Sie sind auf Seite 1von 22

Université Cheikh Anta Diop

ÉCOLE SUPÉRIEURE POLYTECHNIQUE


DÉPARTEMENT DE GÉNIE CIVIL

COURS DE GÉOTECHNIQUE
RAPPORT DE TRAVAUX PRATIQUES

Laborantins
Ndeye Diodio NDIAYE
Binetou THIAM
Fatoumata Binetou THIARE
Sokhna Seynabou SY

Professeurs : Mr DIEDHIOU
Mme Ndeye Maguette Fall
SOMMAIRE :

INTRODUCTION GÉNÉRALE

A. ÉQUIVALENCE SABLE

B. LIMITE D’ATTERBERG

C. ESSAI AU BLEU DE MÉTHYLÈNE

D. ESSAI PROCTOR

E. GRANULOMÉTRIE

CONCLUSION
INTRODUCTION GÉNÉRALE
La géotechnique est le domaine d’étude des propriétés physiques, mécaniques et hydrauliques
des sols en vue de leur application à la construction. En effet, cette science des sols intervient à
l’étude et à l’identification de ceux-ci pour permettre de mieux maitriser les risques et de
proposer des modèles de fondation pour le futur ouvrage à projeter. Pour ce faire, une attention
particulière doit être portée aux différents essais de laboratoire que nous allons présenter dans
ce rapport. Ceux-ci, nombreux qu’ils sont, définissent parfois des relations entre eux mais
s’opèrent de manière différente et envisage chacun un but qui lui diffère de l’autre. Ces essais
sont : l’analyse granulométrique, l’essai d’équivalent sable, l’essai au bleu de méthylène, les
limites d’ATTERBERG, l’essai Proctor.

A- ÉQUIVALENCE SABLE
Le but de cet essai est de déterminer la propreté du sable. Il consiste à séparer les particules
fines des éléments grossiers grâce à un procédé que nous expliquerons dans les lignes qui
suivent.

PRINCIPE
L'essai s’effectue sur la fraction 0/5 mm du matériau à étudier.
On lave l’échantillon et on laisse reposer le tout ; au bout de 20 mn, on mesure les éléments
suivants :
 La hauteur H1 : sable + éléments fins (floculat)
 La hauteur H2 : sable seulement
On en déduit l’équivalence sable : ES=h1/h2 * 100 (%)
Il y a deux façons de mesurer H2, soit visuellement pour
déterminer ESV (équivalent de sable à vue), soit avec un piston.
Il faudrait effectuer le mode opératoire scrupuleusement pour éviter les erreurs sur le résultat.
L’essai est effectué avec 120 g de grains.
Il faut au préalable utiliser un échantillon humide pour éviter des pertes d’éléments fins.
MATÉRIAUX UTILISES

o Éprouvettes avec deux traits repères et leur bouchon.


o Entonnoir pour introduire le sable
o Bonbonne de solution lavante avec son bouchon, le siphon et le tube
o Tube laveur métallique et une solution lavante
o Machine agitatrice
o Règle métallique pour la mesure des hauteurs des sables et floculats
o Piston

MODE OPÉRATOIRE
 Remplir les éprouvettes avec la solution lavante jusqu’au premier trait
 Verser les 120g pesés en prenant le soin d’éliminer les bulles d’air en tapotant le bas de
l’éprouvette avec la paume de la main

NB : Il faut commencer la deuxième éprouvette au bout de cinq minutes (5 min)


 Boucher les éprouvettes et les placer dans la machine agitatrice pendant 30 secondes

MACHINE AGITATRICE

 Laver et remplir les éprouvettes avec le tube plongeur jusqu’au dernier trait
 Rincer le bouchon au-dessus de l’éprouvette
 Faire descendre le tube laveur pour laver les parois intérieures de l’éprouvette
 Laver le sable en faisant descendre et remonter le tube dans la masse de sable
 Sortir le tube et fermer le robinet lorsque le liquide atteint le dernier trait puis laisser
reposer durant 20 min
 Enfin mesurer in visu les hauteurs H1 et H2
La mesure de H2 contient parfois des incertitudes ; il faut donc procéder de manière précise
à la méthode du piston.
 Descendre le piston dans le liquide à travers le floculat et l’immobiliser au contact du
sable ensuite mesurer H2’

