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REGLES PROFESSIONNELLES
Ouvrages en béton
confectionné avec du granulat recomposé,
béton de bâtiment,
pour chantier de catégorie A ou B,
de résistance ≤ C25/30
SOMMAIRE
I. AVANT PROPOS
II. REGLES PROFESSIONNELLES
Généralités
2.1 Elaboration du granulat recomposé
2.1.1 – Présentation
2.1.2 – Méthodes de recomposition
2.1.3 – Dispositions communes
2.1.4 – Contrôles en carrière
2.1.5 – Documents Qualités
2.2 Utilisation du granulat recomposé
2.2.1 – Réception et stockage sur chantiers
2.2.2 - Contrôles sur chantiers
2.3 Matériel de chantier
2.3.1 – Système de raclage du granulat recomposé
2.3.2 – Méthode de dosage
2.3.3 – Prise en compte de l’humidité du granulat recomposé
2.3.4 – Automate
2.3.5 – Malaxeur
2.3.6 – Stockage et transport du béton frais avant utilisation
2.3.7 – Suivi des matériels de chantiers
2.4 Composition des bétons
2.4.1 – Dosage en ciment
2.4.2 – Autres composants
2.4.3 – Compatibilité des constituants
2.5 Contrôles sur bétons
2.5.1 – Modalités
2.5.2 – Fréquences
2.5.3 – Exploitations
2.6 Documents Qualités
I. AVANT PROPOS
Cette satisfaction englobe aussi bien la mise en œuvre que le niveau des performances mécaniques ou
de la durabilité.
Cette technique éprouvée et de fiabilité dûment démontrée, est effectivement permise dans la norme
NF EN 206-1, mais limitée à la confection de bétons de classe de résistance à la compression C12/15.
Bien que les granulats recomposés répondent à la définition des graves au sens de la norme NF EN
12620, leurs caractéristiques particulières et les spécifications ci-après permettent leur utilisation pour la
confection de bétons de bâtiment dans les limites définies dans le présent document.
Par ailleurs, la note du paragraphe 5.1.1 de la norme NF EN 206-1 (elle a déjà été utilisée par la
France pour rédiger le paragraphe NA.5.2.3.2) prévoit « En l’absence de norme européenne pour un
constituant particulier, …. l’ aptitude à l’emploi peut être établie … par ………des dispositions en vigueur
là où le béton est utilisé, faisant spécifiquement référence à l’utilisation du constituant dans du béton
conforme à l’EN 206-1 ».
Sur la base de tous ces points, les Règles Professionnelles visent à faire perdurer une technique locale
du « béton avec granulat recomposé » éprouvée par l’expérience sur plusieurs décennies.
• Enfin, d’une manière plus générale, au niveau « traçabilité », ces règles prévoient des modalités
d’enregistrement à mettre en application pour pouvoir démontrer la fiabilité de la technique.
Elles s’appliquent aux Entreprises de bâtiment confectionnant elles-mêmes le béton qu’elles mettent
en œuvre sur leurs chantiers.
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II. REGLES PROFESSIONNELLES
Domaine d’application
Ces règles traitent des aspects majeurs vis-à-vis de la démonstration de la fiabilité de la technique
« granulat recomposé », à savoir :
- la méthode de recomposition en carrière,
- l’utilisation du granulat sur le chantier,
- le matériel de chantier,
- la formulation du béton,
- les contrôles du béton.
Son utilisation est réservée aux chantiers de catégorie A ou B (c.f NF DTU 21 et pour des classes
d’expositions X0, XC1 à XC4, XD1 et XF1 (c.f NF EN 206-1).
Pour tous les points qui ne sont pas traités dans le présent document, les exigences des normes NF EN
206-1, NF DTU 21 et NF EN 12620 s’appliquent.
Un Descriptif Produit doit être disponible pour le granulat recomposé. Un exemple d’une telle fiche
est proposé en annexe du présent document.
L’Entreprise doit s’approvisionner en granulats recomposés à partir d’un site ayant opté pour le
marquage CE de niveau 2+, c’est-à-dire avec validation du système de maîtrise de la production par tierce
partie.
Le ou les granulats recomposés utilisés doivent figurer dans la déclaration de conformité CE et faire
l’objet d’une étiquette CE selon EN 12620
Dans la mesure du possible, il choisira des carrières bénéficiant du droit d’usage de la marque NF-
Granulats pour des produits conformes à l’article 10 de la norme XP P 18-545.
Rappel : Le Référentiel de la marque NF-Granulats inclus l’analyse des caractéristiques des produits eux-mêmes et par conséquent
cette marque constitue une réelle présomption de qualité, contrairement au marquage qui par définition, ne concerne que
l‘examen de la cohérence du système qualité.
a) – Recomposition au chargeur
La carrière doit avoir prévue une zone de sa plate forme exclusivement affectée à cette opération de
recomposition et ce pour chaque classe de granulat recomposé.
