deux
59

liquides circules en sens inverse on cherche le temps et la vitesse de la lumière


dans les deux liquides, on trouve : t1-t2 = (2lβ)(n²-1)/C[1-(nβ)²] ; le déphasage
entre les deux faisceaux lumineux est 𝜹 = ω(t2-t1). Alors pour l’auteur quand
n tend vers 1 (un) c.-à-d. nous somme dans le vide, t1-t2 tend vers zéro il n’est
y a pas d’entrainement entre les deux faisceaux, donc il n’y a pas d’éther (on
montrera que ceci a un sens la I.G.). Ceci pour nous est mal dit ; car dans les
travaux d’Einstein ou autres, la conclusion est que les ondes lumineux ne sont
pas des ondes de l’éther, cela ne veux pas dire qu’il n’y a pas de l’éther, d’où
l’hypothèse la lumière est construit des photons. D’ailleurs un tel problème
peut être traité par effet Doppler, et les franges viennent d’une différence de
fréquences ou de marche, entre les deux faisceaux lumineux. Dans la cellule
photoélectrique, nous avons démontré que les frangent, peuvent venir des
photons immobiles, à cause par exemple de choc entre les deux ondes, ou
destruction des photons.

2)) Dans un conducteur la loi d’Ohm peut être sous la forme : J = γ E γ =


n.e.μ= conductivité, n = nombre d’électrons ; e = la charge de l’électron, E = le
champs électrique. Dans la supraconductibilité si γ tend vers l’infinie E tend
vers zéro (0). Pour nous γ ne tend jamais vers l’infinie, parce que la vitesse des
électrons ne peut atteindrez la vitesse de la lumière, et μ la même chose, parce
que il y a toujours un peut de frottement des électrons avec les noyaux. Ce qui
importe est que le champ ne s’annule pas, il devient très faible c’est les
atomes qui font cocon. Tant qu’il y a une ddp V, il y a le champ E = - grd V, sur
le morceau de métal. C’est vrai qu’on peut dire que l’électron aussi fait cocon,
et son mouvement vient de sa quantité de mouvement de début. Et la formule
dessus est juste. A vous de voir.

3)) on dit que le flux B est conservatif, et div B =0, cela veut dire que le flux
de B (champs magnétiques) à travers une surface fermée est nul = à zéro. Un
cas est l’aimant permanent, il ne perd pas son énergie, on peut considérer ces
cas comme des systèmes fermés, une galaxie n’est pas un système fermé, il
perd de l’énergie sous forme de radiation, c’est vraie qu’il gagne aussi de
l’énergie des autres galaxies, mais surtout la consommation de Devès comme
on va voir. L’univers ne peut être qu’un système fermé, mais sans fin, il n’a
pas de début, car pour qu’il commence son début, il doit faire empreinte de
60

l’énergie d’un autre univers ; donc il y aura deux univers !, une mauvaise
définition. Nous avons conclu que la matière ou autre vient d’un désordre.

LA FREQUENCE DE L’ONDE DE PESANTEUR


Les ondes électromagnétiques se transforment en énergie sous plusieurs
formes : chaleur, électricité … Dans tous les cas il y a frottement ou chocs avec
les autres photons, ou d’autres particules comme l’électron !, ce qui conduit
en quelque sorte à un désordre, comme dans le cas de l’échauffement donc
élévation de température, et dégagement d’autres radiations. Pour l’électricité
il y a guidage de ce champ par le conducteur électrique. Cela veut dire Il y a
contacte extérieur par frottement ou chocs, on sait que l’énergie échangé est
dotant grand que la fréquence de l’onde électromagnétique est grande (hν) ;
est ce que c’est le truc des collisionneurs ?

Mais on constate que le champ de la pesanteur ne faits pas de tel réaction


avec la matière, c.-à-d. des chocs des frottements pour donner de la chaleur…
ce cas est possible si les photons passent sans heurter avec les particules de la
matière et les ondes électromagnétiques (exemple le nuage électronique de
l’atome).

***** Donc les photons de la pesanteur ne peuvent être que plus


petits que les photons, des ondes électromagnétiques donc dans le
domaine des duvets. C’est normale car ils n’arrachent pas par
exemples les électrons à la cellule photo électrique ; ou aux
conducteurs…
****** pour le moment la force de pesanteur ne peut être, qu’une
grande fréquence, parce qu’on considère que ces Duvets pénètrent les
photons et les nucléons…
61

****(37) ci-dessus le photon ou tourbillon glisse sur les lignes de duvets,


une chose dont on n’est pas sûr, mais existe entre photons et les autres
particules de la matière, c’est les forces électriques naturelles (la pesanteur
pour le moment !!!)

Maintenant étant donner que ces radiation de pesanteur ne sont pas une
onde électromagnétique, de grande longueur d’onde, ils sont d’une
fréquence très grande mais dans le domaine des duvets. Ces duvets leur
réaction se fait avec les nucléons les électrons et même les photons par
pénétration !?, et c’est parce qu’ils sont très petits, ils ne causent pas
d’élévation de température ou chocs avec les particules (ils n’arrachent pas
les photons qui causent la chaleur…). On veut que leur fréquence soit au dessus
de la fréquence des ondes gamma donc très grande.

On doit admettre que comme ils sont différent de gamma donc ils ne sont
pas gamma (et dans ce cas pourquoi les photons énergiques n’on pas de force
de pesanteur). Et dans ce cas on peut imaginer que les duvets traversent la
matière, donc l’onde de la pesanteur doit avoir toutes les fréquences
possibles, il peut par exemple traverser un conducteur de plusieurs
kilomètres, sans qu’il soit couper dans son chemin, en quelque sorte la
matière baigne dans ce monde qui s’approche par ses propriétés de l’éther.

Dans le cas des ondes électromagnétiques, l’électron et le proton ouvre une


fenêtre assez grande pour réagir. Dans le cas des duvets il est évident qu’ils
réagissent, avec toute sorte de fenêtres, surtout les petites et dans ces cas la
matière est neutre. Il y a polarisation de la matière sous l’effet de l’onde de la
pesanteur, et il cherche à prendre une forme allongée, de la même façon la
force par les duvets se fait parce que le tourbillon originale ou composé ; se
trouve polarisé, on peut appeler ceci une force magnétique ? Parce que les
Devès pénètre la particule d’un coté, et sorte de l’autre comme le cas des
aimants permanents (ou ils sortent pas). 

Il doit y avoir d’autres façons ou formes de forces pour les duvets, comme
ceux de poussée entre les duvets ou les frottements … la même chose que se
que nous savons avec les ondes électromagnétiques. La différence avec ces
derniers c’est qu’ils ne cèdent pas une quantité de mouvements aux
particules comme les photons, c.-à-d. leurs énergies et même leurs volumes ne
permettent pas cela, et même si leurs fréquences sont très grandes, leurs
62

particules sont très petits, ne peuvent faire bouger les particules de la


matière par choc.

Les particules de la matière dans le cas ou ils sont cocon, c.-à-d. neutres
réagissent seulement avec les duvets par pénétration (sorte de ventilateur ?
ou même par la poussée), Les duvets pénètrent les composants les plus fin des
particules, mais ils passent entre ces particules aussi (sûr ? on va voir). Mais si
les Devès se groupent ensembles ils peuvent faire une poussée sur un
neutron par ex. sans arracher les photons. Donc c’est ça la pesanteur.

Nous voyons qu’il a fallu chercher quelque chose, que de restait avec la
notion que le champ de la pesanteur, est seulement une onde
électromagnétique, car il y avait le problème de la fréquence et de l’énergie,
que les ondes électromagnétiques échangent avec la matière, alors que l’onde
de la pesanteur ne le fait pas. De faite que les duvets se manifestent
partout ou il y a des particules. Donc les Devès remplissent l’univers.

Pour ne pas avoir de doute on considère un modèle par interférence des


Devès entres les masses, et la somme des ondes entre deux masses ; ce qui
donne un lieu un peu vide par rapport aux régions externes de ces masses,
donc il y a création d’une pression sur les faces extérieures, cela se traduit par
l’attraction entre les deux masses. Une autre façon ; la somme des vecteurs
s’oriente vers l’extérieur ce qui donne le deuxième schéma.

Modèle 3 : la partie entre la terre et la lune est plus chaude ; l’éther se
combine pour donner les Devès (surtout pour les corps froids); ce qui laisse
entre les deux corps un vide par rapport à l’éther, donc les 2 planètes baignent
par leurs faces extérieures sur l’éther, en plus les duvets servent pour
l’attraction.
63

****(38) l’interférence des devais entre deux masses, ce qui donne un vide
donc une force d’attraction entre ces deux masses. On voit le vide entre les
deux masses ; ces modèles leur manque le coté énergie.

Ces trois modelés leur manque le coté énergie. Il n’est y a pas le créateur des
Devès comme le cas des photons, car nous avons calqués la force des Devès sur
le champ électriques.

Comme ces modèles ne sont pas complets, ils ont deux points faibles. Nous
allons retourner vers le modèle de l’absorption des Devès vers l’intérieur des
masses, parce que c’est lui qui répond à tous les caractéristiques des
particules de la pesanteur (voir photo dessous).

****(30) un modèle qu’on va retenir.

Bon revenons à la pesanteur entre la terre et la lune… On constate pour ce


cas que les lignes de champs de pesanteur, changent de direction, elles se
courbent vers le point qui relie les 2 faces; ce qui déplace les eaux de la mer
d’un lieu à l’autre.
64

Dans le cas par exemple ou vénus la terre et mars, se trouvent alignées


vers le soleil nous aurons le schéma suivant. Ce qui convient à la notion de
polarisation. Mais pas aux planètes. Car si Mars se trouve entre la terre et le
soleil il y a ambiguïté.

Si on se trouve par exemple soleil terre puis Jupiter qui est très grand, le
schéma est le suivant : nous avons une petite région entre Jupiter et la terre,
qui est d’une polarisation inverse que ce qu’on connait, ceci à était aussi
expliquer c’est la même chose que ce qu’on voit entre la lune et la terre. Mais
la polarisation n’est pas satisfaite.

****(31) est-il le modèle juste ? Soleil terre Jupiter.

On constate pour le moment la courbure de champs de la pesanteur, il ne


peut être que par l’intermédiaire des masses, dans les points ou le champ de la
pesanteur est plus dense. Sur une région entre la lune et la terre le champ est
plus dense, donc les eaux sont sous une attraction plus grande (aussi le sol…) ?
Voyons les aimants ; Les aimants permanents ne sont pas chargés ; sauf si leur
champ magnétique vient d’une circulation des électrons interne à l’aimant,
l’aimant permanent est un cristal de Fe2O3+FeO. donc (Fe³+)2+(O²)3 + Fe²+,
O²−, Il est possible qu’un électron circule entre les ions Fe pour donner une
fois Fe2+( plus ) une autre Fe3+ (plus ) ce qui crée le champs magnétique. Mais
65

le fait que l’aimant ne réagie pas sur d’autres corps non aimantés, le champ
magnétique n’est pas de genre pesanteur.

Quelle est la vitesse des duvets ?


La vitesse des photons vient de l’énergie des électrons (par ex.), que
communique ces derniers aux particules photons ; le proton dans son état de
gonflement recueille de l’énergie, se dégonfle donne de l’énergie aux photons,
et ainsi de suite il se gonfle (bande de photons)…

La vitesse des Devès est supérieur à la vitesse des photons, et leur énergie
n’est petit que parce que leur masse est très très petite, par rapport aux
photons; et dans ce monde où les Devès sont seules avec les photons, on ne
peut pas parler de température, que lorsque les électrons commencent à se
formés, pour se frotter avec les photons.

Comme la vitesse des Devès est plus grande que celle des photons, on voit
bien qu’on peut ajouter un détecteur de lumière (petits télescopes pour
détecter la lumière après réception de choc des Devès de ces supernovas ;
dans LIGO). Connaissant la distance on peut déduire la vitesse des Devès, on va
voir après qu’on reçoit des rayons gamma, puis la lumière. Avec LIGO on
détectera les Devès directement (ce qui est assez vraie est que les masses de
l’interféromètre qui détectent le changement de la pesanteur dans l’espace,
donc une explosion de supernova, va détecter un changement de distribution
des masses dans l’espace).

****(32) un électron et ses champs.


66

Comme les Devès pénètrent tous, et ils sont partout, donc la consommation
de ces Devès par la matière oblige la circulation de ces Devès de l’extérieur de
la masse vers son intérieur. C’est ce qu’on va voir avec notre dernier modèle
qui est juste cette fois (après). C’est finie la souffrance.

LA MASSE D’UN PHOTON

On va essayer d’avoir une idée sur la masse des photons. Considérons une
onde électromagnétique ex : la lumière ou les rayons X… Considérons la
puissance dégagée par une source de ces radiations pendant une seconde.
L’énergie dégagée pendant ce temps égale à :

hν = ∑mi .c²

Comme les différents photons de ce paquet sont identiques, alors

hν = n.m .c²

n = le nombre de photons qui sortent de cible pendant un temps T


(on peut considérer que hν est l’énergie développer pendant une
seconde, mais l’important n=ν=fréquence de la lumière), m = la
masse de photon, h = la constante de Planck, ν = la fréquence de
l’onde électromagnétique. n égale aussi la fréquence de l’onde, car on
considère que l’énergie augmente en fonction de la fréquence, parce
que le nombre de particules de l’onde augmente dans la direction de
cette onde ; ce qui donne :

hν = ν.m .c² donc : m = h/C² la masse de photon m = h/c²

Comme h = 6.525/10³⁴ , c = 3.10⁸ m= 6.525/9.10⁵⁰.

→ m = 72.5/ 10⁵²Kg = (7,25/10⁵¹)Kg.

M=72,5(10⁻⁵²)KG.

==============

La masse de photon est juste car si on utilise le faite que l’énergie = mc², pour n
photons nous avons nhc²/c² = hν = nh.
67

Vous voyez que si on applique De Broglie λ=h/mv → m=h/Vλ=h/VcT car V=C


→ m= hν/c² ici la masse de photon est fonction de la fréquence. Une chose qui
ne colle pas parce qu’il va y avoir plusieurs genres de photons. Alors que nous
avons fait le départ avec une particule ; et une fréquence.

Il faut qu’on reste dans le cas ou la fréquence à pour unité un paquet de


photons, donc m=h/C². Qui est une limite ou le paquet contient un seul photon
(et c’est vraie une autre question apparaît pourquoi lorsqu’un paquet contient
plusieurs photons ne cède pas tous son énergie. Ceci possible dans un monde
relativiste. (C.-à-d. que si le photon s’arrête, sa vie cinétique linéaire se
termine, il devient un ensemble de Devès).

On peut considérer que le photon cède une énergie égale à mc²/2 ; son
énergie cinétique (la cellule photo électrique). Et sa vie continue mais
immobile. M = 2hν/nc² donc m la masse de photon devient égale

m = 2h/c² ; m = (1.45/10⁵⁰) Kg
C’est le double de premier. Donc après il se trouve immobile, en rotation
autour de lui-même.

Mais si il cède tous son énergie de translation et de rotation c-a-d


n(m.c²/2+J.ω²/2)=h.ν = n(m.c²/2+J.c²/r.2), r : le rayon moyen de photon. Dans
ce cas le photon mort totalement et passe dans le monde des Devès. Les Devès
ne donnent pas une énergie directement, sauf lorsqu’ils deviennent des
photons, ou par la pression des masses aussi dans ce cas par l’intermédiaire
des photons. Cette énergie peut déformer un corps par exemple mais ne fait
pas de la chaleur... Cette énergie peut bouger un corps mais par attraction de la
pesanteur (est ce que dans ce cas il y a frottement des Devès avec d’autres
Devès. évidement la matière dans son mouvement a une probabilité de
rencontrer une partie des Devès qui existent dans l’espace ou forme un champ
vers une masse comme on va voir, on peut imaginer que les Devès forment des
halos comme les photons). Donc il reste les deux cas en haut (on ne va pas
entrer dans les choses, est ce que la quantité mc² contient l’énergie de la
pesanteur ou non ? voir en bas ; mais les chocs sont élastiques)
68

On peut utiliser une autre méthode : De faite qu’on considère que la vitesse
d’un corps ne peut atteindre la vitesse de la lumière, et dans le cas ou V=C il
s’explose en lumières ou onde électromagnétique

Et pour m=mo/ β l’énergie cinétique d’un corps devient

Ec = (m-mo) C² = égale aussi mC²/2 . Ce qui donne m = 2mo

Donc tous ce que peut faire une vitesse, est de doubler une masse lorsqu’on
l’accélère. Dans ce cas l’autre méthode conduit à :

n.m.C²=n.m.v²/2 + nmv²/2 (énergie cinétique plus énergie


potentielle) ; Comme V = C on trouve 1=1

Pour les Devès la vitesse dépasse la vitesse de la lumière, mais aussi tous ce
qu’on peut atteindre est la masse d’un photon, ou l’explosion d’un photon en
Devès. Disons partons de rien nous aurons un photon, c’est une autre façon de
fabriquer un photon, il est mieux de le fabriquer a partir des manifestations de
la pesanteur, c.-à-d. de diviser les lignes de Devès en morceaux (dans la
direction de la ligne), ces derniers se réunissent et donne des photons ! La
vitesse diminue un peu ?? On parle de la masse manquante on parlera après :
Il est possible qu’on doit quitter le monde des masses ou de la matière avec les
Devès (ils ne sont pas la masse ou la matière ce qui est Devès ou inferieurs au
Devès se sont les minausses). C.-à-d. avec eux commence un univers qui
ressemble plus à l’éther, qu’aux particules (les Devès sont la frontière entre
l’éther et la matière).

On constate sur les clichées (plaque photographique) des accélérateurs de


particules que les particules π, ν, … passent de la forme ligne vers le
tourbillon ; ceci montre que les π, ν, … rencontre d’autres champs devant
eux, ou des impuretés des chambres d’analyse ? Possible ceci à cause des chocs
avec les gaz de chambre de mesure ? Mais e mouvement de ces particules est
caractéristique.

Si on croit que la masse de photon égale à h/c². Alors considérons un


électron (composé des photons) dont la quantité de mouvement est mv c-à-d
sa vitesse dans son orbite est v. Et considérons par une cause ou une autre il
lance un photon à un instant (t + dt). Sa quantité de mouvement devient m1v1
tel que
69

mv = m1v1 + hc/c² et comme m1 = m-h/c²

m (v-v1) = h/C²(C-v1) , bon C > v1 → v>v1.

****(33) A = atome, P= proton, e= électron.

Si l’électron tourne toujours en face de son proton (cocon), l’atome est


neutre, quand la déviation est grande, il y a émission de champs
électromagnétiques par le proton (ce n’est pas tellement facile on résout ceci
dans la partie l’atome bipolaire).

****(34) Ci-dessus Un électron excité.

Maintenant on considère que l’électron s’explose, comme une arme d’où un


photon qui part dans l’espace (ex. les radiations β) Les quantités de
mouvements se réduisent à

m1 = la masse de l’électron, v1 = la vitesse de l’électron

m1v1 = - m2v2 en module, m1v1 = m2v2 ; m1v1 = c.h/c² →


m1v1 = h/c → v1 = h/m1c.
70

Une formule qui a l’aspect de celle de Louis de Broglie λ=h/mv.


Sauf que T = une seconde. On ne connait pas la cause de l’explosion
(pour l’arme c’est la poudre ou la dynamite…)

Si on considère que m1 est la même que la masse de l’électron, on déduit la


vitesse de l’électron (v= h/mc). Mais si l’électron s’explose avec n photons
pendant une seconde cela revient à n égales la fréquence (ν).

Donc m1.V1 = ∑ mi.c = ν.m 2c = ν.h.c/c² → m1V1 = ν.h/c ; → V1 =


ν.h/m1c Et comme ν = 1/T, T = la période de l’onde électromagnétique
obtenue après explosion de l’électron. Nous avons donné plus hauts deux cas
ou la période de l’électron pourra être la période de l’onde émis (une rotation
sur le nucléon, une rotation de l’électron sur lui-même) → V1.T = h/m1c
λ1 = h/m1c ; c’est la longueur d’onde de rotation. Il faut encore plus pour
entrer dans l’atome.

Par Louis on peut écrire (il y a de jolies choses)

1)) λ1 = h/m1V1= V1.T1 = λ2 = h/m2c

m1 la masse de l’électron, m2 la masse de photon

Pour ν photons E = m2c² (ou n.m2c² faite vous calcules) = hν et


m2c = hν/c, V1T1 = hc/hν = c/ν = cT2 → V1T1= cT2,
comme v1< c T2 > T1
Une contradiction nous somme partie de T1=T2, si on considère qu’il y a
émission de n fois des ν photons alors

v1T1= hc/hνn, T2= T1(nv1/c)

On pose nv1=c on trouve T2=T1


Ce n peut venir de la rotation de l’électron autour de lui-même ; c’est la
théorie de groupe de Louis, s’il y a plusieurs fréquences, ou bien se sont les n
photons de Planck dont l’énergie est hν, mais nous avons pour un tour de
l’électron une énergie émis égale nhν. Pourquoi  l’électron ne reste pas devant
l’ouverture de la charge de proton ? je soulève ici un problème qui n’est pas
71

l’affaire de l’onde de De Broglie, mais juste pour le voir après. On connait un


facteur la fréquence est fonction de la profondeur de l’électron (voir Bohr).

La formule de Louis qui a un rapport avec la formule d’Einstein et de Planck, à


donc plusieurs conclusions, dont un monde qui n’a pas de fin

λ = h/mv = vT → v²= h/mT, 2πr= Tv →T=2πr/v , v=h/2πrm et


mv = h/2πr

Le rayon diminue si m ou v augmente ou les 2 ; si m augmente le rayon


diminue c’est ce qu’on cherchait pour le théorème de Louis, c’est le postula de
Bohr aussi. On constate en quelque sorte que la vitesse ou la masse remplace
l’énergie (les trucs d’Heisenberg deux variables en même temps)

Si Ro est le rayon d’un proton = 1.2 /10¹⁵ et l’électron se trouve à un distance


dont R = 1.2/10¹⁴. La vitesse de cet électron est de 100m/s. La vitesse angulaire
est ω= v/R =100(10¹⁴) /1.2= (10¹⁶/1.2) rd/s. Il y a 2πr mètres dans un tour. Ce
qui fait que l’électron effectue

10¹⁶/(1.2)2π tours par seconde = 14.10¹⁴

14.10¹⁴ Tours /s

Quelque chose de très grand ?!! On voit bien d’où viennent les grandes
fréquences quand il y a modulation des photons par des électrons.