Expressions des résultats


On calcule pour chaque éprouvette la valeur de l’équivalence sable in visu et au piston. Les
résultats sont reportés sur le tableau suivants :
Éprouvette 1 Éprouvette 2 Éprouvette 3 Éprouvette 4
H1 21.7 27 21.2 19.3
H2’ 7.6 8.3 8.6 8.9
H2 36.4% 8 7.8 8.7
ESP1 35.02% 36.79%
ESV1 40.56%
ESP2 29.63% 44.55%
ESV2 30.74% 46.11%

H2 : hauteur du sable mesurer au piston


H2’ : hauteur visuelle du sable (mesure faite avec la règle)
H1 ; hauteur du sable + floculat
ESP : équivalence sable au piston
ESV : équivalence sable visuel
Pour les éprouvettes 1 et 2 on a
ESP1+ ESP 2
ESP=
2
ESP=(ESP1+ESP2) /2 = 33%
ESV=(ESV1+ESV2) /2= 33%

ESP 3+ ESP 4
Pour les éprouvettes 3 et 4 on a ESP= 2
ESP=(ESP3+ESP4) / 2=42%
ESV=(ESV3+ESV4) / 2=43%
CONCLUSION
Le pourcentage de l’équivalence est inférieur à 60% donc la nature du sol est fine et c’est à
éviter pour l’usage dans le béton.

ÉQUIVALENCE NATURE DU SOL USAGE DANS LE


SABLE (en %) BÉTON
ES < 60 Fine À éviter
60 < ES < 70 Largement fine Béton de bonne qualité

70 < ES < 80 Propre Béton de bonne qualité


ES> 80 Très propre Défaut de plasticité du
béton

B-LA VALEUR AU BLEU


INTRODUCTION
L’essai au bleu de méthylène, encore appelé essai au bleu ou Essai à la tâche, est réalisé selon la
norme NF P 94-068 sur un matériau contenant des éléments fin . C’est un paramètre
d’identification permettant de mesurer globalement la quantité, l’activité de la fraction
argileuse contenue dans un sol ou un matériau rocheux et d’évaluer la propreté d’un sable.

1) MATÉRIELS UTILISES
 Les matériels utilisés pour effectuer essai au bleu
au laboratoire sont :
 Un chronomètre
 Une balance de précision permettant de faire
les pesées
 Une burette graduée permettant des injections
de 5 ml et 10 ml
 Un agitateur électrique
 Un bécher de 1 ou 2 litres en matière plastique
 Solution de bleu de méthylène (dosée à 10g/l)
dans un flacon
 Un papier filtre
 Une baguette de verre

2) PRINCIPE DE L’ESSAI
L’essai consiste à mesurer par dosage la quantité de bleu de méthylène pouvant s’adsorber sur
la prise d’essai.
La valeur au bleu VBS est le rapport en masse de la quantité de bleu de méthylène ramenée à
100g de la fraction 0/50 mm du sol étudié. La quantité de bleu à doser est celle qui provoque la
création d’une tache appelée auréole lorsqu’une goutte de suspension de sol dans l’eau,
mélangée au bleu de méthylène, est posée sur un papier filtre.
La valeur au bleu du sol est directement liée à la surface spécifique des particules constituant le
sol, laquelle est avant tout régie par l’importance et l’activité des minéraux argileux présents
dans la fraction fine du sol.

