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Cette méthode nécessite plus de temps par itération que celle de Gauss-Seidel, alors
qu'elle ne demande que quelques itérations même pour les grands réseaux. Par conséquent,
cette méthode permet de réduire fortement le temps d’exécution du calcul de l’écoulement de
puissant surtout pour les grands réseaux. Par contre, elle nécessite une très grande mémoire de
stockage.
En appliquant le théorème de Kirchhoff dans les quatre jeux de barre, on obtient les équations
suivantes :
𝒏
𝑰𝒊 = 𝒀𝒊𝒊𝑽𝒊 + ∑𝒎=𝟏
𝒎≠𝟏
𝒀𝒊𝒎𝑽𝒎 (3.76)
Et on a aussi :
𝑷𝒊−𝑸𝒊
𝑰𝒊 = 𝑽𝒊٭
(3.78)
𝒏
𝑷𝒊−𝒋𝑸𝒊
𝑽𝒊٭
= 𝒀𝒊𝒊𝑽𝒊 + ∑𝒎=𝟏
𝒎≠𝟏
𝒀𝒊𝒎𝑽𝒎 (3.79)
Alors :
𝒏
𝑷𝒊−𝒋𝑸𝒊
𝒀𝒊𝒊𝑽𝒊 = − ∑𝒎=𝟏
𝒎≠𝒊
𝒀𝒊𝒎𝑽𝒎 (3.80)
𝑽𝒊٭
𝒏
𝟏 𝑷𝒊−𝒋𝑸𝒊
𝑽𝒊 = 𝒀𝒊𝒊 [ − ∑𝒎=𝟏
𝒎≠𝟏
𝒀𝒊𝒎𝑽𝒎] (3.81)
𝑽𝒊٭
Avec les mêmes étapes qu’avec les équations de tensions, on parvient aux équations
des puissances actives et réactives comme suit :
𝒏
𝑷𝒊−𝒋𝑸𝒊
= 𝒀𝒊𝒊𝑽𝒊 + ∑𝒎=𝟏
𝒎≠𝟏
𝒀𝒊𝒎𝑽𝒎 (3.82)
𝑽𝒊٭
𝒏
𝑷𝒊 − 𝒋𝑸𝒊 = 𝑽𝒊 𝒊𝑽𝒊𝒊𝒀[ ٭+ ∑𝒎=𝟏
𝒎≠𝟏
𝒀𝒊𝒎𝑽𝒎] (3.83)
Où :
𝑽𝒊 = |𝑽𝒊|└𝜹𝒊 (3.86)
Et donc on aura :
𝒏
𝒎=𝟏
𝑷𝒊 − 𝒋𝑸𝒊 = |𝑽𝒊|²|𝒀𝒊𝒊|└𝜽𝒊𝒊+ ∑𝒎≠𝟏|𝒀𝒊𝒎||𝑽𝒊||𝑽𝒎| └𝜽𝒊𝒎 + 𝜹𝒎 − 𝜹𝒊 (3.87)
Et finalement :
Où :
Donc on aura :
On a aussi :
D’où :
On a l’équation (3.98) :
Où :
Elle est basée sur la détermination de la tangente à la courbe f(x) en chaque point
(𝑥 (𝑘) , 𝑓(𝑥 (𝑘) )). L'intersection de cette tangente avec l'axe des x fournit le point étant une
approximation de l'erreur commise sur x à l'itération (k).
Les expressions des puissances actives et réactives de chaque nœud i du réseau peuvent se
mettre sous la forme ci-dessous :
n : Nombre de nœuds.
i : Numéro du nœud.
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii (3.104)
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii (3.105)
∆𝑃
A partir de la relation de [ ] avec :
∆𝑄
∆𝜹(𝟎) (𝟎) −𝟏 ∆𝑷
(𝟎)
[ ] = [𝑱 ] [ ] (3.110)
∆|𝑽|(𝟎) ∆𝑸(𝟎)
On rappelle que :
𝜹𝒊(𝒌+𝟏) 𝜹(𝒌) ∆𝜹
[ (𝒌+𝟏) ] = [ (𝒌) ]+[ ] (3.113)
|𝑽| |𝑽| ∆|𝑽|
∆𝑷 ∆𝜹
[ ] = [𝑱] [ ] (3.115)
∆𝑸 ∆|𝑽|
Avec :
𝑱₁ 𝑱₂
𝑱=[ ] (3.116)
𝑱₃ 𝑱₄
Sous matrice J1 :
𝝏𝑷𝒊
= −|𝒀𝒊𝒎||𝑽𝒊||𝑽𝒎| 𝒔𝒊𝒏(𝜹𝒎 − 𝜹𝒊 + 𝜽𝒊𝒎), 𝒊 ≠ 𝒎 (3.117)
𝝏𝜹𝒊
𝝏𝑷𝒊
= ∑𝒏𝒎=𝟏|𝒀𝒊𝒎||𝑽𝒊||𝑽𝒎| 𝒔𝒊𝒏(𝜹𝒎 − 𝜹𝒊 + 𝜽𝒊𝒎), 𝒊 = 𝒎 (3.118)
𝝏𝜹𝒊
𝒊≠𝒎
Sous matrice J2 :
𝝏𝑷𝒊
= |𝒀𝒊𝒎||𝑽𝒎|𝒄𝒐𝒔(𝜹𝒎 − 𝜹𝒊 + 𝜽𝒊𝒎), 𝒊 ≠ 𝒎 (3.119)
𝝏|𝑽𝒊|
𝝏𝑷𝒊
= 𝟐 |𝒀𝒊𝒎||𝑽𝒎|𝒄𝒐𝒔(𝜽𝒊𝒎) + ∑𝒏𝒎=𝟏|𝒀𝒊𝒎||𝑽𝒎| 𝒄𝒐𝒔(𝜹𝒎 − 𝜹𝒊 + 𝜽𝒊𝒎) 𝒊 = 𝒎 (3.120)
𝝏|𝑽𝒊|
𝒊≠𝒎
Sous matrice J3 :
𝝏𝑸𝒊
= −|𝒀𝒊𝒎||𝑽𝒎||𝑽𝒊|𝒄𝒐𝒔(𝜹𝒎 − 𝜹𝒊 + 𝜽𝒊𝒎), 𝒊 ≠ 𝒎 (3.121)
𝝏𝜹𝒊
𝝏𝑸𝒊
= ∑𝒏𝒎=𝟏|𝒀𝒊𝒎||𝑽𝒎||𝑽𝒊| 𝒄𝒐𝒔(𝜹𝒎 − 𝜹𝒊 + 𝜽𝒊𝒎), 𝒊 = 𝒎 (3.122)
𝝏𝜹𝒊
𝒊≠𝒎
Sous matrice J4 :
𝝏𝑷𝒊
= − |𝑽𝒊𝒎||𝑽𝒎|𝒔𝒊𝒏(𝜹𝒎 − 𝜹𝒊 + 𝜽𝒊𝒎), 𝒊 ≠ 𝒎 (3.123)
𝝏|𝑽𝒊|
𝝏𝑸𝒊
= − ∑𝒏𝒎=𝟏|𝒀𝒊𝒎||𝑽𝒎| 𝒔𝒊𝒏(𝜹𝒎 − 𝜹𝒊 + 𝜽𝒊𝒎) − 𝟐|𝒀𝒊𝒎||𝑽𝒊| 𝐬𝐢𝐧(𝜽𝒊𝒎) , 𝒊 = 𝒎 (3.124)
𝝏|𝑽𝒊|
𝒊≠𝒎
On obtient :