Le chargeur utilisé doit être équipé d’un peson (vérification périodique selon dispositions explicitées
dans les Documents Qualités du producteur de granulats).
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Note : Ces systèmes ne sont pas assez précis et ne peuvent être qu’indicatifs (pour éviter les surcharges). Des
variations sensibles sont constatées au démarrage (huile des vérins froide), si le godet n’est pas complètement
immobilisé ou si le godet n’est pas levé complètement.
Les divers composants sont dosés avec alternance de manutention du sable(s) et gravillon(s), telle
qu’une première homogénéisation soit obtenue.
Exemple indicatif : Granulat 0/20 mm recomposé à partir de 3 composants (S – G1 – G2) selon les proportions
suivantes : 2 parties pour S et G2 et 1 pour G1, soit pour une séquence de 5 godets : S – G2 – G1 – S – G2.
Le mélange est réalisé par brassages successifs du chargeur, au moins 2 dans deux orientations
(perpendiculaires entre elles), avec reprise des matériaux.
Note : L’homogénéisation correcte des mélanges est impossible à faire dès lors qu’il y a plus de 2
composants. A réserver uniquement aux mélanges de 2 composants (0/4 + 4/20 par exemple) et à 50%/50%
Comme pour tout granulat, le déstockage du granulat recomposé doit être réalisé sur une aire
spécifique (sauf en cas de stockage en trémie) avec marquage (panneautage, par exemple).
Dans tous les cas les modalités de chargement des camions doivent éviter les risques de ségrégation
(limitation des hauteurs de chute par exemple).
Durant les transports, des précautions vis-à-vis des risques de ségrégation peuvent également être
nécessaires.
Les dispositions générales relatives aux reprises des matériaux (hauteur sécuritaire sous le godet)
pour éviter toute pollution s’appliquent.
La fréquence de ces vérifications est à définir selon la production. Elle peut être fixée à une mesure
pour 2500 t (ou 3500 t) de granulats recomposés, avec un minimum de un essai par mois.
Les contrôles de production doivent être réalisés selon les exigences du marquage CE et selon les fréquences
annexées au présent document.
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L’exploitation des résultats des essais du producteur de granulats est réalisée conformément au modèle
de Descriptif Produit annexé au présent document.
Dans le cadre de son marché de fourniture, l’Entreprise doit prévoir la possibilité d’avoir
communication des informations techniques en rapport avec le granulat recomposé.
De plus, une attention particulière doit être apportée par le personnel qui réceptionne le granulat
recomposé quant à l’estimation visuelle de l’homogénéité du matériau, avec en cas de doute, la possibilité de
réaliser des prélèvements aux fins d’essais (contradictoires ou non). En cas d’anomalie, des mesures sont à
prévoir (allant de la simple « réhomogénéisation » au déchargement jusqu’au refus de la fourniture).
Les modalités de déchargement doivent éviter les risques de ségrégation (limitation des hauteurs de
chute, …). Le stockage doit être conçu pour minimiser les manutentions et les déplacements de matériau.
Les contrôles de réception sont à réaliser comme en carrière, selon les conditions normalisées
(prélèvements et essais).
Les modalités de réalisation des contrôles d’absence de ségrégation sont de même nature que celles
prévues par le producteur de granulats (§ 2.1.4.1).
Rappel : Il n’est pas légitime de compter uniquement sur le malaxage du béton pour réhomogénéiser le squelette
granulaire.
En ce qui concerne les fréquences des essais, comme pour les contrôles en carrière, il convient de
prendre en compte les volumes concernés. Elle peut être fixée à une mesure pour 2500 t (ou 3500 t) de
granulats recomposés avec un minimum de un essai par mois.
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conception d’un système d’arrosage des granulats (en veillant cependant à éviter toute humidification
excessive).
La fréquence de mesure de la teneur en eau ne peut être inférieure à celle retenue pour les vérifications
de granularité.
Les principaux matériels du chantier qui ont une influence directe sur la « qualité » du béton élaboré
avec un granulat recomposé sont :
- le système de reprise du granulat recomposé (avant dosage),
- la méthode de dosage du granulat recomposé,
- la prise en compte de l’humidité du granulat recomposé,
- la fiabilité de l’automate (ou du système de pilotage de la centrale),
- le malaxage (type de matériel et durée),
- les modalités de stockage du béton frais avant utilisation,
- le transport du poste d’attente au lieu de coulage.
Les autres opérations sur chantiers (mise en œuvre, serrage, coffrages, cure, …) peuvent être
considérées comme indépendantes de la nature du granulat utilisé.