3) MODE OPERATOIR
Mettre dans le bécher 500mL d’eau déminéralisée ;
Puis on y ajoute 30g du sol (concentration 10g/l)
On règle l’agitateur à 700 tours/min et on le met en marche pendant 5 minutes pour bien agiter
la solution et ainsi éliminer tout conglomérat de particules d’argile en suspension ;
Après 5 minutes on diminue a 400
Ensuite on remplit l’éprouvette de bleu jusqu’à 25cm3 ;
Avant d’injecter la solution de bleu, on réduit la vitesse de l’agitateur jusqu’à 400 tours/min
pour faciliter la fixation des particules ;
Dans un premier temps il faudra procéder à des injections successives par pas de 5 à 10cm3 de
solution de bleu ;
À l’aide d’une baguette de verre au bout d’une minute faut prélever une goutte de suspension
et la déposer sur le papier filtre ;
À chaque fois que l’auréole n’apparait pas, il faudra continuer la même opération en injectant
5cm3 de la solution jusqu’à ce qu’apparaisse l’auréole bleu clair dans la zone périphérique de
la tâche. On arrête alors l’injection. L’essai est dit alors positif ;
Laisser poursuivre l’adsorption du bleu et effectuer 5 autres prélèvements de minute en minute
sans ajout de solution.
Si l’auréole bleu clair disparait avant la 5ème minute procéder alors à de nouvelles injections de
bleu avec des pas plus réduits environ 2,5cm3 jusqu’à ce que l’essai devienne positif pendant 5
minutes consécutives. Le dosage est alors terminé et l’on détermine le volume total VB de la
solution de bleu nécessaire pour atteindre l’adsorption totale.

4) ANALYSE ET INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS


massedebleu
VBS= masses è c h ed ' essai *100

masse volumique bleu∗volume bleu


VBS= masse sèche d ' essai
*100

On travaille avec un matériau sec, donc ce n’est pas la peine de déterminer la quantité d’eau
initiale.
D’où la masse sèche de la prise d’essai ms=30g
3
On a atteint la saturation après une injection de 15cm de bleu de méthylène, donc
Volume de bleu (VB)=16cm3
masse volumique de bleu=10g/l

La masse de bleu (mb) : mb= 0.016*10


mb=0.16g
mb
Alors VBS= m s ∗100

0.15
VBS= 31.13 *100͢

VBS=0,53%

SABLE SABLO-LIMONEUX LIMONO-ARGILEUX MOYENNEMENT ARGILEUX ARGILEUX TRÈS ARGILEUX

0.2 1 2.5 6 8 VBS

Le matériau utilisé à un VBS=0.53% c’est-à-dire compris entre 0,2 et 1.5, ainsi on


a un sol sablo-limoneux, sensible à l’eau
CONCLUSION
L’essai au bleu de méthylène nous a permis de faire la classification des sols selon leur nature,
leur taille, et selon leur capacité à faire circuler l’eau. C’est un essai très pratique pour la
classification des sols. L’essai permet aussi de déceler l’existence et la quantité d’argile
présente dans un échantillon. Connaissant les propriétés de l’argile, cet essai nous permet de
prendre les dispositions constructives à l’égard du matériau
C-LIMITES D’ATTERBERG :

Les limites d’Atterberg sont les teneurs en eau qui entrainent les changements d’état pour un sol
donné. Cet essai permettra de déterminer les paramètres suivants qui sont caractéristique des
différents états du sol.
WL : limite de liquidité ; WP : limite de plasticité ;
IP : indice de plasticité ; Ic : l’indice de consistance
On distingue trois états :
État solide État Plastique État Liquide
WP WL
IP
Les matériels utilisés :
 Échantillon de sol passant au tamis 400 μm
 1 coupole de cassagnarde

 Plaque de verre
 Une étuve
 Une balance électronique
 Pétris
 2 spatules
 Des tares
1) PRINCIPE DE L’ESSAI
On réalise l’essai en utilisant les passant au tamis 400m car c’est la dimension avec laquelle on
peut avoir un changement d’état du sol.
 On pèse en certaine masse d’un échantillon de sol fin environ 200g (passant au tamis
400 de diamètre auquel on ajoute de l’eau jusqu’à obtenir une pâte

 Humidifier l’échantillon de sol fin (200g)


 L’homogénéiser en le malaxant avec les spatules

 Ensuite étaler l’échantillon dans le bol de manière à obtenir une surface lisse
 Appliquer une rainure au milieu, séparant l’échantillon en deux parties de manière à voir
le fond du bol
 Tourner la manivelle en comptant le nombre de coup

 Récupérer l’échantillon et le peser


 Mettre l’échantillon à l’étuve et peser la masse sèche et calculer la teneur en eau
Détermination de la limite de plasticité :

