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I)-INTRODUCTION :

Cette étude porte sur le réseau d’AEP de l’agglomération


d’ENNAHALA qui est confrontée actuellement comme toute zone
rurale, il a été constaté un taux de croissance de l’ordre de 3.0%.

La présente étude a pour objet le raccordement des zones rurales


de SENDJAS en eau potable, et cela dans le cadre l’AEP à partir de la
nouvelle SDEM de TENES.

II)-LE BUT DE TRAVAIL :

 Déterminer le tracé du transfert d’eau potable et en fait


le picage de la commune d’ ENNAHALA (SENDJAS) ainsi le
Dimensionnement des conduite et de tous les ouvrages
en ligne
 Alimenter les zones rurales à partir des réservoirs qui se
trouvent à la station de dessalement d’eaux de mer
(SDEM).

III)-LE PRINCIPE :

 La (SDEM) de Ténès est en cours de réalisation

 La (SDEM) c’est une station mondiale « NOUVELLE


TECHNOLOGIE »
IV)-PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE :

IV.1.)- Situation géographique :

IV.1.1)- Zones rurales de Sendjas :

Les fractions de SENDJAS à alimenter sont: ENNAHALA I et II, qui se situent


à l’ouest du Chlef lieu de la commune de SENDJAS, elles sont limitées comme
suite :

 Au nord : Hay Chorfa de la de commune de Chlef


 Au sud : CW N° : 32 et Ouled Ben Abd-Elkader
 A l’est : la commune de SENDJAS.
 A l’ouest : CW N° : 02 ET Oued Sly.
V)-SITUATION CLIMATIQUE :
La région est caractérisée par un climat méditerranéen , plus au
moins régulier ,avec un hiver court , froid et pluvieux et un été chaud
et sec , les fortes précipitations sont enregistrées entre les mois de
Novembre et Mars , la température moyenne varie entre 5° en hiver
et 25°c à l’été.

La pluviométrie moyenne annuelle varie de 360 à 700mm il pleut


de Septembre à Mai avec un maximum en Décembre.

VI)- Levé topographique  de la zone d’étude (SENDJAS) :

Les levés topographiques effectués couvrent les limites adoptées par les
services techniques concernés.

Les altitudes varient entre :

Pour les zones rurales de SENDJAS, les altitudes varient entre : 550 et 296
m.

VII)-SITUATION HYDRAULIQUE DE L’ETAT ACTUEL :

 STOKAGE :
L’air d’étude est équipé par les réservoirs suivants :

 Le réservoir 2000 m3 en construction constituera poumon de


distribution en eau potable de la commune d’ENNAHALA (SENDJAS)
 Le réservoir 500 m3 qui assure l’alimentation en eau potable de
chef-lieu BENAIRIA
 Le réservoir 250 m3 il assure l’alimentation en eau potable de douar
32 lot, il reçoit l’eau par pompage
PARTIE EXPERIMENTALE :

1. LES CALCULS DES BESOINS EN EAU :

 CALCULE HYDRAULIQUE ET DIMENSIONNEMEMENT


 EVALUATION DEMOGRAPHIQUE :

Pour l’estimation de la croissance géométrique

Pn = P0 (1+T)n
Pn : population à l’horizon d’étude
P0 : population de référence

T : Taux d’accroissement pris égal à 2 ,0 %

n : Période de saturation

2. ESTIMATION DES BESOINS EN EAU :

a) Besoins moyens en eau :

La consommation moyenne journalière domestique est obtenue par


la formule suivant :

Q moye j = D.N /1000*F m3  / J


Q moye j : Consommation moyenne journalière
D : Dotation journalière (D= 180 L / j/ hab.)

N : Nombre d’habitant (hab.)

F : Facteur qui tient en compte les fuites dans le réseau = 15 %

b) EVALUATION DES BESOINS MAX :

La consommation maximale journalière est obtenue par la formule


suivant :
Q max j = Q moye j * K max j

K max j : Le coefficient d’irrégularité journalière maximum

K max j = (1 ,1 / 1,3) on prend K max j = 1 ,2

3. ETUDE DE VARIANTES  :

Dans le terrain vous avant définir deux (02) variantes

 Variante 1  :

Qui consiste à réaliser d’adduction, la chaine alimentera la zone


rurale d’ ENNAHALA I et II

 Variante 2  :

Qui consiste à alimenter toutes les zones d’études avec une (01)
chaine d’adduction

4. ETUDE HYDRAULIQUE  :
Après la discussion des variantes proposées par notre bureau
d’étude

Au niveau de la direction de l’hydraulique de la wilaya de chlef

_donc on va faire :

_ Dimensionnement des adductions projetées ; adduction par


refoulement qui prend naissance à partir de la station de pompage et
refoulement directement.

_ Calcul du diamètre de la conduite.

