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Savoir
Savoir faire
L’outil utilisé pour traiter l’information de manière automatique s’appelle un ordinateur. Ce nom a
été proposé par Jacques Perret en 1954. Ce mot était à l’origine un adjectif qui signifiait « Qui met
l’ordre » ou « Qui arrange ». L’anglais plus restrictif, utilise le terme « Computer » qui peut se
traduire par « calculateur ou machine à calculer ».
L’informatique désigne donc un concept, une science, tandis que l’ordinateur est un outil, une
machine conçue pour réaliser des opérations informatiques.
En 1958 la mise au point du circuit intégré permet de réduire encore la taille et le coût des
ordinateurs
En 1960 l’IBM 7000, premier ordinateur à base de transistors.
En 1972 : l’Intel 4004, premier microprocesseur, voit le jour.
En 1980 : l’ordinateur familial fait son apparition.
En 1981 : IBM-PC (Personnal Computer)
Le PC de nos jours
2.2. Les standards des micro-ordinateurs
Le mini-ordinateur (ordinateur d'entreprise muni d'une unité centrale à laquelle peuvent être
connectés plusieurs écrans terminaux qui peuvent en être très éloignés) a été très rapidement
remplacé par les micro-ordinateurs dès qu'ils ont acquis de grandes capacités mémorielles et la
possibilité d'être connectés en réseau.
Le micro-ordinateur est un ordinateur personnel, un seul écran en général. Il peut être portable (de
dimensions de plus en plus réduites et de plus en plus performant) ou non.
Un écran,
Un clavier,
Une souris ou un trackpad (pavé tactile) pour les portables,
Et surtout : une unité centrale, cœur et cerveau de l'ordinateur.
3.1.1.1. L'écran de l'ordinateur
L'écran est la partie de l'ordinateur qui va afficher du contenu. C'est une partie de l'interface
homme-machine. C'est grâce à lui que l'utilisateur peut interagir avec l'ordinateur. Quand on tape
sur le clavier et qu'on utilise la souris, cela se répercute à l'écran et les données s'affichent.
Il existe plusieurs types de clavier : avec ou sans fil, avec ou sans pavé numérique, avec des
fonctions supplémentaires...
Les claviers varient en fonction de la langue : en français, on utilise le clavier AZERTY alors qu'en
anglais, on utilise le clavier QWERTY (des premières lettres présentes sur le clavier).
Sur les ordinateurs portables, la souris n'est pas obligatoire : il y a le trackpad ou pavé tactile
disposé sous le clavier qui remplit ce rôle.
La souris possède deux boutons pour effectuer un clic, double clic ou clic droit et une molette
pour descendre sur la page internet ou de traitement de texte.
Aujourd'hui, certains ordinateurs ne disposent plus d'une unité centrale à proprement parler : tout
est regroupé derrière l'écran comme c'est le cas pour les iMac ou sous le clavier comme pour tous les
ordinateurs portables.
L'unité centrale contient le processeur (le cerveau), le disque dur (la mémoire), la carte mère (la
colonne vertébrale) et l'alimentation (le cœur et les poumons).
C'est la mémoire de l'ordinateur. Son rôle est de stocker des données informatiques. Le disque dur
contient le système Windows, macOS ou Linux (entre autres), les programmes installés et les
données personnelles de l'utilisateur.
Il stocke des informations sous forme binaire. Aujourd'hui, ils sont capables de stocker plusieurs Tera
octets de données (soit 1024 Giga octets), ce qui correspond à des centaines de milliers de
photographies, des milliers de films, des millions de documents textes...
Les disques durs classiques : ils contiennent des pièces mécaniques dont une tête de lecture
qui pointe des disques magnétiques et lit et écrit ainsi les données,
Les disques durs SSD : sans pièce mécanique, ils lisent les données plus rapidement,
Les disques durs externes : pour doubler la sauvegarde de l'ordinateur et son disque dur
interne.
C'est le support sur lequel vient se brancher tous les composants d'un ordinateur.
La carte mère est un circuit imprimé sur lequel est connecté le chipset (jeu de composants qui
assurent le contrôle de la quasi-totalité de la carte mère). Les composants du chipset sont
directement soudés à la carte mère et c'est lui qui dicte les particularités des processeurs et des
mémoires qui peuvent y être installés. Depuis 1995, les cartes mères sont presque toutes au format
ATX.
