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I-1.INTRODUCTION :
La production des énergies reste toujours un des soucis de l’homme .l’énergie
photovoltaïque est l’une des énergie renouvelables très prometteuse pour avoir un
monde propre et non pollué Elle présente l’intérêt de convertir l’énergie lumineuse en
énergie électrique et exploiter tous les spectres lumineux . Plusieurs matériaux à
caractère semi-conducteur sont utilisés dans cette conversion. Pour cela, ce premier
chapitre est consacré entièrement à une étude bibliographique sur cellules solaires.
L’idée d’utiliser les collecteurs à énergie solaire est enregistrée depuis des temps
préhistoriques où aux 212 avant JUSUS CHRIST, Archimède a conçu une méthode pour
brû ler la flotte romaine à l’aide des miroirs métalliques. Pendant le 18ème siècle, des
fours solaires capables de fondre le fer, le cuivre et d'autres métaux étaient construits.
Un four conçu par le scientifique français Antoine Lavoisier, atteint la température
remarquable de 1750 °C.
Pendant le 19ème siècle des tentatives ont été faites afin de convertir l'énergie
solaire en d'autres formes basées sur la génération de la vapeur à basse pression pour
actionner des machines à vapeur. En 1875, Mouchot a fait une avance notable dans la
conception de capteur solaire en faisant un réflecteur sous forme de cô ne court.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
qui a employé un Concentrateur pour focaliser les rayons solaires sur une chaudière de
cuivre contenant de l'eau. [2]
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
2012 puis 227 Gigawatts fin 2015 et 300 Gigawatts fin 2016. Le rythme d'installation de
puissance solaire photovoltaïque est actuellement de plus de 70 GigaWatts par an. C'est
en Asie, notamment en Chine et en Inde, que plus de la moitié des installations solaires
sont réalisées. Ci-dessous le détail des puissances solaires photovoltaïques installées
dans le monde :
L'Algérie est en 2019 le 18e producteur de pétrole, le 10e producteur de gaz naturel et le
6e exportateur de gaz naturel au monde.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
renforcement des échanges d’expertise technique, a l’examen des voies et moyens pour
l’accès aux marchés extérieurs et à la promotion commune du développement des
énergies renouvelables en Algérie et a l’international.
Pour que l'Algérie préserve les réserves énergétiques actuelles (pétrole et gaz),
le pays a opté pour le développement et l’exploitation de l'énergie solaire. Afin de
concrétiser son programme d'exploitation de l'énergie solaire, l'Algérie a chargé la
Sonelgaz de construire la centrale électrique mixte de Hassi R'Mel, mise en service en
2011 à Tilghemt dans la wilaya de Laghouat dans le sud du pays, d'une capacité de 150
mégawatts (30 MW solaire Thermodynamique + 120 MW gaz). C'est la société New
Energy Alegria (NEA), qui est chargée du secteur des énergies nouvelles et
renouvelables
Les technologies les plus répandues utilisent de l’air et de l’eau pour chauffer des
maisons, des bureaux, des usines et des immeubles d'habitations. [3]
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Le vent est une source intermittente d’énergie puisqu’il ne souffle pas toujours à la
vitesse requise pour produire de l’électricité.
C’est un principe vieux comme les moulins à vent, le vent fait tourner les palesqui
sont elles-mêmes couplées à un rotor et à une génératrice, elle fonctionne comme suit :
- L’arbre du rotor peut être fixé à un multiplicateur, qui peut accroître la vitesse, ou
encore il peut être fixé directement dans la génératrice et produire de l’électricité.
- Plus le vent souffle fort, plus on peut capter de l’énergie et plus on peut produire
de l’électricité. Si le vent est trop fort, l’éolienne s’arrêtera en se détournant
du vent et en appliquant un mécanisme de frein qui empêche les pales de tourner trop
rapidement et de s’endommager.
Il existe deux modèles de base d’éoliennes : le modèle à axe horizontal et le modèle à axe
vertical [3].