 Prendre un échantillon du sol déjà malaxé


 Former des fils de 3mm de diamètre et de 10cm en faisant rouler les pattes formées à
partir de l’échantillon

 Mettre les fils dans des tares et a l’étuve

ÉTUVE
2) EXPLOITATION DES RÉSULTATS
 Après 24 heures à l’étuve un pèse les nouvelles masse (tare + sol sec) et on dresse les
tableaux suivants

NUMÉRO DE LA TARE 4 26 15 8

POIDS DE LA TARE g 39,10 40,96 40,33 39,01

POIDS TOTAL HUMIDE g 47,07 48,53 48,10 47,49

POIDS TOTAL SEC g 41,44 34,28 41,1 32,8

POIDS DE L'EAU g 0,7 0,63 0,3 0,37

POIDS DU SOL SEC g 1,56 1,4 0,81 0,94

TENEUR EN EAU % 44,87 45,00 37,04 39,36

NOMBRE DE COUPS   15,00 19,00 23,00 27,00

1- On trace à partir du premier tableau précédent la courbe de la teneur en eau en fonction


du nombre de coups (WL= f(NC)) pour déterminer la limite de liquidité

Chart Title
50.00

45.00
f(x) = − 0.61 x + 54.43

40.00
39.120

35.00

30.00

25.00
- 5.00 10.00 15.00 20.00 25.00 30.00

Linear ()

NB : on détermine la limite de liquidité WLà parti de la courbe au 25 -ème coups.


Pour la limite de plasticité on fait la moyenne entre les 2 valeurs de teneur en eau les résultats
sont présentés dans le tableau suivant :
NUMÉRO DE LA TARE n° 33 31
POIDS DE LA TARE g 38,31 40,17
POIDS TOTAL HUMIDE g 40,06 41,21
POIDS TOTAL SEC g 39,91 41,09
POIDS DE L'EAU g 0,15 0,12
POIDS DU SOL SEC g 1,60 0,92
TENEUR EN EAU % 9,38 13,04
TENEUR EN EAU MOYENNE % 11,21  

2- Ensuite on calcule l’indice de plasticité Ip qui est donner par la formule suivante et
déterminer la plasticité du sol

WL=39,120
Ip=WL−℘
Ip=39,120 - 11,21
Ip=27.91%
Vu que notre Ip est compris entre 15-40 donc on est en présence d’un sol plastique

Ip État du sol
0 < Ip <5 Le sol est non plastique
5 < Ip <15 Le sol est peut plastique
15 < Ip <40 Le sol est plastique
Ip > 40 Le sol est très plastique

CONCLUSION :
Cet essai permet ainsi de prévoir le comportement des sols pendant les opérations de
terrassement, en particulier sous l’action des variations de teneur en eau.
D-ESSAI PROCTOR

INTRODUCTION
Il existe deux types de Proctor : le Proctor normal et le Proctor modifié
- Le Proctor normal : utilisé pour les sols de remblais (barrages, digues), se fait grâce à un
moule appelé petit moule ou moule de Proctor normal qui est un tube cylindrique
métallique inoxydable de 10,15 cm de diamètre intérieur et 11,7 cm de hauteur pourvu
d’une hausse métallique et d’un fond amovible et la petite dame constitué par un mouton
de 2,49 kg dont la hauteur de chute est de 30,4 cm.
- Le Proctor modifié : pour les sols de fondation. Pour son essai on utilise un moule
appelée grand moule ou moule CBR et la grande dame.

1. Objectif de l’essai
Il a pour but de simuler l’évolution du sol au cours du compactage et de déterminer, pour une
énergie de compactage déterminée, la teneur en eau optimale (wopt) et la masse volumique sèche
maximale (ꝭdmax).
2. Principe de l’essai
L’essai Proctor consiste à compacter dans un moule standard, à l’aide d’une dame standard et
selon un processus bien déterminé, un échantillon du sol à étudier et à déterminer le teneur en
eau du sol et sa densité sèche après compactage. L’essai Proctor est répété plusieurs fois de
suite sur des échantillons portés à des teneurs en eau croissantes (2%, 6%, 8%, 10%, 12%, 14%,
16%). On détermine ainsi plusieurs points de la courbe représentative des densités sèches en
fonction des teneurs en eau. On trace alors la courbe en interpolant entre les points
expérimentaux. Elle représente un maximum dont l’abscisse est la teneur en eau optimale w opt et
l’ordonnée la densité sèche maximale ꝭdmax.