Considérons les ondes gammas (γ) dont les longueurs d’ondes de l’ordre de
1/10⁴ Angschtreum (Å) c.-à-d. que la fréquence est de

f = 1/T = C /λ = 3.10⁸/ λ , 1/10⁴ Å = 1/10¹² mètres

→ f = 3.10⁸.10¹² = 3.10²⁰ hz = 3.10¹¹Ghz 

****(35) Electron derrière la charge de son proton.


72

Pour la fréquence ci-dessus la vitesse de l’électron doit être plus grande


que 100 m/s. Pour une vitesse de 3.10⁸ m/s (la vitesse de la lumière)

ω = v/R = 3.10⁸ / (1.2/10¹⁴) = (3/1.2)10²²= 25(10)²¹,


ω=25(10²¹)/2π tours / s, ω=4.10²¹tours /s
Notre fréquence est voisine de la fréquence gamma (γ)

C’est une chose qui représente la vérité de la matière, on constante ceci avec
la radioactivité bêta (β±), car la vitesse des électrons (β±) approche la vitesse
de la lumière, c’est la vitesse de rotation de l’électron interne au nucléon ? (ou
seulement quantité de mouvement, la masse de l’électron est grand par
rapport à la masse de photon, aussi de cette façon on peut calculer la masse
de photon si on fait un choix de la vitesse de rotation de l’électron, c’est bon
c’est la bon marche à vous de jouer !!!), elle approche la vitesse de la lumière ,
mais elle reste très grande ; un nombre qui approche à 10¹⁸ tours / seconde
une chose énorme . Imaginer un électron qui fait 10¹⁸ tours par seconde  !!!!!!!!
!!! Même autour de lui. La vitesse des électrons dans les nucléons est beaucoup
plus grande que les électrons périphériques.

Bon revenons à Bohr : Bohr arrive à la conclusion que

ω = nh/2πmr² ( n=1,2,3…)

ω = la vitesse angulaire, n = le numéro de la couche ou tourne l’électron, h =


constante de Planck, m = la masse de l’électron. r = le rayon sur lequel tourne
l’électron. Aussi l’énergie d’une orbite est En= - 2π²mq⁴/n²h², et la fréquence
émise lorsqu’on passe d’une couche à l’autre est νnn’ = En-En’/h =
2π²mq⁴(1/n’²-1/n²)/h³. On prendra n =1 la première couche et r = 1/10¹⁴m.

ω = 6.626 10³⁰/2π(0.910)10³⁴, ω=1.1594/10⁴r²=1.159410²⁴

Donc (1.159410²⁴/2π) tours / seconde = 18.4610²² Hz.

C’est presque la même grandeur que ce que nous avons trouvé avec la
première méthode, c’est les électrons des nucléons.

REMARQUE : On arrive de deux façons au même résultat ceci possible un bon


chemin. La vitesse diminue avec l’augmentation de rayon de la couche, mais il
reste quoi les faibles fréquences est ce que l’électron s’éloigne beaucoup de
73

noyau de l’atome ? Ou bien les fréquences construites artificiellement dans


l’électronique, sont une autre façon, c.-à-d. qu’il y a découpage de l’onde
électromagnétique continue, artificiellement par les condensateurs et les
bobines … alors les vraies fréquences sont la lumière les rayons X et gamma …
c’est normale (la vitesse des photons est très grande on peut fabriquer
beaucoup des fréquences, si on fait comparaison avec la vitesse des électrons
béta positif ou négatif on voit bien pourquoi les photons on de telle vitesse).
On sait que dans le cas des VHF et UHF cela vient de la charge et décharges des
condensateurs et l’intervention des filtres, évidement l’électron est loin de
noyau, et la fréquence de l’onde est fonction des électrons libres,

Mais la distance au centre de noyau à son importance, on peut prendre une


fréquence de la lumière au lieu de gamma, possible il y a intervention d’un
autre phénomène ; la rotation de l’électron autour de lui par exemple. Ce qui
module le nombre de tours de l’électron autour de noyau, on dépasse les 10¹²
tours par secondes ce n’est pas des constantes, ce n’est pas des grandeurs de
dimensions, mais des tours, vous aller dire quelle est la différence entre une
course linéaire uniforme est une autre circulaire uniforme ? La différence est la
force centrifuge F = mω²r ! Qui augmente avec ω² … Bon laissons ceci et
considérons un cas ou l’électron tourne autour de lui-même, en même temps
qu’il tourne autour de son noyau image ci-dessous,

****(36) La position 1 l’électron est en face de la charge positive, l’atome


est neutre, la position 2, 3, 4 les faces chargées de noyau et de l’électron ne
sont pas en faces, donc il y a émission des photons à l’extérieure de l’atome.

La position 1 l’électron est en face de la charge positive, l’atome est neutre, la


position 2, 3, 4 les faces chargées de noyau et de l’électron ne sont pas en
74

faces, donc il y a émission des photons à l’extérieure de l’atome. Nous avons


vue un cas de liaison comme celui-là, entre atome donc il faut voir les
molécules, si leur formation conduit à de tel phénomène, et que l’électron
peut tourner autour de lui vite ou doucement. Voyons les choses autrement 
(on découvre après que ; ce qui fait le proton positif est un électron positif
associée à un neutron ; la même chose un ion positif est un électron positif
associée à tel atome ou ensemble d’atomes).

Considérons ce ω que nous avons trouvé par la méthode de Bohr ou l’autre


(l’électron à presque la vitesse de la lumière) la force centrifuge à cause de la
rotation de l’électron est F = mω²r.

F1 = (0.91/10³⁴)( 1.159410²⁴)² ( 1/10¹⁴)

F1 = environ 10⁴ newtons

La force de Coulomb F2= e²/r² = (1.6 /10¹⁹)²/(1/10¹⁴)² = (1.6)²/10¹⁰

F2 =2.5610⁻¹⁰ newtons

La force de newton est F3= GM1M2/R²

Pour l’atome d’hydrogène, G=6.6410E11 MKSA

M1=9.1110E-31Kg , M2=9.11(1836)10E-31Kg=1.710E-27Kg

R =10E-14 →R²=10E-28 → F3=10310E-19=1.0310E⁻16 Newton.

On doit descendre la vitesse angulaire car l’écart des forces est grand
considérons seulement la force de Coulomb comme Bohr : (1.6)²/10¹⁰ =
(0.91/10⁴⁴) ω² → ω² = 13.4736810³⁴ → ω=3.67110¹⁷rd/s ,
ω=3.67110¹⁷tours / seconde → La vitesse linéaire de l’électron est :

v = ω.r = 3.67110¹⁷/10¹⁴ =3.67110³m/s environ 3000m/seconde : une chose


acceptable.

Mais on doit savoir que tous est relatif, tous déponds des références ou on
travaille, car dans le cas d’une explosion à l’intérieur de l’atome, et sur une
courte distance, une grande vitesse est possible, donc bonne santé. On peut
imaginer l’atome de Bohr comme suit :
75

Plus que l’électron est loin de noyau, plus les radiations émises sont
nombreuses !! Plus que le rayon de l’électron est loin, plus que les champs ou
l’énergie échappe vers l’extérieur. Lorsqu’on passe à une orbite plus grande il y
a libération des photons en fonction de cette distance ; le potentiel d’ionisation
(on sait par Bohr et l’expérience confirme que plus que l’énergie libéré est
facteur de 1/r ; voir en bas l’atome).

UNE AUTRE FOIS QUOI LA PESANTEUR ?


Un petit truc : Considérons que l’univers est plein de l’éther (une marge de
particules qui ne sont pas matière), les nucléons et leurs composants
découpent cette éther parce que ce dernier les pénètres, mais ces derniers
sont nombreux et sphériques se déplacent vibrent …, l’éther n’arrive pas à
traverser tous l’espace il fourfie (la respiration des petits poissons au fond de la
mer ), entre ces éléments et à l’intérieur d’eux, l’éther est découpé en Devès;
ces derniers arrivent sur les autres nucléons les pénètres les bascules, il y a
choc frottements entre les Devès eux même, et les Devès avec les composants
des nucléons les plus fins (qui sont en effet les photons), de ces derniers actions
il naissent des forces, de la même façon que les forces des ondes
électromagnétique entre les charges; voila notre pesanteur ?!.

Vous aller dire vous dite éther pourquoi vous ajouter ces Devès, le
phénomène est ondulatoire entre les nucléons et l’éther? Je réponds on doit
faire attention. Les ondes acoustiques sont ondes mais les gaz sont des
particules, les vagues de la mer sont des ondes mais l’eau est formés des
atomes; donc ce n’est pas dire éther seulement que la chose est résolu, car il
y a derrière vous la question en quoi est formé cet éther. Vous aller dire un
76

liquide parfait, mais tous les liquides sont formés par des particules, et parfait
ne veut rien dire !!!!!!

Résumé : On doit écarter les ondes électromagnétiques mobiles ou immobiles


de phénomène de la pesanteur, parce qu’on aura utilisé ces ondes il y a
longtemps, pour manipuler la pesanteur. Donc il reste les Devès, qui peuvent
se comporter par pénétration ou par choc et frottement. Ce qui conduit aux
hommes d’Afrique.

****(36) modèle des hommes d’Afrique à gauche La pesanteur par


pénétration, rouge = soleil, bleu = la terre, vert = les ondes qui ne
rencontrent pas la terre, et en noir les ondes responsables de la
pesanteur. À droite La pesanteur par choc … (force magnétique entre
deux fils électrique dont le sens électrique contraire) rouge = le soleil,
bleu = la terre, vert = les ondes qui ne rencontrent pas la terre, noir les
ondes responsables sur la pesanteur.

Ce qui répond aux facteurs de la pesanteur !!

1)) les ondes de la pesanteur donne de l’énergie. 2)) les ondes de la pesanteur
attirent deux masses (même s’elles sont identiques ! Ici il y a un problème
comment il y a polarisation dans le cas ou les corps sont identiques ; parce
que les Devès sont absorbés aussi entre les masses et si les masses sont
identiques il n’y a pas polarisation). 3)) les particules de la pesanteur sont
plus petits que les photons.
77

Aussi ce modèle des hommes d’Afrique n’est pas juste. Il reste le modèle au
quelle j’avais pensé la première fois mais je n’avais pas les outilles pour le
prouver (il faut épuiser les cas qui apparaissent juste mais ne le sont pas).

On considère que l’éther est absorbé par les masses d’où un


vide entre eux, il se produit donc une attraction entre les deux
masses. C’est ce qu’on va appeler la Vanité de Vanes (car l’absorption
laisse un vide sous forme de losange donc deux V). Dont on va extraire
une théorie.

Le théorème
Les Devès sont un composant de l’éther (donc ne sont pas des
ondes électromagnétiques), ils sont absorbés par la matière,
notamment par la terre le soleil … les Devès existent dans tous
l’univers, ces Devès se transforment en photons surtout à
l’intérieur (ils sont piégés) ou l’extérieur des masses. Pour deux
masses en face l’absorption est double par rapport aux autres régions,
donc la densité des Devès est inferieur entre les deux masses, que
sur les autres régions. Ce qui donne une pression des Devès sur
les régions extérieurs, plus grande que sur les faces interne des
deux masses, d’où l’attraction entre les deux masses. Il y a aussi un
champ de courant des Devès vers les centres des masses.

****(37) Les Devès en vert pénètrent les deux masses. Ils laissent une
région en violet de faible pression entre les deux masses. Les flèches sont des
courants de Devès vers ces masses (d’où la pesanteur).
78

****(38) à gauche Rouge le soleil, bleu la terre, vert les Devès, rouge violet
la dépression qui donne la force de pesanteur. À droite marron le soleil, bleu
la terre, noir les Devès, orange la dépression qui donne la force de pesanteur.

§§ Ce théorème considère que la cause de la pesanteur n’est pas une onde


de tous ; mais une différence de densité de Devès, donc un champ de potentiel
(mais en effet si nous avons le temps on découvre qu’il y a plusieurs sortes
d’ondes de Devès. dont des fréquences très grandes et d’autres petites). Il est
possible que lorsqu’on se trouve à l’intérieur d’un domaine comme celui de la
terre, la pluie est entrainé par choc par et avec les Devès (les ondes dans le cas
des ondes électromagnétiques se sont des paquets plus ou moins grands
suivant leur fréquences voir en haut).

****(39) Bleu = la terre, vert = la région de l’influence de la terre, orange


l’espace immobile ou l’influence d’autres masses plus grandes que la terre. A
droite Les Devès pénètrent la masse il y a des réflexions à l’intérieur de la
masse, puis en fin ils se transforment en photons.

§§ D’après la loi de newton l’influence de la pesanteur d’une masse est jusqu’à


l’infinie mais elle diminue en 1 /r² donc nulle à grande distance. De plus il y a
les autres grandes masses qui vont orientés les courants des Devès vers eux.
Nous voyons bien pourquoi maintenant il y a l’influence des grandes masses et
les trous noirs à grandes distances (autrement dit l’influence des petites
masses est courte, ce qui laisse l’intervention des grandes masses). Donc le
79

module du champ de la pesanteur est celui de Newton-Galileo Ng=Gm/r² en


générale.

§§ En effet il y a d’autres particules, qui quittent le lieu lorsque les Devès


pénètrent les masses (c’est le monde des minosses). Ce phénomène est un
facteur d’équilibre des masses.

****(40) N : trou noir, S : soleil, bleu le domaine d’influence des Devès
des soleils.

On peut considérer les masses presque des systèmes fermés, le début


d’énergie pour nous, c’est la combustion des Devès dans ces masses, alors
que le moteur c’est la piège que fait la matière (depuis les photons jusqu’aux
atomes) autour de Devès. Si on regarde les choses un peu de prés, on constate
qu’entre deux masses on peut voir la chose en plusieurs étapes.

1)) Il se forme la zone de faible pression entre les deux masses.

****() la zone de faible pression en vers de Devès entre les deux corps
en forme de losange, à revoir après elle peut être en forme de papillon. La
80

photo de droite représente aussi les autres pôles en C et C’ qui sont crée par
le mouvement des Devès vers le pôle de début (voir les photos d’en bas)

****() les deux schémas expliquent comment, une autre onde des Devès
perpendiculaire nait de la première, d’où le deuxième pôle.

2)) cette zone de faible densité oblige la courbure des lignes en dehors de
lui (car il y a moins de pression, il va attirer les Devès des régions ou il y a plus
de pression), ce qui donne au fur et à mesure une deuxième zone de faible
pression sur chaque masse en opposé au première zone. Et ceci crée un
champ perpendiculaire au premier champ de Devès vers les régions entre les
deux masses (ce champs perpendiculaire les flèches A et A’). D’où la
polarisation des deux faces d’une masse comme la terre sous l’influence de la
lune. C’est ce qui donne les deux marrées des mers et océans qu’on constate
sur la terre par l’influence de la lune.

****(41) Les marées dessus sont l’affaire des Devès; ils ne sont pas la cause de la rotation
de la terre sur elle-même, vous voyez que les gens se sont cassé les dents pour cette
pesanteur !.
81

3)) l’existence de ces deux zones de faible pression (grand pesanteur) donne
une polarisation de la masse suivant cette direction.

4)) il y a déplacement de centre de gravité des deux masses ; le système terre-


lune peuvent être considérés comme une seul planète, dont le centre se trouve
à l’intérieure de la terre, mais déplacé un peu vers le lieu de la lune (dans le cas
ou nous somme loin de système terre lune). Mais dés qu’on s’approche on
trouve un domaine propre pour la lune à l’intérieur de grand domaine de la
terre.

Aussi il faut s’attendre à un frottement entre les Devès et les autres qui
entourent les éléments qui sont la cible de la force de pesanteur. Ce qui est
important il faut le dire maintenant autrement je risque de l’oublier : on peut
utiliser les propriétés des ondes magnétiques. C.-à-d. utiliser la propriété de
frottement qui existe entre les ondes magnétiques pour échapper de la
pesanteur. (Les boulons qui se vissent tous seuls existent on croit que ceci est
sous le coup des ondes de pesanteurs d’autres planètes ou le soleil !!! c’est
un rêve)

Des sportifs disent qu’on peut créer un milieu favorable pour absorber plus
de Devès, pour démineur l’effet de la pesanteur, cela arrive si vous êtes devant
un mur, la pesanteur de la terre est affaiblie par la réaction de mur (ou orienter
vers la lune).

La pesanteur est fonction de la densité des Devès en mouvement, et de la


densité des nucléons (les photons…), donc elle est fonction de la forme d’un
objet. C’est l’espoir qu’on peu réagir un jour sur l’onde de la pesanteur.
D’ailleurs c’est l’idée aussi de Leonardo de Vinci.
82

On ne peut pas donner un nom à cette force  car on ne SAIT pas où on


va placer cette force, est ce que dans le domaine magnétique
(PRESSION des duvets sur les masses), ou pénétration des duvets dans
ces masses (domaine des champs électrique). Cela ne veut pas dire que
l’onde de la pesanteur est une onde électromagnétique (nous avons donnés
une différence entre le champ magnétique et électrique de point de vue
topologie, on parle de cette chose). Mais il y a déjà deux ondes
perpendiculaires lorsqu’il y a deux masses.

Les ondes de la pesanteur réagissent à l’intérieur des nucléons donc dans


ces derniers il y a plus de concentration de la matière (même la taille très
petite des Devès il y a des contactes avec les photons (ou des Devès) des
nucléons donc une force).

La densité des duvets est plus grande vers une masse (exemple la terre)
que plus loin pour cela l’intensité de vecteur pesanteur g devient petite
lorsqu’on s’éloigne d’une masse donnée.

Si le comportement de champs de la pesanteur dans les petites distances est


brutal, sur des grandes distances il est doux et la force est assez faible. C’est
l’énergie cinétique par sa vitesse et sa grande masse qui rend les chocs des
astéroïdes comme des bombes de l’enfer.

Il y a beaucoup de choses à dire de champs de la pesanteur, et des


applications aussi mais il faut que cette vérité circule dans les milieux
intéressée.

Pourquoi nous avons eux la peine de chercher, comment se passe les forces
entre les charges. C’est pour utiliser ceci après notamment sur les ondes de
la pesanteur : si on arrive à frotter deux champs de pesanteur on aura créé
une force, entre ces deux champs (des rêves !). La forme d’un boulon courbe
le champs de pesanteur suivant un hélicoïdale ; alors que l’écrou à aussi la
même forme ; la même chose pour le champ de la pesanteur qui va épouser
la forme de l’écrou et de boulon, si on tourne le boulon les deux ondes (de
boulon et écrou) vont s’appuie les un sur les autres (mais il faut des vitesses
qui dépassent celle de la lumière donc nous seront dans le domaine des
minosses à ce moment, et la matière devient éther, il n’ y a pas de matière
83

donc pas de boulon…). Entre les ondes électromagnétiques ceci existe (la
polarisation circulaire ou elliptique…).

Donc l’apesanteur est un beau rêve, même une petite force qui pourra, nous
aider dans le voyage inter-système solaires. C’est vraie que ce qui est
important c’est l’énergie ; car on peut donner un coup de force au début; puis
une énergie cinétique puis une vitesse … (pourquoi chamme-Ha-roche ? c’est
une autre chose !). Mais possible faire des moteurs, sera aussi une affaire des
ondes de la pesanteur, et aussi pour quitter des masses.

On peut écrire que dans un milieu ou la densité des Devès est 𝛒 un corps m’
dont la densité des nucléons est 𝛒’, et le volume V, est soumise à une force

F = K.𝛒.𝛒’.V = G.m.m’/r² comme 𝛒’ = m’/V F = K.m’.𝛒 = G.m.m’/r²

𝛒 = G.m/Kr Deux inconnus ?

Il y a un travail dans ce domaine les différents facteurs et les façons des


réactions des Devès avec les nucléons (une autre cellule photopesanteur ?)

§§ Une chose aussi importante est que on peut considérer que les Devès,
sont une partie de la matière noir, dont beaucoup de physicien en parle,
possible sans savoir de quoi il s’agit .voila un début.

REMARQUE : Si on se trouve sous la terre à 10 km, considérons un cristal


cubique dont chaque face est de 1 cm², la densité des roches est 𝛒 ; la masse
sur ce cristal est de (10⁻²)².1010³ = 𝛒10⁻⁴10⁴ = 𝛒kg

Si 𝛒 = 7 la force qui s’exerce sur ce cristal est de F =710 newtons.

Une force qui n’est pas faible, on sait qu’à des grandes profondeurs le cristal
cède et se fondre, et les photons qui jouaient le rôle dans la liaison, autour de
l’atome, donne la chaleur qu’on sait. On peut détruire les liaisons à l’intérieur
d’un cristal par les radiations. Mais à de grandes profondeurs il n’y a pas
application de toute la force de la masse, qui est au dessus sur le cristal, car la
pesanteur est aussi latérale entre les masses (elle fait la clé de voute, c’est une
propriété qui est utilisée par les sportifs alpinistes, mais attention il faut
l’apprendre de ton enfance), je n’ai pas le temps de faire un calcule de la force
de la pesanteur à l’intérieur d’une masse, comme celui de Gauss.
84

Exercice

a) Considérons une sphère de rayon r variable, à l’intérieure un petit volume


v (une petite sphère de rayon a), son centre est à une distance X.Y.Z, calculer la
force de pesanteur de toute la masse sur ce petit volume.