I-3.3.ÉNERGIE HYDRAULIQUE
Les centrales hydroélectriques convertissent le potentiel d’énergie de l’eau en
énergie électrique en créant une chute du dénivelé de l’eau.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
- L’eau traverse la conduite forcée sous pression jusqu’à son extrémité, où se trouve
une turbine.
- La force de l’eau fait tourner les aubes de la turbine, qui font tourner l’arbre à
l’intérieur.
I-4.LE SOLEIL
Le soleil est une étoile résultant de la condensation d’un nuage interstellaire sous
l’effet de la gravité, ce type de nuage est essentiellement composé d’hydrogène, d’hélium
et dans une moindre mesure de carbone, de l’azote et d’autre élément, l’énergie du soleil
est produite par la réaction de fusion thermonucléaire, les noyaux d’hydrogène (proton)
s’assemblent en noyaux d’hélium (2 neutrons +2 protons), cette énergie est émis par la
surface du soleil ,notamment sous forme d’ondes électromagnétique [5].
Hors atmosphère, l’énergie moyenne annuelle reçue par la terre est d’environ 5,5
KW/m2 par jour. Traversant l’atmosphère, le rayonnement solaire subit une
atténuation et une modification de son spectre, à la suite de phénomène complexe
d’absorption par les gaz de diffusion par les molécules, et d’absorption et de diffusion
par les poussiers et les aérosols.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
l’énergie solaire rayonnée dans l’espace. Une moyenne de 1367 watts atteint chaque
mètre carré du bord externe de l'atmosphère terrestre (pour une distance moyenne
terre-soleil de 150 Millions de km), c’est ce que l’on appelle la constante solaire égale à
1367W/m². La partie d'énergie reçue sur la surface de la terre dépend de l'épaisseur de
l’atmosphère à traverser. Celle-ci est caractérisée par le nombre de masse d'air AM. Le
rayonnement qui atteint le niveau de la mer à midi dans un ciel clair est de 1000 W/m2
et est décrit en tant que rayonnement de la masse d'air "1" (ou AM1). Lorsque le soleil se
déplace plus bas dans le ciel, la lumière traverse une plus grande épaisseur d'air,
perdant plus d'énergie. Puisque le soleil n'est au zénith que durant peu de temps, la
masse d'air est donc plus grande en permanence et l'énergie disponible est donc
inférieure à 1000 W/m². En résumé, la constante solaire est le flux énergétique reçu par
une surface unité. Dans notre cas, la valeur qui a été retenue en 1980 est: I0 = 1367
W/m²
• Le rayonnement direct: est un rayonnement qui est reçu directement du soleil, sans
diffusion par l'atmosphère. Ces rayons sont parallèles entre eux et peuvent être mesurés
par un pyromètre.
• Le rayonnement diffus: est constitué d’une lumière diffusée par l'atmosphère (air,
nébulosité, aérosols). Sa diffusion engendre un phénomène qui répartit un faisceau
parallèle en une multitude de faisceaux partant dans toutes les directions. Dans le ciel, ce
sont à la fois les molécules d'air, les gouttelettes d'eau (nuages) et les poussières qui
produisent cet « éclatement » des rayons du soleil. Cela dépend donc avant tout des
conditions météorologiques.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Panneau solaire
photovoltaïque
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Un panneau solaire cristallin d'1 m² pèse environ 10 kg, contre 3 à 4 fois plus pour
des tuiles. Avec l'usage de panneaux solaires en remplacement de la toiture, celle-ci en
devient allégée.
La forme la plus commune des cellules solaires sont basés sur le photovoltaïque
en vigueur en ce qui la lumière tombant sur un dispositif à deux couches semi-
conducteur produit une différence photo-voltage ou potentiel entre les couches. Cette
tension est capable de conduire un courant à travers un circuit externe et ainsi produire
une œuvre utile [15].