Voilà à quoi ressemble la colonne vertébrale de votre ordinateur.
Ce bloc transforme et fournit l'énergie nécessaire à la carte mère, mais il est aussi relié à certains
composants comme le lecteur/graveur de DVD par exemple.
La transformation du courant cause une perte d'énergie prenant la forme de chaleur. Un système de
ventilation est donc également installé dans le coffret et expulse l'air via l'arrière du boîtier de
l'ordinateur.
Sa rapidité d'accès,
Son aspect temporaire : les données sont perdues une fois l'ordinateur éteint.
Les barrettes de mémoire vont de 256 Mo à 2 Go et sont à choisir en fonction de son processeur, des
capacités de la carte mère et de l'utilisation que l'on fait de son ordinateur.
L'imprimante,
Le scanner,
La webcam (souvent intégrée à l'écran),
Une connexion internet par câble ou en Wifi,
Des clés USB (Universal Serial Bus),
Une carte mémoire,
Une manette de jeu...
Il y a plusieurs langages et chacun a son domaine. Java le plus utilisé sert aussi à écrire les
programmes pour les Androïd, Javascript sert à écrire les site web, Python qui a une licence libre est
simplifié pour les débutant en programmation, le PHP beaucoup utiliser pour les sites web, C# qui le
langage utiliser par Microsoft pour concevoir les logiciels, etc…
Exemples
Les premiers Systèmes d'Exploitation sur PC étaient peu conviviaux et fonctionnaient en mode texte,
à la différence du Mac OS qui avait adopté dès 1983 une interface graphique.
Les interfaces graphiques se sont généralisées sur PC à partir de 1990 (Windows 2, 3, 3.1, NT4, 98,
Méllinium, ou NT).
De nos jour, Microsoft détient un quasi-monopole des systèmes d'exploitation sur PC. Mais il existe
aussi un système d'exploitation concurrent, appelé Linux, développé à partir d'Unix et qui connaît
une expansion de plus en plus. Il est gratuit.
3.2.2.2. Les logiciels d’application
Un logiciel d’application est un ensemble de programmes coopérant pour exécuter une tâche particulière.
Il en a plusieurs :
Un ordinateur est dit multimédia s’il peut traiter et stocker des textes, des sons, des images fixes et
des images vidéo.
En informatique, un octet est un multiplet de 8 bits codant une information. Dans ce système de
codage, s'appuyant sur le système binaire, un octet permet de représenter 2 8 nombres, soit
256 valeurs différentes. Un octet permet de coder des valeurs numériques ou jusqu'à 256 caractères
différents.
Le terme est couramment utilisé comme unité de mesure en informatique (symbole : o) pour
indiquer la capacité de mémorisation des mémoires (mémoire vive ou morte, capacité des clés USB
ou des disques, etc.). À cette fin, on utilise couramment des multiples de l'octet, comme le kilooctet
(ko), le mégaoctet (Mo), le gigaoctet (Go) ou le téraoctet (To).
Cette unité permet aussi de quantifier la rapidité de transfert d'informations en octets par seconde.
Les préfixes kilo, méga, giga, téra, etc. correspondent aux mêmes multiplicateurs que dans tous les
autres domaines : des puissances de 10. Appliqué à l'informatique, cela donne :
Il y a les répertoires qui sont comme chronos dans lesquels on range les documents. Les documents
ressemblent aux fichiers dans les répertoires.
Ainsi, le répertoire ou dossier est l’endroit où on stocke les fichiers. Le fichier est un document créer
à l’aide d’un logiciel. Pour le distinguer des autres il porte un nom unique donné par l’auteur dans le
répertoire.
Les fichiers ont des extensions qui peuvent ne pas être affichées mais qui est distinguent des logiciels
qui les ont créées. Les extensions s’elles s’affichent, elle commence après le nom du fichier par une
ponctuation « . » suivi de 3 ou 4 lettres de nos jours. Ces extensions sont différentes d’un logiciel à un
autre.
Le répertoire Programme Files est destiné dans Windows que pour stocker les logiciels. C’est
pourquoi dans cette arborescence nous avons deux logiciels qui sont « QGIS » et « MicroSoft Office »
dans lequel on a «Word » et « Excel ».