Un petit élément dv = dx.dy.dz , Le centre de petite sphère est : (X.Y.Z)

La distance entre le centre de petit volume et un point de la grande sphère


est

Ce qui donne la force de pesanteur sur la petite sphère est

F = G M1.M2/d² =

(G .𝛒1. )/

On intègre sur dx puis sur dy puis sur dz

F=

il faut passer par un changement de variable…

b) On cherche la force de pesanteur sur un domaine entre deux sphères


concentrique de r et r+s dont l’épaisseur est c.
85

Il est envident que la finisse des duvets fait qu’une partie tape sur les
nucléons et une autre pénètre entre eux et à l’intérieure d’eux. Pour le champ
des Devès la distance entre les atomes est tares grande.

QUELQUES RÉSULTATS
Nous avons presque terminé avec l’onde magnétique dont sa force se
manifeste comme le produit vectorielle de la charge Q par la vitesse de la
charge, il nous fait peur pourquoi c’est comme-ça, nous avons six cas de forces
entre les champs magnétiques.

1))) les deux forces entres les pôles des aimants de même signes

2))) les forces entres deux aimants dans le cas ou leur pôles en faces sont de
signes différents.

3))) les forces entres deux conducteurs lorsque leur courants sont de sens
contraires (important)

4))) les forces entres deux conducteurs lorsque leur courants sont de même
sens.

5))) et le champ magnétique est le produit d’une divergence de propagation


des particules photons dans un champ électrique, vous savez combien ce cas
était difficile à comprendre dans la première partie (divB=0).

6))) la force de Laplace entre un champ magnétique et un courant électrique.


86

// Le champ magnétique ne réagie pas avec des neutrons ; parce que les
neutrons n’on pas de champ magnétique pratiquement, ils sont très cocon, et
la force magnétique c’est entre les champs magnétiques (on peut dire que
quelque soit le cocon il y a de champs magnétique sur sa surface, mais la force
dont on parle se pratique par le champ électrique E ou le champ magnétique
B).

****(42) La façon cocon. Mais l’homme de feu sait un combat entre les
ondes électromagnétique et les atomes cocons. Car les radiations brulent notre
peau. C’est une des réactions avec les cocons.

// La conclusion était que la force entre les corps dans le ca de magnétisme


était le choc et le frottement entre les champs magnétiques (se sont des cas
des forces élastiques)

// La force perpendiculaire à la vitesse de la charge, et le sens de B sont


devenus claires ; c’est parce que E est perpendiculaire à B.

// De la le champ électrique reste un champ dont la force réagie par


pénétration dans la particule.

1))) par ventilation (on souffle sur le ventilateur on lui donne de l’énergie, le
ventilateur tourne il nous donne un champ) c’est le fameux tourbillon.

2))) le champ électrique entre dans la particule il contourne la sortie plus que
l’entrée (réfraction à travers un trou) donc la particule glisse sur les lignes de
champs électrique vers l’arrière.
87

Le sens de la flèche est le sens de la force F sur la particule, c’est pourquoi nous
avons aussi une différence entre les pôles voir le lobe principale.

 Pour ce qui est des ondes planes et la première solution de Maxwell, on


trouve les premiers cas naturelle avec Malus et la loi I/Io = cos α de ?,
c’est ce qu’on appelle polarisation de la lumière, en effet le travail de
Malus est très grand (d’où Brewster...).
 Nous avons votés pour les Devès parce qu’ils ne réagissent pas
énergiquement avec les particules courantes, et pour tenir compte de la
discontinuité de la matière, et même dans les ondes électromagnétiques
nous étions comme vous savez obliger de faire une distinction entre les
ondes purement naturelle (lumière, rayon X …) et les ondes hertziens
pour essayer de bien comprendre le monsieur Photon.

 Nous avons expliqué pourquoi la loi 2 à 2 dans l’évolution de la masse !,


et nous avons adapté que la surface joue aussi un facteur dans la
discontinuité, et comment les théories scientifiques sont compatibles
avec ce qui existe dans cette essaie (pour le moment deux c’est pour la
polarisation et l’expansion).

 Un peu de plus sur la loi de Lenz

 Le poids de photon !!!!!!! une chose importante.

 Le théorème de l’énergie cinétique et la formation de la matière par les


tourbillons.

 Les Devès sont une partie de la matière noire.


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 L’origine de l’énergie est l’onde la pesanteur. C’est une première


perturbation.

 L’univers est infinie ; sans perdre de vue que le big-bang, une chose
possible sur une région de l’univers. L’âge de l’univers est aussi infini.

 Les petits sont le champ pour les grands.

 L’hypothèse de l’évolution des galaxies (on va la voir), et avec la théorie


des Devès, on peut conclure que les galaxies forment des systèmes
presque fermés. Donc en fonction de la forme de la galaxie, on peut
estimer son âge, et il y a toujours un cycle entre les trous noirs et les
galaxies et les supernovas ; le cycle de l’énergie (la matière se déplace
vers la galaxie : la poussière les planètes… qui sont absorbées par les
trous noirs). la lumière ou énergie qui sorte de la galaxie, un fait qu’elles
ne sont pas ouvertes : les Devès et les ondes électromagnétiques.

 Aussi le cycle de la forme des galaxies et leur évolution : une galaxie est
elliptique son trou noir augmente, il s’explose donc c’est une galaxie
irrégulière puis devient une galaxie spirale ou en forme de serpent puis
elliptique puis le cycle recommence ; explosion… Vous voyez qu’une
galaxie elliptique peut vieillir, elle devient un simple trou noir, comme
une supernova ; au moment de son grande explosion, une grande partie
se perd dans l’espace.
L’espoir
Nous avons des espoirs

1)) d’après le paragraphe cellule photoélectrique, il y a dans l’espace des


photons immobiles, donc cela va nous excités à chercher un moyen pour les
exploiter, dans notre voyage vers d’autres systèmes solaires.

2)) les duvets sont le commencement de l’énergie qu’on connaît, parce que
une fois ils sont piégés dans une masse une partie se transforme en photons,
s’ajoutent aux photons de la masse et donne de la chaleur (ex. l’intérieur de la
terre) ceci est très important ; on peut voyager sur une montagne et à
l’intérieur de lui on espère avoir un peu d’énergie ! (toujours Chamme-Ha-
roche).
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Il est possible que l’excitation de l’électron et l’atome en générale ; tourne


plus vite l’électron ; alors il y a formation de nouveau photons a partir des
Devès. Ceci très important car il nous donne une autre relation des Devès
avec la matière.

Les particules ont deux pôles (un + l’autre -)


Dans ce travail sur les ondes de la pesanteur, j’étais obligé
d’introduire une notion comme quoi «tous les particules de la
matière sont des aimants». Ceci parce qu’il était nécessaire d’avoir
une idée sur la forme des particules, et de savoir le comportement
des particules comme les photons… Et de savoir comment les forces
dûes aux champs électromagnétiques se manifestent. Car on connaît
seulement des lois sur ces forces comme la loi de Coulomb la force
de la place… J’ai introduit une formation simple de la matière.
Photons puis vient les électrons ; puis quarks ; puis neutrons puis
atomes. Pour ce qui est des particules dont la masse pratiquement
égale à 0 (zéro) je les classe dans les champs de la pesanteur et leur
tailles inferieurs à celle des photons (ils n’on pas de masse parce
que se sont eux les responsables sur la pesanteur). Je considère que
ces neutrinos ne sont pas de la matière (voir dessus). Donc la matière
pour nous commence par les photons. (Les autres particules sont les
Minausses). C’est les photons qui par leur déplacement, donc leur
champs forment des forces, de la matière et dans la matière,
contribuent à la formation des électrons, puis après à tous les
particules dont la taille est plus grande que les électrons et surtout
que les photons sont l’énergie. Dans ce paragraphe on va s’intéresser
à la formation des liaisons entre atomes, aux formations de l’atome
… mais dans l’espace ; on va donner un topo des particules jusqu'à
l’atome.
90

**** ici des aspects de la forme de l’atome ou une particule décrite par une
plante et un escargot.

Les deux schémas en bas sont utiles parce qu’ils vont nous guidés
sur les interactions entre les composons de l’atome.

****en haut les deux conducteurs sont de courant en sens


contraire. Il y a attraction entre les deux fils métalliques. A droite on voit la
plage en vert ou se rencontrent les photons, ils ont le même sens il n’y a pas
de choc entre eux (même vitesse même sens).

**** les deux conducteurs ont le courant de même sens. Les forces en eux
sont une répulsion. Les courants de champs électromagnétique donc des
91

photons se rencontrent en sens contraire il y a choc entre les photons, ce qui


donne une force de répulsion. On voit sur les lieux des flèches vertes ; il y a
choc entre eux.

Dans les cas des atomes schémas en bas on considère les atomes
comme des pneus d’une voiture. La partie métallique c’est les
nucléons et le cortège électronique interne. Et la partie caoutchouc
et air comme le nuage photonique et le nuage électronique (sur le
cortège électronique chaque électron est entouré de photons).

Lorsque deux atomes ont leurs deux pôles de sens contraires en


face, il y a attraction. Mais jusqu'à où cette attraction va continuer ?
Alors c’est le cortège des photons qui va faire la limite de la
distance minimale entre les deux atomes. Ceci est dans le cas ou les
particules ne sont pas identiques. Lorsqu’ils sont identiques il
apparaît que le champ électrique entre pôles de liaison n’est pas
utilisé totalement et il reste un peu pour faire la jante. Ceci possible à
cause de la différence de potentielle entre la sortie de pole et le lieux
de liaison (en effet chaque fois qu’un champ E.M sort d’un orifice il y
a défraction…). On voit l’intérêt de savoir un topo de la particule
atome… Donc deux atomes en liaison vont entrés dans une
résonnance ils ne sont jamais fixent dans l’espace les uns par rapport
aux autres (tantôts sont sous l’influence de la force de champs
électromagnétique, Tantôts sous la force des chocs entre photons).
Ceci évidement si les liaisons se font entre pôles.
92

**** la liaison entre deux atomes, le rouge c’est le nuage des photons (ondes
électromagnétique). Le vert c’est le lieu de champs électromagnétique
responsables de l’attraction. La rotation des particules qui forment les atomes
est perpendiculaire à l’axe qui lie les deux atomes.

La formation de la matière

Nous avons déjà parlé de la formation d’une particule à partir des autres
particules plus petites. Cela débute au moins par deux champs des petites
particules. Qui se rencontrent en un lieu et il y a concentration (augmentation
de densité) ; d’où une particule qui contient plusieurs petites mais dans un lieu
petit. C’est la particule tourbillon qui introduit la notion de moment d’inertie
J… de rotation et la vitesse de rotation de la particule ; plus les éléments qui
constituent une particule ont leur vitesse grande plus la particule est dense
pour un même volume… Ex : presque deux milles électrons se condense sous
forme de tourbillon pour donner un neutron. D’après le poids de photon que
j’ai donné en haut vous pouvez calculer combien il y a de photons dans un
électron... Un tourbillon comme l’électron présente un pole positif et un autre
négatif. Entre eux il y a un retour de champ électromagnétique ce qui fait de
l’électron un aimant.

Mais dans les perturbations des champs de l’univers le disque ou le


tourbillon n’est jamais tout à fait plat ; il présente une sortie au centre ; d’un
coté ou de l’autre ; ce qui lui donne la forme d’un chapeau chinois ou un
coquillage (l’œil de cyclone...)
93

**** une région de l’espace il y a deux champs de sens contraires. Il se forme


un tourbillon de duvets qui se concentrent pour donner en fin un photon. La
région se calme nous avons gagnés un photon par les 2 champs de duvets de
sens contraires. A droite un tourbillon c’est formé pendant la retraite des
eaux de tsunami sur le pauvre Japon, ces eaux ont rencontrées les autres
vagues qui venaient de la mer. Donc deux courants de sens contraires
donnent un tourbillon. En effet il y a un troisième champ c’est celui de la
pesanteur.

Remarque : les Devès donnent des champs de grandes vitesses et grande


densité par l’intermédiaire des masses. Car ces duvets pénètrent les masses et
se transforment en photons, d’où une circulation des particules duvets de
l’espace vers les masses, ce qui donne aussi l’énergie potentiel de la pesanteur.
Mais au début de l’univers (il y a un temps infinie) les champs se sont formés
peu à peu (les duvets et photons…). La plus grande partie de la matière ; les
grands atomes se sont formés dans les grandes masses (soleils, kasars, les trous
noirs…). Ce chapeau chinois présente au milieu un petit trou. Comme les
éléments qui forment le chapeau ont la forme en cône, ils deviennent un
ventilateur ou une pompe d’eau… qui va circulé une petite quantité de Devès
et photons perpendiculaire au plan de disque de l’électron. Nous avons donc
un champ de pesanteur très petit perpendiculaire au plan de chaque photon
ou électron (je vous laisse le travail de savoir le sort de ce photon ou électron…
sous l’effet d’un champ de pesanteur très fort …).
94

**** à gauche aspect générale d’une particule construite par d’autres


plus petites. A droite un ensemble de duvets de trois couches donnent en fin
un chapeau chinois, sous l’effet d’un champ extérieur. C’est en fin un photon
ou électron stable.

Lorsque les électrons par exemples se rassembles pour former un nucléon ils
doivent respecter les polarités entre eux positif avec négatif ; le sens de la
rotation de la particule par rapport a cette arrangement ; la circulation de
champ de la pesanteur… ce qui limite le nombre d’arrangement ; c’est bon
pour nous ça nous diminué le nombre d’inconnus. La forme coquillage nous
oblige d’accepter un certain nombre de couches qui composent une particule.
On remarque que cette fois les choses sont différents les électrons tournent
avec une vitesse v supérieur a la vitesse de rotation de neutron. En plus le
sens de rotation de nucléon est fonction de l’arrangement ; et de sens de
champ électromagnétique la direction de pôle positif. Possible nous avons
résolues le truc de Lenz ?

**** a droite un ensemble d’électrons suivant des cercles dont le but


tendance a la formation d’un quark ou un neutron. On remarque que cette
fois les choses sont différents les électrons tournent avec une vitesse v
supérieur a la vitesse de rotation de nucléon mais ils ont leur charge
orientée, plus de l’un vers moins de l’autre. Dans cette états le sens de la
vitesse c’est lui qui impose le sens de champs magnétique de centre. Il faut
95

reconnaitre que ce chois de champs en fonction de la vitesse et le sens des


électrons (ex : le champ magnétique crée par une bobine) est fonction de la
forme en hélicoïdale de début (le passage entre le disque plat et la forme
chapeau chinois) qui donne en même temps le champ perpendiculaire sur
chaque particule.

En effet l’électron n’est pas comme un neutron ou un proton (ces derniers


sont assez lourds). L’électron s’oriente automatiquement dans un champ
Ele.mag. En fonction de ses deux pôles (son pôle négatif est toujours orienté
contre le sens des courants des ondes électromagnétiques pour glisser sur ces
ondes et absorber le maximum des photons). Il faut savoir qu’il n’y a pas de
différence entre le champ électrique E (celui entre deux plaques de
condensateur dont les lignes de champs sont rectilignes), et le champ
magnétique B dont les lignes de champs sont circulaire ; les deux champs sont
formées par les même photons ; sous forme de lignes de champs.

Les particules sous l’effet d’un champ prennent la forme d’un chapeau chinois
mais si le champ et assez fort elle deviennent un peu hélicoïdaux. Une chose
comment la charge positif (qui a deux pôles mais le positif est plus allongé) se
présente dans l’espace par rapport au champ électromagnétique ? On
reviendra à ceci.

**** un coquillage qui décrit l’atome en générale ; on constate deux sortes


de couches ; il est claire que ce qui est des boules se sont les nucléons. Ce
coquillage est blanc donc état excité de l’atome ; sur la terre par exemple par
effet de pesanteur (il faut vous le dire autrement vous allez me prendre pour
un fou : les vivants sont tous encadrés pour faciliter le dialogue entre eux. Il
considère noir tous ce qui est masse, pesanteur, particule, et mûr. Et blanc
tous ce qui est onde électromagnétique et débutant). À droite un tourbillon
d’un cyclone remarquez l’œil de cyclone d’où les retours verticales qui ne
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sont pas vue ; et c’est bizarre que dans ce cas se sont le moteur et la vie de
cyclone ; par effet de pesanteur et de la température et pression.

La formation des particules lourdes


Les particules lourdes sont : les électrons, les trucks (des nouvelles
composons de l’atome qu’on va voir en bas), les quarks les nucléons (protons
neutrons), les atomes et même molécules et même les trous noirs.

La première utilité est d’extraire de l’énergie des particules de la matière.


Nous avons déjà deux méthodes : la fission des grandes atomes comme
l’uranium… la fusion comme le cas de deutérium le tritium… mais ceci concerne
un nombre bien déterminer des éléments naturelles. Un projet de monsieur
Rubbia –CERN- est d’utiliser la collision des particules comme réacteur
nucléaire pour augmenter le nombre des éléments qui peuvent contribuer
dans les réactions radioactive. Alors on cherche par ce petit topo possible de
coupler aussi les champs électromagnétique avec le travail de Rubbia si on
connaît bien la forme des particules de leur composons notamment l’atome,
les nucléons… Le collisionneur européen va fermer possible en 2012. Mais un
autre américain de 80 Km va commencer dans le future donc il faut ramasser
toutes les efforts pour arriver à tirer le maximum de l’énergie pour faire des
voyage entre les systèmes solaires. La distance est assez grande avec le
système solaire le plus proche de nous (s’il contient une planète qui peut être
habitée), comment faire pour les longs voyages !?

On continue ; le tourbillon des électrons présente :

_- Ses éléments sont des électrons donc des particules chargés


_- Ses particules composons présentent tous, deux pôles chacune.
_- Les composons doivent être liées suivant la loi -pole plus avec pole
moins- (c’est le spin de Pauli).
_- Les couches de noyau sont très énergiques. Leurs vitesses est grande
ex. les électrons β⁺ et β⁻.
_- Les couches périphériques sont moins énergiques ex. les électrons qui
jouent le rôle dans les liaisons chimiques, leur vitesse est inferieur a celle
des composons internes (on va voir ceci plus claire).
97

_- Tous les particules lourdes ou petites présentent en fin un champ


perpendiculaires au plan de rotation des particules composons.
_- La limite de la distance entre les éléments composons se fait par
choc entre les cortèges photoniques.
_- Ce cortège photonique responsable des forces de liaison, et la force de
répulsion ; est le champ magnétique perpendiculaire a la formation plan.
_- La formation des particules se fait par gradient ex. le passage d’un
atome à l’autre se fait par 2 nucléons en générale ; mais on va voir le
rôle géniale des Trucks.
_- La formation des particules plus grandes conservent leur individualité.
Mais les énergies des composons internes sont différents (voir en bas
l’individualité dans les particules).
_- Les liaisons à l’intérieur des particules comme l’atome même s’elles
sont de même origines que les liaisons chimiques (de périphérie) sont
différentes.
_- par où passe les grands passent les petits ; donc dans les champs de
retour des particules il y a des duvets aussi. Donc des forces de
pesanteurs entre les particules en plus de la première force de pression
que j’ai cité en haut ; mais d’une porté courte.

On considère qu’on peut capter un astéroïde dans son orbite comme


Phébus de Mars. Puis on le détourne pour aller à l’étoile la plus proche de nous
(centaure…). On considère qu’on peut amener la vitesse de cet astéroïde à la
vitesse de la terre (100000Km/h). Quel est le temps pour arriver dans les
environs de Centaure ? Combien de tonne d’uranium qu’il faut utiliser pour
1000 personnelles, et les appareils engins et la propulsion ?…
98

**** a gauche ensemble des électrons qui vont formés une particule plus
lourde. A droite la particule formé était déformé par un champ donc est
devenue comme un ventilateur un champ magnétique centrale et
perpendiculaire au plan de ses éléments de formation.

On voit que l’organisation de la matière suit un chemin le plus facile possible.


Dans 2 champs électromagnétiques assez forts les électrons sont obligés de
tourner en spirale. Mais les pôles des électrons obligent une organisation de
file d’attente (les électrons les uns derrière les autres), suivant des couches
concentriques (des couches parce que la première couche se remplie ; et la
vitesse intervient aussi), Puis une déformation oblige la formation finale
d’avoir deux pôles on va voir après que la fore concentrique des constituons
d’une particule n’est pas possible ; les constituons se succèdent les uns les
autres donc une forme finale spirale-hélicoïdale. Il y a évidement les particules
neutres ceci vient de faite que la déformation de leur centre est très faible ;
donc sont presque comme des disques plats (Il y a un retour entre les pôles qui
se fait sur un distance très courte, les pôles positifs et négatifs sont très près de
centre de la particule). Le champ perpendiculaire est très prés de disque, et la
rencontre des photons par choc éloigne deux particules qui s’approchent l’une
vers l’autre. J’appelle ceci les particules cocons (neutrons…).

**** remarquer la formation à gauche en chapeau. La photo de droite on


trouve plusieurs feuilles perpendiculaires sur le plan de la particule. Ces
feuilles sont les lignes de champs d’un pole de la particule (le retour). L’autre
face à gauche représente la particule sans le champ perpendiculaire de retour
(les conditions de vie obligent Ex : la poussière. remarquer la concentration
au milieu des formations de la particule en noir). Chaque ligne de champs est
une onde plane (très important parce que la vie tient compte de cet aspect de
la nature). On voit le plan de la particule arrive à 10 cm de diamètre alors que
les lignes de champs font demi-tour très vite sur une épaisseur qui ne dépasse
99

pas 2cm. C’est pour cette raison qu’il est difficile de relier un neutron avec
l’autre chimiquement. Les plantes aussi sont savantes.

**** la représentation schématique de plante dessus : On voit le pole


positif, et le pole de retour négatif. La distance de D>>d (D très supérieur à d).
Cette situation oblige que les champs extérieurs sont toujours opposé dans le
cas ou deux particules se rencontrent lorsque les pôles sont de signe
contraires. Lorsque la rencontre se fait avec des faces de même sens ; les
fuites donnent une certaine distance entre les particules liées.