_ Calcul de la vitesse d’écoulement par la formule suivant Q = v * S

Q : le débit m 3 / s

V : la vitesse m / s

S : la section m2
_
vérification du conduit contre l’effet de coup de bélier et on termine
par résultat final pour le démarrage de travail.
eme
2 PARTIE DES
ETUDES EN STAGE

COMMENT FAIRE UN FORAGE  ?


Définition d’un forage d’eau  :
 Le forage est l'action de creuser un trou aussi appelé « Puits »
dans le domaine de la prospection) dans la Terre. L'équipement
du puits, tel les tubages, et de manière générale, les moyens
techniques permettant de creuser, varient en fonction de son
dimensionnement et de ses objectifs. On fore pour prospecter
et/ou exploiter le sous-sol. Á titre d'exemple, des puits sont
forés pour :

* trouver et exploiter des ressources naturelles enfouies (eau,


pétrole, ressources minières) ;

* la géotechnique ;

* la géothermie ;

* la recherche scientifique pure.

Systèmes principaux  :
Les moyens techniques mis en œuvre diffèrent largement : de la
foreuse manuelle, à la foreuse légère et mobile pour les forages de
moins de 10 mètres, à une plate-forme pétrolière pour l'exploitation
pétrolière offshore.

1) Alimentation  :
Dans pratiquement tous les cas, un moteur Diesel fournit la
puissance nécessaire aux forages. La puissance est alors délivrée soit
par électricité, soit mécaniquement. Dans le cas de forages profonds,
des générateurs électriques alimentés par un moteur Diesel sont le
plus souvent utilisés. L'option « électrique » a de nombreux
avantages dont, entre autres, la réduction du bruit et une
organisation du chantier plus simple.

2) Transmission mécanique  :
Les moteurs qui fournissent l'énergie mécanique sont reliés soit à
une table de rotation qui transmet le mouvement à la tige carrée
[comme son nom l'indique, elle est carrée ou hexagonale pour
permettre sa rotation ; cette tige est raccordée aux tiges de forage
par un raccord d'usure, qui transmet le mouvement à l'outil de forage
(bit en anglais)], soit à une tête de rotation (power suive) qui
transmet le mouvement directement aux tiges de forage.

3) Système Rotary  :
Le système de rotation comprend habituellement une tête
d'injection, une tige d'entraînement qui passe à travers une table de
rotation et qui est reliée à une colonne de forage (en) (ou train de
tiges) et en bout de colonne un outil de forage creusant le sol. La tige
d'entraînement, et de fait la colonne de forage, et l'outil de forage,
tous subissent une rotation via la table de rotation et une section
angulaire de la colonne qui se trouve au niveau de la table, ou bien si
la table n'est pas le moyen de rotation de la machine de forage, via la
tête d'injection qui sert également à l'entraînement de la colonne.

4) Composition de forage  :
La colonne de forage est une suite de tiges vissées entre elles et
habituellement de taille standard. L'ajout de tiges au fur et à mesure
permet de progresser plus profondément. Pour les appareils de
forage de taille moyenne et importante, la taille des tiges a été
standardisée et elles font en moyenne 9,5 m. Cette taille standard
peut paraître bâtarde, mais il s'avère qu'elle fut définie en fonction
des normes API et correspond à une longueur de 30 pieds.

5) Les différentes étapes de la réalisation d’un forage  :


 Le projet de forage  :
Si vous souhaitez réaliser un forage ? Vous devez, auparavant :

1 - Connaître la réglementation en vigueur :

_ Le service police de l’eau de votre département est là pour


vous renseigner ; il est votre interlocuteur. Contactez-le dès que
votre projet prend forme. Il vous indiquera la démarche à suivre et
pourra vous proposer un formulaire unique simplifié pour vos
démarches. Voici un bref résumé de la réglementation en vigueur.

2 - Connaître la géologie et la ressource en eau :

_ Des banques de données existent et sont à votre disposition


pour connaître la disponibilité de la ressource et sa qualité : banque
de données du sous-sol (BSS), banque nationale d’accès aux données
sur les eaux souterraines (ADES), portail géomatique du BRGM Info
terre.

3 - Choisir un professionnel :

_ La réalisation d’un forage « propre » nécessite la maîtrise de


techniques qui doivent vous conduire à retenir une entreprise
compétente ayant de l’expérience dans ce domaine.