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
électrique circule. L’effet repose donc à la base sur les propriétés semi-conductrices du
matériau et son dopage afin d’en améliorer la conductivité
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Sur cette figure on voit que le matériau amorphe réponde mieux dans le bleu
(faibles longueurs d’onde), mais le cristallin est plus performant dans le rouge et le
proche infrarouge (700 - 1100 nm). Cette propriété explique notamment le meilleur
comportement du silicium cristallin au solier, et la préférence du silicium amorphe pour
les éclairages artificiels, plus riches en lumière bleue.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Pour les fabricants, sont toujours cherchent des solutions pour renforcer
l’absorption des différentes couleurs dans les dispositifs, c’est-à -dire en mettant les
matériaux absorbants de la lumière bleue en face avant du dispositif et les matériaux
absorbants de la lumière rouge sont mettent au cœur ou en face arrière du dispositif
(lorsqu’il s’agit de couche minces)[4].
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
La cellule amorphe, grâ ce à son gap plus élevé que le silicium cristallin, a une
tension plus élevé. Mais son courant sous fort éclairement est nettement plus faible en
raison de sa moins bonne collecte et de sa faible épaisseur.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Cette deuxième étape explique pourquoi on a dû découper des cellules plus grandes
que leur taille finale puisque cette étape consiste à décaper le silicium dans un bain de
soude. Ceci a pour but d'éliminer les défauts de structures du au sciage du silicium. De
plus l'attaque ne se fait pas de manière homogène mais se fera de manière
préférentielle au niveau des régions denses. De ce fait on verra apparaître à la surface
des pyramides sur les grains orientés <100>. Ces pyramides jouent un véritable piège à
photons, ce qui augmente le rendement.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
ambiante sous différentes structures, dont les deux extrêmes sont respectivement l’état
amorphe et l’état cristallin (monocristallin ou multicristallin).
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Dans cette technologie, le silicium est produit directement sur une plaque de
verre à partir du gaz silane SiH4. En fait, les plaques de verre sont placées dans une
enceinte chauffée où l’on fait le vide, puis du silane est injecté et décomposé par une
décharge radiofréquence; le silicium libéré se dépose alors sur les plaques.
Avec ce type de matériau peu coû teux par rapport aux autres formes de silicium, on a de
faibles rendements et des problèmes de stabilité apparaissent rapidement quand on
l’expose au soleil et aux intempéries [27].
Utilisation : l’amorphe est à privilégier quand on dispose d’une grande surface et qu’on
souhaite optimiser au maximum sa production. Ces cellules sont souvent utilisées là où
un fort échauffement des modules est à prévoir. On utilise ces panneaux le plus souvent
pour les chantiers dits « professionnels », dont la puissance excède les 3 kWc
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Les cellules de première génération sont basées sur une seule jonction p-n et
utilisent généralement le silicium sous forme cristalline comme matériau semi-
conducteur. La méthode de production basée sur les wafers de silicium est très
énergivore et donc très chère. Elle nécessite par ailleurs un silicium d'une grande pureté.
On différencie également les cellules à base de silicium monocristallin et polycristallin.
Ces dernières ont un rendement inférieur par rapport aux premières, mais ont un coû t
de fabrication moins élevé.
objectif :
par la cellule, cellules à électrons chauds produisant plus de pairs électron/trou pour
des énergies supérieures à la bande d'énergie conversion des photons pour ajuster le
spectre de la lumière solaire aux caractéristiques du semi-conducteur.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
I .9.1. AVANTAGE
Les systèmes photovoltaïques ont plusieurs avantages:
- ils peuvent être des systèmes autonomes qui fonctionnent sû rement, sans surveillance
pendant de longues périodes.
- ils peuvent être combinés avec d'autres sources d'énergie pour augmenter la fiabilité
de système.
- ils ne consomment aucun combustible fossile et leur carburant est abondant et libre.
- une haute fiabilité car l’installation ne comporte pas de pièces mobiles, ce qui la rend
particulièrement appropriée aux régions isolées, d’où son utilisation sur les engins
spatiaux.
I .9 .2. INCONVENIENTS :
- la fabrication des modules photovoltaïques relève de la haute technologie, ce qui rend
le Coû t très élevé.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Les risques liés aux constructions sont visés par le phénomène de normalisation.