C:\Windows\Utilisateurs\Programme Files\MSOffice\Word
NB : il n’y a pas d’espace entre les noms des fichiers et des répertoires, le passage à un autre niveau
est « \ » et non « / ». C’est le langage informatique.
II - BASE DE DONNÉES
Une base de données (son abréviation est BD, en anglais DB) est une entité dans laquelle il est
possible de stocker des données de façon structurée et avec le moins de redondance possible. Ces
données doivent pouvoir être utilisées par des programmes, par des utilisateurs différents. Elle est
relationnelle quand elle est stockée en plusieurs fichiers reliés entre eux par des identifiants bien
indexés. Elle est dite géographiques quand les données sont référées à la surface de la Terre.
Variable
Quantitative Qualitative
Discrète
Continue Nominale Ordinale
di
Enregistrements Champs
Observations
Les données des matrices respectent les variables comme en statistique (Variable quantitative et
variable qualitative).
Numérique est pour les variables quantitatives. Les logiciels de base de données proposent
toujours le nombre de digit pour la partie entière si le nombre en dans l’ensemble des entiers
naturels et également pour les décimaux si c’est une valeur dans l’ensemble des réels ;
Texte si la variable qualitative (nom, description ou encore qualité). Le nombre maximum de
caractère est à déterminer. Sauf que pour la plupart des cas les logiciels de base de données
ne s’arrêtent qu’à 255 caractères ;
Flottant pour les champs qui peuvent prendre n’importe quel type de liste de choix ;
La numérotation automatique est une attribution automatique de numéros séquentiels aux
enregistrements par le logiciel. Parfois, certains logiciels demandent le nombre de digit ;
Liste de choix quand la question a plusieurs réponses parmi lesquelles un choix est fait. Ces
types de données sont qualitative mais pour faciliter la saisie, on leur attribue des chiffres qui
peut leur donnée la notion de rang si la variable est quantitative ordinale.
« Combien de temps avez-vous pris pour arriver à Toukra depuis la maison ? » est une
question de fait ;
« Aimez-vous le cours d’informatique ? » est une question d’opinion.
Il est important de savoir quel type de question vous êtes en train de poser. En effet, selon les
objectifs de l’étude, certaines critiques peuvent être exprimées envers les questions d’opinion. Pour
Bourdieu, « Un des effets les plus pernicieux de l’enquête d’opinion consiste précisément à mettre
les gens en demeure de répondre à des questions qu’ils ne se sont pas posées ». Nous pouvons
également mentionner les commentaires suivant. « Parmi les principales critiques que l’on peut
adresser aux questions d’opinion, on citerai seulement ici :
le caractère très particulier des échantillons prélevés compte tenu de l’importance actuelle
des refus de réponse ; les répondants effectifs sont de tous les répondants potentiels les
mieux disposés à l’égard de l’enquête et du thème abordé ;
l’importance des non-réponses ; elle est réduite dans les conditions actuelles de saisie
informatisée, mais elle fournit un indicateur de la distance à l’enquête qui caractérise
beaucoup d’enquêtés ;
la signification fragile de nombreuses réponses qui sont en quelque sorte arrachées aux
enquêtés, en particulier lorsque les questions ne font pas sens pour eux ou créent une
situation artificielle (de type scolaire ou administrative)
d’une manière plus générale, toute forme de surinterprétation repose sur ce que l’on peut
appeler l’ethnocentrisme savant : on prête aux enquêtés un raisonnement, des intérêts, une
perspective qui sont ceux de l’enquêteur.» Cependant, les questions de fait ne sont pas
vierges d’approximations :
« une question de fait ne doit pas demander aux personnes interrogées plus de précisions
qu’elles ne peuvent en donner » ;
« les individus sont beaucoup moins conscients de leurs pratiques qu’on ne le présuppose
généralement. Aussi répondent-ils par approximation, même à des questions de faits ».