Dans les cas d’excitation de la particule ; la distance d augmente ce qui


permet une attraction entre les particules. Cette situation éloigne les centres
des particules entre eux ; donc il est difficile aussi de réaliser une pénétration
d’une particule dans l’autre. Nous avons par exemple de simples liaisons
comme les liaisons chimiques. L’onde centrale de la particule reste très prés
de la particule par son choc avec les Devès qui existent partout dans l’espace.
Le cas des ν⁺,π⁺,ν⁻…

Dans ce travail tous ce qui est connue par la science sur les particules restent.
On ajoute la notion de deux pôles pour chaque particule ; et leur
conséquences.

**** deux schémas d’une particule excitée (un peu exagérer) les couches
1 et 2 sont très loin de centre de la particule. Le champ B parce que nous
100

somme devant des particules qui laisse passer les photons. Ce qui est bleu
courbé est le retour. La loi par ou passe les grands passent les petits. (On
raconte qu’Einstein a dit que les photons sont attirés par les grandes masses).
C.-à-d. les duvets pénètrent les photons.

Conservation de l’individualité des composons


Dans la radioactivité α on constate que l’hélium se présente comme une
particule libre ; qui conserve son individualité. Dans la fusion il y a formation
des nucléons qui contribuent à la formation de deutérium et tritium ; il y a
ajout des neutrons à l’atome d’hydrogène… Dans un collisionneur ou cyclotron
on peut obtenir théoriquement tous les isotopes. Donc en fin les composons de
base qui forment un atome, ne se mélangent pas totalement, ils conservent
une certaine liberté ils restent presque individuelles. Cette individualité vient
de la vitesse des particules ; car il faut atteindre une certaine énergie pour
être d’une particule ou d’une autre. L’individualité est importante dans le cas
de la fission ou fusion… pour extraire de l’énergie de la matière (quelle
particule il faut utiliser ; pour casser l’autre un neutron un électron de l’onde
électromagnétique… ?)

**** ce fruit se fait sur le sol donc il étudier les planètes, la pesanteur… mais
il hérite un travaille ancien sur les particules. On voit qu’il est composé de
plusieurs compartiments (entre 9 et 11 c’est le nombre des planètes qui
tournent autour de notre soleil) mais cette forme aussi peut expliquer
l’assemblage à l’intérieur de l’atome.

Pour ne pas oublier les anciens ; Une démonstration de la relation


d’Einstein ∆E=∆m.C² : considérons un objet dont la vitesse croit jusqu'à la
vitesse de la lumière ; son énergie cinétique devient ∆mC²/2. L’objet s’explose ;
avec un appareil on mesure l’énergie de cet objet on trouve ∆mC²/2 (1). Mais
les photons cette fois ont perdu tous leurs énergies potentielles de translation ;
101

et comme ils sont formés de Devès ; ils ont une énergie de formation égale
j.ω²/2. Comme j=∑mi.ri² ; on peut prendre ω=C/r → j.ω²/2=(∑mi.ri².C²/ri²)/2=
∑miC²/2=∆mC²/2 (2) → la somme de (1) et (2) donnent → ∆E=∆mC². Mais si
la moyenne des vitesses des Devès dans les photons est supérieure à la vitesse
des photons ; l’énergie de formation des photons est supérieure à ∆mC² /2.

La forme de l’atome
L’association des nucléons dans l’atome 
 Nous avons dit beaucoup sur l’atome pour faciliter des difficultés qu’on
rencontrait.

§§) Les petits forment les grands ; donc l’atome est formé des nucléons. Ces
nucléons (les neutrons) sont bipolaires ; on pense que la nature pour faciliter
son existence doit arranger les nucléons pole positif en face de pole négatif.
Ceci veut dire que des champs électromagnétiques jouent le rôle de guide dans
cette liaison entre nucléons. Et la force de pesanteur c’est pour coaliser les
nucléons entre eux vers l’axe central de l’atome. On doit signaler que dans
notre cas il y a deux sortes de forces de pesanteur : une dont la composante se
dirige vers le centre de même nature que la pesanteur entre les grandes
masses ; et l’autre vient de la rotation de l’atome avec et dans l’espace des
duvets ; de faite que les nucléons de l’atomes dans leur intérêts de rester dans
un monde perturbé que de passer vers l’extérieur un monde calme qui
présente une résistance. Donc l’atome sera représenté par des schémas ci-
dessous.

Le premier dessin se sont deux nucleons ; des cyclones sous forme de


spirales. S’ils s’aprochent beaucoup entre eux l’onde de pesanteur entre en
action mais comment ? leur rotation pourra les separés par choc entre les
102

retoures principales de ces nucleons. Il faut un ordre pour cela ; ce dessin ne


donnera pas une liaison malgré l’aspect de lignes de retours (entrrés
sorties…). Il faut que les deux objets par raport à l’onde de la pesanteur
forment un seul objet dans l’espace ; donc le sens de leur rotation est le
même ; et les retours sont normales dans les deux neutrons. C’est le dessin de
milieu ; les deux nucléons ont leurs plans perpendiculaires sur le plan de
dessin (xy et x’y’); le sens de rotation donne aux deux le même sens de rotation
de champ de la pesanteur (les flèches rouges). Les retours sont normales pour
les deux. Ce qui donne en fin sur le dessin de droite la forme de l’atome
obtenue sous forme d’un ballon de rukbi ; les lignes de champ de pesanteur
embrassent ce ballon horizontalement ; mais en effet elles foncent dans les
extrémités vers le centre de l’atome ; ceci fait qu’il y a une circulation de l’onde
de pesanteur comme dans les masse ; alors que la force principale de
pesanteur dans ce cas est la différence de vitesse des deux nucléons de l’atome
(compris son champs de duvets) et l’éther ou les duvets extérieurs. Vous voyez
l’atome que nous avons obtenues c’est le deutérium.

Il faut comprendre ces deux aspects de la pesanteur ; dans les grandes masses
avant que les duvets atteignent les particules ils passent entre eux vers le
centre de la masse. Mais une fraction d’eux exercent une pousser sur les
particules (électrons ; neutrons et même les photons). Disant que dans une
grande masse au centre ou il ne peu pas arrivés des duvets il n’y aura pas des
atomes et même les autres particules ! Mais vous comprenez que ce vide ne
peut être que grand ; donc les duvets vont circulés de centre vers la masse de
ce monstre.

Maintenant on veut ajouter un autre nucleon ; le dessin ; il faut dire que les
lois sont trés strictes dans des choses tellement petits ; le nucleon au centre
est l’effet d’une pesanteur moins que les deux en peripherie (question de
surface); comme les trois tournent avec la même vitesse angulaire ; le neutron
103

de centre ne tournera pas seulement auteur de lui mais il tournera suivant un


cercle dans le plan xy (moment d’inertie) ; ce qui va donner le troisième dessin
sur la première photo dessus pensez au patineur qui tourne sur un pied et
l’autre devant lui. Il se trouve que le champ de pesanteur a une sorte de ventre
qui tourne a la vitesse de la rotation de l’atome. On voit bien que dans ce cas le
retour est dans une difficulté il n’est pas symétrique autour de l’atome. La
nature corrige ceci par ce que j’ai appelé l’étalage ; vous voyez que ce que nous
avons trouvé est un tritium. C’est un isotope de l’hydrogène et aussi de l’He
par He₃ ; ils sont rares à cause de la difficulté de retour…

On passe au dessin de droite un tritium avec les lignes de champ de


pesanteur en rouge (je ne suis pas un bon dessinateur mais on comprendra. à
coté un atome avec quatre (4) neutrons ; ils sont disposés suivant un anneau
ou une bague ; qui est le champ de retour pour tous. Mais la nature ne
permettra pas de telle cohésion car la distance entre les nucléons est grande.
Même une force électromagnétique à travers les retours principaux est très
faible. L’atome se coupe entre deux nucléons. En ce moment la pesanteur
entre en action quand un de ces deux nucléons passe l’un sur l’autre ; la
distance de cohésion est atteinte. Vous voyez que les retours principaux sont
en difficultés ! Mais sont faibles devant la force de pesanteur et ils opèrent très
loin de noyau (il ne faut pas oublier l’atome planétaire presque vide !). en plus
de la vitesse de rotation de tritium s’ajoute la vitesse acquise par le saut des
deux nucléons les un sur les autres. Il y a une vitesse de rotation de l’atome ;
cette fois c’est le He₄ l’hélium ; c’est une forme hélicoïdale aplatie.

L’affaire de l’atome dans l’espace est très difficile ; les vivants travaillent sur
elle depuis le commencement de la vie. Avec les insectes les choses sont
devenus sérieuses ; et intéressantes ; car d’une part ils recueillent un savoir qui
les protèges dans l’avenir ; d’autre part ils prennent la forme de ces particules :
c’est pourquoi 4 pattes ; 6 pattes ; 8 pattes ; deux grosses pattes et 4 petites…
alors messieurs si les choses sont comme-ça ; la vitesse de rotation de
deutérium est celle des deux nucléons qui la forme ? (le ballon de rugby). On
doit savoir que nous avons une chose qui s’appelle l‘atome de l’hydrogène ;
cette particule est en même temps le neutron. Sa vitesse de rotation est aussi
celle de nucléons. Mais qu’est ce qu’il fait d’elle un atome ? Vous devez savoir
ceci car vous avez fait connaissance avec ce modèle. C’est le retour sur le
104

nucléon. C’est lui qui fait de neutron un gros atome. On sait beaucoup sur cet
atome son rayon ionique assez grand et même plus grand que des atomes a
plusieurs nucléons ; ces différents raies Liman Balmer… pour contourner les
difficultés les insectes ont divisés le travaille entre eux. Chaque insecte voit
l’atome d’un coté. Ceci permet aussi les encadrés pour un accroissement futur.

Le nombre des nucléons de l’atome augmente. On peut représenter l’atome


(dessin de gauche) par une vue de dessus spirale sur lequel on marque les
neutrons par des petits taches noires. Vue de face c’est un hélicoïde avec les
mêmes taches des nucléons. On peut associer les retours à ces dessins (sur le
même dessin en bas). On peut représenter l’atome comme sur le dessin de
milieu les lignes rouges sont les lignes de pesanteur ; la spirale est le guide des
nucléons. Une autre représentation est le dessin de droite ; le spirale avec ses
nucléons (vue de dessus) ; les flèches sont les lignes de retour principale de
l’atome ; en effet le noyau est très petit d’où l’atome est presque vide.

Il faut signaler que les photons de retour principal et les photons de guide
des nucléons se rencontrent au sommet de l’atome et forment un retour
ensemble puis ils se devisent. Pour ça ; ce qu’on appelle le retour principal
n’est pas tous verticale ; mais hélicoïdale photo en haut à gauche. En effet la
part des ondes électromagnétiques est petit ; il est important sauf dans le cas
excité  de l’atome ; mais cet état est presque toute sa vie : chaque fois que
l’atome à une relation avec une particule depuis les photons il s’excite très
105

facilement. Au milieu la nature dessine l’atome (plantes et animaux). Le dessin


de droite se sont deux neutrons d’un atome ; le champ guide
électromagnétique sorte d’un nucléon à travers un trou donc il y a diffraction ;
donc une partie seulement de ce guide entre dans l’autre nucléon ; c’est la
raison pour lequel les nucléons ne se touchent jamais.

Les Trucks
Dans ce modèle comment dessiner un atome ? On commence par faire
un spirale avec un nucléon au milieu dessin en bas ; puis on ajoute 3 nucléons
nous avons He₄. C’est la première couche. Puis sur le premier nucléon on fait
deux cornes dessin 3 ; puis les cornes aux autres nucléons dessin 4. Sur chaque
corne on associé un nucléon. On obtient la deuxième couche ; c’est le carbone
12 ; C₁₂. Si on part des quatre nucléons de He on trouve que nous avons 4
unités de 3 nucléons chacune ce qui donne 12 neutrons au totale dans
l’atome. J’appelle ces unités les Trucks

Si on ajoute à chaque nucléon ; deux nucléons dessin 6 ; nous avons la


troisième couche ; c’est le silicium Si₂₈ mais toujours avec quatre
compartiments partons de racine He. Donc quelque soit l’atome il y a 4 Trucks.
Ils sont différents par leurs masses ; fonction de la couche. Ils peuvent avoir des
masses différentes sur une même couche ; fonction de remplissage de cette
couche. Considérons un seul truck dessin 7 ; si on parte de deuxième couche il
y a deux branches de 7 nucléons chacune ; se sont des sous-Trucks. Chaque
atome contient 8 sous-Trucks. C’est l’association des nucléons dans ces Trucks
et sous-Trucks qui commande les liaisons chimiques ; car c’est la force sur ces
106

Trucks qui permet ou pas la libération des électrons de liaison chimiques en


fonction qu’ils sont complets ou non. Pendant le remplissage des couches et
sous-couches le Truck pourra louer un seul neutron ou plusieurs pour faire une
liaison chimique.

Passons maintenant au dessin 8 ; on a ajouté à deux nucléons de carbone ; 3


nucléons chacun ; 2 rouges et 1 vert ; et à d’autres nucléons (5) deux nucléons
chacun. Mais on peut ajouter un nucléon à chaque nucléon disant pour former
la troisième couche comme le Ne₂₀ le néon dessin 9. Donc pour former notre
troisième couche ; il y a 3 façons : on ajoute 1 ou 2 ou 3 nucléons à chaque
nucléon de la couche d’avant. Pour 1 et 2 se sont des sous-couches ; donc pour
nous le Ne₂₀ n’a pas une couche complète mais une sous-couche complète. Le
dernier dessin (1O) la nature dessine, fait la science (les trucks).

Donc déjà on peut se demander par radioactivité de fission est ce que la


fission arrivent suivant les Trucks ? Donc la cassure de l’atome se passe entre
les Trucks. Il se peut que deux Trucks restent liés ou plus (le dessin au milieu de
N azote) ; donc on peut avoir jusqu'à 4 atomes dans une fission. Ou bien les
cassures arrivent horizontalement (dessin 1, à droite) cela pourra arriver
suivant une couche faible (voir en bas liaison chimique); c’est ce qui arrive
pour le moment naturellement (radioactivité de fission (U, Pu…) et la
radioactivité alpha ; car la fission donne deux atomes. La fission suivant les
Trucks est envisageable artificiellement. Le dessin de droite est un père de tout
le monde.

L’étalage
C’est un phénomène très important (d’ailleurs c’est une manipulation dans
l’espace de champ électromagnétique comme l’onde plane, l’onde circulaire
polarisation verticale ; horizontale…) ; c’est que les ondes de retours entre les
pôles de l’atome ou nucléon ; normalement ils sont symétriques avec une
107

épaisseur variable donc de densité aussi variable en cas d’excitation (Bohr un


ballon de rugby variable en volume). Ces ondes peuvent avoir des gonflements
différents d’un lieu à l’autre dans l’espace. C.-à-d. des densités de spectre
variables en fonction de l’angle θ (parton d’une référence θ=0). C’est en
quelque sorte une variation de la probabilité de présence des photons autour
de noyau de l’atome. Ou une sorte d’hybridation des orbitales photoniques ;
de tel sorte que le retour se concentre sur un intervalle qui peut être inferieur
à π. Et comme la présence de l’onde varie entre 2π et θ≤2π ; il y a une sorte
d’étalage comme celui des cartes ; qui dépasse pas un certain angle ; les
dessins en bas. En effet l’étalage est en relation avec l’électronégativité le
pouvoir qu’il a un atome de recevoir ou de donner un électron. C.-à-d. le
comportement de nuage photonique au moment de la rencontre de deux
atomes pour faire une réaction et une liaison. Cet étalage ou ce cortège est
fonction de la couche ou sous-couche périphérique comme on sait ; ou
pratiquement des trucks.

Les dessins en haut l’étalage d’un utille suivant plusieurs angles. Au milieu
vue de l’atome de dessus ; les lignes de champs de retour occupent juste une
partie de plan ; la partie rouge c’est les lignes de retour. Le dessin de droite un
étalage suivant plusieurs compartiments en rouge (1). Puis un électron en
étalage ; c’est cet étalage qui lui permet de se fixer sur une ligne de retour et
de faire liaison (2) (la ligne de retour pénètre l’électron ; mais le champ de ce
dernier part loin ; d’où la charge positive ou négative). Puis vue de dessous de
cet électron les petits points se sont les lignes de champs ; le gros point c’est la
tête de l’électron (3) (remarquez la dissymétrie par rapport à la tête de
l’électron). C’est une diffraction de champ vers un coin.

La forme galactique de l’atome


108

La forme planétaire de Rutherford et Bohr ; on veut introduire d’autres


données sans les orbitales électroniques. Vue de dessous sur le dessin de
premier photo on constate le spirale guide des associations des neutrons en
noir toujours perpendiculaire au plan des nucléons ; les neutrons sont les
petits barrettes. Les lignes de champ de pesanteur sont en rouge. Il y a des
duvets qui circules dans le retour principale avec les photons ; leurs densité est
faible ; mais vues en fonction de la vitesse des nucléons et celle de l’atome ils
sont d’une densité énorme. C’est le plan qui sépare les deux domaines qui
donne la force de cohésion des particules notamment l’atome. De ce fait les
duvets pénètrent les nucléons et donc cherchent à être le maximum tangente
au spirale ; de ce fait à l’équilibre les barrettes ne sont pas perpendiculaire sur
la ligne de spirale ; le dessin de coté ; ceci est très important mais très grave
pour nous parce qu’il nous fait un travail de plus sur la théorie des liaisons
atomiques (ionique et covalente). C.-à-d. que les liaisons ioniques surtout les
cristaux peuvent se faire sur le retour des nucléons ; car pour le moment on
pense que le retour principal de l’atome pourra être occupé par une liaison
chimique ; tel le système cubique centré. En effet om y a beaucoup de retours
dans l’atome : le retour qui relie les neutrons entre eux, le retour principale de
l’atome qui est comme les cheveux sur une tète ex. pour l’hydrogène (H⁺ ; H⁻,
au moins pour le moment), Son rôle principale est de recueillir les électrons des
liaisons et leur donnés des vitesses lentes (une chose qui n’arrive pas avec les
β), le retour par diffraction entre les neutrons. Et tout doit être en équilibre. On
va voir ceci dans les liaisons atomiques ; Dieu nous aura ouvrit une porte. Mais
l’important l’introduction de la pesanteur dans l’intérieur de l’atome lui donne
un aspect d’une galaxie spirale.
109

Le rabattage
§) Par constatation lorsqu’on augmente le nombre des nucléons sur une
couche ; le rayon atomique diminue ; la force sur cette couche vers le centre de
l’atome augmente. Cela veut dire que les nucléons sont reliés entre eux dans le
sens de la longueur ; suivant la ligne des pôles (le guide). Si un enfant monte
une branche d’arbre la branche va fléchir vers le bas ; si on fait deux enfants la
branche va fléchir plus jusqu'à se collé avec le tronc. J’appelle ce phénomène le
rabattage. L’effet de la pesanteur sur les nucléons d’une couche se somme. On
constate aussi que la variation de rayon de l’atome suivant une colonne n’est
pas une forme linéaire de diamètre des nucléons ; il suit une forme
logarithmique. Donc plus que l’atome augmente de masse les couches se serre
entre eux aux moins aux centre. Mais on trouve que le rayon ionique augmente
pour O ;F ;Cl ;S ;Cr ;Br ;I ;Se ;I. En effet le calcule de rayon atomique est basé sur
les diamètres des molécules covalentes ; donc pour le Na et le potassium… les
rayons sont un peu inferieur sur ce qui est indiquer dans les tableaux usuelles.
(Voir le graphe des rayons atomique). En effet dans les liaisons chimiques
nous somme loin de noyau qui est composé des neutrons.

En haut le rayon atomique deminue de Li vers le F ; alors que la masse


augmente ! c-a-d plus que les nucleons d’une couche augmente ; plus la couche
se serre à l’atome. C-a-d aussi lorsqu’on commence une couche ; les premiers
nucleons sur cette couche ont un espace important avec celle d’avant. Mais
l’allure generale est logarithmique. C’est une des données qui pourra nous
conduire vers le savoir de la taille des nucleons. Le potenciel de premiere
110

ionisation confirme le rabattage ; alors que son existance vient surtout des
ondes de duvets.

Comment se font les liaisons entre atomes


C’est normale la forme en spirale donne des retours qui sont des ondes
planes qui partent de pôle positif vers le pole négatif. Ces ondes planes
peuvent se concentrer dans un lieu plus que l’autre suivant l’avancement de
remplissage des couches nucléiques (étalage). De ce fait ils ne sont pas
symétriques autour de l’atome sauf pour des cas particuliers Ex : les gaz rares.
Il apparaît que les ondes planes dans les gaz rares se repartissent réguliers
autour de noyau ; ce dernier se trouve caché pendant la rencontre d’autre
atomes donc les électrons périphériques des nucléons ne se heurtent pas et il
n’y a pas d’échange entre eux ni par covalence ni par ionisation ; mais ce n’est
pas le seul facteur de former les gaz rares. Il y a l’intervention des Trucks
suivant qu’ils sont complets ou non donc forment une force sur tout l’atome.
Les retours symétriques conduisent aussi a crée un revêtement élastique
autour de l’atome ce qui fait de ces éléments des gaz ; leur choc et très
élastique donc ils bondissent.

