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PLAN :

Introduction :

Le développement de l’économie du Maroc se base majoritairement sur le rendement des TPME


puisque celles-ci représentent 95% du tissu économique marocain selon les statistiques par le
ministère de finance. Elles sont souvent considérées comme un des facteurs indispensables à la
croissance économique et à la promotion de l’emploi et au partage des richesses. Certes, elles
nécessitent des fonds pour lancer leur activité et pour l’améliorer.
Toutefois, les moyens de financement de ces TPME sont limités, elles souffrent des complications
financières provenant du manque des fonds propres et des risques qui les accompagnent pendant
leur développement. En effet, les TPME sont éprouvées par leur asymétrie informationnelle entre
leurs dirigeants et l’établissement de financement ce qui explique le comportement caractérisé d’une
pusillanimité des banques envers le financement des entreprises de très petite et moyen dimension.
De ce fait, les TPME cherchent des instruments de financement plus adéquats en termes de gestion
de risque et de renforcement de leur liquidité.

Il faut dire que la TPME a trop longtemps été négligée par l’Etat et les gouvernements qui se sont
succédé. Pensant bien faire, les différents Ministres du commerce et de l’industrie et de
l’investissement se sont concentrés sur les grosses multinationales dont l’investissement a un impact
instantané sur l’image du Maroc à l’étranger oubliant de facto de regarder du côté des TPME, le
poumon de notre pays.
Actuellement, Le discours royal d’octobre dernier sur le Programme Intégré d’Appui et de
Financement des Entreprises, s’est traduit la semaine dernière par des engagements solennels pris
devant le Souverain, concrétisés par des actes écrits des argentiers du Maroc que sont le Ministre de
l’Économie et des Finances, le Gouverneur de Bank Al-Maghreb et le Président du GPBM.
C’est un accord de place concret des banques commerciales pour élargir le financement de
l’économie aux petits acteurs jusque-là insuffisamment considérés, qui est ainsi lancé, avec le soutien
effectif de l’État et de la Banque centrale.
La thématique adoptée pour notre travail relie les deux variables  :
C’est Quoi le programme « INTELAKA « ?
Quel est l’impact de ce Programme sur l’économie Marocain ?
Partie I : Programme « INTELAKA « 

Dans cette partie on va décrire et définir le programme « INTELAKA « Autant que c’est un programme
intégré d’appui et de financement de l’entreprenariat, il vient en exécution des Hautes Orientations
Royales concernant la facilitation de l’accès des entreprises au financement

Il s’articule autour de trois principaux axes à savoir : le financement de l’entrepreneuriat, la


coordination des actions d’appui et d’accompagnement de l’entrepreneuriat au niveau des régions et
l’inclusion financière des populations rurales.
Ce programme comporte plusieurs mesures et Avantages destinées à contenir et à dépasser les
difficultés qui entravent l’accès au financement des jeunes porteurs de projets et des très petites et
petites entreprises

Partie II : Quel impact sur l’économie marocaine ?

Dans la 2eme Partie on va décrire le rôle des intervenants pour accompagner ce programme (est
prévu d’assister les jeunes pour qu’ils puissent bien exprimer leurs projets). Le projet sera soumis aux
règles d’évaluation d'usage qui permettent de déterminer si le projet est viable ou pas (La Vigilance et
la gestion des risques « l’analyse « au fonds de dossiers).
Aussi sur L’intégration de l’économie informelle est érigée en priorité nationale et représente un des
chantiers du Plan d’Accélération Industrielle qui a pour objectif d’inciter, en plus grand nombre, les
acteurs de l’informel à faire partie d’un écosystème où ils trouveraient profit à produire de la valeur.

Un autre avantage des petites entreprises est qu’elles sont plus flexibles et possèdent une grande
capacité à prendre des risques liés aux petites innovations. Dans l’économie national en
développement, les petites entreprises ont une importance considérable en matière de création
d’emplois et de contribution à la formation du revenu, et de ce fait réduisent la pauvreté. Étant donné
leur importance dans la lutte contre le chômage et la pauvreté, les pays en développement ont
souvent pris une position favorable à l’égard des micros et petites entreprises, qui sont pourtant des
entreprises qui opèrent essentiellement dans le secteur informel.

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