C’est ainsi qu’au niveau européen, il y est expressément fait appel. L’objectif de la DPC
(Directive des Produits de la Construction) 89/106/CEE est :
- de faire circuler les produits et d’utiliser des produits libres et conformes à leur
destination, dans toute la Communauté Européenne (libre circulation des produits sur le
marché unique européen),
Pour atteindre ces objectifs, la DPC fixe des règles et s’appuie sur la définition
d’Exigences Essentielles (EE) à respecter par tout produit qui est fabriqué en vue d’être
incorporé de façon durable dans un ouvrage de construction. Ces Exigences Essentielles,
dans la mesure où elles existent pour le produit visé sont:
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
elle est une condition d’accès au marché. On se trouve comme toujours en matière
européenne dans une logique de libre circulation des marchandises et de construction
d’un marché intégré Mais il demeure une ambiguïté : le marquage CE concerne en effet
le produit et non sa mise en œuvre dans l’ouvrage, même s’il est possible que certains
aspects de ce dernier soient évalués sous l’angle des« Exigences Essentielles ». Le
mécanisme est, en outre, complexecar les Spécifications Techniques Harmonisées sont
volontaires. L’Industriel adonc le choix parmi plusieurs procédures d’évaluation de la
conformité selon le marché visé .
Dans ce domaine, comme dans d’autres, c’est parce qu’elles émanent des
professionnels intéressés eux-mêmes, compétentes et proches des difficultés pratiques
que les normes sont apparues comme les plus adaptées. On doit faire état de deux types
de normalisation : la normalisation de produit et la normalisation d’entreprise dont le
fonctionnement est très différent. En outre il existe plusieurs niveaux de normalisation :
international, européen et national.
Du point de vue des normes internationales, il existe les fameuses normes ISO. On
remarquera immédiatement que les textes de références sont très généraux et ne
concernent pas à titre principal le photovoltaïque mais le domaine plus large de la
gestion environnementale.
Il s’agit d’abord de la norme ISO 9001 : 2000(version datée de 2000 et 2008). Les
exigences y sont relatives à quatre grands domaines :
La norme ISO 14001 est en outre très utilisée dans la série des normes ISO 14000. Elle
concerne le management environnemental. Elle quantifie ce que réalise l’organisme
pour réduire au minimum les effets dommageables de ses activités sur l’environnement
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
S’agissant des onduleurs, ERDF demande que les appareils soient conformes à la norme
DIN VDE 0126 1.1 attribuée pour le compte de l’UE par un organisme certificateur allemand
VDEW. Il s’agit globalement de prescriptions techniques de conception et de
fonctionnement pour le raccordement à un réseau public de distribution d'une installation
de production d'énergie électrique
En France, le poids des normes est en outre renforcé par l’obtention de « L'Avis
Technique et le Pass' Innovation » délivrés par le CSTB11 et qui sont des démarches
volontaires mais dont les effets juridiques sont essentiels.Le CSTB, de par son statut, a une
mission de service public qui est de contribuer à la qualité et la sécurité durables de la
construction (article L 142-1 du code de la construction et de l’habitation). Le Pass'
Innovation est une prestation qui a été créée par le CSTB, afin de donner aux innovateurs
une bonne appréciation de leurs atouts et du chemin leur restant à parcourir pour passer de
l’innovation à la mise sur le marché à grande échelle. Il est distinct des procédures
d’évaluation techniques traditionnelles (Avis Technique, Appréciation Technique
d’Expérimentation essentiellement) et fonctionne comme un précurseur de la démarche
d’avis technique.