Le dessin de gauche nous avons dit qu’il ne peut former de liaison ni entre
nucléons ni entre atomes. Le dessin de milieu représente des atomes liés par
des liaisons covalentes c.-à-d. la mise en commun de deux électrons qui
viennent d’un même atome. On constate que plus la couche ou sous-couche
est complète il est déficèle d’arracher des électrons à cette atome (rabattage
aussi). Les atomes deviennent réceptrices des électrons (O ;F ;Cl ;S ;I…) ; les
Trucks deviennent grands ; donc le rabattage devient grand. Pour ce dessin on
111

peut dire que le potentiel entre 1 et 2 sur le H est supérieur au potentiel entre
3 et 4 sur le Li (le rayon de H≥Li pendant l’état d’excitation ; ou simplement les
retours). Donc ∫₁²Edl≥∫₃⁴Edl. Si on admet que le potentiel en 1 égale le potentiel
en 3 la même chose entre 2 et 4 (même charge) ; donc les courants des retours
qui viennent des deux atomes sont différents. Le potentiel de retour pour des
atomes de rayons différents est un facteur qui intervient dans la dissociation
d’une molécule ou un groupe d’atome (je n’ai pas à faire le dessin des couples il
va prendre beaucoup de place mais c’est le même scenario). Un atome
donneur se couple avec d’autres atomes deviennent récepteurs ; comme dans
le cas de couple redox. Le dessin de droite une molécule composée de 4
atomes (liaison covalente comme le dessin de milieu). Alors comment cela
passe ?

Le dessin de gauche ligne (1) un nucléon spirale. On tire sur un électron de


bout extérieur de spirale par un champ électromagnétique par exemple. Cet
électron qui était neutre devient négatif (rouge sur le schéma) ; et l’électron
qui était à coté de lui devient positif ; Oh non lorsqu’on tire sur l’électron on
crée un pôle négatif donc de l’autre coté un pole positif donc le pole de
l’électron de coté est négatif comme le premier. La ligne deux (2) on tire sur
l’électron il devient négatif de l’autre bout de neutron (c.-à-d. le centre de
neutron) il apparaît un électron positif ; comme ça on crée deux électrons un
(+) et un (-) qui vont nous servirons pour la liaison covalente et ionique ; cas de
l’atome H. L’électron négatif sous la force d’un potentiel redox (ligne de champ
de retours) par exemple quitte son lieu se colle sur le retour de l’autre atome
ou neutron ; le deuxième électron positif reste sur son nucléon et donne un ion
positif ex. H⁺ (les deux peuvent quitter et forment une liaison covalente. Après
112

on va voir ceci avec les trucks dans les liaisons entre atomes. Le dessin de
droite c’est pour corriger la tire. (Remarquez la charge plus d’où elle sorte ;
pour un nucléon).

Sur le dessin de dessus de gauche nous avons un atome A spirale


hélicoïdale ; considérons deux nucléons d’un Trucks de carbone par Ex. Les
deux nucléons étant donnés leur arrangement dans l’atome ; s’individualisent ;
et forment une sorte de deutérium avec un pole positif et un pole négatif (à
gauche de A). Nous avons deux cas (dessin de milieu) première ligne les rouges;
les électrons chargés passent sur le retour des deux nucléons Comme le
premier exemple l’électron négatif saute et rejoint l’atome B (sur son retour
principal) ; le positif se colle sur le retour de l’atome donneur A et forme lion
positif (vers le pôle négatif de l’atome). Quand les deux électrons restent sur le
retour de A ; ils peuvent facilement faire en commun ces 2 électrons avec un
autre atome et forment une liaison covalente. Les causes sont toujours les
champs électromagnétiques des atomes ou de l’extérieurs ; dans ce cas les 2
électrons vont absorber quelque lignes de l’atome B d’où la liaison covalente.
Dans les réactions exothermiques la nouvelle réorganisation des retours
libèrent l’excès des photons (en effet c’est une réorganisation des Trucks).

Dessin dessus ; deux atomes se rencontrent, leurs Trucks qui sont sur les
couches exterieurs polarisés ; entrent en etalage entre eux. Le dessin de
gauche les fléches rouges qui sont les retours n’éxistent pas entre les deux
113

atomes à cause de l’étalage. Une fois l’étalage se fait la réaction chimique


commence (suivant les deux façons indiqués en haut : ionisation d’un nucleon
H (ou trucks celebataire ; ou groupe de nucleons en Trucks).

Dans les cristeaux où on considere que les liaisons sont ioniques (dans un
liqueure electrolyse par ex. les atomes ou groupes d’atomes sont libres !) si
l’etalage persiste ; la force de liaison est entre les électrons qui sont sur le
retour des nucleons. Est-il la cause de l’augmentation des rayons ioniques ?
une chose sûr est l’ordre dans ce liaison pourra être la cause de tel liaison ;
parce que la distance entre atome est un peu plus grande ; et la liaison est
dirigeable ; vous savez que c’est un champ électrique par pénétration (mais on
doit passer par l’expérience car il est alternative à cause de rotation de
l’atome). Ces liaisons offrent une conductibilité électrique très bonne une
résistance des matériaux importante…les liaisons covalentes quand à eux sont
souples est présentent une variation hasardeuse dans leur association ;
pourquoi ne sont pas bon conducteur d’électricité. On sait des polymères qui
sont conducteurs d’électricité parce qu’on ordonne leurs chaines. Donc nous
somme à 99˚/₀ que les liaisons ioniques existent et que se ne sont pas des
liaisons covalentes (car dans les liqueurs on peut dire qu’il y a dissociation des
liaisons covalente comme pour le HCl ; l’ionisation des gaz par l’électricité…).
Mais étant donné que l’atome tourne et sa charge tourne avec elle ; dans le cas
d’une liqueur (électrolyse…) les charges vont tourner tantôt vers l’anode tantôt
vers la cathode ; donc l’ion positif pour les liaisons ioniques existe aussi sur le
retour principale de l’atome, et pas sur le retour de neutron sauf pour
l’atome d’hydrogène (cela conduira à une liaison alternative).

La photo 1 un électron positif remarquez son flash rouge ; le pôle négatif


est très court ; au dessus de lui une liaison ionique entre deux électrons ; le
flash de e⁺ entre dans e⁻ ; ce qui donne une liaison par un champ électrique. La
photo 2 une liaison ionique entre deux atomes ; sur la photo 3 comment se
présente cette liaison ; les lignes de retour des atomes entre dans les électrons
114

mais elles ne se rencontrent pas comme en covalence ; la liaison est fait par le
flash étalé des électrons. Les photos 4 et 5 sont des positions des liaisons
ioniques ; l’électron doit être tangent à la ligne de retour de l’atome autrement
il s’affaiblira.

Le benzène un exemple qui fait penser aux liaisons ioniques sur les retours
des nucléons (alternative) ; à cause des électrons qui tournent dans son milieu ;
car ils suggèrent une alternativité. La photo 2 une hypothèse d’une liaison par
onde de pesanteur ; ce n’est pas entre les lignes de retours mais entre les
lignes des duvets ; remarquez dans le lieu rouge la densité des duvets est faible
à cause des sens contraires des lignes qui se rencontrent là-bas. La photo 3 une
liaison ionique beaucoup de perte ; liaison faible ; l’électron est presque
perpendiculaire à la ligne de retour de l’atome. La photo 4 un électron ionisé
sur une ligne de retour (remarquez l’étalage de son spectre en dehors de
retour principale). Dans le cas des liaisons ionique l’atome récepteur reste
presque calme sauf un électron qui se pose dessus.

Dans les liaisons comme les cristaux ; en plus des liaisons ioniques avec la
mise par un atome de deux électrons ; il y a des liaisons ioniques de Van der
Wales dans lesquelles chaque atome intervient par un électron (ou rien). Une
sorte de polarisation à tel point que des liaisons cristallines et autres comme
capillarité… utilisent les pôles principaux des atomes. Si l’atome au centre a
huit liaisons avec le centre donc utilisation des pôles principales.
115

Dessus photo 1 les points rouges sont des électrons chargés positifs ; qui se
sont piégés dans la partie basse de l’atome ; pourquoi l’électron négatif saute
alors que le positif reste sur l’atome. Au milieu comment les charges se
repartissent sur l’atome ; les positives passent à la base de l’atome ; les
négatives vers le sommet sans piège sauf les forces elec.mag.. A droite la
diffraction à la sortie d’une particule vers l’autre. Dans le cas de la pression sur
un cristal ou des molécules on peut se demander comment le corps résiste par
les liaisons que j’ai cité, la chose est facile de faite que nous avons déjà vue les
forces de répulsions entre les aimants.

Les couches
Les couches sont obligatoires ; parce que l’atome est formé par plusieurs
éléments donc l’atome n’est pas linéaire. Le remplissage des couches suit le
tableau périodique ; on considère que les couches complètes sont ceux des gaz
rares Dans notre modèle les orbitales électroniques n’existent que pendant
l’excitation par des ondes elec.mag. notamment pendant les liaisons entre
atomes (Autrement l’atome est neutre comme tous les particules ; sauf des
fuites ; tel les cornes des Trucks présentent des pôles électriques) ou la
radioactivité… et dans ces cas on peut leurs appliqués les mêmes lois connus
dans la mécanique quantique ou l’électrostatique… sauf que pour nous dans le
cas des liaisons entre atomes la couche électronique est inferieure a 8
électrons (nombre maximum des sous-Trucks); alors que la couche
électronique classique suit le numéro atomique Z dans le tableau périodique.
En quelque sorte nous avons fait de l’économie sur le nombre d’équation et
de variables dans la fonction d’onde ; car il était obligatoire de tenir compte
des autres électrons qui n’entrent pas par exemple dans une liaison chimique.
On peut s’intéresser seulement a 2 électrons dans le cas des liaisons
covalentes ; car la nature à déjà fait une partie de travaille sous d’autres lois.
116

Etant donné la vitesse de rotation assez grande des forces centripètes qui ne
sont pas négligeables.

Le remplissage des couches


Le remplissage des couches comme on sait suit des lois. Dans notre cas ce
n’est pas les couches électroniques ; mais les couches des nucléons (les
neutrons) ; alors que les couches électroniques viennent j’ai dis après
excitations ou liaison entre atomes… la preuve les gaz rares. Il y a des facteurs
derrières ces lois comme le rayon atomique ; la distance entre les nucléons…

à travers les réactions chimiques les scientifiques ont constatés que les
propriétés chimiques des éléments se répètent par période même avec
l’augmentation de la masse de l’atome ; donc il y a des couches dans l’atome.
Et pour satisfaire tous les propriétés chimiques ils ont trouvé qu’il est
nécessaire qu’il y aura des sous couches. On a ajouté même des exclusions
comme celui de Pauli pendant le remplissage… je vous propose un modèle pour
les couches nucléiques ; que je vais clarifier dans le paragraphe : liaisons
chimiques des particules atomes.

Je vous signale que pour nous étant donné que le nombre des neutrons est
considéré égale au nombre des électrons périphériques (multiplier par deux);
avec lesquels on fait les couches (K ;L ;M ;N…) et les sous couches (s ;p ;d ;f ;…) ;
on multiplie par deux les sous-couches périphériques électroniques puis on suit
les mêmes règles ; et au lieu d’utiliser un électron on utilise deux (d’ailleurs les
électrons qui interviennent sont paires ; déjà un point dans notre faveur). Ceci
c’était possible avec Mendeleïev où le nombre des protons égale celui des
neutrons (on passe d’un atome à l’autre par l’ajout de deux unités). La vérité la
masse de l’atome n’est pas le double de la masse de ses protons (Pour nous
l’atome ne contient pas des protons et il n’y a pas de proton sur la terre. Pour
faire des protons il faut des champs très forts. Les charges positives sont d’une
conception différente !). Donc on doit faire des dessins pour pencher une autre
fois par un topo sur les choses.

Ce modèle considère que la première couche est celle de l’He (hélium). Se


base sur le tableau périodique (Disant c’est 2.Z). Avec la différence c’est que le
117

nombre de masse ne varie pas proportionnelle avec le nombre atomique Z.


Donc il va y avoir divergence. On découvre d’autre choses : pourquoi le tableau
périodique ; alors que la couche avance en continue ? Pourquoi il y a les
donneurs et récepteurs ? Je répète on n’est pas dans les cas des orbitales
électroniques ; se sont des orbitales nucléiques (neutroniques) ; d’où les
difficultés qu’on va rencontrer. On découvre que la pesanteur intervient avec
beaucoup de facteurs à l’intérieur de l’atome ; on découvre quoi les Trucks ?

Le schéma de gauche : le He (4), Le Be (9) béryllium porte la première sous-


couche complète qui contient 4 nucléons (par le neuvième nucléon on entre
dans le remplissage de deuxième couche). On passe au bore B(11) on continue
à remplir sur la couche ; donc la couche ! À chaque neutron de He correspond
deux neutrons pour les atomes suivantes (une des lois de modèle) ; mais
comme le B=11 la couche elle lui manque un nucléon (ici la sous-couche sur la
deuxième couche) ; remarquez le ; tout seul relié à un nucléon de He ; si on
ajoute un neutron on tombe sur le carbone (C=12) ; la couche sera maintenant
compète (ce n’est pas l’atome de Ne). Puis on trouve une coupe à l’intérieur
d’un atome ; on trouve la couche de He ; puis celle de carbone C. L’important
dans ce dessin ce n’est pas He ; Ne ; mais la grappe de neuf (9) nucléons qui
est formé en effet de deux petites grappes de 4 (quatre) nucléons qui sont
attachés au neuvième de He. Alors chaque petite grappe est un sous-Truck ;
donc nous avons dans cette grappe deux sous-Trucks. Le dessin de milieu c’est
l’oxygène O=16 ; c’est la couche complète de carbone plus 4 nucléons. J’ai
dessiné en rouge les 4 nucléons de l’oxygène en plus que ceux de carbone
C=12.

Donc la première couche et celle de l’hélium contient quatre nucléons. La


deuxième couche contiendra le double c’est huit ; à chaque nucléon de la
première couche se rattache deux nucléons (très important le mot rattache) ;
On arrive a douze (12) c’est le carbone ; donc deuxième couche ce n’est pas Ne
le néon. Le néon se trouve pour ce modèle sur une sous couche. Mais
118

l’important dans ce modèle c’est que les couches ou sous-couches sont


organisées de la même façon pour contribuer chimiquement suivant les lois de
la nature. Le problème c’est qu’on ne connaît pas la taille des nucléons ; pour
écarter toute ambiguïté sur ces couches et sous couches. Mais on va voir dans
les liaisons chimiques que le dessin topo et les données qu’on connaît et la
logique scientifique nous renseignent sur le chemin à suivre.

On constate que pour une période le rayon atomique diminue alors que la
masse de l’atome augmente ; donc c’est une couche ; Plus l’effet de rabattage.
On constate à droite que les rayons ioniques pour le F ; Cl ; Br ; I ; At ; sont plus
grands que les rayons atomiques. Le cas n’est pas générale voir en bas ; il est
difficile de mesurer le rayon de l’atome tout seul. On tire ceci de cristal car on
sait son volume ; le nombre des atomes qu’il contient ; et son système de
cristallisation.
119

Le tableau de droite les rayons ioniques des atomes. L’important le rayon


croit dans les colonnes ; Ceci à un rapport en première facteur avec la masse de
l’atome et le changement de couche. à droite l’énergie d’ionisation de
F ;Cl ;Br ;I ;At. (qui est en rapport avec l’électronégativité de Pauling) ; décroit
avec la colonne ; un facteur très important dans la libération d’un électron par
un nucléon ou un Truck (c-à-d la liaison chimique en rapport avec la masse ou
rayon de l’atome) ; la distance au centre influe. Ce qu’on va voir dans les
liaisons chimiques entre atomes.

Nous avons deux voies : 1) remplir toute la couche par des nucléons cote à
cote ; de faite qu’ils sont reliés par un guide électromagnétiques 2) mais le
faite que la cohésion des nucléons se fait par la pesanteur ; les nucléons
peuvent avoir de l’espace entre eux (en haut l’atome galactique) ; et les sous-
couches sont permises. Donc on va procéder pour le remplissage des couches
et sous-couches comme ceci :

La première couche ‘4 nucléons’. première sous-couche ‘4s’ (4 nucléons ; s


pour la sous couche) →→→

1) 4 ; 2’) 4+4s ; 2) 4+8 ; 3’) 4+8+8s ; 3’’) 4+8+16s ; 3) 4+8+24 ; 4’) 4+8+24+24s

4’’) 4+8+24+48s ; 4’’’) 4+8+24+72s ; 4) 4+8+24+96 !

On constate qu’on arrive à la quatrième couche ! Elle contient 96 nucléons


c’est trop. On ne peut pas décider de couche ou sous-couche parce qu’on ne
sait pas la taille des nucléons (en plus il faut faire un petit calcule sur des
coniques ou seulement des cercles concentriques puis des équations dont les
variables r et le périmètre qui est un multiple de diamètre de nucléon ; alors
on cherche le nombre des nucléons pour chaque couche qui satisfais la
résolution des équations (2πr1=n1d ;2πr2=n2d ; 2πr3=n3d…). Je prends en fin
le chemin suivant  qui ressemble beaucoup le modèle de couches
électroniques :

// 1iere couche 4 = He ; // une sous-couche 4+4s // 2ieme couche


4+8=12=C ; // une sous-couche 4+8+8s=20=Ne ; // 3ieme couche
4+8+16=28=Si ; // une sous-couche 4+8+16+16s=42≈Ar ; // 4ieme couche
4+8+16+32=60≈Ni≈Co ; // une sous-couche 4+8+16+32+24s=84=Ar  // une
sous-couche 4+8+16+32+32s+16s=108=Ag ; // 5ieme couche
120

4+8+16+32+64+8s=132=Xe ; // une sous-couche


4+8+16+32+64+64s=188≈Re,Os ; // une sous-couches 4+8+16+32+64+128s ; la
sous-couche 128s on peut la prendre comme couche ; Possible est de résoudre
les équations en haut, ou de passer ou conique-spirale avec des tâtonnements
sur le rayon de neutron..

La concentration très poussé de ; He


Nous avons signalé la diminution de rayon atomique avec l’augmentation
de nombre de nucléons. La radioactivité montre que la désintégration des
éléments lourdes ; conduit à la formation de la particule α (hélium) ; cette
particule est un élément naturelle mais se comporte dans beaucoup de cas
comme s’elle conserve son individualité dans les éléments plus lourds. Ceci
possible a cause de son grande concentration ; l’augmentation de la densité
des éléments conduit a la formation des zones privilégiées (2 ! d’après la
radioactivité des éléments ; 4 ou 8 d’après les Trucks) ; Parmi ces zones ; la
zone de l’hélium (He). Evidement il faut qu’on penche sur comment les
neutrons cassent une particule uranium ? Il n’y a pas le temps.

Les vitesses betas et les photons


J’ai parlé de ceci ; pas grave : un électron est formé de photons ; ces photons
sont organisés dans un tourbillon ; dont la vitesse de rotation est ω=v/r ;
lorsqu’un photon quitte son électron sa vitesse est v ; c’est la vitesse de la
lumière. Un neutron est formé par des électrons ; ces électrons sont organisés
dans un tourbillon dont la vitesse de rotation est ω’=v’/r’ ; lorsqu’un électron
quitte son neutron sa vitesse est v’ ; c’est la vitesse de β positif et β négatif. Un
atome est formé de neutron ; ces neutrons sont organisés en tourbillon dont la
vitesse de rotation est ω’’=v’’/r’’ ; lorsqu’un neutron quitte son atome sa
vitesse est v’’ c’est la vitesse des neutrons rapides.

Les liaisons chimiques


121

H : l’atome de l’hydrogène


Nous allons commencer des choses sérieuses. Parce qu’en va lier ce qui est
déjà dans la science ; avec une image de l’atome de notre modèle.

§§) Nous avons un atome qui est composé d’un seul nucléon ; c’est l’atome
d’hydrogène. On sait quel peut se lier par covalence par ionisation ; et par
conséquence le H est un neutron qui donne un électron et devient un proton
(n→p+e ; les nouveaux protons P* c’est un ion). Donc tous les neutrons de la
couche périphérique d’un atome quelconque peuvent donner des électrons et
des protons. Donc ils peuvent jouer des rôles dans les liaisons chimiques. On
veut savoir aussi comment les choses passent dans l’espace ; l’intérêt de se
travail. D’après ce que nous avons vu en haut le proton (p*) est un neutron
dont un électron positif se trouve sur son retour principal. Pour les autres
atomes ou des ions ; la charge positive ou négative de l’ion est un électron (+
ou −) qui se trouve sur le retour d’un atome de l’ion. On voit que l’atome de
l’hydrogène nous guide pour bien comprendre la formation de l’atome en
général.

Les β
J’ai déjà dis que la vitesse des betas positif et négatif ; vient de la vitesse
de rotation de neutron. C.-à-d. qu’un électron qui tourne dans un périmètre
p=2πr avec une vitesse angulaire ω tel que p=VT ; et V=ωr ; V la vitesse suivant
le périmètre ; T la période. Lorsque l’électron quitte son neutron sous forme de
β positif ou négatif ; sa vitesse c’est la vitesse V qu’il avait dans son neutron.
Mais une chose le résultat un autre atome neutre (neutre) et l’éjection de β
avec une vitesse qui avoisine celle de la lumière (on n’a pas à entré dans les
réactions nucléaires qu’on sait sur β positif et négatif ; et la notion
d’énergie gamma ou autre). Ceci pour nous est une chose permise parce que,
122

on considère que les électrons qui formes les nucléons sont des électrons
neutres ; donc si un électron ou 2 quittent leur neutrons avec une vitesse
initiale V ; il n y a pas de problème il y avait une coupure d’un électron sur le
reste qui constituent le neutron. Mais cette coupure était rapide. Sa
polarisation positive ou négative vient de champ ou il passe ; avant de sortir de
l’atome. Donc les β⁻ ; β⁺ sortent de deux pôles de l’atome mais opposés (ou
même des pôles d’un nucléon qui sont opposés ; dans ce cas le nucléon doit
être célibataire sur son Trucks, ou pas. Les betas sont un indice que chaque
fois qu’il y a intervention d’un électron dans une réaction radioactive β ; ou
capture ; il y a un certain réarrangement dans les Trucks. Qui vient de passage
d’un électron d’un nucléon à l’autre ; d’où changement de caractères
chimiques de l’élément ; ou transformation isotopique.