Le choix du recours (principal) aux questions ouvertes ou fermées résulte en partie des objectifs de
l’enquête menée. « Au-delà des problèmes de coût, la stratégie d’enquête face aux questions
ouvertes et aux questions fermées renvoie donc à deux types d’enquête, l’une plus centrée sur le
test d’hypothèses précises, l’autre plus attentive à la complexité du réel. Quelle que soit l’option
retenue, le questionnaire comprend une majorité de questions fermées qui seront améliorées si ces
deux procédures sont adoptées :
1. entretiens préalables pour catégories mentales et mots utilisés ;
2. Prévoir, dans la liste des réponses, une catégorie “autres” avec de la place pour ces réponses libres
“imprévues”. Lorsque, au moment du dépouillement, il y a beaucoup de réponses ”autres”, sont
créées de nouvelles catégories. Mais cette technique n’est pas idéale, car rien ne garantit que la
liberté de proposer des réponses “autres” puisse être appropriée également pour tous les individus.
Cette solution est surtout intéressante lorsque les questionnaires sont remplis par les personnes
interrogées elles-mêmes. »
Par convention, pour parler de questions fermées munies d’une catégorie « autres », nous parlerons
de questions « semi-fermées ».
Pour pouvoir effectuer une analyse quantitative des données, les questions ouvertes peuvent poser
problème : « les personnes interrogées peuvent fournir des indications peu utiles. En effet, l’usage
des questions ouvertes enseigne que nombre de réponses peuvent être floues, incodables. »
En effet, une analyse statistique nécessite un codage des données, l’attribution de catégories selon
les réponses apportées aux questions. Sans une préparation adéquate, il n’est pas toujours possible
de proposer des réponses aux enquêtés, sans introduire de lourds biais, cependant la décision d’avoir
recours à des questions ouvertes doit être motivée.
Numéro du questionnaire :
Nom :
Prénom (s) :
Date de naissance :
Sexe :
Situation matrimoniale :
Taille (en cm) :
Nombre d’enfant (s) mis au monde (s) :
Nombre d’enfant (s) décédé (s) :
Nombre d’enfant (s) vivant (s) :
Comment apprécier vous la manière d’administrer le cours : Nul ; Médiocre ; Moyen ; Passable ;
Assez-Bien ; Bien et Très-Bien
Nom :___________________________________________
Prénom (s) :__________________________________________
G1 G2 G3
Centre d’examen :_________________________________
Année d’obtention du Bac : I__I__I
Ancienneté du Bac à l’année actuelle : (A ne pas remplir) I__I__I
Etes-vous un nouveau en L3 ? (Encadrez la bonne réponse) Oui Non
Si vous êtes redoublant, est-ce que le cours est différent de celui de l’année passée ? (Barrez
la mauvaise réponse) Oui Non
Comment apprécier vous la manière d’administrer le cours (Reporter le bon code dans la
case) : 1=Nul ; 2=Médiocre ; 3=Moyen ; 4=Passable ; 5=Assez-Bien ; 6=Bien et 7=Très-Bien
Si nul, que proposez-vous pour améliorer le cours :
____________________________________________________________________________
____________________________________________________________________________
_________________________________________________________________________
Introduction
EpiData est un programme de saisie de données. Le but du programme est d'aider à la création de
versions informatiques de questionnaires d’enquêtes, en en facilitant la saisie. L'idée fondamentale
est d'aider à la création de fichiers de données brutes de bonne qualité pour l'analyse ultérieure. Ceci
est fait en définissant exactement quel genre de données est prévu dans chacun des champs
(variables) du questionnaire, s'assurant par exemple que seulement les nombres, et non les lettres,
peuvent être entrés dans les champs numériques.
EpiData facilite également la définition de règles de validation pour chaque champ, par exemple un
champ de numérique peut seulement n'être renseigné qu'avec certaines valeurs (1.2 ou 3 par
exemple).
2) fichiers .REC (abréviation pour fichiers ’données’), qui contiennent les données plus plus une
définition codée du questionnaire.
3) fichiers .CHK (abréviation pour fichiers de contrôles), qui contient les règles de validation définies
pour les champs de saisie
Pour afficher l’introduction à EpiData et pour voir des exemples sur la façon de définir un
questionnaire et la façon de saisir les données, reportez vous à EpiTour, à partir de l'option "Aide" du
menu d'EpiData.
Éditeur de code
L’éditeur de code est une fonction d’aide à la rédaction des codes définissant les champs. Si l’éditeur
de code est enclenché, certaines séquences de frappe seront interprétées comme le début d’un
champ, et l’éditeur de code terminera le code ou demandera des informations relatives à la longueur
du champ avant de mettre à jour le code dans le fichier QES.