Il s’agit d’une prestation d’information destinée à fournir aux divers intervenants de l’acte
de construire une opinion autorisée sur le comportement prévisible des ouvrages réalisés à
l’aide des produits et procédés concernés et ce, de manière à permettre à ces intervenants
de prendre leurs décisions et leurs responsabilités en pleine connaissance de cause. Il
n’opère donc aucun transfert de responsabilité.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Il s’applique à des produits et des procédés mis sur le marché pour répondre aux enjeux du
Grenelle de l’environnement qui n’ont pas encore fait l’objet d’un retour d’expérience
suffisant pour faire l’objet d’un avis technique, et donc au photovoltaïque
En générale Les panneaux solaires sont régis par les normes NF-CEI 61215 et NF-
CEI 61646. Ces normes peuvent être renforcées par des certificats tels que CSTBat, Solar
Keymark ou O Soaire. Ces normes sont des normes de test matériel et vont varier selon
quelles concernent les panneaux solaires photovoltaïques ou les panneaux solaires
thermique.
Pour les panneaux solaires photovoltaïques, ce sont les normes NF-CEI 61215 (pour les
modules photovoltaïques ou silicium cristallin) et NF-CEI 61646 (pour las panneaux à
couches minces) qui vont s’appliquer.
Les panneaux solaires thermiques sont quand à eux régis par les trois certifications
majeurs CSTbat, OSolaire et Solar Keymark.
CSTbat délivrée par CSTB cette certification s’applique aux modules solaires thermiques.
O Solaire créée et délivrée par les industriels du solaire, cette certification concerne
particulièrement les chauffe-eau solaire individuels et les systèmes de production d’au
chaude.
UTE C18-510 Novembre 1988 (mise à jour 2004) : Recueil d'instructions générales de
sécurité d'ordre électrique.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
UTE C15-400 Juillet 2005 Installations électriques à basse tension - Guide pratique -
Raccordement des générateurs d'énergie électrique dans les installations alimentées par
un réseau public de distribution
Décret n° 88-1056 du 14 novembre 1988 pris pour l'exécution des dispositions du livre
II du code du travail (titre III: Hygiène, sécurité et conditions du travail) en ce qui
concerne la protection des travailleurs dans les établissements qui mettent en oeuvre
des courants électriques.
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
IEC 61723 : Guide de sécurité pour les systèmes PV raccordés au réseau montés sur les
bâ timents.
CEI 60364-7-712:2002 Mai 2002 Installations électriques des bâ timents - Partie 7-712 :
règles pour les installations et emplacements spéciaux - Alimentations photovoltaïques
solaires (PV)
GUIDE EDF/ARD (2003) : Accès au réseau basse tension pour les installations
photovoltaïques – conditions techniques et contractuelles de raccordement.
UTE C15-105 Juillet 2003 : Installations électriques à basse tension - Guide pratique -
Détermination des sections de conducteurs et choix des dispositifs de protection -
Méthodes pratiques
ISO/TR 10217:1989
Énergie solaire — Système de production d'eau chaude — Guide pour le choix de matériaux
vis-à-vis de la corrosion interne
ISO 9059:1990 :
ISO 9808:1990
ISO 9845-1:1992 :
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
ISO 9847:1992
ISO 9459-1:1993
ISO 9459-2:1995
ISO 9553:1997
É nergie solaire — Méthodes d'essai des joints préformés en caoutchouc et des composés
pour l'étanchéité utilisés dans les capteurs
ISO 15387:2005
ISO 9459-5:2007
ISO 9459-4:2013
ISO 22975-3:2014
ISO 22975-1:2016
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
ISO 22975-2:2016
ISO 9806:2017
ISO 9060:2018
ISO/CD 9845-1
ISO 22975-5:2019
Conclusion :
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CHAPITRE I :ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
Dans ce chapitre nous avons présentés des généralités sur les systèmes
Photovoltaïques. Nous avons brièvement décrit les cellules solaires les plus
couramment utilisées.
Nous avons ensuite présentés les différents types des siliciums et des
cellules de systèmes solaires photovoltaïques, à savoir les avantages et les
inconvénients d’un module solaire. Et à la fin les principales normes que gèrent
les installations des panneaux solaire
Bref l’objectif de tout ça est savoir que l’énergie solaire est utilisée dans
les domaines de l’électricité et que le moyen le plus important de le dériver est
les panneaux solaire et que c’est la dernière méthode dans ces dernières
années et parce qu’elle n’est pas nocive pour l’environnement
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