Ce bras doit être déplacé régulièrement durant les opérations de raclage afin d’éviter de creuser
ponctuellement le stock et donc d’augmenter les risques de ségrégation.
Seuls des dosages par bascules sont à même de permettre et de démontrer que la régularité de
confection de bétons est respectée. Ceci est encore plus manifeste dans le cas d’utilisation d’un granulat
recomposé
Ces bascules doivent être périodiquement contrôlées. En effet, une dérive peut ne pas être décelée
« visuellement » et avoir de fortes conséquences (surtout pour la bascule à ciment) sur la qualité du béton
frais et durci.
La démonstration du respect des dosages implique un enregistrement des pesées. Celui-ci peut être
automatique (imprimante) ou manuel (relevés des pesées effectuées).
Les critères d’appréciation des résultats retenus par l’Entreprise doivent être enregistrés dans ses
Documents Qualités.
Cette quantité d’eau peut être connue automatiquement par des sondes ou des hygromètres. Ces
matériels doivent être périodiquement vérifiés.
Les techniques de vérification de la « poêle à frire » ou du « Speedy » sont les plus usitées sur chantier.
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2.3.4 Automate (ou du système de pilotage de la centrale)
L’automate doit être à même de piloter automatiquement la fabrication du béton, du moins en ce qui
concerne d’une part, le dosage des constituants solides et des adjuvants et le cycle de gâchage/mélange d’autre
part.
Avec l’appui des informations données par les hygromètre, l’automate doit tenir compte de l’eau
amenée par le granulat recomposé.
2.3.5 Malaxeur
L’utilisation de centrale équipée d’un malaxeur (à axe horizontal ou vertical) est hautement
recommandée.
Les bétonnières sauf cas très particulier, ne peuvent être considérées comme ayant des capacités de
performances comparables à celles des malaxeurs. Si leur emploi est ponctuellement nécessaire, les
performances vis-à-vis de l’homogénéité du béton sont à démontrer par une étude spécifique.
En tout état de cause, la durée du mélange (comptée depuis la fin d’introduction de tous les
constituants jusqu’au début de vidange de la cuve) ne doit pas être inférieure à 2 minutes. Toutefois en cas de
prémalaxage, cette durée totale peut être réduite à 1 minute 30.
Comme avec les bétons confectionnés avec des granulats courants, mais avec encore plus de raisons,
les manutentions et le stockage de ces gâchées doivent être organisés pour minimiser les risques de
ségrégation et la dessiccation du béton frais.
Les dosages indiqués ci-dessous correspondent à des ciments de classe CEM II, CEM III, CEM IV et
CEM V. Dans le cas d’utilisation d’un ciment CEM I, le dosage en ciment doit être remplacé par un dosage en
liant équivalent au sens de la norme NF EN 206-1.
Les compositions et notamment les dosages en ciment doivent être fixés en fonction des critères à
respecter (voir § 2.5.3).
A partir d’expériences d’entreprises régionales utilisatrices, il est recommandé d’utiliser les dosages
suivants, volontairement plus élevés que ceux requis par le DTU 21 :
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Ces dosages s’entendent pour un béton de consistance S3 (affaissement au cône compris entre 100 et
150 mm) et un rapport Eau sur Ciment (E/C) inférieur ou égal à 0,60. Ils sont à moduler selon la classe
d’exposition et de consistance requise.
Bien entendu, comme toujours, ces valeurs doivent être validées en début de chaque chantier, par des
essais de convenance pour tenir compte des conditions réelles du chantier considéré (caractéristiques du
granulat recomposé et des autres constituants, performances du matériel de fabrication et de mise en place du
béton, ..).
Parmi ces règles, il peut être rappelé celles qui ont le plus de conséquences pratiques :
- prendre en compte les caractéristiques granulométriques et physiques (masse volumique et
absorption d’eau) du granulat recomposé,
- modulation de la consistance (passage d’un béton S3 à S4, par exemple) par l’adjuvantation (et
jamais par un ajustement du dosage en eau),
- vérification du rendement* (« un mètre cube = 1000 litres ») et la masse volumique.
(*) Bien que le béton soit utilisé par celui qui le confectionne, il est toujours utile de vérifier le rendement, au moins à la conception de la formulation,
pour éviter certaines incompréhensions entre les personnels du chantier.
Comme pour toute formulation de béton, il y a lieu de prendre en compte la compatibilité des constituants
entre eux, il conviendra donc de vérifier celle-ci, notamment du point de vue de l’alcali réaction en réalisant
un test de performance (c.f NF P 18-454)
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2.5 – Contrôles sur bétons
2.5.1 – Modalités
Les contrôles (modalités, fréquences et exploitations) des bétons aussi bien à l’état frais que sur
éprouvettes ne sont théoriquement pas conditionnés ni dans leur nature, ni dans leur fréquence, par le type de
granulat.