Et si maintenant on tire sur l’électron avec une vitesse qui est inferieur a celle
des β (par choc ou l’atome se trouve dans un champ électromagnétique…) ;
l’électron sur lequel on tire va se polariser négativement et celui auquel il est
relier aura une polarisation aussi négative ; mais une cause qui lui tourne la
face; un potentiel d’un champ elec.mag. ; ou il sorte de l’autre bous de Trucks
une chose plus probable ; et aura une polarisation positif; donc un électron
partira dans la cause qui l’avait crée ; chargé négativement. Et l’électron qui a
resté sur le neutron (ou l’atome) aura une charge positif ; d’où la charge positif
de proton ; et voila un gain qu’on n’attendait pas combien c’était déficèle de
savoir pourquoi la charge de l’électron est la même que celle de proton et
pourtant leurs masses est très différentes. Hee coucou tu à tombé sur tes
pieds ! On sait maintenant d’où vient un ion positif ; et pourquoi il est grand et
sa charge est celle de petit électron. Hee coucou pas encore il faut se mettre
debout. En effet l’atome est petite est plein de choses (mais plein de pièges et
franchement les choses auxquelles sont arrivés les physiciens ce n’était pas
facile).

Mais d’autres contraintes qu’il faut résoudre si on veut que le proton soit
positif par un électron positif qui existe sur lui (une chose que nous avons
résolut en haut mais il faut la revoir). Car le proton n’est pas fixe ; il tourne ; et
sa charge et la directivité de cette charge sont tantôt à l’intérieur de l’atome
tantôt vers l’extérieur et sur un angle qui dépasse π degrés. Et nous on veut
que la liaison soit par la mise en commun de pole positif d’un électron avec le
123

pole négatif de l’autre. Donc la liaison va être alternative ; et il faut une


résonance pour que les 2 pôles des 2 électrons soient tantôt en face tantôt à
l’intérieur des deux atomes. Alors conseille si vous avez grand laboratoire
beaucoup de matérielles. Tu peux faire l’expérience pour savoir la fréquence de
l’onde de proton. Il y a tous les données : la vitesse de rotation de
l’atome qu’on peut tirer de la vitesse des neutrons rapides des réactions
radioactives ; la vitesse de rotation de proton qu’on peut tirer de la vitesse des
électrons rapides β ; la démontions de l’atome. Donc on peut déduire le temps
que fait l’onde positif en dehors de l’atome donc on peut déduire la fréquence
d’émission ou sous multiple (il y aura d’autres raies mais la puissance qui nous
dira ce qu’on cherche). Cette liaison est alternative de faite il est basée sur la
mise en face de deux électrons de charges contraires (mais ou se trouve
l’électron positif ? sur le retour de neutron donc liaison alternative ; ou sur le
retour de l’atome donc liaison continue). Mois j’étais obligé de résoudre le
problème par la question ; comment se fait (ou est) la liaison covalente ?
(comme c’est un topo on travaille dans 3 dimensions). On sait déjà que c’est
une mise en commun d’un électron ou de 2… mais comment ? C’est facile pour
nous car c’est l’électron qui est l’intermédiaire. Il suffit de placer un électron
entre deux atomes et de jouer sur les polarités et les lignes de champ
elec.magn. ; c’est une force électromagnétique. Le résultat le schéma d’en bas.
L’électron mis en commun se trouve sur les retours des deux atomes en liaison.
Il faut signaler que de tel liaison est très malléable présente beaucoup de
liberté ; ce qui donne une liberté suivant l’axe oz (aussi l’angle phi ou θ ou α
suivant votre choix dans la fonction d’onde de Schrödinger aura une plage). Et
comme chaque neutron (ou Trucks) de la couche externe peut intervenir pour
un électron de liaison ; nous avons une liberté suivant l’axe ox ; se sont les
angles qu’on dessine dans les composons organiques entre atomes comme
l’angle entre les deux hydrogènes dans H2O.
124

§§) Le cas de liaison ionique nous avons dit qu’on doit faire attention ; les
électrons qui donnent les charges positif et négatifs aux ions se trouvent sur les
retours. Chaque électron se trouve sur un retour d’un atome. Comme les
retours sont élastiques on voit qu’on peut avoir plusieurs orbitales atomique
pour chaque électron (car l’onde plane de retour se sont plusieurs lignes de
champ elec.mag. les unes sur les autres ; forment un plan perpendiculaires à la
surface sphérique de noyau de l’atome ; ces lignes de champs partent de pôle
plus vers le pôle négatif de l’atome) ; Bohr ; et la probabilité de présence de
Schrödinger. Surtout lorsque l’électron se trouve dans un potentiel ; excitation
notamment le laser…

Pour les liaisons covalentes l’électron est neutre avec les 2 atomes. Pour les
liaisons ioniques comme il se trouve sur retour d’un atome il doit se déplacer
vers un des pôles de l’atome (voir dessin en bas). Mais il suivra le sens de la
plus grande force (Coulomb) ; donc le pôle positif le plus directive (ou l’électron
positif) vers le pôle négatif de l’atome. Et le pôle négatif le plus directive (ou
l’électron négatif) vers le pole positif de l’atome. Mais comment ? C’est que
l’électron se trouve dans un état d’étalage ; son axe Z est tangent à la ligne de
retour sur laquelle il se trouve. Il y a un peu de liberté pour l’électron ; mais
comme il se trouve près de pôle ; en ces lieux les lignes des champs des retours
sont très denses. Il se déplace sur un petit intervalle suivant sa ligne (il y a
beaucoup de positions suivant les contraintes entres atomes ; et les forces E.M.
qui les relies. Une application est l’horloge piézoélectrique ; chercher à
déformer le cristal c’est changer l’environnement électromagnétique de ce
cristal d’où un signale qu’on utilise dans les horloges (la liaison ionique
n’accepte pas beaucoup de déformation).

§§) Je répète c’était un malentendu le physicien Wiles veut dire que le


neutron (ou l’atome pour lui) peut faire intervenir deux électrons ; allusion à
quelque chose. Mais aussi un piège. Car la liaison ionique se trouve sur les
retours et possible chaque charge vient d’un atome. C’est seulement une
125

coupure dans la liaison covalente. Notre secours est l’atome d’hydrogène ; il


ne possède qu’un électron périphérique. C.-à-d. qu’un neutron ne peut libérer
qu’un seul électron ; et cet électron se trouve sur le retour de proton (neutron
p*). Mais on sait que ce neutron a déjà cédé un électron ; donc un atome mis
en commun pour réaliser une liaison covalente ou ionique ; deux
électrons (Wiles était sûr il n’y avait pas de malentendu). Combien la nature est
précise ? Derrière ceci un calcule de l’énergie cinétique ; car le rayon de
neutron diminue ; on sait déjà que cette chose peut changer les propriétés
chimiques d’un corps ; alors que l’ion augmente.

§§) Maintenant notre modèle convient a tous les théories sur l’atome ou la
physique atomique. Commençons par Rutherford jusqu'à la théorie de
l’hybridation des orbitales. Oh pardons nous avons oubliés les liaisons de Van
der Wales : nous avons parlé en haut de ceci. Mais les atomes peuvent faire
des groupes dont les pôles de même signe sont vers un même sens ; étant
donné les fuites sur le groupe on peut avoir un champ qui peut aller loin ; une
sorte de polarisation de groupe qui pourra conduire a des liaisons entre ces
groupes. On peut faire même des matériaux artificielles ; la ferrite ; la
magnétite… L’assemblage pourra être aussi par des liaisons covalentes ; les
différents polymérisations linéaires dans le plans et dans les 3 dimensions.
Alors que les cristaux sont d’origine ; liaison ionique Ex : (SiO4)⁴⁻ autour duquel
est formé une partie des roches peroxyde… On peut conclure que les liaisons se
font par la contribution en grande partie par le champ magnétique B (on a
appelé toujours le champ magnétique le B alors normalement il est désigné par
H) c’est la covalence. Si la contribution en grande partie est le champ
électrique c’est la liaison ionique ; dans Van der Wales vient en plus les
différents polarisations des molécules. C’est vrai qu’on tire beaucoup sur le
plan exploitation. Mais les pauvres savants ne sont pas dans le meilleur de
monde.

Nous avons parlé des liaisons ioniques entre deux atomes mais dans le cas
des complexes comme OH⁻ ; (SiO4)⁴⁻ ; ClO⁴⁻ ; ClO²⁻ ; (MnO₄)⁻  ; CO₃⁻⁻…
comment ? Nous avons dit que dans la liaison ionique un atome donne deux
électrons pour ceci ; c’est clair. Mais mettre deux électrons en commun entre
deux atomes c’est plus difficile que de mettre qu’un seul. Il faut des
circonférences très grandes (lignes de retour) ; donc se sont des liaisons avec
126

des limites de forces à cause de l’orifice de l’électron. Dans le cas des composés
comme OH⁻ →H-O⁻  d’un coté il y a une liaison covalente H-O et de l’autre coté
il y a une liaison ionique O⁻ ; et c’est l’atome d’hydrogène dans ce cas qui a
donné les deux électrons (c’est la raison pour lequel l’eau s’ionise en OH⁻ et
H⁺). On doit signaler que les Trucks ont des têtes qui ont deux pôles ; pourquoi
ils donnent facilement les électrons positifs et négatifs. On voit déjà que
lorsque les atomes s’approchent les un des autres il y aura une manifestation
des Trucks. Des choses ; les gaz rares ne réagissent pas facilement à cause de la
distribution égale autour de l’atome. Il reste la question pourquoi les F ; O ; Cl…
captent les électrons ? Ils créent un potentiel important dans les environs.
Donc leurs Trucks sont fortement polarisés. La cause on va la voir sur les
dessins des atomes. Alors que des donneurs s’associent avec d’autres atomes
deviennent récepteurs ; vrai? Mais grâce à un piston récepteur ou donneur.

En bas deux jolies atomes sont prés à recueillir deux autres atomes chacun.
Le dessin de droite on peut le considérer un atome de l’hélium; on voit qu’il y a
deux retours un bleu vide et l’autre noir ; sa distance par rapport au noyau est
plus grande que le bleu ; on rejoint Bohr dans ses niveaux d’énergie. Et comme
le noir court plus de chemin donc son intensité est inferieure. Le schéma de
gauche un électron sur le pôle positif d’un atome il forme avec lui un état
neutre ; il peut passer inaperçu ; mais d’où va venir cet électron car son sort est
dans un nucléon.

Dans le cas de l’ionisation ; la neutralisation est que les deux électrons


retournent a leur place. En effet lorsque l’électron négatif rencontre le positif ;
ils deviennent neutres sur le retour d’un seul atome ; leur poids est assez grand
ils tombent sur le nucléon d’origine ; mais il est possible que chaque électron
rejoint sa place à cause de leur polarité. On sait que tous en mouvement
comment les électrons se souviennent de leur nucléon ? Et bain la mémoire
127

c’est l’électron positif qui ne quitte pas son retour ; et l’atome est libre ; il
revient à son état normale ; les deux électrons sont en face de leur Trucks.
Donc dans le cas contraire on passe aux isotopes (il apparaît que les échanges
des nucléons en électrons ne dépassent pas 2. Les américains sont arrivés à
Ar⁺¹⁹ ; au lieu Ar⁺¹⁶ ; s’enfoncer dans l’atome c’est l’objet d’un autre travaille)

L’important c’est que ce modèle est devenu compréhensible. La stratégie est


claire de point de vue ondes électromagnétiques et ondes de pesanteur et
leurs interventions dans la formation de particules. De point de vue tactique il
faut bien utiliser les lois de la physique (Coulomb, Newton, et les autres…).

§§)) Donc une chose importante l’atome ne contient pas de protons elle est
formé seulement des neutrons.

§§) Si on enlève les  nucléons de la couche périphérique ; et on laisse dans


leur place leurs électrons (les derniers électrons dans la construction de
neutron ; 1 ou 2 électrons). On va se trouver avec le modèle des couches
électroniques ; on peut appliquer les anciens méthodes de calcules. Un noyau
avec une couche électronique périphérique. Mais avec des corrections Ex : le
nombre Z pour nous ne dépasse pas 8 ; sauf dans l’ionisation forcé (électricité ;
ionisation des gaz…); on tombe sur les mêmes états. Un noyau petit devant le
cortège électronique mais pendant les liaisons. Tant mieux il faut rester en
accord avec les expériences scientifiques. On peut introduire les forces de
chaque Truck parce que leur poids est différent.

L’étude des particules notamment l’atome et les liaisons chimiques ; a


commencer avec les microbes il y a des milliards d’années. Pour cette période
Européenne ; on dit que les grecs disent que l’atome est incassable. Les
premiers aspects de l’atome ont commencés avec Lavoisier ; puis
Mendeleïev (ajout de 2 unités pour passer d’un atome à l’autre) ; puis les
couches atomiques (d’où le tableau périodique). La première théorie est celle
de Rutherford : la forme planétaire de l’atome (et autres Pauli…); un noyau et
des orbites électroniques. Bohr continue cette théorie par un travaille math. Il
a introduit le quantum et le nombre n des couches excitées. La découverte de
neutron ; de la radioactivité. Puis les théories des liaisons : Pauli ; Wiles et les
autres ; en fin apparition des calcules : la fonction d’onde de Schrödinger ;
128

Pauling (électronégativité) ; le potentiel d’ionisation ; le potentiel


d’oxydoréduction…

Les liaisons entre atomes

Pour commencer il ne faut pas faire confiance totale dans la méthode de


calcule par équations de degré d’oxydation. On peut trouver des tableaux
assez sûr car il est utile pour nous de savoir tous les degrés d’oxydation de tous
les éléments avec précision. Ex : quelle est le degré de N dans HNO₃ alors que
nous avons deux variables connues (O = -2 ; et et H=+1 ; vous voyer on ne peut
pas utiliser H = -1 car il y a un seul hydrogène) ; et 3 modèles de ce corps. Les
dessins en haut. Le dessin de droite nous indique que les têtes des Trucks ; se
polarisent et chaque pole contient un électron positif ou négatif ; Se sont les
électrons qui entrent dans la relation chimique entre éléments. Un truck peut
être un neutron ou plusieurs ; comme celui qui est en noir composé de 7
neutrons. Dans le même dessin un schéma d’un atome qui est représenté par
3 nucléons ; les deux sur le passage d’une couche à l’autre sont de même signe
mais entre eux une différence de potentiel (ddp). Important pour nous.
129

Nous allons voir comment arrivent les liaisons chimiques en fonction de


modèle que nous avons expliqué qui est en acore avec tous les données
scientifiques ; les dessins en haut. Le premier dessin est celui de He ; il
intervient avec deux + (+2) ; il y a 4 neutrons donc deux pour une liaison et
deux pour l’autre ; le He se comporte comme un élément avec deux Trucks. On
va comprendre ne presser pas. On passe au deuxième élément le Li (lithium) ;
nous somme sur la deuxième couche avec 3 neutrons (le lithium Li=7 ; +1) ;
mais comme le He avait deux Trucks ; un Trucks est maintenant a quatre
neutrons c’est le plus grand ; c’est lui qui est complet donc c’est lui qui va
donner les électrons de liaison notamment le +1. On continue le dessin 3 ; le
Be (Béryllium masse 9 ; +2) deux Trucks apparaissent de même poids et les
plus forts ; donc se sont eux qui vont donnés les électrons pour les deux
liaisons +2. (Il y a des traits rouges devant chaque Truck ; peut-être vous aller
penser que c’est une nouvelle organisation ; j’ai expliqué plusieurs fois qu’est
ce que les Trucks). On continue le Bohr (B = 10,8≈11 ; +3) ; 3 Trucks forts et
complets ; donc 3 liaisons donneurs. Les choses sont claires il y a un début
d’une loi de fonctionnement de l’atome (liaison chimique). On continue le
carbone (C=12 ; 2 et 4) la couche est maintenant complète tous les Trucks sont
identiques ; mais combien de Trucks ? Il y a 4, devant chacun un trait rouge ;
donc le carbone fera 4 liaisons avec 4 autres atomes. Mais il ne faut pas
oublier la balance ; car le chois est en première lieu est la force de pesanteur ;
donc le carbone pourra hériter de la base de He ; et nous avons alors deux
Trucks (c’est simple deux Trucks s’associent pour donner un gros ; suivant une
base) ; donc le carbone fera deux liaisons avec deux autres atomes. On
continue l’azote (N=14 ; - 3, + 3 …) mais attention cette fois on commence une
autre couche mais par une sous-couche ; il y a 3 Trucks ne sont pas les plus
forts ; mais sont complets ; donc une liaison +3 avec 3 atomes. Un Truck le
plus grand avec un poids de 5 neutrons ; et long comme drapeau ; va changer
le monde de faite que les 3 Trucks se voient inferieurs ; il faut les compléter ;
mais les nucléons sont chères et non pas de pitié ; c’est les petits électrons qui
viennent pour les secourir et les complétés ; et sont piégés là-bas jusqu'à
nouvelle ordre. L’azote fera d’eux une liaison – 3 avec 3 autres atomes. Il y aura
d’autres interventions…. On continue l’oxygène (la grande production des
vivants il y a plus de 4 milliards d’années) ; (O=16 ; - 2) ; il reste deux Trucks des
anciens ils ne peuvent pas donner ils sont beaucoup cachés par les deux longs ;
130

ils sont des pièges pour les petits électrons qui viendrons compléter la sous-
couche (vous voyez le mot compléter reste toujours ; on fait des Trucks
électroniques !) donc l’oxygène va accepter deux électrons pour faire deux
liaisons avec deux autres atomes. Il peut utiliser une seul cachette donc – 1 
une liaison (il y a assez de travail pourquoi la première ionisation est
exothermique alors la deuxième endothermique...). On continue le fluor (F=19 ;
- 1) on constate qu’il ne reste qu’une petite place un seul neutron pour faire la
liaison – 1. Son électronégativité est la plus grande (4) ; l’électronégativité croit
de lithium vers le fluor ; donc elle est fonction de l’intervalle couche sous-
couche ; de poids et quoi d’autres ? L’espace de cachette…. On continue le
néon (Ne=20 ; 0) la sous couche est terminé. Le Ne est considéré inactif
chimiquement. Au moins pour cette période on dégage une loi : On commence
dans la sous-couche on demande les électrons. On fait la couche on est fort
le truck donne les électrons.

Remarque : le carbone en haut premier dessin presente quatre arcs rouges


qui ramasse chacun deux neutrons qui sont les tetes des Trucks. Se sont ces
Trucks qui sont resposable sur les quatres liaisons de carbone. Mais on peut
ramasser quatre neutrons (ou deux trucks) ensemble pour former en fin deux
liaisons de carbone. Le dessin 2 remarquer qu’il est différent de celui en haut à
cause de remplissage de sous-couche puis la couche. Les +2 charges de Be ne
viennent pas des Trucks identiques. Ce remplissage est lui le juste c’est
l’expérience qui le dicte ; d’où on tire la loi de remplissage des neutrons dans
l’atome (si on dessine le Be plus petit on voit que les arcs sur ses Trucks sont
presque identiques si on veut remplir la couche sans passer par la s.c. il faut
s’attendre à des isotopes). De même les deux derniers neutrons des deux
derniers dessins ne sont pas identiques. C’est le dernier dessin qui a la plus
grande probabilité d’être la bonne configuration de l’atome d’azote (N est -3
puis +4…). Donc on remplit la s.c. puis la couche.
131

Pour confirmer notre loi il faut que la deuxième période (Na ; Cl) se


comporte de la même façon que celui d’avant. Partons de néon la sous-couche
est terminé ; on ajoute 3 nucléons ; on devient le sodium (Na=23 ; +1). Dans ce
passage un Truck (7 neutrons) plus grand que tous apparaît ; c’est lui le plus
fort ; donc c’est lui qui va donner un électron pour faire une liaison ; le Na est
maintenant le frère de Li. On continue c’est le magnésium (Mg=24 ; +2) ; on a
ajouté un neutron au sodium ; deux Trucks (7neutrons chacun) les plus forts
apparaissent ; donc se sont eux qui vont faire les deux liaisons +2. Le Mg est
bien le frère de Be. On continue l’aluminium (Al=27 ; +3) ; les mêmes situations
il y a 3 Trucks forts ; donc ils vont contribuer dans les 3 liaisons +3. On continue
le silicium (Si=28 ; +4…) on voit que sa configuration est la même que le
carbone ; 4 Trucks identiques ; donc il peut faire aussi deux liaisons. On doit
être un peu souple et on comprendra par comparaison ; par analogie ; par la
raison… on continue ; le remplissage de sous-couche ; mais nous somme
maintenant sur la couche 3 ; on connaît la loi ; c’est elle le guide.

On continue ; on va remplir la sous-couche de phosphore (P=31 ; -3


…) ; il y a deux chois ; on ajoute au dessus de chaque neutron un
neutron. Mais la loi dit que nous avons déjà fait des Trucks dont la fin
sont deux neutrons ; donc maintenant il faut faire une couche dont les
132

trucks se terminent avec 3 neutrons. C’est le dessin de phosphore


numéro 2 (on ne cache rien) ; les Trucks ont augmentés de poids mais
pas de longueurs. L’important nous somme dans le cas de l’azote N on
peut avoir 3 liaisons ioniques. Pour + 5 très simple ou lieu de
l’intervention des Trucks se sont des sous-Trucks. Attention on ne
coïncide pas les chiffres ; mais c’est le comportement de l’atome d’après
les lois de la nature (la place ; le nombre d’électrons misent sur place ; les
potentiels misent en jeux ; les Trucks ou sous-Trucks disponibles…). On
continue le soufre (S=32 ; -2 …) ; ici la loi de remplissage se confirme ; si
on fait comme l’image 3 on ne change rien par rapport à l’atome de
phosphore ; donc c’est le dessin 4. Il convient bien ; deux Trucks sont élus
pour faire les deux liaisons -2. Les autres liaisons viennent des sous-
Trucks. Il y a un +6 pas de problème on sait déjà cette loi avec le He ; se
sont les Trucks de poids forts qui se sont mis en équilibre avec les autres
cachés qui contribuent par +4. On continue le chlore (Cl=35 ; - 1 …) ; il y
reste un petit coin ou le clore pourra réaliser sa liaison – 1(le dessin juste
c’est celui dont la dernière contient 3 neutrons pour chaque truck). Le Cl
fait des liaisons +7 (7 liaisons possible !) ; on voit bien que cela n’est pas
contre la loi des liaisons chimiques. Sur le dernier dessin (celui qui veut
continuer) un conique spirale de la forme Descartes (ρ=℮ puissance K.θ),
k constate fonction de rayon des neutrons ex. k=1/20… 0≤θ≤2π = l’angle
de rotation. La représentation d’Archimède est ρ=kθ).