L’essai Proctor s’effectue pour deux compactages d’intensités différentes :

- Essai Proctor normal : il s’effectue en trois couches avec la petite dame, l’énergie de
compactage est de 25 coups par couche dans le moule Proctor normal.
- Essai Proctor modifié : il s’effectue en cinq couches successives avec la grande dame,
l’énergie de compactage est de 55 coups de dame dans le moule CBR.

Le choix du moule se fait suivant deux critères :

- Si Dmax < 5 mm alors on utilise le moule Proctor normal


- Si Dmax > 5 mm alors le moule CBR est requis.
-

3. Processus de l’essai

 On prend 2,5 kg de sable préalablement préparé qu’on verse dans un bac

 On ajoute une certaine quantité d’eau (2%, 6%, 8%, 10%, 12%, 14%, 16%)

proportionnelle au poids du sable utilisé.


 À l’aide de la truelle on malaxe bien le sable.
 On remplit le moule Proctor normalisé en trois couches puis après avoir versé chaque
couche on compacte avec l’aide de la petite dame en 25 coups en respectant la hauteur de
chute et en assurant une répartition équitable des coups sur la surface à compacter.

 On procède de la même manière après la mise en place de la 2ème et 3ème couche.


 Une fois le moule rempli, on arase le sable avec une règle à araser, on comble les vides
laissés à la surface.
 On retire la base du moule afin de prendre un échantillon d’à peu près 100g.

 A la balance, on évalue la masse du prélèvement puis on les faits passer à l’étuve au


moins pendant 24 heures au terme desquels on va repeser l’échantillon. Les résultats
obtenus sont inscrits dans le tableau suivant :
Eau de mouillage 6% 8% 10% 12% 14%
Eau de mouillage 150 200 250 300 350
Masse moule +sol humide 5206,5 5271,5 5284,5 5294,5 5275
Masse moule 3337,5 3337,5 3337,5 3337,5 3337,5
Masse sol humide 1869 1934 1947 1957 1937,5
Volume moule 809 809 809 809 809
Masse volumique humide 2,31 2,39 2,41 2,42 2,39

Numéro de tare 4,00 7,00 2,00 3,00 10,00


Masse tare+ sol humide 234,50 250,00 272,50 362,50 304,50
Masse tare +sol sec 223,90 235,37 221,94 310,45 270,62
Masse Eau 10,55 14,63 50,56 52,05 33,88
Masse tare 33,00 34,50 35,00 36,50 37,00
Masse sol sec 190,90 200,87 186,94 273,95 233,62
Teneur en eau moyenne (%) 5,53 7,28 27,05 19,00 14,50
Masse volumique sèche (en g/cm) 0,35 0,29 0,09 0,12 0,15

CONCLUSION
Cette expérience nous a permis de comprendre le comportement des sols selon des teneurs en
eau différentes. Ce qui nous a permis de déterminer la teneur en eau optimale et les densités sec
et humide pour atteindre le compactage maximal du sol.
CONCLUSION GÉNÉRALE

Ces différents essais nous ont permis d’identifier la nature, les paramètres d’états et l’état
hydrique du sol.
Comme essai D’identification, nous avons :
 Limites d’Atterberg : IP=27.91% sol peu plastique
 VBS= 0,53 (sol sablo-limoneux)
 L’équivalent sable : ES visuel <75% et ES <60% le sol est fin

Pour les essais d’état on a :


 Le Proctor : Wopt= 10,66% ; ɣdmax=2,26

Nous ne sommes pas en mesure de conclure d’après ces différents essais car nous avons obtenu
des échantillons provenant de différents sols ainsi il nous est impossible de relier tous ces
paramètres pour procéder à l’identification d’un unique sol

Das könnte Ihnen auch gefallen