En conséquence, les exigences de NF EN 206-1 (tableau 24) et/ou du DTU 21 (tableau 2) sont
applicables.
Néanmoins, au moins dans un premier temps, et compte tenu du contexte de cette technique, il est
pertinent de prévoir des fréquences d’essais supérieures.
2.5.2 Fréquences,
La fréquence sur béton frais et durcis, après les investigations initiales, proposées sont :
On notera que ces fréquences sont volontairement plus élevées que celles requises par la norme NF
DTU 21.
Rappel : La mesure de la consistance du béton doit être réalisée lors de chaque prélèvement destiné à la confection
d’éprouvettes.
2.5.3 Exploitations,
Comme pour tout béton, les résultats des contrôles (matériaux, matériels bétons et pesées) doivent être
régulièrement et périodiquement exploités, afin de prendre les mesures correctives éventuellement nécessaires.
L’Entreprise qui utilise des granulats recomposés doit établir des Documents qualités comme cela est
déjà prévu pour tous ses autres chantiers.
Les points spécifiques à la notion de granulats recomposés doivent être traités dans les Documents
Qualités de l’Entreprise (Manuel et /ou Plan qualité). Comme indiqué en préambule, ils doivent permettre de
démontrer la fiabilité de la technique « granulat recomposé », et donc d’expliciter les points précédemment
développés, à savoir :
- la méthode de recomposition en carrière,
- l’utilisation du granulat sur le chantier,
- le matériel de chantier,
- le Descriptif Produit du granulat recomposé (c.f 2.1.1)
- la formulation du béton,
- les contrôles du béton.
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III. TABLEAU DE SYNTHESE
Les points retenus pour assurer la qualité des bétons confectionnés avec un granulat « recomposé »
sont explicités dans les Règles Professionnelles et sont synthétisés dans le tableau suivant :
Point concerné Dispositions à prévoir dans DQ Remarque
Granulat recomposé Descriptif Produit
Etiquettes et attestation Description dans les
Méthode recomposition Documents Qualités du
Contrôle d’homogénéité producteur de granulats
Stockage /manutentions
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ANNEXE A
EXEMPLE DE DESCRITPTIF PRODUIT GRANULAT RECOMPOSE
Partie normative
Valeurs spécifiées sur lesquelles le producteur s'engage
0.063 2 10 20 28 40 FI SE
Seuil supérieur +U 12 64 94 100 100 100 39
Seuil supérieur 11 60 90 99 100 100 35
Seuil inférieur 0 20 50 85 98 100 65
Seuil inférieur-U 0 16 46 83 97 100 59
Partie informative
Résultats de production
du 01/01/2008 ou 30/06/2008
0.063 2 10 20 28 40 FI SE
Max 5 55 87 99 100 100 18 83
Moy+1,25sf 3.3 48.0 71.8 98.9 100.0 100.0 81.8
Moy 3 42 65 98 99.9 100 15 77
Moy-1,25sf 2.8 36.0 58.3 97.1 99.8 100.0 72.3
Min 1 28 46 91 99.5 100 12 65
sf 0.2 4.8 5.4 0.7 0.1 0 3.8
nb 26 26 26 26 26 26 6 26
Caractéristiques
100 complémentaires
LA LA40
90
F F4
80 SC SC10
PO négatif
70
Seuil sup WA24 1.30%
60 2.52
% passant
ρrd
Seuil inf
S S1
50 Moy+1,25sf AS AS0,8
40 Moy C <0,06%
Moy-1,25sf
30
20
10
0
0.063 2 10 20 28 40
tamis (mm)
ANNEXE B
CARACTERISTIQUES A MESURER, CATEGORIES ET FREQUENCES
Granularité/teneur en fines
Tamis (mm) 2D 1.4D D D/2 2 mm 0.063 mm
Seuil supérieur +U 100 100 100 94 64 12
Seuil supérieur 100 100 99 90 60 11
Seuil inférieur 100 98 85 50 20 0
Seuil inférieur-U 100 97 83 46 16 0
U 0 1 2 4 4 1
Mesurer l’absorption d’eau et la masse volumique de la fraction 0/4 mm selon la norme EN 1097-6
article 9. L’absorption d’eau du sable sera notée WA24sable et la masse volumique ρrdsable.
Mesurer l’absorption d’eau et la masse volumique de la fraction 4/D selon la norme EN 1097-6
article 8. L’absorption d’eau du gravillon sera notée WA24gravillon et la masse volumique
ρrdgravillon.