On continue on passe au potassium (K=39 ; + 1) ; on commence un Trucks


fort (longueur = 3 ; tête = 3) il n’y a pas de plus grand que lui donc c’est le
donneur de + 1 (c’est le frère de Na et Li). On continue le calcium (Ca=40 ; + 2) ;
on ajout un seul neutron sur le K on monte le deuxième sous-truck. Nous
avons 2 s-Tr. Les plus forts se sont eux qui vont contribués au deux liaisons + 2.
On continue le scandium (Sc=45 ; + 3) ; il doit faire trois liaisons +3 c.-à-d.
133

donneur de 3 électrons ; on voit bien ceci sur le dessin ; 3 bons s-Tr forts. On
continue le titane (Ti=48 ; +4…) ; au moins 4 liaisons +4 donc le Ti donneur de 4
électrons ; il est de la famille de Si. On continue on passe au Chrome (Cr=52 ;
+5 ;+4 ;+3…). On doit entrée dans le domaine des récepteurs d’électrons ; mais
rien ne se passe. Il apparait que comme les nucléons sont sur une couche avec
3 têtes ; les Trucks les considèrent comme une partie de cette couche (comme
j’ai dit l’atome utilise beaucoup la notion de balance et pourcentage ; on a
ajoutait au début des nucléons on balance le comportement de Trucks de
donneur vers récepteur ; c.-à-d. lorsqu’on ajoute quelle est le pourcentage par
rapport à ce qui existe ? ne regardez pas le tableau périodique c’est nous qui
devons être conforme à lui ; parce qu’il est obtenue par expérience). Pour ce
qui est de +5 et +6 ... c’est normale n’oublier pas qu’on utilise une fois les
Trucks, une autre fois les s-Tr. On continue on passe au cobalt dessin en bas
(Co=60 ; -1 ; +4…) ; regardez le dessin en bas ; il ne lui reste que deux nucléons
pour compéter la sous-couche ; donc le poids intervient et le cobalt utilise ce
lieu comme piège pour un électron (l’atome est sensible mais sous des
conditions). On continue une autre sous-couche (le deuxième dessin en bas) ;
on ajoute nucléon sur l’autre ; si comme la sous-couche d’avant n’existe pas
(elle est recopiée sur la première ; question de place et de rabattage ; la
couche avec 3 têtes ; le rabattage était très fort ; latéralement et dans la
profondeur. Souvenez vous de la de rabattage qui somme les forces en
fonction de la masse de tous les neutrons de la couche).

Depuis le Cu (cuivre) jusqu'à Ge (germanium ; frère de Si) les choses suivent


la loi des donneurs comme sur la couche Na-Ne. Puis la balance avec l’arsenic
(As=75 ; -3 ; …) c’est le frère de N ; P. Il va contribuer par la réception de -3
électrons ; 3 liaisons ; les choses continues la progression dans leurs lois. On
continue le sélénium (Se=79 ; c’est le frère de soufre et de l’oxygène ; nous
aurons donc un -2 ; deux liaisons comme l’oxygène (la cachette de 2 s-Tr. ;
attention voir en haut même un nucléon est un Tr. ; ou s-Tr.); puis
134

l’intervention par groupement de Tr. et s-Tru. si possible. On passe au brome


en bas (Br=80 ; -1 ; +1 ; +5 ; +7) c’est le frère de Cl et F (les plus électronégatifs
avec l’oxygène…les lois fond la différence ; d’où les molécules puis la vie). C’est
normale premièrement la liaison -1 ; il existe ; puis les autres. On continue le
Krypton (Kr=84 ; 0) le gaz rare ; nous somme devant une sous-couche
complète. Pas de problème tous marche bien. L’atome dévoile les lois de sa
formation dont on va profiter un jour. Si vous avez compris vous pouvez
continuer ; faites vous dessins ; il y a beaucoup pour ce document.

Ah il reste l’argon (Ar=40 ; 0) c’est un gaz rare ; il présente une exception.


Pour nous le gaz rare sur cette couche est de masse atomique = 36 ; la place de
Cl=36 ; dernier dessin en haut ; alors qu’il est 40. C’est que cette sous-couche
s’est fermée avec 4 nucléons de plus pourquoi ? Répondez sans moi ? i y avait
la réponse en haut. C’est le rabattage qui est sur cette s-couche. Très violent (la
tête avec 3) ; ce qui a laisser une ouverture donc le gaz rare ne peut se former ;
si la porte était fermé nous aurions peut avoir le Ar=36 même si des molécules
de Cl=36 existe aussi ; le cas de Ca=40 ; et Ar=40 et même le K=40 ; les isotopes
une affaire simple après. Il est difficile pour nous de voir tous les vérités de la
matière ; des exceptions comme celle-ci et voila nous somme riche. Les portes
doivent être fermées si vous voulez dormir tranquille. Après on constate qu’il
y a d’autres facteurs qui interviennent dans cette construction.
135

On est arrivé au Krypton sans problème ; on passe pour remplir sur la s-


couche de Cuivre donc c’est le Rubidium (Rb=85 ; +1…) le dessin de gauche ; le
nucléon noir avec le nucléon de cuivre ils forment une corne sur la couche dont
la tête = 2 neutrons ; il est bon de voir ces cornes sur ce dessin et possible de
se familiariser avec. On voit après sur le dessin c’est marqué Zn en noir ; c’est la
place de Strontium (Sr=87 ; +2…). Mais l’important c’est que cette période de
Rubidium (Rb) jusqu’au Xénon (Xe) ; est la même que la période entre le
Calcium (K) et le Krypton (Kr). Il va se passer les mêmes réactions on change
seulement le poids des Trucks ; possible le rabattage… on fait le tour on arrive à
l’argent (Ag=108 ; +1) ; mais c’est important de voir quelqu’uns : le cadmium
(Cd=112 ; +2) ; l’indium (In=115 ;+1 ;+2 ;+3)…. On continue on remplit de
nouveau jusqu’ a le Xe. Mais le dessin ne répond pas a une loi principale de
remplissage c’est que le gaz rare (ici le Xe) doit être à la fin d’une couche ou
d’une sous-couche. Donc le deuxième dessin en haut est faut ; en effet il y a
d’autres façons de remplissage qui respectent les lois chimiques de l’atome. J’ai
trouvé 2 ; laquelle est bonne ? On va voire.

Ex. le remplissage suivant : couche 1 He(4) / Couche2 : 4+8=12 le carbone /


s.Couche.3 ; 4+8+8=20 le néon / s.C.4 ; 4+8+8+8=28 ; le silicium / Couche.5 :
4+8+8+8+8=36 c’est le Chlore ou l’argon (Ar=40 ; Anomalie) / s.Couche.6 :
4+8+24+24=60 (dessin 1 en haut) : c’est le Ni et le Cu / Couche.7 :
4+8+24+24+24=4+8+24+48=84 c’est le Krypton Kr (dessin 2) / Couche.8 :
4+8+24+48+48=132 c’est xénon Xe (dessin 3) / s.Couche.9 :
4+8+24+48+48+48=180 c’est le tantale Ta (dessin 4) / on passe au dessin 1 en
bas c’est la couche 10 ; on rencontre le gaz rare le radon Rn222 ; il lui reste 6
neutrons pour arriver à la fin de la couche. Cette porte est fermée ou
ouverte ? Parce que nous somme déjà sur le dernier sous-Truck ; c’est le bon
remplissage.
136

Si on considère le nombre des neutrons des têtes des couches ou s.c.; on peut
dizenier ce remplissage comme suit : 1 ; 2 (deuxième couche avec 2 têtes) ; 3
(troisième couche avec 3 têtes)… c-à-d 1 ;2 ;3 ;2 ;1 ;2. Remarquez la cinquième
couche avec la tête=1 donc elle est faible par rapport au autres. On peut faire
un petit logicielle qui combine les chiffres de 1 jusqu’a 4 et à chaque
combinaison on associé un dessin. On cherche les dessins satisfaisants à tous
les éléments. Mais on peut faire aussi un logicielle très fort qui tient compte de
tous les variables qui touchent l’atome : variables de masses de forces de
positions de distances vitesses…et lui correspondre une image. Une sorte de
fonction d’onde mais cette dernière utilise l’énergie de formation mc².

Sur la photo (en haut) de droite le remplissage suit la combinaison


1 ;2 ;3 ;1 ;3 ;1. (Les deux dessins respectent la position des gaz rares Kr ; Xe).
Mais le remplissage de deuxième dessin rejette la position de gaz rare Rn(222) ;
18 neutrons loin de sa position à la fin d’une couche ou s.-c. (Il n’est pas bon
pour nous, le choix c’est le dessin de gauche).

Nous avons rencontré une anomalie avec Ar ; puis les choses sont revenues à la
normale. Ces exceptions confirment une théorie ; ils nous poussent à trouver
d’autres lois ou variables qui gèrent la formation de l’atome. Je veux rester sur
le faite que les gaz rares sont la cause des retours isotropes autour de noyau.
Donc quand il y a une anomalie comme celle de Ar ; c’est que en ce lieu de
remplissage il y a étalage c-à-d pas de retour des lignes de champ ; donc une
ouverture à travers laquelle l’atome pourra faire une réaction chimique avec
les autres atomes (le Cl).
137

Le dessin 1 ; un atome ; une partie rouge c’est le remplissage d’un sous-
Truck ; les demi-arcs sont des lignes de duvets mais aussi le nombre 8 des s-Tr
d’un atome. Le dessin 2 ; si le remplissage était suivant des cercles
concentriques ; la place de thallium (Tl) aura était avec le Radon (Rn en rouge) ;
mais comme elle suit un spirale (les neutrons noirs) ; donc le Tl loin de lieu de
Rn ; il y a une plage orange à remplir (en face d’elle il n y aura pas de lignes de
retour). Mais comme le rabattage se fait sur toute la circonférence de l’atome ;
cette plage pourra ne pas avoir lieu. Le dessin 3 ; au fur et à mesure qu’on
remplit une couche ; les derniers neutrons forment une digue avec la couche
précédente (les doubles flèches rouges). C’est ce digue qui déforme le cortège
photonique ; donc un facteur d’étalage (un autre facteur la concentration des
lignes de retours par des électrons ; ou les lignes de duvets…). Le dessin 4 ; les
points rouges sont des lieux des lignes de champs de retours ; normalement
elles suivent une circonférence (ou spirale) ; mais la digue fait quelles sautent
ce lieu les flèches vertes (pas de retour en ce lieu, etalage).

En fin (mais ce n’est pas la fin en effet c’est un petit début) l’atome baigne
dans un champ de pesanteur (duvets) ; il est recouverte des lignes d’un champ
électromagnétique les retours ; vous saviez à l’interieur des neutrons. De faite
que la plus grande force est celle de la pesanteur ; on ne doit pas négliger celle
des ondes ele.mag. (pensé à la diffraction et la force entre les aimants…).

On ne doit pas différencie beaucoup entre les liaisons ioniques et covalentes


et même les autres. Juste savoir ou existe la différence. Wiles lui-même a
déduit la liaison par la mise en commun des électrons ; à partir des réactions
ioniques notamment l’électrolyse parce que de la on tire des données justes
par mesure électrique… La science est une construction par des matériaux
justes. Pour nous une liaison chimique ne peut pas être directement sur un
neutron. Ex : dans HCl (ou NaCl..) qui dans une solution aqueuse donne H⁺Cl⁻;
l’atome d’hydrogène a perdu un électron qui migre vers le Cl qui a gagné cette
138

électron, dans leurs liaison il y a toujours deux électrons en commun ;


Covalente ou ionique sur les retours de l’atome.

Les isotopes

Les électrons β⁺ ou β⁻ ou même la capture se sont des électrons rapides


(ceux des réactions chimiques sont lents). Nous avons conclus qu’ils sortent des
neutrons ; mais un β sorte de centre de neutron l’autre sorte de la périphérie
de neutron. C’est le truck qui change dans ces réactions ; son changement
change la distribution de l’étalage ; donc la façon avec laquelle l’atome réagie
chimiquement avec les autres atomes (il y a un remplissage qui intervient qui
ne suit pas la loi générale ex. dans les cyclotrons, on peut dire que c’est un
remplissage forcé, mais revenir au début de la formation des atomes dans les
étoiles c’est un autre travail). Nous avons parlés en haut sur le remplissage
d’une couche ; mais avant il faut remplir sa sous-couche ; les deux atomes
d’azote en haut leurs deux derniers neutrons n’ont pas la même position ; dans
le premier on remplie la s.-c. , puis on complète la couche ; cela veut dire qu’un
neutron était sur un Truck passe sur l’autre. C’est vrai et les traits qui
réunissent les neutrons en profondeurs (sur les dessins) ne sont qu’indicatifs de
correspondance de remplissage entre couches et s.couche. (la courbure des
lignes de duvets d’un Truck embrassent les neutrons au moment de passage
pour la formation d’un autre atome ; c’est le rabattage). Chaque Truck est
propre de son atome. C-à-d pour former un atome on passe par un isotope
(mais la différence d’un électron sur un Truck pourra être sentit pour basculé
d’un isotope à son atome, la distance entre les neutrons au moment de
remplissage…). Si le remplissage des couches sans passer par les s.c. existe
pour quelques atomes comme pour le béryllium en haut ; il peu être la cause
des isotopes. Lorsque le principe sera assimiler ; on intégrera des mots avec ce
qui existe ; ex. on a un spectre de raies qui est étalé sur les fréquences telles et
telles ; on revient à Bohr on comprend que nous avons fait un étalage suivant
139

des directions xy de l’atome ; alors que l’étalage chimique se fait suivant un


angle α de même plan x.y (la fréquence varie peu).

Critique des particules standard


Je me demande comment des électrons très petits très loin de noyau vont
faire des liaisons entre atome (théorie des orbitales électroniques) ; on dit qu’il
y a une force entre les électrons et les protons positifs de l’atome.

**** ces deux photos viennent de CNRS le premier c’est le modèle de


l’atome actuelle (le noyau au centre avec des électrons périphériques très loin).
Le deuxième est le centrosome; un travaille de la nature ; je n’ai pas à vous dire
sauf que les points blancs c’est un exemple des neutrons sur les Trucks.

Considerons la theorie actuelle des orbitales atomiques ; chaque groupe


d’électrons se trouve sur un cercle de rayon Ri ; sur le premier dessin ; un
atome avec 3 orbitales (3 niveaux ; 3 couches) ; chaque électron est relié au
noyau par une force électrostatique (q.q’/4πεr²) ; une force de Newton
(G.m.m’/r²) ; et d’autres forces comme centrifuge… les traits de liaisons sont
140

bien visibles. Quand l’atome augmente ; le nombre des électrons augmente ; si


on peut les arrangés sur leurs couches : a) on n’a pas de place sur le noyau.
Même si les protons doivent être sur la surface de noyau en face les électrons
équivalents. b) les électrons sont négatifs et isotropes ; il y aura des forces de
répulsion entre eux. c) les champs des électrons vont faire de l’atome une
grande charge négatif égale la somme de tous les électrons. Ce qui va donner
le deuxième dessin ; avec un disque extérieur rouge négatif. Donc un tel
atome n’existe pas. Pour l’atome de Bohr le seul cas étudier ; les niveaux
existent mais les électrons ne tournent pas autour de l’atome ; a) ils ne
peuvent pas faire de liaison parce qu’ils tournent ! b) il n’y a pas d’image
comment les électrons contribuent aux liaisons entre atomes… on passe au
troisième dessin on peut imaginer un atome avec de tel orbitale électronique.
Mais les électrons sont reliés entre eux ; pôle + avec pole négatif, donc il faut
accepter que l’électron soit bipolaire (il reste la force de newton) ; et le noyau
est formé des neutrons. En plus pendant la liaison il faut un ou deux électrons
qui interviennent pour chaque orbite, Le problème de centrage de noyau… ce
modèle aussi a peu de chance d’existé. Le quatrième dessin est la forme de
l’atome étant donner l’influence de remplissage de la couche. L’avant dernier
dessin est un modèle orbitale électronique qui accepte la fixation des électrons
sur des retours de l’atome. Donc nous avons le premier cas ; plusieurs orbitales
sur une même surface ; comme la surface de globe terrestre les électrons sont
sur des lieux géodésiques caractéristiques ; équateur ; les lignes horizontales…
de tel modèle possède des électrons bipolaires ; un noyau formé par des
neutrons. Mais tôt ou tard les électrons passent vers le pole positif de l’atome.
Donc l’atome sera une grande charge négative. Ce n’est pas bon aussi.
Conclusion l’atome avec des orbitales électroniques est très improbable.

Le denier dessin considérons un électron sort de l’atome en gauche et suit le


chemin rouge la flèche. Il se trouve devant un élément conducteur dl qui est
parcourue par un courant I. considérons que l’élément conducteur dl contient
un trou ou va pénétré l’électron (le champs E dont la force sur n électrons est
F=n.e.E perpendiculaire a la surface ; et le champs magnétique B dont la force
sur un électron de vitesse v est F=e(v∆B)]). Alors lorsque l’électron va
pénétrer l’élément conducteur, quelle direction va suivre ? L’électron est
chargé négativement donc il va suivre le sens contraire de courant. Mais notre
électron est une sphère (dans la théorie orbitale) de quelle coté est sa charge ?
141

Donc on ne connaitra jamais le sens que l’électron va prendre. Alors que si


l’électron est une particule bipolaire (+ et -) c’est le pôle négatif qui va absorber
les photons des courant (donc le sens de parcoure de cet électron), et le pole
positif est très court. C’est ce qui se passe toujours c’est la loi de la circulation
des électrons dans un champ électromagnétique. Pourquoi il faut passer par un
topo ; car en ne se rend pas compte de ce qu’on fait.

Une loi : Une particule ne peut pas être d’une charge seule
parce que son émission est continue donc elle va se fatiguer,
s’épuiser, et mourir en fin très vite. Le retour retourne tous l’énergie
émis vers la particule à elle-même ; lui donne une relation par des
chocs élastiques ; donc une vie très longue. Pendant l’émission
Rayleigh ou Thomson ou amplification laser… il y a une source
d’énergie extérieure.
Pas de mouvement pas de vie aussi pour les particules. Ce qui favorise des
chocs d’excitations, d’où des réactions chimiques dans divers sens. Mais
depuis la naissance de l’univers il y a aussi beaucoup de champs qui favorisent
l’existence d’une charge avec deux pôles, l’un a une portance plus grande que
l’autre (ou principale) lorsqu’elle se trouve dans un autre champ. Autrement il
va mourir.

Critique de notre modèle

Une critique que je peu attendre de beaucoup ; c’est les retours. Surtout
que dans l’atome il y a deux sortes de retours. De point de vue science les
champs électromagnétiques sont formés par deux champs de base : le champ
électrique ; et le champ magnétique qui est un champ conservatif ; le flux de ce
champ à travers une surface fermée est nul = à 0 (∫∫B.ds=0). Donc si on admet
que les particules sont bipolaires il y a toujours un champ de retour qui est le
142

champ magnétique ; autrement il n’est pas conservatif (voir les équations de


Maxwell) ; on voit le premier dessin représente un dipôle avec deux électrons
un positif l’autre négatif ; c’est aussi une antenne isotrope ; son lobe sphérique
c’est le retour pour les deux électrons qui forment un dipôle. Le deuxième
point est la forme de l’atome en générale ; évidement mes dessins sont un peu
exagérés ; mais pour bien expliquer. Le dessin 2 est un atome dans un champ
faible mais comme même il déforme son cortège photonique. L’atome à la
forme d’un cyclone ; très p’tit (dessin au milieu). Il y a plusieurs états excités ou
l’atome se présente comme mes dessins. Troisième point la part de
l’intervention de champ de pesanteur dans les liaisons chimiques n’est pas très
clair ; comme par exemple les liaisons à l’intérieur des métaux. Ce travail est
fait pour expliquer le topo des particules ; le coté chimique c’est pour être
d’acore avec la science (d’ailleurs pour les métaux il faut intervenir la
cristallographie le magnétisme ; la résistance des matériaux pour convertir ses
contraintes en forces électrostatiques… Donc savoir la part des forces de
pesanteur). Quatrième point de Tritium.

On peut me critiquer sur la façon avec laquelle les atomes font leurs
liaisons. Je ne suis pas en contradiction avec ce qui coule dans la science mais
j’ai essayé d’unifier un peu les choses. Pour comment ; ex. les dessins dessus
aucun ni juste sauf le dernier dessin, mais possible il y a d’autres
combinaisons.

Est-il possible que les deux atomes d’hydrogène peuvent se reliées entre
eux par leurs pôles dessin en haut à gauche. A droite une molécule d’oxygène
les deux pôles d’un atome ne sont pas en équilibre ; il y a plus de retour sur l’un
143

que sur l’autre. Il faut donc rejoindre les deux pôles de la molécule par d’autres
retours comme sur la molécule d’eau. Les schémas d’en haut montre que les
lignes de retour entre les deux atomes d’oxygènes donnent une force plus
grande aux liaisons chimiques ; mais la liaison ne fait pas de barrière élastique
entre les deux noyaux ; ce qui condamne cette liaison. Il faut faire ce que vous
croyez possible dans ce modèle. Quand on passe à Van Der Wales on trouve
qu’il y a beaucoup de possibilités de formes de liaisons. L’angle entre les
atomes d’hydrogènes dans la molécule d’eau est de 105°. Si on croit l’existence
de HзO⁺ l’indice de pH : Comme le H⁺ présente sa polarité positif vers
l’extérieur, donc il est relier a la molécule d’eau par son pole négatif (dessin
avant dernier ; lui aussi n’est pas juste).

