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1.1 Introduction
Tout d’abord
Le volume de circulation
Les types de véhicules
La composition du flot de véhicules
Les piétons
La vitesse
La sécurité
Ensuite
Le type de sol
L’utilisation du sol environnant
Le climat
L’esthétique
Les facteurs sociologiques
Les préférences du public
L’étude des volumes de circulation permet une bonne conception des routes.
Elle sert aussi à la classification des routes selon leur importance, à la planification
routières, à la réglementation, à la signalisation et à la recherche.
1.4 Vocabulaire
Dans le domaine de l'étude des trafics, il est nécessaire de fixer les définitions des
termes couramment employés :
Ils permettent un comptage continu, mais les informations sont moins précises, ces
compteurs peuvent ê tre des câ bles pneumatique qui enregistrent à chaque passage d’un
vé hicule les impulsions d’air qu’il provoque sur le tube pneumatique installé en travers de
la chaussé e et raccordé à l’appareil, des cellules photoélectriques, des radars, etc.
La durée des périodes des comptages dépend du type d’information désirée, du taux de
variation des phénomènes et de la précision souhaitée.
Ils sont souvent utilisés pour quantifier les mouvements directionnels au droit d’un
carrefour.
L’apparition d’un nouveau trafic appelé trafic induit lors de la mise en service d’une
amélioration routière a maintes fois été observée. Le trafic induit apparaît dans sa quasi-
totalité au cours des premières années de mise en service et essentiellement sur le trafic des
voitures particulières (VP).
1
D’après le guide des études de trafic interurbain – Guide méthodologique, SETRA, France, 1992 .
L d0 32
RTI vp=
50
×( ( )
d
−1)
Pour pouvoir effectuer des comparaisons, les véhicules sont agrèges selon 2 variables,
TV (tous véhicules) TV = P1+P2+P3+P4+P5+P6
Les volumes de circulation varient dans le temps. On peut tracer des courbes de ces
variations qu’on appelle modèle parce que qu’elles sont représentatives de toutes les
routes du même type dans une même région.
La capacité d’une route est le nombre maximal de véhicule qu’on est en droit de
s’attendre à voir circuler dans une section donnée, dans une direction et pendant une
période de temps bien définie(en générale ¼ d’heure).
La capacité dépend :
Des distances de sécurité (ce qui intègre le temps de réaction des conducteurs
variables d’une route à l’autre) ;
Le type d’usagers habitués ou non à l’itinéraire ;
Des conditions météorologiques ;
Des caractéristiques géométriques de la route.
1
Q= UVP
n
1
12
n %
Qadm = K1 .K2 .C
Qadm = débit horaire maximal accepté par voie, compte tenu du niveau de service visé
c = capacité effective (théorique) par voie, en u.v.p. qu’un profil en travers peut
écouler en régime stable.
Environnement K1
E1 : facile 0,75
E2 : moyen 0,85
E3 : Difficile 0,90-0,95
Tableau II.4 : les valeurs du coefficient K2
K2 Catégorie de la route
1 2 3 4 5
Environnemen E1 : facile 1,00 1,00 1,00 1,00 1,00
E2 : moyen 0,99 0,99 0,99 0,98 0,98
t
E3 : Difficile 0,91 0,95 0,97 0,98 0,98
Route C
02 voies de 3,50m 1500 à 2000 uvp/h
03 voies de 3,50m 2400 à 3200 uvp/h
A chaussée séparées 1500 à 1800 uvp/h/sens
6.2 - Nombre de voies du profil en travers
Q ≤Q adm
Q
Cas d’une chaussée bidirectionnelle N=
Q adm
Q
Cas d’une chaussée unidirectionnelle N=s ×
Q adm
• En rase campagne
• En terrain plat
• Sans carrefours
• Avec une répartition du trafic 60/40 pour les voies bidirectionnelles
Tableau II.7 : Capacité des routes en UVP/ Heure Suivant la largeur de la chaussée et les
dégagements latéraux