4 – Avoir un appui technique :

_ L’entreprise qui réalisera votre forage peut vous apporter un


appui technique pour la constitution du dossier d’instruction
administrative. Vous pouvez également faire appel à un bureau
d’études, mais c’est vous, en tant que maître d’ouvrage (collectivité,
agriculteur, industriel...), qui êtes responsable de ce projet et en
demandez l’autorisation au Préfet de votre département. Savez-vous
que vous pouvez trouver un appui en déposant un dossier sommaire
à la Préfecture (MISE – Direction Départementale de l’Agriculture et
de la Forêt) de votre département, avant le début des travaux ? La
MISE (Mission Interservices de l’Eau, qui regroupe les Services de
l’État gestionnaires de la ressource) vous aidera à faire le point sur les
aspects réglementaires concernant votre projet de forage :
conformité par rapport à son implantation, sa profondeur, son
utilisation, son débit d’exploitation (qui sera déterminé à l’issue de
l’interprétation des pompages d’essai au forage).

 La réalisation du forage  :
_ Un forage d’exploitation crée une liaison directe entre la
surface et la nappe captée, et augmente ainsi le risque d’introduction
d’eau polluée dans le réservoir d’eau naturellement protégé. Le
forage devra être adapté aux caractéristiques de la nappe, celle-ci
pouvant être libre ou captive (cf. onglet différent type de nappe)

 Forage en nappe captive :


En nappe captive, pour éviter la mise en communication de la nappe
captée avec les nappes sous-jacentes, le forage doit être réalisé en
utilisant plusieurs diamètres de formation et de tubage :

* 1re étape : après mise en place et cimentation du tube-guide,


traverser les couches supérieures et arrêter le forage dans la couche
imperméable au toit du réservoir de la nappe captive (mur de la
nappe libre).

* 2 ème étapes : mettre en place puis cimenter à l’extrados sur toute


sa hauteur le tubage de protection (qui servira généralement de
chambre de pompage). Cette cimentation ascendante par
refoulement sous pression doit faire l’objet du plus grand soin
(densité du ciment de 1,8).

* 3 ème étape : poursuivre la formation (en diamètre inférieur) pour


traverser la formation aquifère captive objet du captage (si
nécessaire et si le diamètre du tube de protection le permet, aléser le
trou en plus gros diamètre pour permettre une meilleure mise en
place du massif de gravier).
* 4ème étape : mettre en place la colonne de captage fermée en pied
par un sabot et constituée de tubes pleins et de tubes perforés (ou
crépines), puis le massif de gravier filtrant (gravelle pack) si
nécessaire. Pour assurer la longévité du forage, le groupe de
pompage et les crépines ne devront jamais être dénoyés pendant
l’exploitation du forage.

* 5ème étape : en fonction des caractéristiques hydrodynamiques de


la nappe, mettre en place dans la chambre de pompage une pompe
électrique immergée raccordée à la surface par la colonne d’exhaure
et pouvant être soutenue par un câble.

 Forage en nappe libre :


_ En nappe libre, un forage peut être réalisé en utilisant un seul
diamètre de formation et un seul tubage (autre que le tube-guide).
Dans ce cas pour la cimentation du tubage, un bouchon (de type
argile gonflante) devra être placé au-dessus du massif filtrant pour
éviter l’invasion des graviers par le ciment. Si plusieurs diamètres de
formation et de tubage sont utilisés, suivre après le fonçage au
premier diamètre, les étapes 2, 3, 4 et 5 détaillées pour le forage en
nappe captive.
Implantation du forage  :
_ Le choix de l’implantation de l’ouvrage est une étape
importante ! Le forage doit être implanté dans un environnement
préservé et éloigné de toute source de pollution. Le site doit être
choisi en vue de maîtriser l’évacuation des eaux de ruissellement et
d’éviter leur accumulation dans un périmètre de 35 m autour du
forage. Un arrêté ministériel fixe des règles de distance à respecter.

 Relever les données de terrain  :


* Renseigner au jour le jour un carnet de chantier.

* Établir la coupe des terrains traversés.

* Après nettoyage et mise en production de l’ouvrage


(développement), réaliser des pompages d’essai pour connaître le
débit d’exploitation du forage et les locales de la nappe, et pour
compléter le nettoyage de l’ouvrage.
 Abandonner proprement un forage  :
_ Au niveau de la crépine, remplir le forage par du sable ou
par du grain grossier, puis placer par-dessus un bouchon de type
polonité.

* Cimenter le tubage de protection par refoulement à partir du


bas, jusqu’à 2 mètres sous la surface du sol, puis recéper le tubage
avant remblais.

* Se renseigner auprès de l’Agence de l’eau pour connaître les


conditions d’éventuelle aide financière pour le rebouchage de
piézomètres ou de forages.

 Conserver la trace des travaux  :


_ Rédiger un document de fin de travaux, indiquant :

* L’emplacement du forage sur une carte au 1/25 000e.

* La coupe géologique et technique de l’ouvrage.

* Les résultats des essais de pompage


*REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE*

Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique

Université Hassiba Ben BouAli- UHBC

Département d’Hydraulique

Option :

Hydraulique Urbaine

Réalisé par  :
-

Année universitaire
2014/2015

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