Expérience de Rutherford
L’expérience de Rutherford à était faite sur une feuille d’or ; donc un cristal ;
donc des molécules (des atomes liées). C’est une image claire sur la petitesse
de noyau ; mais le cortège électronique est venue avec les liaisons entre atome
d’Au. Alors que la passerelle des He²⁺ vient d’étalage des retours. Dans le cas
ou l’atome est stable ; le rayon minimum de retour est 3 fois le rayon de
noyau. Pourquoi tellement de vide pour laisser passer les atomes de He⁺⁺ ;
donc c’est bien l’affaire des retours entre les atomes de Au. De point de vue
pratique cette expérience doit être vue en topo sur toues ses cotés ; car le He²⁺
est un atome comment il passe tranquille dans les molécules d’or ? Et par ou il
passe ; et combien d’espace est vide par rapport au constituons de liaisons…

Le coquillage son allongement est dû à un champ très puissant. Ce qui a fait


déshabiller le noyau, sous cette forme possible il est facile d’ajouter un électron
ou un nucléon au noyau On peut ne pas croire ; mais l’uranium notamment la
fission en 2 atomes (ex. Ba + Kr) confirme cela car pendant la division de
144

l’atome une des atomes est une sorte de longue bague ; donc il passe dans le
stade de ce coquillage. Au milieu une force suivant la ligne hélicoïdale de
l’atome qui est la résultante de 2 forces (B1 et B2). Est ce que ces forces,
peuvent être la cause d’un allongement. Est-ce qu’on peut les amplifiés, pour
extraire les duvets ; et l’employer dans la radioactivité ? À droite une plante
donne une image de l’atome.

Bon pour ne pas aller loin, nous avons des données de la science : les
électrons, les β⁻,β⁺, les nucléons , des réactions nucléaires, les neutrons n ,
rayonnement alpha (ou expulsion d’un atome d’hélium par un autre atome),
rayonnement gamma, la radioactivité de l’uranium 235 et le plutonium 239
(désintégration spontané le résultat beaucoup des atomes radioactifs avec des
demi-vie variables ex : Sr 3,8°/∘.Y 2,3°/∘.Zr 9,9°/∘.Nb 4,7°/∘. Cu 4°/∘. Te 1,2°/∘.
I 0,6°/. Ba 4°/∘. La 4°/∘. Ce 10,1°/∘…) où l’atome se divise presque en deux, la
notion de thermique ou rapide, des réactions de fission, par émission, par
capture, par absorption, par diffusion…

Remarque: lorsqu’on dit n (neutron) → p (proton) + e⁻ c’est faut car le


proton est un neutron sur lequel est collé un électron positif. Et d’ailleurs cela
est confirmer lorsqu’on dit p→n+e⁺  (β⁺). Donc c’est le neutron qui donne le
e⁺ ; autrement pourquoi il donne le e⁻ ? Car on peut écrire n→e⁺+p⁻. Pourquoi
il n’y a pas de proton négatif ? c’est une coupure rapide sur une particule
neutre (le neutron) qui donne eux particules neutres ; un neutron dont la
masse est inferieure d’un electron, et un electron neutre aussi, mais à cause de
champs elec.mag. cet electron devient negatif. Dans : Po(210)→Pb(206)
+⁴₂He(4n) + 5,4MeV. Co(60)→Ni(60)+β⁻+ un neutrino(ν). Il y a émission de β⁻
mais on n’a jamais vue les 28 protons. Vous aller me dire qu’on aboutit a un
Nikel. Aussi on n‘est pas sure que le Nikel a 28 proton ce qu’on connaît c’est les
protons de liaisons chimique qui ne dépassent pas 8. Vous allez me dire que a
chaque neutron correspond un proton ; on a déjà critiqué cela.

On continue des révisions utiles :


P(30)→Si(30)+β⁺+ν. Capture Be(7)+e(-,k)→Li(7)+ν

He(4)+Be(9)→C(12)+n. n + B(10)→Li(7)+He(4)

Reactions de Bethe
145

n(1)+n(1)→D(2n) + β⁺+ δ. D(2)+n(1)→He(3)+δ. He(3)+H(3)→He(4)+2n(1).

Autre exemples avec les anciens protons :


U(235,92)+n(1,0)→U*(236,92)+Cs(139,55)+Rb(95,35)+2n(1,0).

U(238,x)+n→U(239,92)→Np(239,92)→2β⁻+Pu(239,94). U(235,x)
+n→U(236,x)→Cs(139,55)+Rb(95,37)+2n.

U(235,x)+n→U(236,x)→Kr(91,36)+Ba(142,56)+3n.

He(3,2)+He(4,2)→Be(7,4).

U(238,92)→Th(234,90)+He(4,2). Cs(137,55)→Ba(137,56)+β⁻. Le thorium 4 fois


plus que l’uranium. Le Th(232,90) période 14 milliards d’années, c’est un
élément fertile : Th(232,90)+n→Th(233,90)→Putanium Pa(233,91)+β⁻+ν→
U(233)+β⁻+ν le U(233,x) est fissible. Th(232,x)+2n donne aussi
Ra(224,x)→Rn(220,x) +α… O(14,8)→N(14,7)+β⁺. Hg(201,80)+β⁻→Au(201,79).

Bombardement de l’Al par les rayons α (historique Marie curie et…)


Al(27,13)+He(4,2)→n+P(30,15)→Si(30,14)+β⁺.

Fusion contrôlée D+D→ T+H +4MeV, D+D→He(3,x)+n+3,3MeV, D+T→He(4,x)


+n+17,5MeV, D(1,1)+He(3,2)→ He(4,2)+n+β⁻+18,3MeV.

Critère de Lawson : D+T sous 10e7 Kelvin et y=10e14 particule/cm³.s. D+D sous
5.10e8 Kelvin, y=10e15 particule/cm³.s.

100Kg de déchet d’un réacteur donne 700g de neptunium (237,x) + n→


Pu(238,x) qui est utilisé sous l’oxyde PuO₂, dans les voyages vers les planètes
froides. 1g d’hydrogène… (fusion)→3,6.10 e11j. 1g Uranium
(fission)→8,0.10e10j. 1g de radon(α)→2,0.10e9j.
146

Inutile de nier la forme en spiralo-hélicoïde. Le cyclone en haut avec son


trou au milieu, et son œil de monstre. La sèche avec ses 8 sous-Trucks ; les
deux longues sont les électrons responsables sur les liaisons chimiques.

La charge électron et proton

On voit l’électron petit mais avec des ailles très grandes. Le champ
E entre par son pole négatif ce qui lui permet une rotation puis un
avancement suivant le sens de la vitesse v. ceci sous une force f1.
L’électron positif est rare parce que petit dans un champ il est
obliger de faire parachute. Alors le proton est très lourd il est
toujours cocon donc neutron, possible à la surface de soleil ou les
champs sont très forts il existe. Aussi une fois un électron se fixe sur un
atome ; des lignes de retour vont les rejoignent ; une petite partie de retour,
et l’électron positif est en étalage.

L’électronégativité et le potentiels de Nernst… peuvent être utilisé


pour voir le comportement de l’atome d’où un visage plus clair de
l’atome.

Le deutérium tritium hélium 2 et 3


147

Nous avons pris une décision que la forme spiralo-hélicoïdale est la forme
de l’atome ou toute autre particule. Mais avant cette conclusion j’avais oublié
le rôle de la pesanteur. Jai essaye de vérifier des formes comme les 3 nucléons
sur un plan sous forme de triangle ou de papillon. Mais le résultat était
négatif ; des réactions d’adition de deutérium et de tritium ou He₃ ; ne sont
pas possible surtout sur un plan. Ex. H₂⁴ hélium pourra être comme un
losange avec deux pôles négatifs et deux pôles positifs à gauche. Ou
seulement avec un pole positif et l’autre négatif (il faut respecter la
circulation de champ entre les pôles), ou même circulaire…

Des réactions comme hélium (He⁴)+2n→A⁶x. On constate que ceci ne peut


être la forme de l’atome. Car l’atome a une forme sphérique applatie plus tôt
comme un œuf. 6 nucléons sur un même plan même en respectant les lois de
retour… c’est impossible. Jai pensé bon qu’on peut plier ces nucléons les uns
sur les autres le schéma à gauche, mais on perd tous ce qu’on connait sur
l’atome ; ni pôles bien d’érigés ni forme petite avec un cortège photonique
assez grand… comme vous voyez le pliage des nucléons les un sur les autres
ce n’est pas la réalité de l’atome. Ces formes peuvent être une façon pour la
formation des molécules, mais pas les liaisons entre neutron, donc on retourne
a la forme principale spiralo-hélicoïdale.

L’atome avec un étage ou plusieurs ?

Remarquer sur le schéma de droite en haut que l’atome est formé


de 3 hélicoïdes, qui sont reliés par un retour, mais deux sont reliés
par un autre retour différent vert. À gauche les lignes de champs sont
en rouge et l’atome est formé de 3 étages donc de 3 parties
différentiées. Les particules composons sont sur les lignes noires. Les
148

2 étages supérieurs sont reliés par d’autres lignes de champs. On


peut croire que ceci normale car les deux parties sont grosses.
Malgré cette apparence assez logique. L’atome est très fragile, il y a
beaucoup de lignes de champs qui circulent entre les étages donc
une force extérieure et même intérieure de liaison faible. Nous avons
déjà fait des lois comme quoi ceci conduira à plusieurs atomes (la
diffraction de champs guide ; il faut une association unique de point
de vue vitesse et champ de pesanteur…)

Le dopage il y a des électrons qui passent d’un atome a l’autre


disant ce que nous avons expliqués en haut : les récepteurs et les
donneurs sont fonction de l’électronégativité de l’élément ; donc de
la place de Trucks sur la couche ; et de son étalage…

En bas une expérience qui veut utiliser l’orientation d’une charge en


vitesse dans champ ele.mag. puis la collision avec une cible.
L’expérience veut utiliser des collisions avec des éléments chargés
qu’on tourne sur eux même…

Qu’est ce qu’on peut dire de neutron thermique est ce qu’ils entre a


l’intérieur de l’atome par son pole le plus large, puis casse et détruit l’atome en
son centre (U235). Et les neutrons rapides heurtent l’atome sans rejoindre le
pôle. U(238)+n→U(239)→Np(239)→2β⁻+Pu(239). U(235,x)
+n→U(236,x)→Cs(139,x)+Rb(95,x)+2n. U(235,x)+n→U(236,x)→Kr(91,x)
+Ba(142,x)+3n.
149

La particule ? Une particule débute comme chapeau chinois pour


pouvoir continuer son existence. Mais comme sa forme est toujours une sorte
de tourbillon ou turbine ou ventilateur… le champ aspirer d’un coté sort de
l’autre. Il y a intervention de champ de pesanteur et les champs
électromagnétiques. On peut dire que l’échange d’énergie par exemple d’une
particule cocon se fait par choc ce qui donne une énergie cinétique de
translation ; alors que d’autres formes de chocs tangent… donnent a l’atome
(ou électron ou nucléon) une énergie de rotation donc une énergie de
formation ce qui est responsable sur la production de la lumière ; le laser…

Quand les masses sont devenus assez grandes la formation des grandes
particules c’est accéléré a l’intérieur des grandes masses (je crois que des
atomes dont la masse est très grande se forment en continue dans le soleil,
mais se désintègrent au moment des explosions de manteau et ne reste que
ceux qu’on connait sur terre).

Et lorsqu’on parle d’une particule cocon par son noyau et ces retours on peut
conclure que la particule est presque sphérique aplatie. Sauf dans les cas
d’excitation. La forme des œufs est la dernière des formes bien visible
qui décrit la particule. Merci pour les oiseaux et poules.

REMARQUE : l’existence des Trucks et sous trucks est une preuve que les
quarks existent aussi, étant donner la même façon de construire les neutrons
et l’atome. En haut il y avait beaucoup des mots scientifiques qu’il fallait
rejeter, ils ne sont accepter que parce que ils ont une importance considérable.
Ex. la mise en commun, la sous couche… je connais qu’un des quarks est
beauté ; je crois que ce non n’a pas était choisie par hasard, mais il y a derrière
une image , comme par exemple beauté→botar c.-à-d. elle saute après un choc
comme un ballon. On peut voir aussi la lettre B car tous les lettres arabes latins
et les mots chinois sont des chef-d’œuvres.

UN PEU de l’INFINIMENT GRAND (IG)


Dans les années 80 une partie dit que l’univers est infinie, mais sans donner
de preuves pour ça ; ceci a cause de l’autre partie qui dit : que l’univers est finie
150

mais il est en extension (HUBBLE), et comme Hubble avait une part importante
dans l’astronomie, il était difficile de dire autre chose. Mois dans la compagne ;
je regarde la nuit le ciel en pensant au milliards et milliard des étoiles , qui
expulsent a leur extérieur des milliards et milliards de tonnes de photons ,
ajouter a cela que dans ce temps (même si l’univers vue par les télescopes était
limité) , on connaissait déjà l’existence des milliards et milliards de galaxies ; je
conclue :

@ Que toute cette énergie veut dire qu’il n’y a pas de vide et les photons
voyagent très loin !

@ J’ai posé la question suivante ; pour quoi ces gens veulent qu’il y ait ici de la
matière et pas ailleurs ? Et c’est idiot de dire qu’il y a seulement les galaxies
qu’on voit.

Mais avec le temps la distance vue par les télescopes augmentait, et chaque
année on ajoute quelque milliers d’ANNÉE-LUMIÈRE. Alors la majorité des
scientifiques se sont mis tous d’acore que l’UNIVERS est INFINIE, cela a conduit
automatiquement que son DEBUT est aussi infinie Pour nous le vide au qu’il
nous nous somme habitué, était le vide de la chimie et thermodynamique (un
lieu vide des atomes), alors que les ondes électromagnétiques existent par
tous, donc il n y a pas de vide et la preuve les ondes de la pesanteur.

1 la galaxie de sombrero ; image 2 une galaxie spirale M51 ; voir d’autres galaxies en bas.

Mais dans ce travail on dit que la matière commence par zéro (0) (les
minosses compris) ; donc l’univers n’existait pas un certain moment. Il était
quoi donc ? Rien de rien un zéro par exemple. Mais dehors de ce rien de rien il
y avait quoi (deux choses !)? Ce n’est pas bette parce que, s’il c’est explosé
après ; il doit y avoir une place ou il va s’étendre. La question comme avant
c’est quoi cette place ? C’est l’univers lui-même donc il était déjà infini. Bon si
on considère que les éléments de la matière (toutes les particules petites ou
grandes ; trous noirs…) ; le zéro est un élément ; donc le moment ou il n’y avait
151

pas l’univers ; il y a un infinie de temps existe aussi, parce que zéro est aussi
un élément de groupe des particules de la matière. Donc l’univers à toujours
existait ; et le temps T pendant qu’il était égale à zéro égale à zéro (0) ; est T=0.
Ceci preuve bien que l’âge de l’univers est infinie.

Pour ne pas tomber dans l’ambiguïté : la théorie de Hubble ; veut dire


extension de la matière c-à-d formation continue des particules et galaxies… la
théorie de Big-bang veut dire que la matière a un début. Je démontre par
l’élément zero ; que T=0, donc ce début égale à zéro.

La pression de la lumière sur le soleil :


Le Soleil est une étoile de 1 392 000 km de diamètre (109 fois le diamètre de
la terre), considérons que cela est de 2.10 E6 Km. Comme la vitesse de la
lumière est de 3.10E8m/s c-a-d 3.10E5Km/s, si on regarde les images d’en bat,
les jets de plasma plus les ondes électromagnétiques arrivent à une distance
de 2 fois le diamètre de soleil et ceci pendant un demi de seconde (1/2 s) c-a-
d que ces jets ont une vitesse de 2*2.10 E6*2Km/s=6.10E6Km/s alors que la
vitesse de la lumière est de 3.10E5Km/s (vous allez dire comment le télescope a
vue ces ondes alors que leur vitesse est supérieur à celle de la lumière ? l’image
vient dans le ciel elle est captée alors que le phénomène dans le soleil était
déjà terminé). 

Nous somme devant une histoire nouvelle : la constante vitesse de la


lumière est variable ! Elle est possible fonction de la pression d’un plasma
donné, ou la pression de l’onde électromagnétique ; donc la densité des
photons. Nous avons déjà conclus que la vitesse des photons vient de la
vitesse de rotation des électrons. La vitesse de la lumière vient de la rotation
des photons dans les électrons alors que la vitesse de jet solaire en bas vient
d’une pression sur un fluide.
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Les deux images en haut sont des videos on peut les cherchés sur internet.

On mesure sur terre la pression de la lumière sur une surface unitaire ; et


aussi la densité des radiations lumineux. Avec un petit calcule en fonction de la
distance au soleil on peut déduire la densité des radiations sur la surface de
soleil ; elle est énorme. Donc si la vitesse des jets de lumière sur le soleil
dépasse la vitesse de la lumière c’est une chose normale et elle doit être.
Comme les duvets pénètrent dans le soleil ; ce fluide devient un certain
moment ; de la lumière ; des éléments naturelles ; des électrons ; des
neutrinos… mais on sait déjà que la matière accompagne ces jets ; il y a même
de Fe ; O ; Au ; H ; D ; U… et même des éléments très lourds (les taches noires).
La lumière est un produit de ces éléments.

Dans un revue de vulgarisation sciences et Vie c’est écrit la chose suivante :


En 1998 après avoir mis en évidence un sursaut gamma, on observa dans les
semaines suivantes l’explosion très violente d’une supernova (la SN1998 )
dans la galaxie spirale ESQ184-G82 ( possible il veut dire en face de la galaxie
ESQ1… c.-à-d. que le supernova existe dans notre galaxie ). Pourquoi le sursaut
gamma, et après la lumière ? Est ce que vous avez entendu l’explosion ?

Ceci pour vous dire le petit point ce qui est devenue ; puis en fin la
troisième photo.

Mais pour nous on peut conclure que la vitesse des duvets est plus
grande que la vitesse des photons pour 2 choses : 1)) à cause des lois que nous
avons vue et autres de la nature. 2)) à cause des frottements qui sont
proportionnelles à la surface de la particule.

IL Y A L’APESANTEUR ?
L’araignée ne veut pas qu’on s’approche des lieux des supernovas, aussi vers
des galaxies qui peuvent nous touchées par leur explosion (par ce qu’il y a des
153

super-galaxies) qui sont un ensemble de galaxies qu’on peut rencontrer dans


le future…

La machine en couleur crée des jets de lumières ou nucléons hélicoïdaux


inclinés. Au lieu de V un milieu sans duvets, dans ce lieu il y a l’apesanteur ;
on peut lancer les fusés facilement par exemple (des rêves !). il y a une idée
qui est une analogie avec l’aimantation de la matière : un aimant permanent
est un ordre des électrons en circulation à l’intérieur de la masse (ex : Fe3O4
…), ce qui donne en fin l’aimant comme une grosse particule, pourquoi ne pas
faire la même chose avec les Devès qui ont une réaction avec les photons, c.-à-
d. de construire une masse de photons par réflexion, ou autre chose, et
d’obtenir en fin une sorte d’aimant des Devès; et manipuler cette aimant c’est
manipuler l’apesanteur (des rêves !). Mais avons de penser à cette histoire il
faut faire des expériences sur les rayons X et les rayons gamma, et voir leur
influences de point de vue pesanteur sur les corps, c’est plus intéressant.
Vous aller me dire, produire les rayons gamma c’est détruire le monde, on peut
toujours faire comme les réactions contrôlées…

Il y a la mort des particules, leur vitesse diminue en rotation autour d’eux, et


autour d’une orbite, mais ceci comme on sait demande des milliards d’années.
Donc il y a les duvets comme une nourriture qui rafraîchie la vie d’une
particule.

1))) le faite qu’un électron s’éloigne de son orbite rencontre un nuage


électromagnétique et même des duvets… ce qui le fait gagner de l’énergie, il
retombe une autre fois sur son orbite !

2))) comme l’univers contient de l’éther, ou un monde ou les éléments sont


pratiquement zéro (0), donc beaucoup des champs. Une fois un minosses c’est
formé, un désordre coupe ce champs infinie ; ce qui conduit à un photon…

3)) donc le commencement de la matière ce n’est pas de l’énergie (pas de la


matière) mais un désordre, on ne doit pas avoir peur d’où vient toute cette
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énergie de l’univers, de rien (seulement une perturbation), on va poser la


question toujours, comment c’est arrivé ce désordre, son commencement … il
faut tourner les choses vers les MTHS, ces derniers considère 0 (zéro) un
élément ! Et d’ici on peut croire que quelque chose à commencer de zéro.

Par constatation des galaxies j’ai conclus qu’il y a un cycle dans la


vie des galaxies : Les galaxies commence irrégulières ; je n’ai pas de photo
(pensez à Sagittaire).

Puis la deuxième étape elles deviennent, des galaxies spirales (dessus à


gauche), ou en serpent. Puis elliptiques comme la galaxie de Sombréro (au
milieu à droite), ou Andromède. Puis elles deviennent des gros trous noirs ou
des galaxies sphériques dessous. Puis la galaxie s’explose de nouveau elle
devient irrégulière... 

**** à droite le grand trou noir au centre de notre galaxie. Il y a 3 ou 4


aussi grande avec lui. Photo à droite (internet) Il y a des régions au centre ou
la vitesse angulaire est fixe (ω = ω₀ en bleu) ; puis, la vitesse suit la loi de
newton. Mais d’autres rotations sont rigides !

Regardez les galaxies spirales le mouvement des parties extérieures ne suit


pas toujours la loi de Newton ; la cause c’est le mouvement des Devès qui sont
obligés de suivre les masses. On tombe sur les mouvements des nucléons dans
l’atome. BONNE Santé.
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